La Reine semblait... Heureuse. Après tout, si elle n’avait jamais couché avec une hermaphrodite vampire, ce devait être une première pour elle ! Ça l’était aussi pour Mélinda. Le contraste entre le corps relativement froid de Lyli, et le corps bouillonnant de chaleur de Mélinda, l’avait certes un peu rebuté au début, mais elle s’y faisait maintenant. A chaque fois qu’elle frottait intensivement le corps de Lyli, elle ressentait un peu de sa chaleur corporelle sur celui de la Reine, ce qui était assez agréable. Lyli était aussi froide qu’un glaçon, mais ce n’était pas le cas de Mélinda. La Reine de son clan semblait heureuse, très heureuse, et, quand elle offrit à Mélinda sa poitrine, cette dernière pencha sa tête pour gober les seins qui lui étaient présentés.
La scène évolua ensuite. Ayant compris ce que Mélinda voulait, Lyli lui offrit la fessée ! Mélinda poussa des cris de plaisir à chaque claque, rougissant de plaisir. Lyli veillait aussi à l’insulter, ce qui ne faisait, par un effet pervers, que l’exciter encore plus. La petite vampire en rougit de bonheur.
« Haaaaa, HAAAAA, oui, oui, ouuuiiiiii ! » s’extasiait-elle.
Que c’était bon ! Ces claques sonores ! Ils étaient comme des coups de fouet, réveillant la vampire, répandant en elle de délicieuses sensations de plaisir. On pouvait dire que Mélinda était une esclavagiste très proche de ses esclaves, dans la mesure où elle n’hésitait pas à subir elle-même le traitement qu’elle infligeait parfois à ses esclaves. Lyli la masturbait, et la Reine alla ensuite s’emparer d’un curieux appareil, un « gode », pour autant que Mélinda se souvienne du terme utilisé. Une espèce de verge en plastique que la Reine enfonça en elle, dans son intimité, faisant hurler la vampire.
Dans le fond, elle préférait un bon vieux sexe humanoïde, mais, à défaut, elle se contenterait de ce truc. Le gode avait tout juste la place de s’enfoncer dans son intimité, et elle le sentait frotter sur ses testicules. Lyli alla ensuite jusqu’à pousser le vice en s’attaquant à son fondement.
« HAAAAAAAAAAANNNNN ! Oh puuuuUUUUUUtaaaiiiiiinnn ! » couina Mélinda.
Elle remua sur le lit, ses griffes déchiquetant la couverture. La sueur s’égoutta furieusement de son corps. C’était si bon, si intense, qu’elle en versa même une larme. Mélinda ignorait ce qui dominait le plus dans son corps : la souffrance ou le plaisir. Les deux semblaient s’affronter dans un terrifiant duel, et l’orgasme, lui, apparaissait comme une chose naturelle. Lyli sembla toutefois se refuser à lui offrir ce moment de soulagement, en enroulant une espèce d’élastique autour de son sexe, bloquant la transmission du sperme. Mélinda en fronça les sourcils, mais n’eut pas le temps de le retirer, dans la mesure où le godemichet alla se déplacer pour s’enfoncer dans son cul, lui coupant le souffle.
Si c’était bon... Oh, si c’était bon ! Mélinda remua ses fesses, appréciant le contact de ce truc. Lyli alla alors lui expliquer quelques rôles. A quatre pattes, Mélinda soupirait, les joues rouges. Elle respirait comme un taureau, ses souffles entrecoupées de gémissements. Ça lui faisait mal, terriblement mal, mais c’était aussi monstrueusement bon ! La Reine lui expliqua ce que Mélinda devait faire, en lui interdisant de retirer le godemichet, sous peine de recevoir des fessées. Difficile de dire ce qui la tentait de plus, mais, une chose était sûre... Cet élastique n’allait pas rester longtemps. Mélinda voulait bien jouer à la soumise, mais la priver de son orgasme, c’était un peu trop pour elle. Lorsque Lyli retourna s’allonger, Mélinda tira d’un coup sur l’élastique, libérant son sexe. Son érection était énorme. Elle avait besoin de JOUIR !
A quatre pattes, Mélinda s’avança vers la Reine. Se relever était trop difficile. Elle lécha l’intimité de cette dernière, et lui glissa alors, après avoir léché l’ensemble pendant plusieurs secondes :
« Je vais vous baiser, Majesté... Haaa, vous allez voir, je vais vous prendre comme personne ne vous a jamais pris, et vous hurlerez à tel point qu’on vous prendrait pour une traînée ! »
Elle agit alors, et retourna Lyli. Elle vit son délicieux cul, mais elle ne comptait pas le prendre.
« A quatre pattes, Majesté... Je ne vais pas vous enculer... Pas encore, du moins... Vos petites fesses auront également droit à mon traitement ! »
Elle attendit que Lyli s’exécute pour s’enfoncer dans son intimité, la prenant par l’arrière. La vampire poussa un cri de plaisir, et gifla sur le coup le fessier de Lyli, avant de s’y cramponner, et de donner des coups de reins. Elle gémit, ferma les yeux, sentit des frissons de plaisir la traverser, la dévorer. Son feu intérieur la consumait, et, dans un cri, elle finit par jouir, par avoir son premier orgasme. La sodomie qu’elle subissait l’excitait encore plus, et elle continua, en suivant cette idée, à baiser la belle vampire, soupirant et gémissant à chaque coup de rein.