[Nom/Prénom]
Sachez qu'avant je me nommais Hirminoa Del Beast, j'appartenais à la classe des nobles et des personnes à l'abri du besoin. Maintenant que ma famille n'est plus je me nomme simplement Hirminoa.
[Surnom]
Les personnes qui ont pu me donner des surnoms comme la chienne ou petit chien sont ceux ayant profité de ma faiblesse quand je n'avais pas la force de me battre et les tuer. Maintenant celui qui ose me donner un surnom doi se préparer à goûter au goût amer de ma haine.
[Sexe]
Même si j'ai un semblant d'apparence féminine, qui est trait pour trait celui de ma grande soeur, je suis un homme, d'où le fait d'avoir un membre entre les jambes et pas de poitrine.
[Âge]
Seize printemps sont passés depuis ma naissance, mais pour moi cela n'a guère d'importance.
[Race]
Je suis humain, ce qui me frustre, car l'assassin qui a tué ma grande soeur est plus fort qu'un simple humain, en tout cas c'est la sensation que j'ai eut lors de l'assassinat de Tiphèria.
[Orientation Sexuelle]
L'attirance charnelle ne m'intéresse nullement, que faire d'une telle faiblesse de l'âme.
[Histoire]
Commençons par mon histoire, ainsi vous découvrirez certainement certaine peur pour tenter de m'arrêter, mais sachez que vous dresser contre moi c'est vous préparer à mourir.
La famille Del Beast est connue pour une technique secrète révélée à chaque membres de sa famille, celui de pouvoir communiquer avec les animaux et vivre en communions avec eux. La pratique étant de passer la moitié du temps avec les humains et l'autre moitié dans une réserves en contact avec la faune, se soumettant ainsi aux règles de la nature.
Je fus instruit aussi de cette manière apprenant que les Alphas étaient les dominants et qu'ils avaient tout pouvoir, même profiter de mon corps. Pour beaucoup cela serait apparenté à de la zoophilie, mais dans notre famille il s'agit d'un rituel comme un autre institué par le règne animal. Par cette instruction, j'appris comment m'intégrer dans un groupe, les humains ayant quand même beaucoup de similitude avec les animaux.
Je n'ai aucun souvenir de mes parents, ayant été emmenés par une épidémie qui c'est déclarer dans Nexus alors que je n'avais que six ans. Ce fut ma grande soeur, Tiphèria, qui se chargea de mon éducation dans le monde des humains, cette relation était forte d'autant plus que nous étions seuls. Les serviteurs qui n'étaient pas esclaves partir jugeant qu'ils trouveraient de bien meilleur maître à servir. Les quelques esclaves restèrent auprès de nous, sachant que nous les aimions, comme des frères et soeurs et non comme des objets. Sans doute est-ce notre solitude qui nous a conduis à les considérer comme tels.
J'appris beaucoup jusqu'à l'âge de dix ans, ce fut une nuit où il avait neigé, je n'arrivais pas à trouver le sommeil et voulu voir Tiphèria pour dormir avec elle. Ma grande soeur me refusant rarement cette demande, nous étions très proches. J'avais entendu un bruit et regarda par le trou de serrure c'est là que je vis ma soeur se prendre un couteau de lancer dans la gorge. La peur me prit et sans faire exprès je reverse une lampe à huile, mettant le feu à la tapisserie. Par peur je me suis caché dans un placard, voyant l'ombre de l'assassin fuir le lieu qui brulait.
Par miracle je réussis à fuir le manoir. Mais très vite un noble m'a assommé et le soir même je fus vendu dans un marché d'esclave organisé par le noble qui m'avait agressé. Je l'entendis vanter mon corps, même moi je savais ce qui se passait, on me vendait comme une simple marchandise. Le prix monta en flèche, chacun ayant visiblement envie d'avoir un esclave jeune, je ne savais pas trop pourquoi à l'époque.
Un couple finit par m'acquérir. Mes objets personnels me furent redonner, chérissant surtout un collier avec l'image de ma grande soeur, chose qui n'échappa à la femme et s'empressa de me faire un odieux chantage. Pendant vingt ans je devais les servir sans faillir, sans refuser et alors elle me rendrait mon collier et ma liberté. Je ne pouvais qu'accepter, n'ayant ni les mots ni la force.
Le premier mois fut très rude. Je dus apprendre à user de mes mains pour les tâches manuelles, la cuisine, le ménage, la couture. Tout était nouveau et je me devais de donner mon maximum pour gagner ma liberté et pouvoir me venger de l'assassin. Le second mois la femme me demanda pourquoi je chérissais ma grande soeur. Je lui dis la vérité, Tiphèria m'avait élevé et je voulais la ressembler plus tard. Je ne compris pas pourquoi cette femme se mit à sourire et ne le découvrit que le mois suivant.
Le couple m'avait ordonné de me laver avec soin, pouvant goûter pour la première fois à un bain bien chaud. Seulement très vite les questions se posèrent. Ils m'ordonnèrent d'enfiler une tenue de femme. Ils appelaient cela un obi, leurs familles venant d'une contrée lointaine appelée Japon. La femme présenta le collier pour me faire plier à leurs exigences. Le soir même je fus conduit à une soirée et c'est cette nuit que je compris. Le couple voulait que ses convives s'amusent avec moi, profitant de mon corps androgyne pour laisser libre court à leurs idées malsaines. Je fus cette nuit marqué au tison ardent comme une simple bête d'élevage.
Si je n'ai pas perdu la raison ce fut grâce à deux choses, l'image de Tiphèria et mon désir de vengeance, les deux ayant grandis suite à cette soirée.
Dès lors je fis abstraction de mes sentiments, les enfouissant au plus profonds de mon être, attendant d'être libre. Mais j'étais bien naïf.
Si je n'ai pas perdu la raison ce fut grâce à deux choses, l'image de Tiphèria et mon désir de vengeance, les deux ayant grandi suite à cette soirée.
Dès lors je fis abstraction de mes sentiments, les enfouissant au plus profonds de mon être, attendant d'être libre. Mais j'étais bien naïf.
C'est à mon seizième anniversaire que j'entendis une conversation que je n'aurais pas dû entendre. J'appris que le couple voulait me vendre et que cette promesse n'était que du vent pour me rendre docile et profiter de moi. Cette tromperie déferla ma haine. J'attendis que tout le monde dorment pour m'armer et tuer mes possesseurs, les esclaves qui se dressèrent sur ma route furent balayé sans pitié. Je repris mes biens, vola la tenue qu'ils m'avaient fait enfiler lors de ma première orgie, que j'avais agrandis aux fil des ans pour qu'il m'aille toujours lors des orgies organisées par ses menteurs. Je pris un katana et un nigata, une lance très dangereuse, car pernicieuse à celui qui ne sait pas voir les mouvements de son adversaire.
Tuer des personnes ne me fit rien, mes mains ne tremblèrent pas, je n'eus pas une seule fois des nausées. C'était comme si tuer à ce moment-là était comme manger, quelque chose de mécanique qui ne nécessite pas de réflexion extraordinaire.
J'ai mis le feu au manoir, pour calciner ma présence en ses lieux. Esperant que les personnes supposent que les esclaves, dont moi, sont mort lors de l'incendie. Ainsi je partais à présent à la quête de force pour tuer l'assassin de ma défunte grande soeur.
[Caractère]
Aussi froid que la glace créée par les divinités glaciales, tel est mon premier trait, vous n'aurez de moi que rarement de la solennité ou un respect. Ses choses là étant pour les personnes qui ont encore un brin de fierté. Mon âme n'éprouve aucune pitié, si vous voulez me barrer les routes ou vous opposer à moi, alors je vous tuerais, un peu plus de sang sur mes mains ne m'effraie pas du tout. Me menacer de mort ? Vous me faites rire, je n'ai aucune raison de mourir, j'ai des choses bien plus importante à faire en ce bas monde qui mériterait de bruler dans les flammes.
Je désire bien une chose. Celui de posséder de la force, de la puissance pour pouvoir écraser d'un seul coup la personne qui a osé tuer ma grande soeur. Je suis prêt à vendre mon âme au Diable s'il peut me soutenir dans ma tâche. Je ne demanderais jamais pardon assumant pleinement mes actes, même les plus ignoble. Demander pardon, s'excuser, ce sont pour les personnes faibles et je ne me considère pas comme tels.
J'applique un principe issu de la nature, les forts dominent, les faibles rampent. On rencontre toujours plus fort que soit. Mais pour moi il sera une personne à dominer pour me surpasser pour, un jour, pouvoir tuer l'ordure qui a tué Tiphèria.
L'amour ? L'amitié ? La bonté ? Tous ses sentiments me font vomir. Comment une personne peut-elle croire que de bons sentiments peuvent apporter la joie et effacer un drame comme s'il n'avait jamais existé. Ceux qui pensent ça mériterait de se jeter dans le fleuve lesté de poids.
Mais bon je ne vais pas vous faire de mal tant que vous savez rester loin de moi.
[Physique]
Tout d'abord, vous ne me verrez jamais retirer mon obi, cachant dans le creux du dos un marquage fait au fer chauffé à blanc. Cela a rendu l'endroit marqué assez sensible au toucher et à la température.
Ensuite j'ai un corps androgyne. C'est-a-dire que mon corps possède une apparence efféminé, cela étant dû à mon héritage par le sang et aussi aux divers exercices que j'ai suivis. Je ne vous parle de mon alimentation à base de fruit et de légume.
J'ai une chevelure aussi noir que l'ébène, tombant avec grâce jusqu'à mi-cuisse, cachant des fesses ferme que plein de pourriture de bourgeois ont tripotés pour leurs propre plaisir. Mes yeux ont toujours été grenat, me donnant une allure de démon. Certain en profitait, disant que j'étaie un incube et que je devais apprécier ce qu'ils me faisaient.
Je possède un peu de force, mon nigata amplifiant par son poids cette dernière. Le reste étant dans l'agilité et mon endurance développée lors de chasse à cours où j'étaie le gibier à capturer, m'obligeant à me faufiler dans les endroits les plus inaccessibles ou essayer de distance dans les plaines mes poursuivants.
Sur la joue gauche j'ai un tatouage. Une esclave elfique me l'a fait en disant que cela désignait ma vengeance.
[Situation actuelle]
J'ai passé tout mon temps en dominé, goutant à des pratiques des plus répugnantes et malsaine, mais cela m'a au moins donné des bases en ce qui concerne le sexe sous toute ses formes.
[Autre]
J'ai appris à me comporter comme un animal pour me faire accepter dans une meute, sachant me plier à l'Alpha.
Je porte un maque de démon, un obi sur le thème de l'automne, un nigata (fauchard (lance) japonais) qui peut se diviser en trois morceaux égaux, un katana et une dague qui est caché à l'intérieur de la cuisse gauche.
Mon but final est de tuer l'assassin de ma grande soeur et je ferrais tout pour y arriver.