White Rabbit était aux anges, en train de s’amuser avec son partenaire. Le brave petit incube se tortillait contre elle, son pénis tendu heurtant le corps parfait et propre de la Lapine. La belle femme s’amusait de l’hésitation de l’homme, titillant son excitation, lui offrant ainsi progressivement une idée de la liberté. La liberté n’était pas quelque chose qui était innée, un droit, mais une récompense pour laquelle il fallait se battre, non seulement contre les autres, mais aussi contre soi-même. Zeckiel devait accepter ce qu’il était, un Incube, un démon sexuel, pour vraiment s’épanouir. La Lapine était autant son amante que sa formatrice. Oh, il n’était pas à plaindre, et elle frissonnait en sentant la queue de l’Incube, qui continuait à glisser sur son corps, caressant ses formes, les frottant tendrement.
Elle sentit l’une des mains de Zeckiel remonter près de ses longs cheveux, entortillant un doigt dans une mèche. La Lapine, avec un sourire agréable sur les lèvres, le laissa faire, tandis qu’il se mit à commenter :
« Je veux que vous me montriez à quel point votre beauté est d'essence divine. Je veux vous goûter et vous sentir, entièrement. »
Il appuya ses dires en essayant de retirer l’un des longs gants de la Lapine. Cette dernière remua alors sa main, pour empêcher que ceci ne se produise.
« S’il y a un seul vêtement que tu devras me retirer, Zeckiel, ce n’est pas mes gants... »
Elle tenait à ses gants. Non pas que son corps ait une quelconque cicatrice dessous, mais elle les trouvait sensuels, sexys. Elle aimait bien les conserver... Et, après tout, une bunny girl sans ses gants, ce n’était plus vraiment une bunny girl. White Rabbit retourna embrasser l’homme, sur les lèvres. Peu à peu, elle le sentait s’abandonner, comme si les barrages de son esprit cédaient progressivement. Un raz-de-marée était en train de l’envahir, une vague de désir qui était en train de le submerger. La langue de la Lapine s’engouffra dans la bouche de l’homme, remuant entre ses dents. Elle soupirait lentement de plaisir, et finit par se retirer, frottant son nez contre le sien.
White Rabbit aimait bien ce petit homme. Elle lui titilla le nez avec l’un de ses doigts, se frottant encore contre son corps nu. Il avait très peu de poils, ce qui, en l’état actuel des choses, lui plaisait. Les hommes poilus avaient aussi un certain charme, mais elle trouvait que ça ne collait pas avec ce corps de jeune éphèbe. Les Incubes étaient généralement de beaux hommes au corps d’Apollon, sans aucun poil, avec une sorte de beauté surréaliste. Zeckiel était encore jeune, mais, en vieillissant, le sexe s’affirmerait en lui, son corps s’affinerait, et il deviendrait un amant formidable, pleinement libre de satisfaire ses pulsions, d’être libre.
La Lapine se remit à masturber tendrement l’homme, et se décida à le satisfaire, glissant ses lèvres le long de son cou, puis de son dos, l’embrassant en filant ainsi vers son bassin. Elle poussait de brefs soupirs, ses lèvres glissant ainsi sur sa peau, une peau douce et chaude. Elle était tendre, magnifique, comme si elle embrassait une peau de bébé. Sa bouche déposait de brefs baisers, et s’arrêta à hauteur du nombril, où White Rabbit lécha cette partie de son corps, sa langue glissant joyeusement, roulant dessus.
*Il a vraiment une peau très agréable...*
Elle continua à l’embrasser, puis continua à descendre. Après tout, il lui avait demandé de la voir agir, et c’est bien ce qu’elle comptait faire. Il allait goûter à son corps, et, plus particulièrement, à sa bouche, puisqu’il avait l’air d’en être particulièrement friand. White Rabbit finit ainsi par atteindre le chibre de l’homme, sa verge tendue. Elle la frotta avec son nez, glissant le long de cette partie tendre et chaude, puis vint la lécher, en allant sous le sexe. Ce faisant, le membre se redressa, et elle alla ainsi le pousser avec le nez, sentant le membre glisser le long de sa tête. Il se retrouva tendu à la verticale, et elle s’imagina les entrailles de l’incube se tortiller lentement. Elle continua à pousser le sexe, et posa alors la paume de sa main sur l’extrémité de la verge, la pressant contre sa peau, afin de le frustrer, d’exciter son sexe. Elle l’écrasa tendrement, sachant très bien que, vers le haut de la verge, et non sur les testicules, la douleur s’effaçait devant un plaisir assez fort.
White Rabbit relâcha ensuite le sexe, un léger sourire sur les lèvres, et retourna le masturber, en remuant légèrement son corps.
« Hum-hum..., lâcha-t-elle alors, en dodelinant de gauche à droite, tu veux me sentir, n’est-ce pas ? Je connais un organe de ton corps qui va bientôt sentir mon goût de très près. »
Elle lécha ensuite le sexe, sans encore le prendre en bouche, et le mordilla un tout peu, sur le flanc du sexe, tirant dessus, avant de le relâcher. Elle jouait avec lui, puis descendit ensuite ses lèvres près de ses testicules, continuant à explorer son sexe. Lentement, elle lécha les poils pubiens, sans trop s’y attarder. La Lapine alla ensuite enfin prendre son sexe en bouche, et commença donc sa fellation, posant une main en appui sur son bassin.