La Sirène se pliait à tous les ordres de sa maîtresse et en tirait une grande jouissance intérieur. Elle était de nouveau en quelque sorte en position de dominée, mais cette fois c'était elle qui donnait du plaisir. Chaque mot que prononçait Tinuviel faisait monter son excitation de manière inexplicable ; alors elle s'exécutait, fébrilement mais en tentant de maîtriser ses mouvement, afin de déployer assez de douceur pour satisfaire sa maîtresse. Tout en déplaçant ses mains, elle embrassait, suçait, mordillait tout ce que sa bouche pouvait atteindre.
Alors qu'elle caressait la poitrine de sa l'Elfe, collée à son dos, elle put sentir que celle-ci réagissait pour de bon. Cette sensation décupla sont excitation : sa respiration s’accéléra avec celle de son amante.
-C’est très bien Laura, continue encore. Caresse mes cuisses maintenant, puis remonte et caresse mon corps en entier.
L'ivresse envahit Laura au moment où sa maîtresse la félicita ; elle se sentit à sa place, faisant ce à quoi elle était destinée, sous l'aile protectrice de la femme qu'elle cherchait à contenter. Elle fit exactement ce qu'on attendait d'elle, le plus sensuellement possible, à l'écoute des moindres signes d'excitation venant du corps de son amante.
Finalement, désireuse de se trouver face au visage de sa maîtresse, elle prit l'initiative de la faire basculer en arrière et l'étendit sur le dos, avant de s'allonger sur elle pour l'embrasser longuement, prenant plaisir à fusionner la chaleur de leurs deux corps. Elle finit par se redresser pour se mettre à cheval sur les hanches de Tinuviel et caresser à nouveau sa poitrine, jouant avec les deux tétons déjà durcis. Sans cesser de regarder celle-ci dans les yeux, à l'affût d'un signe d'encouragement ou de désapprobation, elle vint placer sa cuisse gauche entre les jambes de l'Elfe et remonta son genou jusqu'au sexe qui lui était offert pour y exercer une légère pression. Elle était légèrement intimidée, aussi elle attendit l'accord de sa maîtresse pour continuer.