Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le samedi 18 mai 2024, 23:11:04 »
Je suis surprise quand il énonce l’existence de son domaine. Il est logique qu’il en possède un mais Regalis donne cette impression d’être une divinité vagabonde. « Me le ferez-vous visiter à l’occasion ? » Je suis curieuse de pouvoir observer de mes propres yeux à quoi ressemble le palais d’un tel dieu mais les araignées qu’il précise, pour avoir été remarquées, ne doivent pas être les petites bestioles qui effraient tant les humains. Mais elles ont peut-être du charme. 

Puis il revient sur mon hospitalité. « C’est bien mon intention. » Notre pacte possède des conditions claires et est fait pour nous permettre de ne pas nous embarrasser de quelconques principes. Il est dans mon intérêt qu’au-delà de mes appels, il puisse venir à sa guise que je sois ici, dehors ou sur Terra. Qu’importe le lieu, je satisferais ses demandes. Avant de penser au futur, nous avons un pacte à honorer et la promesse du cinéma à respecter. Cette nuit va être chargée.

Je l’entends longer le couloir pour me rejoindre. Je suis tournée vers le robinet et dos à la porte alors je ne l’aperçois pas s’arrêter dans l’encadrement de la porte. J’ai déposé ma longue chevelure sur mon épaule et devant moi. Le dieu, une fois arrivé, peut observer ma silhouette fuselée. Mais il me fait attendre et me laisser m’impatienter de la suite piquante de nos ébats. Quand tout à coup, Regalis me surprend à reprendre la conversation sur l’humain de tout à l’heure sans me rejoindre. Je me tourne précipitamment vers lui. « Lui ? Je ne vous comprends pas. Pourquoi vous vous y intéressez maintenant ? » Mes bras se sont croisés sous la poitrine et il peut me sentir crispée à l’évocation de notre rencontre avec le mortel. « Il n’a pas d’importance. Il ne mérite pas l’attention que vous lui prêtez. »

Mon regard descend sur le corps du dieu et je remarque tout de suite qu’il est déjà prêt. Alors pourquoi ne vient-il pas m’honorer ? Ses paroles me vendent un doux rêve de luxure mais je n’ai pas la patience à l’attendre. « Mais je compte m’en occuper. Pas aujourd’hui. Je n’ai pas envie de gâcher le précieux temps que nous pouvons passer ensemble pour des choses si frivoles. » Au final, je ne lui ai pas donné grande explication sur sa présence ou la raison qui la poussait à m’attendre. Cet humain fait partie des choses ennuyantes que j’aime laisser sur le côté quand je peux profiter d’une divine compagnie. A l’instant où le dieu partira, j’irais lui rendre une petite visite pour lui faire ravaler ses paroles.

J’éteins l’eau et  sors de la douche. Des petites gouttes tombent de mes cheveux et de ma peau humides. Je le rejoins en quelques pas. Ma main gauche se pose sur sa nuque et l’autre descend le long de son torse. Dans le cinéma, je n’ai pu que partiellement admiré sa musculature et son corps d'Apollon. Maintenant que nous avons la paix, j’ai le loisir de profiter de la vue. Avoir un tel dieu pour mon seul plaisir ferait pâlir de jalousie n’importe quelle succube. « J’accepterais la punition que vous jugerez nécessaire. » Mes doigts s’entortillent autour de sa queue. « Ce serait indécent de ma part de vous laisser dans un tel état. Je vous en prie, utilisez mon corps à votre guise. »

J’attrape sa main et le guide hors de la salle de bain. Avec mon pied, je pousse la porte juste en face pour dévoiler une grande chambre luxueuse. Elle est, à ma grande surprise, bien rangée. Je n’ai pour une fois laissé traîner aucun jouet douteux ni le matériel destiné à mon activité de camgirl. Mon regard s’est vite porté pour vérifier l’état mais maintenant, mon attention peut se porter uniquement sur Regalis. Je le conduis jusqu’au lit, reculant de petits pas. Sa verge se frotte contre mes jambes et se cale entre mes cuisses quand je m’arrête. Le frottement est délicieux mais frustrant.
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Les alentours de la ville / Re : Au-dessus des nuages [PV : Sareeth]
« Dernier message par Sareeth le samedi 18 mai 2024, 20:38:27 »
Mes jambes se balancent dans le vide. Je me suis assise sur le rebord du toit, face au vide. Les fourmis grouillantes dans les rues animées m’offrent une vie préférable à sa seule présence. Je l’entends se poser dans mon dos, à quelques mètres. « Sareeth. » Il m’appelle de sa voix répugnante. « Retourne-toi. » Je l’ignore. Il peut ressentir ma colère palpable. Il me la pardonne comme un caprice passé à une enfant. C’est toujours la même histoire qui se répète dans un cercle vicieux. « Tu dois revenir. Ta place est à mes côtés en enfer. » Plutôt crever. Il n’existe rien en ce monde qui me convaincra de remettre un seul pied en enfer tant qu’il vivra.

« Cesse tes caprices, Sareeth. » Le dialogue est déjà rompu… Mais avons-nous déjà discuté une seule fois ? L’acharnement est le crédo de mes pairs. Ils me répugnent tous autant qu’ils sont. Il peut tout avoir mais cherche plus. Il bafoue ma tranquillité pour obtenir le seul trophée qui lui échappe. « Cessons cette discussion puérile et disparais. » Si je ne désire pas entendre raison, il prendra par la force. Il ne comprendra jamais cette différence qui nous oppose. Mais je finirais par obtenir la paix quelque soit les moyens qu’elle me coûte.

Dans mon dos s’étendent mes ailes noires. Elles ne ressemblent pas à celles d’une succube. On s'attendrait à des caractéristiques démoniaques, s’approchant de celles d’une chauve-souris. Les miennes sont d’un profond noir aux reflets bleutés et informes. Elles sont assorties à mes cornes. Il s’étonne de les observer. Il me connaît. Je déteste voler autant que me rendre dans les enfers. Mais la situation m’y oblige et je m’y plie pour échapper une nouvelle fois à son horripilante présence. Cette mascarade a assez durée.

« C’est la dernière fois que nous nous verrons.
- Tu dis ça à chaque fois. »

Je compte bien mettre un terme à cette mascarade, cette fois-ci. Je m’envole dans les airs, au-delà des nuages. Lui a disparu dans un nuage de fumée et retrouve sa place en enfer. Nos chemins se sont séparés. Ma colère se mêle à un tourbillon d’émotions. Ma décision est prise : Il doit disparaître. Mais rien n’est jamais si simple. J’enterre mes émotions au silence. Dans l’obscurité des vestiges de mon humanité, ils y trouveront une meilleure place. Comme pour toutes succubes qui se respectent et pour faire taire mes contrariétés, il n’existe qu’une solution : Se trouver un homme à se mettre sous la dent.

J’ai fui un peu au hasard jusqu’à me perdre. La mer de nuage couvre la ville. Je m’apprête à descendre pour reprendre mon chemin mais avant, je fais une étrange découverte. Le ciel est le domaine des anges mais lui semble… Différent ? Il ne porte pas la délicieuse odeur de pureté de mes ennemis.  « Quel étrange créature. » Il est peut-être ce qu’il me faut pour me changer les idées. Son empathie lui permet de ressentir ma curiosité, une pointe de mon désir et les résidus de ma colère éteinte. « Tu t’es perdu ? As-tu besoin que je t’aide à trouver ton chemin ? » Je me fais curieuse de ce qu’il est avant de juger s’il est capable d’être à la hauteur de mon humeur.

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La jeune femme, lorsqu’ » elle montrait sa véritable apparence était belle, un esprit du feu comme on en voyait rarement… et rien que pour cela, son apparence était sujette à une forme d’admiration. Encore fallait-il qu’elle la montre. Et le demi dieu n’était pas complètement sur qu’elle puisse la montrer sur terre comme elle pouvait le faire sur terra. Sur terra, au moins, on la reconnaitrait pour ce qu’elle était ; c’était préférable, non ? Ici, la différence était la norme, lui semblait-il. Donc elle pouvait se montrer comme sa vraie nature le lui permettait, comme un esprit du feu dans toute sa pureté.
Toutefois, elle cessa bien vite pour revenir à une apparence qui était sans doute plus naturelle, et sans doute aussi plus discrète.

Le principal souci serait la langue, pour le long trajet qui s’annonçait. Callisteros était toutefois assez content de voir qu’ils arrivaient à se comprendre. Mais cela ne suffirait pas. Bien vite, les concepts abstraits empêcheraient une conversation réelle, et sans doute cela nuirait-il à la confiance. En outre, il lui faudrait peut-être expliquer des choses au demi dieu qu’elle était incapable de faire sans explications compliquer, Ne serait-ce que se laver ou demander à aller uriner ou autre. Ça risquait fort de devenir compliqué… il allait falloir trouver une autre manière de communiquer. Ils ne s’en sortiraient jamais, sinon…
Enfin, puisque pour ce soir, au moins, elle avait un peu confiance, il vint doucement faire non de la tête avant de finalement dessiner une ligne et un demi-cercle. Ils partiraient à l’aube, pas en pleine nuit. Et lui, il avait besoin d’un peu de repos. Peut-être, maintenant qu’elle était réveillée, ils pourraient se débarrasser du chariot et se contenter de chevaucher, mais il lui faudrait une tenue pour ça…
Il lui faudrait une tenue plus pratique de toute manière. Cette robe ne serait pas pratique quelle que soit la situation, et il lui faudrait aussi de meilleures chaussures.
Il lui indiqua le chariot avant de finalement indiquer, plus précisément, les deux chevaux qui la tiraient. Puis il lui fit mine de tenir les rênes et claqua de la langue plusieurs fois avant de la désigner d’un air interrogateur. Savait-elle monter à cheval ?
Le temps gagné ne serait pas négligeable.
Si elle n’avait plus rien à demander, il serait temps de dormir. Enfin, il ne dormirait jamais que d’un œil, pour leur sécurité à tous les deux.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le samedi 18 mai 2024, 19:46:12 »
Voilà ! Elle avait été clairement avertie que j’avais deviné. Peut être aurai-je du faire comme si de rien n’était, bien sûr, c’eut été quand même mieux, peut-être. Je regardais la jeune femme avant de finalement lui faire un petit sourire un peu moqueur, pendant qu’elle restait pétrifié, un court instant, devant la vision de son visage aux yeux masqués, avec de la semence sur le menton, sur le minois et même dans les cheveux… j’en connaissais un qui avait du avoir la pipe de sa vie… je lui posais de nouveau la main sur l’épaule alors qu’elle niait vertement, d’abord, presque effrayée, criant à moitié sans craindre que les murs fins ne puissent pas retenir le bruit, là, maintenant ? Cela ne semblait pas vraiment la tracasser plus que la photographie…
Mais devant mon air un peu déçu – non d’elle, de ce qu’elle avait fait, mais de son mensonge, elle se reprit, serrant les poings à s’en faire blanchir les phalanges. Et les larmes aux yeux, elle avoua alors. Elle avoua ce morceau-là.

« Mais il ne se sont pas arrêtés, n’est-ce pas ? »

Evidemment que non, j’avais eu droit à ^pire image, seulement, j’avais voulu rester sobre, bien évidemment.

« Et à chaque fois tu espérais que ce serait la dernière donc tu finissais par le faire, et le cercle était toujours plus vicieux, n’est-ce pas ? »

Avec douceur, je laissais ma main aller lui caresser la joue avec douceur, venant écraser ses larmes, tendrement. Puis, je venais alors glisser mes bras autour d’elle pour l’enlacer et lui appuyer la tête sur mon épaule, comme pour la réconforter.

« Vas-y, vide ton sac…. Vide tes larmes un bon coup… »

Je lui tapotais derrière la tête avec douceur. D’abord, la laisser se reposer un peu sur moi, lui donner confiance. Ce serait le plus gros du travail sans doute… j’étais sûr que je pouvais l’amener à se livrer.
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One Shot / Ô grande Sobek, ma nouvelle déesse. [Klaus]
« Dernier message par Anéa le samedi 18 mai 2024, 17:47:58 »
Sous le soleil brûlant de l’Égypte antique, la divinité Sobek, protectrice des eaux du Nil, arpentait les rives verdoyantes de son royaume. Mais contrairement aux représentations classiques, Sobek se manifestait sous une forme unique et redoutable : une femme, mi-crocodile, mi-humaine. Elle incarnait à la fois la grâce et la terreur.

Ses yeux perçaient la brume matinale avec une lueur ambrée, réverbérant la sagesse millénaire et la puissance primordiale de la déesse. Son corps élancé et musclé se mouvait avec une agilité déconcertante, ses écailles miroitant comme de l'or sous les rayons du soleil levant. Ses mains, bien qu'humaines, étaient dotées de griffes acérées, capables de déchirer le tissu de la réalité et de plonger dans les profondeurs des mystères divins, tout comme dépecer n'importe quel monstre ou humain qui viendrait l'enquiquiner.

Sobek était la gardienne des marais et des cours d'eau. C'est elle qui veillait à ce que les crues du Nil apportent la fertilité et l'abondance aux terres environnantes, garantissant des récoltes en quantité suffisante pour le bien-être de sa population. Les pêcheurs et les paysans venaient souvent offrir des prières et des sacrifices pour obtenir les faveurs de la divinité. Ils déposaient alors des fleurs de lotus, souvent des poissons fraîchement pêchés, et parfois même de petites statues d'or et d'argent à son effigie. Enfin de journée, lorsque le ciel se drapait du manteau sombre de la nuit, les étoiles illuminant la voûte du désert, la déesse reptilienne se retirait dans son temple, une structure imposante érigée au bord d'un lac sacré en son nom. Là, elle méditait sur l'équilibre entre la vie et la mort, entre la sécheresse et l'inondation, à ces choses qui, d'un battement d'ailes de papillon, pouvaient simplement et purement disparaître. Les prêtres et prêtresses qui la servaient lui apportaient des offrandes de nourriture ou de bijoux, lui chantant des hymnes anciens pour apaiser son courroux et assurer sa protection continue.

Un jour, une sécheresse implacable frappa l’Égypte. Les terres se craquelèrent, et les eaux du Nil se tarirent peu à peu. Le peuple, désespéré, accourut au temple de Sobek pour implorer son intervention divine, quitte à sacrifier la vie de certains des leurs. La déesse mi-crocodile, mi-humaine, se dressa alors, immense et majestueuse, ses yeux brillant d'une détermination farouche. Elle plongea dans le fin filet des eaux rétrécies du Nil, et d'un battement puissant de sa queue, elle fit jaillir une onde miraculeuse. L'eau se mit à couler à nouveau, gonflant les rivières et les canaux, redonnant vie aux champs desséchés qui bordaient l'immense fleuve. Les habitants, émerveillés, acclamèrent leur bienfaitrice, leurs cœurs débordant de gratitude. Sobek, humble malgré sa puissance, accepta leurs louanges avec dignité. Elle savait que son rôle ne se limitait pas à l'invocation de miracles, mais à l'entretien constant de l'harmonie naturelle. Ainsi, sous son règne bienveillant et sévère à la fois, l’Égypte prospéra, ses terres verdoyantes et florissantes, ses habitants continuant leurs lignées, tous redevables à la déesse reptilienne qui incarnait la force vitale du Nil.


*___*___*

Sous le ciel azur des contrées du Chaos, dans une oasis des plus luxuriantes, l'étendue d'eau scintillait de mille éclats, ses eaux calmes reflétant la majesté des palmiers et autres arbres alentours, comme des papyrus qui bordaient ses rives. Sobek, la déesse crocodile, s'étendait langoureusement au bord de lac, savourant un rare moment de tranquillité. Ses écailles dorées brillaient de tout feu sous les rayons du soleil, créant, sans le vouloir, une aura divine qui attirait le regard de toute créature aux alentours.

Les doigts graciles de Sobek effleuraient la surface de l'eau, créant des cercles concentriques qui s'étendaient doucement vers l'horizon. Elle contemplait les reflets ondoyants, son esprit vagabondant parmi les souvenirs des millénaires passés. Il est vrai que depuis la chute des pharaons et de la civilisation antique d’Égypte, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même, et bien qu'elle se soit fait connaître de quelques tribus de terranides présentes sur Terra, ses pouvoirs étaient un peu plus limités. Autour d'elle, la nature semblait respirer en harmonie avec sa présence. Les oiseaux exotiques chantaient des mélodies douces, et les fleurs de nénuphar s'ouvraient délicatement, exhalant leur parfum envoûtant.

Les habitant des villages voisins connaissaient bien le petit rituel sacré de Sobek. Si elle se prélassait ainsi, la divinité était en communion profonde avec les forces naturelles qui régissaient l'endroit et ses environs. Aucun humain n'osait troubler ce moment de paix, de repos, craignant de perturber l'équilibre délicat que la déesse entretenait avec tant de soin et ainsi, de s'attirer les foudres de la femme reptile.

Des crocodiles, compagnons et sujets fidèles de Sobek, glissaient silencieusement dans les eaux du lac, veillant discrètement sur leur reine. Leurs regards perçants scrutaient les abords aquatiques, prêts à défendre leur déesse contre toute menace, bien qu'en réalité, elle savait très bien se défendre elle-même. Pourtant, en cette heure sereine, il n'y avait que calme et beauté. Bien qu'au repos, Sobek restait une figure de sagesse, mais également de puissance, d'une beauté froide pouvant laisser ses instincts primaires prendre le dessus, si besoin était.

Le soleil poursuivait lentement sa course dans le ciel, teintant l'horizon de nuances dorées et pourpres. Sobek ferma ses yeux ambrés, absorbant la chaleur bienfaisante et se laissant aller à la mélodie naturelle que lui offrait le lieu. Elle sentait chaque pulsation de la terre, chaque vibration de l'eau, et c'est ainsi qu'elle nourrissait son corps et son esprit. Ce moment de répit, bien que rare, était essentiel pour la déesse. C'était durant ces instants précieux qu'elle puisait la force nécessaire pour continuer à protéger et nourrir les terres qui étaient sous son autorité.

Quand enfin elle se redressa, sa silhouette se détachant magnifiquement sur le fond lumineux du crépuscule, elle était prête à reprendre son rôle de gardienne, assurant ainsi à ceux qui lui avaient prêtés serment une nouvelle ère de prospérité et d'abondance. Sobek plongea une dernière fois dans les eaux de l'oasis, laissant les vagues rafraîchir sa peau délicate et ses écailles luisantes. Nageant naturellement à l'aide de sa queue, elle fit quelques brasses, voyant ses compagnons s'installer sur les berges, à chauffer leur corps sur la terre et le sable brûlant de la journée...
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One Shot / Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Astral Bonds le samedi 18 mai 2024, 15:45:35 »

Aizen & Tenshi

Mon plaisir est indescriptible alors que je contemple Tenshi, soumise à mes désirs les plus vils. Son corps offert, ses gémissements de plaisir et de frustration résonnent comme une symphonie décadente à mes oreilles. Je m'abandonne à la luxure, laissant mes instincts les plus sombres guider mes actions. Chaque mouvement de Tenshi, chaque soupir de plaisir, ne fait que renforcer mon emprise sur elle. Je la domine de toutes les manières possibles, la forçant à se soumettre à mes désirs les plus pervers. Et tandis qu'elle se met à genoux devant moi, offrant sa bouche avide à ma queue dressée, je sens mon excitation monter en flèche. « Allez dis-le... Tu es prise d'une passion innommable pour moi... Hum... » Mon regard autoritaire, empreint de luxure et de pouvoir, la pénètre profondément, réaffirmant ma domination sur elle. Elle est mienne, corps et âme, prête à satisfaire mes moindres caprices sans retenue. Et dans cette position de soumission absolue, je trouve un plaisir incommensurable, une extase qui dépasse toutes les limites de la décence.

« Et si tu m'épousais plutôt moi hein... ? »

Je savoure chaque instant de sa servitude, chaque gémissement de plaisir qu'elle émet sous mes caresses expertes. Son corps est une offrande à ma luxure, un réceptacle pour mes pulsions les plus sombres. Et alors qu'elle continue de me sucer avec une ardeur dévorante, je sens mon désir atteindre des sommets inexplorés, prêt à déverser un torrent de plaisir sur elle. Une pensée perverse traverse mon esprit alors que je contemple Tenshi, soumise à mes désirs les plus vils. Et si elle m'épousait plutôt que Byakuya Kuchiki ? L'idée est aussi tentante qu'elle est scandaleuse, une union interdite qui défierait toutes les conventions de la société shinigami. Je l'imagine à mes côtés, ma reine de la luxure, prête à satisfaire chacun de mes caprices les plus sombres. Son corps deviendrait le mien, une offrande à ma domination absolue, tandis que je régnerais en maître sur notre royaume de débauche et de désir.

« Regarde toi, tu préfères bien plus cette vie de débauche plutôt que d'être la sage soumise d'un noble qui n'aura que faire de toi... »

Byakuya Kuchiki ne serait rien d'autre qu'un lointain souvenir, relégué au rang d'homme impuissant face à ma puissance et à mon influence. Tenshi serait la pièce maîtresse de mon empire de luxure, une souveraine dévouée prête à tout sacrifier pour satisfaire mes moindres désirs. Et alors que je m'abandonne à ces pensées interdites, je sens mon désir pour elle atteindre des sommets inexplorés. Peut-être que cette union impie est plus proche qu'on ne le pense, prête à défier tous les tabous pour assouvir notre désir insatiable. Mon excitation atteint son paroxysme alors que je sens l'orgasme approcher à grands pas. Tenshi, à genoux devant moi, offre son visage de salope comme une toile pour mes débordements de plaisir. Sans retenue, je libère un nouveau torrent de sperme chaud et visqueux, souillant son visage de mes pulsions les plus primales. Et alors que je contemple mon œuvre, je sens un sentiment de satisfaction envahir mon être.

« Alors, prête à vivre cette vie pendant des millénaires... ? »

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Le Musée / Re : Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Astral Bonds le samedi 18 mai 2024, 15:35:47 »

Hei & Tenshi

Je la regarde se délecter de chaque goutte de mon sperme, sa langue jouant avec avidité. La vision de ses lèvres rougies autour de ma queue me fait frémir de désir. Alors que ma bite quitte sa bouche, elle reste ouverte, offrant une vision obscène et délicieuse de sa dévotion. Mon regard se pose sur son visage marqué par le plaisir. Je lui claque le gland contre les joues, jouant avec ma proie. Elle me regarde avec une adoration mêlée de luxure. Mon sourire carnassier s'élargit alors que je passe ma main dans mes cheveux blonds, les plaquant en arrière. « J'espère que tu seras une bonne salope obéissante... » Je me penche en avant, mon souffle chaud contre son oreille. Ma main libre trouve son chemin jusqu'à sa gorge, serrant légèrement pour signifier mon emprise totale sur elle. Ses yeux se ferment, savourant chaque sensation que je lui impose. Lorsqu'elle se redresse et se met en position assise sur l'une des caisses, je la regarde avec une lueur de satisfaction dans les yeux. Elle attrape ma cravate, me tirant brusquement contre elle. Je sens sa chaleur immédiate, sa chatte trempée pressée contre ma queue, encore engorgée de désir.

Je ne peux m'empêcher de sourire en voyant cette initiative. Son besoin désespéré de contact, de satisfaction, m'allume davantage. Mes mains trouvent naturellement ses hanches, les agrippant fermement pour la maintenir en place. Mon regard plonge dans le sien, brûlant d'une intense passion dominante. Je décide de lui montrer à quel point je suis satisfait de son comportement. Je bouge légèrement, ajustant ma position pour mieux sentir sa chaleur. Ma queue frotte contre ses lèvres, encore trempée de sperme et de mouille. Cette sensation, cette combinaison de fluides, m'excite au-delà de toute mesure. « T'en fais pas pour les autres, ils sont déjà conquis avant même de t'avoir rencontré, et je ne te parle même pas de Roy... Mais tu sais ce qu'on dit, on garde le meilleur pour la fin hein... ? » Je laisse mes mains glisser de ses hanches à ses cuisses, les écartant doucement pour un meilleur accès. Mes doigts jouent avec les contours de sa chatte, massant lentement avant de se repositionner sur sa taille. Je la tire brusquement vers moi, ma queue glissant en elle avec facilité, mais avec une intensité calculée.

Le contact est électrique. Je sens chaque contraction de ses parois, chaque frémissement de son corps. Ma cravate, toujours entre ses doigts, est un rappel constant de son besoin de contrôle autant que de soumission. Je penche ma tête en avant, rapprochant mes lèvres de son oreille, laissant échapper un souffle chaud. Nos corps bougent en synchronisation parfaite. Mes coups de bassin sont puissants, chaque mouvement conçu pour lui rappeler qui est en charge. Sa chaleur, son humidité, chaque sensation amplifie mon plaisir. Mes mains remontent de ses cuisses à ses seins, les saisissant avec fermeté, savourant leur poids et leur texture. « On a pas peur de quoi que ce soit quand on a ne serait-ce qu'un peu de pouvoir. Tu t'y habitueras en étant constamment avec nous... » Je la sens réagir, son corps se cambrant en réponse à mes mouvements. Je ne la laisse pas prendre le dessus, chaque action de sa part est une invitation à redoubler d'intensité. Je la maintiens contre moi, mes coups de rein devenant de plus en plus brutaux, l'écho de notre union résonnant dans la pièce.

Je la maintiens fermement en place, savourant chaque seconde de son extase. Mon propre plaisir atteint son paroxysme, et je me libère en elle une fois de plus, une vague de jouissance intense nous submergeant tous les deux. Je la garde contre moi, savourant la chaleur et l'intimité de ce moment partagé, ma respiration haletante se mêlant à la sienne. Je me retire lentement d'elle, savourant chaque instant de notre union passionnée. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser langoureux, presque animal, nos langues s'entremêlant dans une danse effrénée. La salive se mélange entre nous, une marque de notre désir brûlant et de notre connexion profonde. Une fois que j'ai retrouvé ma tenue, je me tourne lentement vers elle, la fixant avec un mélange de satisfaction et de désir brûlant. Mon regard la déshabille avec une intensité presque palpable, comme si j'étais encore en train de la caresser de mes mains. Je lui adresse un sourire en coin, un sourire plein de promesses et de tentations. Mes yeux la parcourent avec une lueur de satisfaction, savourant chaque centimètre de sa peau que je viens de toucher.

« Tu seras contactée sois par Yamato, sois par Yôkai et Han. Ils traînent souvent ensemble ces deux là... Et Roy sera ta dernière étape. Mais considères que c'est déjà dans la poche tant tu es une très bonne chienne obéissante. Et enfin, tu auras le droit au cadeau ultime si tu les satisfais... »

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le samedi 18 mai 2024, 13:48:22 »
Tachibana-sensei semblait vraiment vouloir l'aider à la faire réussir. Académiquement parlant, c'était un professeur extraordinaire, il était ferme avec ses mots, parfois même dur, mais il était juste, et au fond il se souciait grandement de son élève. C'était exactement ce dont Priscilla avait besoin : un moyen d'apprendre personnalisé juste pour elle. L'étudiante devait juste être sérieuse pour que ça arrive, mais ça ne serait pas un problème. Elle pouvait être très têtue si elle avait un objectif en tête, c'est comme ça qu'elle apprenait la grande majorité des choses, passant par ses connaissances académiques que ses mouvements physiques et sauts en tant que majorette. Une force brute de volonté impossible à ébranler.

« Je promets que je vais faire de mon mieux ! » affirma-t-elle avec joie.

Sa joie fut cependant de courte durée quand elle entendit quelque chose qu'elle ne voulait absolument pas admettre. Son tuteur pensait avoir deviné la vérité, malgré les efforts de Priscilla pour la cacher. Elle voulait jouer l'idiote et prétendre ne pas comprendre de quoi il voulait parler, mais il avait choisi ses mots de façon à ce qu'elle se sente coupable si elle essayait de se dérober. La pression montait pour la jeune femme qui ne savait pas quoi lui répondre, elle restait muette devant lui, voulant toujours ne pas avouer la vérité, mais se sentait mal de mentir quand il semblait tant investi pour l'aider dans ses études. La vision d'une image la fit paniquer encore plus et brisa son silence.

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Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)


« Ce n'est pas moi ! » dit-elle presque en hurlant.

En voyant Tachibana-sensei secouer sa tête en désapprobation par son mensonge, Priscilla avait peur de perdre le seul professeur particulier disponible qui pouvait l'aider aussi facilement sur ses études. La jeune femme serra ses poings et lui donna enfin une partie de la vérité, les larmes lui montant aux yeux.

« Ils m'ont obligé à le faire, ou sinon ils allaient répandre encore plus de rumeurs. » dit-elle pour se justifier en commençant à sangloter.

Cette photo avait été prise quand sa réputation commençait tout juste à tomber. Elle ne devait amuser que le couple à ce moment de son calvaire, mais ça n'avait été que de courte durée une fois cette photo spécifique propagée un peu partout, aprës tout, qui ne voudrait pas partager le meilleur jouet qui existe ?
9
L'andalouse se sentait presque dans son élément. Très rares sont les personnes qui ont connaissance de sa nouvelle nature profonde. Même ses parents n'en savaient rien. Après tout, comment pourraient-ils la comprendre ? Une peur lui tiraillait toujours l'estomac à l'idée qu'ils apprennent un jour sur sa condition d'esprit du feu et qu'ils la considèrent comme un monstre, et ce, même si c'est son abuelita qui lui avait conté l'histoire des esprits. Alors, dans un sens, cela l'arrangeait qu'elle puisse se montrer ainsi devant quelqu'un, même si elle ne le connaissait pas. Il faut le dire, c'était un inconnu mais, ne dit-on pas qu'il est plus facile de se livrer à quelqu'un qu'on ne connaît pas et que son jugement ne nous importera pas ? L'hispanique se sentait à l'aise pour la première fois depuis longtemps. Et puis, elle se sentait...comment dire ça...Même si elle saisissait pas son langage, son regard de braise la faisait se sentir si belle, d'une beauté sans commune mesure. D'une beauté surnaturelle. Cela n'a duré quelques secondes, mais ça faisait toujours plaisir. Si elle avait pu rougir, pour sûr, elle l'aurait fait, mais en son état actuel, cela ne serait pas visible.

D'un geste doux, Callisteros lui attrapa les mains, sans pour autant ressentir une brûlure, signe qu'il avait compris sa nature. Toujours ampli de douceur, l'homme de braise la relâcha, puis sortir une autre petite lame pour dessiner une nouvelle fois dans la poussière. Il semblait vouloir lui expliquer que l'andalouse venait du feu, était un vrai esprit du feu, mais pas lui. Cela était-il réellement possible ? Soledad ne connaissait pas tous les faits extraordinaires possibles par rapport à sa condition, mais l'impossible était devenu réalité pour elle, alors qui sait ?

La danseuse, les yeux toujours scintillants de leur éclat incandescent, suivit attentivement le tracé du poignard dans la poussière. Ses sourcils se froncèrent légèrement alors qu'elle essayait de déchiffrer le message. Le sud, un feu plus grand...Peut-être un endroit où elle pourrait en apprendre davantage sur ses pouvoirs d'esprit, du pourquoi elle en était devenue un, pourquoi elle parmi tant d'autres. Elle pourrait également découvrir un moyen de rentrer chez elle, même si Callisteros devait le savoir puisqu'il avait réussi à la ramener jusqu'ici.

Soledad hocha lentement du chef pour indiquer à Callisteros qu'elle pensait avoir compris l'essentiel de son message. Pour accompagner son geste, elle lui fit un agréable sourire, probablement rassurée par cette compréhension mutuelle naissante. Lentement, ses reprirent leur aspect noir de jais, tout comme son regard qui redevint charbon. Elle se leva, tendant une main vers l'homme de braise pour l'inviter à se joindre à elle.

- On y va ?

Elle était prête à se lancer dans l'aventure. Pendant un certain sens, elle voulait lui faire confiance pour trouver des réponses à toutes ses interrogations.
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Gymnase en plein air et piscine / Re : lapin posé, poisson récupéré ? (pv Lyli)
« Dernier message par Lyli le samedi 18 mai 2024, 12:44:16 »
Lyli en ferait presque une mou boudeuse en voyant la belle aux cheveux dorés reculer. Comme un rejet... L'humaine venait de repousser la sirène indirectement. D'habitude, on est si aisément fascinée par elle, par ses cheveux de feu, par son charme naturel, et là... elle s'en va juste se détendre dans son coin ? Bon, ce n'est peut-être pas un rejet et juste une coincidence après tout, peut-être que cette fille est triste ou quelque chose comme ça ? Par contre, le vrai problème, c'est que l'autre ne semble pas la reconnaitre en tant qu'élève ou professeur... Mince ! Lyli avait justement prévue se se faire passer pour un membre de l'établissement scolaire ! Quel excuse va t-elle lui donner ?

- ah et bien figure toi que je suis un membre du.... heu non je veux dire que je ne suis pas un membre du lycée, pas du tout, donc c'est pour ça que tu ne me reconnais pas. En fait je...

Et puis d'abord, pourquoi lui devrait-elle des explications ? Elle aussi, n'a rien à faire ici ! Ca pourrait être n'importe qui, une folle perdue, une psychopathe, une tueuse en série en quête de proie. Peut-être que Lyli était sa prochaine victime, qu'elle comptait la noyer dans la piscine ! Pas de chance vu qu'elle est une sirène. Et puis bon, tout de même, elle se fait un peu trop de film là ! Elle finira juste par soupirer et haussa les épaules.

- J'avais envie de me baigner et je suis rentrée sans autorisation, c'est tout. Un peu comme toi de toute façon, hein ?

Lyli ricanne, puis file sous l'eau, atteignant l'autre rive assez rapidement, en restant en apnée tout le long, montrant son aisance sous marine. Lorsque la sirène remonte à la surface, elle garde tout de même un peu de distance pour ne pas rentrer dans l'espace que la blonde s'est crée, pour ne pas qu'elle puisse éventuellement le prendre mal et se sentir collée.

- Ou peut-être que je suis une sirène perdue loin de l'océan, qui sait ! Moi c'est Lyli.

Peu importe que ce soit la vérité, elle prendra surement ça comme une blague de toute façon, voila pourquoi Lyli le avoue de manière si désinvolte. De nouveau, elle lui sourrit, ajustant ses mèches rousses par derrière ses épaules, les rayons de la pleine lune faisant scintiller son revêtement écailleux.

- et toi, j'en conclus que tu es une lycéenne, alors. Les autres élèves doivent souvent te le dire mais... Tu as un petit sourire rayonnant ! J'imagine que tu dois être pleine d'énergie même si... quelque chose semble te perturber, petit poisson ?
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