Nom/Prenom/Surnom : Je suis Rexia, tout simplement.
Âge : 118 ans, âge durant laquelle une dragonne atteint la maturité et peut alors se reproduire...
Sexe : Je suis une femelle. Quoi, ça ne se voit pas ?
Race : Créature - Dragonne européenne rouge.
Orientation sexuelle : Hétéro, de préférence...
Description physique : Je suis une magnifique... oui, magnifique, celui qui dira le contraire se prendra un coup de crocs dans le derrière... représentante de mon espèce, une grande dragonne quadrupède aux écailles tranchantes, en forme de losanges et d'un rouge éclatant, faisant ressembler mes écailles à de gros rubis scintillants. J'ai un long museau ovale, en forme de bec, couronné par deux grands yeux de la couleur de l'ambre profond, dont le regard peut être doux et amical envers mes amis et sombre et féroce envers mes ennemis, et avec sous l’œil droit trois petites écailles vertes, léguées par la couleur de ma mère, formant une unique tache de naissance. Parcourant ma nuque du haut jusqu'au bas, je possède une grande crinière de longues pointes acérées, taillées comme des pieux, qui au sommet du crane est entourée par deux longues cornes pointus. Ma crinière solide prend la place de mes cheveux... c'est moins difficile à coiffer. J'ai appris en grandissant à utiliser ma tête dans une attaque en balancier, comme les humains se servent d'une masse d'arme pendant les batailles, pour y empaler mes adversaires. Mes larges ailes de chauve-souris, à la membrane rosée comme du vin, sont jeune, mais ont déjà une envergue longue et fine. Cela les rend plus fragile et ne me confère pas une très bonne endurance, mais fait de moi une dragonne très rapide et agile en vol, me donnant de grande facilités dans les airs, et me rendant également silencieuse, me permettant d'observer facilement sans me faire remarquer et faisant de moi une chasseuse implacable.
Caractère : Je suis une jeune dragonne intelligente, rusée et très débrouillarde. J'adore voler. Pour moi, rien n'est meilleur pour se remettre d'aplomb que de me dégourdir les ailes, de ressentir la caresse du vent sur mes écailles, de l'entendre claquer à mes oreilles, surtout celui du printemps, lorsqu'il n'est ni trop chaud, ni trop froid, mais juste tiède. Je suis une bonne chasseuse et j'apprécie ce sport, cependant je respecte les lois de notre mère-nature, et ce n'est pas pour autant que je chasserais et que je tuerais sans raison, pour le simple plaisir. Je ne tues que pour manger, ou pour me défendre, bien que mon pêché mignon, ce soit la gourmandise. J'aime aussi observer la pleine-lune et les étoiles, ce qui pour moi est le plus beau spectacle au monde. J'ai trop tendance à foncer tête baisser et à aimer le danger. Oui, je suis assez tête de mule. En âge de procréer, je suis devenu dragueuse envers les beaux mâles lorsque j'en croise un, et j'ai tendance à tomber facilement amoureuse, un défaut qui disparaîtra le jour où je me trouverais véritablement un compagnon, mais cela m'a été profitable et m'a donné une bonne arme envers les mâles, car j'ai apprise à me servir de mon charme féminin envers-eux pour obtenir ce que je veux. Encore jeune, tout-juste sortie de l'adolescence, je suis joueuse et blagueuse, j'aime me moquer de mes ennemis, et de temps à autres, de mes amis ^^ J'ai un coté sarcastique et je suis un peu... oh, juste un peu xD... gamine. Je suis cependant très susceptible et rancunière, et je pourrais me mettre facilement en colère si on m'insulte. Je déteste être ignorée. Je possède un caractère rebelle, un peu mâle-manqué. J'ai du répondant et je ne me laisse pas marcher sur les pattes, même si ça doit m'attirer les foudres d'une créature plus puissante que moi. J'ai l'habitude, lorsque je m'ennuie et que je n'ai rien d'autre à faire, de me lécher mes griffes, ce qui chez-moi est devenu une sorte de tic.
Histoire : J'ai été pondue il y a une centaine d'années de cela, suite à l'union d'un grand et puissant dragon de qui j'ai héritée la couleur de mes écailles, du nom de Ronno, et d'une majestueuse et féroce dragonne aux écailles d'émeraude, nommé Xyria. Mon œuf vit le jour dans une des grandes grottes qui arpente la montagne du Mont Olympe. C'était une nuit fraîche d'automne, et mon père était agité, stressé, il faisait les cent pas devant l'entrée de la caverne dans laquelle vivait la dragonne de son cœur. A l'intérieur, on pouvait entendre les cris de douleurs de celle-ci. Le mâle était inquiet. Il aurait temps aimé pouvoir être auprès d'elle, pouvoir l'encourager, pouvoir peut-être même trouvé un moyen de l'aider. Mais il savait qu'il ne pouvait et ne devait pas entrer : il serait inutile, ne ferait que la stresser davantage, et de toute façon, elle le lui avait formellement interdit. Ce genre de travail était l'affaire des femelles, les mâles n'y avaient pas leur place. Les cris cessèrent un petit moment, laissant place au bruit de la respiration rapide d'un halètement. Le dragon s'avança lentement, commença à vouloir entrer... son imposante patte se posa sur le crâne d'un cerf qu'il avait attrapé le matin-même, qui craqua sous son poids, et à l'intérieur, la dragonne poussa un grognement pour lui ordonner de reculer. Le travail n'était pas terminé ! Les cris reprirent de plus belle. Il passa à nouveau quelques minutes, puis il y eut à nouveau une accalmie, puis ils recommencèrent, et se calmèrent pour la troisième fois, puis reprirent, puis se recalmèrent... et là, ils ne reprirent pas. A l'intérieur de la grotte, le silence n'était plus rompu que par le faible bruit du vent qui se faufilait à travers les nombreuses galeries... le mâle se risqua alors à pénétrer dans la grotte : il se faufila par le grand trou qui marquait l'entrée, et s'avança vers le fond. Là, il trouva sa compagne, confortablement couché sur le coté, les pattes-avant croisées, protectrices, installée contre la paroi de la caverne, penchée sur ce qui ressemblait à quatre grosses pierres grises et polies. Les œufs étaient posés en équilibre contre le rond et confortable ventre de leur mère. Celle-ci cessa un moment de souffler le puissant feu qui ronflait à l'intérieur de son ventre sur eux, et leva ses yeux d'ambre vers ceux de son compagnon. Leurs regards se croisèrent, et il s'avança vers son aimée pour lui donner une longue lèche affectueuse sur le museau. Ils venaient d'avoir leur première portée...
C'est ainsi que nous avons été pondu, mes trois frères et sœurs et moi-même. Tendis que, confortablement installés à l'intérieur de notre solide coque protectrice, nos embryons se développaient lentement, nos parents s'occupaient de notre bien être, et préparaient notre venu... notre mère ne bougeait plus. Elle restait toujours à l'intérieur de la caverne, à chaque heure du jour et de la nuit, couchée sur nous-quatre, à nous réchauffait avec sa chaleur corporelle, ou, de temps à autre, nous faisant prendre une bonne douche de son souffle ardent, afin que nous restions à la température minimum obligatoire pour notre survie. Et, pendant ce temps, notre père s'occupaient de son bien être à elle. Il se chargeait de chasser pour sa compagne et lui-même à la fois, et aussi de mettre de la nourriture de coté pour que le jour où ses quatre petits dragonneaux braillards et affamés sortiraient de leurs œufs, ils aient de quoi de se mettre un véritable festin sous le croc. Les saisons succédèrent aux saisons, les semaines devenant des mois, les mois devenant plus d'une année entière... et plus les sables du temps s'écoulaient, plus nous devenions grands, et plus nous nous préparions à sortir de nos œuf... et enfin, un jour, ça arriva : nos parents se réveillèrent un beau matin en sursaut, dérangés par de tout petit couinements qui se répercutaient à travers toute la caverne, ainsi que de puissants choques. Nous étions en train de tout faire pour briser notre prison naturelle de naissance, cherchant à creuser avec nos jeunes serres, frappant la parois plus solide que le plus pure des diamants avec la petite gemme qui faisait chez les bébés dragons office corne sur notre museau, cherchant même à mordre avec nos crocs encore si fragile... pour le premier combat de notre vie, celui qui devait justement nous donner le droit de vivre, plusieurs heures passèrent, avant qu'enfin, je parvienne à faire une fissure dans ma coquille. J'y ai passée alors au travers mes pattes-avants et tira de chaque coté. Mes serres furent les premières parties de mon corps de dragonnette à entrer en contact avec l'air libre... et, enfin, mon œuf se brisa en deux, libérant mon corps de tout petit reptile épuisé, encore si fragile et frêle. Ma "corne" se détacha de mon nez et tomba... elle ne servait aux bébés dragons que pour les aider à éclore, mais dès lors qu'ils étaient sortis, elle devenait complètement inutile et donc n'avait plus de raison de demeurer sur eux. Je repris mon souffle, puis me mis à tourner ma petite tête dans tous les sens, et les premières choses que je vis furent les autres œufs qui m'entouraient, et qui se brisaient à leur tour, puis ce fut le beau et tendre visage de mon géniteur, qui observait sa progéniture avec fierté... et enfin, la première chose que je ressentis, ce fut la langue râpeuse et baveuse de ma mère, qui se mit à me lécher pour me nettoyer un peu, comme elle le fit par la suite pour mes deux frère et ma sœur...
La suite de mon histoire, celle de notre enfance, est assez banale, enfin... aussi banale que peut être la vie d'un dragon ^^' Maintenant que nous étions vraiment nés, nous devions grandir. A nouveau, les saisons et les années se succédèrent, tendis que nous prenions en taille et en force. Nos parents s'occupèrent continuellement de nous, durent souvent nous surveiller, puisque après-tout, nous étions à l'âge où notre soif de connaissance et d'aventure nous poussaient souvent à fuir la grotte pour aller découvrir le monde qui l'entourait. Ils se partagèrent les taches pour nous éduquer, ainsi que pour nous apprendre comment vivaient les véritables dragons. Bien-sur, nous en avions déjà appris une bonne partie par nous-mêmes, à travers les jeux des bébés dragons, mais eux parfairent tout-ça. Notre mère s'occupa de notre éducation, développa notre caractère, notre façon d'être... et surtout, nous apprit ce qu'était notre instinct, l'arme la plus puissante que nous aurait offerte la nature, elle nous apprit à le reconnaître, à l'écouter, et à le suivre. Quand à notre père, il développa notre physique, ainsi que notre force. Il nous entraîna, nous apprit à nous battre et à nous défendre comme de véritable de dragons. Il nous apprit à nous servir de nos crocs et de nos serres. Lorsque nous fument assez grands, nos deux parents nous apprirent à voler, un sport dans lequel je devins rapidement extrêmement douée, et ils nous apprirent aussi à chasser...
Les années se succédèrent ainsi, et nous étions heureux. Mais cette façon de vivre ne pouvait durée éternellement, et une vie doit s'achever pour qu'une nouvelle puisse commencer. Ce matin-là, mes frères, ma sœur et moi-même, nous nous étions fais réveiller, comme chaque matin, par de jeunes rayons de soleil qui venaient frapper nos yeux à travers les fissures de notre grotte... notre père était absent, et notre regard tomba en premier sur notre mère, envers qui nous avions poussé un petit cri pour la saluer... pas de réaction. Elle restait-là, complètement immobile, ses deux yeux d'ambres qui semblaient êtres devenus aussi noirs que cela était possible nous observant... et étrangement, elle avait prise une posture menaçante, les crocs et les serres découverts, les écailles de son dos dressées, comme la fourrure d'un vieux matou en colère voulant chasser de jeunes chats de son territoire, et sa carotide vibrait, laissant échapper le bruis de tonnerre d'un grognement. L'un d'entre-nous, un de mes frères un peu trop courageux, s'approcha d'elle, essayant de voir ce qu'elle avait... et sa réaction fut à la fois immédiate et violente : telle une vrai furie, elle se jeta sur nous, nous giflant avec ses ailes, nous menaçant avec de puissants claquements crocs. Nous ne comprenions pas ce qu'il lui prenait... elle ne semblait pourtant pas chercher à nous blesser, une certaine tristesse émanait de chacun de ses gestes. Et pourtant, elle nous poussait lentement, mais sûrement, droit vers l'entrée de notre grotte, et vers le rebord de la montagne. C'est alors que la situation devint limpide à mes yeux : ce n'était plus NOTRE grotte... une semaine plus tôt, nous avions réussi à cracher des flammes pour la première fois, et cela signifiait que nous venions d'atteindre une centaine d'années, l'âge de l'entrée dans le monde des dragons adultes... nous ne pouvions plus vivre auprès de nos géniteurs. Si nous voulions espérer survivre dans la nature, nous devions dès maintenant quitter le nid de notre naissance et nous débrouiller par nos propres moyens. De plus, nous devions désormais laisser notre place pour une future portée d'oeufs. Elle ne faisait pas ça de guetté de cœur, mais elle voulait que nous survivions en devenant de véritables dragons. Elle n'avait pas le choix, se montrer brutale était le seul moyen de nous faire comprendre que nous n'étions plus les bienvenus sur son territoire. Et malgré nos cris de protestations et de tristesses, ce qui devait arriver arriva : la puissante dragonne nous poussa tous hors de la caverne et nous fîmes une longue chute. C'était la dernière épreuve que nous devions passer pour pouvoir vivre sauvage : nous devions déplier nos ailes et nous envoler seuls, avant de nous écraser contre les rochers... est-ce que j'ai réussi ? Évidemment, sinon je ne serais pas là pour vous raconter mon histoire.
En fait, tous les quatre, nous avons réussis. Et c'est ainsi que, tristement, mais n'en voulant pas à notre mère, car nous savions qu'elle avait fait ça pour notre bien, nous nous sommes séparés et nous avons chacun pris notre propre direction, à la recherche d'une caverne libre ou d'un endroit où nous en creuser une. Aujourd'hui, je me suis installée dans une petite caverne sur une montagne des terres sauvages... j'y trouve de l'eau et des proies à profusion, et j'y suis bien. Il ne me manque plus qu'une chose... je ressens désormais mes premières chaleurs, et j'attends désormais le beau mâle qui fera de moi sa femelle. Mais hélas, les dragons sont si rares, de nos jours...
Situation de départ : Vierge... mais je ne demande qu'à essayer.
Autres : Je suis une dragonne, et de ce fait, je suis un immense lézard, faisant près de treize mètres de long du bout de la queue jusqu'à la pointe du museau, et plus de deux mètres de haut, avec une force équivalente à ma taille. Mon corps est couvert d'une armure d'écailles capable de résister aux plus puissants projectiles, sauf au niveau du vent où elles sont bien plus fines. Grâce à des produits chimiques concentrées dans une poche à venin sous mon cervelas, et crachés par la bouche grâce à deux glandes semblables à celles des cobras, je suis capable de cracher du feu. Ces produits sont créés par les graisses de mes proies.
Comment avez vous connu le forum : Grâce à une pub.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Ah ça, non, désolée.