Nom: Kagarino
Prénom: Kirie
Age: environs 1450 ans
Sexe: Femme
Race: Vampire
Orientation sexuelle: Bisexuelle
Situation de départ : Plus expérimentée avec les femmes que les hommes
Description physique :Kirie est une jeune fille dont l'épiderme est aussi pâle que la mort, d'une part parce qu'elle n'est pas vraiment humaine, et d'autre part parce qu'elle n'a plus vue la lumière du soleil depuis des siècles. Sa chevelure blanche est soigneusement entretenue, et tombe en cascade jusqu'au creux de ses hanches, lorsqu'ils ne sont pas attachés en deux longues couettes. Et malgré ses yeux aussi rouges que le sang, il est facile d'y voir briller une lueur de malice ou de désir, suivant son humeur.
Son corps est fin et gracieux, agile et souple, et semble aussi fragile qu'une brindille. Cependant, C'est sans compter sur sa force vampirique, comme il est facile de le deviner en apercevant ses deux petits crocs. Kirie n'a pratiquement pas de poitrine et ses deux collines de vénus pointent à peine derrières ses sous vêtements. Ses fesses en revanche, bien que petites, sont assez rebondies.
Kirie a beau avoir une garde robe très fournie, celle-ci se compose essentiellement de
trois types de tenues, qu'elle porte suivant les situations. Lorsqu'elle est à Mishima, elle porte bien entendu l'uniforme scolaire, qui lui va d'ailleurs comme un charme, bien plus que le maillot de bain ou le maillot de sport du lycée. Néanmoins, elle préfère largement porter de longues robes gothique à dentelle, le noir prédominant sur le bordeaux. Toutefois, Kirie possède une dernière tenue, qu'elle ne sort qu'à certaine occasions. Celle-ci se compose d'un micro-bikini en latex, de bottines et de gants dans la même matière, et d'une longue cape noire et rouge, munie d'un fermoir en argent. La vampire ne le porte que lorsqu’elle s'amuse à sortir la nuit dans Seikusu, pour faire peur aux lycéennes japonaises, s'envoyer en l'air avec des inconnus, et pourquoi pas se trouver de nouvelles amantes pour son harem. C'est le seul moment où Kirie laisse parler son âme d'adolescente.
Description mentale:Car s'il y a bien une chose qu'il faut savoir sur Kirie, c'est que, outre ses virées nocturnes pendant lesquelles elle se comporte comme une ado parfaitement normale, la vampire est d'ordinaire frigide (ha ha) et distante. Parlant peu et usant d'un ton légèrement tinté de mépris lorsqu'elle s'adresse aux autres durant la journée, elle fait peu confiance à ses partenaires commerciaux et ne trouve de chaleur humaine qu'en partageant la couche de ses protégées. Même avec les autres vampire, il lui arrive de parler sur un ton condescendant, étant bien plus vieille que la plupart d'entre eux, avec son presque millénaire et demi.
Mais ce comportement, destiné à repousser les autres, cache en réalité une sourde douleur, un moment tragique et encore traumatisant dans son passé, qui la pousse à s'isoler des autres créatures, ne trouvant ainsi réconfort qu'avec ses protégées, qu'elle traite comme une mère traiterait ses filles, avec douceur et bienveillance, malgré le caractère sexuel de son entreprise.
Nom: Kagarino - Warren
Prénom: Motoko
Age: 1130 ans
Sexe: Femme
Race: Vampire
Orientation sexuelle: Pas d’attirances
Situation de départ: Violée durant deux siècles environs
Description physique :Motoko est une jeune fille dont l'épiderme est aussi pâle que la mort, d'une part parce qu'elle n'est pas vraiment humaine, et d'autre part parce qu'elle a été privée de lumière solaire durant des siècles. Sa chevelure d'un noir d'encre, contrastant avec celle de sa sœur, tombe en cascade jusqu'au creux de ses hanches et sont aussi lisses que soyeux et son regard de sang, autrefois emplis de folie, peine à redevenir joyeux et lumineux, étant essentiellement inexpressif la plupart du temps, la jeune fille peinant à retrouver sa joie d'entant.
Son corps est fin et gracieux, agile et souple, ce qui est miraculeux, quant on pense qu'elle a été privée de nutriments durant des siècles. Enfin il est vrai qu'elle est longtemps restée squelettique et aussi fragile qu'une brindille. Motoko n'a pas de poitrine et est aussi plate qu'une planche à pain. C'est là un point commun qu'elle partage avec Kirie. Ses fesses en revanche, sont petites et assez rebondies bien que marquées par de longues traces rouges, indélébiles. En guise de vêtements, elle ne porte qu'un serafuku noir au ruban rouge, qu'elle aime tout particulièrement. Lorsqu'elle est au manoir de sa mère adoptive en revanche, elle favorise les kimono fins et luxueux. Ce n'est pas parce qu'elle se raccroches aux traditions féodales, mais plutôt parce qu'elle n'as plus eu l'occasion d'en porter depuis longtemps.
Description mentale:Autrefois, Motoko aimait tout simplement profiter de sa vie vampirique, avec ses parents aimant. Autrefois, elle aimait découvrir de nouvelle choses, goûter à de nouveaux mets. Mais tout cela n'est que du passé. A présent, Motoko ne pense plus à rien d'autre qu'a essayer de se reconstruire, chaque nuit la renvoyant dans de sombres cauchemars, où elle se retrouve de nouveau enchaînée dans sa cellule, à se faire violer par des hommes sans visages, ou se retrouvant seule et enchaînée dans le noir le plus complet. Pour cela, Motoko ne dors jamais seule, et est toujours accompagnée d'une servante de sa mère adoptive, qui veille sur elle et ses nuits.
Hormis cela, elle essaye de reprendre gout à la vie, et s'aide en cela en se remettant a des activités ancestrales, comme la cérémonie du thé, l'arrangement florale, le Go, et tant d'autres choses encore, qui peuvent sembler désuètes et en décalage par rapport à l'époque actuelle. En parallèle, Motoko à, tout comme sa mère adoptive, énormément de mal avec la technologie, qu'elle semble rejeter de toute son âme. Depuis peu, elle prend également des cours de Kendo avec sa sœur adoptive, pour apprendre a se défendre et a se battre d'elle même.
Histoire de deux sang-purs:
Les jeunes filles sont ce que l'on pourrait appeler des cas uniques dans l'univers. Lorsqu'un être vivant se transforme en vampire, il devient bien plus fort et endurant. Certain sont sensibles à la lumière du jours, d'autres non, suivant leur nature. Ils ont également besoins de boire du sang pour survivre, en échange d'une vie immortelle. Parfois, le sang décuple leurs forces, déjà plus élevée que celle des humains. Mais tout le monde s'accorde sur une chose essentielle : les vampires, dans 99,99% des cas, sont stériles. Pourquoi pas 100 % des cas demanderez vous ? Parce qu'il arrive, dans de très rares cas, que le vampire puisse procréer. Mais il est encore plus rare que deux vampires pouvant procréer se rencontres et fassent, non pas un enfant ensembles, mais deux. C'est dans ces conditions que sont nées Kirie et sa sœur cadette Motoko.
Étrangement, les deux enfants semblèrent avoir une croissance identique à celle des elfes. Ainsi, tandis que leurs parents ne vieillissaient plus dû à leur immortalité, les nées-vampire grandirent trèèès lentement, et mirent chacune au moins 140 longues années avant d'avoir l'apparence de jeunes filles d'une quinzaine d'années. Elle eurent une enfance heureuse, bien que cloîtrée dans le domaine familial pour éviter une malheureuse rencontre avec les humains. En effet, la famille vivait encore en des temps féodales, lorsqu'on pensait que les vampires étaient des monstres au service du malin et qu'il fallait de l'eau bénites, de l'ail, du soleil et un pieu pour les tuer. Bien sur, seul les pieux en plein cœur pouvait les tuer – en même temps, cela tuait tout le monde, immortel ou non – et un être qui ne vieillissait pas était forcément un être maléfiques, aux yeux de la croyance populaire.
Seulement un jour, les villageois prirent les armes et se lancèrent à l'assaut de la demeure. Beaucoup moururent lorsque les parents se défendirent, mais ils finirent transpercés de toutes part – et pas qu'au cœur – et succombèrent rapidement à leurs blessures. On pilla alors la demeure, se battant pour un bijou ou un morceau de tissus, jusqu'à ce qu'un homme ne découvre Motoko, cachée dans un coin en tremblotant de peur. Pensant en premier lieu à une gamine capturée par les deux vampires, il fini par la sortir en la traînant par les cheveux lorsqu'il vit ses yeux rouges et ses canines, sans prêter attention à ses cris. Dès lors, la vie de la fille cadette devint une torture.
Sans jugement mais pensant à lui rendre une vie normale en voyant sa non agressivité, les prêtres pensèrent qu'il serait possible de chasser le mal l'habitant. Motoko fut ainsi enchaînée et enfermée dans une pièces secrète d'un temple, où on la priva de sang, remplacée par de l'eau bénite. Si l'eau n'eu pas énormément d'effet, l'absence de sang en revanche, commença à la rendre progressivement agressive. Ce n'est que lorsqu'elle perdit le contrôle que les hommes se mirent à la battre avec violence, pensant ainsi faire sortir le malin de son corps. Seulement, la jeune fille se contentait seulement de perdre connaissance.
Au fil des mois cependant, ce procédé devint vite une habitude et ils en oublièrent rapidement la raison première de son enfermement, ressentant même de la joie à la battre ainsi. Les coups pleuvèrent de plus en plus souvent, devenant plus sadiques, allant même jusqu'au viols et aux humiliations corporelles. Sa peau fut marquée à de nombreuses reprises au fouet et au fer chauffé. Cette torture dura ainsi une vingtaine d'années, avant que les hommes ne migrent vers une cité plus importante. Avant de partir à son tour, l'un des prêtre lança un puissant sort de confinement. Premièrement, Motoko ne pouvait désormais plus vieillir, condamnée à rester éternellement une enfant de 16 ans. Ensuite, tant que le sort serait en place, la jeune fille ne pouvait plus mourir de faim ou de soif. Enfin, tant que le sort fonctionnerait, elle ne pourrait quitter cette pièces, dans le cas improbable où elle pourrait se libérer de ses chaînes. Il l'enferma ensuite et sella la porte.
Cependant, Kirie elle, échappa miraculeusement à cette purge et, après s'être réveillée parmi les décombres de ce qui fut autrefois sa maison, pris la fuite, trop faible pour sauver sa sœur, et encore terrorisée par ce qui lui était arrivé. Elle se retira donc loin des cités humaine et vécus en ermite durant des années après s'être installée dans une grotte, se nourrissant principalement du sang des animaux et des humains passant trop près de sa cachette. Recluse, elle ne vit pas le temps défiler, ni le pays évoluer. Ainsi, durant des siècles, le village fut abandonné, la nature reprenant ses droits sur les ruines. Le temps passa et un nouveau chantier prit forme sur les restes des vieilles pierres. Une école fut baptise sur l'ancien emplacement du temple. Le village devint vite une ville moyenne, se modernisant rapidement, tandis que l'école s'agrandit, au point de devenir un lycée. Il fallut attendre quelques années encore, avant que le lycée, nouvellement appeler "Mishima" n'ouvre ses portes et n'accueille des élèves. Pendant tout ces siècles, Motoko, en sous sol, sombrait de plus en plus dans la folie et le désespoir, inconsciente du temps écoulé, qui n'avait plus d'emprise sur elle. Et ce n'est que lorsque des machines, qui lui étaient alors inconnues, arrachèrent les arbres et firent couler de la pierre liquide pour faire une route, que Kirie se décida, de son coté, à sortir de sa cachette pour voir ce qu'était devenu le pays, en 1980.
Traversant la forêt de nuit, elle arriva bien vite là où se trouvait autrefois le village humain, pour constater qu'une grande ville y était à présent établie. Usant de ses pouvoirs vampiriques, elle parvint à manipuler quelques personnes et récupéra assez d'informations sur cette ville, pour s'y implanter. Elle acheta pour une bouchée de pain un vieux manoir en ruine, grâce à l'argent emprunté chez ses différentes victimes, et le restaura en engageant un nombre conséquent d'ouvriers, dont elle se servit également pour se nourrir, avant de leur effacer la mémoire. C'est également durant cette période qu'elle découvrit la sexualité, d'abords en écoutant les conversations des ouvriers, puis en les espionnant, pendant qu'ils lisaient des revues pornographiques ou se masturbaient dans les toilettes. Bien vite, elle s’essaya à cette étrange activité, qui lui plu rapidement, et la pratiqua par la suite sur ses victimes nocturnes, découvrant également qu'il était plus facile de ponctionner leur sang en leur faisant l'amour, plutôt qu'en les poursuivant. De plus, le sexe donnait un bien meilleur gout au liquide vermeille.
Le manoir retapé, Kirie avait déjà son idée en tête pour regagner la fortune familiale et pouvoir prospérer de nouveau. Chaque nuit, alors qu'elle faisait l'amour à l'une de ses proies, elle proposait à ces dernières de travailler pour elle, dans son manoir, dans lequel elles seraient logées, nourries et blanchies. Suivant leur personnalité, la vampire leur trouvait toujours un travail adapté: Jardinier, cuisinier, femme de ménage, majordome, vigile, etc... Mais pour pouvoir les payer chaque moi, il fallait au préalable une rentrée d'argent, une activité lucrative. Kirie fit donc des filles les plus perverses et les plus dépravées qu'elle croisa, des filles de charme, chargées d’accueillir des clients et clientes fortuné(e)s dans leur suite, et de leur fournir un maximum de plaisir sexuel et réalisés leur fantasmes les plus lubriques. Chacune des filles est consentante et y met tout son cœur, pour répondre aux désirs du client.
Presque 35 ans passèrent ainsi, avant que l'établissement de charme atteigne une excellente réputation après de la haute société de Seikusu. Les clients savaient que certaines de ces filles n'étaient même pas majeures et étaient encore au lycée, mais ils s'en fichaient comme de leur première sucette. En parallèle au lycée, des rumeurs se mirent à circuler sur le fantôme d'une élève, qui hanterait les sous-sols de l'établissement. Parfois la nuit, on pouvait en effet entendre des hurlements démentiels et des éclats de rires, bien qu'étouffer à travers le béton. Intriguée malgré elle, la vampire fit le nécessaire pour s'inscrire à Mishima, autant désireuse de savoir de quoi il en retournait, que pour faire des repérages sur de potentielles proies. Mais elle ne savait pas qu'une autre vampire, Mélinda Waren, avait découvert sa sœur avant elle, et l'avait libérée de sa geôle.
Autres Informations:Kirie est propriétaire d'un établissement de charme depuis plusieurs années maintenant, situé à la périphérie de Seikusu, dans les quartiers riches. Les filles qui y vivent, bien que semblant être des esclaves brisées et droguées aux sexe, sont en réalité des employées payées et jouant très bien leur rôle. En fait, elles sont toutes venues de leur plein gré pour y vivre et laisser parler leur soif de luxure, après avoir rencontrée la vampire au court d'une nuit. Lorsque cette dernière tombe sur une fille avec du potentiel, elle lui propose de venir travailler pour elle, en échange d'un confort et d'un repas quotidien. Les "Filles de charme", comme elles y sont appelées, sont donc d'avantage des employées que des esclaves.
Ces filles sont une vingtaine à se partager le manoir, en plus des majordomes et des servantes, leur âge allant de 16 à 24 ans:
Amamiya Momona /
Byakudan Midori /
Gimuretto Risa /
Hanazato Megumi /
Himenohara Suzuran /
Honda Seshiru /
Iihara Nao /
Inamori Haru /
Kazanin Yukariko /
Koromogae Maya /
Kujou Tsubasa /
Kusunoki Miu /
Mika /
Mizuki /
Orifushi Akina /
Orifushi Mafuyu /
Orifushi Natsumi /
Oze Kyouka /
Sawatari Shizuku /
Tsukushino Mitsugu.
Elles sont toutes bisexuelles, avec des attirances plus ou moins prononcés pour l'un ou l'autre sexe, et se complaisent dans la luxure plus ou moins dépravée, sans avoir été dressées en ce sens. Ont peut donc dire que ce sont toutes des perverses nées, qui trouvent leur bonheur en travaillant pour Kirie. Elles ont aussi pour particularité de toutes êtres originaires du Japon. Certaines ont fait le choix d'être immortelles comme leur protectrice, tandis que d'autres non.
Bien entendu, un tel établissement n'est connue que dans certaines sphères privées, et les clients sont généralement de riches entrepreneurs ou héritiers.