Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : How to submit a queen ? [ft. Tenshi]
« Dernier message par Astral Bonds le dimanche 15 décembre 2024, 13:53:25 »

Roy & Tenshi

Lorsqu’elle entre dans la salle, je sais que c’est elle. Je ne lève pas immédiatement les yeux, me contentant d’écouter ses pas résonner sur le sol. Il y a une certaine lenteur dans sa démarche, une hésitation calculée. Elle sait ce qu’elle fait, et ça me fascine déjà. Elle dépose son sac, un geste anodin, mais je remarque tout. Ses mouvements sont un spectacle, une performance qu’elle m’offre sans même que je le demande. Chaque seconde nourrit mon anticipation.

Elle s’approche, et je prends enfin le temps de la regarder. Lentement, délibérément. Ses cheveux flamboyants semblent capter toute la lumière de la pièce, ses courbes parfaitement dessinées par ce tissu qu’elle a choisi avec soin. Tout chez elle crie qu’elle est prête à se donner, à prouver qu’elle peut être plus qu’une simple distraction passagère. Elle est magnifique, c’est indéniable, mais ce n’est pas seulement sa beauté qui m’intéresse. C’est la façon dont elle essaie de me plaire, sa soumission silencieuse qui m’intrigue et m’attire. Elle parle, ses mots teintés d’admiration, mais ce n’est pas ce qu’elle dit qui m’importe. Non, c’est ce qu’elle exprime sans mots : la légère cambrure de son dos, la façon dont elle écarte subtilement les jambes. Elle veut que je la remarque, que je la désire, que je la valide. Et je le fais, bien plus que je ne le laisse paraître.

« Tenshi. »

Elle se cambre davantage, son souffle presque audible dans ce silence. Une part de moi admire sa détermination, cette volonté de se montrer à la hauteur. Une autre part, plus sombre, jubile à l’idée de tester ces limites, de voir jusqu’où elle ira pour me plaire. « Tu es venue prête à prouver ta valeur, je vois. » Je tends la main, lentement, mes doigts effleurant la courbe de son menton, avant de reculer, la laissant sur sa faim. Le contrôle est tout. Elle doit comprendre que ce moment, cet espace, m’appartient entièrement. Comme elle m’appartiendra bientôt.

Je me place derrière elle, mon regard dévorant chaque courbe offerte par ce legging si outrageusement tendu qu'il semble supplier de céder, et sans la moindre hésitation, je laisse ma main glisser sur la courbure parfaite de son cul, le caressant d'abord doucement pour savourer la texture de ce tissu humide collé à sa peau, avant de presser mes doigts fermement, explorant chaque contour avec une avidité à peine dissimulée, le plaisir montant en moi alors que je sens son corps frémir sous mon toucher, soumis et vibrant d'une attente que je compte bien faire durer jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une marionnette à ma merci.

« Putain ce cul... »

Sans prévenir, ma main s'abat sur son cul avec une force calculée, le claquement net résonnant dans la pièce vide, tandis que la chair sous le tissu tremble légèrement sous l’impact. Je laisse mes doigts s’attarder, savourant la chaleur qui monte là où j’ai frappé, un sourire satisfait sur les lèvres en voyant son corps réagir instinctivement.
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le dimanche 15 décembre 2024, 13:31:32 »
La demoiselle s’avançait d’une façon bien étrange. Mais si elle n’avait pas retiré ses vêtements, avait-elle fait la même chose pour ses chaussures ? Il clignait des yeux d’incompréhension. Pour lui il était tout naturel de retirer ce genre de chose … Être nu devant quelqu’un n’était pas si gênant, Ahro avait également confiance en lui.

-Et bien je … faisais ma toilette …

Et elle finit par tomber dans l’eau, voyant sa robe trempée jusqu’au ventre et laissant au renard un superbe spectacle sur les attributs de cette jeune femme. Autant au niveau de sa poitrine que la vision de ses lèvres intimes qui se devinaient à travers le tissu collant. Cela n’allait pas aider sa verge à se calmer ! Il était rare de voir une femme avec autant d’argument.

-Faites attention … Vous devriez peut-être retirer vos vêtements dans tous les cas … Les arbres ne laissent pas vraiment passer le soleil, vous risquer de prendre froid maintenant. Et … retirer votre main des yeux ! Ce serait plus pratique non ?

Dit-il de manière non gênée. Il restait malgré tout dans l’eau pour continuer à nettoyer soigneusement le reste de ses queues. Il avait bientôt fini pour cette partie de son corps. Il s’étirait alors, les bras vers le ciel avant de tourner son regard une nouvelle fois vers la jeune femme. Il ne comprenait pas tout.

-Prendre un bain n’est jamais mauvais ! Mais vous dérangez pas. Vous m’avez surpris, je ne vous ai pas entendu arriver. Mais … L’eau ne court pas, nous allons la chercher avec un seau ou des tonneaux que l’on met sur une charrette quand le terrain le permet.


Son regard se pose alors sur ces énormes seins qui étaient un peu mouillé bien visible à travers le vêtement de la demoiselle …
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 13:20:22 »
Sœur Blum restait figée dans ce halo de lumière, son corps tout entier secoué par un mélange de gêne profonde et d’excitation qu’elle peinait à réprimer. Ses mains tremblaient sur le livre sacré qui, dans une lutte silencieuse, continuait de forcer pour s’ouvrir à de nouveaux versets provocants. Ses cuisses se frottaient presque imperceptiblement l’une contre l’autre, luttant contre une tension qu’elle ne pouvait nommer. Pourtant, l’homme, témoin de sa fragilité, semblait en avoir assez de la voir dans cet état.

Il se leva calmement, son assurance contrastant avec le désarroi de la jeune femme, et s’approcha pour pénétrer à son tour dans le halo lumineux. Lorsqu’il posa doucement ses mains fermes sur celles de Blum, elle sursauta légèrement malgré le fait qu’elle l’avait vu venir. Ses joues s’empourprèrent davantage, et son souffle s’accéléra encore. Elle fixa ses lèvres, espérant qu’en se concentrant sur ses mots, elle pourrait ignorer les élans qu’elle ressentait en elle.

- Les… les mises en applications…

Elle tentait de parler, mais sa voix était entrecoupée de soupirs involontaires, et ses phrases restaient inachevées.

- Les vitraux ?

En levant enfin les yeux, Blum découvrit une vision qu’elle n’avait pas encore remarquée. Les vitraux, qu’elle avait toujours connus comme des représentations sobres et pieuses, avaient changé. Elle se voyait, exposée, dans des postures si provocantes qu’elle détourna d’abord les yeux, puis les riva de nouveau sur les images, incapable de résister. Chaque scène semblait amplifiée par la lumière céleste, les mettant en valeur comme si elles faisaient partie intégrante de cette église. Et toutes ces représentations les regardaient, elle et l’homme, scrutant silencieusement chaque mouvement qu’ils faisaient comme pour deviner quelle scène allait se jouer dans cette pièce.

L’homme, visiblement amusé ne sembla pas hésiter, son choix était fait. Il savait exactement quel verset il voulait appliquer : le 34, celui qui l’incitait à se laisser combler par la bouche et les seins de Blum. Ses pis délicieux plus précisément.

- C’est ce qu’ils disent…

Blum murmura presque ces mots, son esprit alourdi par les souvenirs qu’ils éveillaient. Ce n’était pas la première fois qu’on faisait l’éloge de sa poitrine. Les hommes qu’elle avait connus auparavant avaient tous dit la même chose. Certains s’y accrochaient avec insistance, les malaxant sans retenue, savourant leur texture voluptueuse. Essayant de le traire de haut en bas. D’autres les embrassaient ou les mordillaient comme des tétines, simulant un allaitement sans fin, les rendant douloureusement sensibles au point d'y gonfler ses mamelons. Blum tenta de refouler ces pensées, mais les vitraux derrière elle semblaient la trahir. Les scènes qu’ils représentaient se mirent à bouger, révélant à l’homme toutes les images qu’elle avait gardées enfouies dans son esprit. Chaque geste, chaque étreinte qu’elle avait subie ou désirée était projeté devant eux, comme un spectacle offert à ce témoin impassible.

- Le verset 34… est à voir comme… comme une image… il ne faut pas… l’appliquer au sens propre…

Elle tenta de détourner la situation en mentant, mais le livre sacré semblait désapprouver. Il bougea de plus en plus violemment dans ses mains tremblantes, l’obligeant à mettre toute sa force pour le maintenir fermé. Puis, dans un élan soudain, le livre lui échappa, tombant entre eux et s’ouvrant directement à la page du verset en question. L’illustration semblait prendre vie : elle était représentée agenouillée, gobant son dard, devant un homme dont les traits ressemblaient étrangement à ceux de son interlocuteur. S'il le voulait il pouvait se saisir de l'ouvrage pour mieux y voir les détails et peut-être lire la fin du verser qu'elle avait entamé et d'autres lectures honteuses la concernant.

Une force invisible l’attira alors vers le sol, la poussant à genoux devant lui. Ses mains, jointes devant sa poitrine imposante, donnaient l’impression qu’elle priait sincèrement dans ce halo de lumière devant son dieu. Mais la pose qu’elle adoptait, involontairement ou non, accentuait la courbe de ses hanches et l’arrondi provocant de ses fesses dénudées, tournées vers l’arrière. Tremblante, tiraillée entre sa honte et une envie qu’elle n’osait nommer, Blum inclina doucement la tête vers l’avant. Ses lèvres, hésitantes, effleurèrent l’entrejambe de l’homme, toujours recouvert de son pantalon, déposant un baiser délicat.
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 13:09:43 »
Blum gardait sa main levée devant ses yeux, un geste pudique pour préserver l’intimité de l’homme dans l’eau. Pourtant, ce n’était pas simple de se déplacer à tâtons dans le ruisseau. Les cailloux et galets glissants rendaient sa progression incertaine, chaque pas risquant de la faire trébucher.

- Vous nettoyez quoi ?

Le bruit constant de l’eau courante rendait ses paroles presque inaudibles. Elle dut s’avancer un peu plus pour se faire entendre, mais cette initiative ne se déroula pas sans incident. Un instant d’inattention, une pierre mal assurée, et voilà que Blum glissa dans la rivière. Un genou heurtant l’eau, elle se retrouva à moitié immergée. Le choc fut instantané : le bas de sa robe, trempé jusqu’au ventre, devint totalement transparent, épousant les courbes de son corps et dévoilant sans équivoque sa fleur intime. Plus haut, les éclaboussures avaient mouillé son corsage, révélant, par intermittence, un mamelon rose au travers du tissu mouillé.

- Je… je vais bien, pas besoin de s’en faire. Je vais aller me mettre sur le bord, au moins là-bas, je ne risquerai pas de glisser de nouveau.

Tâtant le sol devant elle, et toujours gênée par sa main devant ses yeux, Blum tâcha de retrouver un semblant d’équilibre. Ses mouvements maladroits lui permirent toutefois de sortir de l’eau, bien qu’elle ait frôlé quelque chose d’inhabituel dans l’eau, quelque chose qui ressemblait davantage à une queue animale qu’à un galet. Reprenant ses esprits sur la berge, elle se releva, les joues en feu. Sa robe mouillée et collante ne faisait rien pour dissimuler ses formes généreuses. À moitié transparente, elle s’exposait à l’homme qui, lui, semblait étrangement calme.

- Je ne prenais pas de bain, monsieur. Je me promenais simplement, et je ne voulais pas vous déranger.Que voulez-vous dire par “les humains de cette région” ? Vous… vous n’avez pas d’eau courante chez vous ?

Ses derniers mots lui revinrent en tête, et sa curiosité fut piquée malgré son embarras.
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Vous nous quittez déjà ? / Petite pause pour les fêtes
« Dernier message par Séléné Ravencroft le dimanche 15 décembre 2024, 11:52:29 »
Bonjour  :D

Je suis moins présente mais faut que je fasse une petite pause pour préparer les fêtes correctement  :-*

Je reviens peu après

Joyeuses fêtes de fin d'années à vous  :D
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le dimanche 15 décembre 2024, 11:22:01 »
Ahro continuait de prendre soin de son pelage du mieux qu’il pouvait. L’humidité de cette grotte avait été terrible, permettant aux poussières de s’accrocher plus facilement. Bien qu’il réunisse ses neuf queues en une quand il marche, les plus petites poussières s’infiltraient. Mais il avançait plutôt bien ! Le fond de ce petit bassin était couvert de petit caillou lisse, ce qui permettait qu’il n’y ait pas de boue remuer au moindre mouvement.

Cependant, il n’entendait pas l’humaine arriver, ni s’approche du bassin. Il était concentré sur le nettoyage de ses poils. C’était bien une des rares fois ou il n’était pas en alerte ! Cette humaine aurait été une chasseuse, elle aurait pu faire mouche ! Mais non, Ahro fut surpris d’entendre alors le bruit de l’eau et voir les remous dans le bassin. Elle était entrée dans l’eau ! Les neuf queues du renard se dressèrent sous la surprise, il sursautait.

Il observait la jeune femme qui semblait inoffensive, fort heureusement. Elle s’excusait, expliquant sa présence en ce lieu. Elle semblait gentille. Elle demandait si tout allait bien. Le renard rougit en observant le corps de la jeune femme. L’eau faisait coller une partie de sa robe à ses cuisses. Il ne pouvait pas empêcher la chose arriver ! Sa verge se dressait alors devant elle, bien qu’elle se cache les yeux.

-Oui … Tout va bien … J’ai juste du mal à nettoyer ma fourrure.

Ses queues se détendirent, se rassurant doucement de la venue de cette jeune femme. Il ne pouvait cacher sa verge dans cette haut qui lui arrivait juste en dessous du ventre ou il était lui. Mais il penchait la tête sous une incompréhension. Pourquoi venait-elle habillé dans l’eau ?

-Les humains de cette région prennent leur bain en étant habillé ? … C’est pas pratique pour se laver non ? Ceux que j'ai déjà connu se déshabille.

Il laissait alors ses queues flotter sur la surface de l’eau, l’une d’entre elle finissant non loin de la jeune femme.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset II.
« Dernier message par Hayao Tachibana le dimanche 15 décembre 2024, 09:52:15 »
Le rêve avait déjà cette saveur épicée sur les papilles. Je sentais ce côté sulfureux propre à faire plonger l’autrice de celui-ci dans des abysses d’une luxure plus noire que le péché. Mots appropriés vus les lieux, dans cette église qui apparaissait en toute grandeur. Non, vraiment, les lieux étaient superbes. Et d’autant eu lorsque l’on s’attardait sur les vitraux…
Je pariais qu’elle n’avait pas vu à quel point les pensées soi-disant impures pour la religion, avaient débordées, chaque vitrail était d’une obscénité consommée. On ne pouvait réellement distinguer les traits du visage de la jeune femme qui s’offrait d’une manière différente sur chaque tableau. Non, vraiment, je ne pouvais nier l’effort du détail présent malgré cela.

« Oui, je comprends, mais ne serait-il pas malvenu de mettre une ouaille à la porte ? »

Donc l’argument de la fermeture de l’église était bien vite écarté. Pour le reste, elle finit par céder et se tourna vers moi, faisant doucement voleter les rubans un court instant, révélant le reste de sa poitrine, un sein magnifique, bien rond, bien lourd. Le genre où on avait envie de planter une canine juste pour en apprécier la fermeté et lui faire pousser un joli gémissement.
La lumière suivait et sublimait son corps, comme si elle ne voulait pas cesser d’être le centre de toutes les attentions – même si j’étais la seule attention qu’elle avait présentement – elle voulait évidemment cette attention, tout en la craignant et ne la voulant pas. D’autant qu’elle avait clairement du mal à avouer le contenu du livre. Livre qu’elle avait refermé jusqu’à céder sur l’idée de me lire les versets de la bible. Les versets les plus obscènes qu’elle eut jamais à prononcer.
Je m’asseyais, presque sagement sur le banc, et je joignais les mains, en fervent priant attendant de recevoir la parole Sainte. Je la regardais se placer face à moi, et, tremblante comme une feuille, ouvrir le bouquin sacré pour m’en faire une lecture qui, je le savais, ne serait pas piquée des vers. Des versets, oserai-je même dire.

Je ne souris pas quand elle prononça le premier. Je ne lui offrais pas le fait que je me réjouissais de sa gêne, de sa maladresse, de sa potentielle gênée et sans doute d’autre chose qui prenait naissance au cœur de son bas ventre.
Chaque verset était pire que le précédent, et je la voyais même serrer les cuisses, sous ses hanches fuselées, dans un léger tortillement extrêmement prometteur. Oui, vraiment, elle avait des pensées qu’elle jugeait ne pas devoir avoir. Et ce rêve allait l’aider à y céder. Clairement ; je me faisais fort de la faire sombrer. Chaque verset était une maestria d’imagination, et quand je levais les yeux, chaque verset semblait être aussi illustré par un vitrail précis. Mais il en manquait ; et quand elle s’interrompit, alors je sus qu’elle avait trop de mal pour le moment pour en dire davantage. Il fallait juste y aller pas à pas.
Récapitulons ce qu’elle avait dit :
-Se mettre à genoux devant les hommes et les combler de sa bouche et de sa poitrine. Pardon, de ses pis. Le terme, quand on constatait l’avantage naturel qu’elle avait sur le sujet sur nombre d’autres femmes, était particulièrement bien choisi. De bon gros pis délicieux… il faudrait que je vérifie.
- Elle ne pouvait pas se laisser aller comme elle voulait, son plaisir était conditionné.
- Elle devait être châtiée pour avoir utilisé les cierges de façon créative
- Elle devait servir… et la suite je ne l’avais pas car son courage s’était effondré avant.

Oui, bon, d’accord, connaissant le contenu je n’avais pas vraiment besoin de récapituler de la sorte. Et je reconnaissais que je m’étais amusé à faire résonner dans l’église les lourds gémissements de plaisir, pour aggraver sa situation, d’une certaine manière. Oui, ça, c’était de mon fait.
Je décidais d’agir de manière un peu sournoise sur le sujet, et je me levais pour m’approcher de la nonne perverse et je venais poser mes mains sur les siennes.

« Merci ma sœur. C’était édifiant. D’autant plus qu’après la lecture vient le temps des explications et des mises en application, n’est-ce pas ? Et si certaines parties sont claires selon moi, d’autres sont un peu plus délicates…. Peut être pourriez-vous éclairer votre ouaille de votre compréhension des textes sacrés… »

Je lâchais les mains de la jeune femme et je levais les yeux vers les vitraux qui auraient pu être des photographies, comme si lire les versets lui avait fourni davantage d’imagination.

« Est-ce comme sur les vitraux ? »

Et parce que cela ne suffisait pas je rajoutais.

« Ma sœur, montrez-moi comment appliquer le premier verset que vous avez lu s’il vous plait…. Il est important de comprendre les Saintes Ecritures… et si j’en crois les échos de vos paroles au sein de cette église, vous êtes une envoyée de dieu pour montrer l’exemple et appliquer à la lettre chaque écriture, n’est-ce pas ? »

Et sans lui demander son avis, je venais écarter les bandes de tissu dissimulant ses mamelons déjà bien dressés.

« Vos pis sont-ils donc si délicieux ? »
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Blum le dimanche 15 décembre 2024, 01:41:00 »
Sœur Blum ressentait parfois un besoin intense de s’évader. Quitter la ville et retrouver la sérénité de la forêt voisine était une manière pour elle de renouer avec un calme profond et de poser ses questions à Dieu dans un lieu plus libre et naturel. Aujourd’hui, ce besoin était encore plus fort que d’habitude. L’oppression de ses responsabilités et de ses tourments personnels pesait sur elle. Elle décida donc qu’une promenade dans la forêt lui ferait le plus grand bien.

Avant de partir, elle passa par le dortoir pour se préparer. Même en dehors de l’église, Blum conservait son habit de nonne, une robe blanche qu’elle avait confectionnée elle-même pour s’adapter à sa morphologie unique, et qu’elle ornait de rubans violets, symbole de son appartenance à son église. Dans un sac en toile, elle glissa une petite collation, une gourde d’eau fraîche et un drap léger pour s’installer confortablement si elle décidait de se poser.

Elle prit un bus jusqu’à la sortie de la ville, terminant son trajet à pied jusqu’à la lisière de la forêt. Dès qu’elle pénétra sous les arbres, une sensation de paix l’envahit. Le silence, troublé uniquement par le chant des oiseaux et le murmure d’un ruisseau, lui procurait un apaisement immédiat. La température était parfaite, ni trop chaude, ni trop fraîche, et Blum en profitait pour toucher les branches, humer le parfum des fleurs sauvages, et même goûter quelques baies sucrées, bien que leur jus tache légèrement sa robe immaculée. En suivant le cours d’eau, elle retira ses chaussures pour marcher directement dans l’eau fraîche, savourant le contact rafraîchissant sur ses pieds tout en admirant la beauté intacte de la forêt.

Soudain, au détour d’un bosquet, elle aperçut une silhouette au loin, à moitié dissimulée derrière des buissons. C’était la première fois qu’elle croisait quelqu’un dans ce lieu, ce qui la surprit profondément. Elle hésita un instant : beaucoup auraient fait demi-tour pour éviter toute interaction. Mais Blum, toujours attentive aux autres, sentit le besoin de s’assurer que tout allait bien. À pas de loup, elle s’approcha pour mieux voir, découvrant un jeune homme qui semblait se laver dans l’eau claire de la rivière.

Son instinct lui soufflait que cette scène était étrange, mais elle ne pouvait pas partir sans lui parler. Plaçant une main devant ses yeux pour préserver la pudeur de l’inconnu, elle franchit les buissons et annonça doucement sa présence :

- Excusez-moi, monsieur… Je me promenais ici avant de tomber sur vous. Je ne voudrais pas vous déranger, mais j’aimerais savoir si tout va bien ?

En avançant dans le lit peu profond de la rivière, elle ne remarqua que trop tard que le bas de sa robe, trempé par l’eau, était devenu complètement transparent, collant à ses jambes et remontant presque jusqu’à ses cuisses. Le tissu révélait sans détour les courbes généreuses de ses hanches et le galbe de ses cuisses, accentuant sa silhouette déjà magnifique. Ses rubans violets, eux aussi humidifiés, semblaient flotter légèrement autour d’elle comme pour encadrer cette image angélique. Blum, inconsciente de cet effet, attendait patiemment une réponse, tout en essayant de garder son calme face à cette situation inattendue.
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Blabla / Re : Tu sais que t'es de LGJ quand...
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le dimanche 15 décembre 2024, 01:30:07 »
Tu sais que tu es de LGJ quand une nouvelle se pointe, fait des rps et que tu es hyper content  ::)
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Les alentours de la ville / Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le dimanche 15 décembre 2024, 01:13:31 »

Combien de kilomètre avait-il fait depuis le dernier village qu’il avait traversé ? Combien de semaines s’étaient écoulées ? Il mangeait et buvait ce que la nature pouvait lui offrir. Cette région était riche en ressource. La forêt était dense et offrait une protection naturelle contre divers menacent. Mais il arrivait au pieds d’une montagne. Celle-ci avait une façade bien raide. Il serait fatiguant de l’escalader. Le Kitsune avait donc fait le choix de longer un peu cette force de la nature dans l’espoir de trouver un passage praticable.

Il finit par tomber sur une grotte. Elle semblait humide et un léger vent s’engouffrait dans celle-ci. Cela voulait-il dire qu’elle débouchait quelque part ? Le seul moyen d’en avoir le cœur net était de s’enfoncer dans cette cavité. Il reniflait les alentours, vérifiant qu’il n’y ait pas l’odeur d’un occupant indésirable. Mais l’humidité du lieu rendait la chose pratiquement impossible. Il s’engouffrait quand même dedans … Sans avoir la moindre idée de ce qui l’attendait vraiment.

Il finit par sortir de la grotte de ce qu’il pensait être l’autre côté de la montagne. Il eut une légère sensation bizarre au bout d’un moment dans la grotte, mais s’était vite passé. Il se retrouvait alors face à une nouvelle forêt, encore plus épaisse que celle qu’il avait quitté. En se retournant une fois dans les bois, il n’arrivait pas voir la montagne qu’il était sensé avoir traversé. Le feuillage était trop épais. Mais cela n’arrêtait pas le renard qui décidait de s’enfoncer dans celle-ci, n’ayant aucune idée de se trouver sur une dimension différente.

Il finit par trouver une rivière qu’il longeait un petit moment. La rivière donnait alors sur un très petit lac avant de reprendre sa route après l’avoir traversé. Parler d’un lac était peut-être exagéré … une grosse flaque d’eau ? Il ne trouvait pas les mots. Mais l’eau semblait assez propre pour y faire sa toilette. Elle était assez agitée pour ne pas être dangereuse. Il fallait se méfier des eaux calmes. Se déshabillant rapidement sans vraiment faire attention à ce qu’il pourrait y avoir autour de ce coin d’eau, il sautait dans le petit bassin et commençait à se nettoyer, commençant par ses neuf queues qui étaient dans un sale état à cause de la poussière. Quelques nœuds semblaient s’être fait dans ses poils … il lui était difficile de les défaire, y passant du temps, concentrer sur sa tâche.
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