Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rebienvenue demoiselle
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Identité : Diamant mais on l’appelle Dia ou Diams
Âge : 36 ans
Sexe : Féminin
Race : Elfe
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique : C'est une femme elfe d'une beauté envoûtante et mystérieuse, dotée d'un physique aussi gracieux qu'intrigant. Chaque élément de son apparence, de ses choix vestimentaires à sa silhouette hypnotique font d'elle une figure captivante et inoubliable, un mélange parfait d'élégance et de mystère.

Ses oreilles pointues, longues et fines, signent son héritage elfique avec élégance. Mesurant 1m70, elle est grande, élancée et incroyablement fine, arborant une taille de guêpe qui met en valeur sa silhouette féminine. Malgré sa finesse, elle possède une poitrine généreuse et bien ronde, des hanches pleines, et des jambes interminables, qui ajoutent une sensualité raffinée à sa démarche. Sa peau blanche comme la porcelaine évoque la pureté et la froideur d'une créature surnaturelle. Ses lèvres pulpeuses, d'un rouge bordeaux foncé presque noir, ajoutent une touche sensuelle et dramatique à son visage délicat.

Ses longs cheveux blancs et fins, tombant en une cascade soyeuse, encadrent son visage, tandis qu'une frange élégante recouvre son front, accentuant ses yeux envoûtants. Ces derniers, aux iris blancs comme le diamant, captivent par leurs reflets changeants, révélant des teintes multicolores selon la lumière et l'angle, comme des prismes vivants. Ses longs cils noirs renforcent la profondeur et la magie de son regard.

Elle s'habille avec une élégance sombre et ensorcelante, en robes noires courtes conçues dans des tissus nobles tels que le velours, le satin et la soie parfois transparente. Ces matières luxueuses, fluides et raffinées, suivent ses mouvements avec une grâce aérienne, épousant subtilement ses formes. Ses robes sont souvent ornées de corsets ajustés qui soulignent sa taille fine, et des manches longues et amples, ajoutant une touche dramatique et majestueuse. Les détails de ses tenues, comme les chaînes d'argent, les lanières de cuir, et ses nombreux bijoux en argent, renforcent son aura de mystère et de puissance. Quant à ses pieds, elle préfère marcher pieds nus, renforçant son lien avec la nature ou parfois en talons hauts, accentuant sa silhouette élancée et sa démarche gracieuse.

Caractère : Elle est une femme à la présence énigmatique, marquée par une impassibilité apparente qui intrigue autant qu’elle impose le respect. Ses expressions sont maîtrisées et son calme est presque immuable, donnant l’impression d’une personne difficile à déchiffrer. Cependant, cette façade sereine dissimule une grande douceur et une gentillesse sincère. Ceux qui prennent le temps de la connaître découvrent une âme généreuse, toujours prête à tendre la main à ceux qui en ont besoin.

Elle est profondément dévouée à sa communauté. Elle offre son aide sans compter aux habitants de son village, qu’il s’agisse de soigner les blessés, de résoudre des conflits ou d’apporter du réconfort. Les enfants trouvent en elle une figure protectrice et bienveillante ; elle leur enseigne patiemment à lire et à écrire, voyant en leur éducation un moyen de leur offrir un avenir meilleur.
Mais derrière cette bonté et ce calme apparent brûle une colère sourde qu’elle dissimule avec une maîtrise impressionnante. Cette rage est dirigée contre les humains, responsables de la tragédie qui a marqué sa vie : la perte de sa famille et les souffrances qu’elle a endurées en tant qu’esclave. Ces blessures profondes nourrissent une haine qu’elle s’efforce de canaliser, refusant qu’elle définisse ses actions ou son cœur.

Ainsi, elle est une femme complexe, à la fois douce et déterminée, paisible en apparence mais en guerre intérieurement. Sa force réside dans son résilience et son altruisme, car malgré la douleur qu’elle porte, elle continue de se tourner vers les autres, refusant de laisser ses propres souffrances l’éloigner de son « humanité » et de son rôle de guide ainsi que de protectrice.

Histoire : Dans les terres paisibles de Terra, caché entre les épaisses forêts et les montagnes majestueuses, se trouve un petit village isolé, un havre de paix pour ceux qui fuient un passé de douleur. Ce village est peuplé de créatures diverses : des elfes, des hybrides terranides, des gobelins et d’autres humanoïdes. Parmi eux vit Diamant, une elfe à la beauté fascinante et à l’aura mystérieuse, une sorcière respectée pour sa sagesse et ses pouvoirs.

Mais derrière cette image de sérénité se cache une histoire marquée par les ombres.

Diamant est née dans un paisible village elfique, entourée de l’amour de sa famille et de son peuple. Mais sa vie bascula brutalement quand elle était encore qu’une petite fille âgée de 7 ans lorsqu’un humain, un homme de guerre, avide de pouvoir et de destruction, fit irruption dans leur forêt. Son armée massacra presque tous les habitants, mettant le feu aux arbres ancestraux et réduisant en cendres tout ce qui était cher à Diamant. Elle vit sa mère mourir sous ses yeux en voulant la protéger, assassinée par cet homme cruel qui riait de son acte. Diamant fut donc arrachée des bras de sa mère et réduite en esclavage. Elle et quelques autres survivants de son peuple furent donc épargner pour être vendus comme des marchandises ou mis en esclavage comme elle au service de cet homme qui décida de la garder car il était fasciné par sa beauté délicate.

Diamant grandit dans l’enfer de la servitude par cet homme qui devint son maître, qui était un homme violent et tyrannique, la forçant à travailler sans relâche, à endurer des humiliations et des maltraitances constantes. Elle n’était qu’un objet à ses yeux, tout comme les autres esclaves de son domaine d’ailleurs.

Mais lorsque Diamant entra dans l’adolescence, son maître devint encore plus cruel et il commença à la considérer comme un jouet personnel, brisant son innocence en lui volant ses premiers moments intimes en abusant d’elle à répétions, lui laissant à tout jamais des cicatrices invisibles mais profondes dans son âme. Ce comportement ignoble n’était pas réservé qu’à elle ; il se croyait tout-puissant, utilisant tous ses esclaves comme des biens jetables.

Malgré ces années de souffrance, Diamant garda au fond d’elle une étincelle d’espoir et une rage silencieuse, espérant un jour pouvoir sortir de cet enfer. Et lorsque l’occasion se présenta, elle rejoignit un groupe d’esclaves partageant son désir de liberté, qui voulaient se révolter face à cet être ignoble qu’était cet homme qui avait détruit leurs vies et familles à tous. C’est donc ensemble qu’ils mirent au point un plan audacieux pour se libérer de leurs chaînes.

Leur rébellion fut brutale et sanglante. Le maître tyrannique et son personnel furent assassinés par les esclaves, mettant fin à des années de terreur, Diamant s’occupant personnellement de leur maître. Elle avait pour mission de passer la nuit avec lui afin de faire diversion, permettant ainsi aux autres esclaves de pouvoir s’occuper du personnel et des gardes de cet homme en toute tranquillité pendant qu’il serait occupé. Et c’est donc lors d’un de leurs ébats durant cette nuit-là qu’elle l’assassina en lui tranchant la gorge avec un poignard, lui souhaitant de se retrouver dans le néant car l’enfer était bien trop bien pour lui. Pour Diamant, ce fut une délivrance, mais aussi le début d’un long chemin vers la reconstruction de son âme brisée.

Après leur évasion, Diamant et ses compagnons errèrent pendant des mois, fuyant les dangers et cherchant un endroit où ils pourraient enfin vivre en paix. Et c’est ainsi qu’ils découvrirent un lieu isolé, perdu entre les montagnes et la forêt. C’était un coin de paradis oublié de Terra où ils décidèrent de s’installer et de bâtir un village, devenant donc enfin leur nouveau chez eux.

Avec le temps, ce village devint un sanctuaire pour les âmes perdues. Des voyageurs, souvent égarés y trouvaient refuge et certains choisissaient de rester, apportant de nouvelles connaissances et compétences à la communauté. Diamant quant à elletrouva enfin une place qu’elle pouvait appeler chez elle.

Depuis des années maintenant, Diamant vit une existence paisible dédiée à sa communauté. Elle est une figure respectée, toujours prête à aider les habitants du village. Elle soigne les malades avec ses potions, enseigne aux enfants à lire et à écrire, et protège le village en exécutant des rituels magiques pour garantir leur prospérité et leur sécurité. Mais derrière cette douceur et cet altruisme se cache une méfiance profonde envers les humains. Bien qu’elle sache qu’ils ne sont pas tous mauvais, son passé l’empêche de leur accorder pleinement sa confiance. Si un voyageur humain se perd dans leur village, elle reste sur ses gardes en s’assurant qu’il ne représente pas une menace avant de lui offrir son aide.

Sinon côté amour, bien qu’elle ait connu quelques aventures amoureuses, Diamant reste une femme solitaire. Ses relations se sont souvent tournées vers des créatures non humaines car elle a du mal à voir les hommes humains autrement qu’à travers le prisme de son passé. Elle sait que tous ne sont pas mauvais, mais sa haine et ses cicatrices émotionnelles rendent la confiance difficile.

Malgré tout elle ne laisse pas cette douleur dicter sa vie. Diamant est guidée par une force intérieure remarquable, un mélange de résilience et de compassion, qui fait d’elle une protectrice et un pilier pour ceux qui partagent son village ou rencontre son chemin.


Autre : Elle est plutôt discrète sur ses aventures amoureuses, qui sont généralement des personnes de passage dans son village, car elle considère la majorité des habitants de son village comme sa famille, puisqu’une grande partie d’entre-eux sont les esclaves avec qui elle a fuit. Donc, les « étrangers » auront plus de chance avec elle, mais si c’est des humains… Va falloir faire des pieds et des mains pour lui plaire, mais surtout pour qu’elle vous accorde sa confiance, chose qui n’est pas impossible mais qui sera long a cause de sa méfiance envers l’espèce humaine.

Comment avez-vous connu le forum ? DC d’une albinos ~
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La demoiselle amoureuse et taquineuse ne s’était pas préparer à la contre-attaque de son bien-aimé, qui une fois encore l’a surpris dans sa repartie qui fut physique plutôt que vocal, comme ce fut le cas un peu plus tôt dans la cuisine dans la matinée lorsqu’elle l’avait également cherché lors d’une de leurs taquineries.

En effet, Rubis ne s’était pas attendue à une telle riposte de la part de Karl. Le voyant d’abord plisser des yeux tout en le sentant se retirer doucement d’elle, la faisant légèrement rire en haussant un sourcil amusée à cause de l’expression qu’il avait en plissant ses paupières, elle se retrouva vite à perdre son petit rire ainsi que son sourire taquin, se retrouvant à crier ensuite de sa petite voix aiguë en agrippant avec force la chevelure de jais du barman qu’elle tira entre ses doigts. Sous cette puissante repartie à sa taquinerie, Rubis avait ses jolies mirettes écarlates bien écarquiller de surprise et d’extase à la fois, pouvant sentir son cher et tendre revenir avec force en elle, ses deux mains qui la maintenaient bien contre lui pour qu’elle ne lui échappe pas et subisse toute la puissance de sa contre-offensive qui était, mais bon sang, terriblement délicieuse !

Puis après le choc et la surprise de cette surprenant mais divine attaque, la jolie albinos relâcha lentement sa prise de ses doigts des cheveux du beau brun de son coeur, ses yeux jouant du yoyotage entre la fermeture et ouverture de ses paupières, luttant pour maintenir ses mirettes ouvertes pour regarder celui qu’elle aimait qui semblait prendre beaucoup de plaisir à s’en mordre les lèvres, la faisant se pincer les lèvres elle aussi en gémissant plaintivement de bonheur tant c’était bon et qu’il était si beau ainsi.

« Ve-Veuillez me pardonner mon seigneur mais… J-je crains de ne pas avoir bien compris votre réponse… »

Une petite voix tremblante d’envie et d’extase, gémissante à cause du plaisir qu’elle prenait en cet instant, la mignonnette sorcière mais taquine ouvrit de nouveau les hostilités en regardant son seigneur avec malice, retrouvant son petit sourire envoûtant tout en se mordant les lèvres telle la chipie qu’elle était.

Ensuite après ce nouveau petit jeu, Rubis caressa avec tendresse le visage et le torse de Karl, venant lui susurrer tout un tas de mots doux et déclarations d’amour accompagner d’une pluie de baisers amoureux. Et alors que le barman adorée de la petite serveuse souriait à ses mots, celle-ci souriait en le regardant tout en soupirant chaudement à ses mains sur sa peau qui la parcourait divinement, frissonnant de bonheur à ses douces caresses qui ne faisait qu’attiser le feu en elle. Puis quand Rubis l’entendit à son tour lui faire une magnifique déclaration, elle esquissa un doux sourire en rougissant, ses yeux pétillants émue des mots si beaux de celui qui faisait battre son coeur et qui avait conquis celui-ci, venant l’embrasser avec douceur en guise de réponse.

Après cela, leurs danse et baisers reprirent leur chemin, d’abord doucement avec tendresse avant de monter en vitesse mais également en chaleur, leurs corps et lèvres en parfaite symbiose dans ce ballet d’amour. Mais Rubis se contena pour maintenir une vitesse lente dans ses mouvements, voulant d’abord s’enquérir des désirs de son bien-aimé avant de passer plusieurs vitesses pour se diriger vers la route du paradis.

Alors que Karl lui répondit tout en caressant sa blanche chevelure, Rubis ferma les yeux quelques instants pour savourer les mouvements de la main du barman dans ses cheveux, avant de sentir celle-ci retournait sur son corps rejoindre son autre main pour se balader sur son petit corps qui ondulait légèrement contre le sien, la faisant doucement soupirer à chaque fois que leurs intimités se coller totalement l’une à l’autre dans les délicieux vas et viens qu’il lui offrait.

Rouvrant doucement les yeux après quelques pas de danse qui suivit la réponse de l’homme qui faisait battre son coeur, la demoiselle esquissa un doux sourire en regardant avec malice le beau brun, venant frotter son nez contre le sien tout en jouant de ses doigts dans les poils de sa barbe sur son visage, murmurant d’une voix chantonnante et chaude.

« Mmmh… Monsieur Von Kolberg, ce n’est pas du jeu… » attrapant délicatement sa lèvre entre ses dents, tirant doucement dessus avant de la relâcher « On avait convenue que c’est moi qui choisissait les premiers pas de danse pour le repas et vous la suite… Mmmh… » venant ensuite donner un coup de langue sur ses lèvres avant de l’embrasser langoureusement pendant une bonne dizaine secondes, faisant monter la chaleur dans l’atmosphère « C’est donc à vous de choisir la suite de notre festin pour monter au ciel mon seigneur… »

Décollant ses lèvres de celles du barman, Rubis le regarda en haussant un petit sourcil amusée de ses yeux scintillants de mille feux, un petit sourire toujours aussi taquin sur ses fines lèvres rosées, alors qu’elle reprenait doucement sa danse contre son bien-aimé, caressant avec tendresse son visage d’une main tandis que l’autre se baladait sur ses côtes en les frôlant du bout des doigts, attendant « sagement » la réponse de Karl alors qu’elle monta mine de rien la vitesse à chacune de ses ondulations contre lui, mais c’était juste pour l’aider à réfléchir et pas le taquiner hein ? Évidement !
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Les alentours de la ville / Re : Ce monde est-il merveilleux? [PV Blum]
« Dernier message par Ahro le samedi 21 décembre 2024, 14:23:02 »
La jeune femme semblait toujours ne pas savoir bouger dans cette eau. La fraicheur de celle-ci l’en empêchait ? Il était moins sensible au froid étant un renard. Mais il ne pensait pas les humains si … fragile ? Se trompait-il ? Il ne comprenait pas vraiment la situation comme il n’avait pas les mêmes coutumes et cultures que la demoiselle.

Quoi qu’il dise, tout semblait bien aller. Elle n’avait pas de fièvre. Pour vérifier, Ahro avait mis sa main sur le front de la jeune femme. Il avait vraiment du mal à comprendre les réactions de l’humaine. Il soupirait silencieusement, se disant que finalement, elle cherchait juste à prendre un bon bain, mais que sa présence était gênante. Cependant si c’était le cas, il faudrait lui laver le dos ! Pour sa part, c’était moins compliqué comme il pouvait se frotter le dos avec une de ses nombreuses queues de Kitsune.

-Je vais vous aider alors !

Peut-être ne comprendrait-elle pas. Mais il relevait un peu les jambes de la demoiselle pour placer ses cuisses sous les siennes. Puis, il lui attrapait les mains pour la tirer sur lui, qu’elle se retrouve assise sur ses cuisses, un peu à califourchon et laissant sa belle poitrine venir s’écraser contre son torse. En la redressant ainsi, sa verge avait certainement manqué de la pénétrer ! Frottant fermement de toute sa longueur contre son clitoris. Elle pouvait désormais avoir un aperçu de la traversée de cette verge si elle venait à venir en elle, pointant au niveau de son nombril.

-La nature a été généreuse avec vous … Les mâles doivent vous demander non ? … J’ai jamais vu de Kitsune avec autant d’atout !

Lui avouant alors être un Kitsune. Il était tout de même étonné qu’elle n’ait pas encore aperçu ce qui faisait qu’il n’avait rien d’un humain. Il mit alors ses mains dans l’eau fraiche qu’il amenait sur son dos pour le frotter doucement … Chaque mouvement faisait qu’il sentait cette poitrine rebondir contre son torse … Elle pouvait sentir la base de sa verge pulser contre ses lèvres intimes.

-Votre corps excite le mien … Je pensais pouvoir le calmer mais … Non. Si jamais vous vouliez … ?

C’est peut-être un peu direct, mais ayant cette verge dure depuis un moment, l’envie de se soulager se fait présente.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Verset IV
« Dernier message par Takezo O. Mamoru le samedi 21 décembre 2024, 01:27:17 »
En équilibre sur le bord d’une marche, Takezo bandait tous ses muscles pour ne pas tomber en arrière, bien vite délaissé par la propriétaire de tous ces paquets, qui n’avait pas perdu une seconde pour le devancer.

Ce n’est pas que les paquets étaient trop lourds, mais plutôt que, dans sa grande bonté, Madame Ieko n’avait pas jugé bon de lui laisser assez de place, interrompant sa course sans prévenir pour jeter aussitôt son dévolu sur une autre tête connue à harceler.

S’agitant dans un sens puis dans un autre pour garder l’équilibre comme sa constance, le garçon chercha à voir à qui s’adressait la vieille mégère, mais sans succès.

À entendre celle qui les accueillait, d’une voix particulièrement douce et chaleureuse, la sœur ne devait pas être bien âgée, s’était-il dit. Ce qui changeait de ces autres, avec lesquelles Takezo avait eu l’habitude de partir en « retraite », les années passées. Aussi était-il curieux de découvrir cette tête inconnue, des fois qu’elle soit plus agréable à regarder et plus sympathique que la vieille grenouille de quatre-vingt balais qui, quand il était plus jeune, ne s’était pas privée de lui donner la fessée à la sortie de l’église, pour une bêtise qu’avaient faites ses sœurs.

Madame Ieko refusant de se taire et gesticulant bien trop pour qu’il ait le loisir d’au moins se tourner, il ne le put pourtant…
Du moins, pas avant que l’on ne vienne dégager sa vue.

D’abord surpris, du fait qu’il ne pouvait rien voir, Takezo sentit un frisson lui parcourir l’échine quand deux petites mains chaudes vinrent frôler les siennes, désobstruant sa vue et soulageant ses bras en lui retirant deux des six cartons qu’il tenait tout contre lui, comme il le pouvait.

Son regard croisa alors celui de l’inconnue et… il se mit à rougir.
Heureusement, la nonne ne le vit pas. Enfin, il le croyait, puisqu’elle s’était de nouveau tournée vers Mme Ieko aussitôt après l’avoir délesté, trouvant la parade parfaite pour faire déguerpir la vieille chouette.

« A-ah… merci. »

Tel qu’il le supposait, la petite nonne, qu’il dépassait d’une bonne tête et demie, sinon deux, était bien jeune. Bien plus que ne l’étaient ses consœurs, en tout cas. Et… bien plus agréable à regarder, c’était évident.

Un beau brin de fille, au visage radieux et aux traits délicats… aux longs et sombres cheveux… rien à voir avec ce que l’on pouvait évidemment imaginer en pensant à une femme dédiant sa vie à la foi.

« Bonjour, madame. Euh… ma soeur. »

Alors qu’elle le toisait, de son petit air angélique, auquel était venu se greffer un joli petit sourire, Takezo déglutit, de nouveau surpris, alors que son attention venait d’être captée par autre chose.

Tout autre chose.

Les cartons pressés tout contre son buste, la jeune femme offrait sans le vouloir au garçon une vision qui, depuis toute sa hauteur, lui semblait aussi surprenante que délicieuse (et il n’avait encore rien vu).
Pressée sous le poids des paquets jaillissait la naissance d’une poitrine d’une taille qu’il imaginait peu commune, possiblement un peu au-dessus de la moyenne…

C’était un très maigre début de décolleté, en vérité, mais c’était bien assez pour attirer l’œil du jeune homme, qui était encore loin de savoir à quel point nous nous trouvions là bien, bien au-delà de toute moyenne.

Ses joues se fardant encore un peu de rouge, il regarda ailleurs, réhaussant les cartons sur ses bras avant de s’élancer vers l’intérieur de l’église, préférant prendre les devants, telle que la nonne le lui suggérait, plutôt que d’être pris à pêcher.

Acquiesçant d’un seul sourire et sans un mot, Takezo entra donc, regardant à droite à gauche où poser tous ces cartons et attendant la prochaine indication.

Toutefois, à retard, quelque chose le fit tiquer.

« Hum… le dortoir ? »

Personne ne lui avait dit que le groupe ne partait pas aujourd’hui… et que c’est à l’église qu’il passerait toute sa journée d’anniversaire. Et encore moins sa première nuit d’adulte.

Jetant un coup d’œil en arrière et n’apercevant pas le bus habituel garé sur le parking, il eût peur de comprendre.

« On… on ne part pas, finalement ? »

Se trouvant un coin près de la porte, Takezo posa au sol ses cartons, avant de poser les mains sur le premier des deux que tenait la petite nonne entre ses doigts, prêt à le lui reprendre.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Quand la musique est bonne [PV Em]
« Dernier message par Rubis Starling le samedi 21 décembre 2024, 00:55:01 »
Après la petite visite guidée offerte par les soins de Seto à Rubis, celle-ci ne put s’empêcher de taquiner légèrement le séduisant brun en lui faisant remarquer qu’il connaissait bien les lieux. Et alors qu’elle songea ensuite à une possible cohabitation entre lui et Emily, la jolie albinos passa son regard de l’un à l’autre en partageant cette pensée, écoutant attentivement la réponse de la belle brunette qui suivit à ses interrogations. 

« Awwwwwwww… » lacha-t-elle avec douceur et compassion, posant ses petites mains sur sa poitrine attendrie en retournant son regard vers Seto « C’est vraiment très gentil à vous de ne pas laisser Emily toute seule, c’est adorable. »

Et alors qu’elle esquissa un beau sourire au bel homme à ses côtés qui lui sourit également, Rubis reporta ensuite son regard vers la jolie brune. Tandis que Seto roulait des yeux à cause d’Emily, la demoiselle à la blanche chevelure s’approcha de son amie afin de lui prendre les mains avec douceur en la regardant tendrement.

« Je suis désolée de ne pas m’être rendue compte de ta solitude Emily… N’hésite pas à passer quand tu veux au bar ou même à la librairie, on passera plus de temps ensemble pour plus que tu sois seule. »

Pendant que l’albinos caressa affectueusement les mains de la brune face à elle en étant inquiète pour elle, le séduisant brun regarda la scène stupéfait de voir la réaction de la petite demoiselle qui avait sauté à pieds joints dans le plat mensonger préparer en urgence par Emily.

Mais après ce petit moment de douces inquiétudes et tendresse, et le mystère résolu sur les connaissances si développés de Seto sur l’appartement d’Emily, Rubis retrouva sa joie naturelle et son doux sourire, venant s’enquérir du programme de la soirée tout en proposant son aide si besoin pour les boissons. À ses mots, le séduisant brun en parfait gentleman invita la jolie demoiselle à le suivre dans le salon, afin de prendre place dans le canapé tout en lui expliquant le programme. Écoutant attentivement Seto, l’albinos se mit doucement à rougir quand il lui parla des confidences d’Emily sur sa charge de travail, et le rouge sur ses joues fut encore plus intense quand la confidente en question les rejoignit pour poser les verres sur la table basse tout en rajoutant une couche à ses propos.

« Je… Heu… C’est que… Travailler c’est important et… Je… J’aime mes emplois aussi… » se caressant la nuque en rougissant en regardant le sol « Puis… Ça m’arrive des fois de prendre des congés… C’est rare oui mais… Mais… Ça m’arrive aussi… »

Essayant de se justifier alors qu’elle était toute gênée d’être vue comme une accro au travail, ce qui n’était pas totalement faux, mais cette passion pour le travail en plus de son intérêt pour était surtout pour s’occuper l’esprit.

Mais quand Emily parla de musique, Seto enchaîna direct, informant Rubis que la brunette chanter. Des yeux grands ouverts et pétillants avec un sourire radieux, Rubis reporta son regard vers son amie, la regardant avec émerveillement. Et ses mirettes admiratives furent de plus en plus pétillantes alors qu’elle lâchait des « Wooooooow… » à chaque phrase que Seto rajoutait sur les prouesses et aventures musicales de la belle brune, trouvant cela absolument extraordinaire et impressionnant. Et lorsque le séduisant brun avec son magnifique sourire invita Emily à chanter, la mignonnette blanchette regarda son amie avec un regard scintillant et un grand sourire, tapotant dans ses mains avec enthousiasme.

« Ho oui Emily ! Une chanson s’il te plaît ! Chante-nous quelque chose s’il te plaîîîîît ! »

Voyant son amie les regardait tous les deux avant de se diriger vers les appareils pour la musique, Rubis tapota de ses mains heureuse, ayant grande hâte d’entendre son amie chantait. Puis quand la musique commença à jouer dans la pièce, la demoiselle arrêta de taper dans ses mimines, redevenant sérieuse en regardant attentivement la brunette commençait à chanter et à se déhancher.

Commençant a profiter du spectacle, la jolie albinos put sentir le séduisant brun se rapprochait d’elle sur le canapé. Le contact de son genoux contre le sien la fit doucement rougir et même frémir discrètement, sa main sur son épaule fit amplifiait le rouge sur ses joues alors que son cœur commença doucement à battre la chamade, tandis que la chaleur commençait doucement à prendre possession de son corps en sentant Seto l’enlaçait.

Et cette chaleur fut encore plus forte tout comme la belle couleur rougeâtre sur ses joues  quand son amie s’approcha d’elle avant de lui grimper dessus, continuant le show musical sans sourciller, caressant sa joue et son épaule tout en se pressant contre elle, faisant battre le coeur de plus belle de la naïve albinos chamboulée de plus en plus autant par cette prise en sandwich que la performance magistral d’Emily.

Tandis que la belle brunette continua son show telle un diable sortie de sa boîte, Seto lui profita de sa main jouant sur son pantalon, qui dans ses mouvements ne le laissait pas indifférent. Il en profita pour serrer un peu plus Rubis près de lui, commençant à caresser doucement son épaule tout en jouant parfois du bout de ses doigts avec quelques unes de se mèches blanchâtres qui frôlaient sa main, ce qui fit rougir de plus belle la demoiselle qui ne savait pas vraiment quoi faire, se laissant totalement faire par les deux bruns près d’elle, alors qu’elle serra timidement ses mains sur ses jambes en tirant parfois sur le tissus de sa jupe. Puis de son autre main de libre, le séduisant brun en profita pour poser celle-ci sur une des jambes d’Emily, autant légèrement échauffés par ses caresses que sa performance mais surtout par défi malicieux, voulant voir ce que son dominateur répliquera à cela alors qu’ils avaient Rubis près d’eux, dont le regard de la demoiselle était plongée dans celui de son amie qui la captivait par son extraordinaire show, même si celui-ci lui donnait de plus en plus chaud étrangement.

Coincée entre-eux deux, la mignonnette ne savait vraiment pas quoi faire ni répliquer. Jetant un petit regard rapidement à l’homme à ses côtés, Rubis put voir qu’il semblait trouver la scène divertissante, autant par le spectacle d’Emily que les réactions de l’albinos, car il la regardait avec un petit sourire amusé mais séducteur. Mécaniquement, la jolie demoiselle esquissa un petit sourire gênée en le regardant tout en riant légèrement nerveusement et timidement, son visage bien rouge comme une tomate, avant de reporter son regard de nouveau vers son amie qui dansait et chantait avec une sensualité assumée.

Continuant de jouer de ses doigts avec le tissus de sa jupe à mesure que le show de son amie se poursuivait, elle restait presque figée et se demandait qu’est-ce qu’elle devait faire dans cette situation, se disant qu’elle devait faire quelque chose mais quoi ? Bon sang, elle n’en avait aucune idée et elle se disait qu’elle devait avoir l’air d’une pauvre carpe presque morte à ne pas réagir comme ça, hormis si on comptait ses rougissements comme une réaction et des petits rires timides et nerveux.

Instinctivement, dans ce genre de situation, timide comme elle était, la belle demoiselle se serait recroquevillait en s’enfonçant encore plus dans le canapé en continuant à rire gênée. Mais son instinct lui souffla d’agir autrement, de ne pas se cacher, et c’est ainsi qu’elle arrêta de jouer avec le bout de sa jupe qu’elle commençait à froisser, et qu’elle posa une de ses mains entre elle et son amie. Puis elle la poussa doucement afin de l’inviter à se relever, se relevant avec elle, tandis que Seto enleva sa main de l’épaule de la demoiselle tout en regardant cela avec amusement, curieux de savoir ce que la timide blanchette avait prévue.

Et quand elles fut debout toutes les deux, Rubis passa ses bras autour du cou d’Emily, un regard pétillant de malice mais un sourire timide sur son visage rouge pivoine, venant poser un baiser sur la joue de son amie.

« Voilà tu as gagné, je participe au spectacle maintenant ! »

Dit-elle avec un sourire gênée en riant timidement, ayant visiblement trouver une parade pour fuir sa prise en sandwich sur le canapé, entraînant donc son amie à poursuivre son show en dansant avec elle sensuellement.

La parade de la demoiselle amusa fortement Seto qui admira la suite du spectacle et la réaction d’Emily à la surprenant prise d’action de Rubis, échangeant un regard avec son dominateur pour savoir s’il voulait qu’il se relève du canapé pour venir lui aussi participer au show et reprendre la demoiselle en sandwich ou s’il souhaitait pour le moment profitait un peu seul de la jolie albinos qui dansait avec sensualité avec et contre lui, essayant de suivre le rythme de la musique tout en se laissant doucement aller sur son tempo plus à l’aise visiblement.
7
Les alentours de la ville / Re : Pleasure seeker, I will meet ya (PV)
« Dernier message par Lady Shiny le samedi 21 décembre 2024, 00:10:06 »
Quelle surprise.
Shin se retourna au même moment que Colm vers sa petite stagiaire. D’abord, elle fronça les sourcils, cherchant à comprendre la stratégie de « la petite » ; ensuite, elle esquissa un sourire amusé. Ce genre de petit sursaut de courage en disait long sur ce qui animait Nathalie : une admiration pour la femme qu’elle suivait depuis plusieurs jours et un désir de se montrer sous un jour plus flatteur (disons) aux yeux de Colm. Oh, ce n’était pas encore du niveau de Shin, dont l’attitude se lisait comme un éternel « Try me » – car personne ne pouvait se targuer de l’impressionner au point de lui faire perdre toute contenance – mais elle connaissait suffisamment Nathalie pour savoir qu’elle faisait là un très bel effort. Aussi Shin hocha-t-elle la tête, comme pour approuver le comportement de sa stagiaire. Cette dernière vécut cela comme une forme d’encouragement.
La manière dont Nathalie voyait Shin n’était pas très claire – elle-même s’y perdait. Tantôt cette petite blonde l’agaçait hautement, lui donnant envie de tout plaquer en l’insultant ; tantôt elle avait l’envie subite de s’aplatir à ses pieds – et quelquefois, dans un entre-deux, elle se prenait d’envie de s’approcher d’elle, de la manière dont tous ces hommes le faisaient, pour le plaisir de se laisser séduire par cette tête brûlée qui lui servait de supérieure. Un interdit demeurait, et il n’était pas des moindres : Shin était la collaboratrice de sa mère. Elle ne devait donc pas s’en approcher.
Mais l’on sait, quand on est un peu philosophe, que l’interdit invite la transgression.

Nathalie capta le regard de sa patronne, et Shin put y voir quelque chose qu’elle mit sur le compte de la drogue et de Colm : un désir trouble. Il lui semblait improbable que cette jeune femme terrifiée et timide puisse diriger son désir vers elle, aussi évacua-t-elle cette hypothèse en quelques secondes, se tournant vers le boxeur.

- Mes parfums, hein ? Ma renommée ne repose-t-elle pas sur mes flagrances ?

C’était une question rhétorique pour quiconque connaissait le commerce souterrain de Shin (c’est-à-dire la drogue). Elle but une gorgée de champagne, et, l’ayant finie, demanda une bouteille. On la lui apporta prestement dans un seau doré.
De façon imprévisible (du moins pour Shin) Nathalie s’empara de la bouteille – un Ruinard au prix indécent – pour porter le goulot à ses lèvres avec un érotisme aussi maladroit que touchant. Des gouttes de champagne coulèrent le long de sa gorge, tombant dans le décolleté de sa robe. Lorsqu’elle s’en rendit compte, elle déboutonna doucement les premiers boutons de son décolleté, laissant apparaître les détails dentelés de son soutien-gorge. Surprise, Shin la regarda faire ; c’était bien la première fois qu’elle voyait Nathalie aussi dévergondée.

- T’as un de ces effets sur les femmes, Colm, souffla Shin au boxeur.

Car elle mettait cela sur le coup du désir violent qu’il pouvait susciter – mais aussi de la drogue. La cocaïne avait tendance à désinhiber les tempéraments les plus introvertis.
Dans un joli soupir, Nathalie lâcha la bouteille, regardant Colm avec un sourire charmant – avant de s’approcher de lui. Sa bouche s’ouvrit pour prononcer un mot, mais se ravisa, comme empêchée par un sursaut de timidité. Un regard vers Shin, qu’elle ne voulait pas décevoir, et elle reprit :

- Je vous prie de respecter ma boss. N’importe qui d’un peu intelligent mourrait pour faire affaire avec elle.

« Dose », songea Shin, sans pour autant le dire. Ce petit spectacle l’amusait.

- Logique que Vance Dax s’intéresse à elle – tout comme vous.

A voir le petit regard de Colm, cette petite stagiaire que la drogue et le désir rendaient effrontée lui plaisait. Quant à Shin, si elle aimait se faire mousser, elle restait sur ses gardes. Elle avait retenu au moins une leçon de toutes ses années dans la pègre : ne jamais faire confiance à qui que ce soit. Vance Dax l’avait conviée à cette sauterie, soit, mais ce n’était sûrement pas pour ses parfums.
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Les alentours de la ville / Re : Les Fondations du Péché
« Dernier message par Grayle le pérégrin le vendredi 20 décembre 2024, 22:22:24 »
- Vous n'aurez pas à vous inquiéter Soeur Blum. Je suis très précautionneux et solide. Et je doute que quoi que ce soit de désagréable m'arrive au sein de la maison du Christ, n'est-ce pas ? répondit le jeune homme d'un ton rassurant. Il est vrai que, conscient de son immortalité, il avait tendance à prendre des risques inconsidérés. Mais Sœur Blum était humaine, fragile, et compatissante. Elle n'avait aucune raison de le regarder prendre de tels risques sans s'inquiéter.

Se saisissant du verre d'eau, il faillit en recracher le contenant lorsque la jeune femme se cambra, tendue sur la pointe des pieds pour attraper une serviette légèrement trop haute pour elle. Les yeux de Grayle se fixèrent sur la croupe de la religieuse, mieux dessinée que jamais par la fine robe blanche tendue par sa posture. Avait-elle consciente de ce qu'elle faisait ? de l'image qu'elle renvoyait auprès de Grayle, sa croupe tendue vers lui ? Il se demandait si la sœur au physique de déesse était consciente de sa beauté, ou si elle était réellement et complètement innocente des vices qu'elle faisait naitre autour d'elle par sa seule présence.

Peu importe la réponse, Grayle ne pouvait pas rester ainsi, à rien faire. Il devait en avoir le cœur net. Aussi s’avança-t-il vers elle à pas feutré. Il n'avait pas envie de lui faire du rentre-dedans, ni de la séduire. dans son esprit, la décision prise relevait plus de l'instinct animal que d'une réflexion avancée, civilisée, et donc malicieuse.

- Laissez moi vous aider dit-il d'une voix plus chaude et grave qu'il ne le voulait. Il était juste derrière elle, et, lui aussi sur la pointe des pieds, leva aussi son bras. Sa main frôla celle de Blum, alors qu'il attrapait la serviette, qui était à sa portée. Ils étaient tous prêts l'un de l'autre, au point qu'il pouvait sentir l'odeur de la jeune femme, douce, virginale, un shampoing de fraise et de gingembre, sucré, piquant, qui l'excitait. Il se dit que son odeur à lui, plus mâle, musquée, piquante de sueur, ne serait peut-être pas appréciée par la jeune femme...

- Et voilà, je l'ai. Un hasardeux mouvements de la religieuse firent entrer en contact le bassin de Grayle et les fesses de soeur Blum. Pendant quelques instants, le temps fut suspendu, alors qu'ils restèrent collés ainsi, l'un à l'autre, sans savoir comment réagir. Grayle s'écarta, sentant une chaleur ardente gronder dans son bassin. Il déglutit, mais fit comme si de rien n'était, essayant de penser à tout sauf au séant de la brune, donc le contact lui manquait déjà.

Il avait faim. Il s'essuya le front avec la serviette, qu'il avait humidifié avec l'eau de son verre. Il reprit un verre. Une sorte de tension, de gêne peut-être, s'était installée dans la pièce, même si elle était peut-être le fruit de son imagination. L'avait-elle choquée ? La nonne était impossible à déchiffrer.

- J-je vais reprendre mes travaux... merci pour le verre, et, euh, désolé pour le dérangement. Il expira, son rythme cardiaque revenant peu à peu à la normale. Pourrez-vous me montrer ma chambre et les douches plus tard, ma Soeur ?
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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Un bizutage qui dérape (PV)
« Dernier message par Matsuo Butahito le vendredi 20 décembre 2024, 01:22:15 »
La méthode qu'il utilise ? Ce n'est pas comme si il en existait des milliers et cette suggestion fait vriller Matsuo qui glisse son pouce sous l'élastique de son boxer et tire dessus d'un coup sec pour libérer l'engin qui se met à se balancer avec vigueur de haut en bas à plusieurs reprises sous le nez de Blum qui est venue s'installer juste à côté de lui l'instant d'avant. Tout son bon sens s'était envolé à l'instant où elle avait parlé d'enlever tout ce qui pouvait masquer son anatomie.

Un puissant parfum masculin est libéré en même temps que son membre puissant et turgescent lorsqu'il ôte son sous-vêtement. Et un début de masturbation est enclenché dans la foulée par la même main qui massait ce gland imposant et humide dont fuit déjà du liquide collant et transparent.

Jeune, surexcité et dans une situation complètement improbable, le lycéen sait qu'il ne tiendra pas plus de quelques minutes et pourtant cela ne l'encourage pas à doser le rythme de ses mouvements. Sa main s'agite à une cadence rapide sur sa tige veinée dont ses doigts n'arrivent pas à faire le tour complètement tout en soupirant d'envie en gardant les yeux fixent la poitrine que lui présente fièrement la jolie Blum.

- Souvent je regarde des vidéos de filles avec de gros seins pour m'aider. Oui... De gros... d'énormes seins... comme les vôtres.

Sa main libre se lève lentement et avec crainte pour voir si elle se laissera toucher. Il commence par la poser dessus, à plat, et se rend compte immédiatement de leur taille. Les voir ou les sentir avec sa joue est une chose. Réaliser la différence de taille entre ses mains et ce sein le fait bloquer sur place le temps d'une seconde ou deux. Puis il tente de le presser un peu du bout des doigts en reprenant sa masturbation.

Ce contact est divin alors que la robe en tissu sépare encore la pulpe de ses doigts de cette peau qui lui fait terriblement envie. Qu'est-ce que ce sera si il parvient à passer en-dessous de cet horrible et frustrant vêtement ? Est-ce que cela le fera éjaculer de manière soudaine ? Ou est-ce que l'envie de le saisir à deux mains serait plus forte ?

- Vos seins... Ils sont parfaits.

Tenir debout est de plus en plus compliqué pour lui car il commence à avoir des fourmis dans les jambes, au point de ne pas sentir son boxer finir au niveau de ses chevilles. Laissant cette fois ses deux oeufs pendre et remuer au rythme de ses hanches ou de son dos quand il se penche un peu trop pour caresser ces seins laiteux.
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Les alentours de la ville / Re : Starlight, can you give me the fame ? [Feat. Rubis Starling]
« Dernier message par Nowi la Caméléone le vendredi 20 décembre 2024, 01:17:46 »
Maintenant qu’elle voyait plus clairement cette inconnue, Nowi devait reconnaître qu’elle la trouvait très craquante. Son physique blanchâtre ajoutait un certain cachet agréable dans la pénombre de la nuit et ses yeux ressortaient étrangement bien. Ce rouge était sa étincelant que la terranide eut du mal à quitter ce regard qui l’intriguait autant qu’il l’attirait. Mais cela ne l’empêchait fort heureusement pas de suivre le début de conversation naissant entre eux et de capter son prénom à la volée. Rubis… Étrange coïncidence que de porter un nom pouvant se référer si merveilleusement à ses yeux ou volonté de ses parents de l’avoir nommée ainsi par rapport à ces mêmes yeux ?

Les yeux des deux inconnus restaient connectés les uns dans les autres et, en même temps, sous cette apparence, le regard vert de Nowi, ou plutôt Laslow d’ailleurs, dégageait quelque chose de fascinant et hypnotisant, et les réponses aux multiples questions venaient une à une dans la foulée. Et déjà, Laslow trouvait cette demoiselle particulière et tout aussi intrigante que son regard. Elle se sentait plus en sécurité ici, isolée de tout, dans le noir quasi-total, que dans la ville ?! Elle faisait même souvent ce genre de chose ?! Si une terranide pouvait comprendre cela, elle avait du mal à le concevoir pour une humaine. Peut-être Rubis dissimulait-elle aussi quelque chose ?!

Le petit rire gêné de cette fille se voulait communicatif, si bien que Laslow riait lui aussi. Puis, elle avouait être au courant pour la pluie de comète et elle se trouvait justement la raison de sa venue ici. Une bien belle coïncidence et un point commun entre Laslow et Rubis. La femme dissimulée dans un corps de jeune homme opinait de la tête à l’idée du spectacle magique qui ne devrait plus tarder. Aussi, Laslow captait dans la voix et le comportement de l’albinos qu’elle n’était pas seulement venue ici par curiosité mais par passion. Alors, quand elle accepta de partager ce moment avec ce garçon qu’elle venait à peine de rencontrer, cela fit ressentir à ce dernier une poussée de joie intense qu’il eut du mal à contenir, sûrement fruit de l’empathie naturellement forte de Nowi.

Et pour cela, il allait falloir décider de l’endroit où se positionner. Allaient-ils rester près du sol comme Rubis allait le faire ou dans les arbres comme Laslow s’y apprêtait ? La réflexion fut assez courte pour celui qui préparait déjà une nouvelle liane scintillante pour remonter dans l’arbre pendant que Rubis fit part de son désir d’en savoir plus sur celui à ses côtés. Un petit rire amusé s’échappa des lèvres de la terranide déguisée.

- Moi ? Eh bien… Je n’ai pas plus l’habitude que ça de me dévoiler mais je veux bien jouer le jeu pour toi. Mais avant, on ferait mieux de grimper, la vue est meilleure d’en haut. Je vais te serrer contre moi si ça ne te dérange pas.

Une fois qu’il eut l’autorisation, le garçon enlaça Rubis en s’assurant de ne pas effectuer d’attouchement par mégarde. Puis, à l’inverse de sa descente, le grappin permit aux deux partenaires de remonter sur la branche d’où venait initialement Nowi sans difficulté, comme s’ils utilisaient simplement un ascenseur. Une fois cela fait, Laslow aidait sa nouvelle amie à s’installer confortablement sur la branche en s’assurant qu’aucun morceau d’écorce ne se montre désagréable pour elle. Puis, il se plaça à ses côtés et Rubis pouvait constater que si c’est cet arbre qui fut choisit pour admirer le spectacle ce soir, ce n’était pas pour rien. Le feuillage était moins dense, plus éparse, offrant une vue dégagée sur le ciel nocturne.

Laslow étant habitué à s’assurer de la sécurité des siens, il enroula une liane-grappin autour de la taille de Rubis et précisa :

- Je te mets cela comme une ceinture pour ta sécurité au cas où. On sait jamais, tu pourrais tomber et cette corde t’évitera une chute douloureuse.

Une fois que tout était prêt, il pouvait finalement répondre aux questions qui lui avaient été posées.

- Bien, le jeu maintenant. Comme je disais, je m’appelle Laslow et… juste Laslow en fait donc tu peux m’appeler Laslow avec grand plaisir. Il soufflait du nez à sa petite vanne idiote et reprit : Contrairement à toi, je ne viens pas souvent par ici. Ou plutôt, j’ai pour habitude d’aimer me balader en forêt ou parc comme toi donc je ne reste jamais vraiment longtemps dans une zone précise. Je viens d’un coin perdu, je ne suis pas du tout d’ici et je suis… Je ne sais pas trop comment le décrire en fait. Une sorte de… nomade ? C’est un peu bizarre à imager et ça rajoute sûrement du mystère pour pas grand-chose, désolé de te décevoir.

Il se frottait la nuque, un peu déstabilisé par la situation. Laslow ne pouvait pas dire toute la vérité à Rubis. Imaginez un discours tel que Salut, en fait moi c’est Nowi, je suis une caméléone car je suis une femme à l’origine, ce que tu as sous les yeux est une couverture, je viens d’un autre monde parallèle au tiens et je suis cheffe de tribu. Il valait mieux jouer la discrétion quand même. Laslow cherchait alors autre chose à ajouter mais la chance lui fit un cadeau puisque la pluie qui devait démarrer incessamment sous peu débutait justement. Le choix de se taire fut une véritable obligation et les deux compagnons pouvaient alors admirer le spectacle qui se jouait sous leurs yeux ébahis. C’était un spectacle d’une rare beauté, le feu semblait s’installer dans les cieux pendant les quelques courtes minutes qui sublimaient ce moment à la perfection. Que ce soit chez Laslow ou chez Rubis, seuls l’émerveillement et la passion devaient se lire dans leurs regards respectifs.
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