[FINI] Alliance rouge [Tinuviel Lastrim]

 L’elfe était au bord de la jouissance,  d’un autre coté comment pouvait il en être autrement vu les délicieuses caresses de la belle dhampire.   Elle avait trouvait  en elle tout ce qu’elle aimait chez une femme : une amante libérée, sauvage et  qui  lui ressemblait.  Elle n’en demandait pas plus.   Pourtant, elle n’avait jamais trouvée une chaussure pour son pied,   jusqu’à aujourd’hui.  Oui, Rayne était particulière et c’était peut être pour cela qu’il y avait eut un ce départ de relation.
Ce n’était pas de l’amour, mais plutôt un besoin  physique qui se créait entre elle,  dut moins pour la drow.  En effet celle-ci n’était pas jalouse mais elle sentait que si la dhampire continuait à rester avec elle, elle aurait besoin de sentir son corps contre elle de temps en temps.
La drow  vient finalement,  éclaboussant le visage de la belle demoiselle de son liquide. Cela n’était peut être pas très polie de venir  sans rien lui dire d’autre qu’un autre gémissement, mais elle s’en moquait,  elle  n’avait de toute facon, pas la force de dire quelque chose pour l’instant.  Il lui fallait un instant pour récupérer.  Cela  ne serait pas long,  mais il fallait bien cela. 
Elle   prit doucement la chevelure de la dhampire, la redressant pour l’embrasser d’une manière torride et cela malgré l’arrière gout de sa propre intimité. D’habitude, elle n’était pas spécialement fan de ce gout, mais la dhampire était tellement délicieuse.  Elle se rattraperait également, un peu plus tard.  Quoi que…

-Hum,   délicieuse.  J’adore cela.  Et puis tu lèche comme une vrai pro.  J’ai adoré.

Elle se contenta de la prendre dans les bras,  et de la tirer vers elle, la faisant tomber sur elle.  La table en bois massive tiendrait sans problème le poids de ces deux charmantes créatures. Elle  eut un léger sourire, bien que toujours dessous la dhampire, elle était toujours capable de faire de nombreuse chose, notamment caresser les reins de la belle. 
-Hum, je crois que je te dois un orgasme… Aller comme je suis une gentille drow, je vais te laisser choisir comment je vais te baiser. Alors, qu’est ce que tu en pense ?
Le programme allait sans doute plaire à la dhampire, en attendant la drow s’en léchait déjà les lèvres. Enfin sans les attentes de la dhampire, elle ne pouvait pas faire grand-chose de plus.

Lyrinda ne dit rien, mais ce n’était, de toute manière pas nécessaire. Rayne le sentit. Pour le coup, elle disposait d’un sixième sens très efficace : sa capacité à palper le sang de ses partenaires. Et elle sentait celui de la Drow bouillonner dans ses veines, remonter le long de son corps, enflant comme une violente tempête. Quelque chose de torride et d’intense, qui lui faisait penser à une mer en furie, à des vagues immenses qui se brisaient dans les airs, dans un maelström indéfinissable. C’était envirant, indescriptible, et elle sentait l’ensemble bouillonner intensivement entre les cuisses de Lyrinda. Le moment était proche, et, quand cette dernière atteignit son orgasme, Rayne n’eut qu’à fermer les yeux et à accueillir les vagues successives de mouille qui frappèrent sur ses lèvres, filant dans sa bouche, ou éclatant sur ses joues. Elle rouvrit lentement les yeux, se sentant tremblante de désir, à hauteur de Lyrinda, et mouillant toujours autant. La Dhampir était encore plus excitée, maintenant, et poussait des grognements gutturaux, qui la faisait alors plus ressembler à une espèce de bête sexuelle qu’à un être rationnel et conscient. La passion des vampires... Lyrinda la tira par les cheveux, et Rayne se laissa faire, répondant avec ferveur au baiser endiablé de la femme. Leurs corps humides, trempés, couverts de sueur par la chaleur ambiante, forte à cause des fourneaux de la cuisine, se frottaient l’un contre l’autre, et Rayne caressait, grattait, et griffait le dos de Lyrinda, se plaisant à sentir le sang perler délicatement sur ses griffes, pour avoir ensuite l’occasion d’y goûter. Une simple goutte du sang de la Drow était pour elle un réel trésor.

« Je lèche avec l’énergie de la passion, ma belle... Je tiens cela de mon côté vampirique... »

Elle se tenait sur le corps de Lyrinda, et tendit l’une de ses mains, caressant avec ses griffes ses lèvres, les glissant dans sa bouche, pour sentir la douceur de sa bouche, sa lèvre. Elle sourit lentement, et insista un peu sur cette dernière, la coupant... Ce fut l’occasion d’un autre baiser, un baiser où elle suça la coupure de Lyrinda, buvant ainsi son sang et sa salive, un mélange saisissant qui la fit frémir. Rayne soupira lentement, gémissant de plaisir, une main tenant le menton de sa partenaire, l’autre retournant caresser ses hanches, puis flatter son postérieur, le pressant. Elle l’avait embrassé juste après que Lyrinda lui eut proposée de choisir comment la faire jouir.

Rompant le baiser, Rayne sourit lentement.

« Ainsi, tu me laisses le choix, hum... Je croyais que c’était toi, l’amante de Tinuviel... La pute, quoi, souffla-t-elle, provocante, dans son oreille. Je pense que tu sais déjà comment je veux qu’on me baise... »

Elle laissa cette phrase en suspens, patientant plusieurs secondes, avant de poursuivre lentement, sur un ton toujours aussi obscène :

« Traite-moi comme une salope. Gifle-moi. Griffe-moi. Et baise-moi. »

Les ordres de Rayne étaient lancées. C’était maintenant à la Drow d‘agir et de satisfaire les requêtes de la Dhampir. Cette dernière n’avait aucun doute qu’elle y parviendrait ; si Tinuviel l’avait choisi, c’est qu’elle était douée, ce que Rayne, de toute manière, avait déjà réalisé. Le plaisir allait donc forcément être au rendez-vous.

Elfe se contenta de sourire lorsque la jeune femme l’insultât.  Elle avait l’habitude,  beaucoup des anciens  elfes noirs la détestaient à l’époque et honnêtement c’était plus drôle comme cela.   Qu’elle se lâche, elle lui ferrait payer a cette salope.   Elle lui montrerait qui était la petite pute ici.   Elle voulait être traitée comme une salope. Elle serait une salope. SA salope,  celle qu’elle baiserait encore et encore jusqu’au bout de la nuit.  Elle eut donc un rictus,  plaquant de nouveau la jeune femme contre elle avant de l’embrasser avec sauvagerie.  Elle reprit doucement sa position sur la tête de la dhampire, la tirant comme une vulgaire poupée avant de lui dire d’une voix sensuelle.
- Mais tu es une salope, je n’ai pas besoin  de te traité comme telle.  Mais  si cela peut te rassurer je vais te baiser jusqu’à  ce que tu cris tous les dieux de l’univers  que j’arrête.  Oui, je vais te faire jouir jusqu’à ce que tu n’en puisses plus…

Des promesses en l’air ?  Non, les drows en étaient capables,  la jouissance jusqu’à la mort était d’ailleurs une torture  assez sadique.  La douleur étant  forte après des dizaines heures d’orgasmes.  Mais quand même, elle ne tuerait pas cette pauvre dhampire,  ce serait dommage d’ailleurs. Même si cette mort était peu être une des plus agréables. Enfin si l’on excepte les deux ou trois heures de lentes agonies…

Elle fit basculer la demoiselle avant de prendre sa place et de la maintenir coincée sur la tables entre ses deux jambes.   Impossible donc pour Rayne de s’enfuir,  prise au piège par la drow.  Elle réfléchit quelques instants avant de se demander…
-Hum, voyons voir… je pourrais me servir d’accessoire bien sur,  mais je pense que la méthode naturelle est la plus  efficace sur les filles de ton genre.  Oui, sentir mes doigts te défoncer le vagin, c’est le top non ?

Elle n’attendit  pas la réponse de la jeune femme,  commençant  déjà à caresser un peu le sexe de la jeune femme.  Bien évidemment celui-ci  était  trempé.  Et cela semblait être au gout  de La drow.
-Mais tu es trempée ma salope. Bien, rassure toi, je vais m’occuper de toi.

Elle commença donc sans aucune autre préparation une véritable pénétration. Ses doigts remplaçant sans mal un sexe masculin dans cette tâche,  ils avaient cependant l’avantage d’être inépuisable contrairement  à cette partie de l’intimité masculine.  Surtout que l’elfe ne la ménageait pas,  elle était brutale dans ses gestes,  presque violente. Une vrai drow.  Même si elle caressait parfois un peu le clitoris de la dhampire avec un peu plus de douceur.  Elle embrassait également  la dhampire avec un rythme irrégulier.  Les langues se mêlant et se démêlant à dans un ballet  de sensations  jouissives.    Elle  guidait la marche et ne laissait pas le temps à la drow de contre attaquer. Non, elle ne lui ferrait pas le plaisir de lui laisser une chance de reprendre le contrôle de la situation. 

Après avoir offert à Lyrinda ce que cette dernière demandait, à savoir un orgasme, la Dhampir allait maintenant récupérer sa récompense. Lécher l’intimité de la Drow avait été un vrai régal, et les tatouages magiques qui ornaient et modifiaient le corps de Rayne l’avaient aidé dans ce sens. Elle se sentait à peine épuisée, comme si un feu inépuisable bouillonnait en elle. La magie dragonique se mélangeait à ses aptitudes vampiriques avec brio, la rendait encore plus infatigable qu’habituellement. Son sang était boosté, annihilant la fatigue au profit du plaisir et de l’impatience. Plus, elle en voulait toujours plus, et les paroles, très crues, de Lyrinda, ne faisaient que l’exciter davantage, renforçant son désir et ses envies. Elle la voulait, la désirait, voulait sentir les doigts de la Drow en elle, et la regardait avec les yeux d’une femme affamée, d’une espèce de toxico’ en manque. Elle était nue, mais le lien magique entre l’armure et son corps continuait à agir.

La Drow, après un temps incalculable, consentit enfin satisfaire Rayne. L’impatience explosait en elle, les secondes s’étirant en longues et douloureuses minutes, ses jambes frottaient sur le sol. Elle était prisonnière de la Drow, qui l’avait coincé entre son délicieux corps et le bois brûlant de la table.

« Vas-y... Raah, putain, défonce-moi, allez ! »

Elle suppliait, insistait, grognait, et, quand les doigts de la Drow entrèrent en elle, ce fut... Ce fut comme si on la libérait. Une vague presque électrique lui fouetta le corps, l’amenant à se cambrer (ou, du moins, à essayer, compte tenu de sa position). Elle n’embrassa pas Lyrinda, elle la mordit, faisant encore perler un peu plus du sang de Lyrinda. Elle devenait sauvage, une véritable hyène, qui grognait et sifflait, tant son corps était en manque. Elle se tortillait lentement sur la table, plantant parfois, dans un sursaut, ses griffes dessus. Les griffes de la Dhampir s’enfonçaient en effet dans le bois comme dans du beurre, arrachant des lattes, et elle retournait, avec son autre main, agripper la tête de la Drow, tout en se laissant aller. C’était géant ! Rayne se laissait faire, et sentait les frissons la traverser.

Elle eut en seulement quelques minutes un orgasme, poussant des petits cris étouffés, le baiser se prolongeant sans interruption. Lryinda l’envahissait, l’écrasait, et Rayne lui répondait, se laissant absorber. Elle crachait sa cyprine, mais son corps n’était pas satisfait, et elle en redemandait plus. Leurs jambes se frôlaient et se caressaient dans cette longue et insupportable étreinte.

« Hnnn... Hmmm, encore, ma belle, encor,e vas-y, plus... Haaaa... Plus fort, haaaannn ! Plus fort !! »

Il n’était pas difficile de comprendre ce que Rayne voulait. Les longs doigts de Lyrinda s’enfonçaient en elle rapidement. C’était différent d’une verge, bien moins épais, mais la Drow agissait bien. Elle était douée, cette garce, Rayne devait bien le reconnaître. Une vraie Drow, qui savait dominer ses partenaires. Tinuviel avait tapé dans le haut de gamme, sans grande surprise. Ce qu’elle lui faisait était magique, tout simplement. Une véritable leçon de sexe et de baise.

Il semblerait que la drow  répondait aux attentes de la jolie dhampire.  Il suffisait de l’entendre crier pour le comprendre, mais elle était loin de la laisser partir. Non, la drow allait encore jouer,  jouer pendant des minutes, peut être des heures entières avec ce corps qui lui faisait tant  envie.  Elle continuait donc ses caresses,  laissant le plaisir submerger le corps de Rayne.  Elle n’était finalement pas mécontente d’être ici et non sous la  rousse car il aurait était probable qu’elle lui déchire le dos.  Elle n’avait rien contre la bestialité, mais la dampire  était totalement hors de contrôle,  elle n’était plus qu’une bête assoiffée de plaisir  et cela l’excitait.  Cependant, elle se devait aussi de contrôler les pulsions de la belle créature pour ne pas que celle-ci se voit devenir une créature uniquement basé sur ses instincts.  Elle devait donc la libérer doucement mais surement de cette tension sexuelle qui brulait dans le bas ventre de la jeune femme. 

Il semblait que le traitement de Lyrinda était efficace  puisque la première jouissance de la dhampire ne tarda pas.  Celle-ci fut d’ailleurs assez  explosif,  la drow pouvait entendre les gémissements de la jeune femme alors qu’elle l’embrassait preuve que celui-ci avait dut être des plus puissant. D’ailleurs  il suffisait de voir l’humidité de la table, elle pouvait presque baigner dans les fluides de la dhampire.
Elle regrettait presque de ne pas avoir prit un des sex toy de l’elfe.  Elle aurait put être tellement plus violente avec cela,  tellement plus sauvage,  tant pis, elle se contenterait de ses doigts,  eux ne l’avait jamais déçus. Et ce ne serait pas cette fois ci que cela changerait. Elle n’hésiterait pas à faire jouir encore et encore le plaisir. Cependant pour maximiser celui-ci, elle modifia un peu la position de ses doigts, formant un  petit crochet qui titillerait le clitoris de la jeune femme à chaqu’un de ses passages.  Un  petit plus pour combler encore et encore cette jeune femme en manque .  Elle se demandait même si elle ne pourrait pas faire en sorte de la combler de chaque coté, cette petite salope ?  Hum, pourquoi ne pas lui demander après tout.   Après tout, cette jeune créature était la seule qui pourrait savoir ce qui lui plaisait ou pas.  Elle se contenta de lui sourire avant de lui dire.
-Rassure toi salope,  je vais te baiser jusqu’à ce que tu n’en puisse plus. D’ailleurs, je me demande si je ne vais pas te baiser par les deux trous.   Qu’est ce que tu en pense ? Tu voudrais cela,  être baiser comme une chienne ? 
Elle n’allait pas lui demander poliment non plus, mais  elle était quand même assez gentille pour ne pas  le faire sans que la dhampire ne lui ait donné son avis.  Remarquez, il était probable qu’elle fasse encore et encore jouir la jeune femme qu’avec sa petite main active.  Cependant ce serait peut être un peu plus rapide avec son autre main.  Même s’il lui faudrait rechercher un peu de lubrifiant.

« Rrrrr... RaaaaaaaAAAAaaaAAAAhhhhHHH ! »

Des râles de plaisir s’échappaient des lèvres de la Dhampir, qui se contorsionnait sur la table, ne parvenant plus à réfléchir intelligemment. Le plaisir l’envahissait, l’agressait, la comblait. Elle eut rapidement un orgasme, puis un autre, gémissant, yeux clos, se contorsionnant à chaque coup, sa cyprine jaillissant entre les doigts de la femme, venant s’étaler sur la table, coulant entre ses jambes, maculant le bois, se mélangeant à sa sueur. Cette table était très inconfortable, en bois, mal formée, rude et sauvage, mais elle convenait encore plus à la Dhampir. Cette dernière grognait et sifflait, alors qu’elle continuait à se vider, et à s’envoler vers d’autres cieux. Elle devint, pour l’une des rares fois de sa vie, une femme-fontaine, au sens premier du terme. Son sang de vampire excité par l’armure la fit se décharger comme une espèce de véritable mitraillette sans canon. Elle jouissait sans retenue, sa libido surdimensionnée étant alimentée par les doigts experts de Lyrinda, par la perversité de la Drow, par cette espèce de talent inné.

Rayne se trouvait dans une sorte de bulle, et, quand elle en sortit, ce fut pour reprendre ses esprits. Elle baignait dans une espèce d’euphorie. Ses muscles étaient engourdis, mais, pour autant, elle se sentait... Parfaitement revigorée et sereine. Un sentiment assez difficile, car elle n’était pas fatiguée. Elle se releva, et constata rapidement, sur son corps, un changement notable : les tatouages avaient disparu. Sa peau noirâtre était redevenue blanche, pâle, à la couleur des vampires. Elle soupirait lentement, en sueur, et leva une main, agrippant la nuque de Lyrinda, avant de perdre son appui, et de glisser sur ses délicieux seins, laissant une petite traînée rouge. En voyant le sang s’en égoutter, Rayne sentit sa gorge s’assécher sur place. Lyrinda lui avait juste avant proposé de la prendre par les deux trous, et la Dhampir se pencha vers son sein.

*Sang !*

Tel un commandement divin, ce mot avait rugi dans sa tête, et elle s’approcha de son sein, l’embrassant, relevant ainsi lentement ses fesses, le suçant longuement, faisant claquer ses lèvres dessus.

« Hum-hum... »

Sa langue caressa la sensible peau de la Drow, avalant son sang, la faisant gémir, mouiller à nouveau. Elle tira sur le téton, puis releva la tête. Ses yeux brûlaient de désir. Le sang de Lyrinda était semblable à une rivière de rubis, de pierres précieuses, une cascade de douceur et de bonté. Elle était la générosité incarnée. Rayne l’aimerait, si elle pouvait. Ce regard qu’elle lui jetait témoignait de tout cela, d’une franche admiration, mais aussi d’un appétit sexuel sans cesse renouvelé, d’une envie d’être baisée, dans tous les sens du terme. Elle contempla  le sein de la Drow, couvert de sa salive, et s’humecta les lèvres, avant de l’embrasser à nouveau, puis de s’écarter.

Relevant les jambes, Rayne alla se mettre à quatre pattes, offrant ainsi ses fesses, son bassin, à la Drow. Elle s’appuya sur une espèce de reposoir devant elle, et écarta lentement ses jambes, s’appuyant dessus.

« Viens, Lyrinda, viens baiser la salope vampirique que je suis... »

La drow continuait donc à jouer avec la belle dhampire,  elle aimait sentir ce corps chaud contre le sien,  elle aimait cela peut être même plus que de la torturer… non, il ne fallait quand même pas exagérer, mais  il était vrai que les sensations étaient étrangement similaire.  Ce qui était assez inquiétant pour une drow.  Cela voulait dire  ressentir… De l’affection, voir peut être même de… bref elle préférait ne pas y penser.  Elle préférait sentir le jus de la jeune femme lui couler dessus comme une véritable fontaine.  On aurait dit que celle-ci  ne voulait plus s’arrêter,  se vidant  encore et encore sur elle.  Puisque elle était la seule avec la table à être devant,  enfin sur la dhampire. Lorsqu’elle eut finalement fini, la drow  sentit que l’atmosphère avait changé.  Elle pouvait sentir une chose,  l’odeur de la dhampire n’était pas la même. La différence était subtile, mais bon… 
La drow était dans un état second, alors les petites blessures que la drow lui faisait, elle ne les sentait même plus.  Pour elle ce sang sur son sein c’était le dernier de ses préoccupation. Car contre sentir la langue de Rayne sur son sein était une chose  agréable au possible,  elle en soupirait presque de plaisir.
Concernant le regarde de la jeune femme, la drow ne pouvait pas malheureusement le savoir, pourtant  le désir sexuel, elle pouvait le deviner,  elle était légèrement plus chaude cette dhampire quand elle avait des envies de luxure.   
Elle ne se trompait pas,  bientôt la jeune femme  se mit à quatre pas, dut moins pensait elle.  Il était difficile de dire exactement ou elle se trouvait  mais la jolie demoiselle ne se trouvait pas loin. Elle pouvait entendre son souffle  et ce que  qu’elle lui avait dit donnait vraiment des envies à l’elfe noir. Pourtant, elle avait quelque chose à faire avant.  Elle ne  rejoignit pas tout de suite.
Lyrinda s’absenta en effet quelques secondes,  laissant la jeune femme les fesses et les cuisses à l’air.  Elle reviendrait cependant, mais elle avait  besoin  de rechercher deux petits accessoires pour baiser comme il se doit les belles fesses de cette charmante créature.
Lorsqu’elle revint enfin,  la drow s’était équipée d’une drôle de ceinture.  Le genre de ceinture à vous faire atteindre le septième ciel.  Elle avait en effet prise une ceinture god, histoire de pouvoir faire encore plus de chose avec cette jolie créature.  Elle revient doucement, vers la drow, elle ne pouvait se fier qu’à son ouïe et pour l’instant elle était relativement muette la jolie. Elle arriva cependant à retrouver la trace de la jeune femme, et lui glissa doucement à l’oreille.

-Comme je sais que tu es une vilaine salope, je t’ai rapporté une jolie petite queue pour bien te baiser.
Elfe sourit doucement,  caressant avec  douceur les jolies fesses de la belle dhampire, elle vu ce qu’elle allait lui faire, il fallait mieux commencer en douceur.

En position, Rayne attendit... Et vit Lyrinda s’en aller rapidement. Curieux... La Dhampir se retourna, s’allongeant sur la table, se demandant ce qu’elle faisait. La Drow était pourtant fébrile et excitée, alors, que faisait-elle ? Rayne fronça les sourcils, et se dit qu’elle allait probablement chercher quelque chose... Ou quelqu’un. Tinuviel ? Une autre fille du harem ? Pour le coup, Rayne était suffisamment excitée pour qu’un plan à trois ne la dérange pas, surtout s’il y avait une autre fille similaire à Lyrinda... Mais il était probable qu’elle était la seule Drow du harem. Une seule Drow, c’était déjà bien assez comme ça. Même si la perspective d’en avoir deux en même temps avait le potentiel de déclencher bien des fantasmes...

Rayne se rassura en sentant le sang de Lyrinda revenir. Ce sang était d’autant plus identifiable qu’elle l’avait sur les lèvres. Dommage que Lyrinda soit aveugle, car, si elle avait pu voir ce qu’elle voyait, Rayne aurait pris bien pus de se caresser. Allongée sur la table, ses doigts s’enfonçaient dans son intimité par intermittence, et son autre caressait l’un de ses seins. Une vraie salope, oui, mais elle était excitée... Et elle fut encore plus en voyant l’objet que Lyrinda avait amené : un gode fixé sur une ceinture entre ses jambes, à hauteur de son bassin. Elle lui parla, lui disant avoir ramené une « belle queue » pour elle, ce qui, naturellement, arracha un sourire sur les lèvres de Rayne.

« Hum..., fit-elle sur un ton mutin. C’est une bonne chose, ma jolie, car je crois que me laisser seule dans cette cuisine a réveillé mes... Désirs. »

Elle avoua cela avec un léger sourire, et releva lentement sa jambe. Son pied droit glissa entre les jambes fraîches et douces de la Drow, remontant ainsi pour caresser le long gode. Elle glissa ses doigts de pied sous le tissu de la culotte, et, lentement, se débrouillant un peu difficilement, elle caressait son intimité, puis retira son pied. Elle se redressa alors, et retourna se mettre à quatre pattes, bombant un peu son joli cul, offrant ainsi à Lyrinda l’occasion de pouvoir caresser ses fesses, ce que cette dernière fit, y posant ses griffes. Rayne soupira lentement, yeux clos, en remuant lentement son corps, d’avant en arrière.

La Dhampir se mordilla les lèvres, serrant ses poings, et tourna la tête, sentant le gode frotter contre son cul.

« Allez, viens, qu’attends-tu ? demanda-t-elle. Baise-moi fort ! »

Elfe noir  n’avait jamais pensé à ramener Tinuviel lors de ses petites chevauchées : Trop douce à son gout.  Elle comprenait que cela pouvait plaire à des peluches comme Lorna,  cependant  elle avait besoin de quelque chose de plus… brutale.   Elle se désolait donc de l’absence de femme comme Rayne dans ce harem, pourtant elle arrivait bien à faire taire ses pulsions en  jouant avec les quelques rares  femmes de son calibre. Mais il n’y avait pas à dire Rayne les dépassaient de loin.  Enfin elle n’allait pas non plus se plaindre du harem, la mage rouge bien qu’un peu trop tendre était une amante agréable et qui baiser particulièrement bien.  Mais qui avait tendance à trop la materné chose que la drow n’appréciait pas même si elle devait l’avouer sans elle, elle ne pourrait sans doute pas vivre sur terra.
Enfin, elle avait quand même bien autre chose à penser, notamment comment elle allait s’occuper de cette garce de dhampire.   Elle  se posa doucement derrière elle, écoutant ce qu’elle avait à lui dire.  Ainsi, elle était de nouveau  remplie de désir.    La drow comprenait que cela voulait dire qu’elle aurait bientôt l’occasion de tester son nouveau jouet. La dhampire semblait cependant bien s’amuser avec lui, en profitant pour lui faire du pied chose que Lyrinda ne refusa pas bien au contraire.   Rayne prit une position qui aurait fait devenir fou  n’importe qui.  Malheureusement l’elfe noir ne pouvait pas vraiment en profiter, par contre,  elle n’allait pas hésiter à se servir de son nouveau sexe sur la demoiselle.
Elle  prit donc au pied de la lettre la demande de la jeune dhampire,  elle mit quelques temps avant de trouver l’antre humide de la belle rousse mais fini par trouver et par y plonger le sexe en plastique  jusqu’à sa garde.  Il ne s’agissait pas d’un des machins magique de l’elfe. La drow s’était contentée du standard  mais cela ne l’empêcherait  pas de baiser la dhampire bien correctement.

- Tu la sens ma queue en toi ?  Alors rassure toi ma jolie, tu va être baisée comme tu le veux.  Oui, tu seras troué comme la belle salope que tu es.

Elfe commença donc un va et vient rapide et puissant.  Elle ne la ménageait nullement le sexe de la jeune femme étant assez humide pour accueillir le gode comme il le fallait. Elle en profitait également pour malaxer son postérieur d’une main habille.  La drow se donnait à fond maintenant le gode frappant parfois les parois du vagin de la dhampire,  elle ne la ménageait pas,  la sautant comme le plus sauvage des terranides.   Elle y prenait un malin plaisir.  Surtout que le postérieur de la jeune femme  était des plus souples à caresser.  Il était probable qu’elle ne tarde pas à changer de trou.  Elle  la sodomiserait comme elle la baiserait, avec passion et violence. Qu’importe si elle ne pouvait pas s’assoir durant quinze jours.  Elle  l’avait après tout voulu non cette dhampire ?

Et elle vint. Rayne la sentit explorer son bassin avec ses doigts, avec le bout du gode, comme si elle cherchait une ouverture quelconque. Les sex toys... Rayne ne s’était jamais vraiment intéressée à ces derniers. Elle n’avait pas une vie sexuelle particulièrement palpitante, et ce qu’elle vivait au harem avait de quoi la satisfaire, sexuellement parlant, pour les cinq ans à venir, au moins. Le sexe, à vrai dire, ne l’avait jamais intéressé plus que ça. Elle n’avait jamais eu une relation normale, n’avait jamais eu un petit copain. Toutes ses relations sexuelles furent éphémères, dans des bars, avec des agents de la Brimstone... Rien de durable, mais, avec Lyrinda, elle avait le sentiment que ce pourrait être différent, qu’elles se ressemblaient...

« Ah ! »

Elle poussa un bref cri quand elle rentra dans son vagin d’un coup sec. Elle n’allait pas y aller avec le dos de la cuiller, loin de là, et tant mieux. C’était précisément ce que la Dhampir souhaitait. Que ce soit brutal. Violent. Elle pouvait l’endurer, elle le savait, et elle le constata. Son corps se mit à glisser le long du bois, lui faisant mal. Elle était sûre qu’elle avait du s’ouvrir sur cette table en bois, mais, en toute honnêteté, elle s’en foutait. Rayne plantait ses griffes dans la table, afin de ne pas tomber. Lyrinda lui donnait de vrais coups de butoir, tapant fort, s’enfonçant profondément en elle, la faisant hurler. Les cris de Rayne rebondissaient le long des murs, remontant le long de la pièce. Elle était bien loin d’être discrète, et avait ses canines pointées, alors qu’elle continuait à hurler et à injurier.

« RAAAH !!! HAAAAAANNNN !!!! AAAAAAH PUUTTAAAIIINN, HNNNNNN !!!! RAAAH BORDEL, HAAAAAAN !!!! »

La verge en plastique s’enfonçait loin en elle, et, si c’était différent d’un sexe bien masculin, quand c’était Lyrinda qui tenait l’objet c’était on ne peut plus exquis. On ne peut plus. Avec presque un soupçon de sadisme (un soupçon,seulement ?), la Drow la secouait comme une espèce de prunier, et Rayne devenait toute rouge, son sang s’affolant en elle, remontant le long de son corps. Elle soupirait, et continuait à racler le bois de la table, faisant voler des échardes. Elle donnait libre court à son plaisir, car elle ne pouvait blesser personne dans cette position. C’était divin ! Rayne soupirait longuement, mais elle en voulait plus. Insatiable ? A peine ! Sa langue claqua contre son palais, et elle tourna la tête, continuant à remuer son corps, à onduler ses formes, tentant de relever son bassin, de lui montrer (chose inutile, car elle était aveugle, mais ça n’empêchait pas Rayne de le faire)ses fesses. Elle était amatrice de sensations fortes, et était une Dhampir, pas une simple humaine sensible et fragile.

« Tu... Rooh putain, hummm... Je… Je crois que tu as oublié l’un de mes trous… Comment veux-tu vraiment me dresser, ma belle, si… Arrrr… Si tu ne m’encules pas co-comme… Une… Une sale chienne ? »

Elfe noire  ne faiblissait pas,  le rythme  restait soutenu pour que celle-ci  sente bien qui était  celle qui avait tenait les rênes.  Elle avait besoin d’une bonne leçon, un dressage à la sauce  drow .   Surtout qu’elle s’amusait tellement,  la dhampire était vraiment une proie délicieuse  qu’importe qu’elle doive parfois donner un peu d’elle-même pour relancer ses ardeurs.  Elle ne la laisserait par partir  comme cela.  Non,  quitte à ce qu’elle l’attache  à un des murs du harem mais…   Mais rien,  elle savait bien de toute manière que  rien en pourrait retenir cette femme quoi qu’elle fasse,  alors pourquoi tenter vainement de trouver  des prétextes.  Autant profiter au maximum  se faire plaisir et lui prouver qu’elle serait capable  de la combler si jamais elle décidait de rester un peu  plus.

L’elfe continuait encore et encore,  ayant l’avantage de ne pas souffrir de la majorité  de la fatigue  et surtout du fait que  rien ne puisse  faire  déraidir ce fabuleux bout de plastique.  Elle avouait que cette fois ci,  les humains avaient fait preuve d’une ingéniosité impressionnante. Mais  c’était quand même  une race totalement inférieure.  Non,  la dhampire était bien mieux.    Il n’y avait rien de plus à dire.  Quoi qu’il semblait que si, puisque la dhampire se plaint de son traitement.

Elle en voulant donc pour son grade,  bien, bien.  L’elfe allait les lui offrir surtout que maintenant le petit jouet devait être assez  humide maintenant.  Cependant elle ne prendrait pas de risque,  elle rajouterait quand même un apport non naturel.  Oui, elle était une sauvage mais pas une barbare,  de toute manière si elle l’abimait elle  se priverait d’un fabuleux jouet.
Elfe noir prit donc un peu de lubrifiant,  l’appliquant sur la verge en plastique.  Elle prit donc place dans l’anus de la jeune femme,  commençant en douceur pour ne pas faire trop de mal  mais cette délicatesse   allait bientôt  disparaitre.   Elle  commencer maintenant ses va et viens,  prenant avec plaisir place dans cet arrière train chaud et agréable.  Dommage qu’il se n’agisse que d’un  bout de plastique.  Elle aurait bien voulu être une hermaphrodite.   Ne serait ce que pour en profiter un peu.

-Alors, tu la sens maintenant petite chienne.  Tu aime cela hein te faire défoncer le cul.    Oui, je suis sur que tu  adore sentir ma grande et longue queue dans ton fondement.   

Elfe continuait encore et encore ses vas et vient ne lui laissant aucun répit comme tout à l’heure.   Elle n’avait aucune clémence même si  cette zone était plus délicate que l’autre.  Non, elle ne ferrait aucun  cadeau à la dhampire et c’était pour cela qu’elle prendrait sans doute  un plaisir comme celui-ci.  Parce que la drow n’avait aucun remord à la pousser jusqu’au dernier de ses retranchements.  Elle profitait d’ailleurs de ses coups de reins pour la doigter lui offrant  deux fois plus de sensation.  Elle était curieuse de voir comment elle allait réagir cette pauvre créature de la nuit face à une elfe noir  qui  lui en offrait toujours plus…

Intense et violent. Intense et violent, c’était en effet une bonne manière de résumer ce que Rayne ressentait, et comment elle décrivait la situation. Lyrinda ne la ménageait pas, loin de là. Elle lui pilonnait le cul avec une fureur peu commune, et la Dhampir était aux anges. Elle en avait même du mal à retenir sa salive, et devait parfois la laisser couler, crachant alors un coup, avant de siffler, et d’enfoncer ses griffes dans le bois de la table. La pauvre table aurait bien souffert de leur séance, et Lyrinda était inépuisable. Une véritable hyène qui labourait le corps de la Dhampir, la faisant gémir et soupirer. Elle sentait ce membre en plastique s’enfoncer en elle sans arrêt, le plus loin possible. La Dhampir soupirait longuement, se laissant pleinement aller, sa mouille coulant sur son corps, glissant le long de ses jambes.

Lyrinda choisit alors de suivre les demandes de Rayne, et passa aux choses supérieures, en enfonçant le gode dans son anus. Elle commença lentement, et, quand Rayne sentit ce membre entrer en elle, elle poussa un soupir étouffé, un glapissement douloureux. Yeux clos, dents serrés, elle sentait ce membre en plastique s’enfoncer difficilement dans son postérieur. Rayne n’était pas vraiment une adepte de la sodomie, mais elle était ici tellement excitée que ça ne lui posait aucun réel problème. Bien au contraire, le fait d’être sodomisée semblait éveiller en elle de lointains fantasmes enterrés bien profondément. La Dhampir poussait des hurlements hystériques, de plus en plus forts. Elle avait affreusement mal, comme si quelque chose la déchirait en deux. Elle se cambrait douloureusement, enfonçant ses griffes, grognant, sifflant, gémissant.

« RAAAAAAHHHHH !!! HAAAAAANNNNN !!!! »

Dans son dos, Lyrinda l’insultait, la provoquait, et Rayne soupira longuement, avant d’avoir un nouvel orgasme, continuant à se vider sur la table. Perverse, la Drow allait jusqu’à glisser des doigts dans l’intimité de sa partenaire, qui soupirait et soufflait. C’était interminable, jouissif ! Rayne prenait littéralement son pied, et se laissait totalement guider par les coups de butoir de sa partenaire, par ces coups de reins sauvages qui s’enfonçaient dans les profondeurs de son corps, la déchirant. Immense, insoutenable, la douleur laissait peu à peu place au plaisir, les deux se mélangeant à un très haut niveau. Ses fesses étaient écartelées, ouvertes, massacrées, et Rayne sentait peu à peu le plaisir l’envahir, l’irradier totalement.

Le sexe était ainsi, et la sodomie l’illustrait. Il fallait souffrir et surmonter la douleur pour que le plaisir soit le seul à dominer, pour qu’il se mélange à la douleur, le tout formant la plus agréable et la plus jouissive des mixtures. C’était précisément que ce Rayne était en train d’éprouver, alors qu’elle hoquetait, et que Lyrinda la tenait par les côtes.

« Haaa... Haaaan, aaaahhh... Oh ouuiiii, hum, ce que c’est bon, putain ! Dans le cul, c’est... Ahhh, c’est divin ! »

Elle le pensait sincèrement ! Diable, ce que c’était… Et bien… Intense ! Elle remuait ses fesses, semblable à une affreuse pute. Elle était tellement excitée, tellement fiévreuse, qu’elle se moquait bien de sa fierté de guerrière. Le sexe avait ce pouvoir fabuleux qu’il permettait de faire tout voler en éclats, et Rayne passait son temps à faire l’amour dans ce harem. Elle était comme une espèce de contaminée, et prenait peu à peu conscience que, si elle restait trop longtemps ici, elle risquait de devenir une grosse nymphomane.

Une nymphomane,  peut être,  pourtant tinuviel  ferrait son possible pour la décontaminer quoi que l’on en dise  car  elle estimait qu’il y avait une grande différence entre vivre pleinement une sexualité épanouie  et être dépendante du sexe.   La dhampire avait un aperçut de toute la puissance de la sexualité,  imaginer donc ce que pouvait donner cette énergie si elle était  convertit en magie.  C’était  tout simplement extra ordinaire.   Voila pourquoi l’elfe ne se souciait plus  de ses réverses de magie ou presque.  Elle avait sous la main la plus puissante  des réserves de magie.  Enfin,  il y avait cependant bien d’autre chose qui la poussaient à accueillir des femmes chez elle. 
 Lyrinda elle ne se posait pas de question et continuait à pilonner l’arrière train de la jeune dhampire à un rythme soutenue.  Rayne pouvait cependant s’estimer chanceuse que la drow  avait consentit à la préparer un peu avant de s’enfoncer en elle comme cela.  Elle  continuait cependant,  estimant que voir sa partenaire comme cela  ne tarderait pas à la faire venir.  Mais même comme cela elle continuerait encore et encore.  Elle continuerait jusqu’à ce que la dhampire soit totalement épuisée  et encore.   Même si jamais elle déclarait  forfait, il faudrait que le sang de l’elfe noir soit sans effet pour qu’elle s’arrête.  C’était la seule manière qu’elle avait de la maintenir  près d’elle.  Une  penser certes égoïste mais  bel est bien réelle. 
L’elfe  tira doucement sur la chevelure de la jeune femme pour pouvoir gagner encore un ou deux centimètre.  Elle termina sur cette position, laissant  son accessoire dans les profondeurs de la dhampire  avant de s’étaler sur elle et de lui glisser à l’oreille.

-Alors ma petite pute,  je suis sur que personne ne t’a jamais baisé comme ca hein ? Tu sens comme je te fais du  bien.  Tu sens comme je te baise bien ? 
Elle  continua encore ses mouvements de va et viens,  la doigtant en même temps.  Elle voulait vraiment que la dhampire se souvienne d’elle  toute sa vie.  Peut être même qu’elle déciderait de rester ici  et d’être baiser encore et encore ?  Mais elle préférait ne pas trop y croire, elle serait sans doute déçus sinon de voir comment cela se terminerait. Elfe continuait à tenir la jeune femme par ses cheveux avant de lui demander.
-Alors ma salope tu as d’autre remarque à me faire ?  Tu sais que je peux  te baiser encore et encore si tu veux ? 

Rayne continuait à hurler, car elle ne voyait pas comment extirper cette douleur lancinante qui dominait son corps. Lyrinda, infatigable, invincible, continuait à lui défoncer le postérieur avec une rage et une fureur de vivre qui étaient plaisantes. Comme Rayne aimait ça ! Ce n’était pas tant à cause de ce membre en plastique que de la présence de Lyrinda, de ses caresses, de ses griffes, de ses soupirs, de ses gémissements. L’autoritaire Rayne était devenue une Dhampir soumise et excitée, qui n’arrivait tout simplement plus à se contrôler, et se laissait faire. Elle sentit Lyrinda s’étaler sur elle, et Rayne défaillit, s’allongeant le long de la table, Lyrinda sur elle, allongée sur son corps, ses seins glissant sur son dos, tandis qu’elle continuait à pilonner son fondement avec passion. Elle vint à nouveau lui parler, cochonne et mutine, l’insultant, continuant toujours à l’exciter, sans jamais s’arrêter.

Effectivement... Oui, effectivement, personne ne l’avait jamais baisé ainsi. Elle avait déjà fait l’amour de manière sauvage, violente, passionnelle, notamment avec une autre vampire, où elles avaient fini par baigner dans leur propre sang, mais... Avec cette Drow, c’était bien différent, bien spéciale, t elle ne s’était jamais senti à ce point aussi fière et heureuse d’être umiliée. On était en train de l’enculer comme une vulgaire chienne, de lui perforer ses fesses, et elle adorait ça ! Alors, en effet, elle n’avait jamais ressenti ça jusqu’à présent ! Elle se mit à grogner à nouveau, sentant les doigts de Lyrinda en elle, et la laissa faire, se mettant à avoir un nouvel orgasme, en tremblant, sa mouille venant inonder la table.

« Haaa... Tu... Tu vas m’épuiser, hummmm ! »

C’était vrai. Cette femme était littéralement épuisante. C’était une chance que la Dhampir avait dans ses veines le sang de la Drow, car ce sang lui permettait de tenir le choc, de continuer à se laisser prendre, alors qu’elle n’en pouvait presque plus. Elle finit par agir, et remua sur la table, jusqu’à pouvoir renverser Lyrinda. Elle avait une force étonnante dans les bras, et Rayne se retourna ensuite, alors que Lyrinda avait été poussée hors de son corps. Ce faisant, elle put s’allonger sur le dos, en soupirant, et rattrapa Lyrinda.

« Là, là, vas-y, hum, vas-y, allonge-toi sur moi, et baise-moi... »

La Dhampir voulait l’étreindre, la serrer contre elle, contre son corps, se prélasser de la chaleur de sa peau, alors qu’elles continueraient à faire l’amour.

Elfe noir fut étonnée de la force que la dhampire pouvait avoir,  elle n’était entre ses mains que peu de chose.  Si jamais la dhampire lui avait voulu du mal, elle n’aurait rien put faire et se serait sans doute fait briser en deux.  Elle n’aimerait pas se retrouver à la place d’un des ennemis de la jeune femme. Elle effaça rapidement cette idée, se disant que si la jeune femme avait fait cela, c’est qu’il y avait sans doute une raison. 
Elle eut un petit sourire lorsque la jeune femme lui demanda de s’allonger contre elle,  serait elle devenue sentimentale ?   Elle comprit ensuite ou elle voulait en venir, lorsque rayne termina sa phrase.  Hum, non pas de sentimentalisme. Juste de la Baise, encore et ceci pour son plus grand plaisir.   L’elfe s’alongea donc sur la jeune femme avant de l’embrasser sauvagement.

-Tu sais que tu m’as fait peur ?  J’ai cru que tu en avais assez…  Mais si tu veux profiter de ma chaleur, il faudra que tu t’en montre digne.  Soit une gentille Dhampire et  fait moi plaisir un peu.

Elle avait un petit sourire, lui caressant doucement  les lèvres.  Il était injuste qu’il n’y ait que  la rousse qui y prenne du plaisir.  Du moins de manière directe, car l’elfe prenait un plaisir fou à la dominer comme cela. Elle en voulait cependant un peu.  Elle prit doucement la main de la dhampire qu’elle guida vers sa poitrine alors qu’elle rapprochait son petit jouer  de l’antre de la jeune femme.  Elle  pouvait  sentir l’odeur de la cyprine et donc se  repérer.   Elle eut un léger sourire avant de lui dire doucement.

-Hum, tu es toute froide ?  Je te réchauffe pas assez ?  Je vais devoir te faire faire de l’exercice alors.

Elle continua doucement ses va et viens,  reprenant  la cadence de tout à l’heure.  Elle tenait donc   les jambes de la jeune femme pour que celle-ci  ne puisse  involontairement refermer les jambes dans un mouvement  de contraction dut au plaisir.  Il était évident que l’elfe  adorait  faire cela mais elle  demandait elle en demandait également.  Oui, elle voulait également que la jeune femme s’occupe d’elle.   Et elle lui invitait  implicitement,  petits regards,   main directrice tout était bon pour l’elfe noire.  Elle n’allait pas dire ouvertement qu’elle avait besoin de quelqu’un, mais les gestes étaient parfois bien plus parlant que les mots.