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Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

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Lily Hayes

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 15 mercredi 25 avril 2012, 07:03:31

[HRP : Vaut mieux pas que tu lui dises qu’elle n’est pas la plus belle avec laquelle tu as copulé. Elle risquerait de se vexer xD Surtout qu’au naturel, Lily est d’une rare beauté.]

Pour sa part, les différences vampiriques terrano-terriennes n’intéressaient nullement la Reine. Non pas qu’elle soit négligente, mais il y avait tant de choses plus intéressantes encore, comme la science et autres trucs du genre, mais pour l’instant, il s’agissait surtout du plaisir qu’elles pouvaient s’accorder mutuellement. Et elle ne se faisait aucun souci; les vampires de l’Autre Monde ne représentaient pas une menace pour elle, et s’Ils tentaient

Les mains de sa compagne s’aventurèrent sur son corps, pour son plus grand plaisir. Elle détestait la passivité. À la rigueur, si elle avait essayé de s’échapper, cela aurait été encore plus amusant, mais elle faisait souvent avec ce qu’elle avait. Elle savoura avec délice l’instant où Mélinda glissa une main dans sa chevelure. Ses lèvres se lièrent à nouveau aux siennes, et elle releva son postérieur pour coller son torse contre celui de son amante, prolongeant le plus longtemps possible ce contact si rassurant, si chaleureux. Elle ne put retenir un petit gémissement lorsqu’elle sentit sa petite culotte frotter un peu douloureusement son clitoris et sa raie alors que son amante tirait sur le vêtement. Celle-là, on ne le lui avait jamais fait, et ce n’était pas si déplaisant. Surprenant, certes, mais elle n’avait rien contre un peu d’inconfort. Mais elle fut certainement surprise lorsque son amante la renversa d’un coup brusque, la plaquant contre le lit, ses longues jambes bien écartées dans une position bien indécente, mais certes pas plus gênante que cela pour la Reine lubrique. La sensation étrange d’un organe particulier se collant contre son shortie la surprit, et pas qu’un peu, mais elle laissa ce détail passer sous silence lorsque son amante revint l’embrasser.

-Hmmm… faisait la Reine.

Elle referma doucement ses jambes, par reflexe, sur les hanches de son amante en prolongeant ce si doux baiser, resserrant l’étau de ses bras sur elle, alors que ses ongles s’enfonçaient légèrement dans le dos de sa compagne, refusant de la laisser s’échapper. Mélinda lui murmura qu’elle serait peut-être celle qui la dévorerait. Eh bien, elle ne demandait qu’à voir cela! En attendant, elle se laissait totalement faire. Elle sentit alors les doigts de son amante se glisser dans ses lèvres humides. Normalement, elle les lui aurait simplement tranchés d’un coup de dents, mais en ce moment, elle ne se sentait aucunement vexée ou menacée dans sa fierté. Elle lécha et suça coquinement les deux fins doigts de Mélinda, jusqu’à ce qu’elle les retire pour les glisser plus bas, de plus en plus, jusqu’à atteindre son intimité, arrachant un soupir de plaisir à la Reine. Cela faisait si longtemps que personne n’avait démontré d’initiative au lit, et un peu d’originalité ne pouvait que lui être agréable.

-Rêve toujours, ma jolie, rétorqua-t-elle en renversant une nouvelle fois sa compagne, collant encore une fois son corps au sien.

C’est alors qu’elle sentit une nouvelle fois une étrange bosse et qu’elle baissa la tête pour y voir un chapiteau bien dressé [comme tu en parles, je me dis que c’est parce que son état hermaphrodite est actif]. Elle étira un étrange sourire et elle retira doucement le sous-vêtement de sa compagne, dévoilant ainsi son sexe moite et son membre érigé pointant fièrement vers le plafond.

-Oh… je me disais bien que c’était curieux…

La jeune femme commença à caresser le membre de sa compagne d’un index en frôlant les lèvres de son amante d’un doux baiser, puis elle enroula ses doigts autour de la verge qu’elle commença à masturber tout doucement. Elle n’avait absolument aucune inquiétude. Pour elle, une personne ayant deux sexes n’avait rien de plus qu’un extra. Comme quoi un défaut peut devenir rapidement une qualité selon la personne qui… le tenait en main. Après quelques secondes de caresses manuelles, la Reine colla un petit baiser sur les lèvres de son amante et descendit en parsemant son corps de petits baisers, le caressant également de sa main libre. Alors, son visage atteint le sexe dur et fier de son amante. Elle ramena ses cheveux derrière sa tête pour éviter de les salir et elle se pencha sur le pénis pour le laper doucement de sa langue aussi froide que neige.

Bien qu’elle fût très orgueilleuse, la Reine n’avait aucun vrai tabou au lit. Sa chambre était un lieu où elle s’autorisait d’être elle-même. Autant qu’elle était une femme particulièrement chiante et méchante, elle restait une femme ayant certains besoins et désirs secrets, comme tout le monde. Elle ne recherchait pas l’amour, et pour être honnête, elle n’en avait rien à faire, mais elle aimait sentir la peau d’une autre personne contre la sienne. Le plaisir et le désir étaient les deux rares sentiments qu’elle considérait honnête chez n’importe quel représentant d’une espèce quelconque. Tout cela pour dire que pour elle, aucune pratique sexuelle n’était dégradante.

-Je n’ai jamais rencontré une hermaphrodite auparavant… on en parle beaucoup chez certains animaux, mais je ne savais pas qu’il y avait des êtres humanoïdes dotés de deux sexes…

Mélinda Warren

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 16 mercredi 25 avril 2012, 19:43:10

[HRP – Ne t’en fais pas ; c’est juste que le côté punk de Lyli attire Mélinda autant qu’il la repousse ^^]

*Brrr, elle est aussi glaciale qu’un glaçon... Sa peau... C’est curieux... J’espère que ce n’est pas commun à tous les vampires terriens...*

Pour Mélinda, inversement à Lyli, elle était réellement intéressée par ces différences, et ce qu’elle pouvait d’emblée constater, c’est que le plaisir sexuel ne parvenait pas à réchauffer le corps de Lyli, qui était aussi froid qu’une couche de banquise... Bon, la comparaison était peut-être un peu exagérée, mais elle reflétait l’état d’esprit de Mélinda. Or, la vampire ne doutait pas que la petite Lyli était excitée. Il suffisait de voir son regard, les tremblements de son corps, la manière dont elle suçait ses doigts. Quand Mélinda avait glissé dans ses lèvres ses doigts, elle avait cru lire plusieurs choses dans le regard de Lyli, comme si elle était initialement offusquée, puis surprise, et satisfaite. Chef de clan vampirique, elle ne devait sans doute pas être habituée à ce quelqu’un ose faire des actes qui pouvaient la dégrader.

Mélinda souriait malicieusement, amusée. Lyli finit par la retourner, et elle sentit alors ce morceau qui dépassait du corps de la vampire. Elle avait fait sortir son pénis, et il était trempé, imbibé de la cyprine qui traînait dans le vagin de la vampire. Lyli dut enfin sentir cette bosse qui dépassait, et elle entreprit d’ôter le dernier vêtement que Mélinda possédait encore sur le corps, à l’exception de ses bottes et de ses gants : sa noirâtre culotte, qui était déformée par une grosse bosse. Lyli inspecta ce sexe avec ses doigts, faisant gémir Mélinda. La petite vampire se tortilla sur le lit, subissant des relents de plaisir, des vibrations qui remontaient dans tout son corps.

Elle avait une belle érection, sans vraiment pouvoir s’en expliquer l’origine. Elle et Lyli n’avaient pour l’heure fait que s’échanger quelques baisers, mais ça n’empêchait pas que Mélinda soit excitée comme une puce... Sûrement à l’idée de faire l’amour avec une vampire aussi originale. Elle avait un look que Mélinda n’aurait pas, en d’autres circonstances, hésité à qualifier de « clocharde », mais elle se devait d’admettre, en son for intérieur, qu’il se dégageait de ce corps un certain charme, un peu bestial, et bien loin des goûts habituels de la vampire.

« Haa... » soupira d’aise Mélinda sous les caresses de la vampire.

Elle eut droit à un tendre baiser, qu’elle répondit. Lyli alla alors glisser sur tout son corps des baisers, glissant ainsi, et, en sachant qu’elle se dirigeait naturellement vers sa verge, Mélinda en sentit un nouveau frisson d’excitation. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait, rythmant le plaisir intense que la jeune vampire éprouvait. C’était dur... Dur de rester calme, de se contrôler, de se laisser aller... Elle avait envie que son sexe s’enfonce quelque part, que quelqu’un vienne le satisfaire...

*Par l’Enfer, est-ce qu’elle ne voit pas dans quel état je suis ?!*

Lyli atteignit son sexe, et un nouveau frisson parcourut tout le corps de Mélinda. Ramenant prudemment ses cheveux, Lyli commença alors à lécher avec sa langue, renforçant encore plus l’impatience de la vampire. Quand elle sortait son sexe, c’est que Mélinda était excitée, car ce membre parvenait à drainer en lui toutes les couches de plaisir du corps de Mélinda. On pouvait embrasser ses lèvres et ses seins, mais c’était bien différent quand le pénis était là ; toutes ses autres zones érogènes semblaient d’un coup bien moins sensibles.

La Reine lui avoua qu’elle était sa première hermaphrodite, répondant en ce sens à une question que Mélinda se posait. Quand elle compara cette faculté à celle des « animaux », un petit rire traversa les lèvres de la vampire. Soupirant, cette dernière entreprit de lui donner quelques informations, s‘appuyant sur ses avants-bras puis sur ses mains pour se relever.

« Je suis sûr qu’il doit aussi exister des hermaphrodites sur Terre, Lyli, mais sûrement en quantité réduite par rapport à ce qu’il y a sur Terra. Certaines femmes naissent avec un tel appendice ; on dit même qu’il existe un groupe de femmes sillonnant Terra dont la particularité est d’avoir des sexes masculins. Certaines ne peuvent pas le rétracter, mais moi, je le peux. J’ai obtenu ce sexe suite à une opération chirurgicale et magique quand j’étais petite... »

A l’origine, elle n’avait pas été consentante. Pas du tout, même, mais elle n’était pas vraiment en mesure de s’opposer à la volonté de son père, qui avait vendu sa belle fille à une mégère. Ladite propriétaire lui avait greffé ce sexe afin que Mélinda soit plus attractive. Avec le recul, Mélinda considérait maintenant ce sexe comme un avantage, mais un avantage qui apparaissait uniquement du point de vue du plaisir. Le sperme de Mélinda était, comme sa cyprine, inféconds. Impossible d’engendrer une progéniture. Accessoirement, il est bon de signaler que, malgré la présence de cette verge et de ses deux testicules, on pouvait encore voir, dessous, les lèvres intimes de Mélinda. Leur accès était énormément réduit, mais des doigts pouvaient néanmoins encore réussir à s’y glisser.

« Si jamais tu en veux un, n’hésite pas à me le dire. Normalement, l’opération est payante, mais, pour toi, elle sera gratuite... »

Le désir inavoué de bien des femmes était après tout de pouvoir disposer d’un pénis. Quelque chose disait néanmoins à Mélinda que ce ne serait probablement pas celui de Lyli... A moins qu’elle ne se trompe.

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Lily Hayes

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 17 jeudi 03 mai 2012, 05:22:51

[HRP : Pardonne-moi pour mon temps et la brièveté de réponse, mais je ne savais pas vraiment ce que je devais écrire,]

Visiblement, sa compagne était très réactive à ses caresses. Ses frissons, ses muscles crispés, tout cela témoignait de son plaisir, et la jeune femme le sentait parfaitement sous ses doigts. Même sans se servir de ses pouvoirs, la jeune femme se doutait que Mélinda en avait envie; la vampire voulait baiser la Reine, satisfaire les appels de son corps. La jeune femme continua un petit moment à caresser le pénis érigé sans la moindre pudeur, tout en écoutant son amante parler de la possibilité qu’elle en ait elle-même un. Cette offre, malgré son côté attractif, n’eut que très peu de charme sur Lily, qui était particulièrement fière d’être une femme forte dans un monde d’hommes complètement débiles et irresponsables. Elle ramena à nouveau ses cheveux derrière sa tête puis elle se redressa, avant de grimper sur la jeune femme et de s’asseoir sur son bassin, pendant que le sexe de la belle demoiselle se collait à ses fesses. Remuant lentement son postérieur de façon à les frotter contre le mandrin, elle regarda son amante dans les yeux en souriant.

-Ce n’est pas que l’idée n’est pas tentante, mais j’aime mon corps tel qu’il est. Et puis… je préfère me faire prendre que prendre… enfin, à quelques exceptions rares…

En effet, Lily avait quand même eu des relations sexuelles avec usage de jouets divers, mais parmi sa collection, minime comparée à celles des nymphomanes de sa connaissance, elle ne comptait vraiment que sa ceinture à godemiché. Car oui, elle avait déjà eu des femmes et des hommes sur-androgynes (des femmes sans seins avec un extra hot-dog, quoi), et elle appréciait faire usage de ses talents, mais elle n’avait jamais vraiment voulu aller au-delà. Il y avait une grande différence entre avoir un sexe masculin rattaché directement à son corps et en avoir un en plastique que tu peux retirer quand tu en as envie, surtout au niveau pratico-pratique. Bref, c’était un non, et elle ne reviendrait pas sur cette décision. Cependant, elle n’avait aucune envie de ruiner cette soirée avec un refus qui pourrait être interprété par un dédain de sa part, donc, elle se mit à remuer davantage ses fesses bien fermes contre le membre durci, avant de se redresser, le coller au ventre de sa compagne et d’y presser son intimité, qu’elle frotta dessus avec tendresse. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait; elle avait eu des années pour se pratiquer.

Après un moment de ce traitement, la jeune femme retira doucement sa petite culotte en délacant les lacets qui serraient doucement sa taille. Elle était finalement entièrement nue, pour le plus grand plaisir de sa compagne. Elle se pencha alors contre elle et posa sa poitrine contre la sienne, continuant de faire coulisser son corps contre celui de la jeune femme, excitant encore et encore sa verge. Pour l’exciter un peu plus, elle lui murmurait à l’oreille qu’elle avait envie d’elle, qu’elle voulait sentir son « gros pénis dans sa vilaine chatte humide », usant du langage cru des prostituées pour provoquer son amante. Bien sûr, elle n’agissait ainsi que pour aguicher la jeune femme, pour jouer avec elle, et si Mélinda avait la désolante idée de la comparer à une catin, elle prendrait très rapidement le bord, sans la moindre satisfaction sexuelle, car pour le moment, Lily était la seule vampire qu’elle pourrait se faire sur Terre, puisque la nuit était déjà avancée et que le soleil n’allait pas tarder à montrer le bout de son nez. Elle attendait une chose; que la jeune vampire la prenne. Pour une fois qu’elle avait affaire à une connaisseuse, elle n’allait pas tout gâcher.

Mélinda Warren

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 18 jeudi 03 mai 2012, 13:27:22

[HRP – Ma petite Mélinda ne t’inspire plus :'( ?]

Lyli ne tarda pas à aguicher Mélinda, tout en refusant sa proposition de se voir greffer un sexe masculin. La vampire n’en fut pas gênée pour autant ; elle avait déjà essuyé des refus de la part d’autres femmes, et, à vrai dire, si on lui avait proposé à elle de s’en faire greffer un, elle aurait sûrement refusé. Ceci étant dit, elle n’allait pas dire à Lyli qu’on lui avait greffé ce sexe de force, afin qu’elle soit un parfait petit jouet sexuel. Au lieu de ça, elle se contenta de pousser de petits gémissements de plaisir. Saleté de vampire... Lyli s’amusait à l’aguicher frottant sa verge contre son derrière. Mélinda en rougit de plaisir et de frustration, tout en continuant à soupirer et à gémir, poussant des petits cris en se tortillant sur ce grand lit.

*C’est une partie très sensible de mon anatomie !* avait-elle envie de lui dire.

Bien plus que son vagin, en réalité. Elle ignorait si c’était parce que c’était un sexe ou magique, ou si c’était inhérent aux hommes et aux femmes, mais, quand son pénis était sorti avec une érection, il pompait énormément de son sang, étant en ce sens bien plus vif et bien plus ardent que sa petite intimité. Les agissements de Lyli mettaient donc Mélinda dans un état où tout ce qu’elle avait envie de faire était de ruer sur sa partenaire, de lui déchirer sa culotte, et de la baiser sauvagement.

Elle devait donc se retenir, et ce fut encore plus difficile lorsque Lyli lui murmura des paroles salaces.

« Han ! » soupira la vampire.

Elle avait finalement ôté sa culotte. Sage, car cette dernière n’allait pas tenir longtemps. Mélinda tremblait de tous ses membres, et se décida à agir. Elle glissa une main dans le dos de Lyli, le grattant,  et s’en servant comme appui afin de la retourner. Les positions s’inversèrent ; Lyli se retrouva allongée sur le lit, et Mélinda sur elle. Avec un sourire amusé, légèrement pervers, elle enfonça son membre contre la peau de la Reine, sans pour autant chercher à la pénétrer. Mélinda lui lâcha alors :

« Méfiez-vous, Majesté, vous commencez à parler comme une traînée... Je crois qu’il va falloir que je vous baise comme vous le demandez. »

Un ton légèrement sarcastique. Elle avait bien compris que Lyli était suffisamment orgueilleuse pour prendre la moue si Mélinda lui répondait sur le même ton, d’où cette phrase assez polie, selon elle... Elle attrapa avec une main sa queue, et l’enfonça dans le vagin de la Reine. Un coup sec et violent, qui la fit pousser un cri. Fermant les yeux, Mélinda trembla sur tout son corps, et commença à décrire des mouvements de vas-et-viens. Ce sexe magique pouvait changer de taille selon ses désirs, mais pompait plus son sang. Elle décida de le faire très légèrement grossir, afin que la Reine soit encore plus satisfaite, et ondula en elle, tout en lui offrant plusieurs baisers sur les lèvres.

« Insultez-moi, Majesté... » lâcha alors Mélinda, sur le ton de la supplique.

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Lily Hayes

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 19 jeudi 03 mai 2012, 20:00:44

[HRP : Ce n’est pas toi du tout, allons! C’est juste que j’ai peur de me répéter dans mes posts et que je ne sais pas quoi y mettre pour faire varier les plaisirs, mais tu en es nullement responsable! :( )

L’initiative de la jeune Reine sembla plaire à l’Aristocrate, car son corps ne cessait de remuer et de se tortiller de plaisir, alors qu’elle continuait inlassablement défaire bouger son corps contre le sien.  Le sexe de Mélinda se gorgeait de sang et claquait contre les fesses de la Reine à presque chaque mouvement que celle-ci exécutait, mais plus encore que ses caresses fessières, c’était certainement le contact avec son intimité qui plût à la jeune femme, à un tel point que Lily aurait presque été séduite par l’idée de faire durer le plaisir un peu plus longtemps, mais elle savait que cette torture était peut-être un peu trop intense pour sa jeune compagne. Elle se contenta de savourer les doigts qui parcouraient son corps pendant qu’elle continuait ses mouvements de bassin tout contre elle, ses lèvres pressées contre les siennes à tout instant, séparées juste le temps de quelques mots et parles provocatrices. Nous avons beaucoup parlé du sexe de Mélinda, mais celui de Lily n’était pas totalement indifférent à ce qui se passait! Au contraire, même! La friction de la vulve contre le membre tendu permettait à celui-ci d’écarter les grandes lèvres intimes de la Reine et de venir chatouiller son clitoris qui était gorgé de sang par tous les événements qui, actuellement, se produisaient.

Puis, vint l’instant décisif et engageant de la chose; Mélinda laissa tomber toutes ses inhibitions et toute hésitation pour renverser presque brutalement la Reine sur le lit, frottant d’elle-même son pénis contre l’intimité de sa Reine, dont le ventre contracté laissait voir son envie d’elle. Lily se mordilla les lèvres d’impatience pendant que son amante lui reprochait coquinement son comportement de trainée, mais elle n’en avait que faire; elle avait envie de s’amuser. Le sexe était, pour elle, un jeu auquel elle se donnait à cœur joie, où les règles étaient inventées, réécrites, toujours changeantes. Les lèvres de sa compagne soudées aux siennes, son corps collé au sien, son sexe avide du sien, elles se voulaient, se cherchaient, se tournaient autour pour le plaisir de la chasse, avant qu’enfin, sa compagne n’agrippe sa verge et l’enfonce d’un coup brutal en Lily, arrachant aux deux amantes un petit cri; l’Aristocrate de plaisir, la Reine un mélange de douleur et de satisfaction. Sous le coup de la douleur, les griffes de la Reine se glissèrent dans le dos de la jeune femme et s’enfoncèrent dans sa chair tendre pour la serrer contre elle, alors que ses longues jambes entouraient les reines de sa compagne. Enfin, elles y étaient! Elle n’avait jamais autant tourné autour du pot avec ses amants, mais avec cette femme, c’était si amusant de l’aguicher, de la faire attendre. Elle chercha alors ses lèvres si délicieuses et s’en empara, alors qu’elle subissait les assauts répétés de son amante, poussant de petits gémissements à chaque fois que leurs bassins se heurtaient, causant un peu de douleur et de plaisir à la jeune femme. Dieu qu’elle aimait baiser!

-Ah… hum… Continue, petite salope! Lâcha-t-elle juste pour lui faire plaisir. C’est tout ce que tu peux faire? C’est lamentable! Laisse-moi te montrer!

Elle lui agrippa alors ses fesses toutes douces et confortables et l’attira contre elle, brutalement, de façon à la contraindre à la pénétrer en profondeur. Alors, cette fois, elle poussa un vrai gémissement, se cambrant alors que la verge heurtait douloureusement son utérus, au plus profond de son intimité. Elle dût s’arrêter pour reprendre son souffle, ses longs cheveux collés à ses tempes humidifiées par la sueur. C’était vraiment un équipement impressionnant que possédait là la jeune femme, car il s’ajustait aux désirs de sa propriétaire, et cela n’avait rien de banal aux yeux de la Reine.

Même si Lily avait conscience de l’existence de la magie, elle était certainement plus rarissime sur Terre, où les gens croyaient que faire disparaitre via des trucs de scène était réellement de la magie, elle ne se serait jamais attendue à en avoir un exemple aussi… interactif. Ce n’était pas désagréable, c’était même plutôt le contraire, mais c’était certainement bizarre, voir anormal. Elle avait connu des transsexuelles ou des femmes qui s’étaient fait greffer un pénis via une opération chirurgicale, mais elle croyait que ce genre de trucs n’existaient que sur les sites internet, un fétiche étrange que certains détraqués avaient monté pour le plaisir de donner l’aspect « d’objet » aux femmes, car c’était exactement ce à quoi servait la pornographie; une femme devenait un objet personnalisable, surtout dans le BDSM. Enfin, c’était ce que Lily en concluait, et le premier à essayer de la « personnaliser » allait voir qu’elle ne manquait pas d’imagination. Oui, Lily était une vilaine fille, mais c’était pour cela qu’on l’aimait.

Mélinda Warren

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 20 jeudi 03 mai 2012, 22:22:58

Qu’est-ce qu’elle pouvait être gourmande, cette vampire froide comme un glaçon ! Posant ses mains sur son postérieur, Lyli força dessus, pour que le sexe de Mélinda s’enfonce encore plus, faisant gémir et soupirer cette dernière. Les belles boucles de Mélinda tombaient autour de son visage, frottant les épaules de la femme. Mélinda gémit à nouveau, frémissant sous les insultes. En temps normal, elle aurait pris la moue de s’entendre traiter ainsi, mais la vampire était une créature relativement paradoxale. Une esclavagiste qui n’aimait pas fouetter ses esclaves. Une femme très orgueilleuse qui appréciait parfois de se faire traiter comme une chienne, surtout face à une vampire aussi puissante. Car, oui, Mélinda avait bien senti que cette Lyli lui était, et de loin, supérieure. La plus belle preuve de cette supériorité était son sang, ce sang ancien qui résonnait divinement dans les oreilles de Mélinda.

*Si je ne me retenais pas, j’aurais déjà bu son sang...*

Se retenir était encore plus dur que Lyli s’amusait à griffer son dos, faisant couler son sang. Sentir l’odeur du sang à nu mit Mélinda dans tous ses états, et elle poussa de longs cris, continuant à faire d’intenses mouvements de vas-et-viens dans le corps de la Reine. Son bassin se souleva et s’abaissa avec rage, s’enfonçant sans relâche dans l’intimité de la Reine, la défonçant, la labourant. Ses propres mains griffaient son lit, car, si elle les portait sur le corps de Lyli, elle grifferait la Reine. Et, si jamais elle sentait sur ses ongles le délectable sang de la Reine, elle en deviendrait assurément folle ! Elle ne pourrait alors pas se retenir de la mordre.

Pour s’empêcher d’y penser, Mélinda augmenta ses coups de reins.

« Haan ! Haaan ! » s’exclamait-elle.

Elle se forçait à sortir l’intégralité de son membre ou presque, afin de l’enfoncer d’un coup sec, accélérant le rythme à chaque fois. Elle donnait des coups de butoir de plus en plus forts, qui faisaient grincer le lit. C’était bon, c’était terrible, et elle se forçait pour ne pas avoir la tentation de la mordre. Ses canines pointaient toutefois, et chacun des baisers qu’elle offrait à Lyli était un supplice. Chaque regard qu’elle portait vers sa gorge une souffrance. Mélinda enfonçait dans le corps de la jeune femme son sexe, soupirant, tortillant son fessier.

« Encore, haaa... Traite-moi, allez ! J’aime ça ! Frappe-moi les fesses ! »

Chaude comme la braise, Mélinda montrait à Lyli la partie la plus sensible de son anatomie : ses fesses. Elle était une belle sodomite, et ce dans les deux sens. Elle adorait qu’on malmène son petit cul !

[HRP – Petite précision pour la suite des évènements ; si Lyli griffe encore Mélinda, cette dernière plantera ses crocs dans sa gorge. Ça ne sera pas mortel (d’ailleurs, je pars personnellement du principe que c’est une scène qui est plus agréable qu’autre chose), mais c’est à toi de voir si tu veux que ça se fasse ou pas. Je préfère m’arrêter là dans mon post, afin de ne pas restreindre ta liberté d’action !]

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Lily Hayes

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 21 vendredi 04 mai 2012, 01:39:18

[Elle va regretter ses petites pensées, la perverse :3]

Lily regarda sa compagne, poussant de petits cris de plaisir à chaque impact, alors que son amante labourait sans pitié son jardin secret. Elle retira ses mains du dos de sa compagne pour chercher les siennes et les serrer de ses doigts fins, pour qu’elles ressentent les crispations ensemble, mais de ce fait, sa poitrine se bomba, totalement offerte à sa compagne. Elle gémissait à gorge déployée, sans la moindre gêne, car sa chambre était entièrement insonorisée. Elle avait l’impression de se faire violer, et d’une certaine manière, cela lui plaisait de se faire baiser aussi sauvagement. Son plaisir montait en flèche, alors que le pénis de son amante continuait de se gorger de sang pour mieux la satisfaire. Elle sentait l’envie de sa compagne de la mordre, de planter sa peau dans sa chair tendre, et elle songea alors que pour une fois, elle pourrait laisser ses inhibitions de côté. Mais pas tout de suite.  Pour faciliter la pénétration, la jeune femme écarta ses jambes le plus possible, pour remarquer la bosse que formait le sexe de son amante en elle. Son ventre se déformait au gré des va-et-viens, rendant la chose encore plus particulière, plus spéciale. Puis, la jeune femme réclama de se faire encore plus insulter, de se faire dégrader. Bonne joueuse, la Reine songea qu’elle allait se donner à cœur joie. Puis, la jeune femme demanda qu’elle lui frappe les fesses. Elle étira un sourire amusée. Elle repoussa vivement son amante et la renversa sur le lit, avant de la retourner sur le ventre et de coller son corps au sien.

-Mais quelle petite dévergondée! Vilaine fille! Tu veux que je mette mes doigts dans ce trou dégoutant? Tu devrais avoir honte!

Lily se rendit compte que finalement, insulter une jeune fille d’une telle beauté lui gonflait son égo, et elle fit bien attention de ne pas se laisser entrainer trop sérieusement dans la chose; elle n’avait pas envie de sérieusement vexer son amante et mettre ainsi fin à cette soirée qui s’annonçait déjà si bien. Alors, elle leva la main et l’abattit sur la fesse droite de sa compagne, dans un bruit très sonore. Du revers de la même main, elle frappa l’autre fesse, y laissant deux belles marques rouges. Elle regarda son amante puis, pour en rajouter un peu plus au jeu, elle vint cueillir un peu de sa cyprine et s’humidifia convenablement les doigts avant de lui claquer à nouveau les fesses, alors que de l’autre main, elle lui agrippait le pénis pour le masturber avec énergie. Après plusieurs coups, elle cessa de la fesser et la força à relever les fesses avant de lever ses doigts mouillés de cyprine et de caresser délicatement  l’anus tendu de la jeune femme , avant d’y glisser un doigt et de le faire remuer lentement à l’intérieur, alors que de l’auriculaire, elle s’occupait de son intimité laissée à l’abandon depuis le début des ébats. Elle se pencha alors sur la petite vampire et lui mordilla l’oreille.

-Ton cul fait un joli petit son, Mélinda… Petite cochonne, tu aimes quand on te la met là-dedans, hein? Eh bien, tu vas être servie!

Sans rien demander, la jeune femme se pencha sur la table de nuit et en tira un godemichet vibrant. Pour commencer, elle le glissa dans la petite fente de l’Aristocrate et l’y laissa tout en continuant de torturer le pénis d la jeune femme de ses mains. Elle se pencha ensuite sur le petit cul de Mélinda et le mordit sauvagement en s’assurant d’y laisser des marques, sans y planter ses crocs pour ne pas la blesser. Après quelques morsures, elle se tourna vers la petite étoile noire de son anus et y enfonça sa langue, la faisant doucement rouler à l’intérieur du petit cul de son amante. Elle poursuivit longtemps ce traitement, sans cesser de masturber la vampire. En ce moment, toutes les zones érogènes de sa compagne étaient sollicitées. Une torture complète, qui ne tarderait pas de faire jouir la jeune femme.

-Je paris que tu as très envie de jouir, ma douce Mélinda. Mais…

Elle défit alors un des élastiques qu’elle conservait dans ses cheveux et l’enroula très étroitement autour du pénis tout dur de l’Aristocrate.

-… ce ne sera pas tout de suite.

Elle retira alors l’énorme godemichet de l’intimité de sa compagne pour le faire ensuite glisser dans l’anus de la jeune femme, dans toute sa longueur, qui était, pour ainsi dire, impressionnante. L’objet, en Mélinda, remuait dans tous les sens, et vibrait à très haute fréquence en elle. Mais cela ne suffisait pas à la Reine.

-Et maintenant, ma petite chienne…

Elle s’approcha de son oreille, tout en continuant de la masturber, enfoncant ses doigts dans les lèvres de son amante, souriant sadiquement. Malgré sa résolution, elle commençait à se laisser prendre au jeu.

-Tu vas me faire du bien, mais tu n’as pas le droit de retirer le godemiché de tes fesses, ou je te donnerai une autre fessée. S’il sort de ton derrière, peu importe la raison, tu as compris?

Cela voulait même dire si la jeune femme atteignait l’orgasme et que la pression de son sphincter repoussait le godemiché, elle lui donnerait une fessée. D’une manière ou d’une autre, Mélinda allait avoir ce qu’elle aimait, mais Lily était prête à tout arrêter si cela allait trop loin pour elle. Alors, Lily s’allongea sur le lit et écarta ses longues cuisses, et son intimité avec les doigts, en laissant le choix de la suite à son amante.

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 22 vendredi 04 mai 2012, 12:03:21

La Reine semblait... Heureuse. Après tout, si elle n’avait jamais couché avec une hermaphrodite vampire, ce devait être une première pour elle ! Ça l’était aussi pour Mélinda. Le contraste entre le corps relativement froid de Lyli, et le corps bouillonnant de chaleur de Mélinda, l’avait certes un peu rebuté au début, mais elle s’y faisait maintenant. A chaque fois qu’elle frottait intensivement le corps de Lyli, elle ressentait un peu de sa chaleur corporelle sur celui de la Reine, ce qui était assez agréable. Lyli était aussi froide qu’un glaçon, mais ce n’était pas le cas de Mélinda. La Reine de son clan semblait heureuse, très heureuse, et, quand elle offrit à Mélinda sa poitrine, cette dernière pencha sa tête pour gober les seins qui lui étaient présentés.

La scène évolua ensuite. Ayant compris ce que Mélinda voulait, Lyli lui offrit la fessée ! Mélinda poussa des cris de plaisir à chaque claque, rougissant de plaisir. Lyli veillait aussi à l’insulter, ce qui ne faisait, par un effet pervers, que l’exciter encore plus. La petite vampire en rougit de bonheur.

« Haaaaa, HAAAAA, oui, oui, ouuuiiiiii ! » s’extasiait-elle.

Que c’était bon ! Ces claques sonores ! Ils étaient comme des coups de fouet, réveillant la vampire, répandant en elle de délicieuses sensations de plaisir. On pouvait dire que Mélinda était une esclavagiste très proche de ses esclaves, dans la mesure où elle n’hésitait pas à subir elle-même le traitement qu’elle infligeait parfois à ses esclaves. Lyli la masturbait, et la Reine alla ensuite s’emparer d’un curieux appareil, un « gode », pour autant que Mélinda se souvienne du terme utilisé. Une espèce de verge en plastique que la Reine enfonça en elle, dans son intimité, faisant hurler la vampire.

Dans le fond, elle préférait un bon vieux sexe humanoïde, mais, à défaut, elle se contenterait de ce truc. Le gode avait tout juste la place de s’enfoncer dans son intimité, et elle le sentait frotter sur ses testicules. Lyli alla ensuite jusqu’à pousser le vice en s’attaquant à son fondement.

« HAAAAAAAAAAANNNNN ! Oh puuuuUUUUUUtaaaiiiiiinnn ! » couina Mélinda.

Elle remua sur le lit, ses griffes déchiquetant la couverture. La sueur s’égoutta furieusement de son corps. C’était si bon, si intense, qu’elle en versa même une larme. Mélinda ignorait ce qui dominait le plus dans son corps : la souffrance ou le plaisir. Les deux semblaient s’affronter dans un terrifiant duel, et l’orgasme, lui, apparaissait comme une chose naturelle. Lyli sembla toutefois se refuser à lui offrir ce moment de soulagement, en enroulant une espèce d’élastique autour de son sexe, bloquant la transmission du sperme. Mélinda en fronça les sourcils, mais n’eut pas le temps de le retirer, dans la mesure où le godemichet alla se déplacer pour s’enfoncer dans son cul, lui coupant le souffle.

Si c’était bon... Oh, si c’était bon ! Mélinda remua ses fesses, appréciant le contact de ce truc. Lyli alla alors lui expliquer quelques rôles. A quatre pattes, Mélinda soupirait, les joues rouges. Elle respirait comme un taureau, ses souffles entrecoupées de gémissements. Ça lui faisait mal, terriblement mal, mais c’était aussi monstrueusement bon ! La Reine lui expliqua ce que Mélinda devait faire, en lui interdisant de retirer le godemichet, sous peine de recevoir des fessées. Difficile de dire ce qui la tentait de plus, mais, une chose était sûre... Cet élastique n’allait pas rester longtemps. Mélinda voulait bien jouer à la soumise, mais la priver de son orgasme, c’était un peu trop pour elle. Lorsque Lyli retourna s’allonger, Mélinda tira d’un coup sur l’élastique, libérant son sexe. Son érection était énorme. Elle avait besoin de JOUIR !

A quatre pattes, Mélinda s’avança vers la Reine. Se relever était trop difficile. Elle lécha l’intimité de cette dernière, et lui glissa alors, après avoir léché l’ensemble pendant plusieurs secondes :

« Je vais vous baiser, Majesté... Haaa, vous allez voir, je vais vous prendre comme personne ne vous a jamais pris, et vous hurlerez à tel point qu’on vous prendrait pour une traînée ! »

Elle agit alors, et retourna Lyli. Elle vit son délicieux cul, mais elle ne comptait pas le prendre.

« A quatre pattes, Majesté... Je ne vais pas vous enculer... Pas encore, du moins... Vos petites fesses auront également droit à mon traitement ! »

Elle attendit que Lyli s’exécute pour s’enfoncer dans son intimité, la prenant par l’arrière. La vampire poussa un cri de plaisir, et gifla sur le coup le fessier de Lyli, avant de s’y cramponner, et de donner des coups de reins. Elle gémit, ferma les yeux, sentit des frissons de plaisir la traverser, la dévorer. Son feu intérieur la consumait, et, dans un cri, elle finit par jouir, par avoir son premier orgasme. La sodomie qu’elle subissait l’excitait encore plus, et elle continua, en suivant cette idée, à baiser la belle vampire, soupirant et gémissant à chaque coup de rein.

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 23 vendredi 04 mai 2012, 20:53:24

Visiblement, sa compagne n’appréciait que moyennement le coup de l’elastique, mais ce n’était pas vraiment pour l’empêcher de jouir, c’était surtout pour savourer les plaisirs de l’orgasme toutes les deux. Mais en tout et partout, la jeune femme semblait vraiment prendre son pied, ou alors elle était très bonne actrice, parce que Lily s’auto-complimentait au sujet de ses talents d’amante, tout cela dans son esprit, alors qu’elle continuait d’insulter l’Aristocrate, la traitant d’impuissante et autres obscénités, lui demandant aussi de lui prouver qu’elle avait tort, ce genre de trucs. Et cela marchait, parce que très bientôt, la demoiselle fit sauter l’elastique que Lily avait posé sur sa verge durcissante en lui demandant de se mettre à quatre pattes. La position de la levrette n’était pas vraiment l’une des préférées de Lily, qui aimait davantage celle de l’Enclume ou quelque chose qui lui permettait de voir la personne qui la baisait dans les yeux sans s’infliger un torticolis, mais étant bonne joueuse, la Reine s’exécuta et présenta son magnifique cul (bonjour, ça va? Oui! Moi, c’est Anus, et vous?  *sbaf*) et, juste pour le plaisir, elle se mit à le faire danser de droite et à gauche, sous les yeux avides de son amante. Mais plus que ses remarques salaces sur ses intentions futures, soit de baiser son petit trou, c’est l’instant où la jeune femme lui colla une gifle sur les fesses que Lily apprécia, mais elle se surprit à ne pas en souffrir. Elle regarda un instant Mélinda en haussant un sourcil.

-Au moins, si tu veux me fesser, prend la peine de… oooh!

Le sexe de Mélinda venait de la pénétrer. Mais il lui sembla soudainement beaucoup plus gros et beaucoup plus long qu’auparavant, et il heurtait plus brutalement encore le col de son utérus, arrachant des cris de douleur et de plaisir à la jeune femme, qui enfonçait maintenant ses ongles dans les draps, ayant du mal à tenir à quatre pattes par elle-même, mais heureusement, son amante eut l’initiative de lui agripper les fesses pour mieux contrôler les mouvements de ses reins, augmentant ainsi le rythme, mais adoucissant les impacts, ce qui permettait à la jeune femme de rester debout, quoi que très vite, ses bras commencèrent à faiblir sous les assauts répétés et elle se laissa mollement tomber dans son oreiller, les fesses en l’air, gémissant de plaisir à chaque fois que le sexe de son amante la quittait pour mieux revenir en elle. C’était douloureux, brutal, mais très certainement plaisant de se sentir ainsi dominer, et de pouvoir faire des rotations par moment. Elle n’avait que très rarement eu des amantes aussi impliquées dans la chose, et cela lui faisait un bien fou, même si elle serait la dernière à en parler à Mélinda. Savourant les chocs, les ongles enfoncés dans la chair tendre de ses fesses et le furieux labourage de minou qu’elle subissait, la Reine ne parvenait plus à retenir les mots qu’elle tenait en tête.

-Oh putain! Haaaan! C’est… C’est le pied! Baise-moi, sale perverse! Ne t’arrête pas ou je te fais la peau! Ah! Ah! Han! AAAH!

Elle se cambra alors de plaisir, et, contrairement à ce qu’elle croyait, sa compagne avait réussi à se retenir jusqu’au moment où elles jouiraient ensemble, mais cela ne sembla quand même pas la calmer,  car malgré leur orgasme, Mélinda continua de la baiser sauvagement, ne laissant même pas le temps à Lily de profiter de son petit nuage pour la contraindre à revenir chez le monde présent. Elle sentait la semence chaude et collante de Mélinda en elle, et se félicita de prendre régulièrement la pilule, car si Mélinda était inféconde, elle n’avait jamais pris le temps de le dire à la Reine, et celle-ci, pour sa part, pouvait encore concevoir. C’était peut-être son statut de Reine qui lui conférait cette capacité, ou alors c’était simplement parce qu’elle était un monstre parmi les monstres. Mais enfin, ce n’était pas le temps de réfléchir à tout ça. La Reine, au bout d’un moment dans cette position, repoussa alors Mélinda, assez sèchement pour lui faire comprendre qu’elle avait quelque chose d’autre en tête. Elle se retourna sur le dos, sur le lit, puis releva ses longues jambes pour les poser contre les épaules de son amante, puis elle lui fit signe de l’index de revenir, avant d’écarter ses lèvres intimes de ses indexs et majeurs.

-Viens là… Je n’ai pas encore fini avec toi….

Elle souriait sadiquement. Elle restait une Reine, peu importe la position dégradante qu’elle pouvait avoir, elle semblait toujours avoir une tête au-dessus de tout le monde, de les dominer à leur insu. Si elle se donnait entièrement à Mélinda, celle-ci ne pouvait pas oublier qu’elle avait affaire à un membre de la Royauté, une vampire qui serait éternellement plus puissante et plus forte qu’elle, dont les expériences personnelles surpassaient de loin ce que le commun des vampires aurait pu supporter sans y perdre sa raison et de laisser libre cours à sa soif de sang. Bref, tout cela pour dire que peu importe ce que Mélinda pouvait actuellement penser de la Reine, celle-ci restait toujours en avance sur elle, et qu’il valait mieux ne pas l’oublier.

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 24 samedi 05 mai 2012, 02:39:22

[HRP – Si j’ai bien compris, à la fin, Mélinda et Lyli sont dans la position de l’enclume ? C’est la première fois que j’entends parler de cette position, huhu :P]

Baiser cette vampire était tout simplement merveilleux ! Les mots qu’elle employait amusaient beaucoup Mélinda, car on l’insultait de manière assez inédite. « Salope », c’était assez classique quand on s’adressait à elle. « Petite pute » aussi. En revanche, dire qu’elle était « impuissante », ça, on ne lui avait encore jamais sorti ! Mélinda se demandait si Lyli avait vraiment conscience de ce qu’elle disait, ou si elle se contentait de sortir tout ce qui lui venait à l’esprit... La virilité de Mélinda semblait pourtant suffire à clairement montrer qu’elle était aussi impuissante qu’une tortue était rapide. Elle enfonçait son membre avec force, attrapant solidement le joli cul de la femme. Avec le gode dans son fondement, Mélinda devait vraiment se donner à fond pour ne pas trop souffrir. Son sexe s’enfonçait donc avec force dans le corps de la Reine. Le lit continuait à craquer sous sa pénétration, et les deux vampires finirent par jouir.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !!!! »

Un long soupir s’échappa des lèvres de Mélinda. Elle gifla à nouveau le postérieur de Lyli, et cette dernière se mit à agir. Elle se mit sur le dos, et leva ses jambes, presque à la perpendiculaire, attrapant la gorge de Mélinda. Surprise, la vampire se demanda ce que Lyli faisait à lever ses jambes, mais, vu la manière dont elle lui parlait, cette posture semblait avoir une quelconque connotation sexuelle. Force est d’admettre que Mélinda ne connaissait pas le kama-sutra, ou, en tout cas, ne le connaissait que de nom, sans s’être jamais vraiment donné la peine de le parcourir. Elle trouva cette position assez originale, mais dans la mesure où ça n’interdisait pas à son sexe masculin de pouvoir retourner dans le corps de la Reine, Mélinda n’allait pas s’en priver.

Mélinda se retrouva la tête penchée, voyant la belle poitrine de Lyli, et attrapa à nouveau les couvertures du lit. Le gode était toujours enfoncé dans son postérieur, et elle soupira longuement, avant d’enfoncer son sexe en elle. Elle hésitait toujours à aller dans le fondement de la Reine. Lyli avait l‘air du genre assez intransigeante, et, ma foi, Mélinda savait que bien des femmes n’appréciaient pas autant qu’elle la sodomie. Mieux valait ne pas froisser la susceptibilité d’une vampire, surtout quand on était une simple invitée. La vampire enfonça donc son membre dans le vagin de la Reine, dans son intimité, et commença à remuer son membre.

« Hum... Hum... Aaaah... Haaaaa ! »

Très expressif, non ? Mélinda n’arrivait pas à parler. Elle reprenait son souffle, son corps étant rouge comme une tomate. A chacun de ses coups de rein, le gode enfoncé dans son postérieur glissait un peu, et, dans sa position, elle ne songeait pas à le remettre. Soufflant lentement, elle poussa des râles entrecoupés d’insultes.

« Raaaah, aaaah, aaah bordel ! Hum... Tu... Raaaah... Tu aimes, hein ? Ça te plaît, qu’on te la foute bien dans le fond, heeeeeiiin ? Putain, ce que j’aime çaaaaaAAAAAAaa ! »

Elle donna un autre coup, et attrapa avec ses mains celle de Lyli, les joignant. Les pieds de cette dernière semblaient maintenir Mélinda dans un délicat équilibre, l’empêchant de tomber sur le corps de la Reine. Elle ignorait où la Reine allait trouver de telles idées, mais elle devait bien admettre que ça lui plaisait ! Cette imagination était on ne peut plus délectable !

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 25 samedi 05 mai 2012, 07:34:57

Le plaisir était de plus en plus fort. Les claques, les baisers, les mains qui se cherchaient et se liaient alors que leurs deux corps se fusionnaient à nouveau pour une union encore plus intense. Chaque pénétration, aussi douloureuse soit-elle, ramenait la jeune femme des années auparavant. Les ébats étaient aussi intenses que lors de sa première fois. Alors que son amante la prenait, elle retournait au temps de ses premiers amours, avec le Duc. Les souffles rauques, les lèvres qui se cherchaient, son cœur qui battait frénétiquement dans sa poitrine, cette douleur sucrée, ces cris indécents qu’elle ne parvenait pas à taire. Elle n’avait jamais ressenti cela avec une autre personne que Mélinda. Elle retombait dans la nostalgie du temps passé, mais ce n’était pas le duc qu’elle voyait, c’était cette femme, devant elle, qui la pénétrait en lui disant des choses que, maintenant, elle ne comprenait plus. Elle avait l’impression de revivre sa première expérience. Ses doigts vinrent se glisser sur les joues de son amante et faisant preuve d’une souplesse étonnante, elle parvint à se redresser pour l’embrasser sur les lèvres, avec passion, et tendresse. L’intensité baissa, doucement, mais la chose ne devenait que plus agréable. La Reine se mit à gémir à chaque entrée de son amant en elle, alors que les testicules de l’Aristocrate Ashnardienne claquaient contre son fessier. Son souffle se mêla à celui de la jeune femme, alors que sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration. Après un long moment à ressentir ce que pouvait ressentir un shish-kebab, la jeune femme repoussa doucement son amante pour changer la position dans celle du missionnaire, enroulant dans un douloureux étau les reins de Mélinda de ses longues jambes, passant ses bras autour du cou de sa compagne alors qu’elle savourait pleinement le contact.

-Uhm… Ralentissons un peu la cadence… Il y a tant de choses à apprécier…

Elle étira un doux sourire et glissa une main dans la belle chevelure de sa compagne, alors que l’autre descendait doucement dans le bas de son dos, pour y trouver le godemiché toujours enfoncé dans le fondement de l’Aristocrate. Elle le fit doucement coulisser dans un mouvement de va-et-viens en son amante, soupirant de plaisir alors qu’elle faisait de même dans son vagin. Ce n’était pas tant qu’elle n’appréciait plus la bestialité de leurs ébats, mais elle était une créature dont le corps n’était pas habitué à autant de sensations fortes. En fait, son cœur ne battait que très lentement, normalement, et les autres hommes avec qui elle partageait sa couche n’ont pas autant d’énergie que cette femme. Pour cependant satisfaire le côté masochiste de sa compagne, elle fit tourner le petit disque réglant la force de vibration pour augmenter celle-ci, avant de renverser son amante d’un mouvement agile des jambes et des hanches, se retrouvant alors sur le dessus. Une fois redressée, elle se mit à remuer brutalement son postérieur de façon à faire coulisser le membre en elle, sans cesser de dévisager la vampire qui partageait son lit. Les yeux de la Reine se posèrent alors sur la gorge de Mélinda. Ses pupilles, normalement bleu-grise, se mirent à luire d’une couleur sanguine, lui conférant la capacité de voir le flux sanguin, et comme toujours, la jugulaire était gorgée de sang. Depuis la perte du père de Missy, elle n’a jamais eu autant envie de mordre quelqu’un, de planter ses crocs dans une chair tendre.

Les mains de la Reine quittèrent donc le ventre de la vampire pour monter lentement sur ses superbes seins, qu’elle pétrit doucement un instant, taquinant ses tétons durcis de ses doigts, avant de remonter vers le cou de son amante et d’y poser ses mains. L’espace d’un instant, elle eut l’envie de serrer les doigts sur sa gorge, d’étrangler la menace que pourrait être Mélinda dans l’avenir, une concurrente, une ennemie. Elle y songea très sérieusement, mais ses doigts s’éloignèrent de son cou alors qu’elle se penchait dessus pour y passer doucement le glaçon qui lui servait de langue, goutant la sueur et la peau de son amante, alors que ses mains venaient se poser à nouveau sur les seins de sa compagne, les massant avec énergie.

-Ce que je vais faire, tu seras la seule à pouvoir me le faire… alors, profites-en.

La Reine n’en pouvait plus. Elle voulait Marquer l’Aristocrate, dusse-t-elle rompre une vieille promesse personnelle. Elle ouvrit la bouche et très bientôt, elle enfonça ses crocs dans la gorge dévoilée de son amante, cessant temporairement de remuer le bassin pour se concentrer sur sa morsure. Depuis le temps, elle avait appris différentes façons de mordre quelqu’un; elle pouvait rendre la chose terriblement douloureuse, ou alors indolore, mais comme son amante était plus du genre à aimer ressentir les choses, elle choisit le juste milieu; passablement douloureux. Elle se mit donc à avaler le fluide vital de son amante. Dans son esprit se mit alors à défiler des images de la vie de Mélinda, mais seulement des images, sans aucune cohérence, mais de ces images, elle put ressentir tout ce que cette femme avait vécu.

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 26 samedi 05 mai 2012, 16:32:58

Lyli demanda une pause, ou, tout du moins, à ce qu’on ralentisse le rythme. Mélinda était, quant à elle, toujours autant en chaleur. Le gode enfoncé dans son postérieur l’empêchait de toute façon de pouvoir se détendre, de parvenir à se calmer. Ce truc en plastique la faisait souffrir, et cette souffrance était sa force, son énergie pour continuer à prendre Lyli. Elle y allait avec cette force propre aux vampires, cette rage de vivre qui l’animait, poussant des cris pour s’encourager, pour que douleur et plaisir se confondent en un seul sentiment.

Les choses évoluèrent donc, et Mélinda se retrouva entre les jambes de Lyli, couchée sur elle. Tant qu’elle pouvait continuer à remuer son bassin, la vampire n’en demandait pas plus. Tout son corps était rouge. Elle ressemblait à une espèce de grosse chaudière sur le point d’exploser. Ses petites fesses étaient défoncées, et tout son corps vibrait de désir. Elle eut un second orgasme, crachant dans le corps de Lyli des giclées de sperme, avant que la Reine ne se mette sur elle. Son lit ne devait alors plus ressembler à grand-chose, sans doute à une espèce d’énorme champ de bataille ravagé par leurs galipettes.

« Hum, hum, aaaaah... Belle... Belle vue... » s’exclama Mélinda en voyant Lyli, assise sur elle.

Les mains de Lyli allèrent alors jouer avec les seins de Mélinda, qui répondit en caressant les hanches de cette dernière. Allongée contre le lit, Mélinda sentait le gode s’enfoncer encore plus en elle. Elle se tortillait sur ce dernier, et Lyli remonta ses mains vers sa gorge. Un frisson de plaisir parcourut le corps de Mélinda, un frisson qui évolua au fur et à mesure qu’elle sentait les mains de Lyli rester sur sa gorge, et qu’elle avait l’impression de sentir une espèce de lueur agressive... Un bref moment de doute qui s’envola fort heureusement assez rapidement. Lyli approcha alors sa bouche de la gorge de Mélinda, et cette dernière sentit son cœur battre rapidement dans sa poitrine, exprimant un mélange de nervosité et d’excitation.

« C’est réciproque... » glissa-t-elle sur un souffle.

Dans la tête de Mélinda, seul un membre de son clan pourrait boire son sang. Or, dans la mesure où Mélinda n’avait aucun clan, personne ne pouvait logiquement boire son sang. Elle fit glisser ses mains pour caresser les fesses de Lyli, et poussa un petit gémissement quand les dents pointues de la vampire s’enfoncèrent dans sa peau. Des dents tranchantes, qui auraient facilement pu la tuer en tranchant sa veine. Mélinda en vint à se demander ce qui lui avait pris de laisser cette femme s’immiscer aussi loin en elle. Il suffisait qu’elle tranche un millimètre de trop, et il y aurait une hémorragie interne, hémorragie qui tuerait sur le coup Mélinda. Lyli la tenait, mais la Reine ne la tua pas. Elle n’avait de toute façon aucune raison logique de le faire, mais Mélinda n’en restait pas moins inquiète.

*Tu manques de vigilance, ma petite... Tu connais suffisamment les vampires pour savoir qu’on ne peut pas se fier à eux, non ? N’es-tu pas toi-même une vampire ?!*

Elle avait beau se sermonner, ça n’empêchait pas son corps de ressentir du plaisir, et ce plaisir n’était désormais plus que sexuel. Il était aussi... Sanguin. Se faire mordre, se faire sucer son sang procurait en elle des frissons de plaisir élevés, importants, mais sans qu’elle ne puisse vraiment se l’expliquer. Avec ses mains, elle agrippa le bassin de la femme, et le remua très légèrement, de manière à permettre à son sexe de s’enfoncer dans son vagin. Mélinda se sentit alors bien mieux, et frémit. Elle remonta une main le long de ce corps glacial pour la poser sur le cou de Lyli, et gratta sa nuque, avant de donner un coup de bassin pour la retourner à nouveau.

Dents plantées dans sa gorge, Lyli se retrouva sous Mélinda, et cette position permit ainsi à cette dernière de la pénétrer. Le sang... Elle le sentait quitter sa gorge, mais il partait en petite quantité... Ayant alors une idée, elle pencha à son tour sa tête pour l’approcher du cou de Lyli, et la mordit également. Elle trouva rapidement sa veine, la heurta, et commença à boire son sang. Pour le coup, les deux vampires commençaient enfin à faire l’amour tels que les vampires étaient conçus pour le faire : en fusionnant par le biais d’une pénétration mutuelle et d’un échange sanguin mutuel. Des images et des flashs se matérialisèrent ainsi dans l’esprit des deux femmes, retraçant des souvenirs, confirmant le caractère vital du sang, véhicule de la vie. Lyli vit des images assez confuses, disparates, montrant le harem, les esclaves, les orgies, les démons, des rivières de sang, le père de Mélinda, mort, les coups de fouet... Mélinda, elle, vit un ensemble confus d’images. Elle y vit un homme, assez élégant, qui avait eu l’air de marquer Lyli. Elle vit un enfant, et d’autres images, mais sans pouvoir les relier entre elles ou les expliquer. Si elle avait été télépathe, si elle n’avait pas eu un gode planté dans le cul, et son pénis masculin enfoncé dans le corps de Lyli, alors elle aurait peut-être pu comprendre ce que ces quelques images signifiaient.

Tout ce qu’elle parvint à émettre, ce fut des soupirs étouffés, et de petits gémissements.

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 27 mercredi 16 mai 2012, 19:52:47

Elle aurait pu la tuer, là, maintenant, comme elle avait tué par le passé. Elle ne craignait pas les représailles. Mélinda, elle le savait au fond d’elle-même, était ambitieuse, et l’ambition menait automatiquement à la guerre. Et Lily n’aimait pas la guerre. Cela aurait été si facile de mordre dans la jugulaire à pleine dent et de l’arracher, d’un coup brusque et solide, avant de se gorger de son liquide vital avant qu’elle ne se régénère. Et pourtant, elle ne le fit pas. Une petite voix, au fond d’elle-même, lui disait de ne pas le faire. Peut-être sa sottise. Sa folie, si elle s’écoutait. Mais alors que leurs corps étaient ainsi fusionnés, et que son liquide vital coulait dans sa gorge, elle se sentait… exactement comme si elle était amoureuse. Elle ne voulait pas tuer l’Aristocrate. Elle n’en avait ni le droit ni l’envie, car d’une certaine manière, ces images de souffrances lui disaient clairement que cette femme, si elle méritait la mort, n’avait pas choisi d’elle-même sa propre destinée. On l’avait façonnée, d’une manière qui échappait totalement à la Reine. Le fait était là. Cette femme n’était pas propriétaire de sa vie, elle ne faisait que suivre la voie qui protègerait le plus possible sa raison, tout comme elle l’avait fait elle-même dans sa jeunesse. Cette époque lui semblait si loin, aujourd’hui. L’époque du doute, l’époque de la tristesse, de la souffrance. L’époque de l’amour. Car oui, Lily rejetait l’amour, le craignait, le cherchant pourtant, comme une proie surveille son prédateur.

La morsure de Mélinda lui arracha tout de même un gémissement, la forçant à renforcer son étau sur elle pour ne pas qu’elle manque son coup. Bien que Lily soit plus ou moins immortelle, cette sorte de blessures étaient particulièrement désagréables, mais la jeune femme était moins habile qu’elle, car elle lui causa tout de même de la souffrance suite à la morsure. La Reine ne le lui reprocha pas, mais c’était tout de même douloureux. Elle n’avait jamais laissé qui que ce soit autre que le père de sa fille la mordre pendant leurs ébats, et cela, pour être honnête, lui avait drôlement manqué, mais pas question de laisser Mélinda se rendre compte que cela lui plaisait. Elle s’efforça de respirer lentement, de calmer son souffle et de se focaliser sur sa propre morsure, qui pourrait être fatale à Mélinda, mais lorsqu’elle recommença à se mouvoir en elle, la Reine fut forcée de se retirer pour ne pas commettre d’erreur, recommençant à gémir avec délice de ces ébats qui lui avaient tant manqué. Faire l’amour avec une vampire plus puissante que la moyenne avait quelque chose d’excitant, même si ce n’était pas nécessairement elle qui dominait dans ce domaine. Lily avait toujours eu un petit côté de sa personnalité qui se voulait soumise, et plus le vampire avec lequel elle couchait était puissant, plus elle l’appréciait, et s’il la supplantait, elle en jouissait constamment.

Pendant qu’elle se faisait prendre, la Reine se surprit à glisser ses mains vers les fesses bien fermes de l’Aristocrate, les saisissant et les massant tout en la tirant vers elle pour l’assister dans sa pénétration, l’incitant à entrer de plus en plus profond, comme tout à l’heure, jusqu’à ce que le membre soit enfoncé jusqu’à la garde dans son vagin contracté par son orgasme d’il y a quelques instants. Les allées et venues de son amante avait quelque chose de rassurant, pendant la morsure. C’est comme si cette proximité et cette impression d’avoir toujours la capacité de s’opposer à l’autre lui permettait d’avoir davantage confiance. Ses premiers mordeurs ne lui avaient jamais demandé son avis ni n’avait attendu une quelconque autorisation. Dans un sens, c’était un viol, parce que partager le fluide vital d’un vampire avait quelque chose, pour Lily, d’intime, de personnel, d’érotique et parfois même d’indécent. Mordre un vampire lui donnait parfois l’impression de mordre un frère ou une sœur, ce qui était, bien évidemment, un tabou dans les familles de vampires, terriennes, du moins.

Elle força, après un moment, sa compagne à arrêter son repas. Les étourdissements étaient très mauvais signe, et Lily commençait à voir le monde sous une forme étrangement tourbillonnante. Elle posa une main contre sa propre tête et grogna de douleur. Ce n’était pas normal. Elle l’avait beaucoup trop laissée faire. Fort heureusement pour elle, boire son sang n’avait aucun effet; Mélinda ne deviendrait pas plus forte. Pour voler le pouvoir d’une Reine, il fallait que celle-ci soit mourante ou presque… ou alors par consentement de cette dernière à laisser son pouvoir se mêler à son sang.

-Arrête… j’ai du mal à respirer…

Bien qu’en état de faiblesse, il ne fallait pas se laisser tenter; la Reine avait encore assez de force pour tordre un cou ou deux.

Mélinda Warren

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 28 mercredi 16 mai 2012, 23:58:39

[HRP – Pour que tu aies de la matière à répondre, j’ai anticipé les actions de Lyli. Considérant que cette dernière a encore la force de briser une nuque, je me suis dit qu’elle devait avoir la force de pousser Mélinda, et qu’elle le ferait sûrement en voyant que cette dernière continue à boire son sang, malgré sa demande.]

Mélinda aurait bien aimé dire que la pénétration sexuelle était fabuleuse, inoubliable, superbe, mais elle se devait d’être honnête, surtout envers elle-même. Ce qui l’excitait surtout, c’était ce sang. Ce sang, ohlàlà ! Oui, Lyli était indiscutablement une vampire puissante et ancienne, car son sang était terrible. C’est à ça qu’on reconnaissait les vieux vampires : leur sang était terrifiant. Succulent. Juteux et puissant. Elle sentait toute la puissance de cette femme, à tel point que le goût du sang l’envahissait, et qu’elle ne pensait à plus rien d’autre, pas même à sa verge enfoncée dans le corps de la Reine vampire. Pas même aux mains de la femme qui allèrent s’occuper de son derrière. Rien d’autre ne comptait que ce sang merveilleux, et, ce faisant, la vampire fut absorbée dedans. Les orgasmes qu’elle poussa furent avant tout liés à la qualité de ce sang, plutôt qu’à sa performance sexuelle. C’était même Lyli qui devait l’inciter à remuer, pour que Mélinda continue à le faire. Ce sang... Non, il n’y avait pas de mots pour décrire ce qu’elle ressentait. Aucun mot ne semblait assez fort.

Elle était plongée dans ce sang, sans réaliser qu’elle en buvait bien trop, mais c’était tout simplement plus fort qu’elle. Elle sentit le corps de Lyli remuer, comme si cette dernière essayait de la repousser, de lui demander d’arrêter, mais c’était, hélas, tout simplement impossible ! Comment aurait-elle pu arrêter ça ? Elle voulait boire tout ce sang, tout ce jus qui abondait dans sa gorge, le boire jusqu’à la toute dernière goutte ! Oui, elle allait tout boire, tout... ! Elle ne pouvait pas s’en empêcher, c’était si bon !

*Et on dit que le sang d’un Archange pur est encore plus fameux... Non, c’est impossible ! Même le sang d’un nouveau-né, d’une pure neko, n’ont pas cette qualité-là !*

Mélinda entendit dans son esprit Lyli lui ordonner d’arrêter, mais c’était bien trop bon pour qu’elle puisse mettre un frein. Elle jouit une nouvelle fois, continuant à remplir le corps de Lyli. Elle était tellement heureuse, tellement excitée, qu’elle jouissait presque en continu. Ce qu’elle vivait, c’était... Et bien, la meilleure façon de décrire ça, c’était sans doute de parler d’un orgasme continu. Son pénis crachait sans arrêter du sperme, et ce fut donc de manière autoritaire qu’on dut l’arrêter de pomper. Quand ses crocs se retirèrent du cou de Lyli, Mélinda sentit le sang couler de ses lèvres, mais ce fut comme si on lui avait passé un verre d’eau froide sur la tête. La vampire en fut refroidie, et se retira rapidement, reprenant ses esprits. Elle se retira même du corps de Lyli, et trébucha hors du lit, tombant par terre.

Les quatre fers en l’air, Mélinda reprenait ses esprits. Un filet de sperme coulait le long du lit. Quelques traces de l’orgasme abondant et assez surnaturel de la vampire. Le pire, dans tout ça, c’est qu’elle n’était même pas fatiguée ! Oh, oui, elle était en sueur, rouge, et tout ça, mais tout ce sang qu’elle avait bu l’alimentait constamment, la dopait. Elle s’était shootée à la meilleure drogue qui soit, le sang.

« Waaw... » fut donc tout ce qu’elle parvint à articuler.

Secouant lentement la tête, la vampire reprit ses esprits.

« Je ne m’attendais vraiment pas à pouvoir goûter à un sang de cette qualité... Mon Dieu... Je suis désolée, Lyli, mais... Hum... C’était si bon. Un tel plaisir devrait être interdit, afin qu’on puisse en apprécier la réelle valeur. Seigneur... »

Mélinda en était toute retournée, à tel point qu’elle en oubliait son érection, qui était toujours là, et qu’elle n’avait pas remarqué que le plug que Lyli lui avait mis dans les fesses était parti quand elle avait été expulsée du lit.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Lily Hayes

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Re : Toi, ma Reine ?! [Lily Hayes]

Réponse 29 lundi 21 mai 2012, 04:58:31

Lily n’en voulait pas à son amante. Elle connaissait les risques et les avait acceptés avant même que la jeune femme ne la morde. Mais cette morsure était une leçon qu’elle savait indispensable à l’apprentissage de la jeune feme. Elle voulait devenir une Reine, comme elle, et avoir un clan sous ses ordres, mais cela ne se faisait pas sans un prix. Tout pouvoir vient avec ses responsabilités et ses restrictions, et elle venait d’en apprendre une. Alors qu’elle était en bas du lit, Mélinda pouvait voir la jeune Reine serrer les dents et durcir ses muscles pour lutter contre l’étreinte de faiblesse qui la contenait au lit. Bientôt, la jeune femme se redressa, alors que le sang de son amante faisait enfin son effet et lui rendait sa mobilité, sa force, ou du moins une partie. Sur le lit se déversa très vite toute la semence que l’Aristocrate avait crachée en elle. Par simple réflexe, la Reine agrippa un cachet de solution contraceptive et l’avala d’un coup avant de se lever du lit et de replier les draps souillés et les jeter dans un trou au fond de la pièce, qui devait servir de panier à linge sale. La Reine s’approcha alors de Mélinda avec un mouchoir et s’affaira à la nettoyer, puis elle lui passa une serviette sur le corps. Non pas qu’elle soit une femme attentionnée, mais elle n’aimait pas la saleté, et toute cette sueur allait salir ce qui restait de bon dans son lit, et elle n’avait aucun désir de cela. Une fois que la jeune vampire fut plus ou moins propre, la Reine la souleva dans ses bras et se dirigea vers la salle de bain. Une bonne douche, c’était ce qu’elle aimait le plus après avoir fait l’amour. Elle s’installa alors dans la baignoire, Mélinda entre ses cuisses, dos à elle, et activa le jet d’eau du pied. L’eau fraîche coula alors sur leurs deux corps luxuriants et appétissants.

-Je vais te révéler un secret, dit-elle en passant doucement ses mains sur les seins aux tétons durcis de l’Aristocrate. Depuis bien des années, tu es la seule personne qui m’a donnée vraiment un brin de plaisir. Mais la raison ne va pas te plaire pour tes projets d’avenir. Une fois Reine, tu vas très rapidement te rendre compte que le plaisir est dévoré par ton propre pouvoir. Plus une Reine a de sujets, plus son pouvoir est grand, et en échange, elle perd son désir. C’est une conséquence de notre état. Pour ressentir pleinement le plaisir, il faut s’accoupler avec un Roi ou une Reine aussi puissante que nous-même.

Elle glissa doucement une main entre les cuisses de Melinda et massa son pénis un peu ramolli d’une main alors qu’elle le savonnait de l’autre.

-Et ensuite, c’est le plaisir de la morsure qui te sera retiré. Tu perdras l’appétit du sang, ça, tu le sais déjà. Mais tu te refuseras à être mordue par qui que ce soit. Tu n’es pas du même genre de vampire que moi. Si tu te fais mordre, tu mourras. J’ai appris à combattre la mort, et je doute que tu auras l’occasion dans ta future vie troublée de t’initier à ce passage si angoissant qu’est le Retour de la Mort. C’est drôle à dire, parce qu’ayant été mordue, tu sais à quel point les humains sont faciles à faire revenir de la tombe. Ce n’est pas la même chose pour nous, tu comprends?

Elle se redressa un peu pour la contraindre à faire de même et décala doucement les cheveux bouclés de sa compagne pour poser de doux baisers dans son cou. Après l’amour, le tempérament bouillant de Lily se laissait gagner par son attitude de femme expérimentée, comme si le sexe avait le pouvoir de lui redonner son calme d’Immortelle. Elle vint doucement malaxer les seins de sa compagne, taquinant parfois ses tétons.

-Ne t’empresse pas de devenir comme moi. Je n’ai pas eu le choix de ma vie, mais tu l’as encore. Profite de ta jeunesse tant que tu le peux encore, et quand tu deviendras une vieille chouette comme moi, tu pourras peut-être plus sincèrement considérer à te faire réellement Reine des Vampire… et ce jour-là, j’espère que tu deviendras aussi puissante que moi.

Elle lui mordilla alors une oreille en souriant avec taquinerie.

-Qu’on puisse baiser entre Reines toutes-puissantes.

Après ce mordillement, elle recula et attira gentiment sa compagne contre sa ferme poitrine. La jeunesse, elle le savait pour avoir toujours ce comportement immature, poussait les gens à faire des bêtises qu’ils ne feraient pas normalement, mais cette femme méritait mieux que ce à quoi elle semblait aspirer. Autant prendre son temps, elle le savait aussi bien qu’elle, pour goûter toute la saveur de ce monde avant d’en sacrifier une part qu’on n’aurait peut-être jamais eu la chance de goûter. Enfin, c’était la philosophie de la Reine, pour ceux qui allaient l’écouter, c’est une autre histoire. Elle frotta alors une nouvelle fois ses mains avec du savon et entreprit de laver les seins et l’abdomen de la jeune femme.


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