Mélinda se faisait toujours un point d’honneur, lors de sa première rencontre avec une esclave, de l’épuiser sexuellement, de la pousser jusqu’à ses derniers retranchements. C’est ce qu’elle aimait faire, car c’était une manière de prouver son autorité et son talent immense. Car elle n’était pas que très belle, elle était aussi une terrible amante, qui couchait avec les prêtresses de Lust, avec des succubes, des incubes, des Slimes... Mais là, aussi incroyable que ce soit, face à ces deux sœurs, Mélinda sentait qu’elle risquait bien, pour la première fois, de connaître un échec. Elle en avait été jusqu’à déployer ses ultimes armes, en se dotant d’un clone sexuel. Une deuxième Mélinda, reliée à elle-même, tandis que, très excitées, White & Rose se mirent patiemment en position, présentant à Mélinda et à son clone leurs fesses. Mélinda sourit donc, et se rapprocha, posant ses mains griffues sur le cul de Rose, tandis que son clone en faisait de même avec celui de White.
« Vous avez une peau tellement tendre, mes salopes... Un cul tellement beau...
- Vous êtes vraiment de magnifiques putes... Je vous offrirai à bien des clients fortunés, vous savez. De riches nobles ashnardiens, mais aussi des garnisons de soldats éreintés revenant de campagne. C’est pour eux que les bordels ont été popularisés à Ashnard... »
Le sexe était un bon moyen de récompenser l’ardeur de soldats revenant victorieux. La tradition était donc, à Ashnard, d’ouvrir toutes les portes des bordels aux soldats, et Mélinda ne faisait pas exception. Et, pour le coup, elle imaginait très bien les deux femmes avoir tout un bataillon d’hommes-démons avec elles... Mais, pour l’heure, Mélinda pénétra Rose, et son clone en fit de même. Un long frisson traversa le corps de Mélinda, car, comme elle l’avait expliqué aux deux femmes, ce clone était relié à elle. Le plaisir était donc partagé, et s’amplifiait en elle. Elle soupira donc longuement, clignant des yeux, avant d’accélérer progressivement le rythme, la prenant énergiquement.
Le clone de Mélinda en fit évidemment de même, et les deux vampires se mirent à soupirer. De très belles queues vinrent les prendre, filant dans le corps des deux sœurs. White & Rose avaient de quoi être comblées, et Mélinda prenait son pied, tâchant de faire durer les choses autant que possible. Sa main ne tarda pas à gifler le cul de la belle Rose, et, tandis que le temps passait, elle fit signe à Kirishima de réagir. Son esclave, qui les accompagnait depuis le début, obéit alors, et s’approcha de White & Rose. Elles avaient leurs colliers, et Kirishima tenait entre ses mains une corde, qu’elle attacha à chacun des colliers des deux femmes, les reliant ainsi l’une à l’autre.
« Voilà, hmmm... Comme ça, vous allez être inséparables, mes belles ! »
La corde pouvait se tendre et se replier, offrant ainsi aux deux sœurs un peu de liberté, mais elles seraient tout de même reliées l’une à l’autre... Ce qui serait utile plus tard. Pour l’heure, les deux femmes se faisaient prendre sans relâche, les claques se mélangeant à des coups de reins profonds et appuyés. Les minutes se prolongèrent donc, Mélinda n’étant guère impatiente de jouir, et cherchant à pousser ses esclaves dans leurs ultimes retranchements... Mais leurs corps étaient très agréables, leurs peaux tendres, et tout cela était doux, si doux, que...
« Hmmmmmmmm... !! »
Au bout d’une bonne vingtaine de minutes, Mélinda se mit à jouir copieusement en elles, subissant un double orgasme, qui l’amena aux limites de l’inconscience, sa salive s’écoulant de ses propres lèvres, tandis qu’elle se mit à jouir pendant une bonne grosse minute, griffant les fesses de Rose, se relâchant copieusement entre ses cuisses.
« Oooohh, ma chérie, hmmm... » soupira-t-elle ensuite.
Le cul de Rose, tout comme celui de White, avait au passage bien rougi...