Bas les Masques, Jolie Héroïne [Huntress]

L'eau s'ecoulait sur leurs deux corps nues, et Remi se laissait aller a revasser tout contre la Muse qui l'accompagnait. Hana, non seulement d'avoir été, d'étre, une epouse factice des plus merveilleuses, bien au dela des espérances du voleur, qui en acceptant de suivre la folie de cette jeune mafieuse, c'etait retrouvé a rever d'un Idyle des plus mielleuse... Et pourtant, c'etait bel et bien le cas. A Végas, la ville des vices et des jeux, il y avait trouvé le plus beau des trésors, et en ce moment méme, il le tenait entre ses bras, en la personne d'Hana... L'Héroïne qu'il avait tenté de voler dans un premier temps, qui l'avait amené ici, et qui ce soir, etait plus belle que jamais...

Leurs baisers s'embrasent alors d'une nouvelle dimension. Remi avait d'abord voulut ne pas y croire, préférant se dire que tout cela n'etait quant dans l'esprit de la féte, de Végas, de ce Casino. Lui ne pouvait y mettre ca sur le compte de l'alcool, qu'il tenait fort bien a la differance d'Hana, qui semblait sombrer a la premiére coupe. Mais qu'importe finalement si il devait ceder devant les assauts de son coeur, il lui fallait lui avouer, la pression devenait de plus en plus forte au fond de sa gorge, de sa poitrine... Il etait dans un bien bel etat le X-Man... Mais méme de cela, il n'en avait que faire. Il expliquerai sans soucis aucun son absence a Xavier a son retour de mission... Mais comment ne pas hurler sur tout les toit que... Remi LeBeau etait amoureux! Il s'appretait deja a le dire a la principale concernée, mais trés rapidement, cette derniére stopa le mutant dans son élan...

Alors les coups de poignards commencérent... L'un aprés l'autre, ils lui glacérent d'abord le sang, puis finirent par l'achever, quant enfin elle avoua que cela provenait de leurs couvertures d'une nuit... Etre un couple heureux faisait il qu'ils n'avaient pas le droit de l'étre réellement... Le Mutant manqua de s'affaisser dans la cabine de douche, mais il fut alors pousser contre la paroie de celle ci, par Hana, qui n'avait pas plus de scrupule que cela de lui briser le coeur qu'il pensait avoir enfin ouvert pour elle. Remi resta un long moment sans réaction, mais son coeur lui, subit différantes phases... Il y eu la douleur, puis la peine, la colére, et enfin... L'ecoeurement... Non celui de la jeune femme... De lui méme. Comment avait il put tomber dans un panneau aussi grossier... Comment avait il put croire une seule seconde que cette jeune femme pleine d'avenir perdrait son temps avec un Mutos?! Un voleur de bas étage! Elle voulait juste s'eclater un peu comme devaient le fairent ses copines millardaires, en prenant pour un soir un escorte boy?! Il serra les dents, tandis qu'elle lui murmurait a l'oreille qu'elle tenait a passer la nuit avec lui... Oui, cela devait faire partit du service comprit ca, pour les Gigolo!

Il la poussa alors doucement, se retenant. Et son regard se posa sur celui de la jeune femme... Il avait le souffle court, par la peine qu'elle venait de lui faire, mais aussi par la maniére dont il s'etait laissé berné par son propre amour.

"Une nuit mémorable....?"

Il sourit, amére, tandis qu'il regardait la porte de la salle de bain, avant de reposer ses yeux rouge vif desormais, sur celle qui venait de lui arracher les trippes...

"Tu as raison... Aprés tout, ce n'est pas parceque nous jouons le role d'un couple heureux que nous devons faire de méme, n'est ce pas?! Qui voudrait d'un Mutant aprés tout? D'un voleur? Non, Hana Bertinelli merite un cousin mafieux que son parrain d'oncle lui aura choisit!"

Il avait laissé fuser sa colére, méme si il avait voulut la garder... Il avait horreur de se montrer faible a ce point, mais elle avait méme reussi a lui faire baisser sa garde... Il devait applaudir et rendre au moins hommage a cela...

"Tu as raison Hana, ou devrais je dire, Mademoiselle Bertinelli, ce jeu a du nous monter à la téte, mais pas a la méme force!"

Il se recula alors, repoussant les mains de la jeune femme, pour sortir de la cabine, prenant une serviette en se sentant complétement idiot et plus encore. Mais avant de sortir de la salle de bain, il croise une derniére fois son regard...

"Les douches froides ont une sale tendance a me fatiguer, je prendrais le divan du mini salon, et demain, je prendrais un taxi. Bonne nuit Mademoiselle Bertinelli"

Il avait insisté sur le mots "froide" non sans raison. Il sortit finalement de la piéce, en refermant derriére lui... Il allait tout hurler.. Mais prefera s'installer sur la terasse, la serviette autour de sa taille, cherchant dans son costume le paquet de cigarette, qu'il alluma en toute hate...

"Pauvre con que tu es Gambit...."

"Une bonne raison ne pas boire d'alcool quand on ne le tient pas", par Hana Bertinelli. Jamais l'italienne n'avait décuité aussi vite, alors qu'elle prend lentement conscience des conneries qu'elle a pu sortir. Mâchoire serrée, visage neutre, elle comprend petit à petit à quel point elle est incapable de mettre les formes dans ce qu'elle veut dire, sans tout gâcher. Elle essaye bien de retenir Rémi, mais il repousse sa main avant de sortir. Ses yeux restent un long moment fixés sur la porte close, incapable de bouger... Ses jambes finissent même par la trahir et elle glisse au sol.

Malgré la chaleur de l'eau, Hana Bertinelli est glacée. Son visage reste de marbre alors qu'aux gouttes d'eau du jet de douche se mêlent des larmes. Mais qu'as-tu donc fait, abrutie ? La jeune fille commence à trembler, mais reste incapable du moindre geste. Elle ne voulait pas s'attacher à lui, ce n'était pas prévu... Ce n'était censé être qu'une virée un peu folle. Pourquoi son coeur la faisait tant souffrir ? Doucement, son masque se fend, se brise, et son visage se déforme dans un grimace de tristesse. Hana replie les genoux pour y croiser les bras et y enfouir sa tête. Pour l'instant, elle veut juste pleurer. En fin de compte, la liberté est peut-être grisante, mais ô combien douloureuse. Ses paupières s'entrouvrent pour regarder la bague à son annulaire, elle se souvient de l'inscription - et même de l'échange d'alliances, dans la voiture, qui l'avait faite rougir.

Et elle avait tout gâché. Bravissimo, stupid girl. Pourtant, elle n'avait pas l'intention de laisser filer ainsi le beau mutant. Hana se donna cinq nouvelles minutes avant de sortir de la salle de bain, en ayant remis sa robe de soirée - ses seuls vêtements... Elle eut une bouffée de soulagement en voyant Rémi sur la terrasse, mais elle s'arrêta  à la fenêtre, l'observa quelques secondes. Elle ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois avant de réussir à prononcer quelques mots. Par lesquels commencer ?

- Je t'aime, Gentleman. Tu m'as menti en disant que tu venais voler ce collier, hier soir... Tu étais bel et bien venu pour mon coeur, finalement... Ca me fait peur... Non, en fait, ça m'a terrifiée de m'attacher aussi vite à toi.

C'était un bon début, au moins, c'était moins catastrophique que ce qui s'était passé sous la douche... Hana baissa les yeux sur le sol. Elle ne savait pas trop quoi dire de plus pour le moment. Pourtant, elle sourit et se décide à rajouter :

- Je me fiche que tu sois un mutant. Comme tu avais l'air de te moquer que je ne sois qu'une sale gosse de riche à la famille assez peu recommandable. Je... ne souhaitais pas te faire aussi mal. Je suis impardonnable. Rémi...

Elle voudrait pourtant venir se blottir dans ses bras, y pleurer. Demander pardon mille fois. Lui dire qu'elle ne voulait pas ça. Pourtant, elle ne fera rien de tout cela. Stupide fierté ! Avec un soupir à fendre l'âme, Hana fait volte face pour rentrer dans la suite après un "Je suis désolée" à peine audible. La brise nocturne la faisait grelotter - comme s'il n'y avait que le vent à la faire trembler. Qui l'aurait cru ? Hana Bertinelli déclare forfait pour la première fois ! Énervée par sa propre faiblesse, la jeune fille fait à nouveau demi-tour pour venir enlacer Gambit. Et si elle trouverait normal qu'il la rejette, elle prie pour qu'il ne le fasse pas.

- Si tu me le demandes, je prendrai le premier avion pour retourner au Japon, et tu ne me reverras jamais plus.

Et ses bras se serrent un peu plus fort autour de lui.

La brise de ce soir etait une bénédiction... Remi etait sur cette terasse, qui devait étre symbole d'une soirée inoubliable, qui finalement etait un fiasco total. La fraicheur du leger vent venait en contraste de sa température corporelle... Il avait le sang bouillant dans ses veines, la deception, la douleur, les nerfs... Tout n'etait que tourbillon dans sa téte. Il venait de se prendre la plus belle baffe de toute son existance, et c'etait de la part de celle qui avait difficilement gagner une place dans son coeur de pierre... Etait ce cela l'effet papillon? Donner son coeur, et obtenir en retour une flamme qui l'embrase pour mieux le detruire? Mais plus qu'en vouloir a Hana, c'etait a lui méme qu'il en voulait. Sa réaction avait été vive, et sans fondement. Aprés tout, c'etait le droit de l'italienne de ne rien vouloir de plus avec lui.

Sa cigarette se comsummée encore, trés lentement, alors qu'il la portait entre ses lévres, tirant une longue bouffée, comme pour calmer des nerfs qui etaient ce soir à vifs. Que devait il faire? Comment agir? Retourner la voir, un sourire plaqué sur les lévres, lui dire qu'il rigolait, que rien de tout cela n'etait réel, qu'il etait encore dans son role pour la soirée? Il secoua la téte, se trouvant de plus en plus ridicule a mesure que les excuses fusaient dans son esprit tordu. Mentir ne servait a rien ce soir. La bétise etait faite. Il avait avoué sans le vouloir a Hana qu'il attendait plus d'elle, qu'il avait révé mieux pour eux qu'une simple nuit dans un Hotel, méme si c'etait un cinq etoiles. La vérité etait effrayante, méme pour lui, surtout pour lui, habituellement chassé par les humains, mal perçut par ses congénéres. Gambit etait un noceur, un joueur, mais ce soir, c'etait l'homme au coeur brisé qui lui collait a la peau.

Il se decida de faire son sac, afin de laisser Hana en paix. Ne plus affronter son regard azur, ne plus avoir a la desirer, a l'aimer par ce simple contact visuel. Ce sentiment etait a la fois une benediction, mais aussi un malheur. Souffrir ne lui etait pas supportable. La fuite n'etait pas l'un de ses principes de bases, et pourtant ce soir, cela semblait étre la meilleure des solutions, pour lui, comme pour sa Muse.

Mais avant qu'il n'ai put quitter la terrasse, il sentit l'approche irrémédiable d'une fine silouhette qu'il etait maintenant capable de reconnaitre entre milles... Il resta figeait, ne pouvant bouger le moindre muscle, attendant la sanction definitive de son esclandre d'il y a quelques minutes à peine. Les premiers mots fusérent, le frappant de plein fouet, tandis que la suite n'avait pour lui plus aucun sens... Il posa son regard sur elle, etonné, prit de court, alors que la bella enchainait avec les expliquations... Attendant une sortie de sa Muse, il avait au lieu de cela, des excuses, sincéres, de la part de celle qui venait de chambouler sa vie.. Il sent les bras se resserer sur lui. Il sent sa chaleur, son parfum... sa douceur. Hana etait a lui demander si elle devait partir ou pas, il ne parvenait pas a le concevoir qu'elle oses simplement demander...

"Hana..."

Il se recula un peu, ecartant la jeune femme par la méme occasion, pour avoir une vue totale sur ses Iris Oceans...

"Comment peux tu envisager de me laisser ici?..."

Il sourit doucement, une main venant caresser son visage, terminant sur ses douces lévres..

"Je.. Je ne demande pas d'aller plus vite. Je ne demande pas non plus que ta vie change. Je veux simplement que nous ne refusions pas de voir l'evidence. Je..Humph..."

Il eu un demi-sourire, tout en continuant.

"Je n'ai jamais laissé personne percer ma carapace. Tu y as reussi en un regard, en un verre de Rhum, et en une soirée. Ce soir fut la plus belle nuit de ma vie, ne la gachons pas en reflechissant ou non a un possible avenir."

Il enroula ses bras autour de sa taille. Approchant un peu plus d'elle, l'embrassant avec tendresse.

"Je t'aime Hana Bertilleni, comme aucune autre Mafieuse sur cette planéte, mais laissons nous le temps d'accepter ca, tout en se l'avouant deja a nous méme."

POur conclure son discourt, le X-man emena la jeune femme a l'interieur, dans un baiser plein de passion, retrouver ainsi la flamme qui avait fait de son coeur un Yoyo en présence de sa Muse. Hana etait une femme incroyable, qui avait mit sa fierté de coté, pour les simples beaux yeux d'un voleur, n'etait ce pas une preuve d'amour suffisante?

Blottie contre Gambit, Hana profite tant qu'elle le peut de son torse nu, de son odeur, du rythme régulier de ce coeur qui bat contre son oreille, ce coeur qu'elle a brisé en voulant se convaincre que tout ce qu'elle ressentait était à sens unique, que ce n'était qu'une illusion due à toute cette journée, toute cette mascarade... Hana sait qu'il  n' aucune raison de vouloir la garder plus longtemps près de lui. Rémi serait bien fou... Et Rémi sépare leurs deux corps. Hana en ressent presque une douleur physique quand cette chaleur tout contre elle disparaît. Elle se perd, une fois de plus, dans ses iris entièrement rouges, si attirantes, qui ensorcèlent la jeune femme une fois de plus. Se rend-il seulement compte de l'effet qu'il lui fait, de ce seul regard ? Elle soupire au contact de sa main sur son visage, du pouce qui finit sa course sur ses lèvres. Elle y dépose d'ailleurs un léger baiser et sourit à ses paroles, en rougit même. Il lui prend délicatement la taille, elle passes ses bras autour de son cou, accueille son baiser et y répond avec autant de douceur.

Jamais elle n'aurait cru qu'il était possible de penser ainsi, mais Rémi avait raison : cela ne servait à rien de se voiler la face. Même si ça avait l'air aussi difficile pour l'un comme pour l'autre, il fallait déjà réussir à accepter la situation, telle quelle. Bizarrement, le dire à voix haute marchait bien, en général :

- Je t'aime, Rémi.

Elle n'eut rien le temps de dire d'autre. Il l'entraina dans la suite, l'embrassant à nouveau avec une passion qui dévora l'italienne. Elle se serrait tout contre lui, craignant qu'il ne disparaisse, qu'il ne revienne sur sa décision. Des ailes semblaient lui pousser, et plus que ces derniers jours, elle se sentait libre. Hana avait l'impression que l'avenir, pour une fois, n'était pas important. Que ne pas porter son masque devant lui ne la ferait pas tomber en disgrâce. Il ne fallait pas se soucier de l'avenir, peut-être... Pourtant, Hana ne voulait plus quitter les Etats-Unis. Ne plus quitter ce gentleman qui la poussa doucement sur le lit, et vint s'installer au-dessus d'elle. Ils se fixèrent un moment tous les deux, Hana souriait. Elle attrapa son visage pour qu'il vienne l'embrasser de nouveau, et emprisonna les hanches du mutant entre ses genoux. D'un coup de rein, elle inversa les positions pour se retrouver au-dessus de lui, sans cesser de l'embrasser. Ses mains partirent à la découverte de son torse encore frais, essayant de le réchauffer en s'allongeant tout contre lui. Hana sépare ses lèvres de celles de Gambit pour le regarder, et juste pour le plaisir de le voir. Le sourire étire de nouveau sa bouche et elle murmure :

- Je t'aime.

Hana rit tout doucement, décidant juste de profiter de ce sentiment qui la grisait et lui faisait tourner la tête, profitant d'un contact si simple mais ô combien agréable. Rémi est toujours seulement vêtu de la serviette autour de sa taille, et Hana se redresse, assise à cheval sur ses cuisses, et dans un geste sensuel, elle saisit le bas de sa robe et la remonte lentement, dévoilant au fur et à mesure ses formes voluptueuses, qui ont visiblement le don de faire baver le beau mutant. Le vêtement sombre passe par-dessus la tête de la jeune fille, et elle le jette négligemment par terre. Avec un sourire charmeur, elle revient s'allonger lentement tout contre lui, ses mains passant à nouveau sur son torse à mesure qu'elle se baisse. L'italienne reprend doucement possession de ces lèvres dont elle a l'impression de ne plus pouvoir se passer, et Hana frissonne. Sa bouche descend le long de la joue, se pose sur son cou, et elle souffle à son oreille :

- Il fait frais, ici... Je te jure que cette fois, la douche sera brulante.

Elle lui mordille l'oreille, ses lèvres continuent leur descente jusqu'à l'épaule de son amant, sa langue suit la clavicule, tandis que la main d'Hana vient se poser sur la serviette qui couvre Rémi. Elle contient son propre désir de la lui arracher, juste pour le plaisir d'être entièrement nus l'un contre l'autre, et caresse seulement son sexe tendu de manière indirecte. Elle pince l'un des tétons de Rémi entre ses lèvres avant de se lever brusquement, et de l'inviter à la suivre dans la salle de bain d'un geste du doigt, un sourire joueur sur les lèvres.

En bonne japonaise, Hana aimait prendre un bain après sa douche, aussi fit-elle couler l'eau dans la baignoire spacieuse de leur suite. A peine entra-t-elle dans la cabine de douche qu'elle s'y fit rejoindre, et elle éclata d'un rire joyeux en accueillant Gambit, qui la plaque doucement contre la paroi. Elle se colla tout contre lui, l'embrassa passionnément alors que de sa main libre rallumait l'eau chaude, l'autre repartant déjà à l'assaut du corps de son amant.

Ce qui etait en train de se derouler ici n'etait autre que le reflet de ce qu'etait nos deux héros... Lunatique, et surtout, inconscient de l'importance de ce moment fatidique, pourtant Remi ne prenait pas les mots de son italienne a la légére. Heureux, et surtout derouté, le X-man n'etait pour une fois, pas maitre des cartes qu'il avait en main... Hana avaity declaré sa flamme, il en avait fait de méme, mais rien n'indiqué comment tout le reste allait se derouler. Il le disait lui méme, ne pas penser a l'avenir, voir ce qu'il se passera, quant cela se passera... Gambit, l'homme qui ne pouvait s'empecher de partir en conquéte de plus jolies courbes aux alentours, venait de s'arreter net contre le Mur nommé "Amour". L'amour qui avec Hana prenait forme d'ailleurs en cet instant bien precis. Non content de lui avoir fait decouvrir une part d'elle méme par le biais de sa bat-Cave, elle lui en apprenait un peu plus sur lui... Oui, le Gentleman etait capable d'aimer, fort, sans concessions, sans... peur.

Pourtant les choses avaient étés si rapide entre eux deux... Logique naturelle entre deux personnes qui se refusent de se laisser berner par l'amour, qui refusent de voir en cela une chance de passer une nouvelle etape dans leurs existances... De Grandir tout simplement. Gambit, quant a lui, n'avait jamais éprouvé pareil sensation... A la fois enrichissante et blessante, Hana avait desormais tout pouvoir sur son humeur, sa joie, ses peines... Il etait effrayant de mettre dans les mains d'un autre étre, son destin, que nul autre que vous ne vouliez controler. Mais ainsi va la vie, méme chez les mutants semblait il.

Alors qu'il etait dans ses reflexions, Remi sentit immédiatement les lévres sulfureuse de sa tendre le ramener vers la réalité, qui avait des courbes a couper le souffle, il fallait bien l'avouer... Il voit alors le tissus que ne faisait que gener leurs corps au contact, quitter peu a peu le satiné de l'epiderme de sa Muse... Il apercoit par bride, les courbes apparante, se dessinant au yeux rouge du Mutant, qui en a le tourni... La chaleur corporel d'Hana vient faire ensuite contraste avec la fraicheur qui s'insinue dans la suite... Leur baiser est long et tendre, avec une touche suffisante de sensualité pour rappeler a Remi que non content que cette demoiselle etait la déesse Aphrodite réincarné, elle avait également des lévres qui etaient faite pour lui. Et ce n'etait certainement pas son cou qui en dirait le contraire, alors que la mafieuse a deja prit d'assaut sa peau.

Alors qu'elle murmure quelques mots doux a son oreille, le X-man sourit, mutin, mais trés rapidement soupir sous les caresses d'Hana sur son membre qui réagit immédiatement... Son teton mordillé lui aussi ne peut que se rendre, et le mutant caresse alors la croupe de sa magnifique..."Femme?".Elle finit par se detacher lentement, en créant immédiatement un manque réel. Il est devenue addict de sa peau, de son parfum, d'elle. et tandis qu'il la regarde s'eloigner doucement en direction de la salle de bain, il conserve son sourire. Il attend un court instant, et une fois qu'il entend enfin l'eau couler a nouveau, il se léve du lit, laissant glisser sa serviette devenue inutile sur le sol. Entrant de nouveau dans cet espace qui fut le siége de leur toute premiére dispute, il ne peut que sourire sous le ridicule... Mais qu'importe, pour l'heure, il la desire, plus que tout, et entrant dans la cabine de douche, il s'accapare immédiatement le corps nue d'Hana, la plaquant contre l'une des parois de la cabine, reprenant son baiser, plus fougueux encore qu'auparavant.

Ses lévres se redécollent a nouveau d'elle, pour replonger dans son cou, ou il s'etait deja perdut quelques minutes auparavant. Il redecouvre avec emerveillement la douceur de sa peau, la chaleur de ses caresses qui sont trés loin d'étre due a l'eau de la douche... Il descend plus en avant, pour aller jouer du coté de sa poitrine glabés et sublime. Il les regarde un trés court instant, comme pour marquer a vie son esprit du corps tout entier de celle qui avait ravis son coeur. Ses lévres se posent tendrement sur le premier d'entre ses seins, qu'il vient prier de baiser, de multiples caresses de sa langue, avant qu'enfin, il ne capte entre ses dents, le premier teton qui vient durcir entre ses lévres. Levant ses yeux rouges sur le visage angélique de sa dulcinée, le mutant passe alors au second, qu'il traite de la méme maniére, toujours avec autant de tendresse.

Il se recule légérement, comme pour admirer l'ensemble du corps de sa Muse... Avant d'ajouter sensuellement...

"Je t'aime, Jolie Mafieuse..."

Il la replaque alors contre la parois, remontant ses lévres le long de son cou, pour venir y poser une légére morsure, tandis que son membre toujours aussi tendu, vient agréablement se coller a l'intimité d'Hana, commencant un doux frottement entre eux. Son regard se perd dans le bleu de celui de son ange, et Remi sait aujourd'hui a quoi ressemble enfin le paradis...

Hana accueille le mutant dans la cabine d'un immense sourire, avant de le laisser prendre possession avec fougue de ses lèvres et de son corps, alors que d'habitude, c'est la jeune femme qui aime avoir le contrôle sur ce qui peut se passer ; elle laisse les rênes à Rémi - pour le moment en tout cas - avec la sensation grisante qu'elle ne le regrettera pas. Les mains qui parcourent son corps lui soutirent de lents soupirs, et cette bouche aimée descend dans le cou de la belle, l'endroit le plus sensible chez l'italienne. Elle gémit à la morsure de son sein, et plaque une main derrière la tête de son compagnon comme pour le dissuader de s'arrêter... Jusqu'à ce qu'elle se souvienne de sa "bonne résolution" de le laisser faire. Hana relâche doucement sa prise dans les cheveux de Rémi, pour le laisser aller voir son second sein, jaloux de ne pas avoir reçu toute l'attention qu'il mérite. Ce que Gambit ne sait pas, c'est que la jeune femme dans ses bras ne serait pas contre des heures de cette délicieuse torture. A ses mots d'amour, elle sourit tendrement et Rémi repart à l'assaut de son corps à force de baisers et de morsures divines. La respiration de la jeune femme s'accélère progressivement, sa cuisse remonte le long de la jambe du Xman.

Et n'y tenant pas davantage, elle inversa les positions, plaqua Gambit contre la paroi opposée. Hana dévora à son tour son compagnon, sa langue brulante buvant la moindre goutte d'eau qui coulait le long de son cou ; ses genoux vinrent emprisonner les hanches de Rémi alors qu'elle se hissait sur lui. Ses bras s'enroulèrent autour de son cou pour rester stable, et ses yeux se plongèrent dans les iris rouge de son mutant.

- Je t'aime, mon Gentleman Cambrioleur. Tu m'excuseras d'être... Très impatiente de passer à l'étape suivante.

Tandis qu'elle soufflait ces mots, sa main s'était glissée entre ses cuisses pour saisir l'objet de son désir, le caresser avec tendresse, pour finir par le guider lentement en elle, avec un soupir de délivrance. Ses bras se lovent à nouveau autour de son cou, et elle ondule lentement son bassin, les yeux toujours plongés dans ceux de son amant. Son souffle chaud, en rythme avec ses coups de rein, frappe de plein fouet le tendre visage de son aimé. Avec passion, Hana entraîne alors Rémi dans un nouveau baiser, où leurs langues finissent par se rejoindre dans une danse folle. Progressivement, Hana décide d'accélérer le rythme de ses hanches. Son baiser, un peu sauvage durant quelques secondes, cesse alors qu'elle bascule la tête légèrement en arrière, et qu'un soupir un peu plus prononcé sort de sa gorge. Miss Bertinelli a très rarement eu l'occasion de prendre autant son pied - surtout avec quelqu'un d'aussi spécial pour elle.

La Cabine de douche devenait de plus en plus étroite devant les ebats de nos deux amoureux, leurs corps pourtant collés comme jamais, l'humidité de l'instant aidant en plus a ce qu'il ne se décollent plus, méme pour se frotter l'un a l'autre. Le X-man avait les sens en eveil, celui du toucher en particulier, tandis qu'Hana inversé leurs positions. Il se retrouvait desormais soumis a ce que la jeune femme voulait, et pour la premiére fois de sa vie, Gambit en fut plus que ravie. Son membre sentit l'intensité de la jeune italienne, tandis qu'elle se placait parfaitement pour qu'ils s'unissent enfin... Et cela ne tarda pas, et lentement, la douce Bella se laissa retomber sur son hampe de chaire, arrachant un soupir de plaisir au mutant, qui posa ses mains sur chaques fesses d'hana, afin de faciliter les mouvements, qui s'enchainairent.

L'impatience devient trés vite fougue, et les mouvements de hanches d'Hana etaient là pour assoire cette hypothése là. Leurs deux corps à l'unison, fusionnant dans une parfaite harmonie, tandis que la chaleur de la piéce montait en fléche. Remy garda ses mains fermes sur le fessier rebondit de sa compagne, tandis qu'il donnait lui méme des coups de hanches, afin de mieux entrer en elle. La passion du moment etait a son sommet, et le souffle chaud de son ange venait frapper son visage. Leurs Iris s'accrochérent l'une a l'autre, et quant enfin, la Bella pencha son visage en arriére, il en profita pour de nouveau gouter sa peau, celle de son cou, la mordillant avec passion et tendresse a la fois. Savant mélange, qu'il commençait a maitriser grace a sa Furibonde compagne.

Mais le sourire du joueur reprit le dessus, et lentement, alors qu'il fit descendre l'italienne le long de la paroie de la douche, il se colla de nouveau contre, pour enfin la retrouner, et la plaquer face contre plexi... Collant son torse contre le dos de la belle, le mutant murmura doucement a son oreille...

"La delicatesse d'un instant, et la fougue d'une vie... Voila ce que je te promet. La suite, a nous de l'ecrire, sans prise de téte, Bella."

Il reprit alors ses baisers, le long de sa nuque, mordillant parfois sa peau douce, griffant aussi sa chute de reins... Hana etait sublime, et l'eau qui coulait sur son corps de réve rendait le contraste plus saisissant encore... S'approchant a nouveau, son membre toujours en forme se positionna a l'entrée deja connue d'Hana, et d'une poussée fougueuse, ils se connectérent encore. Remi sentit cette sensation de chaleur envelloper son membre, et commenca alors des vas et viens longs et profonds, ses mains se posant sur ses hanches, pour donner encore plus de profondeurs a ses pénétrations. Il soupirait, encore, toujours, tout contre son dos, tandis qu'une de ses mains de detachée, pour voyager sur son corps de réve...

Hier encore, Hana Bertinelli pensait à son avenir, si sombre et terne. A la tête d'un empire où elle pouvait jouer à sa guise avec des pions humains, et où son simple nom ferait courber l'échine à certaines des plus grosses têtes politiques. Un avenir où elle ferait ce que l'on attendait d'elle, sans réelle emprise sur quoi que ce soit, ou plutôt, sans qu'on lui demande son avis et où ses envies passeraient au second, voire au troisième plan.

Hier encore, Hana Bertinelli était une gamine de dix neuf ans qui profitait de la vie, accompagnée d'une bouteille de vin rouge qui lui était rapidement montée à la tête. C'était une liberté toute relative, c'était vrai, mais au moins, elle n'avait pas d'horrible grand tante pour lui pincer les joues comme à une gamine, ni d'un clan d'italiens bruyants dont les plus jeunes éléments paraderaient comme des paons faisant la roue en espérant attirer son attention.

Et puis, un verre de rhum, un avion, et quelques parties dans un casino de Vegas plus tard, voilà que tout ce en quoi Hana Bertinelli croyait vole en éclat. Il y a un autre avenir possible pour elle, tant qu'elle restera entre les bras de ce gentleman cambrioleur aux baisers brulants et terriblement plus addictifs que toute la drogue qu'elle pourrait vendre. Une vie où elle déciderait de chacun de ses faits et gestes, le tout saupoudré de quelques grains de folie. Rémy accompagne finalement ses mouvements de hanches, et elle sent à nouveau cette bouche si désirable prendre d'assaut son cou ; Hana frissonna, gémit un peu plus fort. Elle qui aimait toujours avoir le contrôle sur tout et tout le monde, elle se laissait enivrer et emporter dans cette délicieuse folie conduite par le mutant. Elle se sent glisser, et appuyée contre la paroi de la cabine de douche, elle lance un regard un peu interrogateur à son amant, un brin frustrée que tout s'arrête... Et ferme ses yeux azur à ses paroles et sourit. Elle frissonne à nouveau sous ses baisers, soupire sous ses mains, et pousse un cri, telle une délivrance, quand il reprend possession d'elle. Hana se cambre autant qu'elle le peut pour mieux s'offrir à lui ; son souffle se calque sur le rythme des coups de reins de son merveilleux amant, et elle gémit longuement quand elle sent une main repartir en exploration sur son corps, l'autre agrippant fermement sa hanche. Elle colle son front à la paroi de la cabine, et ferme les yeux.

En cet instant, Hana Bertinelli est dans un tout autre monde. Elle détache l'une de ses mains pour la coller à celle de Rémi, et la guider sur son corps soudain extrêmement sensible. Jamais elle n'a connu telle passion, qui lui donne des frissons malgré la température élevée de la salle de bain. Elle prend délicatement son poignet, et guide la main de son amant sur son ventre, puis entre ses seins... Avant de l'encourager à enserrer l'un d'eux entre ses doigts. Le bras d'Hana continue de monter, seul. Sa main glisse sur son épaule, gagne la joue de Rémi qu'elle caresse un instant du pouce, et ses doigts vont se perdre dans la chevelure trempée de son compagnon, lui interdisant par ce simple geste d'arrêter ses baisers sur sa nuque. Elle lui aurait bien dit : "Ne t'arrête plus." ou encore "Aime-moi comme tu n'as jamais aimé une femme." Mais rien de tout cela, à part un "Oh Rémi !" crié entre deux de ses gémissements de plus en plus forts, ne parvient à sortir de ses lèvres désireuses de repartir se coller à ses jumelles...

La cabine de douche agit comme une bulle, dans laquelle le temps c'est finalement arrête totalement. Rémi ne voit plus, n'entend plus, n'agit plus que pour Hana. Cette jeune demoiselle, richissime héritière, à la tête d'un empire colossale, qui aurait dut depuis longtemps déjà le vendre à la police, ou encore le donner en pâture a ses chien de garde. Mais non, surprise parmi les surprise, la jeune femme avait un petit coté bal masqué bien caché. Cela fit sourire intérieurement le Mutant, qui pensait avoir tout vu sur cette planète si peu accueillante pour des gens comme lui. Mais non seulement elle ne s'était pas braqué en entendant le mots "mutant", mais elle avait même voulut en savoir plus sur lui, sur eux... Un avenir? Possible, toujours est il que se surprenait a y songer par fraction de secondes. Mais il ne fallait pas s'emballer, ni même y croire trop vite, voilà comment le jeune homme se protégé de ces nouveaux sentiments naissants trop rapidement à son gout et a son habitude.

Mais pour l'instant, c'était leur balais sensuel et érotique qui avait prime sur le reste. Rémi allait et venait, ses mains guidés dans une visite du corps de la jeune femme, découvrant les merveilles dont la nature l'a dotée. Sa main, ainsi guidée vers le seins d'Hana, le prend alors avec délicatesse, le masse, le caresse, le titille et joue avec... Il n'est que douceur, attisant le jeu par ses doigts qui s'empressent de venir prendre ce téton qui pointe contre la parois de la douche.

Les gémissements de l'héroïne ne font qu'augmenter encore un peu la température déjà grande de la petite douche. Mais qu'importe, la sensualité de cet instant restera dans sa mémoire. Mais le mutant aime la surprise, aime étonner, prendre a contre pied. Souriant, tout en embrassant cette nuque délicieuse, il ralentit le mouvement, ne voulant voir l'évidence... La nuit passe bien trop vite. Il la retourne alors de nouveau, prenant sa nuque dans sa main, pour l'échange d'un baiser des plus brulant. Sa langue virevolte, quérir sa jumelle, jouer, danser avec, ses mains ne se lassant plus de caresser cette peau si douce, même sous l'humidité de cette séance si spéciale.

Les mots n'avaient plus de place desormais, ils savaient tous deux maintenant ce qu'il en etait. Alors il prefera donner libre cours a ses mouvements, a ses gestes. Et tout en emmenant la belle mafieuse avec lui, il se réinstalla dans le bain, faisant passer les jambes de sa muse de chaque coté des siennes, guidant son membre, afin qu'il retrouve son fourreau de douceur... Et dans un soupir, suivit d'un sourire de plaisir, il entamma quelques baiser le long de son cou, de ses seins, la laissant en cette instant, seule maitresses de leurs ebats.

L'instant était purement magique, et envoutant. Chaque geste, chaque soupir, Hana les gravait dans son esprit. Ne le lui avait-elle pas promis, après tout, de garder le souvenir de leur escapade, comme son souvenir le plus cher ? Entre les bras de ce gentleman, la jeune fille a l'impression d'être la chose la plus délicate, la plus précieuse du monde, le seul centre de son attention toute entière... Une simple femme, finalement, loin de toutes les magouilles qui avaient fait son quotidien, jusqu'à présent. Chaque caresse balaye ce passé qu'elle aimerait voir disparaître, au profit d'un présent avec lui.

Les mains du mutant exploraient son corps comme jamais auparavant. Personne n'avait jamais fait preuve de tant de tendresse pour la jeune fille. Et elle adore ça. Hana soupire, gémit, et en demande encore dans un murmure. Pourtant, Gambit s'arrête et leurs deux corps se séparent... Un bref instant, bien trop long pourtant, avant qu'ils soient à nouveau face à face. Encore une courte seconde, et leurs visages s'approchent, leurs lèvres se retrouvent, et leurs langues se mêlent avec passion. Hana se laisse entrainer, avec délice, jusqu'à la baignoire, où c'est elle qui se retrouve assise au dessus de lui.

Hana profite, égoïstement, des baisers du mutant sur elle, immobile. Puis, délicatement, ses hanches commencent à se mouvoir. Comme si elle aussi avait senti que tout allait trop vite, la jeune fille prend le temps. Ses mains dansent sur le corps de son amant, avant de venir capturer le visage du mutant, l'obligeant à se relever vers elle. Hana le regarde droit dans les yeux, son sourire faisant briller ses yeux, avant de fondre à nouveau sur ces lèvres délicieuses.

L'italienne se laisse tant aller qu'elle en a le vertige. La fièvre lui fait accélérer le mouvement de son bassin, tandis que ses baisers partent dévorer le cou de Gambit. Il arrive à Hana, entre deux soupirs, deux "aaaah" exhalés avec passion, de murmurer d'autres douceurs, bien qu'elles ne soient pas des plus compréhensibles. Sans doute prononce-t-elle son nom, souhaite que cela dure toute la nuit, murmure qu'elle l'aime.

Mais voilà que déjà, son corps commence à se raidir. Hana se redresse, se cambre. Elle halète, mais n'accélère pas le rythme qu'elle s'est imposée, qu'elle a imposé à son compagnon. Sa poitrine se soulève au rythme de ses coups de reins qui commencent à être saccadés. Un cri, un peu plus fort que les autres, et une larme qui roule sur sa joue, les deux seuls signes visibles de son orgasme. Elle ne cesse pourtant pas d'aller et venir sur le membre du mutant, bien que de plus en plus lentement, avant de s'arrêter complètement, esoufflée, exténuée, bienheureuse comme jamais. Elle vient se lover tout contre Remy, les yeux clos, l'oreille contre le coeur de son gentleman.

Un long instant de silence suivit, avant qu'elle ne parvienne à murmurer :

- Je n'ai jamais autant aimé perdre le contrôle. C'était... Magique.