Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une ligue ? ( Bruce Wayne )

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Liirzyn

Créature

Une ligue ? ( Bruce Wayne )

mercredi 01 août 2012, 23:22:42




A ceux qui se le demandent encore, je répondrais : Oui, Liirzyn hante toujours vos ruelles. Son petit regard sanguinolent vous immole encore dés qu'il se pose sur vous, et ses lames demeurent aussi aiguisées que ses propos. Vous aurez donc encore la (mal)chance de voir sa silhouette svelte et ses formes toutes neuves gambader allègrement sous vos lampadaires hoquetant leurs lumières. Mais, rassurez vous, maris trompeurs, politiciens influents ou autres cibles de vengeances personnelles dont cette chère brunette n'a rien à foutre : ce soir, elle ne vous cherchera pas de noises. Car, ce soir, Liirzyn n'est pas mandatée par une femme cocue. Et on ne lui a pas promis un maigre chèque contre un assassinat en bonne et due forme. C'est bien plus puissant que cela, l'offre qu'on vient de lui faire. Bien plus grisant, surtout.

Une ligue. Voilà ce qu'on vient de proposer à la solitaire. Depuis que Liirzyn a repris forme humaine, elle a quitté peu à peu la société qui l'emploi, une sorte d'agence regroupant les meilleurs tueurs à gages de la région, la Terre et Terra confondues. Les liens, à l'heure actuelle, sont presque rompus. Et voilà qu'on lui propose de rejoindre une ligue d'assassins. Oh, temporairement, connaissant la jeune femme. Cette dernière préfère la jouer louve solitaire, indépendante, éloignée de tout et de tout le monde. Mais, pour une fois, on lui propose d'assassiner un méchant. Vous savez, ce genre de personnes malsaines, repoussantes, puantes de vices en tout genre, les doigts tachés de sang. Et c'est avec un immense sourire conquis que la jeune femme lança un :

- D'accord.

Ra's al Ghul admit un sourire, lui aussi. Sa carrure impressionnante n'effrayait guère la jeune tueuse. Elle s'alluma une cigarette, rapidement, avant de lui tourner le dos pour jubiler silencieusement. Plus Liirzyn devenait humaine, plus elle ressentait. Tout en tachant de ne pas se laisser aller. L'idée de tuer pour sauver la planète ne la touchait que moyennement - ce n'est après tout qu'à 20 ans qu'elle avait pu toucher pour la première fois une fleur, n'en ressentant aucune émotion - mais l'idée de tuer tout court, ça, par contre ... C'était sa vie. Liirzyn, matricule 0904046385, était créée pour tuer. A la base, elle n'avait que l'allure d'une créature sanglante. Le fait qu'elle devienne peu à peu une femme n'était, selon elle, qu'une large erreur. Mais elle s'y faisait. Et ce type, là, qui avait fait appel à elle, détestait sûrement autant les humains qu'elle les méprisait. La base.

C'est alors vêtue de sa tenue habituelle - voir avatar - qu'elle quitta les lieux secrets dans lesquels on l'avait introduit tout aussi secrètement. Une enveloppe entre les doigts, un lance-flamme dans l'autre - Liirzyn aimait diversifier ses moyens de tuer, tout en conservant un Beretta et une lame toujours sur elle - elle se dirigea vers un café. Commanda un thé. Ouvrit l'enveloppe.

" Jonathan Baptister, surnommé Joe."

Liirzyn parcourut la suite sans rien dire, ne remerciant même pas le serveur pour le thé qu'il lui offrait. Ce Joe, elle devait le buter. Voilà. Cela lui allait parfaitement. Le reste, elle n'en avait cure. Alors la tueuse froissa la feuille, avant de la ranger dans une poche de sa veste jaune. Elle but le thé d'une gorgée, et quitta la pièce.

Ce soir, elle chasserait. Comme avant. Sa proie traînait dans les quartiers chics de Seikusu, aussi se dépêcha t'elle d'arriver sur la Grand Place de la ville, pour se poser sagement sur la fontaine, une clope au bec. Liirzyn se pensait seule, là, à attendre que ce Joe déguerpisse de son bar branché pour qu'elle lui offre un coup de lance-flamme dans le visage, histoire de toucher son chéque. Mais etait-ce vraiment le cas ?
Six petits enfants de cire vivifiés par l'énergie de la lune. Si tu l'ignores, je le sais ... Six plantes médicinales dans le petit chaudron ...  Cinq zones terrestres. Cinq âges dans la durée du temps. Cinq rochers sur notre soeur ... Quatres pierres à aiguiser, qui aiguisent les épées des braves ... Trois parties dans le monde, trois commencements, trois fins, pour l'homme comme pour le chêne ...



Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
Feu et Tonnerre. Pluie et vent. Tonnerre et feu ... Rien, plus rien. Ni aucune série. Pas de série pour le nombre un; la nécessité unique, le Trépas, père de la douleur; rien avant ... rien de plus ...

Bruce Wayne

Humain(e)

Re : Une ligue ? ( Bruce Wayne )

Réponse 1 jeudi 02 août 2012, 16:02:47

« Bruce, j’ai le nom de votre homme. Jonathan « Joe » Baptister…  et vous le trouverez  dans un café karaoké branché. Il y va tous les soirs. » résonna la voix dans l’oreillette du chevalier noir. Ce dernier, debout au bord d’un toit, leva le pied, et se laissa tomber dans le vide, bravant la gravité jusqu’à ce que sa cape ne se déploie et le fasse planer. Les quelques courants d’air chaud des cheminées et autres aérations lui permirent de rester suffisamment haut pour qu’il rejoigne le fameux café karaoké branché en un seul vol. Discret, il se percha en haut du bâtiment, attendant le bon moment pour intervenir. Joe, sans doute ivre, ne tarda pas à ouvrir la porte…

Joe a fait ses études dans le coin. Depuis toujours, il fait partie de ceux qui ne sont pas appréciés à l’école. Une sorte de geek assez mauvais dans presque tout ce qu’il entreprend. Il n’est bon que dans un domaine, la chimie, matière qui sauve sa scolarité. Jeune homme bedonnant, il est la risée de ses petits camarades, et leur victime. Brimé par les sportifs, ridiculisé par les grosses têtes, et humilié par les filles. Sa vie n’avait rien de très glorieux.
Il se vengera durant sa dix-huitième année, en utilisant ses dons pour la chimie pour empoisonner le punch et le buffet.Un geste qui coutera la vie à trois personnes de son lycée, et qui rendra malade la quasi-totalité des invités. Il évitera la prison pour un vice de forme. Deux ans plus tard, récidive, avec cette fois de plus lourde conséquence : Joe détruira volontairement les filtres d’une station d’épuration, et versera dans l’eau des métaux lourd. Résultat : toute une communauté agricole intoxiqué au plomb, et un troupeau complet de vaches tuées. Mais ce ne sont là que des coups d’essais. Des coups qui attireront l’œil de criminels plus connus. Ainsi il rejoint un groupe de bactério-terroristes, qui le pousse à perdre ses kilos en trop.

Les membres du groupe seront tous éliminés les uns après les autres de manière relativement étrange. Batman supposera que c’était là l’œuvre de la ligue des assassins, mais il ne pourra jamais le prouver, R’as étant bien trop intelligent pour laisser trainer de traces. Joe continuera toutefois, ajoutant à son palmarès des meurtres, mais aussi des viols, puisqu’il se décida à prendre une revanche sur les gens qui l’avaient brimés étant jeune.
Le chevalier noir avait entendu parler de lui il y a quelques jours. Jonathan était en ville mais restait introuvable grâce au petit réseau qu’il avait pu se faire. Introuvable oui, mais seulement pour les autorités. Batman, lui, avait finit par le débusquer… et il n’était pas le seul, mais ça, c’est une autre histoire.

Joe venait donc d’ouvrir la porte du troquet, sans doute avait-il bu beaucoup et qu’il ne s’attendait pas à voir un comité d’accueil. Avec un sourire idiot, il avait fixé la jeune femme assise près de la fontaine, et après s’être glissé une clope entre les lèvres, il avait amorcé un pas vers elle, avec l’idée de draguer. Un pas… c’est tout ce qu’il pu faire dans la direction de l’inconnue, car venu du ciel, Batman venait de fondre sur lui. Les deux pieds du chevalier noir s’étaient posés sur les épaules de l’homme, le précipitant au sol, et l’élan de l’homme chauve-souris l’avait à moitié écrasé contre les pavés. Il n’était pas mort, mais dans un piteux état ça oui. Lentement, Batman se redressa, et jeta un coup d’œil vers la demoiselle assise sur la fontaine.

« Vous devriez partir, la police ne va pas tarder. »

Il ne se doutait pas une seule seconde qu’il s’adressait à une tueuse à gage. Et encore moins qu’elle était mandatée par R’as.

Liirzyn

Créature

Re : Une ligue ? ( Bruce Wayne )

Réponse 2 jeudi 02 août 2012, 16:49:38



Dés lors qu'il s'était approché d'elle, Liirzyn avait cru mourir de joie. Intérieurement, je vous rassure. Car ses traits ne trahirent, à aucun moment, ce qu'elle pensait. Joe se dirigeait vers elle, avec cette lueur dans le regard qu'elle connaissait plutôt bien. Ce genre de petit éclair, là, pas très sain et sûrement pas suivi de pensées très catholiques. Alors, elle avait croisée gentiment les jambes, en bonne midinette. Liirzyn les avait observé, ces gamines qui cherchent à plaire. Une de ses anciennes collègues était d'ailleurs une reine, en ce domaine, et elle usait de ses attributs pour résoudre ses affaires. Si la brunette n'avait pas pu agir ainsi pendant une partie de sa vie, elle ne s'en privait pas désormais. Le lance-flamme dans la main, relié à un petit sac qu'elle portait en bandoulière, elle attendit, attendit, jusqu'à ce que ...

... Jusqu'à ce qu'il débarque. Batman. Celui qui allait payer la jeune femme - si elle parvenait à abattre ce type bedonnant dont la graisse jonchait les pavés - lui avait dit de se méfier de lui. Liirzyn, rapidement, se redressa, son arme serrée dans la main. Sa clope s'était éteinte. Peu importe. Elle enclencha son lance-flamme pour l'allumer, avant de l'éteindre.

- Laisse-le moi.

Ton impérieux. Pour changer. Les sourcils froncés, elle s'avança vers celui qui venait de faire foirer tout son plan, surtout son plan épargne*. La tueuse se retrouva bien vite à moins de deux mètres de Batman, son lance-flamme toujours bien serré entre ses doigts. Elle faisait même aller ses ongles dessus. Ces derniers, en rencontrant le métal de cette arme, émettaient un doux cliquetis plutôt entêtant. Sa cigarette mourrait peu à peu entre ses lèvres.

- Il est à moi.

Puis ce son cessa. Les cliquetis, je veux dire. Liirzyn leva doucement son arme, en direction du visage de Joe. Joe qui grommelait des mots incompréhensibles, essayant de remuer comme il le pouvait.

- Tu lui as fais mal, en lui tombant ainsi dessus. Il vaudrait mieux abréger ses souffrances.

Un léger sourire moqueur, un ton faussement inquiet, et son doigt commença doucement à appuyer sur le bouton de son lance-flamme, qui ronronna doucement, prêt à gerber ses flammes.



* Quec'estnul. J'ai honte.
Six petits enfants de cire vivifiés par l'énergie de la lune. Si tu l'ignores, je le sais ... Six plantes médicinales dans le petit chaudron ...  Cinq zones terrestres. Cinq âges dans la durée du temps. Cinq rochers sur notre soeur ... Quatres pierres à aiguiser, qui aiguisent les épées des braves ... Trois parties dans le monde, trois commencements, trois fins, pour l'homme comme pour le chêne ...



Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
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Bruce Wayne

Humain(e)

Re : Une ligue ? ( Bruce Wayne )

Réponse 3 jeudi 02 août 2012, 23:01:59

En général, les réactions des gens, devant une action du chevalier noir, ne sont pas comme celles de la femme qui se trouvent face à lui. Les gens décampent aussi vite que possible, préférant éviter d’avoir de près ou de loin rapport avec lui. Là, c’est différent. Déjà parce qu’elle s’avance vers lui, et deuxièmement parce qu’elle… lui ordonne de lui laisser l’homme ? Sur le coup, le détective reste pensif alors qu’il finit de se dresser, un pied au sol, l’autre posé entre les deux omoplates de Joe, écrasé sur le sol, les bras étendus à droite et à gauche, crucifié face contre terre.
Le justicier ne tarda pas à noter la présence de l’arme. D’abord, il prit ça pour une arme. Cette fille pouvait être un agent de police ? Drôle de tenue quand même pour un flic. Mais question vestimentaire, un homme qui se porte une armure de chauve-souris n’a pas vraiment son mot à dire. La flamme qui jailli de l’arme ne laissa plus aucun doute quant au type d’armement et fit grincer un peu les dents de Batman. Il n’aimait pas spécialement le feu. Sa cape et son costume sont peut être ignifugés le bas de son visage lui, reste nu, et une brulure risquerait de ruiner sa couverture.

« Il est à la justice. » rétorqua-t-il lorsque l’inconnue armée exigea celui qui semblait être son du. Mais ça ne suffit pas, elle avait l’air décidé à le transformer en toast. Bruce savait qu’il le méritait, un violeur assassin fou furieux est un dangereux pour l’humanité, mais Batman ne tue pas, Batman ne tolère pas qu’on tue non plus, alors, s’il fallait il se battrait pour sauver cette ordure.
Lorsqu’elle leva l’arme, Joe poussa un couinement craintif, difficile de ne pas le comparer à un gorêt qui comprend qu’on va le mettre à la broche. Le chevalier noir fut contraint de tirer de sa ceinture trois Batarang armant lentement sa main, prêt à lancer ces shuriken en forme de chauvesouris.

« Je n’ai qu’à suivre les tuyaux qui alimentent votre arme et viser les bidons pour qu’on meurt tous les trois… et croyez moi, je vise très bien. »

Il arma d’avantage sa main, comme s’il voulait mettre l’accent sur ce qu’il comptait faire. La réalité était bien différente. Réellement, il ne se risquerait pas à viser les bidons, percer ou couper les tuyaux suffiraient, et ce serait d’ailleurs bien moins risqué. Lentement, très lentement, il se pencha, pour se saisir de la ceinture de Joe, et le trainer en arrière en le faisant lamentablement et ridiculement glisser en arrière.

« En plus, tirer un coup de lance flamme ici… vous savez que ce n’est pas ce qui se fait de plus ingénieux… combien de temps avant que les flics débarquent ? Vous vous ferrez pincer en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Laisser la justice faire son boulot. »

Il lance un coup d’œil vers l’homme à la remarque de la femme au lance flamme. Effectivement, il lui avait fait mal… avec plaisir d’ailleurs, ce genre d’individus ayant pour habitude de faire perdre à Batman son sang froid. Qu’importe, le justicier finit par s’interposer entre l’arme et le criminel.

« Il a mal et… c’est tant mieux, il apprend que le crime ne paie pas… maintenant partez d’ici, vous n’avez pas encore franchi la limite… »

Quoi que… quand on se pointe armée d’un lance flamme, en général on a déjà un peu de bouteille question meurtre en tout genre, mais ça, le détective ne semblait pas vouloir le comprendre. 

Liirzyn

Créature

Re : Une ligue ? ( Bruce Wayne )

Réponse 4 jeudi 02 août 2012, 23:59:17



Franchir la limite ... La tueuse ne le faisait que trop bien, habituellement. Au point d'ignorer la définition même d'une limite. Jamais elle ne s'était faite pincer. Rapide, agile, elle avait tout pour être la parfaite meurtrière. On l'avait conçue ainsi, après tout. Quand il s'arma, son coeur se décrocha littéralement pour dégringoler dans sa poitrine, rebondir contre sa cage thoracique, avant de revenir sagement à sa place. Ce qui eut le mérite de déclencher un petit hoquet, suivi d'un rire. Liirzyn adorait se battre. Les défis, ça la faisait palpiter bien plus qu'un cacheton d'ecsta. Rire bref, bien entendu ... Elle n'était pas du genre à rire longuement d'un rire machiavélique, comme le faisait si bien certains. Mais l'ide même de se battre contre Batman, faut avouer que ça l'enchantait pas mal.

Alors elle ne recula pas, suivant juste du regard le corps ... presque inerte de Joe. Un haussement de sourcils. J'm'en vais te refroidir, moi. Puis son regard tomba sur son adversaire. S'il tranchait ses tuyaux, là, elle le vivrait plutôt mal. Son nouveau joujou lui avait coûté trois meurtres. Pas question de gâcher ça. Un regard affectueux pour son lance-flamme.

- La Justice ... Ça m'irait bien, non, comme nouveau nom ?

Sourire narquois, amusé, pas très sain.

- Un justicier masqué ne risquerait pas sa vie pour un petit con qui se croit plus malin que les autres, mh ? La mienne, par contre ... On m'a offert un trop gros pactole pour que je laisse quelqu'un se mettre en travers de mon chemin. Même "Batman".

Liirzyn avait toujours cette voix sifflante, moqueuse, de celle qui s'en fout. Des autres, d'elle même parfois. Elle ne vivait que pour ce qu'elle était faite. Assassiner. Alors Liirzyn ne baissa pas son arme ...

- Le crime paie, mon cher. Il me permet même de vivre.

... Mais, cette fois, elle la dirigea très nettement vers Batman. Visant le visage, pour être plus précise. La petite brune n'avait pas l'habitude de faire les choses à moitié. Une pression, puissante, violente, dans sa direction. En espérant, pour elle et son compte en banque, qu'il n'ait pas le temps de réagir.
Six petits enfants de cire vivifiés par l'énergie de la lune. Si tu l'ignores, je le sais ... Six plantes médicinales dans le petit chaudron ...  Cinq zones terrestres. Cinq âges dans la durée du temps. Cinq rochers sur notre soeur ... Quatres pierres à aiguiser, qui aiguisent les épées des braves ... Trois parties dans le monde, trois commencements, trois fins, pour l'homme comme pour le chêne ...



Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
Feu et Tonnerre. Pluie et vent. Tonnerre et feu ... Rien, plus rien. Ni aucune série. Pas de série pour le nombre un; la nécessité unique, le Trépas, père de la douleur; rien avant ... rien de plus ...


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