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[FINI] Pacte de non-agression [Alice Liddell]

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Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 45 lundi 05 mai 2014, 19:16:43

Minerva

« Touchez-là, salopes, et je vous tue sur place. »

Cette intervention, aussi soudaine qu'invraisemblable, stoppa net les trois "infirmières" dans leur petite séance de chirurgie.
Là, juste devant elles, une femme se tenait, en garde, arme à la mains, avec une grande colère fond des yeux. La belle Zyra avait vraisemblablement découvert le poteaux rose, les labos d'Herzeleid... Et aussi le fait qu'ici bas, les plats sont principalement fait de chair humaine. Minerva fronçat les sourcils, ce demandant bien ce qu'une pouffe en armure pouvait bien foutre ici.

« Je ne sais même pas ce qui me retient de débarrasser le monde de votre misérable existence, odieux et cruels monstres. »
"La diplomatie et... Euh... Le manque de tripes, hm ?"


L'infirmière stoppa la petite scie circulaire, mettant fin à son désagréable petit crissement aiguë et strident, avant de la poser sur son chariot de chirurgie. Elle passa légèrement sa mains sur son front, laissant planer sur la scène, un pesant silence.

Bon... Lâchât elle, d'un air quelque peut... désespéré. Tu te trouve à un endroit, où... Théoriquement, tu ne devrais pas êtres, je me trompe ? Hm ? Bref... Ensuite, tu ose dire, je cite : « Touchez-là, salopes, et je vous tue sur place. »... Et là, j'ai envie de dire...

Un léger soupir fut lâché, puis Minerva se déplaça de quelque pas vers sa victime, ce saisissant au passage d'un bistouris.

J'ai envie de te dire... Que tu n'as, ici bas, aucun pouvoir. Nous tuer... c'est... Enfin il n'y a pas de mots pour ça, c'est de la bêtise, tout simplement... Tu ne le feras pas. Le ton était calme, quelque peut hautain, certes, mais... Minerva savait très bien qu'elle ne risquait rien, cette femme n’impressionnait guère l'infirmière en chef d'Herzeleid.

Pourquoi tu viens nous cassez les couilles, franchement, le monde tournerait plus ronds, si toutes les nations marchaient comme marche la notre.




Alice Liddell

« Majesté, non... Je... Arrêtez ça, s’il-vous-plaît, ça me gêne... »
Mais moi ça ne me gène pas voyons, fufufu !

Oui, Liddell semblait nullement être gênée par la situation, cependant... Bas elle n'était pas toute seule et le problème venait évidement de cette pauvre princesse qui, de son cotés, était particulièrement dégoûtée par les attouchement de la jeune reine.
Cette dernière sentais bien que ça ne passait pas entre elle et la Sylvandine et ceux, malgré toutes ses bonnes attentions, enfin, "bonnes attentions"... Euh... Voilà quoi.  La Sylvandine rougissait sous l'effet de la gêne et du dégout en cherchant à s'extraire le plus délicatement possible de l’étreinte étouffante de Liddell. Cela n’échappa poins à notre petite monarque qui, d'elle même, fini par lâcher la Sylvandine.

Vous... Vous n'aimez pas les caresses ? Vous ne m'aimez pas ? Lâchât elle, le regard vide et quelque peu contrarié, esquissant une petite mou enfantine.

Cette petite question créât un vide dans la pièce, laissant ainsi au deux petites têtes blondes le loisir de... Se regarder, les yeux dans les yeux et ce durant une vingtaine de secondes.

Je... Dite moi Altesse... Vous aimez les dragons, n'est ce pas ? Demandât elle, en s'emparant délicatement des mains de la princesse.

Que diriez vous de venir avec moi, Afin de voir mon Jabberwocky, Hm ? S'il vous plait... Dite oui...




Marta

Marta se... Faisait chier... Là, y'a pas à dire, c'était le summum de l'emmerde pour elle, même après son viol, elle continuait à désespérément airer dans les couloirs, faisait tourner son revolver dans sa mains, cigare éteint au coins des lèvres et démarche nonchalante. Quand Grizzie était pas là, c'était vraiment la débauche de l'emmerde, il n'y avait pas un chat et c'était juste... Enfin merde, elle n'allait tout de même pas aller voir l'autre gros dégueulasse de bourreau là.

Pouah... Nan merci... Je préférerais largem... Dit elle avant de ce stoppait net en plein milieu du corridor.

Ça venait de faire tilte dans la tête de Marta ! Les labos ! Même ci elle savait pertinemment que Minerva n'aimait pas trop la visite, Marta en avait vraiment ras le cul de cette interminable nuit solitaire. C'est donc avec entrain qu'elle ralluma son cigare et qu'elle marcha d'un pas assuré, vers les labos de Miss Engel... Angie pour les intimes. Cet alors qu'elle fut interpellée par deux gardes qui faisaient eux aussi, leur ronde dans le chateaux. Ces derniers firent un salut militaires à leur supérieur en demandant où cette dernière ce rendait.

Je vais aux laboratoires, pourquoi ?
Oh, euh... Nan, juste pour savoir c'...
Ouai bas fermaient là et continuaient votre putains de ronde...
Oui chef !

La discussion s’arrêta là et chacun repartis vers ses occupations. Marta continua tranquillement son avançait vers les labos, elle réfléchissait déjà aà pas mal de truc salasse, elle ce demandait ce que Minerva pourrait bien lui faire, pendant qu'elle serait entrain faire une opération... Pleins de trucs ! Marta s’imaginait déjà entrain de prendre Minerva sur le billard et... Enfin, tous ça ne fit que lui donner une grosse trique bien d'enfer.

Bordel, j’espère qu'elle est pas trop sur les nerfs aujourd'hui...


Ça, C'était pas gagné... Alors qu'elle entama sa descente dans les labos, Marta Eu l'immense plaisir d'entendre les hurlements et les complaintes habituels. La jeune femme regarda brièvement au travers de quelques vitres qui donnaient sur les chambres des "cobayes"... C'était navrant... Autant certains cobayes était pas terribles, autant il y avait des fois, de jolies petits lots...
Comme cette jeune femme, prostrée dans un coins de sa cellule capitonnée avec pleins de seringues plantées dans le crane.

Pfff... Y'a pas à chier, la science, ça en gâche des trucs...

Marta tira une latte sur son bout de cigare puis, elle repartie en direction du bloc, regardant de si de là si, par hasard, il n'y avait pas une petite infirmière... Mais visiblement, ce soir, il n'y avait pas beaucoup de boulot. Marta était à présent non loin du Bloc, ce dernier était droit devant elle et... Elle put entendre une conversation... Elle reconnue la voix de Minerva et... Bizarrement, elle entendis aussi celle de...

Nan... Elle aurait pas osée cette pute...

Dans le doute, Marta se mis à marcher plus lentement, son arme à la mains. Une fois devant la porte, elle put discernait dans l’entrebâillement de cette dernière, la belle Zyra, de dos... Marta fronçât les sourcils en ce demandant bien ce que cette pute pouvait  foutre ici.

*Attend voir toi... Tu vas pas commencer à foutre ta merde...* Pensât elle silencieusement, avant de discrètement faire son entrez dans le bloc. Un "clik" retentis... Celui de l'arme de Marta, cette dernière colla le canon de son flingue contre la tête de Zyra...

Dit moi grosse poche à foutre... Tu viens faire quoi ici ? Hein ?

Minerva regarda Marta avec un léger sourire en coin, visiblement, notre hermaphrodite était bien tombée.

Ce qu'elle fout là ? Je te le demande ! Cette grosse catins et...
Ouai... Je sais, elle est pète couilles... Hein, hein que tu es pète couille ? dit elle à Zyra, avant de violemment l'attraper par le cheveux en plaquant plus fortement encore son canon contre le crane de la Sylvandine.

Je crois qu'au final... Tu va  me la faire ma gâterie, hein ?
Vas y mollo Van Kruspe, ça serait con que je doive lui faire un trachéotomie...
Une trachéotomie ? tu rigole ma belle... Ça sera bien pire...
Les filles...
Oui ?
Préparait le nécessaire de suture... Ce soir, ça va déchirer un max...

Ouai... D'la putain d'couture... Ahahah ! Rassure toi ma belle, ici, ont à une tonne de médocs qui te ferons tout oublier... Donc pour les relations entre nos deux pays, t'as pas à t'en faire, demains, t'aura tout zappé... Aller... bückstabü*, Minerva !
Ouai... bückstabü*, Marta...



[HRP] bückstabü ne veut rien dire en allemand, c'est un mot que le groupe rammstein, à inventé et mis en musique, musique que j'adore et que voici ^^ Enjoy ;)
« Modifié: lundi 05 mai 2014, 20:28:20 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 46 mercredi 07 mai 2014, 01:07:19

ALICE KORVANDER

« Vous... Vous n'aimez pas les caresses ? Vous ne m'aimez pas ? » demanda soudaine la cintrée.

Alice n’osa pas répondre, se contentant de silencieusement la fixer du regard... Ce qui, en soi, était la plus évidente des réponses. Elle se demandait où était passée Zyra. Pourquoi cette dernière était-elle si lente à venir ? Alice avait de plus en plus peur, seule, face à cette femme schizophrène et cruelle. Elle avait peur que Liddell ne la tue, ou ne cherche à la violer. Les deux femmes étaient de petits gabarits, mais Alice savait que la Reine n’hésiterait pas à la frapper, ou à appeler ses gardes. Elle se moquait bien de son alliance, et, si la situation se compliquerait, elle mettrait probablement à mort tous les Ashnardiens. La Princesse avait peur. Tout ce qu’elle voulait, c’était retourner chez elle, à Sylvandell, et oublier cette histoire. Était-ce vraiment trop demandé ? Ces négociations avec Herzeleid étaient une erreur. Elle savait qu’elles n’étaient qu’un subterfuge, mais était-ce vraiment si intelligent de se rapprocher ainsi de cette femme dangereuse ? Alice voyait la plus sincère et la plus pure des folies briller dans ses yeux, alors qu’elle se rapprochait à nouveau.

Elle lui posa alors une question, en saisissant ses mains. Une autre idée sadique venait de germer dans sa tête, et Alice fronça les sourcils. Pourquoi voulait-elle savoir si elle aimait les dragons ? Alice se posait cette question, mais elle eut, assez rapidement, la réponse, de la bouche même de l’intéressée :

« Que diriez-vous de venir avec moi, afin de voir mon Jabberwocky, hm ? S'il-vous-plaît... Dites-oui... »

Se promener avec elle dans ce château lugubre... Sans Zyra... Seule... Pendant la nuit... Alice ne voyait que des raisons de refuser, mais elle ne devait pas se leurrer. Ici ou ailleurs, dès lors qu’elle était dans ce château, elle n’était pas à l’abri. Zyra ne s’absenterait jamais aussi longtemps sans raison, et, si le Commandeur n’était pas là, c’était qu’il devait y avoir une bonne raison. Alice sentit soudain ses entrailles se nouer. Et si... Si Zyra était morte ?! Alice ne pouvait que présumer, certes, mais elle ne voyait pas beaucoup de raisons expliquant pourquoi Zyra n’était pas là. Que lui arriverait-elle si elle se refuserait à cette femme ?

*Elle me tuera, ou m’enfermera... Ce qui revient un peu au même.*

Alice en était persuadée, et ferma brièvement les yeux. Le Jobberwocky était une abomination sacrilège, presque hérétique pour elle, mais cette Liddell en était fière. Alice ne pouvait pas trop jouer avec le feu, et hocha alors la tête, sans retirer les mains de la Reine. Elle lui sourit alors, gentiment, pour la rassurer.

« J’en... J’en serais ravie, Majesté. »



ZYRA

Il y avait une chose à ne pas oublier avec les Commandeurs : ils étaient des mages-guerriers, et non simplement des guerriers. La Commanderie Noire était un corps d’élite, reconnu comme tel par l’Empire d’Ashnard. Les membres qui composaient ce corps étaient donc des guerriers légendaires, expérimentés et renommés. On n’entrait pas dans la Commanderie Noire, c’était elle qui venait vous chercher, et soumettait les recrues potentielles à un entraînement particulièrement rigoureux, mais dont la Commanderie savait qu’ils y arriveraient. Zyra savait qu’elle désobéissait aux ordres, qu’elle aurait du retourner voir la Princesse, mais ce qui se passait ici... Non, il n’y avait pas de mots suffisamment forts dans tout son vocabulaire pour qualifier ce qu’elle voyait. De la torture, tout simplement. Une torture sadique et cruelle.

« Pourquoi tu viens nous casser les couilles, la harangua la folle tordue. Franchement, poursuivit-elle ensuite, le monde tournerait plus rond, si toutes les nations marchaient comme marche la nôtre. »

Folle à lier... Zyra envisageait de les attaquer quand elle entendit du bruit dans son dos... Elle se retrouva alors avec le canon froid et mortel d’une arme à feu plantée sur son crâne, et sentit une bosse contre ses fesses.

« Dis-moi grosse poche à foutre... Tu viens faire quoi ici ? Hein ? »

Ce château était décidément petit, et Zyra ne répondit rien. Son épée était pointée versle bas, et elle observait silencieusement, presque détachée, Minerva. Cette dernière sembla rassurée, et les deux femmes se mirent à discuter entre elles, tandis que Zyra réfléchissait. L’arme de cette femme était un Mauser M712, qui, si elle avait bonne mémoire, tirait des balles de petit calibre : des 7.63 Mauser. Zyra en connaissait un rayon sur les armes à feu, et, tandis que les deux cinglées discutaient entre elles, et envisageaient de trouver un moyen de torturer Zyra en lui faisant oublier tout ça, cette dernière ferma brièvement les yeux. Sa main désarmée s’illumina brièvement, et une aura de protection fila le long de son corps. Elle venait de créer un bouclier magique. Il absorberait le tir que cette femme pousserait. Certes, ce ne serait pas indolore, mais Zyra survivrait.

« Ouais... bückstabü*, Marta... » conclut Minerva.

Zyra intervint alors :

« Allez chier, bande de pétasses. »

Le Commandeur agit alors, et envoya son coude dans le ventre de Marta, la repoussant suffisamment pour qu’elle puisse envoyer une onde d’Air qui balaya la femme, l’envoyant valdinguer dans le couloir. Marta appuya sur la gâchette, et le coup sonna Zyra, qui partit sur le côté, sa tête filant à la renverse, du sang en jaillissant. Cependant, le bouclier avait absorbé la balle, la ralentissant considérablement, et ce fut comme si un caillou avait atteint Zyra à la tempe. Son oreille droite sifflait, mais elle avait encore la gauche qui fonctionnait.

Dans sa main libre, des arcs électriques se mirent à danser, et Zyra visa au jugé, atteignant l’une des infirmières. La femme poussa un hurlement déchirant de douleur et fut renvoyée contre le mur. Elle heurta ce dernier, et Zyra brandit alors son épée, cherchant à égorger Minerva. Le docteur esquiva cependant son coup, et Zyra se planta devant la patiente. Elle envoya le pommeau de son épée frapper la seconde infirmière au visage, envoyant cette dernière s’étaler par terre.

« Je vous avais dit que je vous tuerais, si vous la touchiez, salopes » leur rappela alors Zyra, sur un ton sec.

De la fumée s’échappait du corps de l’infirmière touchée par les arcs électriques. Elle n’était vraisemblablement pas morte, mais sonnée pour le compte.

« Ne sous-estimez jamais l’ardeur d’un Commandeur ! »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 47 dimanche 18 mai 2014, 12:46:56

Alice Liddell

- « J’en... J’en serais ravie, Majesté. »

Cette simple réponse eut a elle seule le pouvoir d’inonder de joie, le cœur de notre chère petite Liddell. Enfin la Sylvandine consentait à quelque chose ! Le fait qu'elle accepte de voir le Jabberwocky était... C'était trop bien ! C'était génialement génialisime ! C'était...

- Comme un matin de mai fleuriiiiiHIHIHIHIHAHAHAHA !!!!!!!!!! Lâchât elle d'un coup, sans crie et guard, en tapotant joyeusement dans ses mimines.

Et hop ! A peine la petite princesse eut elle le temps de ce remettre de inattendue excès de joie de Liddell, que cette dernière s'empara rapidement des mains délicates de son interlocutrice. L’entraînant avec entrain dans les interminables coursives du châteaux d'Herzeleid en chantonnant joyeusement son étrange comptine. vide de tous sens.

♫ Fleurpageons Les rhododendroves♪
 Gyrait et vomblait dans les vabes,
 On frimait vers les pétunias ♪
 ♪et les momerates embradent . ♪

Aller Miss Korvander, Avec moi ! AHAHAH !
♫ Fleurpageons Les rhododendroves
 Gyrait et vomblait dans les vabes,♪
 ♪♪ On frimait vers les pétunias
 et les momerates embradent . ♪ ♪♪


Liddell tenait toujours la mains de la jeune princesse. On aurait dit deux copines ce promenant joyeusement dans les interminables boyaux de la folie, au cœur du cœur d'Herzeleid. Les deux jeunes femmes traversèrent d'interminables corridors déserts, vides de toutes présences, mis à part les gardes, personne n'osait airer dans les coursives d'Herzeleid en pleine nuits.
La faute à Marta, sans nul doutes, mais... La reine n'y était pas non plus anodine... Quand la jeune monarque est victimes d'une "crise" elle peut faire preuve... D'une bien macabre violence. Poursuivant sans relâche sa proie à la manière d'une véritable psychopathe, tuant toutes les malheureuses personne qui oses ce trouver devant elle... Y compris les gardes.
Par chance, les crises de la reine sont rarissimes... Cependant, les deux seules qui ont eux lieux, ont eut comme solde final, une trentaine de morts. Aussi, Alice n'est pas aussi "gamine" qu'elle peut le laisser paraître, comme bon nombre de personne en ce monde, elle à des envies, des pulsions d'ordre "sexuelles" qu'elle aime assouvirent, et ce, de manière par moment assez... Violente. Les penchant sexuelles de Liddell sont plutôt banaux, toutefois, lors de certaine nuits, il lui arrive de faire preuve d'une très grande violence BDSM, attachant, humiliant, baisant et mutilant de pauvre servantes, parfois en compagnie de Grizellda et de Marta, voir, de Minerva.

Après un petit quart d'heures de marche, les deux jeunes femmes arrivèrent à l'entrée qui menait au souterrains d'Herzeleid, pas ceux des labos, mais ceux des cachots, qui, ensuite, menait à l'immense salle où le Jabberwocky était gardé. Cependant, avec le recule... emmener la sylvandine en ces lieux n'était peut être pas une très bonne idée. Liddell regarda brièvement la sylvandine... Puis elle lui fit un petit bisou sur la joue, avant de engouffrer avec elle dans les cachots.

Allez...  N'ayez crainte votre Altesse... Je ne vous ferez rien.

Cet alors avec un immense sourire au visage qu'Alice emmena la princesse dans les profondeurs des cachots D'Herzeleid. Une bien sinistre endroit... Parcouru de cellules avec des barreaux. Là, comme pour les labos, on pouvait aisément entendre des cris et des complaintes provenant des cellules, accompagnés de bruits de chaines. Cet alors qu'une femme vint a violement se rapprocher de la porte se cellule, collant son visage salle contre ses barreaux. Ce qui fit d'ailleurs sursauter notre petite Alice sur le coup.

-Je... Je vous en prie... Ma... M... MA bonne reine... Je... Han... Je suis enceinte... Li...Libérais moi... Hiuuu... S'il vous plait...

Liddell l'observa pendant une bonne dizaine de secondes, avant d'enfin s'approcher de la porte, faisant délicatement passer sa mains au travers des barreaux, afin de caresser la joue de la femme.

Mais oui... Bien sur que je vais te libérer... Fufu ! Lâchât elle en faisant passer sa langue sur ses lèvres, à la manière d'une gamine devant une délicieuse glace saveur vanille.
Est ce vrai... ? m... Ma reine ?
Oui... Toi et ton bébé allait êtres libres... Il te faut juste être patiente ihihi !

Liddell ce mit alors à trifouiller son pendentif, avant de ce mettre à l'exhiber devant la captive.

Tu vois cette clé, elle ouvre toutes les portes du châteaux ! Peut êtres aurais je l'occasion de te libérer en personne, ihihi ! Mais pour l'heure, tu reste là... Ihi !
Lentement, Alice ce mise à reculer, ne quittant pas la captive des yeux...
m... Ma reine...
Allons y... Lâchât elle en  tournant son regard vers celui de mademoiselle Korvander. Entraînant cette dernière avec elle.



Marta/Minerva

Ça... Marta ne l'avait pas vue venir... Là, étalée sur le sol, elle  commençait à doucement ce relever, ce demandant encore ce qui venait de ce passer. De la magie ?... Surement... Ici bas, à Herzeleid, la magie est quasi inexistante tant la technologie est avancée par rapport aux autres nations de Terra, Tekhos étant surement la seule nation qui puisse dépasser Herzeleid au niveau technologique, l'empire de vapeur étant quant à lui légèrement inférieur à Herzeleid.  Même d'un point de vue médicinal, Herzeleid arrive à soigner des maux que certaines pratiques elfiques n'arrive pas à enrayer et en matière d'armement, là, on a droit à une panoplie d'arme de destruction de masse... Les gaz et les virus étant surement les plus meurtrières de toutes avec le Jabberwocky, cependant, l’existence des virus et des gaz reste inconnue des autres nations... Et d'un autre coté, tant mieux.

*Je vais l'éclater... Sale truie... pu...tain !* Pensa silencieusement Marta en ce relevant doucement.

Minerva quant à elle, elle regardait la commandeur droit dans les yeux. Elle ne savait pas trop quoi faire pour le coup, ellle venait d'éviter l'attaque de la jeune femme, mais, contre-attaquer était il une bonne idée ? Au vue de la situation, au vue de ce que la commandeur venait d'essayer de faire... Il fallait trouver un truc et, là, dans la tête de Minerva, l'idée s'imposa d'elle même.

*Ouai... La droguer...*

Il fallait qu'elle injecte un truc à Zyra, il fallait qu'elle lui efface la mémoire tout en la laissant en vie. Cependant, il fallait qu'elle détourne son attention, qu'elle lui parle, afin que Marta puisse agir, laissant ainsi à Minerva le loisir de choper une une grosse seringue et de l’injecter à la commandeur.

Putain de fouille merde...

Et là... BLAM ! Un coup de feu retenti... C'était Marta
.
Eyh ! Sale pute ! S'exclama Marta d'un coup.

Elle tenait son revolver d'une main ferme, pointant la commandeur avec hargne et détermination.

Allez... Maintenant, tu va gentiment arrêter tes conneries et nous laisser tranquille, ok ? dit elle en avançant petit à petit, tenant toujours Zyra an joug.
Au final... Je sais même pas ce que l'ont va faire d'une sale truie comme toi... La diplomatie nous oblige à te laisser en vie... Mais  mon gros doigt me dit qu'il serait préférable de te baiser et ensuite de te laisser au mains de miss Engel, ici présente... qu'en dit tu ?

Miss Engel, quant à elle, commençait à discrètement reculer de quelques pas en arrière, afin de se rapprocher d'un grosse commode en métal, sur laquelle, il y avait toute une panoplie de seringues.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 48 mardi 20 mai 2014, 02:10:25

ALICE KORVANDER

La Princesse était bien loin d’être rassurée, surtout quand Liddell, tout en l’entraînant à travers les couloirs sinistres de ce château dément, se mit à chanter. Alice avait l’impression d’être guidée par une folle, et, si elle avait lu Lewis Carroll, elle aurait plus que jamais eu l’impression d’être entraînée dans les profondeurs de la folie. Les deux femmes avançaient dans un dédale de couloirs obscurs et silencieux, vide de toute présence humaine... La nuit, les prédateurs chassaient, et les proies se terraient, en espérant que les prédateurs ne viendraient pas les débusquer. Alice était nerveuse, le cœur balançant de plus en plus rapidement dans sa poitrine. Cette femme l’effrayait, tout simplement. Il y avait en elle quelque chose de profondément malsain, de dérangé et de malade. Elle était folle, ce que la Princesse avait eu l’occasion de noter, et elle l’emmenait dans les profondeurs de son château. Comment Zyra allait-elle bien pouvoir la retrouver, maintenant ? Alice se sermonnait elle-même d’avoir accepté la mission de Coehoorn. Elle aurait du laisser le Maréchal se débrouiller. La Reine d’Herzeleid avançait rapidement, toute guillerette, et elles dévalaient des escaliers interminables, jusqu’à arriver dans un endroit on ne peut plus sinistre... Les cachots.

Comme si elle avait vaguement conscience que la décoration venait de changer, passant du macabre au... Au très macabre, Liddell se retourna, dévisageant Alice, et essaya de la rassurer... Ne faisant que l’inquiéter davantage :

« Allez...  N'ayez crainte votre Altesse... Je ne vous ferais rien. »

Autant dire que, quand quelqu’un se sentait obligé de vous dire ça, c’était précisément le moment où il fallait paniquer. Alice déglutit silencieusement, ne lui répondant pas, et la Reine d’Herzeleid la guida dans les cachots. Alice savait que les cachots n’étaient jamais vraiment glamour. Les prisons sylvandines se trouvaient dans la roche, à partir de Motte-la-Vallée. On avait creusé des galeries, enfermant les prisonniers dans les grottes, et l’endroit était loin d’être très agréable... Mais les cachots d’Herzeleid étaient encore plus sinistres, évoquant les geôles des pires donjons ashnardiens. Des protes énormes, des couloirs sombres, des gémissements, le cliquètement des chaînes... Alice allait de moins en moins bien, alors que Liddell, visiblement guère nerveuse, s’avançait joyeusement. À tout moment, Alice s’attendait à tomber sur un bourreau qui chercherait à la tuer, et les traces d’affection de la femme devant elle, loin de la rassurer, ne l’effrayaient que davantage.

La Princesse tremblait, ayant l’impression d’être dans un film d’horreur, quand une femme tapa contre une prote, son visage crasseux apparaissant dans la petite fenêtre. Alice manqua tomber à la renverse, ses yeux écarquillés, devant cette apparition cauchemardesque. Une femme enceinte suppliait Liddell de la faire sortir, et, si la Reine sembla, elle aussi, surprise, elle sembla vouloir rapidement mettre un terme à l’incident.

*Mon Dieu...*

Cette pauvre femme… Alice était effrayée par ce spectacle sinistre. Comble de la torture, la Reine brandit sous elle une clef, la sortie de son supplice, avant de l’envoyer bouler. Liddell attrapa ensuite Alice par la main, lui intimant de sortir d’ici, tandis que la jeune femme enceinte pleurait silencieusement. Alice ne fit que quelques pas avant de s’arrêter, son hébétude laissant place à une sorte de résolution assurée et déterminée. Elle savait ce qu’elle allait faire.

« Attendez... »

Alice savait que la Reine ne répondrait pas à sa question.

« Il... Il y a quelque chose qu’il faut que... »

La Princesse regarda autour d’elle, nerveusement, comme si elle avait peur que quelqu’un ne l’écoute.

« Tous ces cris... Vous... Tu le sais, j’ai du sang de dragons dans les veines, alors... »

Elle se mordilla les lèvres, posa ses mains sur les épaules de la Reine, et, sans prévenir, se blottit contre elle, et l’embrassa. Ce fut aussi subit qu’inattendu, et ses lèvres se plaquèrent sur les lèvres bleuâtres de la femme, alors qu’elle allait mordiller l’une de ses lèvres, lui roulant une pelle. Elle prolongea le baiser pendant quelques secondes, amadouant la Reine, ses mains glissant le long de sa nuisette, comme pour aller palper ses seins... Et elle attrapa alors le pendentif qui pendait le long du cou de la femme, et tira un coup sec dessus, faisant sauter le lacet.

Alice la repoussa alors avec son autre main, et rompit le baiser, puis enfonça la clef dans la serrure de la cellule où se trouvait la femme enceinte.

« ...Alors, chez moi, on ne laisse pas les femmes enceintes seules dans un trou infâme, Majesté. »

Elle tourna la clef, et ouvrit la porte.



ZYRA

Les yeux de Zyra brûlaient de rage devant le spectacle auquel elle assistait, devant cette scène de torture... Toutes les rumeurs sur Herzeleid semblaient être en-deçà de la réalité. La folie et la perversion avaient complètement contaminé ces terres. Si ça ne tenait qu’à Zyra, elle raserait tout, afin de tout reconstruire, sur des bases différentes. Elle savait que ces expériences n’étaient pas anodines, et qu’elles devaient être ordonnées par Liddell, ou par cet affreux gnome qui semblait tirer les ficelles du pouvoir ici. Elle regarda les infirmières en les fusillant du regard, des arcs électriques crépitant au bout de ses doigts... Quand un coup de feu retentit à côté d’elle. Zyra saignait encore de la tempe, et tourna la tête. L’autre femme s’était relevée, brandissant sa pétoire devant elle.

« Au final... Je sais même pas ce que l'ont va faire d'une sale truie comme toi... La diplomatie nous oblige à te laisser en vie... Mais  mon gros doigt me dit qu'il serait préférable de te baiser et ensuite de te laisser aux mains de miss Engel, ici présente... Qu'en dis-tu ? »

L’intéressée ne répondit pas, reculant lentement, probablement pour sortir une autre arme. Zyra était entre les deux, et regarda Engel, avant de regarder à nouveau Marta.

« Je suis originaire du royaume d’Omybian. Un nom qui ne vous dira sans doute rien. Là-bas, nous avons des animaux très particuliers, des héritiers des temps anciens... Des dinosaures. J’ai grandi dans une caste guerrière chevauchant des ptérodactyles, et j’ai affronté des raptors pour prouver que j’étais digne d’être une guerrière. J’ai affronté un tyrannosaure avec mes camarades de guerre, et nous avons mangé sa viande après l’avoir tué. Crois-tu donc que ta vulgaire pétoire peut me menacer ? »

Les yeux de Zyra continuaient à flamboyer. Si Engel avait besoin de temps, Zyra aussi. Elle reforgeait son bouclier. Même la magie ne pouvait éternellement la protéger d’une arme à feu, et Zyra savait que ses options étaient limitées. Si la garde débarquait, elel serait en criante infériorité numérique. Il lui fallait trouver un plan de secours. Elle en eut finalement un quand elle comprit que ces femmes ne voulaient pas la tuer... Leurs hormones parlaient, ainsi que leur peur. Zyra comprit que la Reine devait sincèrement vouloir préserver ses liens avec Ashnard. Or, la disparition d’un Commandeur serait du plus mauvais effet. Zyra savait qu’Engel allait vouloir l’endormir pour pouvoir, par la suite, profiter d’elle, lui effacer la mémoire, et en profiter pour la violer. À la seule idée de se retrouver sur cette table d’opération, Zyra en avait des frissons.

Elle se retourna donc vers Marta, lui faisant face, et continua son petit discours.

« J’ai voulu quitter Omybian pour voir, par moi-même, le monde... J’ai beaucoup voyagé, mais je dois admettre que, niveau glauque et démence, Herzeleid décroche la palme. Crois bien que j’adorerais t’arracher ta putain de queue, et te la faire bouffer, foutue salope. »

Engel se rapprochait. Zyra la sentait, car elle avait profité de ce moment pour étendre ses cercles de perception. La magie n’était pas très familière à Herzeleid. Engel fonça sur elle, pour essayer de planter la seringue... Malheureusement, Zyra dfut plus rapide. Elle bondit sur le côté, et la seringue la manqua de peu, heurtant son armure. La pointe se brisa sur son épaulière, et Zyra, après avoir fait un pas de côté, se retourna sur elle-même. Sa main attrapa la gorge d’Engel, et elle sortit sa dague, la plantant contre la peau de la femme. Elle la tenait en otage.

« Je n’aime pas avoir à me répéter... Vous n’êtes pas en position de négocier avec moi. Relâchez cette femme. »

Le tranchant de sa lame s’enfonça légèrement dans la peau de la « doctoresse », faisant couler un peu de son sang.
« Modifié: mardi 20 mai 2014, 14:07:49 par Princesse Alice Korvander »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 49 vendredi 30 mai 2014, 15:34:54

« Attendez... »
« Il... Il y a quelque chose qu’il faut que... »
« Tous ces cris... Vous... Tu le sais, j’ai du sang de dragons dans les veines, alors... »

Et là, sans prévenir, pouf ! La jeune princesse vint à ce blottir contre notre adorable petite reine, l'embrassant délicatement en faisant gracieusement glisser ses doigt le long de son corps. Le contact était des plus agréable, enfin, enfin ! La jeune Sylvandine se décidait enfin à jouer avec Alice, enfin elles allaient pouvoir ce faire de nobles câlineries, ici, dans les profondeurs sombres et macabres d'Herzeleid. Plusieurs petits frissons vinrent à parcourir le corps de notre reine, tendis qu'elle sentait progressivement les mains de la princesse lentement grimper vers ses petits seins. Mais cette alors que d'un coup, sans cri et égards, l'adorable Sylvandine vint à violemment arracher la clé, du cou de Liddell, avant de la repousser comme une vulgaire chaussette, afin de libérer, sans le consentement de la reine, la pauvre femme enceinte.

« ...Alors, chez moi, on ne laisse pas les femmes enceintes seules dans un trou infâme, Majesté. »

Il fallut à Alice un petit temps d'adaptations, avant de comprendre qu'elle venait de bêtement ce faire rouler dans la cocaïne. La détenue, elle, de son son coté, elle se mise à lentement sortir de sa cellule, la mains sur son ventre, un ventre particulièrement gros, même pour une femme enceinte, ce qui laissait à pensait qu'elle n'avait non pas un, mais bel et bien deux bébés en son sein. La pauvre peinait à marcher et ses vêtement étaient constitués de fripes recousus et en lambeaux. Son regard était teintés de peur, elle regardait sa reine d'un œil inquiet, priant pour que cette dernière ne parte pas dans une crise qui pourrait la menait elle et la princesse, directement dans une vaste marmite.

Je... Que... Que... Pourqu...

Liddell serra fermement ses poing, ses sourcils se froncèrent et... Vlam ! Elle envoyât une grande gifle dans le visage de la princesse, avant de violemment la planquer contre l'un des mur.

Je... NAN ! NAN !!!! ICI, C'EST MOI QUI DÉCIDE  ! COMPRIS ! Je... Je me fiche des lois et des règles qui trône dans votre putains d'royaume arriéré et consanguin, je me fous de ce monde, JE SUIS LA REINE ! Je... Je... Je me fiche bien qu'une femme enceinte soi mourante, je me fous bien d'avoir rasée un orphelinat pour faire une usine, je me fous de toute les vie que j’emmène à l'abattoir chaque putains de jour que dieu fait, Je suis la seule à décidé en ce bas monde ! Vos règles et votre éthique n'on pas court ici, pas à HERZELEID ! Je... Je...

Elle relâchât ensuite la jeune Sylvandine en reculant de quelque pas en arrières, reprenant au passage la clé qu'elle lui avait dérobée. Puis, son regard dévia vers la pauvre femme enceinte, horrifiée par ce qu'elle venait de voir.

Je... Je suis la reine... Je n'ais pas d'ordre à recevoir... De personne ! Je vous déconseille d'oublier cela... J'ai relevée ce royaume alors qu'Ashnard aller l'asservir... Je suis la seule... J'ai sauvée Herzeleid... J'ai tout simplement réussie, là où ma pute de mère ne faisait qu'échouer... Iihi...ihihi... IhihihiihHAHAHAHAHAH ! Je fait peur à Ashnard et à Nexus... Voilà, la vérité... Je ne suis pas folle, j'ai juste un raisonnement différent du votre... Si je m'entichait de niaiserie et de pitié, si je n'était qu'une catins larmoyante et sans estomac, ce royaume serait une nation vide, asservie, croulante sous la dictature Ashnardienne.

Un léger silence s'installa entre les protagonistes, avant qu'une fois de plus, la reine vienne à le rompre.

Toi... Dit elle en s'adressant à la détenue. Rentre dans ta cellule... Immédiatement...
Mais... Ma reine...
C'EST UN ORDRE ! NE LE DISCUTE PAS !
Je... Je vous en supplie ma reine... J'ai affreusement mal...
Je me FOUT ! de ta douleur... Je t'ordonne de rentrer dans cette putains de cellule, ou sinon tu va directement dans les laboratoires pour que l'on te fasse une césarienne sans anesthésie, compris !
... M... M... Ma reiiiine...
DANS TA CELLULE !!!!!!!!!

Cet alors avec les larmes au yeux que la pauvre femme vint à rentrer dans sa cellule, sous le regard impuissant de la Sylvandine. Une fois la détenue remise à sa place, Liddell s'empressa de refermer la porte à double tour avant de ranger la clé dans sa petite culotte.

Demains, des gardes viendront et t’emmènerons pour te donner un bains, tu sera ensuite emmener dans une autres partie du châteaux en attendant ton accouchement.


Il n'a avait là, aucune forme de gentillesse, Liddell avait bien vue que la jeune femme n'allait pas tarder à accoucher, ce qui, pour Alice, ne signifiait qu'une chose : Un bon repas. Oui car, parmis toutes les choses que Liddell aime avoir dans son assiette, les nourrissons son sans nul doute, les plus appréciés de notre reine.

Bien... Maintenant, suivait moi Votre Altesse, nous avons assez perdue de temps ici...

Le ton était plus sec, plus tranchant, c'était comme ci la Liddell enfantine et joyeusement folle de tout à l'heure avait disparue pour laisser place à une jeune fille plus mure mais toujours aussi barrée.



Marta/Minerva

Voilà que nos deux Herzeliennes dans une situation des plus... Épineuse. Zyra venait de faire de Minerva son otage et ce, sous le regard courroucé de Marta. La Sylvandine avait expliquée au deux femmes d'où elle venait et ce qu'elle y avait fait, ajoutant même après cela, qu'elle n'avait jamais vue de nations aussi "glauque et dément". Cependant, Marta était nullement impressionnée par le curiculum vitae de cette petite pute des montagnes et c'est avec toujours la même rage au fond des yeux qu'elle lui répondit.

Ah ouai... t'as envie de me faire bouffer ma queue toi... Sache que j'ai pas besoin de toi pour me la mettre moi même dans l'bec, connasse ! toutefois, si tu tiens tellement à parler de ma bite, je t'invite à gentiment baissait ton futal, si tu vois ce que je veux dire.
Ta gueule Van Kruspe... Et libère la...
Quoi !? Toi aussi tu baisse ton fute ?
Marta... Libère la...

Les deux femmes se regardèrent quelques secondes puis... Un léger sourire naquis sur le visage de Marta, cette dernière avait manifestement compris quelque chose que la Sylvandine, elle , n'était pas censée comprendre... La "Doktor" avait elle un plan ?

Ok... C'est bon... Dit elle en abaissant son arme, avant de la ranger dans son holster.
Elle s’avançât ensuite vers la table d'opération, afin de libérer la pauvre "cobaye". Cette dernière était rasée et sa tête était maintenue dans un sorte d'auréole garnie de clous visés sur l(intérieur de la dite "auréole". L'hermaphrodite se stoppa brièvement devant la femme, puis... Elle reprit la parole.

Je trouve que vous vous permettez bien des choses pour de simples invités... Je me demande bien ce qui ce passerait si je venait à cracher mon jus au visage de votre adorable petit "joyaux" en la menaçant d'une arme... Je crois bien que  j'irais même jusqu'à lui pisser dessus tout en lui balançant ma fumer au visage, histoire de vraiment me fendre la gueule...
Marta... Ta gueule...
C'est bon... Relax... Dit elle en défaisant les sangles qui tenait les poignet de la pauvre femme.
Si un jour Herzeleid venait à  raser vautre petit royaume, je me ferais une joie de te chopper et de te faire ta fête, jusqu'à ce que tu en crève et même morte, je te re-baiserer deux ou trois fois, histoire d'avoir la conscience tranquille.
Cette phrase eu pour effet de créer un léger sourire sur le visage de Minerva.
"Raser" ? Tu débloque Van Kruspe, avec ce qu'ont à en réserve... Plus rien ne pourrait plus pousser sur leurs putains de terre...
Ouaiii, adieux, veaux, vaches, cochonnes ! J'engrosserait toutes les putains  prisonnières qu'Herzeleid ferait et ensuite, les gosses serait servie à ma tendre reine, farcies, Grillés à la broche et en pâtés !

Elle décrochât violemment les dernières sangles qui maintenait la pauvre femme. Elle laissa cependant l'auréole cloutée qui lui maintenant vaguement la tête. Elle glissa lentement sa mains sous la nuque de la pauvre cobaye, puis, elle lui tapota faiblement la joue de son autre main, avant de dire lentement...

Aller ma douce, réveille toi... T'es morte !

Et vlan, Marta empalât d'un coup sec, la tête de la pauvre jeune fille avant de rapidement ce tourner vers Zyra en dégainant son arme, tira de suite, une balle dans la cuisse de Zyra. Cette dernière, sous l"effet du tir, relâcha son emprise sur Minerva qui, de chance, n'eu qu'une mèche de cheveux de coupée, laissant alors tomber se toison blonde sur ses épaule.

Maintenant, tu ferme ton putain de clap-à-foutre, de sale bouffeuse de smegma et tu va gentiment te soumettre à nos demande ou je me sentirais dans l'obligation de te buter, de te laisser être découpée en tranche par Minerva et ensuite de me servir de ta putain de gueule comme d'un putain de vide couille puis comme cendrier.

Et ouai, à Herzeleid, on à pas pour politique d'être très courtois.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 50 dimanche 01 juin 2014, 02:00:41

ALICE KORVANDER

Au temps pour elle, Alice savait que Liddell était folle, mais elle ne s’était pas attendue à ça. Elle n’était pas que folle, non. Elle était complètement marteau, bonne à enfermer, à mettre dans le plus sinistre des asiles, avec une camisole de force, et à lui balancer des électrochocs pour la transformer en légume. Sa gifle ébranla Alice, qui heurta le mur, et sa tirade convainquit Alice d’avoir affaire à une folle furieuse. Quand la Princesse avait étudié l’Histoire ashnardienne, elle s’était étonnée que l’Empire ait pu entrer en guerre contre leur propre Empereur, alors que, selon la propagande impériale, l’Empereur était intouchable, inattaquable, car il était le maître suprême de l’Empire. Maintenant qu’elle était face à Liddell, et qu’elle voyait toute la fureur et la rage qui habitait cette dernière, la Princesse comprenait mieux. Alice assista, horrifiée, à l’altercation entre Liddell et sa prisonnière. Cette dernière sembla être réellement horrifiée, et Alice était loin de se douter du sort funeste qui l’attendait, elle ou son enfant. Elle en avait une petite idée, bien sûr, et elle savait que cette femme allait probablement mourir, mais elle ne pouvait tout simplement pas imaginer que Liddell puisse vouloir manger son bébé.

« Bien... Maintenant, suivez-moi, Votre Altesse, nous avons assez perdu de temps ici... »

Alice se rappelait, dans sa tête, les propos du Maréchal. Coehoorn lui avait dit de se méfier, de caresser Liddell dans le sens du poil, de lui faire confiance. Mais c’était trop pour Alice. Elle ne pouvait pas, tout simplement. Qu’on la traite de naïve si on voulait, mais elle ne voulait pas diriger comme ça. Elle ne voulait pas serrer les mains de monstres et de tyrans. Le ton sec de Liddell ne l’effrayait pas. Elle n’était pas effrayée par ce qu’elle venait de voir, en réalité, juste horrifiée. Son père était une brute, et, quand Tywill se mettait à s’énerver, ça n’avait rien à voir avec Liddell. Sur ce point, la Princesse avait été formée à bonne école.

La Princesse ne bougea pas, reprenant son souffle. Elle hésitait, partagée, mais c’était plus fort qu’elle. Le sang du Dragon bouillonnait dans ses veines.

« Je crois en avoir assez vu, Majesté, et je suis lasse de cette sinistre comédie. Vous n’avez pas sauvé Herzeleid, vous avez condamné le royaume sous votre autorité. Comment osez-vous parler de liberté, quand vous enfermez vos propres gens dans des cellules, alors qu’ils sont enceinte ? J’en ai assez vu ici ! Je rentre chez moi ! Osez encore lever la main, Majesté, et vous comprendrez que votre sinistre monstre de fer ne pourra rien faire contre nous. »

Alice avait abandonné la diplomatie pour passer aux menaces.

« L’Empire a connu un être comme vous. Un tyran qui agissait selon sa guise, un monstre ignoble. Le simple fait de vous voir me donne envie de vomir. Vous êtes folle, Liddell. »

Sur ce, Alice tourna les talons, et entreprit de rebrousser chemin. Elle avait passé bien trop de temps dans ce château infernal, et, pour le coup, elle aurait bien aimé que Zyra daigne enfin montrer le bout de son nez.



ZYRA

Le plus dur, pour Zyra, était de se retenir de ne pas égorger cette salope tout de suite. Elle ignorait d’ailleurs ce qui l’empêchait de le faire. C’était une folle, comme la femme devant elle, mais la Commandeur voulait d’abord sécuriser cette femme. Elle était en train de réfléchir à toute allure. Mine de rien, elle était dans un sacré pétrin, car elle ne pouvait pas non plus affronter toute une armée, et ce d’autant plus qu’elle n’était pas là pour protéger la Princesse. Ceci lui bouffait le ventre. Que se passerait-il s’il lui arrivait quelque chose ? Zyra ne pourrait jamais se le pardonner, mais, d’un autre côté, elle ne pourrait jamais se pardonner de laisser ici cette femme, et de laisser ces installations se poursuivre. Elle comptait y mettre un terme, mais ne voyait pas comment le faire. Le mieux était de libérer cette femme, de neutraliser ces truies, puis de trouver la Princesse.

Marta semblait être en train de dire qu’Herzeleid disposait d’armes spéciales, capables de détruire Sylvandell. Zyra n’en croyait rien, ces femmes étaient juste cinglées. Leur Jobberwocky impressionnait peut-être les esprits faibles, mais les Sylvandins avaient leurs propres dragons, et une machine ne pourrait guère les effrayer. Néanmoins, il fallait que cette entreprise infernale cesse. Marta était en train de libérer la femme, mais Zyra n’était pas assez idiote pour ne pas s’attendre à un coup fourré. Son bouclier magique la protégeait, et, alors qu’elle pensait que Marta allait vraiment libérer la femme, Zyra la vit transpercer la tête de la pauvre cobaye, avant de lui tirer dessus. La Commandeur chancela sur le sol.

« Maintenant, tu fermes ton putain de clap-à-foutre, de sale bouffeuse de smegma et tu va gentiment te soumettre à nos demande ou je me sentirais dans l'obligation de te buter, de te laisser être découpée en tranche par Minerva et ensuite de me servir de ta putain de gueule comme d'un putain de vide couille puis comme cendrier. »

Au sol, Zyra réagit rapidement, et envoya des arcs électriques depuis ses doigts. Ils frappèrent Marta au torse, la propulsant en arrière. Elle heurta le mur, et Zyra se redressa. Du sang s’écoulait de sa cuisse, mais une farouche détermination brûlait dans son regard. Elle s’avança vers Minerva, et ne tint pas compte des excuses que cette dernière pourrait dire. Sa lame transperça la doctoresse de part en part, perforant son estomac pour ressortir de l’autre côté, et elle balança le corps sur le sol, la laissant mourir dans son sang.

« Le marché était honnête, pourtant... Je vais vous tuer toutes les deux, et foutre le feu à cette installation. »

Son plan était arrêté. Elle s’avança vers Marta, et balança de nouveaux éclairs sur son corps, un peu plus intenses.

« Rassure-toi, je ne suis pas cruelle, tu mourras rapidement. »

Zyra s’avança, puis vit la verge de la femme. La Commandeur serra les lèvres, puis frappa alors le sexe de la femme avec son pied. Ça, en revanche, elle n’avait pas pu s’en empêcher. Une maigre justice, pour toutes les femmes que Marta avait violé. Zyra se dressait face à elle, la main raffermie sur la garde de son épée, et redressa cette dernière. Minerva se vidait de son sang, et Zyra leva son épée, prête à donner un coup vertical qui décapiterait Marta... Quand elle entendit des bruits de pas. Zyra se retourna subitement, et fronça les sourcils en voyant des iguanes se rapprocher, ainsi qu’une sensuelle silhouette.

« Et bien, et bien, s’exclama Xyola, l’endroit est animé, ici...
 -  Que faites-vous là, Xyola ?
 -  Je recherchais la présence de Sylvandines dans ce château... Quand j’ai été dans les appartements de votre chère Princesse, imaginez ma surprise en voyant qu’il n’y avait pas âme qui vive ! Cependant, je crois fort m’être un peu égarée dans ce château... Et vous-même ? Est-ce la coutume sylvandine d’éviscérer nos hôtes ? »

Xyola se rapprochait lentement, et les iguanes reniflaient le corps de Minerva. Les mauvaises herbes ont la vie dure, et cette dernière semblait encore s’accrocher à sa misérable existence comme une espèce de sangsue.

« Herzeleid souhaite nous envahir, ces femmes elles-mêmes l’ont dit. Ces négociations ne sont qu’un marché de dupes. J’ignore ce qu’elles fabriquaient ici, mais cet endroit doit être rasé.
 -  Nous envahir ? Vraiment ?!
 -  Nous ne pouvons plus rester à Herzeleid, l’endroit n’est pas sûr.
 -  Il nous faut retrouver votre Princesse, nuança Xyola. Ces femmes ont du la capturer comme otages. Pourquoi n’étiez-vous pas là pour la surveiller ?
 -  Je...
 -  Je croyais que la mission du Commandeur, ici, était de surveiller scrupuleusement sa Princesse. »

Zyra hocha lentement la tête. En un sens, Xyola n’avait pas tort. Mais Zyra n’avait pas pu s’empêcher d’intervenir.

« Je compte la retrouver, bien sûr ! Mais avant, il faut détruire cette installation.
 -  La retrouver... Oui, évidemment... Mais, malhgeureusement, je ne peux pas laisser votre passion guerrière continuer à tout gâcher ainsi.
 -  Qu... ?! »

Zyra n’eut pas le temps de réagir qu’une onde de choc jaillit de la paume de Xyola, et la frappa dans le dos. Son épée s’envola, et Zyra s’écrasa sur le sol, sonnée. Elle tenta de se relever, mais Xyola était déjà sur elle, et elle sentit un étau invisible enserrer sa gorge. La Commandeur grogna, sentant l’air lui manquer.

« N’y voyez rien de personnel, Zyra. Il ne souhaite pas que vous détruisiez cet endroit... »

L’air lui manquait, et cette magie l’écrasait totalement. Ses pupilles s’assombrirent alors que l’air se raréfiait. Tendant son autre main, Xyola utilisa sa magie pour soigner Minerva. Ses iguanes grondaient et sifflaient, et Zyra finit par s’écrouler sur le sol. Xyola savait qu’elle ne resterait pas inanimée longtemps, et que, sans son effet de surprise, elle n’aurait pas pu avoir aussi facilement la Commandeur. Elle se retourna vers Marta. Zyra ne l’avait pas loupé, mais la femme semblait endurante.

« Je suis venue vous faire une proposition, et le fait que je vienne de vous sauver la vie devrait vous inciter à avoir foi en mes mots. »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 51 lundi 09 juin 2014, 14:30:34

Alice Liddell

« Je crois en avoir assez vu, Majesté, et je suis lasse de cette sinistre comédie. Vous n’avez pas sauvé Herzeleid, vous avez condamné le royaume sous votre autorité. Comment osez-vous parler de liberté, quand vous enfermez vos propres gens dans des cellules, alors qu’ils sont enceinte ? J’en ai assez vu ici ! Je rentre chez moi ! Osez encore lever la main, Majesté, et vous comprendrez que votre sinistre monstre de fer ne pourra rien faire contre nous. »
« L’Empire a connu un être comme vous. Un tyran qui agissait selon sa guise, un monstre ignoble. Le simple fait de vous voir me donne envie de vomir. Vous êtes folle, Liddell. »

A l'entente de ces mots, les poings de Liddell se crispèrent une nouvelle fois. Cette petite pute commençait à vraiment énerver notre reine.

Je... Vous crèverez tous... TOUS ! Tu as entendue sale trainée ! Un jour viendra où je ruinerais ce monde et où je dominerais ! Je raserais Sylvandell, je tuerais tous vos dragons d'or et leur têtes me serviront d'ornement pour ma salle du trône AHAHAHAH ! AAHHAAAAAAAHAHAHAHAHAHA ! AAAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!!!!!
Vous ignorez tout d'Herzeleid, vous pensez bêtement que mon Jabberwocky est ma seule arme, mais je puis vous assurez que non ! J'ai de quoi exterminer tout vos putains de lézards débiles AHAH ! Mes armée  marcherons sur les cadavres de toute votre nations, tandis que je me ferais une joie de vous torturer pendant des jours et des jours jusqu'à ce que mort s'en suive ! Un jour vous regretterez m'avoir tournée le dos, un jour vous regretterez tous simplement d'être née ! AHAHAHA !!!!!
Je pense que c'est bon Majesté... Lâchât une voix sombre et sifflante.
Oh ! Mr. Le chat ! Vous... Vous avez vue ! Elle m'a traitée de folle !!!

Le conseiller de la reine ce mit alors à apparaître devant la Sylvandine.

Je ne me souvient pas avoir entendue ma reine vous dire de partir, Hm ? Votre impolitesse diplomatique me donne, elle aussi, envie de vomir... Quant on pense être un parangon de vertus, on ne s'amuse pas à libérer les prisonnier d'une autre nation, votre bêtise m'écoeur, vous me dégouttez, vous avez foulée du pied la pureté et la confiance que Ma reine avait placée en vous... C'est vraiment triste...



Minerva/Marta

Marta n'eu même pas le temps de comprendre ce qui ce passer, un choc violent, une douleur atroce lui foudroyant littéralement le corps, l'envoyant voler contre le mur, non loin d'une sorte d'énorme machine à bobines, machine qui, au passage, était une sorte de gros défibrillateur. Minerva, de son coté... Et bien, elle n'eu pas vraiment le temps de réagir non plus, à peine eu t'elle le temps d'attraper une scie à os que la Sylvandine l'avait déjà embrochée...

Raa... Que...

Ses yeux était grands ouverts, elle sentie la douleur exploser au seins de son ventre, tendis que du sang se mis à couler le long des ses lèvres pulpeuses. Sans rien dire, Zyra retira la lame de corps de Minerva, laissant ensuite à cette dernière, le loisir de s'étaler lourdement contre le sol, tout cela, sous le regard de Marta, totalement crispée par la douleur. Elle vit la silhouette de Zyra se tourner vers elle, avant d'envoyer une autre puissante décharge, faisant hurler de douleur notre belle futa. C'était comme ci tous ses nerfs se déchiraient en même temps, tendis qu'un atroce sensation de brûlure se propageait dans tout son corps.

« Rassure-toi, je ne suis pas cruelle, tu mourras rapidement. »

Marta ne pouvait même pas répondre, tant elle serrait les dents. Elle ouvrit faiblement les yeux afin de voir une dernière fois la commandeur. Cette dernière prit d'ailleurs un malin plaisir à lui foutre un coup dans la verge, avant de lever son arme, Marta avait des millions de petits picotements dans le corps, tendis que son cœur était au bords de l'arrêt, il battait tellement fort dans sa poitrine, que Marta pensait qu'il allait exploser en elle avant même qu'elle se face décapiter, elle ferma rapidement les yeux en détournant légèrement son visage sur le coté, sentant venir le chose... Ouaip, pour le coup, elle faisait plus trop la maligne, toutefois, alors qu'elle pensait son heure venue... Un événement aussi soudain invraisemblable vint à se passer.

« Et bien, et bien... l’endroit est animé, ici...

Marta rouvrit faiblement les yeux, voyant apparaître une silhouette particulièrement envoûtante, accompagnée de deux gros lézards pataud... C'était la reptilienne !

*Bord... elle... Qu'est ce qu'elle fout ici elle...*

Marta eu bien du mal à suivre la conversation entre les deux femmes, tendis que Minerva agonisait sur le sol. Tout était entrain de déraper, Engel était entrain de claquer et Marta était partagée entre le fait de crever ou celui de rester en vie... Et de ce faire foutrement dézinguer la gueule par sa reine... En y réfléchissant bien, elle préférait la première option. Mais cet alors qu'elle vit la Sylvandine se faire projeter contre un mur, avant de la voir se faire étoufer par la magie de la femme lézard, femme lézard qui, de son autre main, s'attelait à soigner cette bonne vieille barge de Engel... En voilà un putain de renversement de situation ! Marta se releva faiblement, quelque peut branlantes sur ses jambes puis elle prit appuie sur une étagère en métal. les bourdonnements dans ses oreilles, était tout bonnement insupportable. toutefois, elle put distinctement entendre les mots de Xyola.

« Je suis venue vous faire une proposition, et le fait que je vienne de vous sauver la vie devrait vous inciter à avoir foi en mes mots. »

L’intéressée regarda longuement sa sauveuse... Avant de ce remettre à regarder Zyra en coin... Lentement, Marta se redressa, puis, elle envoya trois grand coups de pied dans le ventre de Zyra, attrapant par la suite sa belle tignasse blonde, soulevant ainsi la pauvre femme à auteur de l'entre jambe de marta.

Du, ich will dich zerstören ... * Lâchât elle avant de retourner sa tête vers Xyola, lançant au passage un petit coup d’œil à Minerva. Cette dernière s'était évanouie.

Bien... Soit... Quelle est la nature de cette proposition ?



HRP : * Toi, je vais te détruire... )

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 52 mardi 10 juin 2014, 00:56:55

ALICE KORVANDER

Alice s’y attendait. La Reine se mit à s’énerver, la menaçant de tous les maux. Une telle hystérie aurait pu paniquer Alice, mais, en réalité, elle trouvait surtout ça pathétique. Elle était triste pour elle, triste pour cette folle, triste pour ce royaume que sa démence avait condamné. Pouvait-elle seulement dire qu’elle était malveillante ? Elle était tout simplement folle. Son discernement avait été aboli, et, pour une obscure raison, par l’une de ces terribles ironies du destin, il avait fallu que ce soit cette femme qui soit à la tête du royaume. Elle était folle. Elle voulait conquérir le monde, le dominer, mais elle était incapable de se dominer elle-même. Était-ce là le sort de tous les tyrans et les conquérants du monde ? Des individus qui, incapables de se gouverner eux-mêmes, choisissaient de s’imposer sur les autres ? Face à la fureur de la Reine, la Princesse restait stoïque, espérant juste partir d’ici.

C’est à cet instant qu’une autre personne choisit d’intervenir... L’affreux conseiller de la Reine, ce « chat » ignoble ressemblant à un gnome, intervint, reprochant à Alice son comportement. Silencieuse, cette dernière se recula prudemment, retenant une réplique mordante qui lui venait à l’esprit. Elle se mordillait les lèvres. La « pureté » de la Reine... Elle en avait presque envie de rire, tiens !

« Suis-je une diplomate, ou une prisonnière ? Quand on fait visiter un royaume à des diplomates, on ne leur fait pas visiter des prisons, on ne leur sert pas de la viande avariée, et on ne les invite pas à assister à un viol pendant qu’ils mangent ! »

Elle n’avait pas plus confiance en ce chat qu’en cette Reine, mais, s’ils voulaient l’effrayer, ils étaient mal tombés. Alice était furieuse, les joues rouges.

« Osez me toucher, me retenir contre ma volonté, et mon père viendra dès le lendemain matin ! Nous verrons bien, Liddell, ce que vos armes secrètes feront quand les dragons de Syvlandell souffleront sur vos terres, brûleront vos usines, et dévasteront vos terres. Vos menaces ne m’impressionnent pas ! Laissez-moi partir, et méditez mes paroles ! »

La Princesse était terrifiée, mais elle ne comptait sûrement pas le leur montrer. Si elle le faisait, elle était foutue. Ces deux êtres étaient aussi déments l’un que l’autre.



XYOLA

La magie blanche n’avait jamais été le fort de Xyola, mais elle estimait s’en être plutôt bien sortie avec Minerva. La doctoresse sombra dans l’inconscient, sonnée, mais ce n’était pas bien grave. Posant une main sur la hanche, Xyola prit une posture assez sexy, tout en voyant Marta se relever. Cette dernière se remit plus rapidement que l’autre, et frappa le corps inanimé de Zyra à plusieurs reprises, ayant visiblement furieusement envie de la tuer. Les iguanes de Xyola, quant à elles, s’étaient rapprochées du cadavre de la cobaye, et étaient en train de manger, tirant sur le cadavre.

« Bien... Soit... Quelle est la nature de cette proposition ? » demanda alors Marta.

Xyola se fendit d’un léger sourire en se rapprochant de Marta.

« Je suis venue vous faire une offre que vous ne pourrez pas refuser. »

Elle avait toujours rêvé de dire ça ! Xyola reprit son souffle, et s’écarta de Marta, ses talons claquant sur le sol.

« Aide-moi à attacher Zyra. Elle ne va pas rester éveillée longtemps, et elle risque d’être pas mal en pétard quand elle se réveillera... »

Xyola attacha ainsi le Commandeur sur la table d’opération, et vérifia les sangles, l’attachant solidement. Elle vérifia les liens, puis, une fois ceci fait, se mit à parler :

« La tentative de votre Reine d’empoisonner les réserves d’eau nexusiennes va échouer, intervint-elle alors. En réalité, le plan est déjà goupillé. Les Nexusiens ont des agents infiltrés dans Herzeleid depuis plusieurs semaines, et en savent assez sur vos armes pour savoir qu’elles seraient préférables chez eux et chez les Ashnardiens. »

Elle se retourna vers Marta, un sourire sur les lèvres.

« De hautes autorités ashnardiennes et nexusiennes sont lassées de la guerre interminable entre leurs deux pays, et ce d’autant plus que, en s’affaiblissant mutuellement, ils ne parviennent à rattraper leur retard technologique sur Tekhos. Et voilà que vous débarquez... Un royaume dirigé par une Reine arrogante aux visées hégémoniques... Personne ne verra de problème à ce que votre royaume soit rasé, et, en prime, les Ashnardiens et les Nexusiens se récupéreront vos technologies. Vos armes bactériologiques, votre Jabberwocky, tous vos secrets... Les Sylvandins sont les dindons de a farce, envoyés ici pour légitimer le caractère prétendument ‘‘diplomatique’’ de cet entretien. Tout a été orchestré de main de maître par Emhyr var Emreis pour se débarrasser efficacement d’un royaume ashnardien trop libre à son goût, d’un autre royaume embêtant, et de bénéficier d’armes technologiques qui permettront enfin à l’Empire de concurrencer Tekhos. »

Le plan était parfait. Emhyr savait que la Princesse de Sylvandell ne pourrait pas rester stoïque face aux atrocités d’Herzeleid, et il y avait deux chances sur trois pour que la Reine locale la tue dans un accès de colère. Sa mort affaiblirait grandement la succession sylvandine, et Emhyr en profiterait pour raffermir l’autorité de l’Empire sur Sylvandell. Parallèlement, la mort de Korvander fournirait un prétexte suffisant pour que l’Ordre Immaculé ordonne une croisade sainte contre une impie, une croisade qui sera conjointement menée par les Nexusiens et les Ashnardiens. Herzeleid serait rasée, purifiée par les soldats et par la Sainte-Inquisition, et les Ashnardiens et les Nexusiens repartiraient avec des technologies supplémentaires.

« J’ai prêté serment d’allégeance à une autre entité qu’Emhyr, ou que l’Empereur potiche qui est à la tête du trône. J’ai rejoint les forces de quelqu’un qui souhaite aider Herzeleid, en désarmant cet engrenage... »

Zyra commençait à faiblement se tortiller, et Xyola brandit devant elle une rose. Une belle rose avec une lueur dorée au centre des pétales, qui semblait étinceler de magie.

« La Rose souhaite s’allier avec vous, et, le jour venu, bénéficier de votre armée pour lancer un assaut massif sur Terra. Si vous attaquez maintenant, vous échouerez. Vous ferez le jeu d’Emhyr et du Conseil royal de Nexus, qui veulent tous les deux mettre fin à leur guerre pour se renforcer, sortir de leurs crises respectives, et s’imposer face à Tekhos, ainsi que face à tous les États-tiers qui profitent de cette guerre pour s’arracher de leurs basses conditions... Comme vous. Ils ne sont pas très partageurs. »

Zyra remuait faiblement, et un gémissement s’échappa de ses lèvres. Xyola changea alors subitement de sujet, et se rapprocha de Zyra, caressant les joues de cette dernière.

« Pourquoi ne pas me montrer votre virilité, hum ? J’ai peur que les coups de Zyra aient quelque peu émoussé votre lance... Et je dois vous admettre que les Futanari ont toujours éveillé quelque chose en moi... Surtout quand elles violent quelqu’un. »

Un sourire malicieux éclaira les lèvres de Xyola à cette idée, qui s’en pourlécha les babines.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 53 mardi 10 juin 2014, 16:54:40

Marta

Silencieusement, Marta écouta son interlocutrice parler du plan Ashardonexusien. Au vue de ce qu'elle disait, la situation était vraiment entrain de s'envenimer et ci cela venait à s'empirer, Herzeleid pourrait bien ne jamais s'en remettre. Malheureusement, Marta n'était pas la meilleur personne pour réagir à ce genre de chose, Grizellda, elle, elle aurait su plus ou moins quoi faire... Mais Marta, elle... Elle ne savait pas trop comment réagir face à cette crise. Cette femme sortit une rose, elle parla d'une autre entité... Une aide extérieur ? Voilà qui serait pas de refus, au vue de la situation actuelle... Il fallait prévenir la reine, il fallait isoler Herzeleid... Bloquer toutes les issue, afin d'empêcher les infiltrés de sortir... L'idée mis son temps à venir et elle était quelque peut radical, toutefois, il fallait impérativement empêcher le vol des plans et des armes Herzeliennes.

Marta sortie un cigare de sa poche, elle l'alluma... Puis son regard vint à ce tourner vers l'une des infirmières. Cette dernière était celle qui avait reçue une décharge électrique de la part de Zyra, toutefois, elle semblait s'en être remise depuis quelque temps.

Eyh, toi là !
Ou... Oui !
Tu as entendues ce qu'elle vient de dire ? Alors va prévenir la reine et fait lui un bref topo de tous ce que tu viens d'entendre, passe le message aux gardes.
d... D'accord !

L’infirmière hocha de la tête, avant de partir d'un pas rapide, véhiculer l'ordre de Marta. Cette dernière vint ensuite à ce tourner vers Xyola, ce souvenant vaguement de sa dernière  phrase... Une phrase forte intéressante et particulièrement alléchante.

Tu veux voir ma virilité, hm ?

La futa se déplaça de quelque pas vers la commandeur, fermement sanglée au lit chirurgical.

J'imagine qu'avec tous ce que tu viens de m'annoncer, je peut volontiers t'offrir ce petit plaisir... Et puis, ça me fera l'occasion d'me dégorger l'poireau dans cette pute !

Un léger sourire vint à éclaircir le visage de Marta, avant qu'elle ne ce mette à déboucler ça ceinture et dézipper sa braguette pour, au final, exhiber sa verge au repos devant Xyola. Marta prit d'ailleurs un malin plaisir à soupeser son sexe devant l'Ashnardienne, afin qu'elle puisse bien la voir et ce, sous tous les angles.

Guette une peu l'morceau ma jolie, vingt centimètres au repos. éhéh...

Zyra semblait peu à peu reprendre conscience des choses, et c'est tout naturellement que Marta allait en profiter.
La futa prit tout d'abord, un malin plaisir à narguer la Sylvandine en lui mettant son sexe sur les lèvres ou contre sa joue, frottant allègrement sa verge contre son visage afin de la durcir en humiliant le plus possible la commandeur.
 
Tu l'aime ma queue, hein ? Schmutzige Hure !!!*

La verge de Marta enflait de plus en plus au contact de la pauvre Sylvandine, allant de vingt à trente bons centimètres de viande en érection. Marta lança un petit regard en coins à Xyola, avec en prime un petit sourire de satisfaction. La reine des iguanes venait de ce faire une grande copine. Marta quitta le visage de Zyra pour lentement ce déplacer vers ses jambes, passant tout prêt Xyola, Marta se sentit obligée de la taquiner un peu.

Merci bien ma belle... Dit elle en ce collant contre la femme lézarde. Si tu veux, tu peut participer, je suis partageuse avec les gens qui m'offre d'aussi jolie cadeaux.

Marta gratifiât la femme d'un petit baiser, avant de lentement ce retirer en lui faisant au passage, un petit clin d'oeil.
La verge de Marta pointait devant elle et surement que Xyola l'avait sentie frotter contre son ventre au moment du baiser. La futanari ce posta ensuite au niveau des jambes de Zyra, elle la déculotta violemment, mettant à nue son intimité... Diable que Marta était foutrement excitée à ce moment précis ! Elle allait enfin pouvoir baiser cette truie et allègrement se vider les couilles en elle ! On dit que la vengeance est un plat qui ce mange froid, mais Marta, elle, elle l'aime chaude et humide, avec des cris et des larmes, de l'humiliation et du viol ! La futanari écarta les jambes de Zyra puis, délicatement, elle frotta son gland contre ses lèvres intimes.

OooooOooOh putains... Je sais pas combien de temps je vais tenir dans ta chatte, mais ça promet d'être sacrément bon !

Marta se mordit la lèvres inférieurs en penchant sa tête en arrière, elle ferma les yeux et... Elle commença la pénétration. Zyra gémissait, tendis que Xyola, elle... Et bien enfaîte Marta n'y faisait pas vraiment attention pour le coup, la seule chose qui comptait, c'était le viol de cette pute de Sylvandine. Le vagin de Zyra était assez étroit, et par conséquent, Marta commença doucement, afin d'éviter de ce faire mal. Par contre, une fois dedans... Ça allait devenir, un chouilla plus violant.



Alice Liddell

Pendant ce temps, dans les cachot, la tension était à son comble ! Liddell sentait la moutarde lui monter au nez, et pour le coup, elle aurait bien tuée la Sylvandine. Toutefois, l'arrivé du chat calma Liddell dans sa folie et les événements qui étaent entrain de ce passait à Herzeleid, allait définitivement clore la dispute. Car après la dernière tirade de la Sylvandine, deux gardes vinrent à la rencontre de leur Reine. Ils était paniqués, essoufflés et c'est tout naturellement que la reine, en les voyant, désire savoir ce qui ce passe.

Que... Que faite vous ici ?

Les gardes regardèrent leur reine, avant de dévier leurs yeux vers la Sylvandine. Le signe était clair, les deux gardes devait s'entretenir en privé avec leur Reine. Cette dernière hocha de la tête en signe d'acquisition et elle s'empressa de les rejoindre, bousculant légèrement la Sylvandine au passage. La reine rejoignit ensuite sa chambre, afin de pouvoir parler avec ses gardes en toute sécurité, sans risquer d'être entendue.

Que ce passe t'il ?
Ma reine, il semblerait que des Nexusiens son en ce moment même à Herzeleid et ils se pourraient qu'ils tente de prendre nos plans et nos armes !
QUOI !?
M... Ma reine... Je..
De qui tenez vous cela ?
D'une infirmière qui à était dans les Laboratoires avec Marta et Minerva, il semblerait qu'il y ais eu du grabuge, toutefois, tout est revenue en ordre à l'arrivée d'une Ashnardienne du nom Xyola, elle semblerait vouloir nous aider et ses informations proviennent d'elle.
Je... Bloquait tout...Je veux que l'on enclenche la Quarantaine !
B... Bien ma reine... Tout de suite !

La Quarantaine, un ordre qui consistait enfaîte à déployer autour de la ville, une énorme muraille en Galium de 20 mètres d'épaisseur et de 200 mètres de haut, muraille armée de tourelles gatling et de mortier infernaux. Habituellement, ce plan ne sert qu'à parait une attaque, mais pour le coup, si des infiltrés sont en ville, autant faire tout pour qu'ils s'y restes ! Car, quand la Quarantaine est active, la seule sortie est une immense porte blindée, gardée par toutes une garnison de Spade's Kriegs, tout le reste de la ville est totalement bloquée et les égouts son quant à eux, remplie de soldat et de chiens, afin que PERSONNE, ne puisse fuir Herzeleid... Les Nexusiens allait bientôt être fait comme des rats.



Le message eu vite fait d'être dit et il ne fallut pas longtemps pour que l'on entende d'énormes enceinte hurler l'alarme de la mise en quarantaine d'Herzeleid. Tendis qu'autour d'Herzeleid, le bruit infernales des engrenage et les vibration du à l'élévation du mur de Galium, ce mariait à merveille avec la dite Alarme. en fond, l'on put entendre la voix d'un homme véhiculer un message à tout le peuple d'Herzeleid.

A tout le peuple d'Herzeleid, sachez qu'il y a dans la ville, des intrus nexusiens, ceux qui les retrouveront et qui les ramèneront à la reine, seront très gracieusement remerciés ! Aussi, leur prime sera doublée, si les Nexusiens sont ramenés vivant !

Si ce que Xyola avait dit était juste, les Nexusiens était en tord et par conséquent, la mise à mort des dit espions ne sera en rien une faute diplomatique.



[HRP : (traduction) Sale pute !* ]
« Modifié: mardi 10 juin 2014, 17:12:21 par Alice.Liddell »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 54 mercredi 11 juin 2014, 01:23:17

XYOLA

Qui était donc vraiment cette Xyola ? À quel jeu jouait-elle ? En ce moment, elle était probablement le meilleur (et unique) allié d’Herzeleid. Xyola ne se faisait aucun doute sur la démence de Liddell, sur sa folie rampante, et sur le fait que lui faire confiance était suicidaire. Elle n’était pas sotte, bien au contraire. Elle était ce qu’on pouvait appeler un agent infiltré au sein de l’Empire, une Ashnardienne qui œuvrait pour d’autres forces que celles de Mordret l’Usurpateur. Elle voulait laisser Marta s’amuser, violer Zyra, non pas uniquement pour satisfaire ses fantasmes, mais aussi parce qu’elle avait besoin que Zyra soit brisée physiquement. Le Roi voulait cette femme, il voulait un Commandeur sous ses ordres. Le Roi n’avait pas oublié les dragons dorés de Sylvandell, il n’avait pas oublié la puissance de cet ennemi, et il connaissait le vieil adage : diviser pour mieux régner. En son temps et en son heure, Zyra aurait son utilité. Pour l’heure, il fallait juste profiter de ce moment pour la convaincre. Naturellement, ça n’empêcha nullement Xyola de savourer cette femme, d’apprécier son baiser, et de loucher sur sa belle verge.

Xyola avait toujours bien aimé les femmes en uniforme, ainsi que les Futanari. Elle observa donc cette scène, un sourire sur les lèvres, mais elle n’en oubliait pas son rituel. Zyra était un Commandeur, une femme forte. Ce viol serait nécessaire, et Xyola y comptait bien. Zyra se mit à hurler et à se débattre quand Marta la pénétra.

« Lâche-moi, salope, lâche-moi !! HAAAAAAAAAAA !! »

Elle se tortillait sur la table d’opération, et Xyola posa une main ferme sur le front de Zyra, l’immobilisant, puis amena la rose rouge devant elle. La pupille dorée brillait dangereusement au centre, et elle la fourra sous le nez de Zyra, avant de murmurer une mélopée. Une lueur violette se mit à envelopper le corps de la magicienne sombre, ses pupilles se révulsèrent, devenant immaculées, et elle continua à parler, à murmurer l’incantation magique, la mélopée .Zyra hurla de plus belle en se contorsionnant, mais son regard ne pouvait se soustraite à la fleur. La rose la hantait, et les pétales rouges devenaient des lacs de sang enveloppant son visage, tournoyant autour d’une sorte de vive étoile lumineuse. Une étoile forte et brûlante, incandescente, noyant tout, la noyant en elle-même, transformant les mots de Xyola en murmure lointain. Peu à peu, elle en oubliait même les coups de Marta, elle en oubliait ce viol de plus en plus violent.

Xyola savait ce qui lui arrivait, et elle retira ses doigts. La transformation avait lieu, et il n’y avait plus rien qu’elle puisse faire de plus. Un sourire malicieux éclairait son visage, et elle se rapprocha de Marta, se glissant à son tour dans son dos, caressant les hanches de la femme, et fila contre son bassin. Elle enfonça un doigt dans l’intimité de la belle, léchant son cou, mordillant sa belle peau, et masturba le bout du sexe de la femme, quand il ressortait du corps de Marta.

« Baise-là fort, Marta... Vide tes couilles dans cette salope... Elle t’en redemandera, rassure-toi... Baise-là, offre-moi ce plaisir... »

Xyola déplaça sa main pour peloter les fesses de Marta, en pressant une contre sa main. Elle était sûre que la femme pouvait faire mieux que ça.

Bien mieux.



ALICE KORVANDER

Alice fut rassurée de voir Liddell partir. Cette Reine la terrorisait, mais la jeune Princesse était maintenant toute seule. Deux gardes étaient arrivés, la laissant seule dans les cachots. La Princesse cligna lentement les yeux. Elle était toujours dans les cachots, seule, mais elle n’avait plus la clef des geôles... Est-ce qu’il existait un autre moyen de les ouvrir ? De libérer ces prisonniers ? Alice chercha autour d’elle, mais ne voyait rien.

« Dites-moi comment vous libérer, Madame... Madame, je vous en prie ! »

La femme enceinte ne lui répondit pas, et Alice chercha autour d’elle. Elle avait peur, elle était seule, isolée, loin de Zyra... Et elle entendit alors une sirène résonner dans les airs.

« Qu’est-ce que... ?! »

Elle avait peur, elle ne comprenait plus rien, et elle entendit alors des bruits de pas lourds. Zyra ? Non, ce n’était pas possible. Elle se mordilla les lèvres, paniquée, regardant encore autour d’elle, nerveuse. Qui venait ? Elle vit une silhouette massive, trembla... Et reconnut Coehoorn.

« Vous !
 -  Et bien, et bien, Majesté, ce n’est pas un endroit pour une petite princesse fragile comme vous...
 -  Cette femme est folle, cet endroit est dément ! Elle...
 -  Je sais ce qu’elle fait dans les cachots, Majesté. Je sais ce qu’elle fait à ses sujets. Ne vous l’avais-je pas dit ? Nous ne sommes pas venus ici pour négocier... Vous n’auriez jamais du laisser cette femme vous guider dans les profondeurs d’Herzeleid, j’ai bien cru ne jamais réussir à vous retrouver. »

Alice ferma les yeux. Pour le coup, elle n’avait vraiment pas envie de recevoir un sermon.

« Il faut les secourir !
 -  Et puis quoi après ? Y avez-vous réfléchi, Majesté ? Que ferez-vous avec tous ces prisonniers ? Que pensez-vous que la Reine d’Herzeleid fera quand vous défilerez avec tous ces prisonniers ? Elle se moque de notre caractère diplomatique, elle se moque de tout sauf de sa petite personne, et de ses plans pour envahir le monde.
 -  Mais... On ne peut pas...
 -  Parfois, Majesté, il faut se résigner à ne pas pouvoir tous les sauver. C’est difficile, mais c’est ce qu’on attend de vous en tant que souveraine. »

Alice maugréa en serrant ses poings. C’était le genre de vision cynique du monde qu’elle n’acceptait pas du tout.

« Que faites-vous dans ces cachots, par ailleurs ?! »

Coehoorn se fendit d’un léger sourire.

« Il semblerait que nos hôtes commencent à comprendre que nous ne sommes pas venus ici pour un entretien diplomatique. Je me rendais vers les profondeurs d’Herzeleid... Ma foi, je vous conseille de m’accompagner, vous seriez mieux en sécurité qu’en errant seule dans les méandres de ce château. »

Alice hésita un peu. Elle avait bien compris qu’elle n’était pas en sécurité ici, et Zyra était introuvable. Coehoorn... Pouvait-elle lui faire confiance ? Elle l’ignorait, mais, à défaut, elle ne comptait pas rester là. Son regard abattu se fixa sur la porte de la prisonnière enceinte, puis, en fermant les yeux de dépit, elle suivit le Maréchal, s’enfonçant encore dans les profondeurs de ce château maudit.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 55 vendredi 13 juin 2014, 22:08:42

Marta

Marta était franchement bien là, c'était le summum du pied ! Pouvoir enfin baiser cette garce de Sylvandine, avoir enfin l’incommensurable joie de pouvoir rentrer sa viande en elle, après tous ce qu'elle avait osée faire... C'était... WOW ! Pour le coup, Marta n'y allait vraiment pas avec le dos de la cuillère, plus les secondes passaient, plus la jolie blonde y allait crescendo, s'enfonçant chaque fois de plus en plus profondément dans Zyra, tout en tenant fermement les cuisse de cette dernière. De belles cuisses fermes et solides, le corps de le sylvandine était vraiment bon à en faire bander un eunuque ! Mais ce qui excitais le plus Marta, c'était le fait de violer cette sale pute ! De l'engrosser sans son consentement, ça, ça... C avait vraiment le don de mettre Marta dans tout ses états ! Et puis, il y avait cette charmante Xyola... Bordel... Elle, Marta comptais bien ce la garder de cotés aussi, putain ouai ! Notre futanari n'avait qu'à fermer les yeux, pour s'imaginer des tonnes et des tonnes de scènes de cul, toutes plus orgiaques les une que les autres, elle se voyait avec sa reine entrain de... Seigneur, Marta se devait de penser à autre chose, sinon la purée risquait de sortir plus vite que prévue. Car en ce bas monde, le plus grand des fantasmes pour Marta, c'était bel et bien l'hymen de sa tendre reine... Dieux qu'elle aimerait pouvoir lui... Nna, Marta ne devait plus y penser ! Elle rouvrit donc lentement ses yeux, voyant alors la Sylvandine dans une sorte de transe, tendis que la femme lézarde se mit à se glisser dans le dos de notre jolie futa.

« Baise-là fort, Marta... Vide tes couilles dans cette salope... Elle t’en redemandera, rassure-toi... Baise-là, offre-moi ce plaisir... »

Ce sur quoi Marta répondit :

Haaaan ouai... Bordel... Je sais que c'est pas très polis de dire ça après ce que tu viens de faire pour nous... Mais bordel, toi... Toi je veux trop que tu me suce les baloches... Pendant que ma bite sera dans le bec de l'autre traînée là.... HouuuUUuuooooooooo ouiiiiii, bordel ! Oh oui putain... Après, j't'engrosserais avec amour et violence, avant de te juter dessus ! Ahahaha ! Putains... Toi je t'aime !

Marta embrassa Xyola, tout en continuant de baiser Zyra. C'était tous simplement génial ! Elle allait de plus en plus vite dans la chatte de Zyra, tendis que les mains délicates de Xyola prenait un malin plaisir à la caresser un peut partout. Marta libéra d'ailleurs l'une de ses mains, afin de venir amoureusement la glisser dans la culotte de la femme-lézarde, titillant avec douceur l'intimité de cette dernière. Après une bonne petites quinzaines de minutes, passée dans les râles et le bruit obscène des testicules de Marta, fouettant violemment
 la chair de Zyra, L'Hermaphrodite sentie le coup venir, et, si au début de l'acte elle ne désirait qu'éjaculer dans Zyra, elle eu tout à coup une autre idée en tête.

Bord... eeeeeEEEELLLE ! Je sent que ça arrive !

Et hop, rapidement, Marta retira son sexe du fourreau chaud et humide de la commandeur, éjaculant directement sur la pauvre zyra. Et là, pour le coup, c'était grandiose ! Habituellement, Marta libère au alentours de 0.500 Litre  de sperme par éjaculation, mais il lui arrivait, dans les moment de très grande excitations sexuelle, de libérer jusqu'à 1.500 Litre de foutre, et là, pour le coup... Bas... La pauvre Zyra venait de se prendre un Blitzkrieg-cumshöt de la mort qui tue. Une très grosse éjac que seule les futanari peuvent se targuer d'avoir. Il y en avait sur toute la longueur de corps de Zyra, de son intimité jusqu'à son visage... C'était pas franchement glamour entre nous, mais bon... C'est Marta.

Ouh... Bordel ! Ça... Ça fait du bien !

Mais vous savez c'est quoi le pire dans tous ça... C'est que le chibre de Marta était toujours aussi gros et tendus ! Elle n'en avait visiblement pas fini cette tarée ! et partie comme c'est, les femmes de ménages auront pas mal de boulot ! La queue de Marta était humide, dégoulinante de cyprine et de foutre, elle palpitait d'excitation et la futa ne savait pas quoi faire de sa queue... Une petite sodo ? Un Oral très approfondie ? Baiser Xyola ? Abuser de Minerva dans son sommeil ?... Euh... Non, ça tout compte faite, on oublie...

Marta se branla légèrement, tendis qu'elle se remise à parler à Xyola, toujours dans son dos.

Bon ma belle... Propose moi un truc... J'ai encore la queue qui me démange, mais je sais pas quoi foutre avec...

Elle embrassa l'Ashnardienne avec passions, attendant sa propositions avec impatiente



Dans les cachots

Dans les profondeurs d'Herzeleid, les voix de la princesse et du Maréchale raisonnait au rythme de leur pas La reine était partie et avait rejoindre sa chambre afin d'aller se coucher. En réaliser, Liddell ce fichait bien de savoir que les Ashnardiens se promenait dans son châteaux, car quand bien même ils serait à deux doigts d'entrer dans un lien interdis, ils serait bien vite éconduits par des gardes... Ou par quelqu'un d'autre.

Car là, au bout des cachots, au delà des escaliers menant à l'antre du Jabberwocky... Il y avait le "Kinderfeld". L'un endroit les plus glauques et Lugubre d'Herzeleid... La salle de torture "récréative" de la reine. Les deux intrus y allait sans vraiment le savoir, mais bien sur... Vous pensez qu'ils y était les bienvenues ? Nan je ne crois pas...

Le maréchale ouvrait la marche, la Sylvandine le suivait d'un pas beaucoup moins assuré et alors qu'ils était à deux petits doigts d'entrez dans une salle, gardée par une énorme porte en fer rouillé... Un homme sortie de la dite pièce, veillant à boucler la porte à double tour.

Désolé nobles petits invités, mais je en peut vous laissez allait plus loin... Cette partie du châteaux est strictement réservé à la reine et au gens qui la précède, par conséquent... tant que je ne vois pas meine kleine fuhrer je ne peut vous autorisez le passage...

Lui, c'était Joseph, aussi appelé "le boucher" ou encore "le fou chapelier" pour la reine. C'était un ancien tueur en série que la reine a réussie à soumettre, l'autorisant à torturer et à tuer, seulement pour la divertir. A Herzeleid, il existe deux sorte de tortures, la torture dite militaire, commandité par Grizellda et qui consiste à soutirer des informations, et la torture dite "récréative", qui consiste à punir en divertissant la reine. Joseph est un être particulièrement effrayant et répugnant, qui rebute même notre belle Marta qui, en pensant à lui, a souvent des haut le coeur. La reine, elle, elle le trouve rigolo et particulièrement gentil, car il la laisse volontiers apporter sa touche personnel durant certaine séances. Mis à par ça... Et bien il lui est interdit de se déplacer librement, Joseph est contraint de rester ici, sous peine de mourir dans d'atroces souffrances, ironique, nan ?

Joseph est vraiment un personnage immonde... Certains détails sur lui son assez... dérangeant... comme son amour de la viande froide par exemple... Beurk... C'est vraiment un être abject ce joseph.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 56 lundi 16 juin 2014, 01:22:40

XYOLA

Marta continuait à se faire plaisir, prenant Zyra avec de plus en plus de force et de vigueur. La soldate se faisait plaisir, s’enfonçant dans le corps inerte de Zyra... Inerte, au moins au début. Marta et Xyola s’embrassaient tendrement, et l’Ashnardienne alla ensuite palper les fesses de Marta. Elle ne loupait rien de ce magnifique spectacle, sentant la puissance de Marta, à chaque coup qu’elle donnait. Sa longue verge s’engloutissait dans le corps de Zyra. La Commandeur se réveillait lentement, et la rose sur son visage disparut. Ses yeux étaient révulsés, mais son corps remuait, répondant favorablement. Le viol de Marta avait permis de briser ses défenses physiques et mentales, et on put la voir remuer lentement, crachant sa salive, gémissant et soupirant. C’était violent, mais Xyola ne ressentait aucune gêne pour avoir fait subir à Zyra ce traitement. Au contraire, elle était terriblement excitée par ce qui se passait, terriblement chauffée par ce spectacle. On avait bien le droit à ses petits fantasmes, et Xyola devait admettre que les belles Futanari en faisaient partie. Elle laissa donc à Marta le soin de baiser Zyra, et en profita elle-même.

Sa main continuait à peloter les fesses de Marta, et son autre main vint presser l’un de ses seins, le serrant à travers son décolleté et son uniforme en latex. Elle pressa ce sein, se lovant contre son dos, sentant chacun des mouvements de reins de la femme, chacune de ses pénétrations. C’était long, et c’était pour tout son bonheur. Marta était une femme à la libido déréglée, un phénomène qu’on observait assez souvent chez les Futanari, comme une sorte de conséquence secondaire et logique de leur transsexualisme. Marta se faisait plaisir, haletant et gémissant, et Xyola continuait à la caresser, déplaçant ensuite sa main de son sein pour venir caresser ses testicules. Elle fila sous sa verge, et gratta ces dernières, remontant un peu pour frotter l’extrémité de sa verge. Elle se faisait câline, extrêmement sensuelle, cherchant à offrir à son hôte le plus intense et le plus vif des plaisirs. Cette femme le méritait. Sa sauvagerie et sa cruauté étaient une ode pour Xyola, un cadeau inespéré pour le Maître. Elle pouvait sentir que ce dernier était satisfait. Xyola accomplissait fidèlement sa mission, et la stratégie du Maître était en train de s’exécuter.

Marta finit par éjaculer, après un bon quart d’heure. Elle retira son sexe de l’intimité lubrifiée de Zyra, et éjacula sur elle, balançant une belle flopée de sperme. Le spectacle était sinistre, d’une exquise laideur. C’était sauvage, violent, sale, et grotesque.  Xyola observait la scène en clignant des yeux, partagée entre l’envie et le plaisir. C’était très beau, et Zyra soupirait faiblement. Elle s’était faite méchamment baiser, mais Marta n’en avait pas encore fini, continuant à délicatement se masturber, son chibre sale toujours aussi tendu. Cette femme n’était qu’un second couteau, mais, grâce à elle, Xyola pourrait atteindre la Reine d’Herzeleid, sa cible ultime.

« Bon ma belle... Propose-moi un truc... J'ai encore la queue qui me démange, mais je sais pas quoi foutre avec... »

Cette demande fut accompagnée par un baiser langoureux, et la main de Xyola vint remplacer celle de Marta, masturbant son chibre, remontant le long de sa peau, glissant de haut en bas, enserrant ce monceau de chair entre ses doigts gantés.

« Là... N’est-ce pas plus agréable quand c’est une autre personne qui te masturbe, Marta ? Je dois admettre que ta libido disproportionnée me surprend... Dans le sens positif du terme, bien entendu. »

Elle n’était pas venue pour ça, initialement, mais ça ne la dérangeait pas. Elle continua à masturber la femme, et sentit ses iguanes se rapprocher.

« Malheureusement, dans ton empressement, je n’ai pas pu te sucer tes testicules... Et Zyra doit se reposer un peu. »

La Commandeur n’était maintenant plus une menace pour elles, mais il fallait se méfier. La rose que Xyola avait utilisé était une magie puissante, très puissante, qu’il ne fallait pas sous-estimer.

« Pourquoi n’appellerais-tu pas l’une de tes infirmières ? Tu pourrais la prendre comme une chienne pendant que je m’occuperais de ton service trois-pièces. »

Vu la manière dont Xyola était en train de masturber cette femme, on pouvait sentir tout son talent, toutes ses capacités dans ce domaine.

C’était une alliée de choix.



ALICE KORVANDER

Alice suivait le Maréchal, nerveuse. Elle voulait rentrer chez elle ; était-ce si difficile à comprendre ? Elle en voulait pas être un pion dans le jeu des Emreis. Elle n’avait pas confiance en Coehoorn, elle n’avait confiance en personne ici, mis à part Zyra. Alice voulait la retrouver, se serrer dans ses bras, et partir ailleurs. Retourner dans ses montagnes, retourner à Sylvandell, retourner à l’abri. La Princesse y serait bien mieux qu’ici, dans cet endroit sinistre et puant. Le Maréchal s’enfonçait le long de couloirs sombres, jusqu’à se rapprocher d’une lourde porte, où un homme les accueillit. Coehoorn le reconnut : le « Boucher » d’Herzeleid. Joseph. Les rumeurs circulant sur cet homme n’étaient guère attirantes. On le disait nécrophile, violant les cadavres de ses victimes, les égorgeant pour jouir dans leurs corps déambulés, se baignant dans leurs organes et dans leur sang. Alice ignorait fort heureusement tout de ces rumeurs.

Joseph leur ordonna d’une voix sinistre de partir, de faire demi-tour. Coehoorn restait devant Alice, qui serrait nerveusement ses poings.

« Nous nous sommes perdus, expliqua le Maréchal. Serait-ce un effet de votre inestimable bonté de vouloir nous ramener à l’aile diplomatique ? »

Coehoorn avait parlé d’une voix calme, et avait son plan. Il se débarrasserait de cet enquiquineur dès qu’il leur tournerait le dos. Coehoorn pouvait l’attaquer de front, mais il ne savait pas de quoi cet homme était capable, et il ne voulait pas qu’il y ait une bataille, afin d’attirer d’éventuels renforts. Mieux valait donc assommer ce type discrètement. Le tuer serait tentant, mais Coehoorn ne devait pas faire trop de vagues.

Si tout se passait bien, d’ici demain, Herzeleid n’existerait plus.

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 57 mercredi 18 juin 2014, 17:33:43

Marta

Cette Xyola était vraiment une femme des plus... Plaisante. Enfin, du point de vus de Marta... Car pour les ashnardiens et la princesse... Bas elle n'allait bientôt  plus être grand chose, à part une traître. Marta, elle ? Bas elle prenait gentiment son pied avec elle et bordel que c'était bon ! Sentir la main de l'Ashnardienne glisser ainsi sur son chibre tendus c'était vraiment exquis ! Marta ignorait en quoi était fait les gants de la femme lézarde, mais cela apportait un petit plus à sa branlette, c'était doux, voluptueux et... La vache ! Elle savait vraiment y faire cette chienne de traîtresse !

Marta ferma les yeux en basculant lentement sa tête en arrière, ce délectant des douces caresses de cette femme puis, elle rouvris ses beau yeux, avant de finalement se remettre à regarder le spectacle de sa verge entrain d'être branlée par une autre main que la sienne. La femme lâchât un soupir avant d'être interpellée par son amante d'un soir.

« Pourquoi n’appellerais-tu pas l’une de tes infirmières ? Tu pourrais la prendre comme une chienne pendant que je m’occuperais de ton service trois-pièces. »

Marta tourna légèrement la tête vers son agréable masturbatrice, un léger sourir au coin du visage.

J'aimerais bien ma belle, mais... J'ai peur que les trois jeune femme, Minerva y compris, ne soit les seul toubibs en service cette nuit... Toutefois, tu peut t'en occuper toute seule de mon service, tu es une grande fille après tout.

Sur ce, Marta coupa cour à la branlette, afin de faire face à Xyola, l'embrassant alors avec fougue et passions, caressant les formes doucereuses, glissant sur sa robe noire et sur ses hanches magnifiques, fines, graciles. cette femme avait vraiment un charme des plus bestiale, le fait que Marta soit aussi proche d'elle, ne faisait qu’accroître son érection déjà très conséquente.

Les lèvres de la Futa se déplacèrent alors au niveau de l'oreille gauche de Xyola, avant de souffler à cette dernière ces paroles :

Vas y ma belle... Flexion des genoux et prend ma belle queue en bouche, fufufu ! à moi que tu ne veuille autre chose, hm ? Une petite baise ? Une violente Sodo ? Les possibilité ne manque pas et je suis ouverte à tout, alors choisis.

Oui, Marta laissa volontiers le choix à sa partenaire, au fond, cette dernière l'avait sauvée elle et Minerva et elle lui avait offert l’immense privilège de violer cette pute de Zyra, alors lui laisser le choix était la moindre des choses.


Joseph
« Nous nous sommes perdus, Serait-ce un effet de votre inestimable bonté de vouloir nous ramener à l’aile diplomatique ? »

Cette phrase fit quelque peut sourire ce cher bourreaux, tandis qu'il se frotter les mains l'une contre l'autre, un tic qu'il avait depuis toujours.

Je vous prit de m'excuser mais... Je ne peut malheureusement pas vous raccompagnez... Mon "territoire ne vas malheureusement pas au delà de cette porte, si jamais il me venait à l'esprit de vous raccompagner à l'entrez des cachots, je me verrait être immédiatement expédié, non pas sur ma table de torture, mais bel et bien sur le billard de Miss Engel, éhéhé... Maintenant circulait... Tirez vous d'Herzeleid et foutait donc la paix à ma tendre reine... Elle c'est déjà montrée trop clémente à l'égard de certaine personnes ici présente...

Son regard déviat alors vers la Sylvandine.

Vous seriez étonnés de voir à quel point le son ce diffuse bien dans les cachots...

Joseph faisait là référence à la violente dispute entre les deux petites Alice.

Je n'ais nul besoin de vous raccompagner... Maintenant partez ! Cette endroit est strictement réservé à la reine, hors, je ne la vois pas... Donc partaient !

Sur ce, Joseph alla pour refermer la lourde porte en fer, mais cet alors que le pied du maréchale vint à bloquer la fermeture de la porte.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 58 vendredi 20 juin 2014, 01:51:20

XYOLA

L’Ashnardienne esquissa un léger sourire face à cette femme. Pas d’infirmières, donc ? Dommage, en un sens... Mais Xyola saurait faire sans. Elle avait juste envie de sexe, de sexe sauvage et intense. Elle mit fin à cette branlette, la pelotant, avant de lui laisser la main sur la suite. Xyola hésita. Sa mission initiale était de contacter la Reine d’Herzeleid, mais elle avait encore un peu de temps devant elle. De plus, le Maître ne s’impatientait pas, ce qui faisait qu’elle pouvait encore en profiter, en profiter un peu pour se détendre, et pour tirer un coup. Ce serait regrettable de s’arrêter maintenant, avant le plat de résistance.

Xyola embrassa tendrement Marta sur les lèvres, et s’écarta un peu. Zyra était en train de gémir, brisée, étalée sur la table. Le Maître se concentrait sur elle, utilisant toute sa puissance contre son corps fatigué et son esprit embrumé par la Rose. À sa manière, la Commandeur serait un pion décisif dans l’échiquier du Maître, dans le dessein de la Grande Toile. Elle était définitivement un nœud de cette dernière, reliant en son sein différentes connexions. Le Maître avait son plan, et Xyola n’en était qu’un pion. Elle n’en connaissait pas l’étendue, mais elle s’en moquait. Elle avait confiance dans la peur que le Maître lui insufflait, dans sa puissance surnaturelle. Elle avait tout simplement prêté allégeance envers le plus fort, et, sur ce point, c’était clairement le Maître qui remportait la partie.

« Hum... Restons classique, Marta, le temps joue malheureusement contre nous. »

Elle se blottit contre elle, l’enlaçant, un sourire mielleux sur les lèvres. Xyola avait été comme le petit caillou qui, en chutant, provoquait une avalanche. Elle avait empêché Zyra de les tuer, et avait probablement, à sa manière, sauvé Herzeleid de la destruction prématurée. C’était une chance pour ces femmes que le Maître ait décidé que la Reine Liddell pouvait, volontairement ou non, lui être utile. Son aide était intervenue avec la force impériale et implacable d’un Dieu surpuissant.

« Prends-moi contre le mur, Marta, et baise-moi... »



ALICE KORVANDER

Ce Joseph avait l’air aussi effrayant que le reste du personnel proche de la Reine. Il n’avait pas envie de s’éloigner de son poste, et les invita poliment, mais fermement, à faire demi-tour, à partir Herzeleid le plus vite possible et à foutre la paix à cette « tendre » Reine. Alice, pour le coup, ne demandait que ça : partir d’ici, et filer le plus loin possible ! Retrouver ses vertes collines, ses belles montagnes, et en oublier à jamais Herzeleid ! Laisser les Ashnardiens se débrouiller avec ça, attendre qu’elle soit Reine de Sylvandell, et mette fin au règne de terreur de cette foule. La Princesse était contre la peine de mort, contre les peines trop lourdes, estimant que la justice ne devait pas être la vengeance, mais, quand elle voyait des femmes comme Liddell, elle ne pouvait s’empêcher de se dire que, dans certains cas extrêmes, la peine de mort apparaissait comme un juste châtiment.

En attendant, Joseph ne comptait pas les aider, et, alors qu’il refermait la lourde porte, le Maréchal s’interposa. Il tendit sa main vers Joseph, et agit rapidement.

« Permettez-moi d’insister... »

Depuis sa main, une onde magique jaillit, et frappa Joseph de plein fouet, le renversant, l’envoyant heurter douloureusement le mur. La porte s’ouvrit en grand devant le Maréchal. Alice ignorait qu’il avait des pouvoirs magiques, mais, en soi, ce n’était pas surprenant. Il était un Maréchal ashnardien, et les chefs de guerre d’Ashnard se devaient de donner l’exemple... Une autre raison supplémentaire de la faire complexer, elle, la Sylvandine incapable de se débrouiller avec ses dix doigts.

« Y manque de conversation, ce type-là..., maugréa Coehoorn en regardant le corps inanimé de Joseph. Aurais-je un soupçon de bonté que je mettrais fin immédiatement à sa misérable carrière, mais nous n’avons pas le temps. »

Le cœur d’Alice tambourinait dans sa poitrine. Son esprit se mit à nouveau à repenser à Zyra. Où était-elle donc passée ? Pourquoi ne la voyait-elle plus ? La Princesse avait un affreux pressentiment, et s’empressa de suivre Coehoorn dans les profondeurs d’Herzeleid, continuant à descendre, à s’enfoncer dans la démence de Liddell.

Toujours plus profondément.
« Modifié: lundi 07 juillet 2014, 12:34:53 par Princesse Alice Korvander »

Alice.Liddell

Humain(e)

Re : Pacte de non-agression [Alice Liddell]

Réponse 59 lundi 07 juillet 2014, 12:28:19

« Prends-moi contre le mur, Marta, et baise-moi... »

Sentir cette femme si proche d'elle, sentir son corps se frotter contre sa verge c'était... Pfiou ! Et les dernière paroles de Xyola, ne firent qu'enfonçait le clou. Baiser cette femme, là, contre le mur... Bordel ! Ça c'était le pied !

Hmmm... Ok ma belle... Par contre, tu m'excusera mais... Je vais surement être un peut violente !

Les mains de Marta glissèrent lentement le long des courbes de Xyola, caressant longuement se corps de rêve, ses formes luxurieuses avec délice et envie. Puis, d'un coup, Marta retourna Xyola contre le mur ! Elle rapprocha ensuite son visage du cou de l'Ashnardienne, humant ainsi,son agréable parfum.

Pfiou... Tu me donne une de ces trique toi !

Les mains de Marta se remirent alors à caresser le corps de cette femme aux charmes torrides, appréciant avec délices ses courbes doucereuses et son cul de déesse tendis que la bouche de Marta, s'attelait à lécher le cou de Xyola, lui mordillant par moment, le lobe de son oreille gauche, afin d’attiser encore plus la flamme du désir, désir qui était déjà  bien haut dans le ciel pour nos deux femmes. Délicatement, Marta se mit à faire descendre la culotte de Xyola le long de ses cuisses, elle lui caressa un peut son intimité à l'aide d'une de ses mains, puis, délicatement, elle fit entrer sa verge en elle. La Futa lâchât un bref soupir en fermant les yeux... Bordel que c'était bon ! Chaud, humide, doux... Qu'il était bon d'être dans sa chatte, même si, pour l'heure, Marta n'y avait mit que son gland. Les mains de notre belle blondes se raffermirent ensuite autur de cul de xyola, un bon cul bien ferme et bien potelé, si bien potelé que Marta ne pus s’empêcher de lui donner une grosse claque ! faisant vibrer l'une des fesses de cette femme au charmes reptilien, avant de finalement, lui donner un violant coup de butoir !  Ouaip ! Là, la machine était lancée !

Accroche toi ma jolie, ont va passer à la vitesse supérieur, éhéhé !

Et vlam ! Marta  envoyât un second coup de butoir, écrasant alors xyola contre le mur fait de carreaux de céramique blancs. Notre chère Herzelienne était rarement une femme douce au lit, sauf avec sa reine, mes, disons qu'entre elles, les relations sexuelles était plutôt strictes, de la masturbation, rien de plus. Marta, face à sa reine, devenait beaucoup, BEAUCOUP plus soumise, allant alors jusqu'à lui lécher les pieds en se masturbant avec sa culotte... Alice était pour Marta, une véritable déesse, une ange, un être pur et... Enfin, Liddell était tout pour Marta. Enfin, laissons les relations entre les deux blonde de coté, et revenons à cette belle Ashnardienne, violemment baisée contre un mur. Pour le coup, Marta n'y allait pas avec le dos de la cuillère, chaque coup de butoir se voulait plus violant que le précédant, la Futanari poussait de grand rales agressifs, tendis que l'Ashnardienne, elle, gémissait comme une chienne, attisant plus encore, le désir de Marta. Cette dernière donnait de très fortes claque sur le cul de Xyola, laissant alors de belles marque rouges sur ce cul de rêve.

Put... Haaaannn... Ha... Sch...Schmutzige Schlampe! Haaann... Ziehen, ha..bitch, BITCH !!!! Also.. WerdhaaaAAAnh !!! werde ich Sie mit meinem Samen haaaa ! füllen Sie ein Dutzend Kinder auf einen Schlag, dreckige Schlampe zu tragen! !!! haaaaan ! Sale PUTE !

Le vit de Marta se faisait de plus en plus violent, Xyola pouvait surement le sentir taper contre son col utérin, voir, par moment, elle devait carrément sentir le gland de Marta le passer. Cette dernière sentait que ça n'allait pas tarder à venir et, elle décida subitement, de changer de position. Elle retira donc sa queue de l'antre juteuse de Xyola, avant de retourner cette dernière face à elle et de violemment lui remettre sa queue entre les cuisses.

Putain ma belle... j'éspère que tu aime le rodéo !

Et hop ! Marta coinça une fois de plus Xyola contre le mur, avant de se saisir de ses jambes. L'Ashnardienne ,'avait maintenant, plus les pied à terre et Marta revint alors  à l'assaut, avec fougue et violence ! Ainsi, elle pouvait enfoncer sa verge, plus profondément encore dans Xyola, cette fois, chaque coup de d'butoir faisait entrer entièrement le sexe de Marta en elle, le gland de notre belle blonde ne faisait plus que frapper au niveau de col de l'Ashnardienne, mais il le traversait à chaque fois ! Au risque d'éjaculer directement dans ce dernier... Mais ça... Et bien Marta n'y pensait pas vraiment pour le coup et de toute manière, c'était pas son problème... Elle sentait la fièvre monter et le plaisir se décuplait en elle, son sexe se faisait plus dur encore et au fond elle, elle savait que ça n'allait plus tarder à sortir !

Putain... D'MERDE ! TES PUTAIN D'BONNE TOI ! ALLER HURLE SALE PUTE !

Marta pour le coup était assez cru et violente... Toutefois, c'était ainsi à chaque fois qu'elle faisait l'amour... espérons que cela ne porte pas préjudice à Herzeleid.



Alice Liddell

Liddell se tenait droite devant sa fenêtre, les mains dans le dos. Elle avait revêtis son grand manteau de cuir noir, par dessus sa nuisette et elle réfléchissait à comment faire partir c'est foutue intrus, sans les tuer... Les tuer... Dieu que Liddell en avait envie, mais une petite voix dans sa tête lui intimait l'ordre de rester calme et de ne pas le faire... Du moins, pas tout de suite... C'était trop tôt, bien trop tôt... Cet alors que Chess vint à refaire une apparitions devant Liddell

Je crains ma reine, que les intrus ne soit entrain de descendre dans les profondeur de votre Châteaux...
Joseph ne les à pas arrêtés ?
Il semblerait que non... Se cher Maréchale l'a neutralisé... Sans toutefois le tuer, rassurez vous.

Liddell ne répondis pas, laissant alors un vague silence s'emparer de la pièce.

Que désirait vous que l'ont fasse ? Hm ?
Où sont ils exactement ?
Hmmmm... Ils sont encore dans la salle de torture...
Ont ils trouvée la porte qui mène au niveau inférieur ?
Hmmm Nan... Je vois le Maréchale cherchais mais... Visiblement, il ne trouve pas grand chose...
Bien...
Liddell se retournat ensuite vers l'une des deux servantes présentes dans la pièce et d'un ton sec, elle  lui intima cet ordre :

Toi, vas dans les cachots et dit au gardes d’enclencher la libération du Bandersnash, si jamais ils arrivent à passer les portes qui mène au sous-sols... Je ne pourrait plus être responsable de ce qui leur arrivera... La faute viendra d'eux et pas de moi... Fufufu !

La servante hocha faiblement de la tête puis elle se mit en route. Le Bandersnash... Une dragon que Liddell avait eu grace au Jabberwocky, un dragons qui, suite à des injections excessives de virus divers et variés, est tout simplement devenu un zombie, une créature sur laquelle Liddell à tout les pouvoir et le contrôle... Un simple chien de garde, increvable et vorace, contre laquelle, le Maréchal, tant est qu'il réussisse à trouver l'entrée des sous-sols, devra se frotter... En prenant en compte que, Mademoiselle Korvander est avec lui.


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