Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

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Roka

Humain(e)

Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

mercredi 18 avril 2012, 22:18:04

[Yamagashi-Sensei & Roka arrivent du réfectoire ]

Le duo sortit du réfectoire, chancelants. Le chemin de leurs chaises à la porte leur avait semblé des heures : Déjà, parce que tous les regards suivaient leur progression dans la salle, et même le volume des voix semblait avoir diminué… De plus, Roka était persuadé que tous les regards étaient braqués sur la belle bosse bien évidente qui transparaissait sous son pantalon, bien qu’il essayât vainement de la cacher derrière son plateau. Enfin, le parcours leur paraissait long car au comble de l’excitation, ils n’attendaient qu’une chose : s’échapper de ce réfectoire afin de se livrer à leurs pulsions dévorantes.

Cela ne faisait même pas une heure qu’ils s’étaient rencontrés pour la première fois, et déjà, une sorte de complicité –Ou tout simplement une extraordinaire force d’attraction ?- s’était installée entre eux.

Dès que la porte se referma derrière eux, Roka bondit sur la jolie rousse. Il lui avait fallut moins de deux secondes pour s’assurer que le couloir était désert. De toute façon, son désir était si grand que sa vue et son ouïe étaient brouillées. Il saisit le visage de la jeune femme entre ses mains, et l’embrassa à pleine bouche. Emportés par l’élan du professeur de sport, ils titubèrent tous les deux et s’échouèrent contre le mur.

Prenant à peine le temps de reprendre son souffle, il l’embrassa de nouveau, chaque fois avec plus de précipitation et de d’intensité. Ses mains glissèrent le long du cou de la jeune femme, de ses épaules, de son buste. Sa main droite se glissa sous son chemisier, une nouvelle fois, tandis que sa main gauche s’égarait sous sa jupe.

Ses doigts se faisaient plus pressants que précédemment, dans le réfectoire. Il tira sur le soutien-gorge détaché d’Hitomi, afin de le dégager un peu plus, mais ne pu l’enlever totalement car il aurait fallut qu’elle se débarrasse également de son chemisier, ce qui n’était pas du tout dans son esprit à ce moment là. Il agrippa son sein droit, tellement voluptueux qu’il tenait à peine dans sa main, pourtant grande. Pendant ce temps, sa main gauche s’était arrêtée sur la culotte de la demoiselle, et il remarqua en descendant les doigts qu’elle était un peu humide au niveau des grandes lèvres. Cela l’excita davantage, et il se colla encore plus contre elle, son érection appuyant sur le bas ventre de la professeure.

Tout cela s’était passé en un éclair, dans un concert de respirations saccadées. Roka n’avait pas prononcé un mot depuis qu’ils avaient quittés le réfectoire, l’esprit complètement occupé par sa charmante collègue.

Il commença à planter de brûlants baisers dans le cou de Yamagashi-Sensei.
Roka, professeur de sport à Seikusu
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Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

Réponse 1 vendredi 20 avril 2012, 20:04:09

Ça n'a pas fait un pli, à croire qu'on a vraiment frôlé l'exhibitionnisme de très près. Il m'a sauté dessus à trois pas de la porte pour m'embrasser sauvagement et me piéger entre le mur son corps musclé. Est-ce que ça me surprend ? Je sais pas et je n'en est rien à faire : je suis trop excitée. Il est fort, impétueux, aussi irrépressible que le désir qu'il provoque. Et il monte à l'assaut pour me conquérir. Qu'est-ce que c'est bon ! Après tout les plans bizarres et les jeux tordus que cette ville balancé au visage, c'est grisant de ressentir ça. J'ai envie de me défouler en toute simplicité, avec un homme qui va droit au but sans me faire passer par ses mises en scène perverses.

Je rougie, mais seulement parce que je brûle de l'intérieur. Mon cœur bat la chamade et tout mon corps frissonne. Les mains de Roka me rendent folle. L'une d'elle tire sur mon soutien-gorge pour se glisser en-dessous. L'autre s'aventure déjà entre mes cuisses pour découvrir à quel point je souffrais d'attendre dans cette foutu cantine scolaire. Mais je ne reste pas passive sous ses caresses et ses baiser. Mes mains aussi explorent son corps avec avidité, passant sous son survet' pour palper sans vergogne son corps si délicieusement bien taillé. J'aurais voulu lui rendre la politesse qu'il me fait, mais il s'en charge assez bien tout seul en pressant son érection contre mon bas-ventre.

Quand ses lèvres descendent dans mon cou je penche la tête en arrière pour mieux en profiter. Ses muscles ne sont pas en béton, non. Le béton c'est dur, c'est froid, sec, rugueux. Rien à voir avec ce que mes doigts touchent et qui fait pleurer de joie la petite fente entre mes cuisses. Ce que j'ai entre les mains est du bois brut. Fort et ferme, mais doux et tendre au touché. Ça vibre et ça frissonne rien que pour moi.

" Haaaaa... Rokaaaaaaa... "

Même ton nom m'excite quand je le soupire. Prend-moi maintenant ! Soulève-moi comme une poupée de chiffon et emmène-moi loin. Porte-moi dans tes bras, couvre ma peau de tes lèvres, complète mon corps avec le tien. Je te veux tout entier avec moi, contre moi, en moi. Cinq minutes que je t'attends, une éternité que tu me manques.

Mes deux mains descendent sur son corps pour empoigner tendrement ses fesses musclées. Je le presse contre moi, ondulant mon corps exciter encore plus son sexe qui palpite à travers le tissu. Aucun mot ne peut être aussi enivrant que cette sensation, que le rempart de tissu rend aigre-douce. Je n'en peut plus de le frôler à travers cet obstacle. Je m'écarte soudain juste assez pour faire revenir ma main droite. Je la glisse dans son pantalon pour caresser son membre tendu. Tout mon corps frémit alors que mes doigt l'effleure à peine. C'est doux, et brûlant. J'en ai la tête qui tourne.

Roka

Humain(e)

Re : Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

Réponse 2 vendredi 20 avril 2012, 21:22:49

Deux corps brûlants, haletants, pressés l’un contre l’autre. L’atmosphère est à la fois moite et électrique. Les mains de Roka tremblent sous l’excitation. Il est grisé par ce qu’il est en train de vivre, mais s’en rend à peine compte tant son cerveau est empêtré dans une mélasse de désir et de pure jouissance. Aussi loin qu’il s’en souvienne, jamais il n’a vécu ce type de situation, ou le sexe s’impose comme une évidence, un accomplissement, et où la passion est si grande qu’aucun des deux partenaires ne se soucie de problèmes superficiels comme de réaliser une « performance ». Du sexe brut, animal, parfait.

Le contact des douces mains d’Hitomi sur sa peau le rend de plus en plus pressant. Leurs peaux deviennent peu à peu moites, et pourtant, il frissonne sous ses caresses.
Elle soupire son nom, et cela donne à Roka un nouvel élan. Sa main tressautante se fraye un chemin dans la culotte de la belle. Il pose ses doigts contre sa fente humide, appuie et caresse son clitoris. En temps normal, il aurait fait ça mieux, se serait plus appliqué. Mais là, avec ses mains tremblantes et le plaisir que lui procure la professeure en caressant son pénis, cela relève du miracle qu’il ait réussit à atteindre son but.

Pendant ce temps, son autre main quitte la poitrine généreuse de la belle pour défaire à la hâte le nœud qui ferme son jogging. Il tire un peu n’importe où, doit s’y reprendre à plusieurs fois. Il réussit enfin à s’en libérer, et descend caleçon et jogging d’une main, juste ce qu’il faut pour laisser sortir son membre dur et tendu vers le ciel. Ce dernier, même s’il ne pourrait concourir avec le pénis d’un colosse, est tout de même de belle taille. En tout cas, aucune de ses précédentes conquêtes ne s’en était jamais plainte ! Mais à l’instant présent, c’était de toute façon le cadet de ses soucis… Il est tellement excité qu’un peu de liquide séminal transparent s’en écoule…

Lui qui embrassait jusqu'à lors la clavicule de la jeune femme, descend ses lèvres au niveau de la poitrine de la demoiselle. L’intéressée se retrouve d’ailleurs toute débraillée, un bouton ou deux de son chemisier ayant sauté sous les assauts de son collègue. Il embrasse fiévreusement ses seins, donne des coups de langue sur l’un de ses tétons, soyeux et durci par le désir.

Il lui retire alors sa culotte de ses doigts ruisselants de la mouille de la demoiselle. Il cesse de bécoter les seins de sa partenaire pour la regarder fiévreusement dans les yeux. De deux doigts, il écarte un peu les petites lèvres, de l’autre main il soulève le genou gauche d’Hitomi. Enfin, il la pénètre de son membre dans sa totalité, avec précipitation et donc sans grande délicatesse. Il a à peine le temps de faire un va-et-vient et d’apprécier l’étroitesse de son vagin que la sonnerie se déclenche. Il faut faire vite, dans quelques secondes les étudiants se rueront dans le couloir… Dans la panique, il se retire, ne prend même pas la peine de remonter son jogging et entraîne sa collègue par la main.

Ils courent un peu au hasard, ouvrent la porte de la bibliothèque et s’y engouffrent. Heureusement pour eux, la responsable n’est pas encore revenue de sa pause déjeuner. Ils se font cependant discrets car un élève lit une Bande Dessinée dans un coin de la pièce. Son casque sur les oreilles, il n’entend pas les deux professeurs passer à pas de loup derrière lui.
Roka se retourne vers sa séduisante collègue et l’attire entre deux rayonnages. Il la soulève, la plaque contre le mur du fond, et la prend sans plus de cérémonie, toujours en la portant. Étant sportif, il peut se permettre cet exercice mais ne tiendra sûrement pas longtemps. Dans cette position, il est au plus profond d’Hitomi, la gravité aidant. Il la repose bientôt, et lui redonne des coups de reins, avec de plus en plus de sauvagerie. Il sent déjà la jouissance le guetter…


« Tu es épatante… Hitomi… Je sens déjà que je vais… »


Il ne finit pas sa phrase car il ne retrouve plus les mots. De toutes façons, c'était plutôt clair, et la jeune femme l'a compris. Il essaie à grand peine de retenir ses halètements et plaque sa main sur la bouche d'Hitomi pour être sûr qu'on ne les entendra pas...
Roka, professeur de sport à Seikusu
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Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

Réponse 3 vendredi 20 avril 2012, 22:39:16

Quand il descend dévorer ma poitrine je ne peux plus me retenir de masturber le membre qu'il vient enfin de libérer. L'air lourd autour de nous, comme si l'orage couvait, et la tension qui ne cesse de monter l'alourdit encore à chaque instant. Roka harcèle ma poitrine, aussi avide qu'un animal affamé. Je voudrais en faire autant, d'une certaine façon, mais je n'ai que ma main pour l'exciter. Et ça semble suffire car bientôt c'en est trop, autant pour lui que pour moi. Il tire ma culotte vers le bas et je remue les jambes pour la faire tomber à mes pieds. Je me mordille la lève en baissant les yeux alors qu'il lève ma cuisse. Ses doigts ouvre le passage vers lequel je guide son membre tendu. Enfin !

J'ouvre grande la bouche mais j'arrive à retenir un gémissement quand son gland vient pousser à l'entrée. Je regarde son membre disparaître entre mes cuisses, puis lève la main jusqu'à mon visage pour mordre un de mes doigts. C'est ça ou je me mets à crier de plaisir, et ça m'excite encore plus. Tout mon corps se tend alors qu'il s'enfonce en moi jusqu'à la garde, sans perdre de temps ni paraître violent. Ou suis-je trop excitée pour le ressentir autrement ? J'ai l'impression d'attendre ça depuis une éternité, et le résultat est largement à la hauteur.

Soudain la sonnerie nous fait sursauter. Retour à la réalité, en mode panique. Il s'enfuit de moi, puis nous fuyons tous deux dans le couloir. Ce n'est qu'une question de seconde, ce couloir va grouiller de monde. je ne peux m'empêcher de rire alors qu'il m'entraîne par le bras. Les collègues et les élèves auraient de quoi papoter s'ils nous voyaient. Le nouveau prof de sport l'engin à l'air, qui se balance bien tendu à chaque enjambée. Et qui le suis, complètement débraillée, presque la poitrine à l'air et la jupe relevée. On aurait du mal à leur faire avaler que ce n'est pas ce qu'ils pensent.

Heureusement Roka emploie ses neurones à autre chose, et pousse finalement la porte de la bibliothèque. Nous filons à pas de loup pour nous perdre dans les rayons, et trouvons bientôt un mur pour reprendre où on s'est arrêtés. Un instant j'ai l'impression d'être sur un manège. Il me plaque dos au mur, et me saisit par les cuisses. Je décolle du sol pour redescendre droit sur pieux brûlant. Il m'empale à nouveau jusqu'à la garde, et j'ai bien du mal à ne pas hurler de plaisir cette fois. Je me cramponne à ses épaules et me mord la lèvre presque jusqu'au sang alors qu'il commence à aller et venir brutalement en moi.

" Tu es épatante… Hitomi… Je sens déjà que je vais… "

Si j'ouvre la bouche, tout le lycée nous tombera dessus avant qu'on ait le temps dire "viré". Il semble bien le comprendre car il écrase sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier. Il va... Il va ! Et je n'attend que lui pour jouir aussi. Je l'implore du regard, et des plaintes que sa main étouffe. Tout mon corps tremblant le supplie, de mes cuisses ouvertes à mes mains crispées sur ses épaules. Ces dernières ont du mal à tenir en place. Son sweat glisse chaque fois que je m'y agrippe. Je le saisis, le tire, mais dois toujours le relâcher pour trouver une autre prise. D'autant que je ne m'y agrippe pas pour me serrer contre Roka, ça non. Je le repousse des bras, prenant appui des épaules contre le mur pour pousser toujours plus mon bassin en avant.

Et soudain la vague nous emporte. Roka s'enfonce jusqu'au plus profond de moi. Je me fige, incapable de seulement respirer, le corps entier tendu jusqu'à la moindre fibre de mes muscles. J'en tremble tellement que je m'écroulerais s'il ne me soutenait pas. Un flot de semence se répand en moi, diffusant sa douce chaleur qui m'envahie. Mon corps pétrifié est soudain secoué par un spasme, qui autorise enfin mes narine à relâcher un court souffle. Puis un autre, et encore un autre. Je recommence à respirer, mon corps se détend peu à peu.

J'ai le tournis. Mais yeux roulent et je n'arrive pas à les en empêcher. Roka libère enfin ma bouche et je peut reprendre mon souffle en me blottissant contre lui. Je voudrais lui dire quelque chose, mais à tous les coups je vais sortir une énormité. Je ne trouve pas de mot qui convienne. c'était si rapide, pas trop court. C'était... Immédiat, animal, parfait. Le plaisir le plus rapide et intense que j'ai jamais ressenti, et nous sommes tous les deux allés au bout. Je pose là tête sur son épaule.

Alors que nous reprenons tous les deux notre souffle, je baisse les yeux vers le sol, puis j'aperçois ma chaussure. je penche un peu la tête pour voir ma cheville, et bizarrement quelque chose me gêne. Il y a un truc qui me titille, mais ça n'a rien de sexuel. Qu'est-ce que j'ai bien pu... Ho non ! Pas ça ! Sans prendre le temps de m'expliquer j'écarte un peu Roka pour regarder mon autre cheville. Merde ! Je relève vers lui un regard paniqué.

" J'ai perdu ma culotte. "

Ma culotte trempée de cyprine. Elle doit traîner dans le couloir... Si personne ne l'a ramassée.

Roka

Humain(e)

Re : Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

Réponse 4 samedi 21 avril 2012, 01:23:05

Un immense bien-être envahit Roka tandis qu’il déversait sa semence au plus profond d’Hitomi, avec une de ces grimace étrange dont les hommes ont le secret au moment de la jouissance. Cette sensation lui était bien évidemment familière, mais cette fois c’était différent. Au final, leur ébat n’avait duré que quelques minutes, mais ces quelques minutes avaient été si intenses et fortes que le dénouement avait été ressenti comme un feu d'artifice.

Le jeune homme se décrispa peu à peu, toujours en elle. Il est bien ici, il n’a pas envie de partir. Elle se blottit contre lui et il l’entoure de ses bras, enfouit son visage dans ses cheveux de feu. Cela fait bien longtemps qu’il n’avait pas eu ce genre de réflexes tendres avec une femme. Prenant conscience de cela, il s’écarte d’elle et se retire. Il remarque qu’un peu de cyprine et de sperme coulent le long de l’intérieur de sa cuisse. Mais elle a l’air préoccupée par autre chose, fixe ses pieds en fronçant les sourcils. Soudain, elle relève la tête vers lui, les yeux agrandis par la panique :

" J'ai perdu ma culotte. "

Le professeur de sport ne peut s’empêcher de s'esclaffer : la situation est vraiment cocasse. Il repense à leur course effrénée dans les couloirs, à moitié nus, essoufflés et rougissants, et il rit de plus belle. Ça devait être assez ridicule, vu de l’extérieur ! Comme à son habitude, il ne peut s’empêcher de la taquiner :

« Oh non, moi qui comptait la garder en trophée… »

A vrai dire, il n’a aucune idée de l’endroit où pourrait  se trouver ses dessous. Ses souvenirs sont surtout une ribambelle de sensations, et une suite de flashes un peu flous : les tâches de rousseur d’Hitomi, les visages des collègues, les seins d’Hitomi, une porte, l’expression de jouissance d’Hitomi… Mais point de petite culotte…!

« J’imagine que nous sommes partis pour un commando récupération de lingerie alors ! »

Il remonta son boxer puis son jogging, réajusta son sweat et son t-shirt tandis que la jolie rousse s’arrangeait de son côté. Lorsqu’ils ressortirent, la bibliothécaire était à son bureau. Roka la salua aimablement, croisant les doigts pour qu’elle ne se pose pas de question à propos de leurs cheveux en bataille et de leurs pommettes rougissantes.
Le professeur suivit la jeune femme dans le couloir. Les élèves y étaient omniprésents et déboulaient de tous les côté, obligeant les deux adultes à marcher l’un derrière l’autre. Roka ne pu s’empêcher de mater les fesses d’Hitomi, qu’il tenait dans ses mains il y a trois minutes à peine…
Ça se voit qu’elle ne porte rien en dessous, pensa-t-il. L’excitation affluait de nouveau en lui…
Profitant d’un arrêt pour laisser passer un groupe de lycéens, le jeune homme glissa discrètement sa main sous sa jupe et malaxa sa fesse droite. Puis, toujours derrière elle, il s’approcha et glissa un doigt dans son intimité…
Roka, professeur de sport à Seikusu
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Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Dessert entre collègues... [PV Yamagashi-Sensei]

Réponse 5 dimanche 22 avril 2012, 21:00:55

" Arrête de rire. On aurait aussi bien pu s'envoyer en l'air au milieu de la cantine. "

Moi et ma grande gueule. Après ce coup formidable je trouve le moyen de m'exciter sans faire exprès. Une fois à peu près présentables nous quittons la bibliothèque. Génial ! C'est noir de monde dans les couloirs. Va retrouver une culotte entre tous ces pieds, et surtout va la chercher discrètement. Dire que je suis dans ce couloir, au milieu de centaine d'élèves, nue sous ma jupe. Ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, mais là un homme vient d'éjaculer en moi. Si ça se mettait à couler entre mes cuisses ? Et merde !

Qu'est-ce que je suis venue faire ici ? J'aurais du rester à la bibliothèque et attendre que ça passe. Après tout c'est pas comme si je brodais mon nom sur mes petites culottes. Dans ce lycée les sous-vêtements égarés ne sont pas si rares. On les perd, on les piques, il y en a même qui les vendent. Tant pis pour ma culotte. mais maintenant que je suis là qu'est-ce que je fais ? Pas de panique, Hitomi ! Marche, respire et fait gaffe ! Une seconde de plus et je jouais au bowling avec un groupe d'élèves qui débouchent du couloir.

Je m'arrête et m'efforce de sourire sans avoir l'air trop crispés alors qu'ils passent en me saluant. Soudain je me fige. Quelqu'un vient de glisser sa main sous ma jupe pour pétrir une fesse. Trop surprise je n'ose pas bouger. Ça ne s'arrange pas quand une deuxième main passe devant pour venir glisser un doigt dans mon intimité. Je sens mon "agresseur" dans mon dos, tout contre moi. Roka, je n'ai même pas besoin de me retourner pour le comprendre. Et il est toujours aussi pressant. Heureusement la sonnerie de reprise des cours couvre le petit cri que m'arrache cette pénétration inattendue.

Je baisse la tête en espérant cacher ma gêne... Et mon excitation. C'est la première fois qu'on me touche comme ça devant autant de gens. j'en ai les jambes qui tremblent. Très vite les couloirs se vident. J'attends jusqu'au dernier claquement de porte pour enfin m'autoriser un soupir. Même vide ce couloir est toujours aussi effrayant, et excitant. Quelqu'un pourrait arriver. Il me trouverait là, complètement offertes aux mains qui s'activent sous ma jupe.

Inutile de lutter. Ce que nous avons fait dans la bibliothèque était extraordinaire, mais nous savions tous les deux que ce n'était qu'un début. Et la suite est déjà en marche. Je tiens à peine debout et ça empire à chaque seconde. Je passe une main dans mon dos pour partir à la recherche de la queue qui a encore tant de promesses à tenir. ici et maintenant, alors que derrière tous ces murs les élèves et les collègues doivent encore être en train de déballer leurs affaires... Dans le contexte je reconnaît que l'image est tendancieuse.

Mais c'est que j'ai une belle affaire à déballer, moi. J'en ai tellement envie, ici et maintenant pendant qu'on est seuls, et alors que n'importe qui pourrait nous surprendre. Il n'y a aucun recoin où se cacher dans ce couloir, toutes les salles alentour sont occupées. Les murs sont cachés par les casiers métalliques des élèves, ont ne peut même pas se tasser quelque part sans faire un boucan monstre. Non, ici, pile ici, bien au milieu du couloir.

Toujours sujette au vertige des sens, je saisis les poignets de Roka pour les éloigner de mon bassin. Puis je me retourne pour me pendre à son cou et l'embrasser à pleine bouche. Je me presse contre lui comme si je voulais faire disparaître nos vêtements rien qu'en les écrasant. Puis je m'écarte un peu sans rompre nos jeux de langue, juste assez pour passer une main entre nos deux corps. Je la fais lentement glisser sur ses abdos, ces muscles qui l'ont puissamment poussé en moi il y a à peine deux minutes. Et c'est à mon tour de passer sous son vêtement pour cajoler son sexe du bout des doigts.

" Deuxième round... Tu peux encore gagner mon soutif comme trophée. "


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