Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy] FINI ^^

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Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 15 mardi 20 mars 2012, 13:49:09

Putain mais quel con !  Il en avait trop dit !  Bon et bien il fallait qu'il se le coltine ! Ou pas !  Mais notez bien qu'il était hors de question qu'il l'emmène avec lui ! Tant pis si il devait choper un blame pour ça ! Il le chopêrait et ce serait réglé ! Mais ce capitaine Kaneda, plus te mps passait et mins il pouvait le saquer, surtout qu'en plus d'être un crétin c'était aussi, il le voyait maintenant, un vrai trou du cul ! Bon, et bien....

Il arriva devant la moto et lui sourit avant de lui mettre une violente beigne dans le ventre. Puis il lui explosa la tempe par terre, sur le bitume. Rien à foutre des conséquences. Il serait suspendu, et alors ? C'était pas comme si il avait prévu d'avoir aucun pépin à la fin, à partir de l'instant même où celui-ci avait décidé de voler la clé USB, il avait su qu'il aurait des emmerdes.

« La différence entre vous et moi, c'est qu'avant de penser à ma plaque, j'ai pensé à l'otage ! »

Il récupéra la clé USB et mis le capitaine, bien assomé, dans  une benne à ordure sur laquelle il posa des poids, histoire de prendre un peu d'avance sur son réveil, il ne resterait pas groggy bien longtemps ! Il soupira et mis la clé dans une poche de son trench coat qu'il ferma avec la fermeture éclair, puis il retourna dans le commissariat, et copia sur la clé usb de son propre pc les éléments de celle qui faisait office de pièce à conviction. Il avait une copie. Puis il courrut jusqu'à sa moto, qu'il avait garé à distance du commissariat, assez pour être discret,  et démarra en toute bringue.

Mentalement, il fit le compte des emmerdes qu'il avait déjà accumulé : Vol qualifié et aggravé, aggression sur un supérieur hiérarchique, obstruction à la justice, et si personne n'agissait contre, double homicide au bas mot ! Bon et bien dans l'ensemble c'était pas trop mal ! Il ne fallait pas se plaindre. Mais bon, il avait pas de temps à perdre.

Il en était au point qui, au final, ltransformait la ville en un circuit de course avec des obstacles. Un vrai taré qui avait du pot de ne pas avoir eu d'accident ! Et tou(t en conduisant il se demandait si il n'avait pas frappé un peut fort l'autre tocard de capitaine de mes deux....

Il arrêta sa moto à côté du barque et y entra, main dans les poches, pếpère... serrant dans sa main la clé usb originale pleine des données qu'il voulait et hop, voilà, mais il ne donnerait rien avant d'avoir Hitomi en visuel avant de donner la clé USB.

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 16 mardi 20 mars 2012, 23:06:13

Ça commence à faire un bon quart, et demi-litre de jus d'orange, que Johnny attend dans sa voiture quand il voit enfin Gabriel s'arrêter devant le parc. Aussi sec il sort son téléphone portable.

" Tout roule ?
- Au poil.
- Sortez le gâteau. "


***

Le chauffeur raccroche de son côté, puis fait signe à un des trois débiles de le suivre. Ils regagnent ensemble la salle où il avait laissé l'otage et...

" Merde ! "

C'est le moins qu'on puisse dire dans cette situation quand on est un kidnappeur amateur. La chaise est debout au fond de la salle, les cordes sont coupées, quelques gouttes de sang sont répandues au sol, deux chaussures de femme sont abandonnées sur le carrelage, et deux pieds gainés de nylon filé se glissent dans la bouche d'aération du plafond. Le chauffeur réagit immédiatement. Il prend trois pas d'élan avant de bondir pour se hisser dans le conduit. Mais à peine sa tête y entre qu'il récolte une volée de coups de talon au visage. Il abdique et se laisse retomber au sol pour découvrir son comparse pointant un pistolet vers le plafond.

" Non ! On a besoin d'elle vivante !
- Comment on fait ?
- Va rameuter les deux autres et suivez les conduits ! Et pas de flingues ! "


***

Ignorant ce qui se passe à l'usine, Johnny téléphone à nouveau.


" Valmy, mon ripoux adoré ! Si tu te retournes un peu vers la droite tu verras une petite bagnole grise... Coucou ! Veuille t'approcher par le côté passager, sans de geste... "

Son portable se met à sonner contre son oreille. Il jette un œil perplexe à l'écran.

" Excuse-moi, j'ai un double-appel... Qu'est-ce qui se passe ?
- On trouve plus le gâteau.
- C'est fâcheux... Appelle-moi dès que tu remets la main dessus. "

Il raccroche au nez de son complice.

" Oui, nous disions donc : par le côté passager, sans faire de geste brusque. "


***


Je ne sais pas si c'est ce tunnel d'aération plein de poussière et de toiles d'araignée, mais je sens que j'ai fait une grosse connerie. En plus le gars à qui j'ai éclaté le pif ne va pas être gentil s'il me coince. J'espère que c'était pas le flippant de la bande. En attendant il faut que je m'arrache de là. La vieille tôle fait un bruit pas possible quand je bouge.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 17 mercredi 21 mars 2012, 08:52:35

Voilà, Johnny était là, il fallait en finir. Bon, où était Hitomi ? Et où étaient les complices de Johnny ? Il s'apprêtait à prendre une balmla n'importe quand, pour la simple et bonne raison qu'il avait affaire à un tueur de flic, c'était la raison pour laquelle il n'avait pas pris de Kvlar au QG, tout simplement car les balles perforantes le rendait complètement inutile ! Putain qu'il ne lui donne pas une occasion de le flinguer où Gabriel le ferait, et il se foutait des conséquences de cet acte, mais voilà, les tueurs de flics ne méritaient même pas la taule, non, juste qu'on li fasse péter le caisson tout simplement !  Inutile de chercher plus loin.

Voila qu'il lui demandait d'entrer dans la bagnole. Non mais fallait pas déconner non plus, il avait la clé usb, il fallait maintenant qu'il voit Hitomi, il n'aurait rien sinon, et quand à monter dans la bagnole, qu'il aille se faire foutre !  Il était pas cinglé au point de monter dans la bagnle d'un tueur de flic.

« J'i rempli ma part du marché, mon p'tit Johnny, maintenant, à toi de remplir la tienne, ici, c'était le point de rendez-vous, amèhne moi Hitomi ou sinon, je garde la clé USB. Simple comme idée, non ? Tu sais bien que je ne te fais pas coniance, alors donne moi une seul bonne raison de monter à côté de toi. Comme tu m'as si bien dit, tu ne souhaites pas dépuceler ton casier vierge.... »

Il eut une lueur mauvaise dans le regard et un sourire en coin, il jouait le mec assuré, mais il était mort de trouille. Non, pas pour lui. Que risuqait-il ? De crever ? Il n'y avait personne qui le regretterait, il n'avait pas d'attaches, et la seule chose qu'il allait laisser derrière c'était un salaire et une retraite à ne plus payer, mais bon, il savbait qu'il jouait avec le feu et Hitomi pouvait en ressentir les conséquences, l'ennui, c'était qu'il avait très bien compris une chose, que si il ne faisait pas gaffe, il finirait à bouffer les pissenlits par la racine.

Si Johnny voulait se barrer, c'était sans doute parce qu'il était sur de pouvoir y arriver, et si il avait cette certitude, il savait qu'il n'avait plus à s'en faire pour sa peau, il y passerait sans doute. Alors tanyt qu'à faire, autant faire en sorte qu'Hitomi soit épargnée. Mais il y avait des limites, fallait pas non plus le prendre pour un con !

« Idée à la con, mais je crois que je vais vous attendre ici....sauf si tu me trouves un moyen de garantir que tout se passera bien. Je me fous pas mal de tes magouilles et de tes objectifs, même si j'en sais assez pour avoir une vague idée. J'ai pas été suivi, les flics ont aucun moyen de savoir où je suis, alors je suis pépère, non ? »

Il sourit et tendit la main.

« Je veux parler à Hitomi de suite, preuve qu'elle va bien. Et j'accepterai peut-être de te suivre en moto, et encore, je trouve que c'est une maigre garantie ! »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 18 mercredi 21 mars 2012, 12:26:21

À l'usine c'est pas la joie, pour personne. Les quatre hommes doivent fouiller l'immense édifice dans ses moindres recoins. La jeune femme non plus n'est pas à la fête. Sa jupe déchirée jusqu'en haut de la cuisse droit, sa veste abandonnée depuis déjà un bout de temps, elle avance toujours dans les conduits d'aération. Soudain, à deux mètres d'elle, une grille saute et un homme commence à se hisser. Panique. Aucun moyen de faire demi-tour, elle part à reculons.

" Bouge pas... Sinon... j'te... "

Un gémissement métallique se fait entendre. Après cet unique mise en garde tout une portion du conduit s'effondre, emportant le malfaiteur. la rousse met bien deux secondes à se remettre du choc et se décider. Elle avance pour déboucher dans une pièce qui devait servir de bureau. L'homme est au sol, ses jambes gesticulent alors que le haut de son corps est toujours piégé dans le tronçon de conduit d'aération. Après une cabriole maladroite la rousse tombe au sol, puis se relève pour s'enfuir.


***


Assis au volant de sa voiture arrêtée, Johnny laisse Gabriel finir son petit discours avant de soupirer un grand coup.

" Tu commences modérément à me faire chier, Valmy. Et j'aime pas qu'on me fasse chier : ça perturbe mes bonnes vibrations. Je dois te rappeler ce que je t'ai dit ? Tu me donnes la clé, puis je te dis où tu récupères ta copine. Je suis pas assez con venir me balader avec un otage en laisse devant tout le monde. Quand j'aurais mon du, mes hommes iront déposer ta rouquine. C'est ça le plan. "

Sur ce le malfrat dégaine un pistolet qu'il braque droit sur le visage du flic.

" Si je te collais une balle en pleine gueule ici et maintenant, tu pourrais t'estimer heureux. parce que si tu crois que Kaneda a revu sas taupes que j'ai déboulonnées tu te goures. C'est ça l'astuce de la méthode : pas de corps, pas crime. Si continue à contrarier mon plan, tu passeras ta vie à chercher les morceaux de ta copine. Ça c'est garanti. Pour le reste tu fermes ta gueule ! Je suis pas un vendeur de lave-linge ! Je suis un preneur d'otage, bordel ! "

Il soupire à nouveau, lançant des regard de part et d'autre.

" Dit-moi qu'il y a personne d'autre à moins de cinq mètres de la bagnole... "


***


La rousse cavale à travers l'usine, espérant ne pas se tailler les pieds sur les morceaux de verre qui trainent un peu partout. Elle aperçoit enfin une sorite, mais également une silhouette qui ne tarde pas à se lancer à sa poursuite. Foutue pour foutue elle s'élance vers les escaliers et passerelles métalliques qui encerclaient autrefois les chaînes de montage.

" Arrête-toi ! "

Les pas son rapides, plus que les siens. la rousse grimpe quatre à quatre une série d'escaliers dont le grillage lui scie littéralement la plante des pieds. Mais elle serre les dents et continue. Plus elle monte moins elle a de chance de s'en sortir, mais l'instinct est au commande et il ordonne de fuir dans n'importe quelle direction. Troisième pallier, elle abandonne les escaliers pour les passerelles. Elle file. Droite, gauche, droite... Puis tout droit. Mais devant elle la passerelle tourne en angle droit des deux côtés, en face il y deux bons mètres de vide jusqu'à une autre passerelle. La rambarde de son côté n'est plus là, ce qui n'est pas rassurant pour celle de l'autre rive. Tant pis. Si elle arrive à passer elle aura repris un peu d'avance. Elle accélère.

" Qu'est-ce que... Non ! Saute pas ! "

Mais elle saute, donnant toute la force qui reste dans ses jambes. Le temps semble ralentir. Devant elle la rambarde descend lentement tout en s'approchant, mais commence vite à remonter. Elle tombe droit dessus, la percute de tout son poids. La rambarde cède et tombe sur la passerelle. La rousse se retrouve avec les pieds dans les jambes dans le vide, sans d'autre qu'une rambarde cassée pour se retenir. les larmes lui montent aux yeux et se gorge se serre. Elle glisse lentement vers une chute de trois étages.

Soudain toute la passerelle tremble comme le chauffeur défonce à son tour un pan du garde-corps. Mais lui se relève immédiatement et, sans un mot, attrape la rousse par les bras pour la hisser. Il respire fort, mais contrairement à elle il aurait pu courir encore longtemps.

" Pauvre conne ! Qu'est-ce que tu croyais faire ?! "

Alors qu'il tourne la tête en fouillant ses poche, la rousse encore tremblante remarque l'arme à sa ceinture. Elle se rue sur lui pour la prendre puis recule d'un pas en le braquant. Le chauffeur se fige un instant, puis sort son portable de sa poche.


**


Le téléphone de Johnny sonne soudain dans sa poche. Il décroche.

" Qu'est-ce qui se passe ?... Ok. "

Il tend le téléphone à Gabriel.

" Ta copine. "


**

J'ai peu le courage. Il était à un mètre de moi, j'avais qu'à replier le doigt et j'ai pas eu le courage. Même pas quand il m'a désarmée, d'une seule main. Pourtant j'aurais du le faire, pour m'enfuir, et pour qu'il ne puisse jamais me faire payer les hématomes qui se forment sur son visage. Je ne comprend même pas ce que je dis dans le téléphone, ni à qui je m'adresse. À force d'essayer de résister j'ai failli me tuer toute seule comme une conne.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 19 mercredi 21 mars 2012, 12:52:28

Et voilà qu'il s'énervait, bon, okay il allait monter, mais étrangement ce n'était pas le risque de faire prendre une balle en pleine gueule qui le faisait chier, il aurait même eu tendance à rapprodcher son front du canon comme pour provoquer la colère de ce connard !  Oui, c'était un connard, un vrai de vrai, un pur et dur ! Et si il croyait s'en tirer comme ça, il se foutait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude !

Il resta silencieux, il pouvait déblatérer, Gabriel pour une fois était stoïque et il avait même son sourire en coin, vous savez celui qu'il a quand il pense avoir une supériorité écrasante ! Ouais, celui là, ce même sourire avec l'étincelle qui passe d'habitude dans ses yeux. D'habitude car là, ce n'était pas le cas, non, son regard d'azur était de glace, une glace plus froide et plus dure que la pierre, une glace qui foutait parfois des frissons dans le dos aux salauds de la trempe de Johnny !

Quand il lui tenit le téléphone il le prit et reconnut la voix d'Hitpomi, complètement affolée, baragouinant des mots incompréhensibles. Il la laissa parler avant de doucement prendre la parole.

« Doucement Hitomi, j'arrive, calme toi, bientôt tu seras à l'appart', ne t'en fais pas, ne bouge pas, et s'il te plait, ne tente rien de stupide ! »

Mais de l'autre côté on raccrochait déjà, il avait tenté d'être cposé, calme pour lui donner confiance, il avait tenté de planquer sa trouille. Puis il sourit, pour se rassurer un minimum, devant se retenir de laisser à ses genoux le plaisir de jouer des castagnettes ! Il fit le tour de la voiture avant de monter du côté passager bien sagement. N'allez pas croire qu'il se pliait aux désirs de Johnny sans autre but que de protéger Hitomi.

« Tu sais Juohnny, ce qui est con, c'est que c'est pas ma copine, tu as beau dire ce que tu veux la dessus, voilà la vérité. Chais pas comment tes hommes ont fait pour savoir qu'elle était ma copine, mais à mon avis tu aurais du engager de vrais pros, et là ils auraient kidnappés la bonne personne. Enfin, avec le coup de filet, la bonne main d'oeuvre vient à manquer, mais ce sont les risque du bizness ! »

Il sourit et sortit de sa poche la clé usb,, qu'il montra à Johnny avant de la remettre là où elle était, il avait encore ce petit sourire en coin.

« J'ai bien ue clé USB sur moi, mais est-ce la bonne ? Il faut l'espérer.  Vois-tu, c'est ça toute la beauté de la chose, au final, tu me bute, t'es dans la merde si c'est pas la bonne. Maintenant, où est Hitomi ? Je me suis pas fait chier pour rien en essayant d'éviter qu'on me suive. Y avait personne Johnny, sinon t'aurais pas sorti le flingue comme ça, je pense assez bien te comprendre pour croire que tu n'agis jamais inconsidérément. Bon, j'imagine que maintenant on va quelque part... »

Il soupira et mit les mains dans les poches de son jean, blasé mais en même temps amusé parce qu'il savait quoi faire pour le moment et aussi parce qu'il gardait certains atouts dans sa manche.

« Tu sais Johnny, de toute manière je me doute que nous allons aller dans un endroit où y aura Hitomi, deux mecs visbiles et le reste de planqué pour m'abattre au moindre mouvement de cil. Du copup je suis pas stressé par cette affaire. T'as aucun intérêt à me laisser en vie après tout.... »

Tant qu'à faire, autant jouer franco. Il savait qu'il n'en reviendrait pas !

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 20 mercredi 21 mars 2012, 14:05:38

Johnny garde tranquillement son portable dans une main et le flingue dans l'autre alors que Gabriel joue les profilers et pronostique la suite des événements.

" Mais bordel t'es sourd ou t'es con ?! Je t'ai dit de me filer la clé et d'attendre que je t'appelle ! Deux fois ! Tu te crois à une soirée bière entre potes ?! "

Il presse à nouveau la touche d'appel du portable.

" Emballe le gâteau... Et allume les guirlandes, tant que t'y es... Oui, je suis sûr... Et passe-la moi... "

Il envoie le téléphone entre les jambes de Gabriel, qui le porte à son oreille.

" Écoute bien ce qu'elle va te dire.
- Gabriel !... Je suis dans une usine !... Ils me... Non ! Non, pas ça ! Arrêtez ! "

La téléphone change de main alors qu'Hitomi continue de crier et de supplier.

" Ta copine a sept kilos de plastique sur le dos. Tu continues de faire chier et je l'envoie sur orbite en pièce détachées. C'est pas Johnny qui a le doigt sur le bouton, c'est moi. T'as cinq minutes. "

Confiant de l'effet de son petit plan de secours, Johnny range son arme.

" Tu as raison sur un point, mon ripoux : je ne laisse rien au hasard. Maintenant tu seras gentil de sortir le petit ordi qui est dans la boîte à gant, d'y mettre la clé et de foutre le camp de ma bagnole. Merci d'avance. "


***

Je l'ai vu venir à trois bornes, ce gilet. Je suis toujours experte, mais dans les films c'est le genre de choses qui vaporise tout à cent mètres à la ronde. Et ils n'ont pas fait de mystère : si j'essaie de l'enlever je suis morte. Plus la peine d'essayer de m'enfuir, ils le savent aussi bien que moi. Qu'est-ce qui se passe dehors ? Ils n'avaient pas l'air si énervés que j'essaie de m'enfuir. Et tout à coup ils me transforment en bombe humaine. Pire : le gars flippant a envoyé les autres dans l'usine pour amorcer d'autres explosifs. Ils avaient sans doute prévu ça dès le début pour couvrir leur fuite.


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 21 mercredi 21 mars 2012, 14:40:06

Putain mais c'était quoi ce putain de bordel de merde à la con ! Il savait que le Johnny avait tout prévu mais pas ça !  Par contre, si il estimait qu'il allait s'en sortir aussi facilement, il ne savait pas qui était son petoit ripoux. Il allait s'amuser le ripoux ! Bon, il avait cinq minutes, et cela ne m'tonnerait pas qu'il ait la montre en main. Le plus drôle, en fait, c'était qu'au final, Il se faisait baiser le petit con de Johnny, il devait pas avoir déjà compris à quel point, mais quand il le comprendrait, ce serait trop tard. Mais vous savez ce qui serait le plus con dans cette histoire ? C'était la suite. Le mec avait raccroché au nez d'Hitomi, précisant que c'était lui qui avait le moyen de mettre fin à la vie d'Hitomi. Johnny n'avait donc plus aucune sorte d'importance !

Elle était dans une usine. Où ça ? Laquelle ? Il y en avait plein !  Mais pas cinquante qui étaient isolées !  Il n'avait aucune précision quelconque ! Il n'y arriverait pas à temps. Bon et bien faute de mieux, il obéit. Ouvrant le vide-poche il en sorti le netbook et brancha la clé usb dessus. Au passage, il ponctionna la majorité de la batterie du PC, il tiendrait au mieux, cinq/dix minutes, rien de plus, il avait intérêt à savoir ce qu'il chechait.

« Bon voilà !  Et maintenant je file. »

Il ouvrit la porte mais il se ravisa, il avait autre chose à faire avant.Passant la main sur la partie métallique de la carosserie, il envoya un choc électrique de moyenne intensitémit hors service tout le matos électronique de la bagnole. Ça, c'était fait ! Bon, la suite maintenant !  Il sortit de la voiture mais laissa la porte ouverte, la tenant fermement et pompan t dans la batterie légèrement, assez pour qu'il tombe en rade assez vite, mais pas trop, il lui dit :

« Bon, elle est où ? »

Il attendait et ne lâcherait rien avant de savoir où elle était. Et si il se barrait à toute vitesse, il le suivrair, et il n'avait pas besoin de la moto pour ça ! Il utiliserait ls grands remèdes pour contrer les grands mots de sce malade !

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 22 jeudi 22 mars 2012, 19:31:00

Johnny décroche à nouveau son téléphone (vive les forfaits illimités).

" Remet une pièce dans le parcmètre, j'arrive. "

Il jette un œil à Gabriel.

" Tu pensais quand même pas qu'on la libèrerait avant je sois loin de toi, de ton flingue et des pulsions violentes que tu pourrais avoir à mon égard ? "

Sur ce il démarre.

" Fait pas la gueule, mon ripoux, t'es bientôt sorti d'affaire ! "

Alors que la voiture s'éloigne sur le parking c'est le portable de Gabriel qui se met à vibrer. Un texto :

[je sais où il va. Si vous voulez être de la fête sautez sur votre moto et rappelez-moi à ce numéro. Vous êtes une tâche. Kaneda.]


***

Dans sa voiture, Johnny roule pépère, jetant de temps en temps un œil à l'écran du netbook. Quand soudain celui-ci annonce que la batterie est morte et s'éteint de lui-même.

" Hé ! Mais je t'ai mis à chargé toute la nuit ! "

Il referme le petit ordinateur d'un geste ferme mais pas violent, dans le but de ne pas encourager les mauvaises vibrations qui commencent vraiment à s'intensifier. Et bientôt la voiture s'y met en calant au premier feu rouge venu.

" Ha non ! Toi t'as été révisée hier par le spécialiste ! "

Mais il a beau s'acharner sur la clé de contact rien n'y fait. Une fois c'est le hasard, deux fois c'est une coïncidence. Autant dire pour quelqu'un qui ne laisse rien au hasard les coïncidences sont le signe très net que la journée va mal finir. Johnny attrape le netbook et quitte la voiture. Celle de derrière klaxonne bien fort, ce qui n'aide pas à la discussion, car il a encore dégainé le portable.

" Tu déballes pas le gâteau !... Je sens des mauvaises ondes !... Ouais, mauvaises de chez mauvaises !... Prépare tout pour aller prendre le bus !... J'arrive !
- Remonte dans ta bagnole, connard !
- J'te laisse ! "

Le malfrat approche de la voiture et du conducteur franchement pas très porté sur le civisme, et lui dégaine son flingue sous le nez.

" Veuillez libérer l'habitacle du véhicule avant d'y laisser des morceaux incrustés un peu partout. "

Le conducteur ne se le fait pas dire deux fois. Johnny saute donc dans sa voiture, une espèce de vieux break tout pourris qui fouette la clope froide et la bière. Et il reprend la route.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 23 lundi 26 mars 2012, 09:54:48

Pas besoin de voiture pour suivre celle du Johnny, de toute elle allait tomber en rade dans 5.....4......3.....2.....1.....hop. Il se mit  en rade. Et voilà il n'irait pas loin, maintenant, il suffisait dele rattraper, lui passer une bonne dose de courant à travers le corps et il chanterait comme un rossignol milanais !  Il allait en faire du bruit, et pas qu'un peu ! Il allait couiner comme un goret comme saigne !

Quoique ce n'était peut être pas une bonne idée. D'autant qu'il fallait se charger du capitaine Kaneda, il ne pensait pas avoir frappé si doucement ! Dommage, ou alors il avait le crâne dur, il devait être  bélier....bon, peu importait, il appela sur le portable de ce connard. Pourquoi il l'appelait d'ailleurs ? Il pouvait très bien réussir sans lui. Mais voilà, un brin d'instinct et c'était parti, il attendit que cela dcroche, et préféra rentrer directement dans le lard, il n'allait pas se fait chier

« Bon, voilà, ici Gabriel, la tâche.dont vous parliez ! Je me fous de savoir où va Johnny, je veux savoir où est l'otage. Vous me le dites où vous laissez tomber, dans les deux cas, y a une copie des données de la clé usb sur celle de mon propre PC. Alors chopez Johnny si vous voulez, moi je m'en tape ! »

Il se tut, mais hors de question de le laisser parler avant qu'il n'ait fini, car il avait aucune envie d'entenndre les paroles de ce couillon de Kaneda.

« Je crois que vous voulez Johnny à tout prix quitte à sacrifier un otage mais si c'est le cas, vous pouvez aller vous faire foutre. C'est pas la personne qui vit sous le même toit que vous qui est retenue comme otage. Alors écoute moi bien, soit tu me donnes le lieu où se trouve Hitomi, soit tu te la boucle...au passage, Johnny vient de change de voiture! »

Il soupira, attendant une quelconque réponse en allumant sa moto et en commençant à rouler lentement, juste assez vite pour suivre Johnny à distance, au cas où ce ducon de Kaneda ne sache rien. Il imaginait très bien ce qu'il ferait à Johnny, il lui arracherait les boules pour les lui faire bouffer, puis, ce serait au tour des ongles, jusqu'à ce qu'il sache où elle se trouvait. Car il se doutait d'une chose :  Kaneda ne saurait rien de plus que lui, il voudrait Johnny rien de plus !

« Crache le morceau ! Parce que là j'en ai raz le cul ! »

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 24 mardi 27 mars 2012, 19:03:19

" Vous avez du bol que je sois quelqu'un de patient, Valmy. "

Assis au volant de sa voiture de fonction, le Capitaine Kaneda reste à l'arrêt dans la rue qui fait face au parc. Arrivé juste à temps pour voir Johnny démarrer, il a aussi assisté à sa réquisition de véhicule.

" Le scellé de la clé USB est un traceur, vous ne pensiez pas que j'allais vous laisser partir avec sans une sécurité. Je suis dans le tout-terrain blanc garé devant la boutique d'informatique. Collez-moi aux fesses, on va suivre Johnny d'assez loin pour qu'il nous voit pas. Mais avant je dois vous prévenir : on a très peu de temps et on est pas seuls sur le coup. Ça venait de tomber quand vous êtes arrivés. Une écoute téléphonique de ce matin, les lieutenants de Kojima qu'on a pas réussi à coincer veulent la tête de Johnny. Apparemment il a barboté le pactole du vieux juste avant qu'on le serre. Et avec les informations de la clé il espère sûrement vidanger ses comptes à l'étranger. Si vous voulez revoir votre copine vivante on a intérêt à arriver les premier. Les renforts se préparent. Mais si les Yakuzas arrivent : on aura plus qu'à hurler "banzaï" en espérant vivre assez longtemps pour vider nos chargeurs. "

Sur ce il démarre, suivant le petite point rouge qui se déplace sur l'écran du GPS calé sur le tableau de bord.


***

Pendant ce temps Johnny se débat avec le levier de vitesse de la caisse toute pourrie qu'il vient de voler. Une fois revenu en troisième il ne peut s'empêcher de tapoter nerveusement le volant du bout des doigt.

" Tout va bien. Dans vingt minutes c'est fini. Costa-Rica... "


***


À l'usine aussi la tension monte. Hitomi est retour sur sa chaise, attachée, toujours couverte d'explosifs. Une fois de plus le chauffeur reste la surveiller.

" C'était vraiment la peine de m'attacher ? Avec ça sur le dos je risque plus de m'enfuir.
- Va savoir ce qui passe par les tête des gens quand on leur colle une bombe sur le dos.
- Si c'est que ça je peux vous le dire, je commence à me faire une bonne idée.
- Je préfère pas. "

La jeune femme fronce les sourcils. le chauffeur a vaguement souri en répondant. La première trace qu'il laisse voir d'une autre émotion que la colère. Mais il commence à se faire tard pour le baratin. D'ailleurs traverse la pièce pour aller ouvrir un des casiers et en sortir un gros sac qu'il pose sur la table.

" De toutes façons tu pourras bientôt oublier tout ça. "


***


Je sais pas pourquoi mais plus on a l'air de s'approcher de la fin, plus je suis stressée. En plus je pige vraiment rien. Je suis une bombe ambulante et ce type reste dans la même pièce que moi. En tous cas j'espère bien que vivrait assez longtemps pour oublier tout ça. Qu'est-ce que c'est que ce merdier qu'il déballe sur la table ? On dirait un ordinateur portable...


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 25 mercredi 28 mars 2012, 11:09:48

Ouais, c'est ça, il était patient, et bien quelle déveine pour lui. Il n'avait pas compris encore que quand quelqu'un l'emmerdait, la réponse universelle était « ta gueule ou jue te fous une beigne ! «  Tant qu'il n'aurait pas compris ça, il arriverait jamais à rien, d'ailleurs, mettre une beigne à Kaneda, c'étaiit déjà fait, il pouvait recommencer, mais cette fois il frapperait assez fort pour l'assomer, voilà, par sa faute, il avait les yaks sur le dos aussi, putain, le jour d'emménager il aurait du se casser les deux pattes ! Parce que là, se faire chier pour miss fait-la-gueule....ça lui foutait les boules, c'était décié, il déménageait et retournait vivre seul ! Au moins, il n'avait pas d'emmerdes ainsi !

« Ta gueule et roule »

Ce fut les seuls mots prononcés par Gabriel avant de se rapprocher de la bagnole en motio, sans casque, sans rien. De toute manière il n'en avait rien à foutre !  Et oulant à côté de la bagnole de Kaneda, il adttendit qu'il ouvre la fenêtre pour lui dire :

« Je te préviens, tu oses seulement m'empêcher d'agir à un seul instant, je te troue la peau moi même ! Vu ? »

C'était clairement une menace, putain, déjà, à cause de lui, ils avaient la chance d'avoir des putain de yakuzas sur le cul, mais alors si en plus il devait se coltiner Kaneda, ça allait chier. Ralentissant, il laissa un peu de place entre la voiture de Kaneda et lui, n'attendant que de le voir se stopper pour y aller vraiment, et si il y allait vraiment, ce serait mortel, au propre comme au figuré.

Il continua d'avancer et finalement remarqua un détail, deux ou trois grosses berlines noires qui les suivaient. Pilotant d'une main, il sourit en prenant son téléphone, attendant que Kaneda décroche.

« On est suivis, tu vas volontirement te planter de direction, et de mon côté, je vais suivre tes indications pour continuer de suivre le mister, juste histoire de les semer. Tu voulais être utile, gagne du temps !  C'est la seule manière d'être réellement utile pour topi ! »

Il se stoppa juste le temps de mettre les écouteurs de son kit main libre sur ses écouteurs et son portable dans sa poche. Puis il accéléra pour remonter un peu, dépassant Kaneda, attendant les indications, répètant dans le micro :

« Faut savoir jouer intelligeamment, les yaks tireront dans le tas sans réflechir, agis comme il faut. »

Il n'avait de toute manière plus confiance le moins du monde en lui ! C'était forcément lui qui avait prévenu les mafieux, qui d'autre ? Mais avait-il le choix ?

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 26 lundi 02 avril 2012, 01:43:16

Dans sa voiture, le capitaine Kaneda conduit d'une main. Il passe l'autre sous sa veste pour en sortir son pistolet qu'il pose sur le siège passager. Trois voitures éminemment suspectes dans le rétroviseur, et qui le suivent sans s'occuper de Gabriel sur sa moto.

" Ne venez pas me parler de jouer intelligemment, Valmy. Vous n'êtes bon qu'à éclater des gueules de suspects. Fourrez-vous dans le crâne que je suis là pour vous aider, et arrêtez de me pomper l'air. Je dois vous guider et surveiller trois bagnoles de Yakuzas qui hésiteront pas à ouvrir le feu en pleine rue s'ils comprennent notre petit manège. "

Mais ce n'est qu'une question de minutes. Le temps d'embarquer ses poursuivants sur une fausse piste, le capitaine n'aura qu'à donner un coup sirène et partir en trombe. Tout le problème est là : qui sait ce qui peut se passer dans les minutes à venir.

" Prenez à droite, vers le centre commercial... Et faites gaffe, je pense qu'il se dirige vers le Quartier de la Toussaint. En ce moment on ramasse les cadavres à la pelle dans ce coin. "


***


De plus en plus nerveux, Johnny est aussi de moins en moins regardant sur le code de la route. La tension monte, et il sent que ça va se gâter. Trop de mauvaises vibrations un peu partout. La hantise du comploteur le prend : s'il a été assez malin pour monter un coup pareil, quelqu'un peut avoir été assez malin pour le remarquer. Et avec son ripoux il n'a pas fait une bonne affaire. Pour un pion il ne s'est pas laissé diriger facilement.

Après un petit quart d'heure il arrive enfin à l'usine. Sans un mot pour ses hommes de main il file à la pièce de l'otage. Il sourie aussi largement que possible en entrant, pour rassurer la jeune femme saucissonnée à sa chaise et couverte de pains de plastique.

" Votre calvaire touche à sa fin, très chère.
- Ça me rassure pas. "

Il hausse un sourcil à l'intention de son chauffeur, qui se contente de hausser les épaules en réponse. Sans perdre de temps il connecte la clé USB à l'appareillage qu'a préparé son subordonné.

" Combien de temps ?
- Si nous sommes en ligne ça devrait... C'est parti. "

La mafieux se frotte les mains avec un sourire déjà plus crédible, et fébrile.

" Détache-la, je vais appeler le ripoux et lui dire de... "

Alors qu'il sort son portable de sa poche, ce dernier se met à vibrer dans sa main. Même la jeune femme y vois un mauvais signe, surtout à la vitesse où le sourire de Johnny vient de retomber. Il décroche.

" Vous devez avoir fait un faux numéro.
- Toujours aussi marrant, Johnny. On m'en a raconté une bonne hier. Il paraitrait que t'aurais mis l'héritage de Kojima en lieu sûr ?
- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez, monsieur.
- Une usine, c'est peu grand seulement cinq types. "

Johnny raccroche et fourre son téléphone dans sa poche.

" Koba est dans le coin. On a cinq minutes maximum. "


***


Je sais pas qui est ce Koba, mais il leur fait peur. Et à moi aussi. Ils ont beau me détacher et m'enlever la bombe qu'ils m'ont collée sur le dos, je suis pas rassurée. Alors quand ils me disent de rester là et de ne toucher à rien, j'ai pas franchement envie de désobéir. Maintenant c'est clair : ils ne peuvent plus sagement me déposer dans un coin tranquille. On se retrouve tous dans le même bateau, et plus que jamais je me dis que je n'ai rien à y faire. Vu les regards qu'ils ont en quittant la pièce, et l'électricité dans l'air, il va y avoir des morts...






Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 27 mardi 10 avril 2012, 23:11:35

Il suivit les indications de son collègue emmerdant !  Bon et bien enfin bon débarras, il roulait enfin seul !  Bon, il pouvait accélérer. Mais voilà, il trouvait ça trop lent, et le quartier de la topussaint en plus.....bon sang, au moindre coup de feu, ce serait la guerre des gangs assurée !  Il fallait vite se dépécher de se barrer du coin et arriver à l'usine, oui, à l'usine, il devait réussir à y aller, et en vitesse !  Allez, courage !

Il suivit ainsi pensant plusieurs minutes via téléphone la direction, okay, c'était bon, il savait où il s'était arrêté, pied au plancher, il avait mis tous les gaz pour jouer les casse-cou, une fois de plus, mais bon, il devait comme ncer à en avoir lm'habitude ça, à force ! Mais sur le coup, il ne le faisait pas pour le plaisir de la vitesse, mais par nécessité. Seulement, il trouvait qu'il mettaoit bien dui temps pour y arriver ! Vaec les embouteillages, il avait du faire plusieurs détours non néglligeables et voilà qu'il devait rattraper son retard comme il pouv ait !  A croire qu'il n'y serait jamais avant Kaneda !  Nom de dieu de nom de dieu de merde !

Et de facto, il arriva après coup, mais bon, ça sentait le mauvais coup venir mais alors il le sentait venir de manière complètement outrancière !  C'était si flagrant et si odieux qu'il en avait la chair de poule. Et il avait raison, le premier coup de feux retentit dans l'usine désaffectée. Son sang ne fit qu'un tour, son cœur manqua un battement, et d'un seul coup, il eut peur que ce soit l'otage qui soit abattu. Il fit demi tour, non pas pour se barrer, mais pour entrer de manière plus provocante et plus surprenante, l'effet de surprise et l'attrait de tous les regards serait un facteur sinon clé, carrément non négligeable !

Il avait vu une sorte de rampe qu'il s'empressa de monter, non sans difficulté, à toute bringue, le plus vite possible, aussi vite qu'il le pouvait pour son élan, et après, pour le saut, il ne fallait pas se planter, cela se jouerait à peu, merci les bâtiments accolés les bâtimets accolés les uns aux autres.

Les coups de feus pleuvaient en série alors que Gabriel arrivait au bout de la rampe, tournant brusquement pour sauter , roues en avant, sur la vitre de la source des coups de feux. Étrangement, il vit que les passes d'arme s'interrompaient momentanément. Lui, il lâcfha complètement le guidon pour se saisir des armes dans ses holsters et il fit feu, il ne visait qu'à moitié, ne faisant qu'une chose, tenter de localiser Hitomi, mais c'était un peu comme dans ces films de série B opù le héros ne voit pas la nana qu'il doit sauver du premier coup.

Mais toute cascade a sa chute, et la sienne approchait. Prenant appui sur les cale pieds à deux bons mètres du sol, il fit un saut en arrière et finit en roulé-boulé sur le béton du sol de l'endroit, bon dieu il allait le sentir passer après coup....non, en fait, il le sentait passr dès maintenant.

Se mettant à couvert, il regardea le nombre de balles, pâs beaucoup, mais assz pour le moment, et il n'avaut pas de chargeurs de rechange ! Il jeta un œil rapide au dessus de la machine outil abandonnée qui lui servait de bouclier, se baissant de justesse en sentant une balle le frôler. Bon, et maintenant ?

Yamagashi Hitomi

Créature

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 28 vendredi 13 avril 2012, 19:39:57

Johnny a annoncé cinq minutes maximum, et l'échéance approche dangereusement quand le chauffeur revient chercher l'otage. La jeune femme a à peine eu le temps de décréter qu'elle ne pigea rien à ce qu'elle voyait sur l'écran de l'ordinateur portable, et d'en venir à la conclusion que ce n'est pas le moment de faire une nouvelle connerie. Elle est donc presque heureuse de le voir arriver.

" Amène-toi, on trace. "

C'est avec grand plaisir qu'elle quitte la pièce avec lui, puis suit le couloir pour déboucher dans le grand espace où attendent la voiture et la camionnette. Johnny et les autres sont déjà à côté des véhicules. Soudain le chauffeur dégaine son pistolet, braque et tire. Le coup de feu résonne dans toute l'usine alors qu'un homme s'effondre à l'entrée. Soudain des hommes armés sortent de partout et se mettent à tirer dans tous les sens. Le chauffeur attrape la jeune femme par le bras pour l'entraîner vers le couloir. Les autres suivent. Johnny et son homme de confiance se retrouve chacun plaqué dos au mur d'un côté de la porte. À deux mètres de là, l'otage reste elle aussi plaquée au mur. Elle pointe un doigt vers sa poitrine, ou plutôt les pains de plastique qui la recouvre.

" Je vous préviens ! Si vous essayez de me lourder maintenant : je nous fais tous péter !
- Manquait plus que ça... Bon, où t'as mis les automatiques ?
- C'est toi qui devais te charger des automatiques.
- Quoi ? Tu m'as jamais dit de me charger des automatiques !
- J'avais autre chose à foutre que m'occuper des automatiques !
- T'aurais pu le dire, bordel ! Comment on fait maintenant ? On a que des petits flingues pourris !
- Vous vous en servez, bande de glands ! "

Déjà surpris par la remarque de leur otage, les deux malfrats hallucinent totalement quand une moto traverse une fenêtre de l'usine, larguant un flic qui défouraille dans tous les sens. Soudain la jeune femme fonce pour passer la tête par la porte.

" T'en as mis du temps !
- Heureusement que je t'ai mise à couvert, il aurait été foutu de te buter par accident.
- Il a pas intérêt !
- Bon ! Maintenant qu'il est là, on va suivre le plan B paragraphe petit b, alinéa 2.
- Ça veut vraiment dire quelque chose ?
- Bordel, on se barre, prend tes deux jambes à ton cou.
- Tu t'occupes de la fille.
- Non, je m'occupe pas de la fille. je pourrais pas faire un carnage si je l'ai dans les pattes.
- Je vais pas la laisser autres autres blaireaux, ils sauront pas quoi en faire.
- Hé ! On est là !
- Vous le dites si on vous emmerde.
- Au fait : comment on récupère le fric maintenant que la camionnette est dans le carré de la mort ?
- Très bonne question.
- Ça arrive !

Johnny et le chauffeur mettent un pied dehors histoire d'envoyer une voler de plomb, puis reviennent à couvert.

- Occupe-toi de la fille ! Moi je dois aller vérifier le transfert !
- Et alors ? T'as peur qu'elle vidange ton compte bancaire par la pensée ?
- Je préfère qu'elle vois pas vers quel pays on envoyer le fric !
- Tu te fous de moi ? T'as passé la journée à gueuler "Costa-Rica" comme un zouave !
- ... Ok, je m'occupe de la fille.

Sur ce Johnny emmène l'otage avec lui.


***

Je sais pas si c'est l'adrénaline où toute cette journée qui commence à me peser, mais je commence à en avoir marre. Au moins le killer de la bande charge Riri, Fifi et Loulou de tenir le couloir. C'est déjà ça. J'espère que leur chef aussi bon qu'il le prétend, parce que pour sortir de ce nid de frelon il va falloir un miracle. Au moins Gabriel est là. Lui aussi, j'espère qu'il est à la hauteur de sa réputation. En tous cas j'ai moins peur du foule aux as par les deux qui me tient compagnie depuis ce matin que de la horde de flingueurs qui les prend d'assaut.


Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Seikusu Dog Days [Gabriel Valmy]

Réponse 29 lundi 16 avril 2012, 10:39:42

Défourailler dans le vide, voilà qquelque chose que Gabriel évitait de faire, ça aurait été bête de se retrouver à court de munition, il n'avait que deux armes de point et des semi-automatiques avec un chargeur de rab, donc il avait pas forcément le droit de tirer n'importe où et n'importe comment, chacune des balles devait toucher du lard. Cela n'arrivait pas toujours, et il avait déjà vidé la moitié de chacun de » ses chargeurs en cours d'utilisation pendant son vol plané, il tira su un un yak, qui évita in extremis son coup de feu avant de se remettre en planque. Putain de bordel de merde, ces yacks à la cons qui lui tirient dessus avaient pas des armesz de tante !  Oh non, ils avaient des armes de maboules, des armes militaire nom de dieu !  Tu veux réagir comment comme ça ? Là, Gabriel avait l'air d'un gamin avec son pistolet à eau ! Il commençait sérieusement à en avoir raz le cul.

Coup de feu, coup de feu, clic.

Putain déjà ? Non mais arrêtez, c'était délire ça, il avait déjà fini un chargeur, l'autre aurait d'ici peu subi le même sort, il fallaitéconomiser, mais on ne pouvait pas prendre son temps pour viser dans ce genre de conneries, si tu pren ds ton temps, t'es mort, c'est le » principe même de ce genre de fusillades Mais rappelez vous, la priorité était de sauver Hitomi, et il ne voyait  qu'une seule chose : les yaks tiraient sur des mecs vers un couloir, okay, par là alors !, mais si il y allait comme ça, il savait qu'il aurait des pépins, il ne savait pas combien de gland avaient été engagés pour défendre l'otage !

Il tira une nouvelle fois et sorti de sa planque en vidant son chargeur dans les tripes de l'un des connards qui l'empêchaient de fair »e comme il l'aurait voulu. Le mec tomba après s'être fait mettre du plomb dans le crâne et Gabriel se rua vers cette nouvelle planque pour récupérer une arme valable....oh la vache !  Quand il parlait d'armes de guerre il ne pensait pas si bien dire ! Un putain de P90 AVEC CINQ OU SIX CHARGEURS ! Avec ça, il allait pouvoir faire ce qu'il désirait, il allait pouvoir tirer comme il l'entendait !

Il leva la tête le temps de repérer ce qui se passait, et voir cmbien de tireurs il restait, très bien, il allait un peu accélérer le processus d'élimination des yakusas. Il posa la main sur la structure métallique et envoya une charge électrique démente. Bien vite il y eu une odeur de brûlé qui succéda à des étincelles, sacrée chataigne hein ? Étant donné la fumée des corps carbonisés, il pouvait établir qu'il en avait eu cinq, mais il en restait beaucoup encore....au diable les yakuzas, il allait chercher Hitomir et il balancerait tout ce qu'il avait comme électricité après, histoire de  carboniser tout le monde.

Il y eut une courte de rafale de la part de Gabriel, un nouveau Yakuza tomba et Gabriel vint se placer dans l'angle de tir pour atteindre la portion suivant :  le couloir. Qujelqu'un défourailla, il sentit une violente douleur dans l'épaule, et il s'écroula,  avant de se relever lentement, son bras pên dant à ses côtés, rein de grave, mais disons juste que ça nuisait à sa visée avecce bras. Ambidextre comme il était, cela ne gênait pas vriment le flic qui changea de main;le P90 et tira da,ns le tas pour faire uen vuictime vers le couloir avant de se mettre à couvert pour voir sa blessure. Bon, c'était pas beau, mais il survivrait !


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