Hanayo était impressionnant d’efficacité, et ce pour de multiples raisons. Il pouvait utiliser son sexe, enfin, dans le cul de sa sœur, et avec sa Maîtresse qui l’observait. Alors, forcément, il ne pouvait que se donner à fond, se surpassant pour sa sœur, pour sa Maîtresse... De profonds soupirs s’échappaient de sa gorge, et Hanayo haletait profondément, pendant que Mélinda caressait ses fesses, se lovant contre lui. Elle n’hésita pas très longtemps, et glissa rapidement un doigt, puis un second, dans son anus, qui se dilata très facilement. Hanayo couina, rougissant, et Mélinda léchait son oreille, tout en le voyant se déplacer d’avant en arrière.
« Vas-y, Hanayo, baise-là bien fort, tu sais comme ta sœur aime qu’on lui défonce le cul... »
On ne pouvait plus que l’entendre gémir et soupirer, car Jack avait fourré sa grosse queue en elle, commettant néanmoins l’erreur de lui pincer le nez. Aimi, ne pouvant dès lors plus respirer, eut un spasme, et mordit presque inconsciemment le sexe de l’homme, contraignant ce dernier à relâcher ses narines, de telle sorte qu’elle puisse respirer, ses yeux se fronçant légèrement devant cette « plaisanterie ». Pour le reste, elle ne put néanmoins pas faire grand-chose, car elle sentait deux épaisses verges la labourer, sur le devant, et sur l’arrière. Ah, ça faisait du bien ! Aimi était sincèrement comblée ! Voilà bien comment elle aimait le sexe avec les hommes, quand il y avait de grosses queues, et qu’on la baisait bien fort ! Elle avait beau être très sadique envers Hanayo, elle aimait beaucoup son petit-frère, et elle savait qu’il compensait son absence de musculature par une superbe virilité. Et sentir, en prime, l’un de ses profs’ enchaîner sur elle les gorges profondes, c’était dantesque.
Aimi se laissait donc bercer, mouillant férocement. Personne ne s’attaquait à sa chatte, ce qui n’échappa pas à Mélinda, qui relâcha ses doigts du fondement d’Hanayo, et fléchit les genoux, à côté du bassin d’Aimi, qui filait d’avant en arrière. Elle mouillait furieusement, balançant sa cyprine sur le sol. Esquissant un léger sourire, Mélinda attrapa un plug qui traînait sur le sol, et le glissa dans l’intimité d’Aimi, refermant sa combinaison pour permettre de maintenir l’appareil, avant d’utiliser sa main pour l’enfoncer.
« Voilà... Qu’on ose dire que je ne pense pas au bonheur de mes esclaves, après... »
La jeune femme continuait à gémir, avant d’avoir un premier orgasme, et de sentir ensuite Jack poser ses testicules sur son visage, qu’elle se mit à lécher et à embrasser, sans pour autant les mordiller, sachant très bien que les poils pubiens étaient très sensibles. Elle léchait donc, frottant également son nez, et ouvrait bien la bouche, afin de gober un testicule, partiellement, puis poursuivait son élan, inhalant l’odeur délicieuse de ce sexe, une odeur qui était repoussante pour bien des personnes, mais qu’elle-même adorait tout particulièrement.
Elle lécha ensuite les fesses de Jack, se concentrant sur son point rose, fourrant l’extrémité de sa langue.
« Hmmmmmmmmmmm... !!
- Haaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaa... !! »
Très impressionnant, Hanayo se surpassait, et Mélinda, continuant à sourire, caressa ensuite son ventre, retournant, avec son autre main, tripoter ses fesses.
« Vas-y, mon chéri, jouis en elle, bien comme il faut... Inonde son petit cul de traînée ! »
Hanayo, continuant à gémir, ne tarda pas à satisfaire les ordres de sa Maîtresse, et, dans un ultime soupir, serra les lèvres... Puis tout son corps se mit à trembler, sa queue tressauta, et il jouit, ce que Mélinda sentit, la femme en profitant pour planter ses crocs dans son cou.
« HNNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »
Serrant les dents, Hanayo se vida, balançant de multiples chapelets de foutre dans son corps. Ce fut un fantastique orgasme, qui dura de nombreux instants, l’homme serrant les dents, avant de s’abandonner joyeusement, encore et encore, multipliant les coups. Il se vida dans le cul d’Aimi, qui hurlait également de plaisir, yeux clos.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!
- HNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »
Hanayo se relâcha ensuite, et, tandis que le plaisir redescendait, un sentiment de vertige le saisit... Et il tomba à la renverse, s’affalant sur les fesses, glissant contre les jambes de Mélinda, sa queue se retirant du doux cul d’Aimi, qui laissait du sperme s’échapper. Mélinda souriait, et essuya du revers de la manche ses lèvres ensanglantées.
« Bravo, Hanayo... Tu étais en pleine forme aujourd’hui ! »
Il respirait lourdement, peinant à retrouver son calme.
« Je... Me... Merci, Maî... Maîtresse... »