Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Traquenard [Lucius]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Traquenard [Lucius]

mercredi 08 février 2012, 08:28:34

« Allez ! Allez, réveille-toi, petite Princesse ! DEBOUT ! »

Émergeant lentement du sommeil, Alice cligna des yeux, sentant son corps engourdi. Trouvant vraisemblablement qu’elle était trop lente à se réveiller, l’homme qui se tenait devant elle lui balança un verre d’eau froide à la figure. Alice secoua alors la tête, rouvrant rapidement ses yeux, et leva la tête.

« Ah ! Enfin réveillée ! Ce n’est pas trop tôt ! »

Alice ne tarda pas à comprendre plusieurs choses.

La première était qu’elle était attachée par des chaînes contre un mur dans un lieu sombre et froid, où elle était éclairée par des brasiers dans les coins. La seconde était qu’elle se remémorait progressivement qui était cet homme en face d’elle. Elle se trouvait vraisemblablement toujours à Nexus, où elle avait présidé une négociation avec un groupe d’activistes militant contre Nexus. Rien de bien surprenant ; Sylvandell étant affiliée à Ashnard, Nexus était l’ennemi naturel du royaume, et l’était d’autant plus que la récente attaque d’un détachement de soldats de Nexus contre une caravane de Sylvandell avait amené son Père et ses conseillers à décider d’une action vengeresse contre Nexus. L’armée de Sylvandell n’ayant pas la puissance nécessaire pour attaquer la ville, le royaume avait choisi de soutenir activement quelques poches terroristes implantées dans la cité-État, comme celui qu’Alice avait été voir. Elle avait choisi de présider cette séance, son père étant occupé. La réunion aurait du se passer anicroches.

Elle s’était tenue dans l’une des salles privées de la plus grande auberge de Nexus, l’auberge du Coucher de Lune, et la Princesse de Sylvandell était venue avec un détachement comprenant, outre Hodor, un Commandeur, Lyra, une femme particulièrement redoutable. Hodor étant par trop méconnaissable et bruyant, Lyra avait réussi à convaincre Alice de le laisser dans la maison où ils logeaient, et elle était venue dans cette salle privée en compagnie de Lyra et d’autres gardes. Le soutien de Sylvandell aux terroristes devait passer par la livraison d’armes et de potions magiques.

« Où… Où est-ce que je suis ? demanda Alice d’une voix faible. Ly… Lyra ? Où est Lyra ?!
 -  Vous êtes dans l’un des souterrains de l’auberge. Le coucher de la Luna est une auberge immense, dont les caves à vins communiquent avec d’autres souterrains, les catacombes, et les égouts de la ville. Cacher des gens, ce n’est pas très compliqué.
 -  Vous… Vous nous avez menti ! »

Un sourire éclaira les lèvres de l’homme, qu’Alice reconnut. C’était Allistair, le chef supposé des rebelles. La mémoire continua à lui revenir… Allistair acceptant et remerciant l’aide de Sylvandell, levant un verre pour trinquer… Un piège vieux comme le monde. Lyra s’humectant les lèvres, incitant Alice à en faire de même, afin de ne pas froisser les hôtes… L’alcool avait rapidement monté à la tête d’Alice, si bien qu’elle s’était écroulée sur la table… Pour se réveiller ici. Comme s’il suivait le cheminement de son esprit, Allistair sourit lentement.

« Vous êtes vraiment de parfaits imbéciles, vous, les Sylvandiens. Tomber dans un piège aussi grossier, c’est à se poser des questions sur votre intelligence… »

Allistair ne travaillerait sûrement pas pour Nexus. Autrement, elle serait en train de croupir dans une prison, et non dans un souterrain lugubre.

« Qui… Mais pourquoi ?! Nous voulions vous aider !
 -  Ma poupée, fit Allistair en souriant, tu apprendras que la seule chose qui compte, dans mon métier d’homme d’affaires, c’est de faire du profit. Contrairement à tous ces fanatiques, je ne suis pas un terroriste de conviction, simplement quelqu’un qui cherche à faire du profit. Or, dans notre situation, l’unique Princesse héritière d’un royaume guerrier, liée à une espèce de prophétie dragonnique, ma foi, ça rapporte plus que quelques armes à refourguer à des cinglés pour lancer des opérations suicides. C’est un simple calcul de comptabilité. N’y voyez rien de personnel.
 -  Sale rat, siffla Alice. Qu’avez-vous fait de Lyra ?!
 -  Coriace, la petite. Quand elle a réalisé que le vin était empoisonné, elle s’est battue courageusement, mais, avec son corps qui s’engourdissait, il n’a pas été trop difficile de la calmer. Quant à ce qu’on a fait d’elle… Disons que ton sort est, en tout point, enviable au sien. »

Allistair tendit une main hésitante vers le visage d’Alice, comme pour la caresser. Des chaînes l’immobilisaient en position assise sur le sol, autour des tibias, mais aussi autour des poignets. Réagissant au quart de tour, elle lui cracha à la figure, et reçut une violente gifle. Allistair s’essuya la joue avec un mouchoir, et sortit de la salle, entrant dans un couloir surveillé par plusieurs de ses hommes.

« Surveillez cette garce, intima-t-il, avant de préciser quelque chose. Si vous voulez profiter d’elle, soyez soucieux. Si vous l’abîmez trop, elle perdra de sa valeur aux yeux d’éventuels acheteurs. »

Des sourires entendus traversèrent le visage des deux gardes affectés à la surveillance de la cellule de la Princesse. Alice, de son côté, comprit rapidement qu’elle ne pourrait pas se libérer. Allistair avait également pris le soin de prendre sa dague. Elle l’avait vu le tenir à la ceinture. Sa précieuse dague…

*Je vais énucléer cet enfoiré !* fulmina-t-elle.

Lucius

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 1 mercredi 08 février 2012, 14:23:49

Lucius rentrait tard. ça n'était pas une rareté chez lui plutôt même l'inverse. Il aimait trainer dans les rues de Nexus la nuit. Et ce n'est pas les coupes-jarret du coin ou les créature nocturne qui pouvait l'effrayer. Malgré tout, cela avait été une nuit plutôt calme. Il reprenait le chemin de la taverne. Il vit qu'un homme, la mine patibulaire, ce tenais devant l'entrée. Il voulus passer à coté de lui quand malheureusement, il fit ce que Lucius avait prévu qu'il allait faire.

Dégage ! L'auberge est fermée ce soir. Dit l'homme en ce plantant devant lui.

Lucius le regarda d'un air ni effrayé ni agressif.

Ah n'en vous en faite pas monsieur. Je vais directement aller dans ma chambre. Je ne dérangerai personne

Tu vas virer ton cul de la sinon je v..haaa

Il cessa de parler. Ce qui arrive lorsqu'on vous serre la pomme d'adam avec les doigts. Lucius le frappa du pied au niveau des testicules, puis le frappa à la tempe ce qui l’assomma et il l'envoya dans les ordures.

Il entra dans l'auberge et vit le patron pâle comme un cul.

Il le salua jovialement avant de lui demander le pourquoi du videur. Apparemment, des messieurs peu recommandable avait décidé de réserver l'auberge pour la soirée et avait fait sortir tout le monde après son départ. Il n'avait rien pu faire ne voulant aucun soucis avec ce "Allistair".
Lucius connaissais ce nom. Un chef de bandes assez influent mais sommes toutes assez ordinaire.
Il lui demanda ou ils étaient avant de lui dire d'aller ce planquer dans sa chambre et de mettre un meuble devant la porte.
Il avait ses aises dans cette auberge et avait la flemme de chercher une autre. Et la mort de l'aubergiste lui déplairai un peu il faut dire.
Il ce dirigea vers la pièce qui sentait la mort plus il l'approchai. Il entra et vit un homme mort, vraisemblablement un des hommes d'Allistair. Apparemment il y avait eus lutte entre certains protagoniste. La personne qui était la cause de cela avait dut être maitrisé car le cadavre ne ressemblais pas au signalement qu'il avait eus d'Allistair.

Il vit quelques gouttes de sang aller vers une autre porte, qu'il ouvrit pour voir un escalier qui descendait. Il marcha, suivant la piste de sang pour finir par entendre une conversation.

« Qui… Mais pourquoi ?! Nous voulions vous aider ! Une voix féminines
 -  Ma poupée, fit une voix qui devait être celle d'Allistair, tu apprendras que la seule chose qui compte, dans mon métier d’homme d’affaires, c’est de faire du profit. Contrairement à tous ces fanatiques, je ne suis pas un terroriste de conviction, simplement quelqu’un qui cherche à faire du profit. Or, dans notre situation, l’unique Princesse héritière d’un royaume guerrier, liée à une espèce de prophétie dragonnique, ma foi, ça rapporte plus que quelques armes à refourguer à des cinglés pour lancer des opérations suicides. C’est un simple calcul de comptabilité. N’y voyez rien de personnel.
 -  Sale rat, siffla la jeune fille. Qu’avez-vous fait de Lyra ?!
 -  Coriace, la petite. Quand elle a réalisé que le vin était empoisonné, elle s’est battue courageusement, mais, avec son corps qui s’engourdissait, il n’a pas été trop difficile de la calmer. Quant à ce qu’on a fait d’elle… Disons que ton sort est, en tout point, enviable au sien. »

Lucius commençais à comprendre. Apparemment la jeune fille était une princesse d'un royaume apparemment ennemis qui était venus amener son soutient à une "prétendue" cellule terroriste de nexus. La jeune fille devait venir d'un royaume d'Ashnard. Peut-être Sylvandell si on en croyait les récents événement dont il avait entendu parler. Et elle c'était faite pigeonner par Allistair. Apparemment la personne qui avait tué

« Surveillez cette garce, Fit ce dernier avant de se reprendre. Si vous voulez profiter d’elle, soyez soucieux. Si vous l’abîmez trop, elle perdra de sa valeur aux yeux d’éventuels acheteurs. »

Lucius était tenté de la laisser dans sa bouse, vus le peu de respect que lui inspirait Ashnard ainsi que le terrorisme, mais il n'était pas du genre à laisser une femme ce faire violer. Il allait intervenir. Avec son panache habituel cela vas de soit.

Il dégaina son épée et attendit dans le couloir. Il vit un homme sortir qui cette fois ressemblais au signalement d'Allistair. Lorsque ce dernier le vis, Lucius mit la pointe de sa lame juste sous sa gorge et dit

Allistair je présume ? Lucius un client mécontent. Si vous voulez bien reculer pour retourner dans la pièce ?

Il appuya sa lame pour qu'il n'ai pas d'autre choix que de faire ce qu'il avait dit et ils entrèrent dans la pièce. Lucius parla plus fort

Bonsoir messieurs ! On remonte son pantalon, on pose ses armes au sol et on vas contre le mur. Sinon vous pourrez dire adieu à vos étrennes cette année.

Les deux gardes ainsi que la prisonnière qui était particulièrement au gout de Lucius, Les chaines ne faisant rien pour le calmer d'ailleurs, regardèrent dans sa direction. Il regarda Allistair droit dans les yeux pour lui faire comprendre de faire obéir ses hommes

Faites ce qu'il dit !

Les hommes posèrent alors leur armes au sol. et allèrent contre le mur. Il s'approcha avec allistair de la prisonnière. Il s'adressa alors à elle.

Bonsoir princesse puisque apparemment c'est votre titre. Avant de me remercier de vous sauvez vous pourriez avoir la gentillesse de me dire si y'en a plus que ça dans les parages ? En enlevant bien sur celui que votre copine à tué dans la pièce plus haut et celui que j'ai assommé devant la porte de l'auberge ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 2 mercredi 08 février 2012, 22:19:14

Alice ne tarda pas à être dérangée de sa solitude par la venue de deux gardes visiblement assez excités. Inutile de leur demander ce qu’ils voulaient ; il suffisait de voir le regard qu’ils faisaient en détaillant son corps. La Princesse était loin d’être nue, mais elle était belle. On lui avait ôté sa veste, révélant le corset blanc qu’elle s’était mise, ainsi que son pantalon. Elle était en somme en sous-vêtements, dans une tenue qui avait de quoi attirer bien des hommes. Elle portait de longs collants recouvrant l’essentiel de ses jambes, et de longs gants blancs. Une vision d‘innocence et de beauté, mais son regard témoignait d’une solide fermeté. Les gardes s’avancèrent en ricanant, commençant à caresser ses jambes, la faisant frémir. Elle fut tentée de les supplier, mais se mordilla les lèvres, se refusant de leur donner ce plaisir. Une main remonta le long de sa jambe, tirant un peu sur sa culotte, et elle poussa un petit cri.

« Oh ouais, on va passer un putain de bon moment avec toi, ma beauté… »

Sentant son cœur battre la chamade sous la peur, la Princesse tenta de se calmer, de se concentrer, et tourna la tête vers eux, rouvrant les yeux.

« Lâ… Lâchez-moi tout de suite !
 -  Sinon quoi, poupée ? ricana-t-il. Tu vas te fâcher ?
 -  T’inquiètes pas, nous, on sait s’y prendre avec les belles blondes comme toi ! dit-il en caressant la joue d’Alice.
 -  Vous me donnez envie de vomir, sale con ! Virez vos sales pattes de… »

La Princesse se reçut une gifle assez puissante, et en poussa un hurlement, tandis qu’elle vit les pantalons des hommes glisser le long de leurs jambes.

« J’crois que tu mérites une petite leçon, ma poulette… »

La porte s’ouvrit à nouveau, et les deux malfrats se retournèrent. Allistair débarqua, blême, une lame contre sa gorge. Fronçant les sourcils, Alice crut que ce ne soit Lyra, mais elle éluda rapidement cette idée. Lyra aurait déjà tué Allistair, et aurait déjà tué les deux malfrats, plutôt que parlementer. Elle vit un homme assez bien bâti, barbu, derrière Allistair, qui ordonna aux malfrats de se rhabiller. Se concertant, ces derniers hésitèrent, jusqu’à ce que leur chef leur ordonne d’obéir. Ces derniers se reculèrent, alors, tandis que le mystérieux individu s’avança, continuant à tenir Allistair sous la menace de son arme.

« Bonsoir princesse puisque apparemment c'est votre titre. Avant de me remercier de vous sauvez vous pourriez avoir la gentillesse de me dire si y'en a plus que ça dans les parages ? En enlevant bien sur celui que votre copine à tué dans la pièce plus haut et celui que j'ai assommé devant la porte de l'auberge ?
 -  T’es mort, Lucius, grogna Allistair
 -  Je… finit Alice, essayant de reprendre ses esprits. Je… Je l’ignore… J’ignore combien ils sont, mais… Lyra… Elle n’est… »

Alice ne put achever, car d’autres hommes entrèrent dans la petite pièce, pointant des armes à feu sur le mystérieux Lucius, sortant des épées. Des armes steampunk. La Princesse reconnut une espèce de pistolet, et elle entendit également des grognements.

« Dégainez vos armes, bandes d’abrutis ! s’exclama Allistair. Vous ne voyez pas que j’ai une putain de lame sous la gorge ? »

S’extirpant du lot, un homme sourit. Il était chauve, avec un tatouage autour d’un de ses yeux, et pointa son arme sur la tempe de Lucius, une espèce de fusil à canon scié, qui avait plus ou moins la taille d’un pistolet.

« Les gars et moi, Allistair, on se dit qu’il est peut-être temps de changer de présidence.
 -  Wilfried ! Non, ne… »

Wilfried « Jackhammer » tourna son arme vers Allistair, et appuya sur la gâchette. La détonation fit hurler Alice, alors qu’une partie de la tête d’Allistair s’envola, s’écrasant sur l’un des piliers.

« Comme je disais, reprit Wilfried, ça peut se dérouler sans effusion de sang, le moine, ou ça peut être une putain de boucherie. Cette fille est à nous. Elle venait promouvoir le terrorisme et la dissidence sur Nexus. Alors, en gros, ‘viens pas nous faire chier ! Et si t’as pas compris… Alors, je crois qu’on va t’aider à comprendre, fit-il en pointant son arme. Remonte bien sagement dans l’auberge, pose ton gros cul sur un tabouret, et laisse-nous protéger l’intégrité de Nexus.

Alice soupira. Certes, elle ne pouvait nier qu’elle était effectivement venue pour armer des résistants afin de déstabiliser Nexus, mais c’était de bonne guerre. Ashnard et Nexus était en guerre, et ce Lucius n’avait pas là d’obéir aux autorités de Nexus. Elle décida de jouer son va-tout.

« Protégez-moi, Monsieur ! Quoi que vous fassiez, ils vous attaqueront ! Je leur suis trop précieuse pour…
 -  La ferme ! » s’exclama « Jackhammer » en pointant son arme vers elle, prêt à appuyer sur la gâchette.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 3 jeudi 09 février 2012, 09:12:12

T’es mort, Lucius, grogna Allistair

Lucius lui répondis en lui donnant une petite gifle du plat de sa lame avant de la remettre sous sa gorge.

Tut tut tut. C'est pas votre tour de parler et en plus c'est impoli de tutoyer quelqu'un sans y être invité.

Il se tourna alors vers la belle princesse qui portait une tenue pour le moins stimulante. Il faudra qu'il pense à l'inviter à diner après cette histoire.

 -  Je… finit elle, essayant de reprendre ses esprits. Je… Je l’ignore… J’ignore combien ils sont, mais… Lyra… Elle n’est… »

Lyra devait etre la personne qui avait tenté de ce défendre plus haut. Lucius devait donc trouver également une femme garde du corps. Il allait demander plus de précision quand la princesse fut interrompu par l'arrivée d'autres hommes tenant cette fois ci...des armes à feux.

Sérieusement messieurs ? Des armes à feux ? quelle vulgarité.

« Dégainez vos armes, bandes d’abrutis ! s’exclama Allistair. Vous ne voyez pas que j’ai une putain de lame sous la gorge ? »

Lucius garda son calme et réflechit à la situation. Quatre hommes venaient d'entrer dans la pièce. Additionné aux deux hommes désarmé prêt du mur et Allistair, ça faisait sept ennemis à défaire rapidement sans risquer de blesser la belle. Un homme sortit du lot en souriant et pointant une arme directement sur la tempe de Lucius.
L'homme était chauve  avec un tatouage autour des yeux.

« Les gars et moi, Allistair, on se dit qu’il est peut-être temps de changer de présidence.
 -  Wilfried ! Non, ne… »

Celui qui c'était fait appeller Wilfried, tourna son arme vers Allistair, et appuya sur la gâchette.
Le coup de fusil scié fait exploser une partie de la tête d'Allistair et crier le princesse tout en explosant les timpants de Lucius. Ce que ce dernier n'apprécie guère.

« Comme je disais, reprit Wilfried, ça peut se dérouler sans effusion de sang, le moine, ou ça peut être une putain de boucherie. Cette fille est à nous. Elle venait promouvoir le terrorisme et la dissidence sur Nexus. Alors, en gros, ‘viens pas nous faire chier ! Et si t’as pas compris… Alors, je crois qu’on va t’aider à comprendre, fit-il en pointant son arme. Remonte bien sagement dans l’auberge, pose ton gros cul sur un tabouret, et laisse-nous protéger l’intégrité de Nexus.

Lucius entendis difficilement les paroles de Wilfried, le sang lui battant au temps après la détonation. Il compris malgré tout ce qu'il lui dit. Il est vrai que personne ne lui reprocherai d'avoir laissé une ennemi de Nexus à son sort. Mais Lucius ne faisait pas de politique. De plus...

« Protégez-moi, Monsieur ! Quoi que vous fassiez, ils vous attaqueront ! Je leur suis trop précieuse pour…
 -  La ferme ! » s’exclama « Jackhammer » en pointant son arme vers elle, prêt à appuyer sur la gâchette.

L'arme fut alors sectionnée juste au niveau de la gachette. Laissant in extremis les doigts de Wilfried intact. Wilfried immobile face à un Lucius épée ET dague dégainée

C'est vraiment dommage pour vous Signore Wilfried. J'aurais accepté votre proposition et il a fallu que premièrement vous m'assourdissiez avec votre joujou, que deuxièmement vous sous-entendiez que j'ai un gros cul alors qu'il est bien ferme et musclé comme l'aime les dames, Et pour finir que vos hommes ai failli violer cette charmante princesse. Alors je crois que je vais choisir ce que vous avez qualifiez de "putain de boucherie"

Lucius avait eus l'intelligence de ce place de façon à ce que Wilfried soit entre lui et les quatre hommes armés. D'un coup de pied puissant dans le torse, il l'envoya percuter ses hommes, en faisant chuter deux à terre. Les deux autres pointèrent leurs armes en direction de Lucius.

Enfin dans la direction ou il était une seconde plus tôt. Il ce déplaça latéralement et arriva vers la droite. Dans le même mouvement, il enfonça sa dague dans l’œil de l'homme de droite et coupa la main armée de l'homme de gauche

Arrosez-le bandes de débiles ! Cria Wilfried a ses hommes qui venais de ce relever.

Ils tirèrent sur Lucius qui eus juste le temps de ce couvrir du corps de celui auquel il avait tranché la main qui mourut sur le coup. Il enfonça ses deux lames dans son corps et le souleva légèrement pour continuer à avancer, se servant de lui comme bouclier. Il le dégagea ensuite de coté, lâchant ses armes et fondit sur les deux tireurs, empoignant leur armes de ses mains. Il chargea ses mains de CHI et serra les doigts pour comprimer les canons sur eux mêmes.
Les deux hommes blêmirent voyant cela et ne bougèrent plus. Lucius passa alors son CHI de ses mains jusqu'à ces jambes, sauta et écarta les jambes pour les frapper les deux aux visage, les envoyant valdinguer au loin.

Il regarda alors Wilfried avec un sourire avant d'entendre des lames sortir de leur gaines derrière lui. Les deux hommes qu'il avait refroqué et mit contre le mur les avait récupérées.
Je reviens tout de suite mon ptit Willie. Fit il à Wilfried d'une voix moqueuse.

Il ce retourna pour voir qu'ils avaient dégainé chacun de long coutelas presque aussi longs que sont épée. Il récupéra ses armes du cadavre ou il les avaient laissés marcha dans leur direction. Il regarda alors la princesse qui semblait impatiente d’être libre de ses mouvements et décida de faire un geste de courtoisie et en même temps d'épicer son combat.

Tenez princesse! Servez vous en pour vous détacher ça coupera l'acier. Il chargea fortement de CHI sa dague et la lança dans la direction de la belle pour couper la chaine qui tenais ses poignets.

Il courut alors vers les deux hommes au coutelas armés de sa seule épée. Il baissa volontairement sa garde leur donnant une ouverture pour attaquer. Il se contenta de se défendre un moment. Les laissant enchainer leurs attaques maladroite, parant, esquivant avec l'agilité et la grâce d'un danseur. Puis il ce déplaça de manière à les amener à ce rapprocher des plus en plus d'eux-même jusqu’à ce que d'un seul mouvement il put dévier leurs deux lames et que d'un autre unique mouvement il leur trancha la gorge aux deux.

Ils se tinrent la gorge durant un instant avant de s'écrouler au sol. Lucius ce retourna alors en direction de la princesse et de Wilfried.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 4 jeudi 09 février 2012, 15:36:32

Attachée, Alice ne pouvait qu’observer le combat, se sentant terriblement impuissante. Il lui était impossible d’agir, de faire quoi que ce soit. Son impuissance se mélangeait à un sentiment de panique croissant à l’idée que Lyra puisse avoir été tuée. C’était impossible ! La Princesse était intimement convaincue qu’elle devait être attachée quelque part, mais elle devait aussi admettre l’évidence. Si les malfrats l’avaient capturé, pourquoi l’aurait-il épargné ? Il ne voulait qu’Alice, et, s’ils connaissaient la réputation des Commandeurs, ils auraient probablement du la tuer depuis longtemps. Mais Alice ne pouvait se résoudre à l’accepter, non seulement parce que, pour elle, un Commandeur ne pouvait pas vraiment mourir, mais aussi parce que, si Lyra était morte, qui viendrait la sauver ? Elle ne connaissait pas ce Lucius, mais elle n’était pas spécialement convaincue qu’il était une âme chevaleresque venue « par hasard » la secourir. Princesse, commençant à comprendre le fonctionnement du monde dans lequel elle vivait, la Princesse restait relativement sceptique à l’égard du hasard et des rencontres fortuites. C’était aussi une conséquence de son éducation religieuse, qui l’amenait à considérer que ce qu’on appelait « hasard » n’était qu’une métaphore grotesque pour désigner la volonté divine, incompréhensible aux yeux des mortels.

*Dans tous les cas, c’est pas ça qui va m’aider à me détacher… Suis-je vraiment aussi empotée que ça ?*

Elle tira à nouveau sur les liens qui l’immobilisaient. La frustration continua à croître dans son corps, tandis que le combat se mit à exploser devant ses yeux, entre Lucius et les hommes de « Jackhammer ». Ayant perdu son fusil à canon scié, ce dernier s’était prudemment reculé, tandis que les détonations résonnèrent. Lucius se battait plutôt bien, et utilisa une espèce de magie pour repousser d’autres adversaires. Elle était fascinée par ce combat, à tel point qu’elle négligeait d’essayer de se libérer.

« Tenez princesse ! Servez vous en pour vous détacher ça coupera l'acier » lâcha subitement Lucius.

Il lança vers elle une dague, qui alla se planter dans le pilier, à côté d’une de ses mains. Elle leva la tête, se demandant si cette lame n’était pas en verredragon. De l’acier simple ne pouvait pas trancher de l’acier, après tout, mais elle savait que les lames qu’on forgeait à Sylvandell, faites en verredragon, à partir de l’obsidienne, présentaient cet avantage d’être particulièrement tranchants. Utilisant ses doigts, elle parvint à attraper le pommeau, tandis que Lucius affrontait les deux adversaires dans une danse de lames.

*Seul le fou n’a pas peur, songeait-elle dans sa tête, s’appropriant les paroles de Ciri’ quand elle avait commencé à la former au combat. La bravoure, c’est utiliser la peur comme moteur pour se battre… Allez, allez, courage, ma petite Alice !*

La Princesse réussit à attraper la dague, et commença à l’appliquer. La lame frotta contre l’acier, mais, vu l’angle dans lequel elle frappait, la Princesse ne réussissait qu’à caresser la chaîne. Elle poussa un soupir de frustration, tandis que Lucius parvenait à triompher de ses ennemis, et avançait vers « Jackhammer ». Débarrassé de ses hommes, Wilfried s’était rapproché d’Alice, et avait dégainé une autre arme.

« Tu tiens à savoir pourquoi on m’appelle ‘‘Jackhammer’’, Lucius ? le railla-t-il. J’vais t’faire une petite démonstration… »

Joignant le geste à la parole, « Jackhammer » visa le sol avec son pistolet, et son autre main se mit à luire, avant de toucher la carrosserie de l’arme. Les yeux de Wilfried se vrillèrent, son tatouage se mit à s’enflammer, et il tira sur le sol… Concentrant son pouvoir magique, la balle rencontra le sol, et provoqua une violente secousse, une puissante vibration. Le plafond en trembla, certaines colonnes se fissurèrent, et « Jackhammer » tira une seconde balle vers le plafond, au-dessus de Lucius, provoquant l’effondrement d’une partie de ce dernier. La poussière volait dans tous les sens.

« Voilà pour toi, ENFOIRÉ ! Hahahahaha ! Sale con ! » jubilait Wilfried.

La pièce tremblait nerveusement, et « Jackhammer » s’avança en tremblant nerveusement vers Alice. Il la libéra promptement, et la tira par les cheveux.

« Lâchez-moi ! piailla-t-elle.
 -  Ta gueule, salope ; avance ! » grogna Wilfried.

Il balança Alice sur le sol, et cette dernière rampa vers la porte, le plafond se fissurant de toute part. Elle remarqua alors que l’œil de « Jackhammer », celui qui était entouré par un tatouage, était injecté de sang. Une ligne écarlate glissait de sa pupille. Des larmes de sang… Visiblement, son pouvoir d’ESPer avait quelques effets secondaires regrettables. Ils sortirent de la salle en poussière, tandis qu’Alice entendait d’autres bruits de pas. Depuis la droite, soit le chemin ramenant vers l’auberge, plusieurs autres truands surgirent.

*Mais ils sont toute une bande !*

La Princesse essaya de se libérer de la poigne de Wilfried.

« Surveillez cette pièce ! Je ne pense pas que cet enfoiré soit mort aussi facilement ! »

Ayant dit cela, « Jackhammer »  avança vers un escalier, le montant rapidement.

« Tout ça pour une foutue gamine… Cesse de te débattre ! »

Il la jeta contre le mur à un croisement de l’escalier, et elle essaya de s’enfuir. Elle courut rapidement vers l’escalier, et Wilfried l’attrapa par les cheveux. Elle se retourna vers lui, la dague de Lucius pointée en avant, et l’envoya vers sa poitrine. La lame fila vers sa peau, et Wilfried l’évita en bondissant en arrière, relâchant les cheveux d’Alice. Il loupa une marche, et bascula en arrière, roulant le long des marches de l’escalier. La Princesse courut rapidement sur l’escalier, filant vers le haut.

« Reviens là ! » entendit-elle.

La Princesse ouvrit une porte, filant dans un couloir. La peur donne des ailes, affirmait-on. Elle ouvrit une autre porte, et atterrit dans l’un des couloirs latéraux d’un des multiples salons de l’auberge. Alice continua à courir jusqu’à arriver dans le salon… Où elle aperçut des hommes en train de boire avec l’aubergiste.

« J’pense que Jackie a du flinguer le vieil Allistair… commenta sobrement l’un d’eux.
 -  Y a des chances, oui… Mais c’est pas franchement plus mal ; Allistair était trop proche du pouvoir, trop… Trop fillette ! »

Alice se mordilla les lèvres, et les regards se portèrent alors naturellement vers elle.

« Madame en a assez des caves ? rigola l’un d’eux.
 -  On t’abîmera pas trop… »

Les hommes s’avancèrent lentement vers elle. Alice regarda à droite et à gauche, et courut rapidement vers les toilettes. La Princesse ouvrit la porte rapidement, et se demanda par où s’enfuir.

*Pourquoi est-ce que je me suis planquée dans des toilettes ?!*

Alice trembla, résistant à l’envie de pleurer, cherchant une issue. Elle entendit alors des cris de douleur. Surprise, Alice se retourna. Pourquoi personne ne venait ? Elle entendait des coups sourds, des cris.

« Hey ! Veux-tu… ?! Oh… Noooonnn… »

Quelque chose heurta violemment le mur. Alice entendit une explosion.

« Arrête de… ! Oh, oh, toi, toi, toooiiii !! »

Soupirant, Alice s’approcha de la porte, et l’ouvrit légèrement… Pour voir le cadavre dégoulinant de sang d’un des tueurs, une longue traînée de sang filant d’une table brisée vers le mur. Son corps avait été balancé contre le mur. Elle sentit son cœur manquer quelques battements en voyant l’individu responsable de tout ça. Ou la femme, plutôt. Évitant la longue lame d’un des tueurs, Lyra s’empara de son arme, et le descendit. La femme lui cracha dessus, avant de se retourner vers Alice.

« Lyra ! Je savais que tu n’étais pas morte ! »

La femme s’avança en souriant quand l’une des portes d’entrée de l’auberge s’ouvrit dans un fracas. Des soldats nexusiens jaillirent, et avisèrent le carnage.

« Va-t-en, Alice, ordonna Lyra.
 -  Mais… intervint celle-ci.
 -  On fout le camp ! »

Les soldats leur ordonnèrent de s’arrêter, et Lyra la prit par la main, filant par un couloir. Sortant également des armes à feu, parallèlement à des arbalètes, les soldats tirèrent, mais loupèrent leurs cibles. Lyra courut le long d’un couloir… Jusqu’à ce qu’un mur explose brutalement, la renversant. Elle eut à peine le temps de se redresser qu’une main la souleva de terre. Une tête violente s’écrasa contre son front, et elle se reçut un coup de crosse, l’envoyant s’écraser sur le sol.

« Salopes, grogna Wilfried. Ce qu’il faut pas faire pour une foutue blondasse… »

Les soldats jaillirent alors, et « Jackhammer » les regarda.

« Putain, vous avez mis le temps !
 -  Reculez ! Rendez-vous ! ordonna l’un des soldats.
 -  J’organisais une réunion dans l’auberge quand cette folle m’est tombée dessus ! ‘Me dis pas ce que j’ai à faire, sale con, et dépêche-toi de l’arrêter !
 -  Reculez ! »

Wilfried se recula en soupirant, tandis que des gardes s’approchèrent de Lyra. Cette dernière bondit alors comme un félin, levant une jambe pour atteindre un homme dans le ventre. Elle se retourna rapidement, et utilisa ses deux mains plaquées sur le sol pour bondir en avant, heurtant un autre garde. Se trouvant au milieu des soldats, elle se dégagea en attrapant une épée d’un soldat de Nexus, et la planta dans le ventre d’un autre.

« Fous le camp, Alice ! »

Obtempérant pour de bon, cette dernière sentit son corps se délier, et courut. Grognant, Wilfried s’élança à sa poursuite. Alice s’élança dans un couloir rouge, et renversa une petite armoire derrière elle. Wilfried s’esquiva habilement, heurtant le mur de gauche, et reprit sa course. Alice vit vaguement une porte s’ouvrir, et, se baissant, fila sous le bras d’un homme.

« Mais que… ?! Aaaah ! »

L’interrogation de l’homme se mua en un cri de surprise quand “Jackhammer” s’écrasa sur lui, le renversant, l’envoyant s’écraser sur le sol. Débarquant dans une partie des cuisines, Alice courut au milieu des fourneaux, tandis que « Jackhammer » lui tirait dessus., les balles explosant autour du corps de la Princesse. La pauvre avait mal partout, était épuisée, mais ne s’arrêtait pas pour autant de courir. La vision embuée par les larmes, elle finit toutefois par trébucher, et s’écrasa sur le sol, roulant, s’arrêtant près d’un fourneau. Elle vit un cuisinier s’approcher d’elle, avant qu’une solide main ne l’attrape par l’épaule, renversant le malheureux sur le sol. La Princesse tremblait tellement de peur qu’elle était incapable de formuler le moindre mot, alors qu’elle voyait le canon d’une arme pointée sur son visage.

« Rien à foutre de la prime ! J’vais te crever, salope !
 -  Arrêtez ça ! »

Une poële frappe violemment Wilfried au visage, émanant de la part d’un cuisinier. Sonné, Wilfried chancela, s’appuyant sur une table, toute une partie de son visage en sang. Secoué, il tenta de reprendre ses esprits. Le jeune cuisinier, visiblement un peu trop porté sur les romans de chevalerie, se prépara à récidiver, mais se reçut soudain avec le canon de l’arme entre ses deux yeux. Wilfried appuya sur la gâchette sans se poser plus de questions. Avec une partie de son visage en sang, le truand était méconnaissable, et saisit Alice par son corset, l’approchant près du fourneau.

« Là d’où tu viens, y paraît que les dragons, c’est ton trip ! aboya-t-il, crachant du sang depuis ses lèvres sur le visage d’Alice. Va donc te faire cramer le cul ! »

Il la gifla violemment, l’anesthésiant presque. Alice vit les flammes danser, les flammes hypnotiques, ce rideau de feu émanant du fourneau, et « Jackhammer » la poussa vers le mur de feu, se mettant à rire bruyamment et nerveusement.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 5 mardi 14 février 2012, 19:15:20

La 1ere secousse l'avait déséquilibré sans le sonner mais la seconde avait provoqué la chute du plafond. Lucius aurait pus encaisser le choc mais il préféra une avance plus subtil. Il ce concentra pour devenir éthéré et disparaitre au moment même ou le plafond lui tombais dessus

« Voilà pour toi, ENFOIRÉ ! Hahahahaha ! Sale con ! » jubilait Wilfried.

Bien qu'il ne voyais plus que des formes grisâtres il entendait parfaitement tout ce qui ce passait autour de lui. Il vit une forme s'avancer vers une autre qui était à genoux pour la saisir et reconnus la voix de la princesse et celle de Wilfried

« Lâchez-moi ! piailla-t-elle.
 -  Ta gueule, salope ; avance ! » grogna Wilfried.

Il les vis sortir pour ensuite être rejoint par d'autre formes. Le fait qu'elles ne bougent pas de façon hostile montrais que c'était des hommes de Wilfried. Ce dernier ce remis à parler.

« Surveillez cette pièce ! Je ne pense pas que cet enfoiré soit mort aussi facilement ! »

Lucius ricana sur le fait qu'il était loin de ce tromper il fit les deux formes de Wilfried et de la princesse ce diriger vers l'escalier

« Tout ça pour une foutue gamine… Cesse de te débattre ! »

Il vit ensuite les deux formes bouger comme durant une lutte et Lucius hésita à reprendre sa forme tangible au yeux de tous pour aider la princesse. Avant qu'il prenne une décision, les formes ce séparèrent et la plus petite ce mit à courir à grande vitesse

« Reviens là ! » beugla wilfried

Bleiz perdu de vus la forme appartenant à la princesses et décida de suivre celle de Wilfried afin de ne pas le perdre de vus. Il ce contenta de le suivre sagement. Tournant à droite, à gauche, s’arrêtant parfois comme pour réfléchir à ou aller. Il le vit alors ce tourne vers un mur et une lueur briller sur lui. Une lueur surnaturelle vus qu'il la voyait même dans le monde éthéré. Il ce boucha les oreilles en attendant le choc. Au bruit, il comprit que le mur venait d'exploser et vit que de l'autre coté des formes ce trouvais dans un couloir. Il vit Wilfried s'approcher de l'une d'elle et bouger à ce qui semblait être un échange de coup jusqu’à ce que la forme tombe au sol.

« Salopes, grogna Wilfried. Ce qu’il faut pas faire pour une foutue blondasse… »

d'autres formes jaillirent alors. Ordonnée tel un seul mouvement. Certainement pas des hommes de Wilfried. Des soldats de Nexus dans ce cas.

« Putain, vous avez mis le temps ! Grogna la voix de Wilfried
 -  Reculez ! Rendez-vous ! ordonna une voix masculine inconnu. Surement un soldat
 -  J’organisais une réunion dans l’auberge quand cette folle m’est tombée dessus ! ‘Me dis pas ce que j’ai à faire, sale con, et dépêche-toi de l’arrêter !
 -  Reculez ! »

Le soldat ne se laissai pas prendre au jeux de Wilfried et le fit se reculer. Des Soldats s'approchèrent de la forme qu'il avait assommé. Qui était-ce ? Wilfried avait parlé d'une "folle" mais ce n'était pas la princesse dont Lucius reconnaissait la forme plus loin. Était-ce la "Lyra" dont la princesse avait parlé précédemment, une combattante apparemment.

Comme pour confirmer sa réflexion, la forme qu'il confirma alors comme celle de Lyra et commença a bouger au milieu des soldats. Les faisant tomber les uns après les autres. Elle n'était pas une novice.

« Fous le camp, Alice ! »

Il vit la forme d'"Alice" puisque c'était le nom de la princesse s'enfuir tandis que celle de Wilfried la poursuivait. Il allait partir à sa recherche mais il ne pouvais laisser la dénommé Lyra au milieu des soldats.
Il reprit alors sa forme tangible pour voir que s'était plutôt les soldats qu'il devait protéger. Lyra se débrouillait comme une cheffe et il lui était tout a fait possible de se sortir de cette mêlée. Tout comme il était possible qu'elle finisse par mourir sous la multitude. Dans tous les cas, de nombreuses morts inutiles en perspectives. Lucius décida de mettre un terme à tous ça. Il concentra du CHI dans ses mains, pris une bonne inspiration et tout en frappant si fort dans ses mains que le bruit résonna comme une arme à feux il hurla

ASSEZ !

Les combats cessèrent pour regarder celui qui venait d'apparaitre. Il regarda la garde du corps pour lui faire comprendre d'un regard de lui faire confiance.

TOI ! Dit-il en désignant celui qui portait les galons de capitaine. A partir de maintenant tu vas faire ce que je te dit. Cet endroit est remplis d'hommes de la bande d'Allistair. Peut-être même que le gang entier est dans le coin alors plutot que de perdre du temps et des hommes sur une fille qui n'as rien à voir avec eux, vous pourriez vous occupez d'eux ?

Le soldat le regarda éberlué pour ensuite reprendre un peu de contenance face à lui.

Et vous etes ?
Je suis grand, bien armé, doué pour filer des corrections, et légèrement contrarié par mon début de soirée. Je suis surtout un citoyen de Nexus qui s'est fait agressé dans l'auberge ou il réside par une bande que vous avez laissé se réunir impunément. Alors t'as deux choix mon coco. Soit tu joue au dur avec la demoiselle et dans ce cas je me joins à elle et non seulement tu perd tout tes hommes et ta réputation, si bien sur tu survis, soit tu la laisse sous ma responsabilité et tu retourne bosser.

Le capitaine regarde Lyra d'un œil mauvais
Elle a tué mes hommes
Des hommes qui s'ils avaient mieux fait leur boulot ne l'aurais jamais approché et seraient encore en vis. Je vais m'assurer qu'elle ne tue plus d'innocent jusqu’à son départ de la ville. ET MAINTENANT DU LARGE AVANT QUE JE M'ÉNERVE !

Il fit signe à lyra de le suivre et courus dans la direction ou Alice et Wilfried étaient partis. Il entendis Lyra le suivre mais pas les soldats. Sont laïus avait marché.

Il continua à courir, suivant son instinct. Il prit la peine d'adresser quelques mots à Lyra.

Écoute moi très attentivement beauté fatale. Je sais pas ce que deux Ashnardienne sont venus faire à Nexus, mais j'imagine que c'était pas du propre. La pour l'instant je m'en fout. Tout ce que je sais c'est que je vais pas laisser une jeune fille ce faire violer ou tuer si je peux faire autrement, et je vais pas laisser cet étron de Wilfried s'en tirer. Une fois la princesse hors de danger vous quittez nexus et vous renoncez à ce que vous alliez faire ici.

Il n'attendit pas une réponse. Son affirmation n'étant pas dites pour ouvrir une discussion il entendis soudain la voix de Wilfried au loin.

« Rien à foutre de la prime ! J’vais te crever, salope !
 -  Arrêtez ça ! »

Cela venait des cuisines Il bifurqua et courut dans leur direction. Il accéléra, inquiet quand il entendit une détonation. Il courut pour voir le corps du jeune cuisinier tomber au sol. Il le vit alors saisir Alice par le corset et l'approcher du Fourneau.

« Là d’où tu viens, y paraît que les dragons, c’est ton trip ! aboya-t-il, crachant du sang depuis ses lèvres sur le visage d’Alice. Va donc te faire cramer le cul ! »

Il la gifla alors ce qui sembla la sonner. Lucius courut vers leur direction, au coude à coude avec lyra qui se dirigeai vers Alice. Il bondit alors pour plaquer Wilfried au sol tandis que Lyra sauvait la jeune princesse.

Dos au sol, Wilfried regardait Lucius fou de rage cherchant à pointer son arme vers lui tandis que ce dernier, presque à bout de force d'avoir trop sollicité son CHI luttait pour écarter l'arme
Putain mais tu vas me faire chier encore longtemps ?
Laisse tomber ! La garde vas arrêter tous tes hommes.
J'en réengagerais. C'est pas la racaille qui manque dans cette ville. Quand je serais sortis d'un merdier pareille, il ce battrons pour me rejoindre. Mais d'abord...
Tandis qu'il avait parlé, son arme s'était rapproché du cœur de Lucius
CRÈVE!!!

Il appuya sur la gâchette et au moment même, Lucius poussa vers la gauche pour dévier l'arme qui tira sur son épaule. La douleur fit Hurler Lucius qui manqua de s'évanouir. Mais la rage lui donna un dernier regain d'énergie. Il lâcha l'arme et pris à pleines mains la tête de Wilfried à qui il fit faire quasiment demi-tour sur elle-même dans un craquement sonore.

Il souffla enfin, lâcha le corps sans vie de Wilfried et s'appuya contre un meuble pour voir Alice dans les bras de Lyra. Sa vision se troublait signe d'une très proche perte de conscience. Il regarda Alice dans les yeux et dit
La princesse est sauve. Le héros de notre histoire, peut enfin ce reposer.
avant de sombrer dans l'inconscience.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 6 mercredi 15 février 2012, 00:40:44

Hypnotique, le mur de feu se rapprochait à toute vitesse des yeux d’Alice, qui sentit un hurlement de terreur absolu mourir dans sa gorge. Quelque chose la renversa alors rapidement sur le sol. La forme bascula par-dessus elle dans son élan, et heurta un meuble, faisant tomber divers objets sur son dos dans un fracas particulièrement bruyant. Alice reconnut toutefois le corps ravissant de sa chère Lyra, et tourna la tête en entendant des bruits de bataille, ainsi qu’une violente détonation, suivie d’un hurlement de douleur. Secouant sa tête blonde, elle vit Lucius tuer Wilfried, avant de la regarder. Lyra s’était redressée, repoussant les gestes attendis des cuisiniers, et tenait Alice dans ses bras.

« La princesse est sauve. Le héros de notre histoire, peut enfin ce reposer, lâcha ce dernier.
 -  Pourquoi faut-il toujours que les hommes aient toujours une remarque imbécile à formuler dans ce genre situations ? » soupira Lyra.

Elle embrassa le crâne d’Alice, qui tourna sa tête vers elle, et s’enfouit entre ses bras.

« J’ai eu si peur ! s’exclama-t-elle.
 -  Tu ne croyais quand même pas que la vie de Princesse de Sylvandell consistait à passer sa vie le cul assis sur un trône ? C’est avant tout un poste d’action, mais tu t’en es bien sortie, ma belle, poursuivait Lyra en l’embrassant et en caressant ses cheveux.
 -  Mouais… ronchonna-t-elle.
 -  Tu n’as pas pleuré, et tu as su courir comme il fallait…
 -  Sans toi et sans lui, je serais morte ! objecta-t-elle.
 -  Tu n’es pas une guerrière, Alice, mais une Princesse… »

Elle tira un peu sur les cheveux d’Alice, et l’embrassa sur les lèvres, faisant rougir la Princesse, tandis que les cuisiniers hésitaient sur ce qu’il fallait faire. Blessé, Lucius gisait, inanimé, mais Lyra préférait réconforter Alice en l’embrassant tendrement. Elle aurait volontiers continué ainsi, jusqu’à ce qu’Alice la repousse délicatement.

« Il faut… On ne peut pas faire ça là, Lyra…
 -  Ça ne les dérangerait pas, pourtant… répliqua Lyra en souriant.
 -  Il… Il faut qu’on retourne au manoir… »

Lyra soupira, et tenta à nouveau d’insister, plaquant Alice contre le rebord de la table de cuisine, mais celle-ci la repoussa. Lyra poussa un autre soupir.

« D’accord, d’accord ! On retourne au manoir ! » s’avoua-t-elle, vaincue.

Lyra se retourna, et croisa le regard d’un cuistot.

« Quoi, tu veux ma photo ?! »

Le cuisinier tourna la tête, baissant les yeux, rougissant. Lyra le poussa d’un coup d’épaule, et s’approcha de la sortie, avant de s’arrêter, constatant qu’Alice ne la suivait pas. La jeune Princesse était restée près du corps de Lucius, l’observant silencieusement. Lyra soupira devant cette jeune femme. Elle avait beau être belle et mature, elle était encore pleine d’innocence.

« Il est blessé… On ne peut pas le laisser là…
 -  Je n’ai pas confiance envers cet homme… objecta Lyra. Il nous a menacé de partir rapidement… Tu sais que nous ne sommes pas les bienvenues à Nexus, petit trésor. On ne peut pas se permettre d’être altruistes, surtout qu’il ne nous a sûrement pas sauvé par un altruisme pur et désintéressé. Mieux vaut l’achever, ça serait plus simple…
 -  Il m’a sauvé !
 -  Sûrement pour obtenir une rançon ! » protesta Lyra, véhémente.

Se mordillant les lèvres, la Princesse ne trouva rien à ajouter, secouant la tête. Lucius l’avait sauvé des salles pattes de Wilfried, et il n’avait pas l’air de travailler pour Nexus… Alice détestait Nexus. Ils avaient délibérément attaqué cette dernière, et tenté, à plusieurs reprises, de s’infiltrer dans Sylvandell, de l’empoisonner, de déstabiliser le royaume. De son point de vue, elle ne faisait que leur rendre la pareille. La Princesse avait formellement tenu, malgré l’avis de contraire de son père, à venir sur place. Nexus était un endroit dangereux, et, même si ce dernier aimait voir les élans de courage de la Princesse, un voyage vers Nexus était particulièrement redoutable.

*Peut-être que Cirillia influe trop sur moi…*

Elle secoua la tête.

« Il m’a sauvé ! Peu importe ses motivations, nous devons lui rendre la pareille…
 -  Un tel altruisme n’est pas ce qu’on attend d’une Korvander, Princesse… nota Lyra.
 -  Peu m’importe ! riposta Alice.
 -  De toute manière, il est trop lourd pour que je le porte… »

Ce débat s’interrompit par des bruits de pas assez imposants. Hodor avait traversé une partie de la ville pour arriver à l’auberge, sentant on ne sait trop comment que sa Princesse était en danger. Le demi-géant surgit dans la cuisine, et ne tarda pas à porter Lucius. Le groupe retourna, par une porte de service, vers le manoir qui leur servait de refuge. L’apothicaire qui se tenait avec eux ne tarda pas à soigner Lucius de sa blessure à la jambe, et on l’amena dans une chambre, le débarrassant de son arme, l’attachant solidement par les mains et les jambes à un lit, tout en enroulant autour de son cou un cristal en dymérite. C’était un cristal spécial, très compliqué à faire, mais qui avait l’avantage d’émettre des ondes spéciales paralysant, dans une courte distance, la magie, ou ce qui s’en rapprochait. Une arme imparable, qui devait normalement immobiliser Lucius. Une précaution nécessaire ; il était toujours possible que cet homme travaille pour le compte de Nexus, ou ne cherche à les doubler.

Lorsque ce dernier se réveilla, ce fut pour entendre la voix accusatrice de Lyra. Assise sur un fauteuil, Alice observait à l’entretien, se remettant progressivement de ses émotions.

« Nous avons soigné votre blessure, en guise de remerciements pour avoir aidé à sauver la Princesse. Pour autant, cela ne m’amène pas à vous considérer comme un ‘‘héros’’, et, plutôt que de voir en vous un chevalier servant, mon imagination me dit plutôt que nous avons affaire à un agent de Nexus, ou à un autre esclavagiste. Nous venons effectivement d’Ashnard, et, partant de là, vous devriez logiquement comprendre notre suspicion. Si tout ceci n’était qu’une grossière tentative policière, sachez que vous ne tarderez pas à regretter que nous ayons extrait de votre corps cette balle. »

Silencieuse, Alice ne disait rien. Lyra menait l’interrogatoire, et elle ne tenait pas à la déconcentrer. Était-elle trop naïve ? Trop convaincue de ne voir que le bien chez les autres ? Il fallait croire que si, dans la mesure où elle était persuadée que cet homme, non seulement ne travaillait pas pour Nexus, mais n’était pas un autre esclavagiste. S’il travaillait pour Nexus, il se serait présenté envers la patrouille de soldats, et, s’il était un autre esclavagiste, il aurait sans doute préféré faire équipe avec Wilfried, pour les doubler ensuite. Non, elle n’arrivait pas à voir en lui un quelconque menteur qui voulait abuser d’elle.

Malheureusement, Lyra était du genre assez têtue, et la Princesse n’avait pas réussi à lui faire entendre raison, d’où cet interrogatoire. Elle avait en revanche obtenu à ce que l’homme soit dans un lit, et non dans la cave, comme Lyra l’avait initialement escompté. C’était toujours mieux que rien…

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 7 mercredi 15 février 2012, 09:40:58

Quand Lucius sorti de l’inconscience, Il se trouvait dans un lit, attaché par les bras et le jambes. Lyra ce tenais sur une fauteuil et lui parlait, tandis qu'Alice se tenait légèrement à l'écart.

« Nous avons soigné votre blessure, en guise de remerciements pour avoir aidé à sauver la Princesse. Pour autant, cela ne m’amène pas à vous considérer comme un ‘‘héros’’, et, plutôt que de voir en vous un chevalier servant, mon imagination me dit plutôt que nous avons affaire à un agent de Nexus, ou à un autre esclavagiste. Nous venons effectivement d’Ashnard, et, partant de là, vous devriez logiquement comprendre notre suspicion. Si tout ceci n’était qu’une grossière tentative policière, sachez que vous ne tarderez pas à regretter que nous ayons extrait de votre corps cette balle. »

Il regarda Lyra silencieuse quelques instant. Il tira sur ses lien pour comprendre qu'il était bien attaché. Il voulus concentrer son CHI puis il entendis un tintement le perturber. Il regarda sur son torse un cristal qui devait probablement être à l'origine du tintement. Il leva les yeux vers Lyra et commença à parler

Si j'avais voulu me réveiller attaché à un lit avec une femme qui me fait des reproches, je me serais marié. Pour répondre à votre question, je ne travaille par pour Nexus, je me contente d'y vivre. La politique c'est pas pour moi. Je ne suis pas esclavagiste non plus. La d’où je viens c'est interdit et j'ai gardé cette façon de voir les choses. J'avais compris que vous veniez d'Ashnard. Personnellement je ne tiens pas votre empereur en très haute estime.
Et pour ce qui est des raisons qui m'ont fait aidé votre princesse, disons que je ne crois pas au hasard. J'étais simplement venus me reposer dans mon auberge quand je suis tombé sur ces hommes, puis sur Alice enchainée qui était sur le point de ce faire violer. Je ne sais pas si je suis un héros ou pas, je sais que je ne laisse pas une femme ce faire violer sans que je puisse l’empêcher.
Après les événements ce sont enchainés et j'ai simplement continué sur ma lancée.


Il regarda ensuite Alice dans les yeux et lui sourit car il la trouvais vraiment désirable. Bien que Lyra l'était tout autant. Il se tourna de nouveau vers cette dernière.

D'ailleurs en parlant de lancée, je dois dire que je suis impressionné par vos talents au combats. Et pourtant j'ai déjà affronté des amazones.

Il se racla un peu la gorge avant de poursuivre.

Maintenant si vous vous attendiez à ce que je demande une récompense, J'aimerai bien un grand verre d'eau car les combats de cette nuit, couplé à cette conversation m'assèchent la gorge.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 8 mercredi 15 février 2012, 14:11:28

Lucius tenta naturellement de se libérer. Les liens de Lyra étaient toutefois solides. Des nœuds qu’on ne pouvait retirer facilement, à moins d’être un illusionniste. Gageons toutefois que, si elle en avait entendu parler, Alice n’aurait pas hésité à soumettre Houdini à l’épreuve de ces liens. Quoiqu’il en soit, Lucius comprit vite l’inutilité qu’il y avait à tenter de s’en défaire, et utilisa son étrange magie, ce qui fit luire le cristal. Il existait des cas, extrêmement rares, où on prétendait que la magie surpassait les effets de la dymérite. Lyra n’en avait toutefois jamais rencontré que dans les contes de fées, quand un magicien parvenait, malgré la dymérite, à utiliser sa magie pour sauver sa bien-aimée. Des contes de bonnes femmes, rien de plus. Lucius opta donc pour la négociation, exposant sa version des faits. Selon lui, il était un aventurier nomade, guère impliqué dans le conflit opposant Nexus à Ashnard, mais n’aimant pas particulièrement Ashnard. Il fallait bien reconnaître que l’Empire souffrait d’une notoriété assez négative. L’esclavage massif, l’autoritarisme constant du régime, mais aussi l’étrange faculté des troupes ashnardiennes à ne pas être attaqués par la plupart des monstres peuplant Terra, donnaient facilement à la propagande de Nexus l’idée d’« Empire du Mal » en parlant d’Ashnard. Ceci étant dit, Nexus pratiquait aussi l’esclavage, et son régime politique n’était fondamentalement guère différent de celui de l’Empire. Nexus ou Ashnard, c’était blanc bonnet, ou bonnet blanc. La différence était avant tout théorique.

Lucius poursuivit ses explications, affirmant qu’il avait secouru Alice parce qu’il ne supportait pas l’idée qu’une femme se fasse violer. A cette idée, la Princesse rougit timidement, mais Lyra ne se laissa pas démonter. Elle s’extirpa de son siège quand Lucius demanda un verre d’eau. Fallait-il le croire sur parole ? Alice était bien tentée de le faire, mais, dans ce domaine, le choix final incombait à Lyra. Elle était un Commandeur, disposant en ce sens de prérogatives importantes, notamment quand il était question de sécurité. Il avait notamment parlé d’« amazones », ce qui avait attiré l’attention d’Alice. Était-il possible que ce soit la même horde qu’Alice avait eu l’honneur d’héberger il y a quelques semaines ? Le monde de Terra était décidément petit… Elle se félicita quoiqu’il en soit que ce ne soit pas Cirillia qui soit à la place de Lyra. La femme était encore plus intransigeante qu’elle.

« Très bien… J’ignore si je peux totalement vous croire, mais, dans le fond, il semblerait que je ne puisse compter que là-dessus… Je m’appelle Lyra, et, contrairement aux apparences, cette jeune femme blonde est ma supérieure hiérarchique. Elle est la Princesse de Sylvandell, Alice Korvander, et elle semble insister pour qu’on vous accorde le bénéfice du doute. »

Ayant dit cela, Lyra fit sortir une dague, et trancha les liens qui retenaient Lucius, avant de s’emparer du collier en dymérite, le rangeant dans une petite boîte qui en annulait les effets. Alice entreprit de se relever, s’approchant de Lucius, attrapant un verre et une carafe d’eau sur une commode. Lucius avait l’air d’être un être assez imposant, le genre à ne pas embêter, comme elle avait pu s’en rendre compte. Cette masse ne l’intimidait cependant nullement ; des mastodontes, elle en avait déjà vu beaucoup, à commencer par son père, ou Hodor.

« Tenez, Lucius. Buvez donc » lui fit-elle avec un léger sourire poli.

Elle s’assit ensuite en face de lui, tandis que Lyra, silencieuse, alla s’asseoir sur une chaise. Alice savait pourquoi Lyra était aussi hargneuse : elle voulait dormir avec Alice, et, au lieu de cela, elle se trouvait avec Alice à discuter avec cet homme. On pouvait comprendre sa frustration. Lyra portait toujours son armure, relativement agréable sur son corps, tandis que la Princesse optait pour une simple robe recouvrant ses sous-vêtements.

« Merci encore de m’avoir sauvé… »

La Princesse se sentait légèrement redevable à son égard, malgré ce que Lyra pouvait en dire. Elle se mordilla donc les lèvres avant de poursuivre, craignant que Lyra ne l’interrompe.

« J’aimerais pouvoir faire plus pour vous récompenser de votre héroïsme envers vous, mais nous sommes bien loin de mon royaume. Toutefois, je pense que nous allons retourner sous peu, comme vous avez suggéré à Lyra de le faire. Nous venions bel et bien sur Nexus pour tenter de déstabiliser l’oligarchie en place, d’inciter le peuple à la révolte. Un juste retour des choses ; mon royaume ne s’est toujours investie que de manière indirecte dans cette guerre, mais j’ai personnellement été attaquée à plusieurs reprises par des ESPers engagés par Nexus. Quoiqu’il en soit, nous aurions du mieux nous renseigner sur nos supposés alliés. Une erreur que nous ne referons pas… »

Pour le coup, Alice était sincère.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 9 mercredi 15 février 2012, 15:40:01


« Très bien… J’ignore si je peux totalement vous croire, mais, dans le fond, il semblerait que je ne puisse compter que là-dessus… Je m’appelle Lyra, et, contrairement aux apparences, cette jeune femme blonde est ma supérieure hiérarchique. Elle est la Princesse de Sylvandell, Alice Korvander, et elle semble insister pour qu’on vous accorde le bénéfice du doute. »

Et bien il semblerai que je soit en présence de dames de qualités. Je ferais bien la révérence mais ça m'est un peu compliqué attaché.

La belle lyra sortit une dague et coupa les liens qui retenaient lucius pour ensuite lui retirer le crystal qu'il portait le rangeant dans une boite. Lucius n'entendit plus le petit tintement et ce dit que ses effets devait avoir été annulé.
La princesse Alice approcha avec une carafe d'eau et en remplis un verre.

« Tenez, Lucius. Buvez donc » lui fit-elle avec un léger sourire poli.

Merci infiniment chère damoiselle.

Il but tout le verre d'un train et se resservi deux fois avant de reposer le tout.

Me servir de mes pouvoirs me donnent souvent soif. D'ailleurs en parlant de ça si vous voulez bien m'excuser.

Il retira sa chemise et se plaça assis sur le lit les jambes croisé. Il prit une grande inspiration et puisa dans son CHI pour ressentir toute les blessures qu'il avait accumulé durant la soirée. Ses muscles se tirait, et sa jambe lui faisait encore mal. Il laissa son CHI circuler dans son corps. Toucher ses muscles, sa peau, ses os. Soignant ce qui avait encore besoin de l'etre, avant de finalement se laisser aller au réveil et rouvrir les yeux.

Voilà ça vas beaucoup mieux.

Il vit qu'Alice était assise face à lui et que lyra était assise sur une chaise d'un air reveche en regardant Alice, puis Lucius. Lucius avait une petite idée sur la raison de cette hargne, il l'avait connu chez beaucoup d'homme qui avait des vus sur des femmes, que Lucius charmait. Il laissa cette pensée de coté ce disait que ce n'était pas ses ognons. Par contre il ne s'enleva pas de l'idée que les deux femmes étaient plus que désirable. Lyra avait la beauté sauvage d'une guerrière. Forte et indomptable. Surement une tigresse au lit. Il ce demandais si elle aimait les deux genres ou n'avait de vue que sur les femmes. Alice elle, était une beauté innocente, une beauté de jeune fille. Le genre de femme que Lucius aimait charmé pour faire ressortir la femme qui se cachait à l'intérieur.

« Merci encore de m’avoir sauvé… » Finissait elle par dire.

« J’aimerais pouvoir faire plus pour vous récompenser de votre héroïsme envers vous, mais nous sommes bien loin de mon royaume. Toutefois, je pense que nous allons retourner sous peu, comme vous avez suggéré à Lyra de le faire. Nous venions bel et bien sur Nexus pour tenter de déstabiliser l’oligarchie en place, d’inciter le peuple à la révolte. Un juste retour des choses ; mon royaume ne s’est toujours investie que de manière indirecte dans cette guerre, mais j’ai personnellement été attaquée à plusieurs reprises par des ESPers engagés par Nexus. Quoiqu’il en soit, nous aurions du mieux nous renseigner sur nos supposés alliés. Une erreur que nous ne referons pas… »

Il rit légèrement de cette dernière remarque et repris la conversation

Je vous l'accorde ce n'était pas une bonne idée. Mais votre première erreur à été de vouloir utiliser le terrorisme comme arme contre nexus.

Il marqua une pause observant leur réaction.

Voyez vous, Comme chez vous, un groupe restreint de personne ont le pouvoir ici. Les autres vivent simplement, ne s'occupant pas des affaires entres les nations. le terrorisme serait une attaque contre le peuple et non contre le gouvernement. Je ne sais pas quel à été la nature de l'attaque de Nexus contre vous madame, mais c'est aux dirigeants ayant commandité cette attaque et non au peuple qu'il faut directement chercher querelle. Après vous gérez vos affaires comme vous le voulez je ne m'en mêle pas plus ça ne me concerne en rien.

Il pris une pause pour boire à nouveau un verre d'eau s'asseyant au bord du lit, toujours torse nus.

Et pour ce qui est de ma récompense, vus me l'avez déjà donné Dit-il en levant le verre d'eau. J'ai eus une bonne bagarre et pour couronner le tout, j'ai pus boire un verre en compagnie des deux plus belles ashnardiennes que j'ai jamais rencontrés. Bien que l'une d'elle ne m’apprécie pas outre mesure, mais je ne vous en tiens pas grief Lyra. Etant donné l'affection que vous semblez ressentir pour votre princesse, il est normal que vous regardiez tous les combattants qui s'approchent d'elle d'un air suspicieux.
Termina-t-il avec un clin d’œil en direction de lyra.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 10 mercredi 15 février 2012, 17:01:13

Torse nu, Lucious avait médité, enveloppé d’une espèce d’aura magique. Curieuse, Alice l’avait regardé en fronçant les sourcils, se demandant ce qu’il faisait. Il avait le torse d’un mâle, tout simplement. Pas belles bosses à hauteur de la poitrine, mais quelque chose de plat, de massif, qui n’était pas sans déplaire à la Princesse. Cette dernière tâcha toutefois de laisser ça pour elle, tout en se demandant pourquoi les gens avaient souvent tendance à naturellement se déshabiller devant elle… Lucius ne tarda pas ensuite à leur répondre, donnant quelques explications sur le pourquoi du comment elles n’auraient pas du faire cette entreprise. Un soupir agacé traversa les lèvres de Lyra.

« Après vous gérez vos affaires comme vous le voulez je ne m'en mêle pas plus ça ne me concerne en rien.
 -  Merci, rétorqua, acerbe, Lyra. La prochaine fois que nous aurons besoin d’un conseiller politique, peut-être nous tournerons-nous vers vous, plutôt que vers nos propres conseillers », lança-t-elle, ironique.

Alice rougit légèrement, et la regarda brièvement. Avait-elle besoin de se comporter de façon aussi immature ? Lucius décida toutefois d’éluder cette remarque, et préféra parler d’autre chose, après avoir bu une nouvelle goulée d’eau fraîche. Cet homme avait effectivement l’air assoiffé. Il affirma être tombé sur les « deux plus belles Ashnardiennes » qu’il avait eu l’occasion de voir, ce qui fit légèrement s’empourprer les joues d’Alice, toujours aussi sensible aux compliments. Il termina ensuite par une curieuse remarque, semblant subodorer l’existence une relation intime entre elles. Alice se mordilla les lèvres. Elle avait déjà couché avec Lyra, oui, mais ce n’était pas quelque chose qui faisait d’elle des amantes. Lyra se permit un petit rire moqueur, avant de se redresser, et de marcher vers Alice.

« La Princesse est l’héritière des Korvander, et porte en elle le sang béni du dragon d’Or. L’‘’affection’’ que je ressens pour elle est la même que n’importe quel Commandeur digne de ce nom éprouve à son égard : du respect. Vous vous fourrez le doigt dans l’œil si vous imaginez quelque chose de plus intime, mais je ne vous en tiens pas grief, Lucius, poursuivit-elle, narquoise.
 -  Il… entama Alice, désireuse d’apaiser la situation. Les mœurs de Sylvandell sont bien différentes de celles des autres royaumes… Les relations sexuelles n’ont pas la même importance qu’elles ont chez nous. Elles… Elles sont… Elles sont désacralisées, expliqua-t-elle.
 -  Et puis, je n’ai pas la prétention d’avoir dans le cœur de la Princesse la même place qu’a sa femme… »

A l’évocation de Sakura, Alice rougit à nouveau. Elle avait refusé de l’emmener à Nexus, non seulement parce qu’elle ne voulait pas la séparer de sa sœur, mais aussi parce qu’elle trouvait, assez curieusement, que le voyage était trop dangereux. Une raison bien faible ; Sakura pouvait se changer en demi-dragonne terrifiante, mais Alice avait du mal à la mettre en situation de danger. Elle l’aimait, après tout… Alice sentit l’une des mains de Lyra caresser ses cheveux, et en frémit légèrement.

« Notre assimilation envers l’Empereur connaît ses limites ; Sylvandell reste un royaume relativement indépendant, expliqua le Commandeur. Le sexe est une chose décomplexée, contrairement à tout ce qui fait sur les autres parties de Terra. »

Alice rougit légèrement à cette idée. En soi, ce n’était pas le fait d’avoir une relation sexuelle qui la dérangeait, mais plutôt l’état dans lequel elle se trouvait. De toute manière, ce n’était pas son père qui l’avait encouragé à rester chaste et pudique. Il y avait scrupuleusement veillé, jusqu’à ce que le dragon d’Or ne finisse par officiellement reconnaître Alice comme la descendante d’Erwan Korvander le « Maudit », mais, après cette étape, elle avait été libre d’avoir des relations sexuelles. Pour Tywill, l’intérêt de la beauté physique est de l’exploiter dans la manière la plus littérale qui soit, étant en ce sens à mille lieues d’une conception spirituelle du corps humain.

Pour autant, la Princesse éprouvait toujours de la gêne à en parler aussi ouvertement devant des inconnus. Elle sentit l’autre main de Lyra caresser l’une de ses joues, et elle leva la tête vers elle. Entreprenante, Lyra n’était visiblement pas du genre à aimer attendre quand son corps avait des besoins. Était-il surprenant qu’elle s’entende si bien avec Cirillia, à Sylvandell ?

Lyra redressa un peu Alice.

« Et, je crois, Pricnesse, après ce que j’ai fait pour contribuer à sauver vos belles petites fesses, que je mérite amplement ma récompense, non ?
 -  Je… Je crois aussi… » répondit-elle, un peu rouge, devant la précipitation des évènements.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 11 mercredi 15 février 2012, 17:47:37

Lyra eus un petit rire moqueur et ce leva en direction de la princesse.

« La Princesse est l’héritière des Korvander, et porte en elle le sang béni du dragon d’Or. L’‘’affection’’ que je ressens pour elle est la même que n’importe quel Commandeur digne de ce nom éprouve à son égard : du respect. Vous vous fourrez le doigt dans l’œil si vous imaginez quelque chose de plus intime, mais je ne vous en tiens pas grief, Lucius
Vraiment acide la demoiselle. mais ça montrait qu'il avait eus raison. Elle avait envie de ce payer une petite tranche de princesse et que la présence de Lucius l’empêchait de passer à l'acte

 -  Il… entama Alice, désireuse d’apaiser la situation. Les mœurs de Sylvandell sont bien différentes de celles des autres royaumes… Les relations sexuelles n’ont pas la même importance qu’elles ont chez nous. Elles… Elles sont… Elles sont désacralisées, expliqua-t-elle.
Tiens donc ? Et pourquoi le renseignait elle sur ce point ? souhaitait-elle qu'il sache qu'elle n'était pas lié et disponible ?

 -  Et puis, je n’ai pas la prétention d’avoir dans le cœur de la Princesse la même place qu’a sa femme… »
Petit rappel acide de la Lyra. qui ce mit à lui caresser les cheveux.

« Notre assimilation envers l’Empereur connaît ses limites ; Sylvandell reste un royaume relativement indépendant, expliqua Elle. Le sexe est une chose décomplexée, contrairement à tout ce qui fait sur les autres parties de Terra. »

Holala Lyra, on voit que vous etes pas beaucoup allé dans "les autres parties de terra". J'ai connus des endroits dans cette ville, qui pourrait illustrer parfaitement le terme "luxure" et "débauche". J'y ai personnellement beaucoup appris.

Lyra sans prendre en compte des paroles de Lucius Lyra commença à caresser une des joue d'Alice qui leva la tête vers elle. Lyra redressa un peu Alice.

« Et, je crois, Princesse, après ce que j’ai fait pour contribuer à sauver vos belles petites fesses, que je mérite amplement ma récompense, non ?
 -  Je… Je crois aussi… » répondit-elle, un peu rouge, devant la précipitation des évènements.

Sur ses paroles qui échauffèrent Lucius, ce qui d'ailleurs ce voyait au niveau du pantalon, Il ce leva et pris sa chemise.

Il se leva et attarda quelques peu son regard sur lyra et ne pus retenir cette remarque.

Belle, forte, gourmande, vêtue pour le combat, on croirai une autre Cirillia.
Il avait un très bon souvenir de la nuit d'enfer que la beauté lui avait fait vivre à l'auberge du coucher de lune. Et il avait la prétention qu'elle avait également passé une bonne soirée.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 12 mercredi 15 février 2012, 18:46:45

Lyra ne tarda pas à l’embrasser, sans vraiment se soucier de la présence de Lucius. Qu’il observe ou s’en aille, mais, de son point de vue, rien ne l’empêcherait de profiter de l’agréable corps de la Princesse. Se slèvres étaient à la fois douces, tendres, mais aussi fermes et autoritaires. Lyra était vraiment une combattante, et Alice rougit faiblement, se laissant aller, jusqu’à entendre Lucius se déplacer à côté d’elles. L’imposant homme avait pris sa chemise, la posant sur son épaule, et s’approchait de la porte de sortie. Il lança alors une comparaison étonnante :

« Belle, forte, gourmande, vêtue pour le combat, on croirai une autre Cirillia. »

En entendant le nom de Ciri’, les yeux d’Alice s’écarquillèrent de surprise. Il ne pouvait nullement s’agir d’une autre Ciri’, Alice n’en connaissait qu’une, et, s’il en existait une autre, Terra toute entière s’effondrerait ! Elle ne dit rien, mais Lyra se retourna, esquissant un léger sourire.

« Vous semblez être un homme plein de surprises… Si Ciri’ ne vous a pas tué, j’en déduis que vous ne devez pas être si mal que ça… »

Lyra connaissait plutôt bien Ciri’, pour s’être entrainée avec elle, entre autres. Une femme forte, une vraie lionne. Indomptable aussi bien au combat qu’au lit, têtue, le genre à ne jamais lâcher prise. Il avait bien fallu une Ciri’ pour dégriser Alice. Lyra se retourna, posant ses mains sur le torse de Lucius. Les hommes… Si gueulards, mais si hésitants quand il fallait passer aux choses sérieuses. Elle lui jeta sa chemise sur le sol, l’entourant, le piégeant, l’isolant. Elle approcha son visage du sien, sa poitrine frottant contre son torse… Avant qu’elle ne le pousse vers le lit, l’amenant à s’allonger dessus.

« Je crois qu’Alice m’a affamé… Et je sais que cet homme ne te dérangera pas, n’est-ce pas ? »

Le rougissement subit de la Princesse était la plus belle des réponses. Elle se mordilla légèrement les lèvres, alors que Lyra s’était mise à califourchon sur l’homme. La Princesse, de son côté, retira sa robe, révélant ses sous-vêtements, soit les mêmes qu’à l’auberge : des collants blancs, un corset de la même couleur, avec des gants. Elle ôta ses bottes, et alla se mettre à quatre pattes à côté du lit. Elle n’attendit pas que Lyra lui en donne l’ordre pour aller embrasser Lucius, posant ses lèvres sur ce dernier, scellant sa bouche dans la sienne dans un tendre et langoureux baiser. Lyra finit par tirer sur les cheveux d’Alice, rompant le baiser. Les joues de cette dernière étaient rouges de plaisir.

« Laisse-moi m’occuper un peu de lui, Princesse…
 -  Si tu veux… » répliqua-t-elle rapidement.

Et, disant cela, Lyra se pencha en avant, afin de l’embrasser à son tour, glissant ses mains dans son dos, à hauteur de sa nuque, le caressant. Alice se hissa alors un peu, embrassant Lyra dans le cou, sur la nuque, jouant avec son armure, cherchant à lentement la retirer, tendant une autre main pour caresser le postérieur de Lyra, postérieur qui, du fait de la position particulière de la guerrière, était bien bombée.
« Modifié: jeudi 16 février 2012, 16:23:22 par Princesse Alice Korvander »

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 13 jeudi 16 février 2012, 15:51:26

à l'annonce du nom de Cirilia, Lyra se retourna toute sourire

« Vous semblez être un homme plein de surprises… Si Ciri’ ne vous a pas tué, j’en déduis que vous ne devez pas être si mal que ça… »

Ainsi elles connaissaient Cirilia. Il compris alors qu'il risquait d'en prendre pour son grade ce soir si Lyra avait les mêmes attentes que La belle Rousse.
Oh me tuer elle aurait bien failli. Mais je crois que ça ne m'aurais pas dérangé.

La guerrière posa ses mains sur son torse, je ta sa chemise au sol pour ensuite frotter sa poitrine contre la sienne tout en approchant son visage du sien. Elle le poussa ensuite sur le lit.

« Je crois qu’Alice m’a affirmé… Et je sais que cet homme ne te dérangera pas, n’est-ce pas ? »

Lyra ensuite se mis au dessus de Lucius qui commençais à se sentir à l'étroit dans son pantalon. Pendant ce temps, La princesse enlevai sa robe, révélant un très bel ensemble blanc qui donnait envie. Elle ce plaça sur le lit pour venir embrasser Lucius avec douceur. Elle se retira brusquement tirée par les cheveux par Lyra.

« Laisse-moi m’occuper un peu de lui, Princesse…
 -  Si tu veux… » répliqua-t-elle rapidement.

Ces lèvres prirent la place de celles d'Alice. Son baiser fut plus sauvage. Plus agressif. Lucius aimait cela. Alice quand à elle embrassa la peau de sa garde du corps et entrepris de lui enlever son armure tout en lui caressant les fesses qu'elle avait très jolie.

Lucius lui rendis son baiser avec force et lui dit

Je crois que c'est plutot moi qui vais m'occuper de toi. si tu veux bien. Après la journée que tu as eus tu mérite toujours ta "récompense"

Il ce leva et la retourna doucement pour la mettre entre lui et Alice et entre prendre de lui enlever complétement son armure, pièces par pièces.
Une fois ceci fait, Il laissa alice s'occuper du haut de son corps tandis qu'il commençais en embrasser l'intérieur de ses cuisses. Il les embrassa doucement, délicatement, remontant chaque fois de plus en plus haut, jusqu'à arriver à son entrejambe qu'il embrassa également.
Puis il sortit sa langue et la lécha délicatement du bout sur sa zone de plaisir. Il continua à donner des coups de langues, sans accélérer, mais en utilisant de plus en plus la longueur de sa langue pour maintenir le contact le plus longuement possible. Quelques fois il enfonçait sa langue en elle pour constater qu'elle était déjà bien humide.

Il semblerai que tu aime beaucoup ce que je te fait.

Ses coups de langue devinrent plus appuyés plus rapide. Il la léchait, sans pauses. Continuant encore et encore, bien décidé à l'amener à une première jouissance pour ouvrir les hostilités.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Traquenard [Lucius]

Réponse 14 jeudi 16 février 2012, 19:45:41

Le baiser de Lyra était effectivement bien plus vorace que celui d’Alice, et l’était d’autant plus que la femme sentait la Princesse s’amuser avec ses parties intimes, lui ôtant ses épaulières. Aline remonta ses lèvres et ses mains, caressant les hanches et le dos du Commandeur, embrassant le creux de sa nuque, ôtant son armure. Elle portait un soutien-gorge noir, et Alice profita de l’absence de son armure pour embrasser tendrement son dos, glissant une main sur ses fesses, caressant cette chair moelleuse. Lucius remua alors, et glissa Lyra entre elle et lui, l’allongeant sur le lit, donnant des instructions, encourageant la Princesse à aller s’occuper de ses lèvres, du haut de son corps, et lui du bas. N’y voyant pour le coup aucune objection, elle s’empressa de retourner s’occuper des tendres lèvres de Lyra, et sentit cette dernière glisser une main dans sa longue chevelure blonde, l’agrippant fermement. Lyra était délicieuse, et Alice ferma joyeusement les yeux, profitant de la saveur de sa bouche, sentant l’autre main de Lyra glisser pour malaxer son derrière, avant de gifler ses fesses, faisant rougir la Princesse.

« Ton cul est superbe, Alice… murmura Lyra.
 -  Je sais… » répliqua celle-ci.

Des lèvres de Lyra, elle opta pour ses seins, embrassant le soutien-gorge de la femme, le mordillant, la faisant soupirer. Du cul d’Alice, la main de Lyra fila vers Lucius. Ce dernier avait achevé de la déshabiller, et, après quelques baisers intensifs sur son aine, sur l’intérieur de ses cuisses, l’excitant follement, il alla embrasser son intimité, la faisant soupirer longuement. Sa main agrippa les cheveux de Lucius, les serrant, plaquant son visage entre ses jambes.

« Il semblerai que tu aime beaucoup ce que je te fait commenta Lucius
 - Oh putain… » se contenta de répondre Lyra.

Alice, de son côté, allait embrasser les seins de Lyra, retirant son soutien-gorge, les mordillant avec plaisir, passant sa langue sur les tétons tendus du Commandeur. Lyra était assoiffée, elle pouvait aisément le sentir en embrassant et en caressant ce corps de guerrière. Avec ses mains, elle les posa sur son estomac et les flancs de la femme, les caressant, avant de glisser ses mains sous son corps, les plaquant sur le cul ferme et tendre de Lyra, suçant longuement chacun de ses seins, dans des bruits de succion et des claquements de chair. Sous un tel traitement, Lyra était littéralement en feu, commençant à soupirer et à gémir. Elle remonta sa main le long du dos d’Alice, caressant les lacets de son corset, avant d’attraper autoritairement ses cheveux, et de lever le visage d’Alice, l’amenant à nouveau près du sien. Lyra lui offrit un baiser vigoureux, tandis que la Princesse plaça chacune de ses mains sur les seins de Lyra, choisissant de s’allonger sur elle. Son intimité s’écrasa sur le crâne de Lucius. Une position assez inconfortable au début, mais la main de Lyra veillait à bien la plaquer contre elle, l’autre glissant sous sa culotte pour caresser les fesses de la Princesse. L’un de ses doigts frottait sa croupe, se faufilant entre ses fesses, sans chercher à la pénétrer, uniquement pour caresser l’intérieur du derrière d’Alice, qui en rougissait de plaisir.

C’était particulièrement agréable, si bien que sa culotte s’humidifiait rapidement, son corps remuant légèrement de plaisir. La main de Lyra sortit alors de la culotte, et claqua un peu plus vigoureusement le cul d’Alice, lui faisant pousser un petit cri

« Tu aimes, hein, ma belle ? » lâcha Lyra.

Alice ne répondit qu’en remuant légèrement la tête, retournant à nouveau embrasser, tandis que Lyra retourna la claquer. Elle se vengea en pinçant ses tétons, arrachant des soupirs de la part de Lyra, reprenant à son propre compte une technique que Ciri’ lui avait souvent fait : pincer ses tétons !


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