« Hum... »
Ce que Pamela ressentait était indescriptible de passion et de douceur. Elle adorait ça, tout simplement. Sentir un sexe masculin en elle, s’enfoncer dans son corps, mais aussi sentir les tentacules grouiller autour d’elle, la serrer, la caresser, tels des enfants désireux et avides de plaire à leur Maîtresse. C’était fabuleux, tout simplement, et Poison Ivy se relaxait, tout simplement. Squall partageait avec elle un grand moment d’intimité, bien plus fort encore que dans la salle. Ici, ils n’étaient pas dans une vulgaire salle de cours, mais au cœur de l’intimité de Pamela, dans son antre. Tout y était délicieux et calme, sensuel et chaud, comme un cocon, un délicieux cocon dont on n’arrivait tout simplement pas à se défaire. Pamela, indéniablement, se plaisait ici, et elle espérait que ce soit réciproque pour son brave partenaire.
En songeant à nouveau à ce dernier, Ivy retourna dans le monde présent, et baissa sa tête vers l’homme, cet homme qu’elle avait à nouveau emprisonné, et qu’elle emmenait encore un peu plus loin dans le monde de la perversion, en lui offrant désormais la perspective de pouvoir accomplir des choses dont il n’aurait jamais pu rêver... Comme le sodomiser. Les hommes, sur ce point, étaient étonnamment pudiques. Autant ils adoraient prendre une femme par l’arrière, et en fantasmaient, autant subir le même traitement les angoissait et les effrayait. Croyaient-ils donc que toutes les femmes avaient un talent naturel pour la sodomie ? A dire vrai, on rencontrait plus de femmes repoussées par cet acte sexuel, qu’attirées. La sodomie était quelque chose de très douloureux, d’instable et de nerveux.
« Heu..Je..Pamela... »
Pamela eut un léger sourire, et tendit son doigt, le posant sur les lèvres de Squall, caressant délicatement sa bouche, avant d’enfoncer son doigt entre ses lèvres. Elle eut un léger sourire, alors qu’un tentacule venait se glisser dans la bouche d’Ivy. Elle le suça brièvement, et le tentacule se retira ensuite, glissant sur la joue de Poison Ivy, qui se mit à parler, sur un ton sensuel et langoureux, toujours sur le même ton calme :
« Allons, ne fais pas ton timide, mon beau... Ainsi, tu sauras ce que nous, les femmes, nous ressentons, quand vous vous glissez en nous... Car je suis sûre que tu auras envie de le faire entre mes fesses... A moins que tu y aies déjà songé ? »
Allez savoir ce qu’un homme peut avoir à l’esprit... Pamela était bien placée pour savoir que ces derniers étaient du genre à être facilement excités, et elle eut donc un léger sourire, alors que l’un des tentacules, fin et léger, vint s’enfoncer dans son derrière. Celui qui était dans le postérieur de Pamela était un peu plus gros, mais elle était, après tout, plus talentueuse que lui dans ce domaine. Elle lui caressa les cheveux, et un tentacule ayant la taille d’une verge vint s’enfoncer dans sa bouche, remuant en elle, la faisant soupirer. Elle gémit langoureusement, ses jambes se serrant un peu plus fortement autour du corps de l’homme, et elle eut un long soupir, sentant le tentacule s’enfoncer en elle, lui offrant une délicieuse gorge profonde. Ses seins se retrouvaient encore à portée des lèvres de l’homme, mais des tentacules continuaient à s’approcher de lui, notamment un tentacule en forme de verge de chaque côté de ses mains.
Voir Squall s’occuper des tentacules de Pamela était une très bonne chose, confirmant l’envie de ce dernier de lui faire plaisir. Elle ne pouvait qu’apprécier cela. Un tel dévouement chez un homme, c’était une chose rare, et Pamela ne pouvait qu’apprécier ça.