Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Une question de soumission [Florence Delajoue]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Mélinda Warren

Créature

  • -
  • Messages: 3532


  • FicheChalant

    Description
    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Une question de soumission [Florence Delajoue]

jeudi 25 octobre 2012, 11:23:25

*Ah, ça doit être là !*

Un léger sourire aux lèvres, Mélinda se tenait devant la porte fermée d’une salle de cours isolée du lycée Mishima. Il était 16h, et sa colle aurait lieu jusqu’à 17h. Encore une fois, elle hésitait à devoir pénétrer à l’intérieur de cette pièce. Donner à Mélinda une retenue, c’était une sinistre plaisanterie, mais, quand elle avait appris que l’individu se chargeant de la colle serait une jeune recrue, Mlle Delajoue, Mélinda avait revu avec un certain intérêt son heure de colle. Elle avait entendu parler de cette Delajoue comme d’une très belle femme... Et Mélinda était attirée par les belles femmes, a fortiori quand il s’agissait de professeurs. Elle adorait défier leur autorité, et les soumettre. De son point de vue, tous les humains lui étaient naturellement et génétiquement inférieurs. Ainsi, qu’un de ces vermisseaux se croit supérieur à elle était un défi constant pour sa fierté.

Elle avait été collée aujourd’hui, en ne rendant pas son devoir à la maison au professeur de mathématiques, et ce pour la troisième fois. Le senseï avait jugé cela suffisant pour la coller Il avait espéré que Mélinda s’énerverait, afin de pouvoir la renvoyer, et elle avait accepté cette colle, en se disant que, de toute façon, elle n’y irait pas. C’était presque totalement par hasard qu’elle avait découvert que ce ne serait pas ce vieux prof’ grincheux qui s’occuperait d’elle, mais bien une belle blondinette. Voilà qui expliquait pourquoi elle se trouvait là, à 16h, devant cette porte. Elle consulta brièvement sa montre, et estima qu’elle pouvait rentrer. Délicatement, Mélinda toqua à la porte, et l’ouvrit.

Conformément au règlement, elle portait toujours son uniforme scolaire. Elle trouvait que ça la rendait plutôt sexy, et elle regarda la pièce, puis le bureau. Visiblement, elle était la seule à être collée... C’était presque une invitation implicite ! Elle dut à grande peine ravaler un sourire de satisfaction, et regarder ensuite la senseï censée la surveiller. Une lmueur de désir brilla brièvement dans les yeux de Mélinda en voyant cette belle femme assise sur son fauteuil, et qui tournait la tête vers elle. Aussi jolie que ce qu’on lui avait dit... Mélinda allait bien s’amuser, et décida de commencer par jouer le jeu.

« Bonjour, sensei, je suis Mélinda Warren, et j’ai reçu une heure de colle à passer dans cette salle » annonça-t-elle poliment.

Normalement, un surveillant aurait du l’amener, mais l’établissement semblait suffisamment connaître Mélinda pour ne pas s’être embêté à en envoyer un. A dire vrai, il était certain que le personnel administratif pensait que la pas si jeune lycéenne n’aurait jamais honoré cette colle. Comme quoi, on pouvait toujours être surpris... Car Mélinda était bel et bien là, et ses yeux, très lentement, observaient le corps de Florence, ses hanches, ses bras, son délicieux décolleté, et son beau visage. Un vrai corps de petite poupée. Elles allaient se régaler ! Enfin... Mélinda, du moins.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 1 jeudi 25 octobre 2012, 17:53:17

Assise dans cette salle de classe vide depuis déjà une bonne heure je me demandais si je subissais une sorte de bizutage de mes collègues. Je n’avais jamais entendu parler de séances de retenus où il n’y avait personne de coller pourtant je venais d’en vivre une. Etrangement cela me donnait presque l’impression que c’était moi l’élève que l’on venait de punir et que je ne devais pas sortir même si personne me surveillait. Ayant été avertie le matin même je n’avais pas eu le loisir de m’organiser, ce qui veut dire que je n’avais ni travail de correction à effectuer ni livre pour tuer le temps. Et pour couronner le tout il faisait vraiment chaud dans cette classe ! Le seul avantage que personne ne me tienne compagnie c’est que j’ai pu me mettre à l’aise et déboutonner un peu mon chemisier pour respirer confortablement.

Bon j’en ai assez, je vais pas rester ici comme une cruche une heure de plus alors que visiblement il n’y a personne de coller aujourd’hui ! C’est quand même une bien mauvaise plaisanterie, ça m’apprendra à accepter de dépanner un collègue au pied lever tout ça pour espérer me faire plus facilement accepter ! Je commence à plier mes affaires quand la porte s’ouvre, une demoiselle entre dans la salle tout sourire. Je me lève pour l’accueillir, perplexe, si elle était collée un surveillant l’aurait accompagné et elle n’aurait pas ce petit air enjoué. Plus petite que moi d’un peu plus d’un tête, il faut dire que je suis très grande et que visiblement elle est un peu petite, je suis obligée de baisser les yeux pour voir le papier qu’elle me tend alors qu’elle est obligée de lever les yeux pour me parler.

« Bonjour, sensei, je suis Mélinda Warren, et j’ai reçu une heure de colle à passer dans cette salle »

«Bonjour mademoiselle Warren...», je regarde le papier, ce n’est pas une de mes élèves, «... je suis mademoiselle Delajoue, je vous en prie prenez place»

Je suis partagée entre le soulagement de voir que l’on ne s’est pas moquée de moi, c’est bien jour de colle, le lycée est juste vraiment calme il faut croire, je ne suis enfin plus toute seule ce qui va rendre cette seconde heure plus agréable et en même temps j’étais sur le point de rentrer et de prendre un bon bain pour me détendre et chasser cette sensation de chaleur plutôt tenace.

«Je suis surprise personne ne m’a annoncé votre venue et je vois que vous n’êtes même pas accompagnée ...»

Je dépose le papier sur mon bureau et reviens vers la demoiselle qui a déjà pris place. Elle à l’air d’une gentille fille, visiblement un peu tête en l’air ou paresseuse, l’oubli de faire un devoir, même pour la troisième fois n’a rien d’un crime impardonnable et elle est polie de surcroit ce qui me donne envie d’être gentille avec elle.

«Puisque visiblement ce n’était pas prévue et que vous n’avez fait qu’une petite bêtise je vous propose un marché. Vous faites maintenant votre devoir de mathématique, quand vous aurez fini nous irons ensemble le déposer dans le casier de votre professeur et votre punition sera levée, en espérant que votre devoir ne vous demande pas de longues heures de rédaction»

Je lui souris en lui parlant, réalisant que s’il s’agit d’un devoir maison noté ça va malheureusement surement lui demander toute l’heure. Je doute que ce soit une élève qui ai beaucoup de bonne note, on les trouve vraiment rarement en heure de colle. Pour discuter je me suis penchée en avant, les coudes appuyés sur le bureau de la demoiselle, le menton dans mes mains. Mon chemisier que j’ai ouvert baille de façon impudique offrant une vue des plus agréable sur le sillon mammaire qui plonge entre mes seins dont les balconnets de dentelles jaunes sont un peu visible.

«Alors qu’en dites vous mademoiselle ?»

Mélinda Warren

Créature

  • -
  • Messages: 3532


  • FicheChalant

    Description
    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 2 vendredi 26 octobre 2012, 15:34:39

Miss Delajoue était une personne d’une belle taille, et assez belle. Sa grande taille amena Mélinda à complexer encore pour sa petite taille. Elle avait été transformée en vampire en étant assez jeune, et avait conservé un corps d’adolescente. Sa petite taille, si elle la gênait parfois, était aussi un très bon moyen de perturber les autres. Les humains étaient des créatures stupides, qui se fiaient beaucoup trop aux apparences. Parce qu’elle était petite, bien des gens ne se méfiaient pas de Mélinda comme il le devrait, et cette belle prof’ ne semblait pas faire exception. Elle n’avait visiblement pas encore entendu parler de Miss Warren, et était polie et aimable avec elle... Il ne faisait aucun doute que le professeur de maths lui avait demandé d’assurer la colle à sa place pour la mettre à l’épreuve, et lui présenter l’une des élèves difficiles du lycée, une fille qui n’hésitait pas à se lever en plein cours pour reprendre les professeurs.

S’asseyant tranquillement près de la senseï, Mélinda n’eut pas longtemps à attendre, avant qu’elle ne se rapproche, et ne lui offre une superbe vue sur son décolleté... Immédiatement, la vampire sentit quelque chose brûler dans son bas-ventre, entre ses jambes. Après tout, elle n’avait pas fait l’amour depuis... Depuis hier soir. Pour elle, qui avait une libido très développée, c’était beaucoup, et elle sentit le plaisir et le désir monter devant ce ravissant spectacle. Miss Delajoue avait une bien belle poitrine, des seins très agréables à regarder. Oui, c’était une bien belle vue qu’elle lui offrait, un véritable ravissement pour les yeux.

« Alors qu’en dites vous mademoiselle ? »

*J’en dis que je vais t’arracher ta chemise, et goûter à tes jolies poires...*

Revenant à la réalité, Mélinda releva la tête, et se fendit d’un sourire poli envers la belle blondinette. D’une oreille distraite, elle avait entendu cette dernière lui promettre de réduire l’heure » de colle, si, en contrepartie, elle faisait le devoir. La proposition était tentante, et la vampire lui offrit un sourire innocent, ayant une toute autre idée derrière la tête. Elle hocha la tête.

« D’accord, sensei. Ça ne devrait pas être long. »

Elle sortit ses affaires, à savoir un stylo, une copie double, et l’énoncé, qu’elle ne regarda même pas, et commença à écrire. Elle écrivait beaucoup pour un simple devoir de mathématiques, et prit tout de même le temps de faire un bandeau. Elle écrivit proprement, traçant vite, de sa belle écriture ronde, se mordillant les lèvres, concentrée. Un silence pesant s’installa entre les deux femmes, rythmée par le stylo de Mélinda, qui glissait rapidement sur la feuille. Il lui fallut environ un quart d’heure pour terminer son texte. Elle le contempla brièvement. Mélinda avait, pour les bienfaits de son harem, suivi des cours de dactylographie, afin d’avoir une écriture propre, lisible, et harmonieuse. Ceci remontait à une lointaine époque, où elle n’avait pas les moyens de se payer une secrétaire, et écrivait donc elle-même ses courriers. Elle avait préféré avoir une belle écriture, plutôt qu’une écriture pleine de ratures.

Mélinda se redressa, avec un nouveau sourire poli.

« J’ai fini. Pourriez-vous le lire, et me dire ce que vous en pensez, senseï ? Je ne tiens pas à rendre un devoir qui n’offrirait pas à mon senseï entière satisfaction. »

Si la prof’ connaissait un peu mieux Mélinda, elle se douterait que ce sourire sonnait faux, car ce qu’elle avait écrit concernait autant les mathématiques qu’une vache en train de paître. C’était une histoire, tout simplement, que Mélinda avait intitulé « Les Fruits de la Passion ». Tandis que la prof’ lisait, Mélinda restait contre le bureau, ses mains posées de part et d’autre, continuant à sourire, en profitant pour observer son décolleté.

« C’est l’histoire d’une jeune femme qui n’en pouvait plus du décolleté de sa prof’. Ce décolleté était insupportable, horrible, car il l’empêchait de se concentrer, et de penser à rien d’autre que ses seins. Vous avez déjà essayé de faire un devoir en ayant une furieuse envie de vous tripoter, vous ? Et bien, c’était à chaque fois le cas de cette pauvre lycéenne. La prof’ venait toujours avec une petite jupe révélant ses belles jambes fuselées, ses petites fesses bien moulantes, et sa poitrine merveilleuse. Et cette fille, littéralement, n’en pouvait plus de devoir, chaque jour, supporter cette vue. Elle se caressait chez elle le soir en pensant à cette vue, et à ses envies de faire l’amour à cette femme... De presser sa tête entre ses seins, de les caresser avec ses doigts, et de se perdre dans son corps, dans ses formes qu’elle devinait gracieuses et fines, délicates et raffinées.

Peu à peu, sa senseï continuait à l’obséder. Elle avait tenté de se mettre tout au fond de la salle pour tenter de ne plus penser à elle, mais n’y arrivait pas. Il n’y avait tout simplement rien à faire, elle ne pouvait plus la sortir de sa tête. Une véritable obsession, et elle échouait tous ses contrôles avec elle. C’était particulièrement rageant, et elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour se la sortir de la tête. Ses moyennes baissaient, ses parents s’inquiétaient, et elle tenta alors de nouer avec la prof’ une relation proche et intime... Mais la prof’ refusait, se dérobait, et frustrait de plus en plus notre jeune femme.

N’en pouvant plus, elle décida alors de commettre une bêtise, de manière à se faire remarquer, à être collée. Ce fut un succès, et elle put ainsi être seule avec cette femme qu’elle aimait depuis des mois. Elle lui avoua tout son amour, et il s’avéra que ce dernier était réciproque. Elles firent alors l’amour sur le bureau, et continuent encore à sortir ensemble aujourd’hui.
»

L’histoire était courte, mais suffisamment explicite pour Mélinda, qui, lorsqu’elle réalisa que la senseï l’avait terminé, déclara alors :

« On t’a déjà dit que tu avais de superbes seins ? »

Les masques étaient tombés. Cette femme avait réveillé le désir de Mélinda, et cette dernière comptait bien s’amuser avec elle.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 3 samedi 27 octobre 2012, 08:16:38

« D’accord, sensei. Ça ne devrait pas être long. »

« Prenez votre temps, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation »

Lui dis je en lui rendant le beau sourire qu'elle venait de me faire. Si tous les élèves collés de ce lycée était comme celle-ci l'année aller vraiment être des plus tranquilles. En retournant m'asseoir à mon bureau l'impression que c'était juste une gentille fille qui avait était un peu distraite c'était renforcée, d'ailleurs il n'y avait qu'à voir avec quel énergie elle travaillait maintenant. Le son du stylo grattant sur la feuille de papier était le seul bruit que l'on pouvait entendre au milieu du silence de la salle. N'ayant rien à faire je regardais la jeune élève travailler, elle avait un air sérieux et concentré des plus charmant, appliquée tout entière à la rédaction de son devoir. Le temps passa et je commençait à la détailler plus finement, la rondeur de ses joues encore adolescente, le doux bruissement de ses longs cheveux bouclés, ses yeux vert émeraude dans lesquels brillaient parfois une lueur de malice.

« J’ai fini. Pourriez-vous le lire, et me dire ce que vous en pensez, senseï ? Je ne tiens pas à rendre un devoir qui n’offrirait pas à mon senseï entière satisfaction. »

Je sursautais à sa demande, non seulement parce que je ne pensais pas qu'elle puisse finir le devoir aussi vite mais aussi parce que mon esprit s'était légèrement égaré. Mélinda était une belle jeune fille et l'espace d'un instant j'avais imaginé que c'était elle et non Mélanie avec qui j'avais eu un passé des plus coquins. J'en devins malgré moi rouge pivoine et bredouilla une réponse.

« Bien … bien sur, je pensais te … vous le proposer maît … mademoiselle Warren »

Je prie la feuille en fermant un instant les yeux pour me reprendre. Il faut que j'arrête de fantasmer ainsi quand une femme est à mon goût, du moins que j'arrête quand il s'agit d'une jeune élève que je ne connais même pas ! Ramenait trop durement à la réalité j'ai même failli l'appeler maîtresse ! J'ouvre les yeux et me concentre. Surprise je plisse les paupières, j'ai entre les mains une rédaction et non un devoir de mathématique. Je lisais le titre « Les Fruits de la Passion »

« Je ne crois pas que ce soit ce que votre professeur attend comme ... »

Tout en parlant je lisais la suite machinalement et me trouvait troublée dès le départ. Une jeune femme, le décolleté de sa prof, instinctivement je baissais les yeux sur mon décolleté et la rougeur à mes joues n'en diminua pas. J'avais complètement oublié qu'avec la chaleur j'avais ouvert mon chemisier pour mieux respirer, voilà qu'en effet j'offrais un décolleté fort prononcé mais est ce de moi qu'elle parle pour autant ? Que devais je faire ? Si j'en venais à refermer mon haut c'est comme avouer que je suis en tenue indécente, pouvais je rester ainsi ? Je levais les yeux et à ma grande surprise son regard était gourmand en regardant mes seins. La chaleur à mes joues se propageant à mon entrejambe et je me mis à me dandiner un peu mal à l'aise sur ma chaise.

Le premier chapitre ne m'aida pas à calmer mon émoi, bien au contraire. Si quelques détails pouvaient laisser penser qu'il s'agissait d'une autre femme, notamment le fait que je porte bien souvent des shorts plutôt que des jupes, les descriptions de la frustration et des caresses que la jeune rêvait de prodiguer firent jouer mon imagination. Était ce à cause de ma longue abstinence ? Pourtant depuis des années très peu de choses avaient su réveiller en moi l'envie. Ou bien était ce parce que je venais de l'imaginer dans ma vie juste avant que l'idée de sentir ses mains sur ma peau, ses lèvres sur mes seins, ses dents sur mes tétons me fait frémir devant la demoiselle ?

Le second chapitre semblait confirmer qu'il s'agissait bien d'une autre femme. Je n'avais jamais vu la demoiselle avant aujourd'hui donc elle ne pouvait pas raconter un passé commun … en même temps les cours ayant commencé depuis juste deux mois il n'y avait pas encore vraiment eu de contrôle, il était tôt pour que les notes de quelqu'un aient chuté et que les enseignants convoquent les parents, je l'aurai su si ça avait été le cas, en salle des profs c'est une vrai cour de récréation tout se sait. Était ce donc un futur qu'elle envisageait déjà ? En effet les réactions décrites sont des plus plausibles, une vraie enseignante se doit d'être ferme et de refuser de telles avances, pensais je en me mordillant la lèvre inférieur, signe de trouble instinctif que je n'ai jamais réussi à combattre.

Le dernier chapitre était des plus mignons, la fraîcheur de la jeunesse. Penser qu'il suffit simplement de le dire pour que l'amour s'épanouisse. Je ne pus m'empêcher de sourire à cette pensée avant de rougir et me mordiller de nouveau la lèvre. Une image en flash traversa mon esprit, la jeune Mélinda nue sur mon bureau, ses cheveux en sueur, ses seins pointus brillant de transpiration, moi à genoux devant le bureau, une main caressant son ventre, l'autre caressant l'intérieur d'une cuisse alors que ma bouche dévore la jeunesse de son sexe, ma langue allant goûter la saveur la plus intime de la jeune fille en plongeant entre ses chairs délicates.

« On t’a déjà dit que tu avais de superbes seins ? »

Je sursautais de nouveau surprise par la demoiselle, revenant à la réalité de la situation, sans réfléchir, parce que je revenais du pays des rêves je répondis.

« Oui »

Mes yeux s'arrondirent en réalisant ce que je venais de dire, ce que venait de dire la lycéenne et la façon dont elle l'avait dis. Passant au tutoiement nous ramenant à un plan d'égalité. Étant son professeur, une adulte, et même si tout ceci avait quelque chose de tentant je me devais de résister et  de la remettre sur le droit chemin.

« Mademoiselle je ne sais pas ce qu'est ceci et si c'est une mauvaise plaisanterie ... »

Devant lever les yeux pour lui parler je décidais de me lever pour reprendre un avantage. Poussant ma chaise de mes genoux en m'appuyant sur le bureau, je fut surprise de la force que je sentis qui le maintenait en place. Mes cuisses tapèrent sous la table me déstabilisant.

« Hiiiiiii ! »

Je poussais un petit cri de surprise alors que je me sentis basculer en arrière, mes fesses tapèrent le bord de ma chaise qui glissa sous moi. Avant que je comprenne ce qui venait de m'arriver j'étais assise sur le sol, le cul me chauffant du dur impact que je venais de subir. Je relevais les yeux et trouvais Mélinda à coté de moi, debout, avec un regard gourmand et calculateur, avec une note de plaisir brillant dans les yeux qui me rappela une nouvelle fois ma Mélanie … j'avalais ma salive n'osant bouger à cet instant ...

Mélinda Warren

Créature

  • -
  • Messages: 3532


  • FicheChalant

    Description
    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 4 lundi 29 octobre 2012, 15:46:16

« Bien … bien sur, je pensais te … vous le proposer maît … mademoiselle Warren »

La manière dont elle accepta frappa Mélinda. Elle bafouillait, mais le reste fut encore plus alléchant, confirmant que cette senseï était tout, sauf une jeune femme innocente.  Tandis qu’elle lisait, elle remuait lentement sur place, et son sang s’emballait. En tant que vampire, Mélinda pouvait le sentir. Son rythme sanguin s’affolait, ce qui était généralement le signe d’une excitation interne. En d’autres termes, cette petite prof’ était en train de penser à des choses peu avouables dans un confessionnal. Voilà qui était très encourageant ! De même, sa lecture de son « devoir » le fut également. Cette courte histoire n’avait que pour fonction de tester cette femme, de voir la manière dont elle allait réagir : en étant offusquée, ou en paraissant offusquée, ce qui était sensiblement différent. Dans le premier cas, Mélinda l’oublierait vite, se contentant juste de la violer ici, mais, dans le second... Dans le second, ce serait entièrement différent, et ce fut ce qui se passa.

A la fin de cette lecture, la femme était perturbée, tellement perturbée qu’elle répondit instinctivement à la question de Mélinda. Son « Oui » fit sourire la vampire, qui n’avait alors plus rien de l’innocente et timide lycéenne désireuse de se rattraper aux yeux de son professeur de mathématiques. La vampire esclavagiste, une prédatrice dominante, refaisait surface.

« Mademoiselle je ne sais pas ce qu'est ceci et si c'est une mauvaise plaisanterie ... » la mença-t-elle.

Visiblement, Delajoue n’avait pas encore compris que Mélinda ne jouait plus au jeu des apparences. Elle allait le lui dire quand cette dernière glissa sur sa chaise. Elle poussa un petit cri, et tomba par terre, s’affalant lourdement. Elle était vraiment perturbée, et la vampire, tout naturellement, contourna le bureau pour se positionner face à elle, un sourire sur les lèvres, louchant de plaisir en contemplant avec ses yeux les seins de cette femme. La vampire décida de clairement se présenter. Elle referma la bouche, se rapprocha de la femme, et, quand elle écarta à nouveau ses lèvres, ses canines pointaient.

Elle parla alors d’une voix laissant clairement comprendre qu’elle n’était pas venue ici pour se faire marcher sur les pieds :

« Si je suis venue ici, petite humaine, c’est parce que j’ai appris que tu me collerais... Et, comme tu es physiquement plus intéressante que ce vieux débris que j’ai en maths, je comptais me soulager avec toi... Mais j’avais négligé de voir que tu n’étais pas qu’une belle enveloppe, mais aussi une femme très... Intéressante. »

Mélinda avait ramené ses canines, et récupéra l’histoire qu’elle avait écrite.

« Cette fille est une version faiblarde de moi-même, et la prof’, c’est toi... Ça, je pense que tu l’as compris. »

Mélinda se rapprocha encore un peu plus de la femme, ses jambes frottant contre le corps de la senseï. Elle continua à parler, se présentant un peu plus. Cette situation l’excitait particulièrement. Avoir une nouvelle proie était toujours un régal pour cette femme, cette vampire qui adorait jouer avec les humaines.

« J’existe depuis plusieurs siècles, ma petite perle... Je ne suis pas vraiment une humaine, et je m’estime même supérieure à vous. Partant de là, il m’est très difficile de reconnaître l’autorité et la légitimité d’individus comme toi, ma beauté. Je suis une vampire... Mais rassure-toi, je n’ai pas prévu de boire tout ton délicieux sang. »

C’était tentant, mais Mélinda n’avait pas une faim sanguine. Si elle avait faim, c’était une autre denrée qu’elle recherchait : celle de la chair et du plaisir. Son bassin se rapprochait lentement du visage de Florence, qui était toujours assise sur le sol, ne pouvant pas se relever, ni même vraiment réussir à en placer une.

« Je peux sentir ton excitation sanguine, ma petite puce... Alors, il t’est inutile de me mentir. Tout comme je sais quel mot tu comptais dire à la place de ‘‘mademoiselle’’... Je pensais simplement te violer et boire une partie de ton sang en venant ici, mais... Je pense plutôt te dresser, et faire de toi une bonne petite chienne... Toute la question est de savoir si tu préféreras la manière douce ou la manière forte... »

Joignant le geste à la parole, Mélinda pencha un peu la tête, croisant les bras, ses jambes de part et d’autre du corps de Florence.

« Alors ? »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 5 samedi 10 novembre 2012, 08:42:02

Son regard … au mon dieu son regard … il y a maintenant dans ses yeux une lueur prédatrice, j'ai l'impression d'être une souris coincée dans un coin de la pièce par un chat qui se demande comment il va pouvoir se distraire avec … Son sourire … son sourire s'étire sur son beau visage adolescent mais il exprime déjà les nombreuses idées qui traverse sa petite tête … Ses dents … ses dents ?! Comment ? Qu'est ce que? Ses canines ressemblent à des crocs prêts à être plantés pour déchirer, un frisson d'inquiétude alors que sa voix si douce se fait entendre, devenu bien plus ferme.

« Si je suis venue ici, petite humaine, c’est parce que j’ai appris que tu me collerais... Et, comme tu es physiquement plus intéressante que ce vieux débris que j’ai en maths, je comptais me soulager avec toi... Mais j’avais négligé de voir que tu n’étais pas qu’une belle enveloppe, mais aussi une femme très... Intéressante. »

« Merci », je lui réponds de nouveau sans réfléchir comme si elle m'avait hypnotisé, rougissante alors qu'elle m'avoue son attirance pour moi mais aussi des choses plus humiliantes comme son envie de se soulager en m'utilisant.

« Cette fille est une version faiblarde de moi-même, et la prof’, c’est toi... Ça, je pense que tu l’as compris. »

« Oui … la prof … c'est moi ? »

Je ne sais même pas pourquoi je pose la question, peut être pour me rassurer vis à vis de la suite, elle parlait d'amour dans son histoire. Mon cœur se serre et je frissonne alors que ses jambes viennent frôler mes jambes. Je suis obligée de continuer à lever les yeux pour regarder celle qui me domine déjà de sa hauteur. Pourrais je me lever ? Je ne sais pas, je n'en ai pas l'idée … à moins que ce ne soit simplement l'envie de me lever que je n'ai pas ou la peur que cela brise l'élan de ma compagne … Ai je tant envie de retrouver ma vie passée que je suis prête à me donner à la première venue ? Non, depuis toutes ses années personne ne m'a parlé comme elle le fait maintenant, personne n'a eu l'audace de prendre le dessus sur moi.

« J’existe depuis plusieurs siècles, ma petite perle... Je ne suis pas vraiment une humaine, et je m’estime même supérieure à vous. Partant de là, il m’est très difficile de reconnaître l’autorité et la légitimité d’individus comme toi, ma beauté. Je suis une vampire... Mais rassure-toi, je n’ai pas prévu de boire tout ton délicieux sang. »

Une vampire ? Si l'air n'avait pas été si lourd, si il n'y avait pas eu une ambiance dans la pièce je crois que j'aurai ris aux éclats. La génération Twilight, c'était quelque part de son âge de penser ce genre de chose, ça devait lui donner du courage d'y croire, après tout il doit en falloir pour tenter de cette façon face à sa sensei de presque 10 ans son aînée.

« Je peux sentir ton excitation sanguine, ma petite puce... Alors, il t’est inutile de me mentir. Tout comme je sais quel mot tu comptais dire à la place de ‘‘mademoiselle’’... Je pensais simplement te violer et boire une partie de ton sang en venant ici, mais... Je pense plutôt te dresser, et faire de toi une bonne petite chienne... Toute la question est de savoir si tu préféreras la manière douce ou la manière forte... »

J'isolais les parties intéressantes de ses phrases tout en me demandant si je devais faire semblant de croire à son histoire de vampires ou pas. J'étais troublée, avait elle réellement compris la faut de langage que j'avais failli faire ? L'entendre me parler de dressage comme Mélanie avait pu le faire par le passé me troublait réellement, tant que je du serrer les cuisses sous la chaleur qui gagnait mon bas ventre.

« Alors ? »

Elle me dominait de toute sa hauteur mais elle était encore jeune. Elle me demandait de choisir, à quelle chienne demande-t-on comment elle souhaite être dressée ? La déception traversa un instant mon regard, elle aurait pu me proposer tant de chose pour commencer mon dressage sans me demander mon avis que j'en restais silencieuse. Elle avait du potentiel pourtant, il n'y avait qu'à voir son allure, son charisme et la force qui se dégageait. De plus son odeur me plaisait, elle était si proche que je pouvais clairement la sentir, le contact de ses jambes et de devoir lever la tête vers elle m'excitait. Une élève du lycée ça a quelque chose de plus pervers encore peut être devrais je essayer de la guider ? Avant que je ne puisse répondre la porte de la salle s'ouvrit et un surveillant entra.

« Qu'est ce qui se passe ici où est mademoiselle Delajoue, je te préviens Mélinda si tu as encore ... »

« Je suis là ! », je saisis la main de Mélinda et me relevais, « Merci de m'avoir aidé à me relever mademoiselle Warren », je me tournais vers le surveillant, « Qu'y a-t-il ? », ma voix était sèche, agacée, ce qu'il interpréta comme une difficulté avec la terrible élève alors que j'étais énervée qu'il nous interrompe mais aussi et surtout qu'il ose menacer ma maîtr...

« Quand j'ai su que Mélinda était collée je suis venue voir si tout se passait bien »

« Tout va très bien, mademoiselle Warren est adorable, je vous prierai de lui montrer plus de respect en l'appelant par son nom, je n'apprécie pas particulièrement que l'on fasse irruption dans ma salle pour manquer de respect aux élèves sous ma responsabilité et à moi même par la même occasion, que cela ne se reproduise plus »

« Je suis désolée mademoiselle Delajoue mais ... »

« Il suffit vous viendrez me voir demain matin en salle des professeurs si vous avez besoin de vous justifier veuillez sortir et fermer la porte. », penaud l'homme ferma la porte et s'éloigna à grand pas. A toute chose malheur est bon, ce petit interlude m'ayant permis de reprendre un peu de contenance.

« Je suis désolée maîtr... », et mince faut que j'arrête cette faute de mot, tout assurance gagnée perdue pour une petite faute, « mademoiselle Warren, je crois que nous devrions en rester mais en reparler une autre fois »

Je commençais à ramasser mes affaires sans qu'elle ne réponde, la pauvre, elle a du perdre tout le courage nécessaire à sa première tentative. Je me retournais et fis un pas pour partir quand le froid caressa ma peau. Je baissais les yeux pour découvrir mon torse nu, ne portant plus que mon soutien gorge jaune à dentelle. Je me retournais perplexe et me figea de surprise.

« Comment ? »

Dans la main droite de Mélinda ma veste et mon chemisier, elle venait de me les arracher avec tant de force que je n'ai rien senti. Son regard me réduisit au silence, avalant ma salive de peur et d'une excitation renouvelée d'un coup. Sous le regard de la vampire mes seins généreux, le galbe bien rond dans un joli soutien gorge même s'il n'avait rien de très sexy, un début de petit ventre, un petit manque de sport après tout ce temps passé seule j'avais fini par me laisser un peu aller ...

Mélinda Warren

Créature

  • -
  • Messages: 3532


  • FicheChalant

    Description
    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 6 dimanche 11 novembre 2012, 21:55:30

La question de Mélinda n’appelait pas vraiment à une réponse. C’était juste une manière pour elle de réveiller l’esprit un peu surpris de la prof’. Elle ne devait pas s’être attendue à ce que Mélinda lui saute ainsi dessus, car elle ne savait pas quoi dire. Elle était encore sous le coup de la surprise. Ce n’était pas tous les jours qu’on tombait sur une vampire, a fortiori une vampire comme Mélinda. La belle lycéenne regardait Florence, détaillant son visage, et fronça les sourcils en sentant quelqu’un approcher. Elle pouvait percevoir son sang, et un petit rictus traversa ses lèvres. Il fallait toujours qu’on vienne les déranger au plus mauvais moment ! Elle devait se retenir pour ne pas sauter à la gorge de cet inconnu, surtout quand elle vit que cet individu n’était autre qu’un des nombreux surveillants du lycée Mishima... Probablement un jeune étudiant zélé qui ignorait encore toutes les subtilités du lycée, ou qui s’était mis en tête d’embêter Mélinda.

Avec la prof’ au sol, et Mélinda juste devant elle, la situation pouvait prêter à confusion, et la vampire sentit ses ongles la démanger. Elle n’aurait absolument aucun remords à attaquer cet homme, à lui faire payer son impudence... Mais Florence agit alors, se mettant à bluffer. Mélinda fronça encore les sourcils, étonnée par cette attitude. Elle comprit qu’elle avait vu juste. Cette femme était une soumise. Le surveillant, un peu sceptique, se retira malgré tout.

*Elle joue plutôt bien la comédie... Mais on ne peut pas mentir à une menteuse professionnelle, ma belle blondinette...*

Il était certain qu’elle avait déjà été une esclave, que ce soit de manière volontaire ou pas, et qu’elle avait apprécié cette expérience. Mélinda était une esclavagiste, elle reconnaissait les signes. Lorsque la porte se referma, Florence se retourna vers Mélinda. Elle était déstabilisée, et ceci se confirma dans la manière dont elle lui parlait, dont elle disait instinctivement « Maîtresse ». C’était la plus belle preuve de ce que Mélinda pensait. C’était une ancienne soumise. Or, l’esprit n’oubliait jamais la soumission. Les humains étaient naturellement faits pour être domptés, dressés, et soumis .C’était pour ça qu’ils acceptaient si facilement que leurs libertés soient réduites, encadrées. Ils avaient été conçus par les Dieux pour être des créatures qui aimaient qu’on les soumette, qu’on les dirige, qu’on dicte leur vie, qu’on les dresse.

Florence récupérait ses affaires, se forçant à ne pas regarder Mélinda, qui se mit à sourire. Visiblement, sa petite chienne avait besoin d’une petite correction, de comprendre qui était la Maîtresse ici. La vampire agit assez rapidement, envoyant l’une de ses mains pour arracher d’un coup de griffes le haut de Florence. Elle enleva son haut et sa chemisier très rapidement, les tenant dans la main, contemplant avec une lueur de désir le soutien-gorge jaune à dentelles de la belle.

« Comment ? » s’exclama cette dernière, interloquée.

Le sourire de Mélinda se raffermit, montrant ses belles dents cristallines, et elle laissa tomber les vêtements de Florence, se rapprochant d’elle. Elle avait beau être plus grande qu’elle, cette petite femme lui était en réalité inférieure. Mélinda allait clairement arrêter de jouer, et passer aux choses sérieuses. Sa main attrapa l’un des poignets de Florence, le maintenant fermement, et elle tira le corps de Florence vers elle, avant de s’écarter, et de lui faire une espèce de croche-pattes qui permit de faire basculer Florence en avant. La moitié de son corps s’étala ainsi sur son bureau, et la main de Mélinda attrapa la nuque de Florence, la maintenant solidement ainsi.

Son autre main se posa sur les fesses de Florence, caressant ces dernières à travers sa minijupe bleue électrique. Elle était, pour le coup, très belle, et, dans cette position, sa petite jupe se redressait, dévoilant un peu plus son corps. Les griffes de Mélinda glissaient sur la belle peau douce et propre de la femme.

« Je crois que tu n’as pas tout compris, ma chérie... Alors, je vais essayer d’être très claire... »

Mélinda ménagea une petite pause, continuant à serrer l’une des fesses de Florence.

« Tu es une petite chienne... Ma chienne. Depuis quand les chiennes décident-elles de leur libre-arbitre, hum ? Nous en aurons terminé quand je le déciderai ! »

La vampire leva alors sa main, et gifla les fesses de Florence. La claque résonna dans la pièce, et elle continuait à maintenir la nuque de Florence, utilisant sa puissante force de vampire, empêchant cette dernière de se révolter. Elle était son esclave, tout simplement, et rien ne pouvait changer cet état de choses. Mélinda la gifla une seconde fois.

« Et ne m’appelle plus Mademoiselle, petite chienne. Maîtresse ira très bien. »

Mélinda retira alors sa main de la nuque de cette dernière, la libérant.

« Si tu as bien compris ton rôle, lèche-moi le pied, comme une bonne petite chienne. »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 7 mardi 13 novembre 2012, 08:35:31

« hhhiiiiiii »

Sous la surprise et alors que la discrétion serai plutôt de mise dans une telle situation je pousse un petit cri de panique alors que Mélinda m’attrape et me tire en avant. Sa force est bien plus grande que la mienne, je n'ai aucune chance de résister. Je bute sur son pied et m'écrase lourdement sur mon bureau. Passé le choc j'ai le réflexe de vouloir me relever mais ma jeune élève me saisit d'une main à la nuque et me plaque la joue contre le bois. Une seule main lui suffit à me maintenir dans cette position alors que je prend appuie de mes deux mains pour pousser et me dégager.

« hhhooouuuummm »

Rien à faire je suis coincée, complètement à sa merci. Je frémis et sursaute de surprise quand je sens sa main qui caresse la peau nue de mes cuisses. Ma jupe a du remonté laissant maintenant voir mes bas et les attaches de mon pan de jarretelles jaune … Je ne devrais pas mais sa main me fait trembler d'envie après tant d'années à me caresser seule … cette petite effronté va même jusqu'à glisser sa main sous ma jupe, remontant et dénudant mes fesses dans la jolie culotte jaune de dentelle qui les pare. Je me mordille les lèvres pour ne pas gémir alors qu'elle se saisit d'une et la serre pour tester le moelleux de mon postérieur.

« Je crois que tu n’as pas tout compris, ma chérie... Alors, je vais essayer d’être très claire... »

Oh si j'ai parfaitement compris, c'est elle qui ne sait pas sur qui elle est tombée … je me demande si elle a réellement senti une prédisposition chez moi ? Se doute-t-elle que j'ai déjà été une chienne par le passé ? Sa main se fait plus ferme sur mon cul et malgré moi j'en tremble de nouveau de plaisir comme à l'époque.

« Tu es une petite chienne..., *Si elle savait ...*,  Ma chienne *ça reste à voir ça*. Depuis quand les chiennes décident-elles de leur libre-arbitre, hum ? *Là elle a pas tort* Nous en aurons terminé quand je le déciderai ! *Elle commence à vraiment me plaire ...*»

« hhhiiiiii »

Un autre cri de surprise quand sa main s'abattit sur ma croupe, ce n'était pas la première fois mais je ne m'y attendais pas. La vampire pu éprouver le rebondi de mon cul, la main amortie par cette rondeur tendre alors que ma peau se mit à me chauffer fortement. Je tentais de me dégager de son emprise ce qui ne dut pas lui plaire car elle me fessa une seconde fois.

« hhhuuuuuummm »

Cette fois il ne pouvait y avoir de doute c'est un gémissement de plaisir qui s'échappa de mes lèvres … Je n'avais pas souvent été fessé, Mélanie ne comprenait pas pourquoi j'aimais cela, je ne saurais pas le dire, mais le second coup venait de réveiller en moi un plaisir inavouable, si bien que je cessais de me débattre et me dandinait maintenant sur mon bureau, remuant et tendant mes fesses à Mélinda comme pour en quémander encore plus.

« Et ne m’appelle plus Mademoiselle, petite chienne. Maîtresse ira très bien. Si tu as bien compris ton rôle, lèche-moi le pied, comme une bonne petite chienne. »

Une fessée de plus et elle m'aurait sûrement vaincue, je me serais jetée à ses pieds sans réfléchir, mais elle ne me connaissait pas encore assez. Il ne suffit pas de se dire maîtresse et chienne pour que cela marche, il faut une connaissance réciproque l'une de l'autre qui passe par un long dressage. Je me retourne hésitante, regardant Mélinda qui a un air stricte mais toujours le sourire aux lèvres. Je jette un œil à la porte me demandant si je ne ferais pas mieux de m'échapper encore, si j'accepte je sais qu'il n'y a pas de retour en arrière possible. J'ai envie de la vie qu'elle me propose et en même temps j'ai peur de ne plus être à la hauteur. Quand mon regard croise de nouveau le sien je n'ai plus d'hésitation, si elle sourit encore il y a quelque chose de menaçant dans son sourire, visiblement mon hésitation l'agace. Je comprends qu'elle ne me propose rien, elle a décidé et le fera avec ou contre ma volonté.

Je me laisse alors tomber sur mes genoux, ma jupe troussée remonte sur ma taille et je pose mes fesses sur les talons de mes escarpins. Je lève les yeux, je rougis, elle me domine de toute sa hauteur et son sourire exprime de nouveau le ravissement, elle me tend son pied droit. Je le regarde chaussé du petit soulier qui va avec l'uniforme. Les vieux réflexes reviennent vite, je le prend pour le soutenir de manière à rendre sa position plus confortable. Je me penche et me plie pour aller jusqu'à son pied et non pour monter son pied jusqu'à moi. Je sors ma belle langue rose pour que ma maîtresse puisse bien la voir œuvrer, je l'approche de la chaussure quand …

« Drrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnggggggggggggg »

« Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »

La sonnerie annonce la fin de l'heure de colle, j'étais si proche de faire ce qu'elle venait de me demander que je crie de frustration. La pire des choses à faire en ce moment, déjà les élèves qui sortaient dans le couloir s'interroge des bruits de pas se dirigent vers la salle. La porte s'ouvre et une élève rentre en demandant ce qu'il se passe.

« Tout va bien ? Qu'est ce qui se passe ? Mademoiselle ? »

« hhhhhiiiiiii ! Enlevez là ! Mélinda enlevez là ! Vous la voyez ? Je la sens qui courre sur ma peau ! Pitié Mélinda j'ai horreur des araignées ! »

Je commence à sautiller partout sur place, passant mes bras sur mon corps, sur mes bras, mes mains dans mes cheveux, sur mes fesses. C'est à la fois très crédible et en même temps en vilaine femme que je suis je m'amuse à échauffer Mélinda en venant caresser mes seins devant ses yeux et ceux de l'élève. Derrière elle des camarades arrivent lui demandant ce qui se passe. La gentille fille claque la porte et la verrouille restant avec nous dans la pièce.

« Une araignée a glissé dans le chemisier de Mademoiselle Delajoue, entrez pas elle … elle l'a enlevé ... »

« Wouah ! Laisse nous entrer ! Tu peux pas nous faire ça ! »

Les garçons de l'autre coté râlent à l'idée de me savoir en soutien gorge sans en profiter. Moi finalement ça me flatte et m'amuse comme situation, maintenant à ma maîtresse de gérer et nous sortir de là. Je regarde Mélinda et rougis même si je ne lui ai pas encore dit ce petit bout de femme vient de me faire penser à elle comme ma maîtresse, voilà ma décision est prise. Alors que l'élève discute avec les garçons et que je poursuis mon manège je glisse un petit « Wouf » presque inaudible à moins que ce ne soit vraiment une vampire ...

Mélinda Warren

Créature

  • -
  • Messages: 3532


  • FicheChalant

    Description
    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Une question de soumission [Florence Delajoue]

Réponse 8 mardi 13 novembre 2012, 11:50:49

Elle avait des jarretelles... Quel genre de prof venait en cours avec des jarretelles ? Sûrement pas celle qui était uniquement préoccupée par la culture de ses élèves. Cette femme s’était reçu deux gifles, et Mélinda aurait bien continué... Si elle n’avait pas senti à quel point cette femme appréciait ça. Ce fut particulièrement visible après la deuxième gifle, quand elle se mit à remuer ses fesses, quémandant une autre gifle. Mélinda, néanmoins, voulait voir si elle était déjà dressée. Pour que ce soit si rapide, il fallait clairement que Florence ait déjà été, jadis, une soumise... La petite vampire ignorait totalement qui avait fait ça, mais elle la remerciait. Cet individu, probablement une femme, avait fait un très bon travail. Dans la domination, le sexe des parties était très important. Mélinda avait remarqué qu’on dressait généralement bien plus facilement les personnes de sexe opposé. Dès qu’on dépassait les préjugés entre les sexes, la curiosité naturelle qu’un sexe ressentait pour l’autre pouvait muter en une sorte de fascination. Son expérience d’esclavagiste lui avait montré que, de manière très égale, autant un homme qu’une femme pouvaient être dressés. La technique était fondamentalement la même, avec quelques changements selon la nature des personnes et le niveau de dressage souhaité. En l’espèce, Florence ne semblait pas contre l’idée d’être battue, et c’était tant mieux. On rencontrait tellement d’humaines douillettes, qui ne supportaient pas le moindre coup, de nos jours... Certes, Mélinda n’était pas, en soi, une femme violente, mais ce n’était pas pour autant qu’elle n’aimait pas, de temps en temps, faire preuve de violence. Et, si c’était avec une prof’, ce serait encore mieux !

La vampire y songeait alors que Florence, après quelques hésitations, se pencha vers son pied, que Mélinda lui tendit. Le fétichisme, un autre de ses péchés mignons... Elle aimait tellement ça, qu’on lui baise les pieds... Pour elle, c’était la plus belle preuve de soumission. Quand on en arrivait à lécher les pieds de quelqu’un, c’est qu’on lui était entièrement soumis. Le temps sembla se suspendre, alors que, lentement, la senseï scellait son pacte de soumission. Mélinda sentit sa respiration s’alourdir dans sa poitrine, et, alors que Florence allait poser ses lèvres...

*DRING !!!*

Même Mélinda sursauta, naturellement surprise... Et Florence poussa un cri hystérique qui ne passa pas inaperçue. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la situation évolua totalement. Une lycéenne que Mélinda ne connaissait pas du tout entra dans la pièce, la referma en la verrouillant, et écarquillait les yeux de surprise en voyant la prof’, en sous-vêtement, en train de se dandiner. Le cerveau de Mélinda se réenclencha rapidement, et elle s’écarta prudemment de Florence, voyant cette dernière se dandiner, prétextant avoir une araignée sur le corps. Est-ce que ce serait suffisant pour convaincre la lycéenne ? Sûrement pas, mais elle semblait pour l’heure trop occupée à se rincer les yeux. Florence se tortillait, et Mélinda était trop intelligente pour savoir que ce n’était pas là un genre de provocation... Jusqu’à ce qu’elle se mette à aboyer, un « Wouf » très discret, presque inaudible, mais que Mélinda entendit très distinctement.

Un sourire amusé traversa les lèvres de la vampire, qui regarda malicieusement sa petite chienne.

*Me narguer te plaît, hein ? Petite chienne rebelle... Je vais te montrer qu’il n’est pas très malin de me défier...*

Mélinda reporta son attention sur la lycéenne, qui observait délibérément les seins de la prof’, tout en parlant avec les garçons coincés de l’autre côté.

« Allez, laisse-nous entrer, quoi !
 -  Je... Mais à quoi est-ce que vous jouez, toutes les deux ? Ne me dites pas que... »

Mélinda s’approcha rapidement d’elle, et la plaqua contre le mur, une main sur la bouche. La lycéenne écarquilla les yeux, et Mélinda fit pointer ses canines. Elle grogna, et les planta dans sa gorge rapidement. La lycéenne poussa de petits cris paniqués, alors que la vampire se mit à sucer son sang. Elle agit assez rapidement, afin que Florence ne panique pas. Les garçons continuaient à s’impatienter dans le couloir, et la lycéenne devint pâle. Mélinda ne prit que quelques secondes, buvant de grandes quantités de son sang, et la relâcha. Inanimée, la lycéenne s’écroula mollement sur le sol, et Mélinda se retourna rapidement vers Florence, l’attrapant à la gorge pour l’empêcher de crier, et la plaqua également contre le mur. Du sang coulait des lèvres de Mélinda, un sang écarlate. Elle passa lentement sa langue dessus, les avalant.

« Tu me crois, maintenant, petite peste ? Rassure-toi, elle n’est pas morte... J’ai juste pris assez de son sang pour qu’elle nous fiche un peu la paix... »

Le corps de Mélinda tremblait nerveusement.

« Le sang a une propriété particulière chez les vampires... Il m’excite. J’ai une phénoménale envie de te baiser, ma chérie... »

A cet instant, elle entendit encore des hommes taper à la porte.

« Soyez pas vaches ! On veut juste une photo, y a pas de mal à ça ! »

Comment se débarrasser d’eux ? Ils étaient un peu trop nombreux pour que Mélinda boive tout leur sang... Et ils risquaient d’attirer un surveillant. Elle réfléchit brièvement, faisant la moue, et finit par avoir une idée... Un sourire malicieux élargit son visage.

« Je pense savoir comment s’occuper d’eux, ma belle petite chienne... Mais, pour ça, je vais devoir commencer par te rappeler qui domine ici. »

Elle relâcha Florence, et l’envoya contre le bureau. En regardant la lycéenne avachie, on pouvait voir sa poitrine se soulever, signe que Mélinda ne mentait pas, et ne l’avait pas tué. Les humains étaient tellement pointilleux là-desssus... La vampire reposa fermement sa main sur l’une des fesses de Florence, et recommença à la fesser, sa frustration sexuelle l’aidant à administrer de belles gifles.

« Je... Pourrais t’ordonner d’aller les chasser... Mais ce n’est pas la tâche qu’on attend habituellement d’une chienne... Alors, à la place, je vais plutôt... Les inviter à profiter de toi... »

La tirade de Mélinda était entrecoupée par une série de gifles, tandis que les garçons continuaient à s’impatienter. Mélinda s’écarta alors de Florence, un sourire sur les lèvres, et déverrouilla la porte, l’ouvrant légèrement. Il y avait cinq ou six mecs derrière.

« Vous... Vous fabriquez quoi, ici ?
 -  Ne vous-a-ton jamais appris que la curiosité était un vilain défaut ?
 -  Où... Où est Shu ?
 -  Elle était un peu trop excitée, et fait un petit somme… »

Surpris, les lycéens ne savaient pas trop quoi dire, se regardant entre eux.

« Laisse-nous entrer, où on appelle les surveillants ! »

Mélinda aurait pu lui briser la nuque, mais elle se força à un sourire chaleureux.

« Je ne comptais pas laisser de si beaux hommes sur le palier, rassurez-vous. Entrez. »

Elle laissa la porte ouverte, et les hommes entrèrent, haussant des regards surpris en voyant Shu inanimée, et la prof’, cramoisie, à moitié nue.

« Mais qu’est-ce que... ?! »

Refermant la porte en la verrouillant, Mélinda sentait l’excitation ambiante des élèves monter. Le sang était drainé dans leurs testicules, et elle s’approcha de Florence, de sa petite chienne, et la força à se mettre à quatre pattes sur le sol.

« A quoi ça rime ?!
 -  Dans la mesure où vous tambouriniez à la porte, j’ai décidé de vous montrer plus rapidement que prévu l’une des nouvelles chiennes du lycée Mishima.
 -  Mais c’est Delajoue ! »

Les homes étaient décidément très perspicaces. Ils avaient déjà tous, plus ou moins, des érections. Mélinda leur sourit, et se pencha vers la senseï.

« Je t’offre ton premier public, ma petite chienne... Dis-leur à quel point tu es heureuse qu’ils soient là pour te voir... »

Elle parlait à voix forte, pour qu’on puisse les entendre, et rajouta alors, sur un ton plus bas, afin que seule Florence puisse l’entendre :

« Sache bien que, peu importe ce que ces macaques font, c’est moi qui t’enculerai comme une grosse chienne... Car je sais que tu en meures d’envie... »

Mélinda se redressa ensuite.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :