Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Huntress

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Les contrées du Chaos / [Baralthorn] Je ne suis pas à ma place ici !
« le: mardi 03 avril 2012, 22:45:18 »
Cette journée avait commencé comme dans un rêve. Personne à ses basques, elle avait pu revêtir son costume mauve qui la couvrait à peine, avait frappé dur chez les dealers concurrents aux siens, avait fait un tour sur Terra, coursé un terranide qui espérait pouvoir commencer une nouvelle vie sur Terre.


Bref. Tout allait bien, dans le meilleur des mondes. Hana / Huntress s'amusait comme une petite folle, à faire ce qu'elle aimait tant. Remettre de l'ordre, selon sa propre loi. Le soir, nullement fatiguée, elle avait décidé, en tant que civile cette fois, de rejoindre une des petites fêtes de taverne de Nexus. Un endroit calme, où la belle brune faisait presque tâche de part sa beauté rayonnante. Pourtant, personne n'osait l'approcher, allez savoir pourquoi. Pourtant, ça ne manquait pas d'hommes entreprenants dans le coin... Ne pouvant pas vraiment supporter l'alcool (son taux de résistance face à une bière était nul.)elle enchaînait cocktails, tisanes, et jus divers. Et c'est finalement une conversation, happée au hasard, qui retint son attention. L'homme, aviné, parlait de combats incroyables, et épiques, dans l'arène en périphérie des landes sauvages. Un endroit où les plus forts faisaient trembler la terre, où le sang gorgeait la terre d'un rouge qui était devenu naturel.


Cela fit sourire Hana. C'était exagéré, c'était évident. Pourtant, elle vit là un nouveau moyen de passer un bon moment, un moment pour s'amuser, durant sa liberté provisoire. Son verre fut rapidement vidé, d'une traite, et la voilà en quête de cette fameuse arène, revêtant au détour d'une rue, son costume d'Huntress. Elle enfourcha sa moto, et fonça sur cet engin inédit en ce monde à travers Nexus, puis une partie de la campagne environnante. L'arène, elle la trouva rapidement, évidemment, énorme bâtisse au milieu de nul part.


La moto fut planquée, l'endroit rapidement pénétré. Ca puait le sang et la sueur, au point que même Hana en eut un frisson. Et finalement, en voyant l'aire de combat, Huntress pensa que le gars de la taverne était trop aviné pour rendre compte de la réelle teneur des lieux. C'était encore pire que ce qu'il avait dit. Et merde. Elle s'était déjà inscrite à un combat, avant même de venir voir l'arène... Et comme elle avait une fichue fierté, qu'elle refusait de se soustraire à un engagement...


Huntress morfla sévère au premier combat. Même si elle le remporta face à un monstre qui faisait deux à trois fois sa carrure. Sa tenue était dans un état lamentable, quelques unes de ses armes irrécupérables. Elle ne passa évidemment pas le second round. Dire qu'elle avait pensé pouvoir détrôner le champion, juste pour rabattre le caquet d'un tas de muscles face à une frêle jeune femme. C'était bien mal barré. Hana fut balancée dans une cellule, sans doute parce que désormais, les organisateurs avaient décidé qu'elle faisait partie de cet endroit jusqu'à ce qu'elle gagne sa liberté. Et pour l'instant, dans les vapes, Hana ne pensait pas encore à la façon dont elle allait s'enfuir. Elle pensait simplement qu'elle avait foutrement mal à des muscles dont elle ignorait l'existence jusqu'à présent.

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Les alentours de la ville / Re : So Fucking What !?
« le: mardi 27 mars 2012, 22:12:20 »

Il refusait d'être aidé. C'était un truc typiquement masculin, ça : c'était des hommes ; ils n'avaient jamais besoin d'aide, et encore moins d'aide venant d'une fille. Il lui demanda si elle, elle avait besoin d'aide. La bonne blague. Elle eut un sourire en coin, et son regard se dirigea vers la gauche, où elle ne vit rien que quatre hommes chargés de la suivre. Et Hana savait que généralement, on lui en collait davantage aux basques. Non, si elle avait eu besoin d'aide, ce n'est surement pas vers cet illustre inconnu qu'elle se serait tournée.


Hana continua de manger sa glace, croqua dans le cornet. Sans un mot, laissant l'homme réfléchir. Ah, ça y est : il met sa virilité de côté. Et il met en doute qu'elle ne puisse l'aider. Le bout du cornet est avalé, et dans un geste brusque, Hana saisit la main de l'inconnu, et l'entraîne dans une course folle à sa suite, après un bref murmure :


- Ne restons pas ici.


Et, très peu discrètement, elle court, oui. Ses talons claquent sur le sol, et ses longues foulées trahissent de son habitude à "fuir" ainsi - techniquement, à poursuivre quelqu'un. Mais ça, l'homme ne peut pas le savoir. Elle l'entraîne derrière elle, tourne brusquement au coin d'une rue, ouvre la porte d'un immeuble, d'un placard un balai, dans lequel elle le pousse avant de l'y suivre. La porte se referme, et elle lui plaqua un doigt sur les lèvres. Hana sourit : pour elle, ce n'est qu'un jeu. Elle est à peine essoufflée par l'effort.


Son index s'appuie un peu plus sur les lèvres de son compagnon de fortune - cette scène à un étrange goût de déjà-vu... - alors qu'au dehors, la porte de l'immeuble s'ouvre à nouveau - deux fois, sur deux personnes différentes... L'un des deux gardes va jusqu'à frapper à toutes les portes pour savoir si une jeune fille n'a pas trouvé refuge chez eux. Pendant ce temps, Hana retire son doigt des lèvres du jeune homme, et le regarde dans les yeux, à la faible lueur d'une lumière extérieure. Nouveau murmure :


- Alors ? En quoi ne pourrai-je pas vous aider ?


Et ses yeux sombres pétillaient de malice. Elle aime le défi. Le costume, dans son sac, lui donne des ailes, et elle agit comme si elle le portait. Hana, appuyée contre le mur derrière elle, croisa les jambes. L'endroit était certes exigu, mais pas assez pour qu'ils soient trop collés l'un à l'autre. La porte s'ouvre à l'extérieur, alors qu'un des gardes du corps décide d'aller chasser la fugitive ailleurs.

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Les alentours de la ville / Re : So Fucking What !?
« le: mardi 20 mars 2012, 23:46:02 »
Oui, il faisait beau, ce jour là. Et quelque part dans Seikusu, une adolescente soupire. Elle est dans une limousine à air conditionné, à l'arrêt à un feu rouge. Près d'un magasin de fringues, et devant lequel se tient un vendeur de glace. Si proche, si inaccessible. Car quand on est une Ochinoe / Bertinelli, on ne descend pas comme ça de sa voiture de luxe pour acheter une glace sur un coup de tête. Surtout si ça implique de se mettre en retard à un rendez vous des plus importants, avec un autre "géant" du crime qui pense pouvoir prendre SA place sur le marché japonais.


Hana soupira, le regard sur le cornet que le vendeur tend à une môme habillée avec peu de goût. Devant elle, Dante, son père biologique, mais officiellement, son oncle. Une espèce de grand blond, aux épaules larges. Il lève un sourcil, et prend la parole quand la voiture redémarre.


- Tu n'es plus une enfant, Rachele. Une glace...
- Il fait chaud, mon oncle. Et puis, on mange bien de la glace à la maison. Je ne vois pas pourquoi...
- Ce n'est pas un endroit où manger de la glace, Rachele. La limousine, j'entends. Sans compter que ce serait du plus bel effet d'avoir le ventre qui fait du bruit face à l'autre cassos.


Le langage de Dante changeait selon son état de stresse, ou d'énervement. Hana ne savait pas trop, sur ce coup là, lequel choisir. Et puis, l'oncle savait où titiller sa nièce. Il suffisait de reparler de la place de chaque chose, de chaque personne, pour réveiller en elle ces toc qui lui pourrissaient la vie. Elle se faisait soigner, mais jusqu'à présent, les résultats étaient, pour ainsi dire, inexistants. Peu de gens étaient au courant de cette partie maniaque de la demoiselle. Dante en jouait, et en abusait, comme s'il cherchait à montrer à sa nièce qui était le chef, pour l'instant. Et qu'il fallait qu'elle le surmonte, si elle ne voulait pas se faire manipuler, plus tard.


La bonne blague.


Hana Rachele regardait donc le paysage défiler, le visage collé contre la vitre teintée. Sa journée fut aussi ennuyeuse qu'elle l'avait escomptée. C'est bien pour cela qu'à peine rentrée, prétextant un besoin de s'isoler - qui ne laissa pas son oncle dupe... - Hana Rachele s'enferma dans sa salle de gym à 16h, pour en sortir en douce à 18h, son costume moulant dans un sac à main - juste au cas où, bien sûr.


Sa destination ? Mais quelle question. Le marchand de glace, évidemment. Hana reste une gamine qu'on a fait grandir trop vite, et si elle le montre rarement, elle est capricieuse. La glace, à l'italienne bien entendu, lui ravit les papilles. Et c'est toute guillerette qu'elle s'amuse à semer les gardes du corps de son oncle italien, puis de son oncle japonais. Quand comprendront-ils qu'elle a, parfois, besoin d'intimité, en dehors des toilettes de la résidence ? La jeune fille se balade, dans les rues de la ville teintées de l'oranger du soleil couchant. Elle se senti libre, un court instant - le jeu reprend quand elle se sent à nouveau espionnée. Un virage ou une voiture, et la voilà qui disparaît à nouveau, pour profiter de quelques précieuses secondes de solitude.


Une voix s'élève alors. Une voix inédite, elle en est persuadée. Qui jure d'une drôle de façon. Sparshong... C'est quoi, ça ? Et qui jure sur Jupiter, franchement ? Hana arrête sa marche, fait quelques pas à reculons pour trouver la source et tomber nez à nez avec... Un homme. Seul. Dans une ruelle. Son cornet à la main, elle l'observe sans gêne, un sourcil légèrement relevé.


- Un problème ?


Elle croque dans son cornet, essuie une main sur son pantalon jean. Et un frisson lui remonte l'échine quand elle demande :


- Vous êtes perdu ?


Qu'il dise oui, qu'il dise oui ! Histoire d’œuvrer pour le grand ménage universel, où chaque chose et chaque personne se retrouve à sa place !

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Prélude / Re : Diana, princesse amazone et super-héroïne
« le: mercredi 09 novembre 2011, 12:35:25 »
(Hum, je ne pouvais pas ne pas poster avec ce compte ci !  ::) )

Re Bienvenue à toi :D DC characters are the best \o/


Bon, et je te valide, au passage x) !! Bon jeu à toi :)

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L'instant était purement magique, et envoutant. Chaque geste, chaque soupir, Hana les gravait dans son esprit. Ne le lui avait-elle pas promis, après tout, de garder le souvenir de leur escapade, comme son souvenir le plus cher ? Entre les bras de ce gentleman, la jeune fille a l'impression d'être la chose la plus délicate, la plus précieuse du monde, le seul centre de son attention toute entière... Une simple femme, finalement, loin de toutes les magouilles qui avaient fait son quotidien, jusqu'à présent. Chaque caresse balaye ce passé qu'elle aimerait voir disparaître, au profit d'un présent avec lui.

Les mains du mutant exploraient son corps comme jamais auparavant. Personne n'avait jamais fait preuve de tant de tendresse pour la jeune fille. Et elle adore ça. Hana soupire, gémit, et en demande encore dans un murmure. Pourtant, Gambit s'arrête et leurs deux corps se séparent... Un bref instant, bien trop long pourtant, avant qu'ils soient à nouveau face à face. Encore une courte seconde, et leurs visages s'approchent, leurs lèvres se retrouvent, et leurs langues se mêlent avec passion. Hana se laisse entrainer, avec délice, jusqu'à la baignoire, où c'est elle qui se retrouve assise au dessus de lui.

Hana profite, égoïstement, des baisers du mutant sur elle, immobile. Puis, délicatement, ses hanches commencent à se mouvoir. Comme si elle aussi avait senti que tout allait trop vite, la jeune fille prend le temps. Ses mains dansent sur le corps de son amant, avant de venir capturer le visage du mutant, l'obligeant à se relever vers elle. Hana le regarde droit dans les yeux, son sourire faisant briller ses yeux, avant de fondre à nouveau sur ces lèvres délicieuses.

L'italienne se laisse tant aller qu'elle en a le vertige. La fièvre lui fait accélérer le mouvement de son bassin, tandis que ses baisers partent dévorer le cou de Gambit. Il arrive à Hana, entre deux soupirs, deux "aaaah" exhalés avec passion, de murmurer d'autres douceurs, bien qu'elles ne soient pas des plus compréhensibles. Sans doute prononce-t-elle son nom, souhaite que cela dure toute la nuit, murmure qu'elle l'aime.

Mais voilà que déjà, son corps commence à se raidir. Hana se redresse, se cambre. Elle halète, mais n'accélère pas le rythme qu'elle s'est imposée, qu'elle a imposé à son compagnon. Sa poitrine se soulève au rythme de ses coups de reins qui commencent à être saccadés. Un cri, un peu plus fort que les autres, et une larme qui roule sur sa joue, les deux seuls signes visibles de son orgasme. Elle ne cesse pourtant pas d'aller et venir sur le membre du mutant, bien que de plus en plus lentement, avant de s'arrêter complètement, esoufflée, exténuée, bienheureuse comme jamais. Elle vient se lover tout contre Remy, les yeux clos, l'oreille contre le coeur de son gentleman.

Un long instant de silence suivit, avant qu'elle ne parvienne à murmurer :


- Je n'ai jamais autant aimé perdre le contrôle. C'était... Magique.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 16 janvier 2011, 00:10:14 »
Bonsoir, Harley :D !

Chouette, une copine de chez DC :3 DC girls are the best o/


00h09 (oui, c'était juste pour ça que je dépoussiérait Hunt' x) )

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Hier encore, Hana Bertinelli pensait à son avenir, si sombre et terne. A la tête d'un empire où elle pouvait jouer à sa guise avec des pions humains, et où son simple nom ferait courber l'échine à certaines des plus grosses têtes politiques. Un avenir où elle ferait ce que l'on attendait d'elle, sans réelle emprise sur quoi que ce soit, ou plutôt, sans qu'on lui demande son avis et où ses envies passeraient au second, voire au troisième plan.

Hier encore, Hana Bertinelli était une gamine de dix neuf ans qui profitait de la vie, accompagnée d'une bouteille de vin rouge qui lui était rapidement montée à la tête. C'était une liberté toute relative, c'était vrai, mais au moins, elle n'avait pas d'horrible grand tante pour lui pincer les joues comme à une gamine, ni d'un clan d'italiens bruyants dont les plus jeunes éléments paraderaient comme des paons faisant la roue en espérant attirer son attention.

Et puis, un verre de rhum, un avion, et quelques parties dans un casino de Vegas plus tard, voilà que tout ce en quoi Hana Bertinelli croyait vole en éclat. Il y a un autre avenir possible pour elle, tant qu'elle restera entre les bras de ce gentleman cambrioleur aux baisers brulants et terriblement plus addictifs que toute la drogue qu'elle pourrait vendre. Une vie où elle déciderait de chacun de ses faits et gestes, le tout saupoudré de quelques grains de folie. Rémy accompagne finalement ses mouvements de hanches, et elle sent à nouveau cette bouche si désirable prendre d'assaut son cou ; Hana frissonna, gémit un peu plus fort. Elle qui aimait toujours avoir le contrôle sur tout et tout le monde, elle se laissait enivrer et emporter dans cette délicieuse folie conduite par le mutant. Elle se sent glisser, et appuyée contre la paroi de la cabine de douche, elle lance un regard un peu interrogateur à son amant, un brin frustrée que tout s'arrête... Et ferme ses yeux azur à ses paroles et sourit. Elle frissonne à nouveau sous ses baisers, soupire sous ses mains, et pousse un cri, telle une délivrance, quand il reprend possession d'elle. Hana se cambre autant qu'elle le peut pour mieux s'offrir à lui ; son souffle se calque sur le rythme des coups de reins de son merveilleux amant, et elle gémit longuement quand elle sent une main repartir en exploration sur son corps, l'autre agrippant fermement sa hanche. Elle colle son front à la paroi de la cabine, et ferme les yeux.

En cet instant, Hana Bertinelli est dans un tout autre monde. Elle détache l'une de ses mains pour la coller à celle de Rémi, et la guider sur son corps soudain extrêmement sensible. Jamais elle n'a connu telle passion, qui lui donne des frissons malgré la température élevée de la salle de bain. Elle prend délicatement son poignet, et guide la main de son amant sur son ventre, puis entre ses seins... Avant de l'encourager à enserrer l'un d'eux entre ses doigts. Le bras d'Hana continue de monter, seul. Sa main glisse sur son épaule, gagne la joue de Rémi qu'elle caresse un instant du pouce, et ses doigts vont se perdre dans la chevelure trempée de son compagnon, lui interdisant par ce simple geste d'arrêter ses baisers sur sa nuque. Elle lui aurait bien dit : "Ne t'arrête plus." ou encore "Aime-moi comme tu n'as jamais aimé une femme." Mais rien de tout cela, à part un "Oh Rémi !" crié entre deux de ses gémissements de plus en plus forts, ne parvient à sortir de ses lèvres désireuses de repartir se coller à ses jumelles...

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Les alentours de la ville / Re : [Gunmer S.] My Obsession
« le: jeudi 30 septembre 2010, 22:02:03 »
Tétanisée.

Hana Bertinelli voit la scène au ralenti : le carreau qui quitte son arbalète, et Gun qui appuie sur sa gâchette. Sauf qu'ils ne jouent pas vraiment dans la même cour, niveau munitions... L'italienne est donc totalement paralysée, incapable de bouger le moindre muscle. Une bonne étoile veille-t-elle sur elle ? L'obus ricoche au sol, passe à côté d'elle, explose plus loin, et le souffle de la détonation défait son brushing. Elle qui a souffert le martyr, entre les dix pouces gauches de cette coiffeuse incompétente, voilà les efforts de dressage de la masse brune de cheveux de Hana anéantis.

En d'autres circonstances, elle aurait pu piquer une fausse crise. Au lieu de ça, la jeune femme ne réagit pas, même en voyant Gun et le terranide s'enfuir au triple galop. Le souffle de l'explosion se calme enfin, et la cape d'Huntress regagne lentement sa place le long de son corps. C'est le son des sirènes approchant qui la tirent de sa torpeur ; les deux étrangers ont disparu, et elle risque d'en baver pour les retrouver. La lumière clignotante apparait enfin, et Huntress ne peut hélas pas perdre son temps à ramasser les débris de cette arme d'une autre monde. Un grognement de frustration fait vibrer sa gorge, face à l'impossibilité de mettre un peu d'ordre dans tout ce bazar. L'héroïne regagne les toits, à la force de son grappin, les oreilles sifflant encore suite à l'explosion. Pour la première fois depuis longtemps, Hana Bertinelli s'est vue frôlée par la mort.

Son regard commence à briller : Bah ! Elle n'a été que frôlée. Elle est toujours en vie, c'est ce qui compte, non ? Huntress bondit de toit en toit, à la recherche d'une piste, n'importe quoi, en vain. Ils n'ont pas pu aller aussi loin, pourtant ! Après vingt minutes d'espionnage aérien, elle finit par rappeler sa moto, en profita pour refaire le plein de son stock de munition, avant d'enfoucher la bête pour refaire un tour du quartier, agrandissant le périmètre, passant sans doute plusieurs devant Gunmer et son terranide lapin sans même les remarquer. Pourtant, ce n'est pas faute de les chercher...

Et cela a le don de mettre la jeune femme hors d'elle. Aussi, plutôt que de continuer à tourner en rond pour rien, Hana arrête sa moto près d'un immeuble et gueule un bon coup :

- Et si on faisait une trève ? Si on se faisait confiance juste le temps que je te ramène chez toi, hein ? Chacun y trouvera son compte.

Les bras croisés, elle attend. Et Hana Bertinelli n'est hélas pas patiente...

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Les alentours de la ville / Re : Bas les Masques, Jolie Héroïne [Huntress]
« le: mardi 07 septembre 2010, 21:15:13 »
Hana accueille le mutant dans la cabine d'un immense sourire, avant de le laisser prendre possession avec fougue de ses lèvres et de son corps, alors que d'habitude, c'est la jeune femme qui aime avoir le contrôle sur ce qui peut se passer ; elle laisse les rênes à Rémi - pour le moment en tout cas - avec la sensation grisante qu'elle ne le regrettera pas. Les mains qui parcourent son corps lui soutirent de lents soupirs, et cette bouche aimée descend dans le cou de la belle, l'endroit le plus sensible chez l'italienne. Elle gémit à la morsure de son sein, et plaque une main derrière la tête de son compagnon comme pour le dissuader de s'arrêter... Jusqu'à ce qu'elle se souvienne de sa "bonne résolution" de le laisser faire. Hana relâche doucement sa prise dans les cheveux de Rémi, pour le laisser aller voir son second sein, jaloux de ne pas avoir reçu toute l'attention qu'il mérite. Ce que Gambit ne sait pas, c'est que la jeune femme dans ses bras ne serait pas contre des heures de cette délicieuse torture. A ses mots d'amour, elle sourit tendrement et Rémi repart à l'assaut de son corps à force de baisers et de morsures divines. La respiration de la jeune femme s'accélère progressivement, sa cuisse remonte le long de la jambe du Xman.

Et n'y tenant pas davantage, elle inversa les positions, plaqua Gambit contre la paroi opposée. Hana dévora à son tour son compagnon, sa langue brulante buvant la moindre goutte d'eau qui coulait le long de son cou ; ses genoux vinrent emprisonner les hanches de Rémi alors qu'elle se hissait sur lui. Ses bras s'enroulèrent autour de son cou pour rester stable, et ses yeux se plongèrent dans les iris rouge de son mutant.

- Je t'aime, mon Gentleman Cambrioleur. Tu m'excuseras d'être... Très impatiente de passer à l'étape suivante.

Tandis qu'elle soufflait ces mots, sa main s'était glissée entre ses cuisses pour saisir l'objet de son désir, le caresser avec tendresse, pour finir par le guider lentement en elle, avec un soupir de délivrance. Ses bras se lovent à nouveau autour de son cou, et elle ondule lentement son bassin, les yeux toujours plongés dans ceux de son amant. Son souffle chaud, en rythme avec ses coups de rein, frappe de plein fouet le tendre visage de son aimé. Avec passion, Hana entraîne alors Rémi dans un nouveau baiser, où leurs langues finissent par se rejoindre dans une danse folle. Progressivement, Hana décide d'accélérer le rythme de ses hanches. Son baiser, un peu sauvage durant quelques secondes, cesse alors qu'elle bascule la tête légèrement en arrière, et qu'un soupir un peu plus prononcé sort de sa gorge. Miss Bertinelli a très rarement eu l'occasion de prendre autant son pied - surtout avec quelqu'un d'aussi spécial pour elle.

40
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 05 septembre 2010, 23:01:56 »
*s'agrippe à son mutant*

Moui... Pas mal... (Mais je dis ça seulement pour que tu ailles remercier Frig en rp è____é *en mode jalouse* )

Nan mais sérieusement, j'adore ^^ Ca te va si bien, mon tendre gentleman  :-*

Hem, comment ça, Hana n'est pas censée être possessive ::) ?

23h03

41
Les alentours de la ville / Re : Bas les Masques, Jolie Héroïne [Huntress]
« le: jeudi 02 septembre 2010, 23:56:43 »
Blottie contre Gambit, Hana profite tant qu'elle le peut de son torse nu, de son odeur, du rythme régulier de ce coeur qui bat contre son oreille, ce coeur qu'elle a brisé en voulant se convaincre que tout ce qu'elle ressentait était à sens unique, que ce n'était qu'une illusion due à toute cette journée, toute cette mascarade... Hana sait qu'il  n' aucune raison de vouloir la garder plus longtemps près de lui. Rémi serait bien fou... Et Rémi sépare leurs deux corps. Hana en ressent presque une douleur physique quand cette chaleur tout contre elle disparaît. Elle se perd, une fois de plus, dans ses iris entièrement rouges, si attirantes, qui ensorcèlent la jeune femme une fois de plus. Se rend-il seulement compte de l'effet qu'il lui fait, de ce seul regard ? Elle soupire au contact de sa main sur son visage, du pouce qui finit sa course sur ses lèvres. Elle y dépose d'ailleurs un léger baiser et sourit à ses paroles, en rougit même. Il lui prend délicatement la taille, elle passes ses bras autour de son cou, accueille son baiser et y répond avec autant de douceur.

Jamais elle n'aurait cru qu'il était possible de penser ainsi, mais Rémi avait raison : cela ne servait à rien de se voiler la face. Même si ça avait l'air aussi difficile pour l'un comme pour l'autre, il fallait déjà réussir à accepter la situation, telle quelle. Bizarrement, le dire à voix haute marchait bien, en général :

- Je t'aime, Rémi.

Elle n'eut rien le temps de dire d'autre. Il l'entraina dans la suite, l'embrassant à nouveau avec une passion qui dévora l'italienne. Elle se serrait tout contre lui, craignant qu'il ne disparaisse, qu'il ne revienne sur sa décision. Des ailes semblaient lui pousser, et plus que ces derniers jours, elle se sentait libre. Hana avait l'impression que l'avenir, pour une fois, n'était pas important. Que ne pas porter son masque devant lui ne la ferait pas tomber en disgrâce. Il ne fallait pas se soucier de l'avenir, peut-être... Pourtant, Hana ne voulait plus quitter les Etats-Unis. Ne plus quitter ce gentleman qui la poussa doucement sur le lit, et vint s'installer au-dessus d'elle. Ils se fixèrent un moment tous les deux, Hana souriait. Elle attrapa son visage pour qu'il vienne l'embrasser de nouveau, et emprisonna les hanches du mutant entre ses genoux. D'un coup de rein, elle inversa les positions pour se retrouver au-dessus de lui, sans cesser de l'embrasser. Ses mains partirent à la découverte de son torse encore frais, essayant de le réchauffer en s'allongeant tout contre lui. Hana sépare ses lèvres de celles de Gambit pour le regarder, et juste pour le plaisir de le voir. Le sourire étire de nouveau sa bouche et elle murmure :

- Je t'aime.

Hana rit tout doucement, décidant juste de profiter de ce sentiment qui la grisait et lui faisait tourner la tête, profitant d'un contact si simple mais ô combien agréable. Rémi est toujours seulement vêtu de la serviette autour de sa taille, et Hana se redresse, assise à cheval sur ses cuisses, et dans un geste sensuel, elle saisit le bas de sa robe et la remonte lentement, dévoilant au fur et à mesure ses formes voluptueuses, qui ont visiblement le don de faire baver le beau mutant. Le vêtement sombre passe par-dessus la tête de la jeune fille, et elle le jette négligemment par terre. Avec un sourire charmeur, elle revient s'allonger lentement tout contre lui, ses mains passant à nouveau sur son torse à mesure qu'elle se baisse. L'italienne reprend doucement possession de ces lèvres dont elle a l'impression de ne plus pouvoir se passer, et Hana frissonne. Sa bouche descend le long de la joue, se pose sur son cou, et elle souffle à son oreille :

- Il fait frais, ici... Je te jure que cette fois, la douche sera brulante.

Elle lui mordille l'oreille, ses lèvres continuent leur descente jusqu'à l'épaule de son amant, sa langue suit la clavicule, tandis que la main d'Hana vient se poser sur la serviette qui couvre Rémi. Elle contient son propre désir de la lui arracher, juste pour le plaisir d'être entièrement nus l'un contre l'autre, et caresse seulement son sexe tendu de manière indirecte. Elle pince l'un des tétons de Rémi entre ses lèvres avant de se lever brusquement, et de l'inviter à la suivre dans la salle de bain d'un geste du doigt, un sourire joueur sur les lèvres.

En bonne japonaise, Hana aimait prendre un bain après sa douche, aussi fit-elle couler l'eau dans la baignoire spacieuse de leur suite. A peine entra-t-elle dans la cabine de douche qu'elle s'y fit rejoindre, et elle éclata d'un rire joyeux en accueillant Gambit, qui la plaque doucement contre la paroi. Elle se colla tout contre lui, l'embrassa passionnément alors que de sa main libre rallumait l'eau chaude, l'autre repartant déjà à l'assaut du corps de son amant.

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 01 septembre 2010, 12:33:59 »
*câlin*

Alors on t'attendra ce soir, avec la thermos de café :p

12h35

43
Les alentours de la ville / Re : [Gunmer S.] My Obsession
« le: mercredi 01 septembre 2010, 12:33:10 »
Hana évita de sourire et de pouffer en voyant qu'elle avait touché une corde sensible : Oh, elle aurait pu continuer à le titiller sur son armure, bien entendu. Ca aurait été du Huntress tout craché. Bizarrement, pourtant, elle n'en fit rien : peut-être que l'arme braquée entre ses yeux l'en dissuada. Aussi, elle se contenta de prendre un air faussement choqué et lui répondit :

- Mon costume est très bien ! Il me met en valeur et franchement - en toute modestie - le mauve me sied à merveille.

Pourtant, Gun semblait agacé par l'héroïne - qui ne le serait pas ? Hana ne pria pas pour qu'il n'ait pas la gâchette facile... Ca aurait été s'avouer qu'elle avait peur. Et ce n'était pas le cas. Aussi, elle soutint son regard, un sourire en coin. Elle l'observa ramasser le lapin à terre et le prendre contre lui. Un coup d'oeil à sa propre arbalète lui rappela qu'elle avait mis un carreau d'arbalète classique dans son arme ; à la façon dont l'homme tenait le terranide, elle risquait de le blesser grièvement si elle devait tirer. Et puis après tout, ce n'était plus son problème.

- Je ne fais confiance à personne - et encore moins à ceux qui me menacent de leur grosse arme. Je ne suis pas là pour te mettre des bâtons dans les roues, je me fiche pas mal de ton histoire et de ce que tu veux de cette sale bestiole.

Huntress changea de pied d'appui, posa son poing libre sur sa hanche :

- Par contre, le désordre me donne de l'urticaire. Vous venez de Terra, vous devez retourner sur Terra. Et ici, c'est la Terre. Tu veux retourner chez toi ? J'ai les moyens de t'y renvoyer - et tout le monde est content. Je te l'ai déjà dit : ça m'est égal de vous y renvoyer mort ou...

Son regard retomba sur le terranide : il se réveilla d'un coup, l'oeil exorbité. Il ne bougeait pas encore, et Huntress n'attendit pas qu'il commence à se débattre : sans réfléchir une seconde à ce qu'elle venait de dire et aux conséquences qui pourraient s'avérer désastreuses, l'italienne pointa son arbalète sur le terranide au moment où il bandait ses muscles pour s'enfuir. Hana tira dans la jambe du lapin, et...

Et bien, advienne que pourra...

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Les alentours de la ville / Re : [Gunmer S.] My Obsession
« le: lundi 30 août 2010, 23:56:35 »
Qu'il ait cherché ou non à venir ici, Hana s'en contre foutait royalement. Il était là, seul ce résultat comptait. Lui et ce stupide terranide lapin. Pas à la bonne place. Grands Dieux, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été autant dérangée par la présence de deux terranides ! Quand il leva son arme, elle lui lança, sarcastique :

- Ouh ! Je suis terrifiée.

Elle l'était réellement. Mais pas question de le lui montrer, ou que l'idée ne l'effleure seulement. L'arbalète de Huntress ne tremblait pas, pourtant Hana avait l'impression de tout son être était secoué de frissons. Avec une telle arme, Hana n'était même pas sure d'être identifiable, s'il restait quoi que ce soir à identifier. Quand il commença à s'énerver, elle  hésita un moment sur la réaction à adopter : attaquer ? Fuir ? Esquiver ? Elle commença par relever son arme, et montra bien qu'elle retirait son doigt de la gâchette, avant de laisser pendre son bras le long de son corps... Elle ne lâcha pas son arme, bien sûr, elle n'était pas dingue... Mais si ça pouvait lui éviter de se retrouver éparpillée au sol, Huntress pouvait bien remballer un peu sa fierté, au moins quelques minutes.

- Je ne t'ai jamais traité didiot - ben qu'il soit passablement crétin de mettre une armure de femme quand on a l'air d'un homme. Mais bon, là n'est pas le sujet.

Hana haussa les épaules, et rejeta ses cheveux en arrière. La toute petite voix de sa conscience lui murmura que ce n'était peut-être pas bon de trop titiller Gunmer tant qu'il avait son arme braquée sur elle. Alors Hana le pointa du doigt, sourcils froncés en signe d'agacement, et lui intima :

- Baisse ton joujou !! Je ne suis pas de ton côté, de toute façon. Ni de celui de cette sale bête. Vos histoires ne me concernent pas : votre présence ici est intolérable. Et je compte bien vous renvoyer d'où vous venez. Avec ou sans votre coopération. Morts ou vifs. Mais vous ne resterez pas sur cette terre tant que je serai vivante.

Hum, mauvaise idée, ça... Hana n'a jamais réellement eu conscience de sa mortalité... Peut-être que se retrouver avec un obus au bout du nez lui fit doucement changer d'avis ? Pourtant, elle ne revint pas sur ses  paroles. Avec un peu de chance, elle arriverait à plonger au moment de l'hypothétique tir pour sauver sa peau...

Aux pieds de Gun, le terranide cesse de ronfler. Il ne va pas se réveiller, mais c'est pour bientôt, sans doute... En attendant, ce n'est pas vraiment le soucis principal de Huntress.

- Je suis Huntress. Au cas où ça pourrait vous intéresser.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 30 août 2010, 15:16:45 »
*a lancé une mode avec ce Marignan XD !!*

Cette fois, me dis pas que t'as pas répondu vite, Gun x) !!! (reste quand même sous la barre des rp à faire, pour l'instant...*

15h18 : Marignan + 3. Na.

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