Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le Aujourd'hui à 20:59:46 »
Comme les chevaux, les licornes savent nager ~ et cette licorne sait prendre forme humanoide, donc elle peut meme faire la brasse lol
Grayle - ça serait avec plaisir, tu as une idée de rp ?
2
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le Aujourd'hui à 19:00:19 »
Surfant sur les vagues de plaisir qui la ravagent, Calamity ne sait plus où donner de la tête, tirant légèrement sur les chibres de nouveau raides qu’elle tient pour venir les inciter à se frotter contre sa poitrine. Elle n'écoute que d'une oreille, ne comprenant pas forcément ce qui se dit avec l'esprit autant sollicité par son orgasme, mais comprend très vite quand Tank lui ordonne de venir se mettre à genoux par terre après s'être retiré d'elle. Lui occasionnant par la même occasion un geignement plaintif de ne plus se sentir aussi remplie.

A genoux, assise sur ses talons, la belle ne voit rien de ce qui se passe mais ressent l'approche des deux jeunes. Gémissant sourdement, elle redresse le buste pour mettre en valeur ses seins pointant avec arrogance, et ses mains viennent aider les inconnus à caler leurs chibres contre son visage. Elle pousse même le vice jusqu’à ouvrir la bouche et laper les couilles qui se présentent parfois, ou bien un gland près de ses lèvres, rendant les photos prises encore plus érotiques.

Quand ils s'écartent finalement, laissant des traînées de sperme et de liquide séminal maculant ses joues, Présage peut sentir que c'est le colosse qui se présente ensuite à sa bouche déjà ouverte pour l'accueillir. Avec moult gémissements assourdis par la queue qui coulisse rapidement entre ses lèvres, la jeune héroïne ne se prive pas pour saliver abondamment, lubrifiant le sexe qui goûte sa cyprine.

Ses mains, laissées désœuvrées, viennent alors frotter son bourgeon tandis que Tank la pousse à reculer la tête jusqu’à ce qu'elle soit bloquée par l'assise du banc derrière elle. Et si, jusque là, il ne touchait qu’à peine sa glotte, la profondeur changea rapidement. C'est une Calamity ravie qui accueillait le reste de la trique bandée au plus profond de sa gorge, , bavant toujours plus sans que ce ne soit cette fois volontaire. Elle se tortillait également, frottant frénétiquement sa perle, alors qu'il venait cogner avec ferveur contre les parois cannelées de sa trachée.

La blonde ne veut pas le laisser se retirer de ses lèvres alors qu'ils étaient si bien partis, et ses lèvres se resserrent sur le manche qui recule, tentant de le contrer en l'aspirant toujours plus. Il n'est pas faux de constater que la belle est insatiable, une fois lancée. Un petit soupir plaintif suivit le « pop » du gland qui s'échappait de ses lèvres, et Présage avait adopté une moue boudeuse.

Qui s'effaça rapidement quand son amant retira la cape qui couvrait son visage et la reprit contre lui, sur sa queue veineuse toujours dressée.

« Oooh, Tank, soupira-t-elle contre son oreille. Qu’est-ce que j'aime ce que tu me fais faire ! »

Regardant autour d'elle pour se rappeler où ils étaient, la belle ondula ses reins en s'accrochant aux larges épaules de son amant et lui susurra les prochaines instructions pour se rendre à son appartement.

« La prochaine à droite. Mmmh… Au stop à gauche. Aaah, oui… La deuxième à gauche. Oooh… A droite encore une fois. Mmmh, Tank… Ah, on y est.

Descendant finalement de son perchoir, après avoir gratifié Tank de quelques minutes de twerk contre lui, sur sa queue, la blonde tape le digicode afin d'ouvrir la porte d'entrée, laissant le colosse voir qu'il s'agissait de 04567.

« 6éme étage. Avec ascenseur. Et à cette heure-ci, soit les voisins sont en soirée, soit ils dorment. Il ne devrait y avoir personne pour nous déranger si on retient un peu l'ascenseur…, sourit-elle, taquine. »

Après l’ascenseur, le numéro de la porte de son appart était le 33. Juste en face des portes de l'ascenseur. Et elle laissait toujours sa porte déverrouillée, ne craignant pas vraiment de se faire dévaliser sans que son instinct le sente.
3
Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Ryo le Aujourd'hui à 17:32:53 »
“Tiens putain! Prends ça!!”

Le coup de reins de Ryo propulsa le corps de Cora vers le haut. Il la baisait comme un animal sauvage s’acharne sur sa proie.

Cela faisait une demie heure qu’ils étaient arrivés à l’appartement de l’américaine et ils avaient déjà entassé le peu d’affaires qu’elle avait dans l’entrée. Pour l’essentiel, il s’agissait de fringues, et les rares autres trucs à prendre étaient rangés dans un carton que Ryo avait récupéré sur un autre palier. L’endroit était petit et le flic y semblait immense. Il avait regardé son petit cul préféré s’affairer et entre sa paire de fesses se dandinant et ses loches ballotant à chaque mouvement, il avait subitement eu envie de la niquer. Le cuir râpeux avait rejoint celui de Cora sur la canapé et il avait coincé sa petite salope contre une fenêtre donnant sur une cour, avec un vis à vis.

Et là, il la tringlait comme un soudard. Cora avait son jean et sa culotte sur les chevilles et son top était relevé au dessus de ses nibards. Il la verrouillait sévère et elle avait la gueule contre la vitre, sa joue y marquant de la même manière que ses seins aplatis. Ryo lui tenait les bras dans le dos, d’une seule main, et de l’autre, s’ancrait à sa tignasse.

“Bordel de merde! J’adore quand tu te comportes comme une chienne.”

Il la déboitait et s queue foutait un sacré boxon dans le vagin trempé de la nympho. Au début, ça avait été brutal, il avait voulu l’enculer mais s’était foiré par deux fois. Elle était sèche et lui, trop pressé. Alors, d’un coup, il avait fléchi les jambes, avancé le bassin et était remonté violemment en la transperçant. il avait gueulé presque aussi fort qu’elle et pensait s’être déchiré le frein. Mais non, ça avait tenu et là, il la défonçait. le premier connard qui regardait par sa fenêtre pouvait les voir s’envoyer en l’air.

Cora l’avait chauffé ... sans rien faire. Elle avait juste été elle-même et cela avait suffit. le flic avait été pris de pulsions qui lui avaient tordues le bide et le feu de son regard avait fait écho à la manière dont il avait attrapé Cora.

Sa poigne se fit plus dure, elle en garderait des marques. Ses ruades frénétiques et désordonnées ne laissaient pas une seconde de répit à Cora.

“Encaisse! Ouais bordel encaisse! t’es faite pour te faire sautée comme une pute.”

Il plombait un fourreau brûlant et totalement trempée. Il aurait foutu sa bite dans un chaudron de soupe sur le feu que cela aurait été la même chose.
Cora n’était pas shootée et morflait. Ça, c’était le pied. Ils en avaient parlé sur le chemin de l’aller. Il avait joué le jeu et était allé dans son sens. Ouais ... pas trop, un peu les soirs de sortie ou les weekend peinards. S’agirait pas de la griller au boulot et qu’elle finisse en taule. La législation sur les stups était raide au Japon...

“Pu ...”

Il gicla en elle et si Cora était réceptive, elle comprendrait qu’il venait de lui remplir l’utérus. A voir pour les résultats ...
Mai ce n’est pas pour autant qu’il cessa et si elle ferait l’erreur de se foutre à genoux, il la ferait dégueuler à lui bourrer la gueule.
4
Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le Aujourd'hui à 07:45:32 »
Elle chantait encore son nom, avec une note harmonieuse comme elle savait le faire. Ses lèvres étaient entreouvertes pour laisser passer des séries de gémissements presque sans fin, une mélodie qui envahissait complètement la salle de bain, couvrant presque le son de l'eau qui déferlaient sur eux. Il pouvait presque goûter sur sa peau le plaisir qu'elle ressentait sous la forme des perles de sueur qui, sous les gouttes d'eau de la douche, disparaissait à leurs pieds aussitôt étaient-elles apparues. Elle lui demanda, presque ordonna, qu'il poursuive, qu'il ne s'arrête pas un seul moment, et son endurance sembla presque même encourager le vampire, qui en oublia alors qu'il avait affaire à une amatrice dans le domaine.

Enfin… amatrice…

Lorsqu'elle se pencha devant lui, les bras contre le mur, le dos arqué, pressant ses fesses contre son bassin pour le faire reculer, et lui demanda de la prendre plus fort encore, il ne sût vraiment s'il aurait même pu la considérer comme telle. Et donc, il se concentra juste sur elle, sur ses désirs qui, de toute façon, mènerait à son propre plaisir. Les mains d'Hadrian se posèrent sur les hanches pleines de la gorgone, ses ongles de nacre se déformant subtilement pour éviter d'entailler cette peau sensible, fragile et exquise.

Il continua donc, inlassablement, de pistonner sa belle amie, d'abord en lui tenant les hanches à deux mains, puis s'appuyant d'une main contre le mur pour s'éviter de se le prendre en pleine tête. Plus elle gémissait, et plus longtemps encore continua-t-il son ouvrage, inlassablement, jusqu'à ce qu'une idée lui vienne en tête.

Un peu plus tôt, il lui semblait que la jeune femme avait eu une espèce de petit gémissement quand le jet au sol s'était activé, et pas simplement de surprise. Il jeta rapidement un coup d'œil au sol, et ajusta très légèrement la position de la jeune femme pour l'aligner au-dessus du jet, et du pied lui écarta les jambes de quelques centimètres de plus, avant de se pencher sur elle et de poser un baiser sur son épaule.

"Pardon," souffla-t-il à l'oreille de Cypress.

Il ne s'excusait pas vraiment; il n'y avait aucune sincérité dans ce mot, mais il crut que cela n'était que politesse de lui présenter des excuses alors que sa main posée au mur ne touche la télécommande de la douche, et qu'il presse deux boutons. L'instant d'après, un son de moteur émana du mur et une petite vibration se fit de nouveau sentir du sol, et en moins de deux secondes, le jet du sol expulsa contre l'intimité de la jeune femme une eau à forte pression. Le chaud liquide, concentré en un trait continu, frappa directement entre les cuisses de la jeune femme, et martela sans pitié son bourgeon d'amour.

Et alors que l'eau sous pression stimulait encore plus qu'il n'aurait pu le faire à la main ce petit bout de chair gorgé de sang, le vampire augmenta encore la vitesse de ses coups de rein, stimulant encore plus cette pauvre femme dont la féminité devenait un geyser de sensations. Et si ses jambes venaient à se dérober, nulle crainte, car la main d'Hadrian avait quitté sa hanche pour venir se poser contre son abdomen, lui offrant son support.

Bientôt, le vampire dût cependant se rendre à l'évidence; il ne tiendrait pas plus longtemps, parce que non comptant d'être stimulé par un coït intense, les vibrations du jet d'eau qui frappait contre l'intimité de Cypress se répandaient également en elle, et le vampire tenait déjà aux derniers fils de sa raison, alors que le plaisir grimpait encore d'une case. Et encore d'une.

Il se pencha sur elle et, instinctivement, son emprise se resserra, alors qu'il posait ses lèvres contre les siennes.

"Je ne tiens plus… Ma douce Cypress…" dit-il entre deux baisers, pressant son bassin contre les fesses de la jeune femme.
5
Le soleil est haut, éclatant, brutal.

Les façades de béton clair et de verre poli, typiques du campus japonais, renvoient une lumière si nette qu’elle en devient presque coupante. Les escaliers métalliques extérieurs, fixés contre l’aile des professeurs, brillent comme des lames chauffées par le jour.

Au milieu de cette clarté uniforme, Séliane Noctelume se déplace, et quelque chose, imperceptible aux yeux humains, s’infléchit autour d’elle.

Ce n’est pas une ombre. Ce n’est pas une magie. C’est une présence nocturne, douce mais distincte, comme un écho de lune oublié en plein midi.

Pour les mortels, elle reste simplement élégante, un peu trop calme peut-être.
Mais pour toute créature non humaine, sensible aux nuances que le jour efface, son aura s’étend comme un reflet de nuit sur l’eau en plein soleil.

La lumière autour d’elle semble légèrement moins agressive. Les contours du monde se font un souffle plus feutré. La chaleur du béton lui-même semble hésiter à la toucher.

Son papillon translucide, lui aussi, révèle alors une nature différente : sous le soleil, la lumière passe à travers lui, mais pour un œil non humain, elle se plie légèrement, comme sous l’influence d’une lueur lunaire invisible.

Elle tient un sac de papier rempli de figues entre son buste et le creux de son bras gauche, un autre fruit dans la main droite.

La pulpe sombre qu’elle goûte ne reflète pas le soleil : elle l’absorbe, comme un murmure de crépuscule dans un monde trop brillant.

Elle avance.

Un bruit sec éclate soudain : frt...ploc... et une boule de papier roule jusqu’à ses pieds.

Elle relève les yeux, et son regard se pose sur la balustrade du troisième étage, où un professeur aux cheveux blancs en bataille lutte avec ses notes, sa colère et sa fatigue. Sa frustration crépite dans l’air comme de petites étincelles.

Pour un humain, la scène est banale. Pour un non humain, la rencontre entre la nervosité électrique de cet homme et la présence discrètement nocturne de Séliane crée un contraste presque audible.

Elle se penche. Le sac bascule, trois figues roulent.

Et alors, juste un instant, à peine un souffle, sa présence semble atténuer la lumière du soleil autour d’elle. Un minuscule repli de jour. Une respiration nocturne. Rien de visible… mais tout à fait sensible pour ceux qui disposent de sens plus vastes.

Le papillon, lui, descend lentement, ses ailes iridescentes laissant une traînée si ténue qu’elle n’existe pas pour les humains, juste un tremblement subtil dans l’air, comme un frisson de nuit.

La fée royale se faisant passer pour une humaine ramasse d’abord les figues, puis la boule de papier.

La manière dont elle déplie la feuille est silencieuse, lente, presque liturgique. Quelques mots. Une maladie végétale. Une urgence. Une peur.

La feuille semble soudain perdre sa nervosité dans ses mains, comme si, là encore, son aura nocturne laissait retomber la colère dont elle était imprégnée.

Elle referme la page. Lève le visage.

Le soleil frappe son profil… mais refuse d’en ternir la douceur. Autour d’elle, pour des yeux non humains, sa silhouette est cerclée d’une lueur subtile, pas lumineuse, mais ombrée, comme si une nuit discrète persistait tout autour d’elle malgré le jour.

La jeune femme s’avance. Trois pas. À l’endroit exact où, si l’homme se penche, il ne pourra manquer sa présence, même si une part de lui aura peut-être l’impression de la "remarquer" avant de la voir.

Sa voix s’élève alors, douce mais portée par une résonance calme :
"Monsieur…"

Un souffle. Une note suspendue, étrange, comme si le son avait une ombre.

La professeure lève la feuille.
"Je pense que vous cherchiez ceci."

Le papillon se stabilise à côté d’elle, ses ailes renvoyant une lueur pâle qu’aucune lumière solaire ne devrait produire. Une trace de nuit dans le plein midi.

Et dans cette cour brûlante, bordée de béton et d’acier, Séliane Noctelume est la seule chose qui semble appartenir au crépuscule.
6
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 07 décembre 2025, 23:17:21 »
Demander aux deux geeks de s'activer semble efficace car ils obéissent rapidement à ma demande. Enfin bon, soyons francs, c'est surtout qu'ils n'en pouvaient plus à force d'entendre en femme couiner comme une chatte en chaleur en leur tenant le manche. En dehors de leurs esprits loufoques, cela n'a dû arriver que dans les vidéos pornos qu'ils ont trouvés sur internet. Vivre ce genre de situation vous changer un homme. D'ailleurs ils me font bien rire en me demandant si on fait ce genre de sexcapades souvent.


- Justement, on voulait tenter un truc nouveau ce soir. Et ça semble lui plaire.


Ses gestes confirment la chose car elle se tend comme un piquet sur un énième coup de bite de ma part. Me voilà à souffler comme un sanglier à cause de la pression exercée par sa chatte sur mon membre durant les secondes qui suivent. Un spectacle qui ne laisse pas ses camarades de jeu du moment de marbre. Ils sont tous fous et ne savent plus où donner de la tête les secondes qui suivent.


- Vous avez raison, c'est un moment important. Il faut marquer le coup et garder un souvenir. Sortez vos téléphones.


Pendant qu'ils s'exécutent j'en profite pour remettre quelques coups de reins à la blonde qui tremble encore au bout de ma bite. Et quand elle commence à redescendre un peu, je me retire très lentement. Ce n'est qu'une fois le membre à l'air que les ados réalisent ce qu'elle se prenait depuis le début. En même temps tout est imposant chez moi. C'est ainsi que la nature m'a fait et je ne peux rien y changer.


- Descends et mets-toi à genoux. Oui, comme ça, par terre. C'est là qu'est ta place après tout.


La commande exécutée, je me tourne vers les deux jeunes qui s'étaient reculés un bref instant pour leur dire de venir la rejoindre en se mettant chacun d'un côté d'elle. Toute cette situation semble émoustiller la belle blonde qui se retrouve bouche et menton dévoilée et dont seul la moitié supérieur de son visage est masquée. Ainsi que l'opulente et indécente poitrine déborde de son costume maltraité.


- Quant à vous deux, collez vos queues contre son visage par-dessus sa cape. Et prenez autant de selfies que vous voulez.


Cette proposition ne tombe dans dans l'oreille de sourds vu la vitesse avec laquelle ils se précipitent pour prendre ce qui va être le tournant de leur adolescence. Au début ils viennent s'écraser contre elle en prenant soin d'éviter de se frotter contre les restes de sperme de l'autre. Plusieurs clichés sont donc mal cadrés ou flous. Mais ils finissent par parvenir à leurs fins en levant chacun un bras. On peut voir leurs visages, leurs bites sales et une femme agenouillée entre eux à moitié à poil.

Histoire de leur offrir un petit bonus, je m'approche d'eux avec la trique toujours dressée et qui forme un angle droit avec le reste de mon corps. Mon gland se présente bien vite aux lèvres de la blonde alors que les jeunots reculent de quelques pas. L'un d'eux décide de filmer cette fois mais je l'arrête.


- Tututut ! Tu peux prendre d'autres photos si tu veux, mais pas de vidéo. Après, peut-être que tu verras en apparaître sur le net à l'avenir.


Il sera pas difficile pour les personnes qui verront un jour toutes les photos prisent ce soir là d'en déduire que la femme qui apparaît dessus est une seule et même personne. Au début je me contente d'enfoncer qu'un tiers de ma bite pour la faire baver copieusement dessus à un rythme rapide. Mais très rapidement je me mets dans l'idée de la faire reculer jusqu'à ce que sa nuque vienne se coincer contre le banc. De là, je pose mes mains sur le dessus du mobilier urbain pour m'offrir un angle en diagonale pour mieux visiter sa gorge.
Des sons humides et de respirations compliqués se font entendre. Un autre spectacle qui ravit les jeunes qui en profitent le temps que ça durera car mon uniquement but est de les amuser avant de m'arrêter au bout de 2-3 minutes.


- Bon, faut qu'on y aille. Je veux pas rameuter tout le quartier en la faisant hurler.


Faire quitter ma queue à cette ventouse qui lui sert de bouche n'est pas simple au premier abord. Le *pop* qui suit me fait frissonner et je ne perds pas mon temps pour la faire reprendre sa position initiale une fois les intrus partis car elle sera plus à l'aise sans la cape sur sa face. Sans parler de l'odeur de sperme qui doit l'imprégner.

Cette fois, direction son appartement.
7
Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le dimanche 07 décembre 2025, 20:42:57 »
Céleste, toujours aux prises avec les lames de fond de plaisir qui ravagent son corps, ne redescendait pas vraiment de son orgasme. Elle était incapable de dire qui faisait quoi, elle pouvait juste profiter de la langue qui fouillait sa féminité abondement trempée, de la queue qui fourrageait son cul avec férocité, de la main qui maltraitait délicieusement un sein au téton rigide…

Vaguement, elle entendit la jouissance de Shana. Elle ne s’en étonna pas. Les doigts du mafieux sont tellement bons… Rien que d’y penser, des souvenirs défilaient dans sa tête. Et ça ne l’aidait certainement pas à reprendre pieds avec la réalité.

« Okay, okay. Pousse-toi ma belle, j’prends la place ! Va donc voir s’il peut te faire jouir plus vite que moi avec ses doigts ! S’écria la vendeuse blonde après avoir posé le téléphone pour qu’il filme la scène, et Shana en train de se remettre en arrière-plan. »

Elle se mit à genoux devant le couple emboîté ensuite, ses mains caressant les cuisses de la sorcière et celles du malfrat, avant de pencher la tête pour donner un grand coup de langue qui commença contre les bourses sur-sollicitées et qui se termina contre les lèvres gorgées de nectar de la belle immortelle. Puis elle se mit au travail, alternant également entre les deux. Aspirant les couilles de Randal, elle glissa deux de ses doigts manucurés dans la fente ouverte qui s’offrait à elle. Elle n’avait pas pu en profiter, plus tôt, Céleste ayant refusé son toucher féminin. Mais maintenant que la brune n’était plus en état de savoir qui s’occupait d’elle…

Son autre main venait palper tour à tour les boules qu’elle délaissait ou le fessier musclé qui ravageait sa compagne. La scène était tellement excitante que la blonde sentait sa culotte détrempée laisser passer son nectar qui coulait le long de ses cuisses fuselées. Elle comptait bien profiter de sa position pour récolter autant le foutre que la cyprine et elle s’y consacrait tout entière pour sentir les bourses du colosses se contracter quand il se libérerait enfin une nouvelle fois.

La rouquine, impatiente de se retrouver dans l’état de Shana, n’avait pas perdu de temps pour venir s’installer à côté de Randal. Dans son empressement, elle avait attrapé la main du mafieux pour la coller contre sa petite chatte ruisselante. Pour se fourrer ces gros doigts et les sentir étirer ses parois intimes, cogner contre chaque point sensible que recelait sa fleur. Comme Shana, elle avait libéré toute son opulente poitrine pour qu’il s’en occupe également, la lui collant presque sous le nez alors qu’elle commençait déjà à gémir, à se trémousser sur sa main.

« Ha, putain, ouais ! Vas-y plus fort mon grand ! S’écriait-elle alors que toute l’excitation de la situation se changeait en un tourbillon de désir qui inondait son être. »

Et Shana, toujours hagarde, observait le tout depuis le canapé où elle était affalée. Les jambes tremblantes, elle n’osait pas se relever tout de suite. Mais ses mains jouaient avec sa poitrine malmenée, caressant la marque des dents du mafieux sur sa chair pâle, tressaillant à chaque effleurement alors que les élancements de plaisir revenaient à la charge.

« Sugar… Supplia soudain l’immortelle, le corps arqué autant contre les doigts qui la fouillaient que contre le chibre qui s’y fourrait. Remplis-moi… Fais-moi tienne… Aaah, marques-moi comme… Mmmh… Ta propriété… Balbutia-t-elle dans son oreille alors que sa tête reposait sur l’épaule du colosse. »

Ses propres mains étaient occupées à maltraiter son autre sein et à griffer le dos de Randal, ou ce qu’elle pouvait en atteindre, s’agrippant parfois à ses cheveux.
8
Les alentours de la ville / Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 07 décembre 2025, 19:09:50 »
Catalina se retrouvait déjà haletante alors qu’ils avaient à peine commencé. Mais la main dans ses cheveux, sur son crâne, faisant danser dans son esprit les images de ce qui s’était produit dans la voiture. Elle brûlait de désir depuis tout à l’heure et ce feu ne s’éteignait pas. Il se décupla, au contraire. Et quand elle grimpa sur le bar, exposant sa féminité gorgée d’envie, qu’elle l’invita à s’y installer…

« Ooooh, Vance… Soupira-t-elle en adossant ses épaules contre le miroir, offerte, ouverte, palpitante à l’idée de le sentir en elle. Alors ne te retiens pas, encouragea-t-elle dans un gémissement, flattée, avide. »

Et ses gémissements montèrent crescendo tandis qu’il envahissait sa fleur, qu’il s’insérait jusqu’à ce que leurs corps soient parfaitement emboîtés. La brune s’agrippait aux rebords du bar, fermement maintenue contre le miroir, les traits défaits tandis qu’elle se laissait gagner par la délicieuse chaleur du plaisir. Par l’impression d’être complète avec cette trique fichée au fond de ses reins.

Ses lèvres s’ouvrirent de nouveau pour lui répondre, pour l’encourager à la remplir, à la démonter comme il le fallait, mais ce ne furent que des gémissements qui s’en échappèrent, des halètements d’extase alors qu’il entamait ses mouvements, coulissant entre ses cuisses avec ferveur.

« Oooh, put-ain… Oui… Ravages-moi, remplis-moi…, parvient-elle finalement à prononcer tandis que ses parois intimes se contractaient autour du vît. »

Elle n’avait pas trop de latitude, ainsi perchée sur le meuble. Elle pouvait subir -avec délice- et l’encourager. Ses mains relâchèrent les rebords auxquels elle se tenait pour s’agripper aux avant-bras qui la maintenaient, y laissant probablement la marque de ses ongles quand il touchait un point particulièrement sensible au cœur de sa féminité. La tête appuyée contre le miroir, le chemisier ouvert dévoilant sa poitrine qui bougeait au rythme des coups de reins, la veuve devait être la vision de l’indécence personnifiée. Elle ne recherchait la validation de personne et se montrait telle qu’elle était, ne craignant pas de s’exhiber au regard de l’ancien athlète qui la remplissait si bien. Ses lèvres avides formaient des sons de délices alors qu’elle ne croyait pas être capable d’articuler autre chose.

Toute à ces émois, l’ancienne tueuse ne prêtait aucune attention aux ombres qui se dessinaient sous la porte d’entrée. Focalisée sur la silhouette imposante de Vance qui s’affairait entre ses cuisses, qui lui offrait la réalisation de fantasmes pourtant enterrés depuis longtemps, elle n’entendait pas les murmures de l’autre côté de la porte. Et ses gémissements devaient les couvrir également pour l’ex-catcheur devenu homme d’affaire.

« Oooh, c’est si…. Mmmh… Bon ! S’exclama-t-elle en tentant d’arquer ses reins le plus possible pour mieux le recevoir en elle. Encore… Meilleur… Que dans… Mes fantasmes… Halète la trentenaire dont le corps tremblait d’euphorie. »

Ainsi lancée, ainsi embrasée, Catalina en voulait toujours plus. Toujours plus fort. Plus profond. Plus obscène et indécent. Elle détacha l’une de ses mains pour la glisser contre son pubis, descendant un peu plus et frottant son bourgeon de sa paume tandis que son index et son majeur s’installaient de chaque côté du chibre qui allait et venait en son sein. Elle resserrait les doigts contre la chair lubrifiée qui lui faisait ressentir autant de plaisir, le comprimant à chaque entrée et sortie tandis que les mouvements de sa paumes étaient presque frénétiques.

Au moment où elle atteignait l’apogée, l’extase de l’orgasme, la porte de la suite s’ouvrit en trombe pour laisser passer trois hommes armés qui leur hurlèrent de lever les mains tout en refermant la porte d’un coup de pied.

Prise par surprise, le premier réflexe de la brune fut de balancer l’un des verres pleins dans leur direction tandis que son corps était secoué de spasmes d’un plaisir si intense qu’elle n’était pas certaine de ne pas avoir halluciné l’intrusion. Qu’elle se verrouillait autour de la trique qui la pourfendait avec ardeur, le compressant autant de ses cuisses que de ses chairs.
9
One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 07 décembre 2025, 18:06:39 »
L’héroïne blonde n’avait clairement plus l’air aussi glorieuse. Martelée d’un côté par le chibre épais du malfrat, faisant bouger son opulente poitrine qui servait à branler un jeune geek face à elle pendant qu’elle branlait le second à ses côtés, le tout avec une cape violette lui couvrant le visage. Mais la jeune femme adorait ce traitement et elle se donnait à fond. Ses gémissements se transformaient peu à peu en cris, tandis que l’orgasme s’approchait. Les mouvements frénétiques entre ses seins ne faisaient rien pour calmer le jeu, surtout quand des jets de foutre jaillir de ce gland qu’elle ne pouvait qu’apercevoir sous les mouvements de sa cape.

« Oh, oooh, oui ! Haletait Présage alors que le liquide sirupeux collait au tissu indigo, atterrissait même contre sa gorge dévoilée. Aaaah, plus fort, encore ! Suppliait-elle d’une voix entrecoupée de petits couinements de jouissance. »

Le second type sembla prendre ses encouragement à la lettre, emprisonnant la main sur son chibre pour donner de violents coups de reins, exaltés, jusqu’à ce qu’il se décharge lui aussi dans un grognement de satisfaction. L’héroïne pouvait sentir les jets poisseux alourdir le tissu contre son visage, le collant à sa peau sur ses joues, ses lèvres, son menton. Le foutre coule le long des pans de la cape, goutte sur sa poitrine offerte, tandis que les deux jeunes hommes halètent, finalement vidés.

« Aaah, m’sieur, merci !, s’exclame l’un d’eux en utilisant la main toujours sur son chibre pour essuyer le sperme qui macule son gland.
- Ouais, c’était super ! Vous faites ça souvent ? Ajoute le second en s’essuyant sur les lambeaux de l’uniforme de la belle. »

Et pendant ce temps, Calamity atteint enfin l’orgasme. Tout son corps se crispe, vibre, alors qu’elle redresse la tête en criant. Ses mains agrippent la première chose qu’elles peuvent -les deux chibres encore sortis qui commençaient à mollir- tandis que sa fleur dégouline contre ses cuisses tant le plaisir qui s’en échappe est abondant.

« Haaa, putain, ouiii… Couine-t-elle manquant de faire basculer la cape quand elle rejette sa tête en arrière. »

Heureusement, le sperme refroidissant colle le tissu contre sa peau. Tout juste les deux jeunes peuvent-ils apercevoir sa gorge pâle, son menton volontaire et ses lèvres pulpeuses.

« Merde… Qu’est-ce que je donnerais pas pour fourrer ma queue entre ses lèvres de suceuse ! S’exclame l’un deux d’une voix étranglé à cause de la main qui comprime délicieusement sa queue vidée. »
- On aurait dû filmer… Jamais personne nous croira… Ajouta l’autre en se rapprochant pour gifler sa poitrine arrogante à pleine main, assez peu dérangé par la prise ferme contre sa trique. »
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One Shot / Re : Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 07 décembre 2025, 16:48:03 »

Calpurnia Tanner était le joyau de la famille. Fille unique, mais pas par la volonté de ses parents, elle se voit passer tous ses caprices. A 23 ans, sa réputation dépasse les frontières de sa petite ville natale du nom de Chastity Falls. Surnommée parfois « La fleur du désert » ou « L’ange de Chastity Falls », la jeune femme était en effet toute en beauté. Une silhouette menue mais pourvue d’attributs féminins généreux, une crinière d’or que le soleil entretient, une peau pâle qui bronzait facilement, un visage d’ange avec ses grands yeux dont ont dirait que la teinte de ses iris ressemble à la couleur de la lavande et ses lèvres rosées, pulpeuses… Elle suscitait l’envie et la jalousie.

Malgré son âge « avancé », la belle était toujours célibataire. Elle aurait pu être considéré comme une vieille fille si l’on ne savait pas qu’elle entretenait des liaisons avec certains hommes qui passaient en ville. Bien sûr, ces rumeurs n’atteignaient pas les oreilles de son père, Lucius, ou de sa mère, Boetia. Les commères les plus puritaines n’en savaient rien non plus, où elles se seraient empressées de traîner le nom de cette libertine dans la boue. Si elle n’était toujours pas mariée, toutefois, c’était parce qu’aucun de ses « prétendants » n’obtenait l’approbation parentale. Autant Boetia était encline à la laisser épouser le fils du shérif, un grand gaillard aux épaules carré appelé Colton Lockwood, autant Lucius aurait préféré quelqu’un comme un autre banquier qui ne venait pas d’une petite ville perdue dans le désert. Incapable de s’entendre sur le choix du futur époux de la belle, ils rejetaient donc toutes les demandes.

Pendant que Lucius se délassait au saloon, dans les bras de la ravissante Andrea Plower, Boetia tenait la boutique en flirtant innocemment avec Marshall McCready, l’un des gardes de la banque, et Calpurnia faisait des avances au révérend Gideon Fairlove, sa dernière proie en date. Une bonne petite famille dysfonctionnelle comme il en existait tant.

Le jour du braquage, alors que la diligence repartait, Lucius se disputait encore une fois avec Boetia -tout en rangeant l’argent dans le coffre- au sujet du futur époux de leur fille unique. Calpurnia tenait compagnie au cow-boy boiteux -Buck Weaver- en l’entretenant de sujets variant de la meilleure manière de dresser un cheval jusqu’à l’arme la plus indiquée pour chasser les vautours d’une carcasse de vache. Elle voulait retirer un peu d’argent pour aller boire un coup au saloon, mais son père insistait pour qu’elle attende l’ouverture comme les autres.

Adossée au chambranle de la porte, habillée d’une robe corsetée de couleur sable dont les boutons dorés brillaient au soleil, la blonde levait les yeux au ciel en entendant la discussion de ses parents sur les attributs que devaient avoir son époux. Elle enfoui ses mains dans les poches de ses jupons -longs pour l'instant, tant qu'elle était en vue de ses parents- et échangea un regard amusé avec Buck pendant que Marshall aidait son père à vider les sacs d'argent dans le coffre.

« Il vaut mieux une tête bien faite qu’un corps de barbare, répétait Lucius pour la millième fois. A quoi ça va lui servir d’avoir un époux musclé s’il ne peut pas aligner deux pensées et faire fructifier l’argent de sa dot ?
- Et à quoi ça lui servirait d’avoir un gros cerveau s’il n’est pas capable de protéger ma petite fleur des dangers du désert ? Tu crois que réciter du Whitman lui permettra d’éviter de se faire rançonner par des bandits ? Je maintiens que Colton Lockwood est le parti le plus intéressant de cette ville. Et je refuse que mon bébé s’éloigne pour aller vivre à des milliers de kilomètres de moi ! Elle aura besoin de mon aide quand elle aura des enfants à son tour !
- Même si elle vit loin, elle aura du monde pour l’aider ! Le fils de mon ami banquier, Dale Whitmore, est très proche de sa mère et de ses sœurs. Elle ne sera pas toute seule !
- C’est non ! Et si tu ne veux pas que ton repas soit trop salé ce soir, je te conseille d’arrêter de proposer ce petit prétentieux qui ne saurait pas reconnaître sa queue de la crosse d’un révolver, Lucius. »

Bien que très puritaine, Boetia n’hésitait pas à utiliser un langage plus vulgaire quand elle était furieuse. Et son époux savait très bien qu’il devait abandonner la lutte quand elle commençait, au risque de se retrouver affamé et avec des affaires trouées sur le dos. Quand il fermerait la banque, ce soir, il lui laisserait le temps de se calmer en allant se détendre dans les bras d’Andrea.

« Calpurnia, chérie. Tu voulais retirer combien ? Et attention, je ne veux pas que tu boives autre chose que du thé ! Madame Marlowe m’a mis au courant pour la bouteille de whisky de la semaine dernière ! Ce n’est pas digne d’une jeune femme de bonne famille !
- Pèèèère !, Geignit la blondinette en ajustant la ceinture de cuir qui ceignait sa taille fine. Je ne suis plus une enfant ! Je sais ce que je fais ! Tu as bien vu que j’ai réussi à atteindre toutes les cibles à l’exercice de tir ce week-end !
- Ton père a raison, jeune fille. Tu n’es pas l’une de ces catins du saloon, tu dois te comporter avec grâce et élégance ! Complètement ivre n’est pas un état flatteur. Et si j’entends que tu nous as désobéi, je te confisque ce révolver et j’annule tes sessions d’entraînement ! Est-ce que je me suis bien fait comprendre, Calpurnia Rosalie Tanner ? »

Baissant la tête à la mention de son nom complet, la jeune femme masque le roulement de ses yeux en murmurant d’une voix penaude mais absolument pas sincère.

« Oui, mère. C’est compris. Je peux avoir 2$ ? »

Avec un soupir, sa mère se retourna en direction du coffre que son père venait de refermer. Aucun des trois -des cinq si l’on comptait les deux gardes- ne se doutaient que les choses allaient bientôt dégénérer.
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