Dans cet espace étroit et confiné, leurs corps étaient délicieusement enlacés, serrés l’un contre l’autre, et Iruka ne tarda pas à parler. Même dans ce liquide ambiant, le son pouvait passer, et il lui avoua n’être pas vraiment un humain, ce qui expliquait sans doute pourquoi son aphrodisiaque fonctionnait aussi bien… A moins que faire l’amour avec une femme-plante ne soit pour lui une sorte de fantasme, amplifié par l’aphrodisiaque. Il lui dit de ne pas hésiter à y aller, de l’épuiser autant que possible, et elle sourit, ses seins s’enfonçant contre le torse d’Iruka. C’était une précision inutile, mais qui avait au moins le mérite de lui donner une bonne idée de son état d’excitation. Il en alla même jusqu’à lui demander d’en faire un homme plante. Pourquoi pas, après tout ? Généralement, elle ne demandait pas l’avis de ses sujets avant de les transformer, mais, puisqu’on le lui demandait… Elle répondit à son baiser, continuant à pétrir ses fesses, avant de lui répondre.
« C’est ce que j’avais l’intention de faire, jeune homme… »
Le plaisir. Ivy pouvait le ressentir à nouveau, le sentir battre dans ses veines, et elle sentait les mains d’Iruka se promener à nouveau sur son derrière. Il voulait la pénétrer, se faufiler en elle, elle pouvait le sentir, mais il préféra retourner s’occuper des pieds de la femme, montrant à quel point il lui était soumis. Un sourire de plaisir se dessina sur les lèvres vertes de Poison Ivy, qui le laissa s’occuper de ses pieds, sentant l’impatience monter. Elle le laissa jouer pendant un certain temps, avant d’ordonner.
« Relève-toi », dit-elle simplement.
Quand ce fut fait, elle lui caressa une joue en souriant, et un tentacule apparut. A son extrémité, il s’ouvrit, révélant une ouverture assez faible, mais suffisamment grande pour absorber la verge de l’homme. Le tentacule s’empara de la verge, jusqu’à atteindre les testicules, et se mit à tirer dessus, le frottant massivement, le tentacule remuant rapidement. Sous ce traitement, le jeune homme ne tarda pas à jouir, et son sperme traversa le tentacule pour jaillir depuis les parois de la plante, se mélangeant dans le liquide ambiant. Le tentacule continua à pomper pendant plusieurs minutes sur le membre de l’homme, et Ivy comprit effectivement qu’il n’était pas un humain, vu que son sexe, son érection, ne semblaient nullement faiblir, malgré la pression.
Il jouit à plusieurs reprises, et son sperme se mélangea, se dilua dans cet espace clos, jusqu’à ce que le tentacule se replie. Poison Ivy glissa alors sa propre main pour caresser le pénis d’Iruka, le serrant entre ses doigts, le branlant tendrement. Elle le regarda alors, et retira sa main, tandis que d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour d’eux, les serrant l’un contre l’autre.
« Allez, soupira-t-elle, je veux sentir cette infatigable queue en moi. Baisez-moi ! » glapit-elle.
Sous le désir, elle devenait un peu plus autoritaire, un peu plus dirigiste dans sa façon de procéder. Ses tentacules écartèrent ses jambes, et aidèrent Iruka à s’avancer de quelques centimètres, afin de la pénétrer, tandis que des tentacules entouraient leurs bassins.