De l'aide ? ( PV SHA )

La discussion se poursuivit, Lamperouge réaffirmant sa volonté de contrôler le « Sacrémentium », tout en proposant à Sha de devenir son esclave mental. Sha écarquilla légèrement les yeux, sans réagir. Lamperouge se rapprocha d’elle, posant ses mains sur ses épaules, comme pour confirmer ses dires.

« Finissons ces accords pour pouvoir manger ce festin... Ce serait du gâchi de laisser cette nourriture, aussi inexistante soit notre faim...Et puis... Au fond mon pacte est équitable... »

Sha se contenta d’un léger froncement de sourcils.

« Nous ne devons pas avoir le même sens de ce mot… » répliqua-t-elle simplement.

L’Ombre laissa ses explications en suspens, commençant à manger. Elle les donna tranquillement.

« Le monde est bien fait. Pour que je tire mon pouvoir d’un être mortel, il faut que ce dernier croie volontairement en moi. Une croyance forcée ne me rapporte rien. Autrement, n’importe quel Dieu pourrait devenir le plus puissant des Dieux. S’il est intéressant d’avoir sous mes ordres un homme de votre puissance, concrètement, ça ne me rendra plus forte. »

On ne faisait pas, avec Sha, un marché de dupes. L’Ombre était une négociatrice d’autant plus difficile qu’elle était en position de force. Elle ne pouvait amener Lamperouge à la forcer, et il n’avait aucun moyen de faire pression sur elle. Néanmoins, son obstination était assez amusante. Mais ce n’était pas l’Ombre qui lui offrirait le contrôle du « Sacrémentium ». Si elle le faisait, elle devrait le tuer. Néanmoins, elle pouvait toujours le mettre sur la piste, afin qu’il lui fiche la paix. Une bataille ne l’intéressait que peu. De manière générale, Sha n’aimait pas trop se battre.

« Pour autant, je vais daigner vous aider… Je ne vous offrirais pas le ‘‘Sacrémentium’’, mais je vous guiderais vers la voie. Sachez toutefois que le ‘‘Sacrémentium’’ est plus un état d’esprit qu’un sortilège. Il désigne une espèce d’état qui permet de se transcender, de dépasser son propre ego. Par conséquent, je doute que vous soyez un jour capable de l’apprendre. Vous aurez beau user de tous les sortilèges possibles et existants, vos chances de l’obtenir sont infimes. Les moines bouddhistes ont plus de chance d’y arriver que les Archimages noirs, de mon point de vue… »

Sha se reprit rapidement, croisant les bras, terminant son laïus. Pour obtenir cet état d’esprit, Lelouch devrait cesser de penser uniquement à lui, mais avoir une vision collective des choses. Autant dire que c’était une chose impossible, de son point de vue.

« Je peux vous offrir une infime partie de mon essence divine. C’est tout ce que je peux faire… Pour cela, il existe plusieurs méthodes, certaines étant assez douloureuses, et d’autres… Bien plus agréables. »

Elle n’ajouta rien, laissant son esprit comprendre ce qu’elle voulait dire par là, tout en esquissant un léger sourire en coin.

La dame était très difficile, pour la part, j essayais de la convaincre tant bien que mal, mais sa réponse se fit vite entendue. Elle ne semblait pas coopérative comme je l'espérais. Elle répliqua immédiatement d'un on tranchant, le stoppant dans mon avancée, je soupirais pour alors l'écouter m'expliquer en quoi ça lui servirais a rien que je devienne sien si on peut dire.
Elle m'expliquait pourquoi et je soupirais de plus belle. Ainsi, un esclave forcé ne lui donnait aucune puissance. Dommage, pour ma part, quelqu'un qui ressent de la colère, aussi bien forcé ou non, cela me rend plus puissant. Enfin tant pis, visiblement, mon corps ne lui suffisait pas, je n'étais qu'un pot de colle en cet instant. Je ne pouvais pas pour autant la laisser ainsi, je devais absolument avoir son aide aussi indirect soit elle...

Je l'écoutais sans rien dire puis fit de grand yeux quand elle me dit enfin quelle allait m'aider. Malheureusement pas comme je le souhaiterais. M'enfin, mieux vaut un que zéro. Je ne dit rien puis souris en entendant sa proposition. 
Me donner de son essence divine ? De façon douloureuse ou agréable ? Je rigolais un bref instant puis passa ma main dans ses cheveux pour défaire ses oreilles et lui parler doucement.

" À quoi me servira votre essence divine ? Juste pour savoir... Sinon sachez que j'accepte votre mise sur la voie. En échange il ne sera fait aucun mal a qui que ce soir appartenant a votre culte.
Pour de qui est de la méthode, dire douloureuse serait fausse, mais douce serait trop osée. Bien que la réalité est que comme tout etre vivant, j'ai une préférence pour la douce..., en quoi consiste-t-elle ? "

Jattendais de savoir comment elle voilait s'y prendre. 

( fait via tel dsl )

Lamperouge répliqua à son offre en riant. Avait-elle dit quelque chose de drôle ? Ne se rendait-il pas compte du cadeau qu’elle lui faisait ? Sha se sentit perdre patience en le sentant poser sa main dans ses cheveux, et soupira légèrement, fermant les yeux, avant de les rouvrir, quand Lamperouge lui demanda ce qu’ils allaient faire. Pour l’heure, elle réagit rapidement, levant un doigt. Une fumée noire enveloppa Lamperouge, le décollant du sol, l’éloignant de Sha, avant de l’envoyer s’écraser au loin, les flammes l’entourant, cherchant presque à l’étrangler.

« La première fois que vous me retouchez sans mon autorisation, mortel, le ‘‘Sacrémentium’’ sera le cadet vde vos soucis, je peux vous l’assurer. »

L’espèce de feu noirâtre repartit alors rapidement. L’Ombre s’était redressée, dominant Lamperouge.

« Pour contrôler le ‘‘Sacrémentium’’, vous avez besoin, se répéta-elle, de pouvoir élever votre esprit, de penser, non plus uniquement à vous, mais d’avoir une vision globale des choses, de la vie. Il vous faut, en somme, acquérir une sorte d’esprit omniscient propre aux Dieux. Voilà pourquoi le ‘‘Sacrémentium’’ est un sort qui est par nature interdit aux humains. Pour le contrôler, vous aurez donc besoin de ce qui fait de moi une Déesse… Oh, bien sûr, n’allez pas croire que vous deviendrez un Dieu… Mon essence risque de ne rien produire en vous, ou de vous mener sur la voie. C’est tout ce que je peux faire pour vous… S’il existait une solution simple d’obtenir l’impossible, je crois que bien des gens antérieurs à vous auraient déjà obtenu ce sort. »

Sha se tut un peu, et reprit ensuite. Si Lamperouge n’avait toujours pas compris, alors l’Ombre ne pouvait plus rien faire pour lui. Le « Sacrémentium » était un sort qui, à vrai dire, relevait plus de la magie blanche que de la magie noire, même si, dans les extrêmes, les deux disciplines tendaient à se rapprocher.

« Quant à la manière de la transmission… Ça me semble évident, non ? »

Des lumières s’allumèrent soudainement dans la pièce, de la part de chandeliers et autres candélabres, montrant une grande pièce avec des tapis, de la broderie… Sha se dirigea vers une autre grande porte, qui s’ouvrit, révélant sa chambre, avec un lit immense, et des draps en soie. L’ensemble était très luxueux, dans une ambiance tamisée qui donnait à l’ensemble un certain charme. Un petit escalier, comprenant quatre ou cinq marches, conduisait de la salle à manger à la chambre.

« Vous faut-il un dessin ? » lança-t-elle alors, le narguant.

La demoiselle semblait à bout, je le remarqua bien tardivement. Son doigt se levait dans les cieux et rapidement, je vis une fumée noire m'entourer pour me soulever avant de me projeter en arrière. Le choc fut légèrement brutal, mais le plus oppressant fut lorsque des flammes noires commencèrent 0 vouloir m'étrangler. Pourquoi ? Je le compris bien vite et hésita à en rigoler. Les flammes se stoppèrent vite pour alors l'entendre m'expliquer ce à quoi allait me servir son essence divine.

« Pour contrôler le ‘‘Sacrémentium’’, vous avez besoin, se répéta-elle, de pouvoir élever votre esprit, de penser, non plus uniquement à vous, mais d’avoir une vision globale des choses, de la vie. Il vous faut, en somme, acquérir une sorte d’esprit omniscient propre aux Dieux. Voilà pourquoi le ‘‘Sacrémentium’’ est un sort qui est par nature interdit aux humains. Pour le contrôler, vous aurez donc besoin de ce qui fait de moi une Déesse… Oh, bien sûr, n’allez pas croire que vous deviendrez un Dieu… Mon essence risque de ne rien produire en vous, ou de vous mener sur la voie. C’est tout ce que je peux faire pour vous… S’il existait une solution simple d’obtenir l’impossible, je crois que bien des gens antérieurs à vous auraient déjà obtenu ce sort. »
 
Là, tout devint claire. Le sacrémentium, je pouvais presque tirer un trait dessus, toujours est-il que son aide, j'allais en avoir un peu, donc au fond, c'est mieux ainsi. Je soupirais pour alors me relever, époussetant mes habits.  Je la regarda puis alors l'entendis claquer des doigts, la pièce s'allumant immédiatement, dévoilant un chemin précis vers une chambre. La sienne sans doute.
Je l'entendis me provoquer puis alors avança mon corps devenant brume violette avançant rapidement pour reapparaitre devant elle, posant un pied sur la première marche.

«  Pas besoin de dessin... Juste des mots pour me dire quand j'aurais le droit de faire quoi que ce soit... Sauf si vous désirez que cela tourne en acte purement brutal et physique au risque d'abîmer ce sublime palais... »

Je souris un bref instant, me délestant de cette cape, tombant au sol. Je monta les marches pour alors l'attendre, tel un mari. Mari d'un soir bien entendu. Je fixais son regard transmettant mes pensées d'une certaine façon.

* Quand vous voulez... Déesse...*

« Pas besoin de dessin... Juste des mots pour me dire quand j'aurais le droit de faire quoi que ce soit... Sauf si vous désirez que cela tourne en acte purement brutal et physique au risque d'abîmer ce sublime palais... »

L’Ombre ferma lentement les yeux, réfléchissant, ressentant de curieux fourmillements dans son corps, essayant de les comprendre. Il y avait si longtemps qu’elle n’avait pas eu un corps humain… Il fallait qu’elle se réhabitue à cette sensation grisante, d’autant plus grisante que ce corps était un corps particulier. Elle rouvrit les yeux, après une légère absence, et répondit à Lamperouge.

« Vous avez le droit de faire ce qui est nécessaire, répondit de manière énigmatique l’Ombre. De toute manière, si ce que vous faites ne me plaît pas, je pense que vous le saurez assez rapidement… »

Vu sous cet angle, c’était laisser à Lamperouge une bonne latitude. Les portes derrière eux se refermèrent lentement, les isolant dans cette grande chambre. Le lit pouvait contenir un grand nombre de personnes, ce qui n’avait rien de surprenant. Sha dormait généralement en compagnie de plusieurs de ses esclaves et servantes, leur abandonnant son corps pendant qu’elle passait sous sa forme astrale, cette dernière étant, à vrai dire, bien plus préférable que sa forme humaine sous de nombreux aspects.

Elle tendit sa main vers Lamperouge, afin qu’il l’attrape, et le guida vers son lit. Le lit était sur une espèce de petite estrade en forme de demi-cercle, avec un petit espace entre le demi-cercle et le mur, où de l’eau s’écoulait tranquillement. Une eau pure et propre, naturellement. Il ne s’agissait pas de l’épuration de l’eau sale. Sha promena ses mains sur le torse de Lamperouge, ressentant à nouveau ces frissons d’excitation intrigants. Dans les tréfonds de son âme, elle avait l’impression que quelqu’un était très fiévreux à l’idée de ce qui allait se passer… Peut-être l’ancienne occupante de son corps. Le regard doré de Sha plongea sur celui de Lamperouge, et elle serra ses vêtements, l’attirant vers elle, l’embrassant fermement, à proximité du lit. Elle ignorait si ce dernier continuerait toujours à poursuivre le « Sacrémentium », mais ça ne la regardait plus.

Sha se contenta de l’embrasser, puis le jeta sur le lit. Un sourire de plaisir se dessina sur les lèvres de Sha, et elle fit un signe. Des formes d’ombre jaillirent autour de son corps, la déshabillant rapidement, l’exposant dans sa plus pure nudité.

« Le spectacle vous plaît-il ? » lâcha-t-elle.

La demoiselle répondant au nom de Sha était la. Elle allait donc m'aider en me donnant de son essence divine, de la manière la plus douce qui soit, visiblement, le plaisir charnel. Cela faisait bien trop longtemps que je ne m'y étais pas adonné de façon normale. Les viols ou autre étant plus mon quotidien. La deese réfléchit un instant, me répondant clairement que javais carte blanche pour les geste et que si ça lui plaisait pas, alors elle me me ferais savoir.
Suite a ces mots, elle nous enferme dans cette pièce plutôt grande, le lit pouvant accueillir plus d'une dizaine de personne. Je lui souris pour alors monter c'est marche proche du bord du lit. Elle me tenait la main telle une mère puis après un moment de silence, elle serra les vêtements.

Pas besoin d'être intelligent pour comprendre ce qui allait se passer. Doucement, elle me fit venir proche d'elle pour alors m'embrasser. Ses lèvres de morts se posaient sur les miennes. Je les sentaient de manière distinctes, un désir palpable, une excitation certaine, je le comptais pas le retenir pour elle. Doucement elle me poussa sur le lit me surprenant au passage. Elle se déshabilla a l'aide de plusieurs ombres, de dévoilant dans son plus simple appareil. 

Décidément, elle était doté d'un charme certain. Je m'en rendais compte. Doucement, elle était svelte, pulpeuse, ses formes indéniablement attirante, bref, tout pour plaire en faisant des promesses charnelles.... Je l'écoute puis lui dit doucement.

" Vous êtes d'une beauté sans pareil.... Si le spectacle me plait ? Bien entendu. Je l'apprécie grandement. Passons au reste voulez vous...."

Je défit la veste pour vite me dévoiler torse nu laissant les abdominaux de montrer au grand jour. Je vins alors a me relever puis passer ma main vers le dessous de son dos, au dessus de son bassin l'approchant de moi, collant sa poitrine a mon torse pour venir l'embrasser. Sauvagement lui donnant un abat de goût de ce qu'il allait de produire. Puis lui susurrer des paroles sulfureuses.

" Place au plaisir... Faisons ce pacte de chaire si on peut appeler cela ainsi...."

Ajoutant les gestes a la parole, je lattira contre moi pour alors m'asseoir avec elle sur les genoux tout en reprenant un baiser passionné et désireux la partie commençant sérieusement. 

Sous ses vêtements, Sha n’était pas une femme mince et menue. Elle avait au contraire un corps ferme et solide. Quand on voyait la taille de ses seins, on ne pouvait de toute façon pas concevoir ces corps minces et petits dont les hommes raffolaient depuis quelques années. L’Ombre préférait être bien en chair, plutôt que de ressembler à un cadavre sur pattes, et le regard envieux que Lamperouge lui fit suffit à la convaincre qu’elle ne s’était pas trompée. Étrangement, voir le désir dans les yeux de cet homme lui procurait un plaisir intense, bien plus que si ça avait été une femme… Encore une fois, elle soupçonna l’influence lointaine de l’esprit de Lisa. C’était à la fois désagréable et agréable… Sha ferma les yeux en soupirant légèrement, avant de les rouvrir en le voyant se déshabiller.

Il révéla son torse glabre. Lamperouge avait le visage fin et étroit d’un homme qui n’était pas spécialement musclé, mais malgré tout attirant. Elle s’approcha lentement du lit, et l’homme l’attrapa par les mains, l’amenant à s’asseoir sur le rebord du lit. Le cœur de cette dernière bondissait lentement dans sa poitrine, et Lamperouge alla s’asseoir sur ses genoux.

« Place au plaisir... Faisons ce pacte de chaire si on peut appeler cela ainsi.... »

Un sourire amusé traversa les lèvres de l’Ombre, qui sentit ses joues rougir de plaisir quand l’homme l’embrassa. Elle répondit à son baiser, et glissa une main dans le dos de Lelouch, le grattant avec ses griffes. « Gratter » était un léger euphémisme par rapport à ce que Sha lui faisait. L’excitation naissant, elle se surprit à ne pas réussir à se contrôler certains attributs élémentaires de son corps. Ses ongles s’allongèrent pour former de légères griffes qui entaillèrent la peau de Lamperouge. Elle répondait avec un plaisir évident à son baiser, gémissant légèrement de plaisir, Le contact se prolongea pendant plusieurs secondes, jusqu’à ce qu’elle finisse par le rompre. Ses tempes battaient, lui rappelant qu’elle n’était pas qu’une Déesse maléfique, mais qu’elle avait aussi un corps.

« Oui… Je ne vois pas comment appeler ça autrement… »

Sha se laissa alors tomber, et s’allongea sur le lit, sur le dos. Elle fit alors signe à Lamperouge.

« Approchez, magicien… Voyons voir si votre magie s’exécute aussi sur vos doigts… lança-t-elle. Même pour les Dieux, les plaisirs les plus anciens et les plus simples sont les meilleurs… »

Un pact de chaire, voilà une chose amusante. La demoiselle prenait part au baiser. Visiblement, un baiser lui suffisait pour la mettre en haleine. Je la sentais alors sourire, prolongeant ce baiser des plus divin sans mauvais jeux de mot. Soupirant d'aise, je la sentis passer ses mains dans mon dos, ses ongles grattant ma peau. Du moins, un instant, car très vite, ses attributs de déesse se firent sentir, alors que ses ongles entaillaient ma peau. Un filet de sang coulant le long de mon dos. Elle n'y allait pas aller de main morte, mais peu importe. La regardant dans les yeux, je repris un baiser sauvage puis alors sourit de plus belle, ma langue allant chercher la sienne, valsant dans une danse buccale des plus jouissives.  Par la suite, elle lâcha tout, oubliant ce contact pour nous séparer l'un de l'autre, elle s'abandonnait visiblement au plaisir.

« Approchez, magicien… Voyons voir si votre magie s’exécute aussi sur vos doigts… lança-t-elle. Même pour les Dieux, les plaisirs les plus anciens et les plus simples sont les meilleurs… »

Le message était plus que claire, j'allais lui donner droit au plus grand des plaisires. Doucement, j'attrapa ses pieds pour embrasser un talon puis remonter vers la cuisse,  passant vite l'étape du pied n'étant pas un fétichiste... Je mordillais la cuisse remontant doucement, puis je laissa mes mains devenir brume violette. Cette(ci se mettant à recouvrir son corps. De la nuque à son bas ventre. Alors que mon visage s'attardait à lécher son nombril.
La brume était assez épaisse et rapidement, elle pouvait sentir celle-ci lui procurer un effet de caresse générale. Comme si mes mains touchaient tout son corps en même temps. Je laissais ma brume faire me reculant pour aller masser ses cuisses. Je voulais la faire céder, qu'elle me supplie d'y aller franco. Les caresses durèrent un temps, mais rapidement, je fit redevenir solide mon corps, notamment mes bras, pour alors venir doucement pétrir sa poitrine si dévelloppée et si outrageusement délectable à la vue.
Je la regarda un bref instant, puis je posa mes index sur ses tétons, les frottant doucement, avec lenteur, lui faisant sentir ce contact. Qu'elle gémisse oui, voilà ce que je voulais. Je laissais mes doigts faire leurs boulots, pendant que ma langue elle allait voir son ventre, mon bassin se collant au sien.

" Cela vous plait-il chère déesse ou bien vous désirez faire ce pacte rapidement ?"

Le plaisir se mit à croître. Malheureusement, Lamperouge ne s’attarda pas longtemps sur les pieds de la Déesse. Contrairement à ce dernier, elle avait volontiers des envies fétichistes, surtout quand c’était au tour de son partenaire. Lamperouge remonta toutefois rapidement le long des jambes de l’Ombre, provoquant le long de son corps de délicieux frissons. Elle se laissait faire, jusqu’à sentir une espèce de brume violette la recouvrir, la faisant frissonner. Sha soupira lentement, se laissant draper dans ce nuage de douceur et de plaisir. C’était assez reposant, et elle sentit ensuite Lamperouge presser les seins de Sha, le désir brûlant sous le contact de ses mains. Sha, de son côté, peinait à se contrôler, sentant son corps frémir. Des gémissements s’échappèrent de ses lèvres, et ses mains serrèrent la couverture. Yeux mi-clos, l’Ombre se laissait faire. Lamperouge n’avait pas le talent de certaines de ses servantes, mais il se débrouillait plutôt bien.

« Cela vous plait-il chère déesse ou bien vous désirez faire ce pacte rapidement ? »

Elle le regarda en fronçant les sourcils, avant de répondre assez rapidement.

« A votre avis ? »

Les hommes devaient avoir le don de poser des questions évidentes. Sha sentait le plaisir monter et croître. L’avantage de se réincarner dans des corps jeunes, dans un sens, des corps qui n’avaient pas connu le plaisir sexuel, et qui y étaient bien plus réceptifs. Si Sha avait toujours du vivre dans le même corps depuis des millénaires, il est probable que plus rien n’aurait d’importance pour elle, et que même le plaisir sexuel lui apparaîtrait comme fade… Ce qui serait quelque chose d’affreux.

« Continuez donc, Lamperouge, vous vous débrouillez bien… Ma poitrine a l’air de vous fasciner, non ? »

Ce n’était pas en soi surprenant. Sa poitrine constituait deux excellents arguments, après tout. Elle se redressa en s’appuyant sur ses avant-bras, et le regarda avec un léger sourire. Lamperouge semblait avoir pris le déroulement des opérations, et l’Ombre ne voyait aucune raison de l’en empêcher.

La demoiselle et moi nous adonnions au plaisir. Le toucher pour le moment cela étant une étape importante. Après tout tout, il fait bien profiter de l'instant. La belle était une demoiselle charmante ne manquant pas de plaire. Je lui adressa une attention spéciale en faisant des caresses générales. Je la regarda par la suite, celle ci adorant visiblement, mes mains elles ne s'en délectait que plus. Sourire aux lèvres, je la vis s'appuyer sur ses avant bras mettant en évidence sa poitrine plus que sublime. 
Mes mains passèrent sur des joues pour alors lembrasser sauvagement et la faire basculer et me mettre a quatre pattes au dessus d'elle. Je vins alors embrasser sa poitrine lui adressant une attention particulière. 

Je fantasmais sur ceux ci tellement ils étaient viens formes. Je les embrassaient puis passa mes mains sur eux. Mes lèvres souvrirent pour englober ses tétons. Je les suçais, les léchais, les dévorais sur place. Ma langue passait encore et encore sur ces bouts roses. Je les sentais de dresser rapidement. Ajoutant un petit plus, mes mains vinrent immobiliser ses bras pour la laisser tranquille. 

" Elle est d'une perfection divine... C'est pour ça soyez ravis, ce genre de compliment est très réserve venant de moi.."

Suite a ces mots, je vins enlacer une de ses mains doucement. Le plaisir montait en flèche. Nous étions du bien ainsi. Je ne ressentais rien de special pour l'instant mais cela n'allait pas tarder. Lors de notre unification sûrement...

Après un long moment, je me recula pour alors aller lécher des pieds et venir sucer son pouce. Attendent de voir la réaction, au fond c'était une marque de soumission mais si faux... Je lui souris massant ses talons. 

". Délicieuse...."

Lamperouge se mit à quatre pattes au-dessus d’elle,  et le laissa faire, lançant ses mains pour caresser son torse et ses lèvres. Il observait ses seins avec un appétit vorace, et alla s’emparer de ces derniers, les embrassant Il alla jusqu’à immobiliser les bras de Sha, qui gémit sous ce contact, sous cette langue avide qui se promenait sur ces deux monts de chair, s’attardant surtout sur les deux petits embouts roses. Sha soupira de plaisir, fermant les yeux, sentant tout son corps chauffeur. L’Ombre se tortillait sur le lit, sentant qu’elle ne tarderait pas, sous ce train-là, à mouiller. L’avantage d’avoir un corps jeune, encore une fois… Lamperouge s’attarda pendant plusieurs minutes sur les superbes seins de cette femme, avant de relever la tête. Lamperouge lui annonça qu’elle avait une poitrine d’une « perfection divine ». Dans le fond, elle était une Déesse, ce qui revenait à dire qu’elle avait un nez au milieu de la figure.

« Toutes les déesses n’ont pas la même poitrine que moi, magicien, répliqua-t-elle, un sourire en coin. Mais j’accepte ce compliment… »

Lelouch retourna alors sur ses pieds, et elle se demanda s’il n’avait pas lu dans ses pensées. Curieux cheminement que le parcours qu’il prenait, montant de ses pieds pour aller vers ses seins, avant de redescendre vers ces derniers. Sha le laissa faire, redressant sa tête, et attendit plusieurs secondes, croisant ses pieds, caressant avec ses doigts la tête de Lamperouge.

« Si vous vouliez me faire un bain de pieds, Lamperouge, il fallait le faire avant de vous occuper de mes seins. Disons maintenant que mes désirs sont un peu plus élevés qu’un simple bain de pieds… Alors, venez vous occuper de ce qu’il y a au-dessus. »

L’Ombre se contenta d’un léger sourire encourageant, caressant avec ses pieds le menton de Lamperouge. Sha commençait effectivement à mouiller.

La déesse et ma personne avions décidé de forniquer. Afin de m'aider dans ma quête de pouvoir. Certes elle ne me donnait pas ce que je voulais, mais j'avais une belle partie de ce que je désirais. Mieux vaut un peu que rien du tout. Je m'occupais de ses pieds désormais, sans être un vrai fétichiste. Loin de là, cela étant un peu humiliant. Mais dans le cas actuel c'était différent. Nous faisions ça avec le consentement de l'autre. Surtout le mien. Soupirant d'aise, je me reculais pour écouter ses paroles, par la suite elle croisa ses pieds pour me parler d'endroit plus... Gradé. Je souris légèrement en comprenant de quel endroit il s'agissait. Son intimité mouillait doucement. Son pied caressait mon menton, me montrant cet endroit convoité par je ne sais combien de fidèles... Je ne perdais pas mes pensées pour autant, son invitation était alléchante, mais je ne pouvais pas aller là directement. Question de principe. Je m'appuya contre le lit pour me redresser et poser mes bras sur le côté du lit, la regardant depuis ma grandeur.

«  Si tel est votre désir... Alors il en sera fait tel votre désir et le mien... »

Mon visage s'avança, lui volant un baiser. Au fond, un baiser de plus ou de moins, on était pas à ça près. Je lui souris un bref instant, alors que nos lèvres étaient collées et ma langue jouant avec la sienne. La belle avait tout pour plaire et je ne me gênais pas pour prendre ce que je voulais. Mes mains vinrent se poser sur chacune de ses cuisses. Soupirant d'aise, j'écarta ses jambes me laissant une vue splendide sur son intimité mouillé de par ce liquide...Divin ?
Je m'approchais doucement, m'abaissant pour alors poster mon visage devant ces lèvres suantes, dégoulinantes de plaisir avant de lui chuchoter amusé.

«  Et bien et bien... Vous êtes déjà excité ? Nous ne faisons que commencer pourtant... »

Je m'approcha dangereusement pour alors écarter ses lèvres intimes, laissant ma langue se glisser dans cette partie d'elle. Nous étions chaud et je lui faisais ce qu'elle voulait, que demander de plus...  Ma langue jouait en elle, caressant son intimité, tout en absorbant de ce liquide au goût étrange, mais très loin d'être désagréable. Un nectar que si je le pouvais, je boirais avec plaisir sans fin... Je lui offrit un baiser langoureux à cet endroit là, ne me lassant guère de son corps. Il était tout ce qu'il fallait à un homme. Fin, généreux, délicieux.. Si Scare était là, il serait jaloux...
Je me mis par la suite à embrasser ses lèvres nues de façon normales. Telle une bouche classique. Voulant titiller cet endroit de manière plus douce. Puis vint le moment plus intime, celui où je commençais à doigter celle-ci. Admirant le liquide couler le long de mon doigt. J'entrais en elle et sortais avec une de ces facilités... Y prenait-elle du plaisir ? Soupirant d'aise, je vins à lui proposer mes doigts recouvert de sa mouille, attendant de voir si elle allait me proposer autre chose

Lelouch jouait avec elle, la provoquait, la titillait. Fichu homme ! Elle se laissait faire, soupirant légèrement, son corps nu offert à tous les désirs. Il se désintéressa assez rapidement de ses pieds, retournant vers ses lèvres. C’était plus haut que ce qu’elle visait, et il rectifia assez rapidement le tir, écartant les solides jambes de la forme humaine de Sha. Il se permit une remarque en voyant qu’elle mouillait « déjà ». Elle se contenta d’un léger sourire avant de lui répondre.

« Ce corps est jeune, Lamperouge. »

Une phrase lapidaire, mais qui, de son point de vue, résumait tout. Sha avait un âge indéterminable, mais ce corps-là, bien moins… Dans un sens, c’était un avantage. Il alla s’attaquer à son intimité, lui offrant un cunnilingus qui la fit frémir. Elle se tortilla sur le lit, sentant ce dernier agresser son intimité, embrassant sa paroi, glissant sa langue en elle, répandant dans son corps des frissons d’excitation. Elle se devait bien d’admettre que c’était plutôt agréable. Un délicieux traitement, même si, de son point de vue, ce n’était pas ce qu’elle recherchait. Lamperouge se débrouillait bien, elle en convenait, mais elle avait déjà des esclaves et des servantes pour lui offrir ce genre de prestations. Il dut bien le sentir, car il finit par se redresser un peu, afin de la pénétrer, tout en lui offrant de ses doigts dégoulinants sa propre mouille.

Oui, Sha mouillait rapidement et beaucoup, mais ce n’était pas pour déplaire à ses partenaires. Sur ce monde, elle se sentait empreinte d’une incroyable puissance. Même si elle n’aimait pas les Dieux de l’Olympe, trop jeunes, trop têtus, trop arrogants, elle devait bien reconnaître que créer Terra avait été l’une des idées les plus géniales qui soit. Sur Terre, Sha se vidait de ses forces. Il lui avait fallu la force de Terra pour enfin parvenir à revenir dans le monde « réel », et non dans ce monde abstrait où elle végétait. Elle lui prit ses doigts, les mordant, avant de finalement le sentir se plonger en elle.

« Haaaa ! » s’exclama Sha.

Relevant ses jambes, elle les palqua solidement autour de son bassin, le sentant aller et venir à sa guise en elle, ce qui ne lui plaisait pas.

« En moi, reste en moi, c’est en moi que je te veux ! » ordonna-t-elle.

Sentir ce sexe en elle avait été comme une explosion, la vivifiant, la réveillant, faisant jaillir ses sens. Elle se sentait bien mieux, vivante, forte, puissante, alors que le plaisir s’insinuait rapidement elle. Elle avait beau être une Déesse des Ténèbres, ça ne l’empêchait pas de ressentir le plaisir le plus naturel du monde dans ces étreintes. Elle posa solidement l’une de ses mains sur la nuque du magicien, plaquant ses lèvres contre les siennes dans un baiser sauvage et ardent.

La chaire de la demoiselle était délicieuse. Je la goûtais avec passions. Lui dévorer cet endroit, lui procurer d'innombrables frissons, cela était plaisant à souhait. La demoiselle elle adorait ça visiblement, celle-ci gémissant comme une demoiselle excitée. Souriant, je ne faisais que continuer, la doigtant, puis après un long moment, je  vins à la pénétrer. La demoiselle subissant mes assauts sans résister, du moins au départ. Sa chaire était délicate, d'une douceur extraordinaire. Je laissais mes yeux la dévorer vivante. Son corps était certes jeune et fragile, cependant, je ne me retenais pas dans mes coups. Je voulais lui transmettre du plaisir et elle allait en avoir.
Le fait qu'elle enroule ses jambes autour de ma taille, me plaquant contre elle, cela me donnait la certitude qu'elle appréciait. Cela était déjà ça. Une victoire. Je souriais doucement, mes lèvres s'étirant en la voyant si enjoué par cet acte. Je l'écoutais m'ordonner de rester en elle. Ordre que j'appliquais avec soin.

«  Oui... Avec joie.... Sha... »

Je m'enfonçais en elle, lorsque soudain, elle m'embrassa avec une puissance. Ce baiser était tout sauf neutre. Je sentais son souffle s'unir au mien, sa langue gluante enlacer la mienne dans un baiser langoureusement sauvage. Que de plaisir. Je continuais, mon bassin se soulevait, puis s'abaissait, cette action se répétant plusieurs fois, inlassablement. Nous n'étions qu'un. Une et même personne, j'aimais cette sensation oublié. Mes mains vinrent pétrir sa poitrine, délicieuse poitrine, volumineuse et voluptueuse. Je laissais mes doigts caresser sa peau à cet endroit. Mes doigts s'enfonçant dans cette masse de chaire si molle et chaude. Sa poitrine était parfaite, il faut dire ce qu'il en est. Souriant, je vins lécher sa poitrine, rompant ainsi le baiser pour m'occuper de cela. Son bassin collé au mien, j'entendais les bruits excitants que provoquait nos claquement de bas.

«  Dites moi... Comment le transfert se fera ? Se fait-il en ce moment même ? »

Je la regardais, attendant des réponses précises. J'adorais la sensation de bien qu'elle m'offrait. Une sensation que j'avais oublié ...

Dans l’ombre des flammes vacillantes, Sha était heureuse. Lelouch se plongeait en elle avec une ardeur excitante, et elle le laissait faire. Ils étaient dans une obscurité de plus en plus prononcée. Quelques rares bougies autour de ce grand lit venaient les éclairer, mais c’était ainsi que Sha aimait se trouver. Dans la noirceur, dans les ténèbres… On y était tellement mieux, et elle poussait de longs cris de plaisir, sentant cet homme pétrir sa poitrine. Combien d’hommes, de femmes, de milliers d’individus, de dizaines de milliers, avaient pu ainsi s’occuper de son être ? Elle ne pouvait plus les compter, mais elle trouvait cela toujours aussi bon. Elle avait toujours aimé le sexe, de toute façon.

Entre deux élancements, Lamperouge lui demanda quand le transfert aurait lieu. Elle se contenta de lui sourire, avant de pousser un autre soupir. L’orgasme vient assez rapidement, et elle se laissa porter, descendant ses mains pour empoigner le postérieur du mage, les serrant, avant de remonter ses mains à hauteur de son cou, l’embrassant. Ses pupilles se voilèrent d’un noir absolu, alors que Sha poussa un hurlement qui n’était pas que sonore, mais également magique. Sa forme astrale se découpa avec sa forme humaine, et Sha jouit, répandant sa cyprine divine.

« Contrairement à ce que bien des gens pensent, mon cher, un rituel peut se dérouler de manière très simple. En l’occurrence, vous pourriez me contenter de ma cyprine, mais, comme je sens que vous êtes un homme qui veut plus que ça… »

Maintenant sa phrase en suspens, Sha inversa les rôles, ne tardant pas à se retrouver sur Lelouch, le sexe de l’homme se glissant entre ses cuisses. Un sourire espiègle aux lèvres, l’Ombre fit jaillir depuis l’obscurité ambiante des espèces de tentacules qui s’enroulèrent autour des bras de l’homme, l’immobilisant.

« Je pense que ça risque d’être assez désagréable pour vous… Mais, puisque vous insistez… »

Sha fit jaillir d’autres tentacules d’ombre depuis ses doigts, qui se faufilèrent dans la bouche de Lelouch. Plusieurs petits tentacules se glissèrent dans sa gorge pour se perdre dans son corps, tandis qu’un gros tentacule restait dans sa bouche, comme une espèce de verge. L’essence divine de Sha était un morceau de son ADN, et, s’il arrivait parfois qu’une goutte de cyprine puisse suffire, il existait des moyens de s’en assurer, comme ce qu’elle faisait en ce moment. Avec ses tentacules, elle rejoignait le corps de Lelouch. Ce dernier était totalement à sa merci, mais elle ne comptait pas le tuer. Le gros tentacule ne tarda pas à cracher un liquide qui avait pour but de se répandre dans le corps, les petits tentacules aidant à le véhiculer dans l’organisme, afin de conférer à Lamperouge ce que ce dernier recherchait : son essence divine.

Les rares candidats à cette expérience avaient pu dire qu’elle était particulièrement douloureuse. Sha espérait que Lamperouge réaliserait quel cadeau elle lui avait fait en lui autorisant à bénéficier de ce corps. L’excitation sexuelle devrait peut-être aider à faire diminuer la douleur…

… Ou pas.