Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« Dernier message par Em le mercredi 26 novembre 2025, 01:27:01 »
Alors, dans l'ordre~

J'épouse Je suce Randal, parce que c'est clairement la grossbit du groupe
J'esclavagise Je m'assoie sur le visage de Lucian, parce qu'il a clairement la langue pour~
Je tue Je bute Killian, parce qu'il est plus fort que moi ::)

Dei, Rubis, Lynn
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Les alentours de la ville / Re : Vapeurs écarlates [Lucian Kalvenhaar]
« Dernier message par Lucie Moreau le mardi 25 novembre 2025, 19:14:58 »
Lucie, petit papillon bleu, continua son petit manège, légère comme un souffle, virevoltant entre les tables et les fauteuils. Ses ailes de satin se mouvaient doucement derrière elle, comme si elle les battait pour découvrir la salle. La rouquine n'hésitait pas à s'approcher également des demoiselles, faisant mine de cueillir des fleurs en tissu, ici et là. Sa voix, douce et taquine, se mêlait parfois à la musique. Un fredonnement discret, presque enfantin, qui renforçait encore le charme étrange de la jeune femme. À mesure qu'elle progressait, les projecteurs faisaient miroiter son bleu métallique, et chaque pas semblait tracer une étincelle dans l'air tamisé du saloon.

Uyeda se cachait dans l'ombre et observait depuis la scène, prêt à entrer en action au moment prévu. Son rôle, ce soir, n'était pas de voler la vedette à Lucie, mais d'apporter une touche de mystère et de romance à cette chorégraphie à deux, d'être le « guide » qui ramènerait le papillon vers la lumière lorsque le tableau atteindrait son apogée. Ses yeux, soulignés de noir, scrutaient le public avec l'assurance d'un acteur chevronné, mais il ne pouvait s'empêcher de sourire en voyant Lucie improviser, la demoiselle se laissant porter par les réactions de la salle.

Et puis, comme portée par un instinct inattendu, Lucie pivota doucement, ses escarpins glissant avec élégance sur le sol, et ses yeux se posèrent sur une silhouette qu'elle n'avait jamais vu auparavant et qui était « particulière ». Comme elle. Une présence différente, une longue chevelure qui ne correspondait pas du tout aux standards japonais, et puis, ces yeux...Ils se croisèrent et la Française put capter les magnifiques rubis qu'il possédait.

Doucement, la danseuse papillonne, s'approchant lentement du jeune homme qui avait capté davantage son attention, prête à franchir une frontière. Le public autour ne voyait qu'un jeu de plus parmi tant d'autres, un moment séduisant du spectacle...Mais pourtant, quelque chose semblait...différent. Cet homme-là ne la dévorait pas des yeux comme les autres, ne riait pas, ne rougissait pas. Il l'observait juste, profondément, avec ce quelque chose que Lucie ne savait pas nommer. Un frisson qu'elle n'expliqua pas lui glissa le long de la nuque.

Sur son chemin, Lucie se rapprocha d'un serveur, venant lui chuchoter à l'oreille quelques mots. Elle s'éloigna ensuite de ce collègue pour se diriger vers l'éphèbe qui lui avait tapé dans l’œil. Taquine, le papillon rondouillet glissa ses mains sur les bras, puis sur les épaules du jeune homme, un sourire franc sur les lèvres. Elle lui murmura doucement, s'inclinant ensuite légèrement devant la table, geste chorégraphié mais teinté d'une spontanéité nouvelle.

- Bonsoir, monsieur...

La musique, à cet instant, monta d'un cran, signe pour Lucie que la seconde partie du numéro allait commencer. La Française redressa son buste, restant plantée là une seconde de plus, tenue par cet étrange échange. Puis, le spot lumineux se défit du papillon pour se plonger sur la scène, sur Uyeda plus particulièrement, avec un filet à insectes dans les mains. Avec sa main libre, il la passa au dessus de ses yeux, à la recherche du fameux morpho bleu. C'est alors que Lucie se cacha derrière ce bel homme à la longue chevelure de feu, lui faisant un petit signe de « chut » avec son index. Au loin, l'acteur descendit de scène, s'avança vers différents clients et clientes. Il abattit gentiment son filet sur eux, les questionnant sur où était son joli papillon, avant de les relâcher. La rondouillette, quant à elle, s'esquiva lentement, en faisant de plus petits pas avec ses talons qui claquaient sur le sol avec douceur. Elle s'éloigna de cet éphèbe, presque à contrecœur, bifurquant entre les tables en essayant d'atteindre la scène, jusqu'à ce qu'une cliente ne donne la position de la fugitive !

- Ici ! Ici !

Ah, la traître ! C'est alors que la Française se mit à slalomer entre les tables pour éviter le filet d'Uyeda. Il y avait là un léger comique dans la scène, le papillon courant entre les tables pour fuir le dieu et son filet, jusqu'à remonter sur scène, comme prise au piège. Lucie joua la comédie, ayant faussement peur face à cette beauté divine. Doucement, il attrapa la main délicate de la joufflue, faisant mine d'être envoûté, ne souhaitant pas que ce magnifique lépidoptère prenne la fuite. Lucie interpréta la mignonnerie, faisant mine de rougir et d'être timide, toujours sa main dans celle d'Uyeda. Puis doucement, elle vint plaquer ses doigts dodus sur les joues de l'acteur, jouant avec avant de les descendre sur ses épaules et de faire tomber gracieusement le kimono jusqu'à la taille, laissant au public le bon plaisir de découvrir le torse fin et légèrement musclé du dieu.

Des « Ooooh » s'entendirent dans la salle, mais le spectacle était loin d'être terminé ! La Française papillonna autour de l'être céleste à moitié dénudé, lui, la figure mythique de la pièce, jouant avec elle tout en feignant de la guider, la retenir, ou la laisser s'envoler de nouveau. Le public, captivé, applaudissait la chimie inattendue entre la grâce maladroite du papillon et la présence élégante de la divinité.

À son tour, Lucie se défit de ce qui faisait d'elle une merveille de la nature. Petit à petit, la rondouillette déliait les lanières de sa tenue pour se défaire de ses ailes au niveau des hanches, tout en faisant face à son compagnon de spectacle. Uyeda paniqua faussement, la jeune femme secouant la tête avec le sourire sur les lèvres joyeuses mais timides. Le reste de sa jupette suivit le mouvement, ne laissant la demoiselle qu'avec une petite culotte aux reflets bleutés, mettant en avant les courbes de son fessier. Ce fut ensuite le tour des petites ailes sur le haut du corset, que la Française retira avec délicatesse pour en cacher ses seins. Rougissante, elle montra son dos à son nouveau dieu, qui dénoua le corset. Il le fit tomber au sol et cela dévoila la peau de nacre du ventre de Lucie, rougie des anciens liens qui la maintenait...

Les deux petites ailes cachèrent désormais la poitrine de la joufflue. C'est avec un sourire taquin qu'Uyeda se pencha dans son cou pour lui susurrer quelques mots, suivant le script. Il fit semblant de l'embrasser, tira sur son yukata à moitié tombé pour la cacher, et avec un jeu de lumières dorées, ils disparurent de la scène. Un tonnerre d'applaudissements retentit dans la salle, la plupart des client ravis d'avoir pu rire et se rincer l’œil, hommes comme femmes.

Le Eastwood's Saloon retrouva son calme, si l'on pouvait dire ainsi. Après une bonne quinzaine de minutes, Uyeda sortit des loges, se faisant assaillir par les demoiselles célibataires qui cherchaient à s'arracher son numéro de portable, puis fut le tour de Lucie, qui arbora une toute nouvelle tenue. Sur son passage jusqu'au comptoir, la rondouillette se fit complimenter ici et là de sa prestation, le feu lui prenant un peu les joues. Prenant ensuite place sur un haut tabouret, croisant les jambes en collants rouges, elle commanda un grand milkshake à la vanille auprès du barman, chantonnant doucement en attendant sa gourmandise bien méritée.
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Ville-Etat de Nexus / L'heure de rendre des comptes. v. Barbak
« Dernier message par Dany le mardi 25 novembre 2025, 18:50:04 »
Charly :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Quoi de mieux que de se reposer après une longue et pénible mission sur Terra ? Le duo avait été commissionné par un homme d’affaires pour récupérer des biens qui lui avaient été volés une semaine auparavant. Une mission relativement simple. Et bien payée. Ils avaient dû refaire quelques portraits au passage, mais c’était le métier.

La sœur et le frère n’avaient aucun souvenir d’une mission sans utiliser la violence. Même quand tout était millimétré, il y avait forcément des blessés, et souvent des morts. Il serait impossible de savoir combien de personnes ils avaient tuées, surtout pour Dany, qui avait été façonnée pour devenir une véritable machine à dézinguer tout ce qu’on lui demandait. Elle avait été formatée pour détruire : d’un simple claquement de doigt, d’un simple mot, elle devenait un chien fou. Maintenant qu’elle était libre, elle avait appris à être un peu moins impulsive. Même si cela restait difficile et que son passé refaisait souvent surface.

Charly : Tu crois qu’on deviendra quoi une fois morts ?

Autour d’un verre de bière dans une taverne miteuse de la ville, le duo s’apprêtait à refaire leur vie… comme bien souvent.

Dany : On sera morts. il n’y aura rien. On ira manger les pissenlits par la racine, c’est tout.

Charly : Tu ne crois pas qu’il y a quelque chose ? L’enfer, le paradis, d’autres trucs, tu vois ?

Dany : Non, je n’y crois pas. Et je préfère ne pas y croire.

Charly : Pourquoi ?

Dany rigola en se penchant sur sa chaise, faisant craquer les pieds sous son poids.

Dany : Tu crois qu’avec tout le mal qu’on a fait, on aurait une place bien au chaud au paradis ?

Charly, on tue des gens tous les deux jours. On a fait les pires saloperies pour le compte de James : drogue, putes, armes, trafic d’organes —

Charly : Oui, c’est bon, j’ai compris, Dan. Mais comme tu dis, on était sous le joug de James.

Dany : Ouep. On a arrêté certaines choses maintenant, mais on ne va pas se le cacher : on ne fait pas le bien. On a fait tellement de choses dégueulasses qu’il nous faudrait trois vies minimum pour se racheter.

Le duo continua leur conversation autour de leurs verres, en en commandant de nouveaux ainsi qu’une grosse assiette de sanglier à partager pour le repas. Dany était à un bout de la table, pantalon noir, débardeur blanc, affichant son corps musclé et marqué par le passé. À l’autre bout de la table, Charly, presque dans la même tenue, portait en plus une veste noire. Aucun des deux ne s’attendait à être dérangé ce soir.
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L'Enfer / Re : And I said hello Satan... Helel, ah.
« Dernier message par Dany le mardi 25 novembre 2025, 18:43:27 »
Dany, le chien fou, ne voyait plus seulement rouge : elle baignait dedans. À chaque mot que l’avorton lâchait, elle sentait la pression grimper dans son crâne comme si quelqu’un y serrait un étau. Ses muscles se nouaient, son corps entier se tendait, prêt à rompre. Ses poings se cimentaient, faisant ressortir les lignes sèches de ses bras, de ses épaules et de son dos. Un signal assez clair pour que Charly comprenne que la moindre étincelle ferait exploser la poudrière. Robbie venait de s’écraser tout en bas de l’échelle de Dany : tenir tête, se foutre d’elle, lui faire la morale… il signait son arrêt de mort.

Dany : Je vais —

La main de Charly se posa brutalement sur l’épaule de sa sœur, une laisse improvisée. Il colla ses lèvres à son oreille pour lui souffler quelques mots.

Charly : Tu ne vas rien faire.

Libres ou pas, réparés ou pas, il restait des moments où Dany avait besoin de quelqu’un pour la retenir avant qu’elle ne dévore tout. Celui-ci en était un. Robbie se vantait d’être increvable ; Charly savait, lui, que Dany avait mille façons de faire regretter ce genre de déclaration. Si la douleur physique ne l’atteignait pas, elle trouverait autre chose. Pire. Alors il resserra encore sa prise, ses doigts râpeux enfoncés dans sa peau.

Dany : Tu crois qu’on va expliquer à une petite merde comme toi ce qu’on fout ici ?

Sa voix vibrait, coupée par la rage prête à jaillir. Une veine battait dans son cou, une autre pulsait à sa tempe, comme si son cœur frappait contre sa chair pour sortir.

Dany : Tu vas voir si on a d’la chance d’être en vie. Si notre peau va finir scotchée aux murs d’une de tes villes de merde. C’est ta sale gueule qui va —

Un clac sec résonna dans le corps du chien : son frère venait de lui broyer à main nue la clavicule, sentant qu’elle s’emportait de trop. Pour Dany, ce n’était pas bien grave ; elle ne fit même pas un sourcillement de douleur. Son corps se remettrait en place sans qu’elle le remarque.

Charly : Tu n’as pas tout à fait tort sur un point. Ma sœur ressemble bien à un bœuf dans une corrida. Et pour être plus précis : à un chien en cage. Mais tu devrais t’en méfier. Il est loin, celui qui réussira à la briser entièrement.

Oui, entièrement. Il serait hypocrite de prétendre qu’elle n’avait pas déjà été à moitié brisée dans le passé par James, autant mentalement que physiquement. Ils ne pouvaient pas occulter toute une partie de leurs vies. Mais ils avaient réussi à se relever, à se reconstruire à leur rythme. Ils étaient devenus bien plus forts qu’avant : ils n’étaient plus des enfants qu’on pouvait manipuler.
Charly lâcha l’épaule de sa sœur pour suivre Robbie, laissant Dany redescendre en pression. Heureusement qu’il était là : plus calme, plus diplomate, gardant toujours les idées claires.

Charly : Pour ta gouverne, on est bel et bien des invités ici —

Contrairement à Dany, lui n’avait pas oublié le nom qu’on lui avait soufflé dans la barque.

Charly : — L’invitation vient d’Helel.

Est-ce que ce nom allait faire réagir Robbie, comme l’homme de la barque l’avait laissé entendre, ou allait-il encore une fois éclater de rire ? En tout cas, du côté de Dany, la révélation n’était pas plaisante. Elle aurait préféré ne rien dire, avancer par leurs propres moyens et ne pas se faire remarquer ainsi.



@Helel

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Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« Dernier message par Anéa le mardi 25 novembre 2025, 15:47:10 »
J'épouse Tinu ! (Il sera content x3 )
J'esclavagise Astral (plein de mecs à mes pieds, uhuh).
Désolée Mahès. *PAN !*

Kilian Piers, Lucian Kalvenhaar et Randal Dragunov.  :-*
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Prélude / Re : La fille aux mille ailes - Séliane Noctelume [Vanéalidée !]
« Dernier message par Randal Dragunov le mardi 25 novembre 2025, 14:47:46 »
Hello, m'dame ! Vous faites les illuminations de noël aussi ?  8)
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Le coin du chalant / Professeure ou princesse ? Telle est la question.
« Dernier message par Séliane Noctelume le mardi 25 novembre 2025, 14:15:45 »
Chalant de Séliane NOCTELUME


Méthodes de Communications
A la suite de ce post bien entendu  ;)

Niveau d'Activité et Niveau Recherché
Si l'envie vous en dit d'écrire en ma compagnie, votre niveau d'activité et niveau d'écriture n'ont pas d'importance tant que l'on communique.

Les sujets tabous ou non-désirés
Nous ne touchons pas aux êtres sans défenses ! Ceci est un point d'honneur.
Urophilie
Scatophilie
Violences (faire saigner gratuitement, faire souffrir....)

Les paramètres acceptables
Tout ce que je n'ai pas cité ci-dessus.

Les Trames
Ceci est ma première journée à la Fac en tant que Professeur, étudiants, professeurs ou cadres sont les bienvenus.
Je n'ai pas encore trouvé d'appartement, donc une colocation ou une proposition d'appartement pourquoi pas.
Nous nous sommes bousculés dans les couloirs ou la rue et un papillon luminescent s'est malencontreusement retrouvé accroché sur vous.
Si vous avez d'autres idées, je ne suis pas exigeante.

Les Doublettes
Une doublette ? Qu'est-ce donc ?

A la recherche de nouveaux joueurs ou pas ET actif.
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Prélude / Re : La fille aux mille ailes - Séliane Noctelume [Vanéalidée !]
« Dernier message par Séliane Noctelume le mardi 25 novembre 2025, 13:48:30 »
Grâce vous soit rendue Dame Anéa !
Et merci à vous Sieur Piers. Toutefois, vous me voyez navrée mais je ne connais pas cette Deirdre. Est-ce une fée de ma planète ? Car ce nom ne me dit rien.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le mardi 25 novembre 2025, 13:28:47 »
La sorcière se contente d'un rire amusé devant la réaction de Randal à sa sortie en anglais. Ses prunelles sombres ne le quittent pas un instant qu'il vient finalement tester la gorge des trois jeunes femmes. Si elle connaissait l’expression « avoir les yeux plus gros que le ventre », elle pourrait penser qu'elle avait été inventée spécialement pour ce genre de scènes. N'ayant probablement jamais eu l'occasion de sucer un tel mandrin, les trois amies s'étaient montrées trop gourmandes, trop vite. Et son amant avait l'air d'apprécier les étouffer sur sa queue raide et déjà luisante de salive.

Prenant son temps, Céleste laissa sa main glisser entre ses cuisses. Écartant la dentelle qui la recouvrait, ses doigts se mirent à frotter sa fleur et son bourgeon. D'abord doucement, légèrement, puis de manière plus appuyées à mesure que son regard buvait la scène devant ses yeux. Le petit concours pour savoir qui réussit le mieux à engloutir le sexe brûlant du colosse l'excite. Deux doigts ne tardent pas à pénétrer son intimité tandis que sa paume frotte contre sa perle. La brune est alanguie dans son fauteuil, se masturbant sans honte en voyant la verge du mafieux s’enfoncer de moitié dans les gorges inexpérimentées qui sont face à lui.

Enfin, il semble qu'il ait réussi à départager les trois amies. Le regard de l'immortelle se pose longuement sur la gagnante aux cheveux bleus, amusé, alors que le prix du concours est dévoilé.

Se levant avec grâce de son fauteuil, léchant ses doigts en s'approchant de manière féline du quatuor, Céleste rejoint finalement son amant. Et quand elle enroule ses doigts graciles autour du vît turgescent et luisant, un gémissement sourd s'échappe de ses lèvres.

« Oh, Sugar… Elle est énorme et délicieusement raide ! »

Avec un sourire en coin lorsqu'il rappelle sa promesse, la brune se glisse sous son bras pour se coller à son flanc, son propre bras s'enroulant tour de la taille de l'homme tandis que l'autre main -qui le branlait fermement pour maintenir le plaisir- restait ancrée sur son sexe. S'il fallait qu'elle laisse la jeune femme aux cheveux bleus se faire recouvrir le visage du foutre de son amant, elle allait le traire elle-même jusqu’à ce que la jouissance arrive.

S'agrippant à la hanche de Randal, Céleste ne peut s’empêcher de l'encourager alors que ses doigts glissent contre l'épaisse tige de chair.

« Je veux te voir lui gicler tellement de foutre sur la gueule qu'elle aurait besoin d'une bassine pour tout récolter, Sugar. Je veux sentir chaque tressautement de ta queue tandis que tu lui repeins le visage... Oh oui, comme ça ! Vides-toi bien… »

La prise de la sorcière ne faiblit pas contre la queue qui déverse de grands jets de sperme poisseux contre la peau claire de la jeune femme. Elle se fait recouvrir le front, ses yeux fermés, le nez et les joues alors que Céleste dirige implacablement les flots qui s'échappent du sexe érigé. L'immortelle se frotte d'ailleurs contre le flanc de Randal tandis qu'elle poursuit son œuvre.

Ce n'est que lorsqu'elle sent que les jets faiblissent et perdent en intensité qu'elle change alors l'orientation du mandrin brûlant, offrant une giclée à la blonde, puis à la rousse, et ainsi de suite jusqu’à ce qu'il n'y ait plus rien.

Enfin, la gourmande sorcière se penche en avant pour venir diriger la queue entre ses lèvres, l'avalant sans sourciller jusqu’à ce que ses lèvres touchent la base. Elle fait quelques allers-retours, nettoyant de sa langue la friandise qu'elle brûle de retrouver en elle à ravager ses reins comme il lui a promis.

« A mon tour, susurre-t-elle en le relâchant et en lui prenant le téléphone des mains pour le donner à la vendeuse blonde afin qu'elle continue de filmer. Ruines-moi le cul, Sugar, qu’il suinte de ton foutre jusqu’à la fin de la nuit. »
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Prélude / Re : La fille aux mille ailes - Séliane Noctelume [Anéa]
« Dernier message par Anéa le mardi 25 novembre 2025, 12:22:27 »
Bonjour et bienvenue sur LGJ !  :D

Quel lourd fardeau sur ces petites épaules, je te souhaite bien du courage !

Tu es validée, alors amuse-toi bien !  ;D
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