Mélinda n’empêcha pas Xenophen de faire plaisir à Kikuno. Elle n’était pas dérangée par cette scène, et préférait se concentrer sur Hayano, qui était à un point délicat, près d’une zone de rupture. Soit elle accepterait la sodomie, soit elle la repousserait violemment... Et Mélinda tenait à éviter le second scénario. Ses mains glissaient ainsi le long de la tête d’Hayano, caressant vigoureusement ses joues, frottant contre sa peau. La jeune fille était excitée, son sang remuait fortement dans son corps, mais elle ne l’était pas assez pour contrebalancer la souffrance qu’elle ressentait. Et, du reste... Du reste, ce spectacle excitait énormément Mélinda, qui sentait son corps trembler de plaisir, et percevait, le long de ce dernier, des vibrations qui ne mentaient pas. Son sang témoignait de son excitation, et Mélinda décida, à sa manière de l’aider. Elle se glissa sous le corps d’Hayano, et l’amena à poser ses mains sur ses seins.
« Repose-toi sur moi, ma chérie...
- Maî... Maîtresse, haaaannn...
- Presse mes seins, allez... Tu n’as pas à avoir peur, ma chérie... »
Hayano obtempéra silencieusement, caressant les seins de sa Maîtresse. Mélinda posa ses mains sur le dos de la femme, tandis qu’Ukiko continuait à remuer son sexe en elle, l’enfonçant de plus en plus. Ses parois internes se dilataient de plus en plus, rentrant la sodomie de plus en plus facile. De la sueur coulait le long des joues d’Hayano, et la vampire alla l’embrasser, brièvement, tout en se calant sous elle, griffant son dos, provoquant des frissons supplémentaires, alors qu’Hayano continuait à mouiller, fermant les yeux. Ses joues devenaient rouges de désir, de ce rouge délicieux annonciateur des plus grands plaisirs. Mélinda se mit à lui lécher les joues, soulevant un peu son dos.
« Savoure ton plaisir, Hayano, ainsi que ta chance... Tu couches avec Mélinda Warren, après tout. Sais-tu combien de gens, sur Ashnard, seraient prêts à donner pour avoir la chance de presser mes seins, hum ? Alors, tu n’as pas le droit de ne pas aimer ce moment...
- O-Oui, Maî... Maîtresse... » réussit à gémir cette dernière, en remuant un peu son corps.
Difficile d’articuler, ou de dire quoi que ce soit, dans sa position, mais Mélinda sentait les doigts d’Hayano se mettre à remuer, se crispant autour de ses tétons, faisant soupirer la vampire. Elle n’exagérait pas en disant que, à Ashnard, son corps était très recherché. Les clients voulant coucher précisément avec Mélinda Warren devaient payer une belle petite somme, et n’étaient jamais déçus. Curieusement, la sodomie était quelque chose qu’on lui faisait fréquemment subir. Elle embrassait désormais Hayano dans le cou, en relevant un peu ses jambes, sentant contre son ventre les soubresauts que le corps d’Hayano subissait, à chaque fois qu’Ukiko la pénétrait. La jeune femme n’y allait pas par le dos de la cuiller, et insultait volontiers, entre plusieurs coups de reins, Hayano.
« Han... Salope, hummm... Sale... Grosse... PUTE.. Haaa !! »
Et il y eut une nouvelle gifle sur ses fesses. La brave tremblait et frissonnait, gémissant faiblement, tout en continuant à mouiller sur place.
Pendant ce temps, Kikuno sentait également des frissons d’excitation la parcourir. Xenophen-kun était à ses yeux un simple élève, timide et innocent, qui était maintenant, essentiellement grâce à elle, un élève perverti, et empreint de désir et de luxure. N’était-ce pas génial ? C’était généralement ce que Kikuno adorait faire au harem. Maîtresse lui donnait parfois, entre les clients qui la défonçaient, des jeunes filles à séduire, ou même des hommes. Elle devait les corrompre, et leur faisait donc vigoureusement l’amour. Elle adorait donc le lycée, car il y avait tout un vivier de jeunes adolescents à pervertir, comme Xenophen-kun. Il lui ôtait ses vêtements, et elle le laissa faire, alternant entre plusieurs baisers.
Il retira son haut, le laissant tomber sur le sol, pétrissant généreusement ses seins, et elle glissa elle-même ses mains le long de ses côtes, avant de sentir l’homme s’enfoncer en elle. Il lui avoua qu’elle l’aimait, ce qui ne la surprit pas. Kikuno avait beaucoup d’admirateurs parmi les jeunes qu’elle formait. Maîtresse ne s’en fâchait pas, car, du moment que les esclaves lui obéissaient, elle admettait qu’une esclave puisse avoir des esclaves. L’important était que Mélinda soit en haut de la chaîne de commandement.
Xenophen alla la pénétrer, et Kikuno poussa un petit cri de plaisir, se crispant contre lui.
« Oh, Xenophen-kun, hummm... C’est si bon de te sentir en moi... »
Elle était contre le bureau, et posa sa main sur ses fesses, les serrant.
« Pénètre-moi, mon beau, défonce-moi... » gémit-elle, en se remettant à mouiller.