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En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)

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Aloysia Weber

Terranide

Aloysia vit l'homme sortir une dague et... un couteau ! La princesse paniqua et de débattit dans les airs. Peine perdu. Il l'avait solidement attaché et elle commençait déjà souffrir de la douleur en étant ainsi accroché. De plus, son poignet était toujours ouvert et le sang coulait plus abondemment en étant pendu par celui-ci. Elle vit l'homme s'approcher d'elle avec le couteau et ne pût s'empêcher de gémir de douleur. Il lui avait ouvert l'aime et récoltait maintenant son sang. Le vampire voulait sans doute savoir ce que son sang contenait et découvrir les verrues de la verveine. Malheureusement son effet n'était pas éternelle et elle savait qu'ici elle n'en trouverait pas.

L'homme partit avec la fiole et revint quelques minutes après avec maintenant un petit sachet. Qu'allait-il encore lui faire ? Qu'il la tue sur le champs et on n'en parlerais plus. Sauf que le maître des lieux ne tolérait pas un échec vu la dimension de son ego. Il ferait tous pour qu'elle rampe. Mais Aloysia préférait mourir que ramper. Elle avait voulu essayer de s'échapper mais il valait mieux attendre que sa maitresse vienne la chercher. Car si elle s'échappait, elle n'aurait pas le droit à l'erreur. La princesse vit l'homme sortir ses doigts recouvert de poudre bleu du sachet. Un sort ! Elle en était sûre. Elle avait étudier rapidement la possibilité d'accomplir des sorts mais sans rentrer dans les détails. Son précepteur l'avait évoquer juste à titre d'information.

Il approcha ses doigts du corps de la la jeune femme et commença a tracer des symboles mystique sur pratiquement la totalité de son corps. Aloysia frissonnait d'horreur en voyant ses marques prendrent forme sur son corps. Puis quand il eut finit, Aloysia sentit une légère décharge électrique dans tous son corps qui lui arrachèrent des des gémissement de douleur et quelques larmes. Puis une douleur atroce remplaça ces décharges. Aloysia se cambra sous la douleur et hurla. Elle avait l'impression qu'on lui dévorait la chair. Elle hurlait à en perdre la voix et de débattait comme une furie. Il fallait a tous prix que cela s'arrête. Elle hurla même à l'homme présent dans la cellule.

" Tuez-moi !!! Je vous en supplie !!!"

Elle avait l'impression que ces épaules allaient se déboiter tellement elle se débattait. C'était sans doute ce qui allait arriver. Puis la douleur cessa et la tête d'Aloysia retomba, inerte. Elle s'était évanouie. La douleur, la fatigue et la perte d'une bonne partie de son sang avait eu raison d'elle. Son corps ne bougeait plus et son pouls était très faible. Avant de sombrer dans l'inconscience, le visage du petit garçon et de sa maitresse s'étaient imposer à elle. C'était pour eux qu'elle tenaient bon. Sinon, il lui aurait fallu de mordre la langue et s'étouffer avec et elle en était capable.

Liam Eckart

Créature

Elle avait beau hurler, le garde ne réagit pas le moins du monde. Idem quand il s’agissait de la voir se tordre de douleur, bien au contraire, il croisa les bras sur son poitrail et attendit. Il attendait juste une chose : que la jeune femme se calme et arrête de se débattre. D’ici là, il sifflotait gentiment. Non, il n’allait rien faire, il attendait juste le bon moment pour commencer la torture permanente. Il fallait commencer par de la douleur de partout, comme des brulures. Et comme le maitre devait toujours toucher la zone douloureuse pour que cela disparaisse. Elle oserait lui dire peut être de lui toucher le visage ou la main, mais à un moment où à un autre, elle aurait mal dans des endroits que l’on qualifierait de gênant, non, qu’elle qualifierait de gênant !
 
" Tuez-moi !!! Je vous en supplie !!!"

Oh non, pas de gâchis. Il se contenta de commencer à lui caresser le visage, le cou, les épaules, et il descendit, n’oubliant aucune zone jusqu’à la taille, attendant qu’elle hurle encore au contact de ses paumes. Puis il passa ses mains entre ses cuisses, effleurant ses lèvres intimes aussi, les rendant bien évidemment douloureuse, comme une intense brûlure qui ne s’en irait pas avec de la glace, bien au contraire. Qu’elle tente quoique ce soit pour apaiser la douleur autrement que par le contact du maitre et elle subirait les effets dix fois plus fort. Il recommença dans son dos, passant partout, ou point de pénétrer même son fondement avec deux doigts pour que ce soit douloureux dedans tant que dehors. Il passa un bon moment à caresser ainsi sa douce peau, sans arrière pensées. Il ne pouvait de toute
 façon pas aller bien loin en étant eunuque…

Finalement, il la laissa glisser sur le sol, la relevant par les cheveux. Il la traina dans la chambre du maitre et la laissa là, dans cette chambre plus luxueuse que celle d’un roi ! Le vampire tait sur son lit, assis, en train de vomir quelque chose de noirâtre après s’être donné un puissant vomitif. Il releva la tête vers la jeune femme. Il était pâle, plus pâle qu’avant, et il suait légèrement. Mais au dela de cela, tout allait bien.

Il repoussa la bassine et posa sa main sur son estomac, y enfonçant les ongles avant de se concentrer. Il grimaça et gémit très légèrement de douleur avant de  retirer sa main, haletant, mais souriant.

« Bon, voilà, c’est fini. Dès demain je saurai si tu es buvable ou pas !  Et si tu l’es, je me nourrirais tout mon saoul, crois-moi !  Je ne me gênerai pas ! N’étant pas tombé dans les vapes, il n’y aura aucune punition ni aucun mauvais traitement sur l’enfant. Allez, viens-là ! »

Il s’étendit sur le lit et lui tendit la main, voulant apparemment qu’elle vienne le rejoindre. Il lui tendait même sa main  pour l’y inviter.

Aloysia Weber

Terranide

La princesse reprit rapidement ses esprit en sentant des brulure sur son visage et sa nuque. Il la brulait ! Il passa ses mains partout où il le pouvait et Aloysia de tordait et hurlait de douleur en sentant les mains de l'homme se poser sur son corps. Mais elle vit qu'aucune marque n'était présente sur son corps. Mais la douleur était bien là, elle ! Aloysia n'avait plus assez de force pour donner des coups mais elles cambra en sentant les doigts se poser sur son intimité. Cela venait du sort ! Il voulait la faire souffrir sans l'abimé. Elle supplia les larmes aux yeux, l'homme qui lui imposait cette torture.

" Je... Je vous en supplie, arrêtez... J'ai de l'argent, beaucoup d'ar... Aaaaaaaaahhh !"


Il n'en avait rien à faire de son argent. Il continuait son manège faisant hurler la princesse esclave. Il enfonça même deux doigts dans son fondement qui lui arracha des cris aigus à percer les tympans. Elle n'en pouvait plus lorsqu'il la détacha. La douleur persistait dans tout son corps, la rendant folle. Il la traina jusqu'à la chambre du maître et Aloysia aperçu le vampire en train de vomir et de pousser des gémissements plaintifs. La princesse sourit malgré la douleur. Lui aussi en avait bavé apparemment. Le seul problème était qu'il avait l'air d'aller mieux...mais pas elle. Il le confirma d'ailleurs.

« Bon, voilà, c’est fini. Dès demain je saurai si tu es buvable ou pas !  Et si tu l’es, je me nourrirais tout mon saoul, crois-moi !  Je ne me gênerai pas ! N’étant pas tombé dans les vapes, il n’y aura aucune punition ni aucun mauvais traitement sur l’enfant. Allez, viens-là ! »


Aloysia soupira de soulagement en sachant que l'enfant allait bien. Lui au moins s'en sortait bien. Elle était à genoux par terre, regardant le maître s'allonger sur le lit. Il lui tendit la main, attendant qu'elle le rejoigne. Ses brulures continuaient de la faire souffrir et des larmes coulaient sur ses joues. Elle avait mal partout et il allait encore en profiter. Elle se mit debout, les jambes tremblantes et s'approcha du lit. Sa démarche était chancelante et son souffle était rapide et irrégulier. Elle prit la main que lui tendait le jeune homme et il se passa quelque chose d'étrange. La douleur de la brulure de sa main disparut. Elle monta sur le lit, interloqué par le phénomène. Voilà à quoi servait le sort... Elle avait des brulures partout, vraiment partout... Le vampire devrait la toucher intégralement pour arrêter la douleur. Aloysia s'allongea près du vampire mais sans le toucher. Elle avait compris qu'il n'était pas vraiment...affectueux. Ou alors il préférait quand c'était lui qui prenait les devants, pas l'inverse. Aloysia grimaça de douleurs en sentant les draps contre sa peau. Elle n'avait qu'une envie qu'il la touche...partout où elle avait mal. La princesse était gêné et surtout attristé par ce constat car il obtenait ce qu'il voulait. La princesse le réclamerait de force puisque ce n'était pas de gré.

Elle le regardait allongé. Il était si dure de savoir que "l'antidote" de trouvait à porté de main mais qu'elle serait punit sans avoir au préalablement demander et supplier. Elle ne le supplierait pas. Sa fierté était plus forte que la douleur mais elle lui parlerait franchement comme elle avait l'habitude de le faire dans la vie courante. Plus de jeux, plus de faux semblant. Elle lui dirait ce qu'elle pensait. Soit il apprécierait sa franchise, soit il essayerait à nouveau de la "dresser".

" Je vois que vous savez vous rendre indispensable, maître. Quand j'ai sentis que la brulure à la main disparaissait à votre contact, je ne vais pas vous mentir, je souhaites qu'une chose depuis, me jeter et me blottir dans vos bras. Vous avez réussit votre coup. Je n'ai qu'une envie que vous me touchiez...partout..."

Aloysia arborait un sourire amère sur les lèvres. Elle ne l'aimait pas mais le désirait car elle le savait le seul capable de calmer le feu qu'elle ressentait sur sa chair. Elle le regardait sans ciller, attendant de voir la suite des événements. Il la laisserait peut être souffrir ainsi toute la nuit... Si c'était le cas, elle sauterait par la fenêtre car elle ne supporterait pas la douleur bien longtemps. Mais des larmes continuaient d'inonder les joues de la princesse signe de douleur et de tristesse...
« Modifié: lundi 14 novembre 2011, 21:38:18 par Aloysia Weber »

Liam Eckart

Créature

Son soupire de satisfaction le fit sourire. Quelle générosité vis-à-vis de personnes qu’elle ne connaissait pas  !  Elle n’avait peut-être pas compris mais le vampire était tout aussi capable de cette générosité. C’était vrai, après tout, il aurait pu la faire coucher chez les gardes, et là elle aurait été traitée de manière bien pire, mais non, il l’avait juste invité dans sa chambre, à proximité de la seule personne sur cette terre à pouvoir la soulager de ses maux. C’était sa forme de générosité.

Il fut ravi de voir que le sort faisait effet, cela se voyait à sa démarche, elle titubait presque, normal, chaque recoin de son corps était sans doute soumis à une forte chaleur. Et qu’elle attende le lendemain, elle verrait ce qu’attendre trop signifiait !  Ce ne serait plus des brûlures, mais carrément l’impression que si elle s’enfonçait des punaises dans le corps. Et là, elle le voudrait enfin sans doute. Il se doutait qu’elle finirait par craquer. Ses larmes montraient que sa résistance était bien entamée.

Et hop, au travers du contact entre leur main, il lui offrit un petit échantillon de sa salvation ! Mais c’est tout puisqu’il ne fit aucun geste de plus, regardant le plafond, la laissant dans ses ennuis douloureux. Il n’avait aucune intention de faire le premier pas, ou du moins, pas avant qu’elle ne le supplie vraiment, pas avant qu’elle ne mette fin à ses dernières formes de fierté qu’il lui restait. Il fallait qu’elle abandonne tout sans exception pour lui !
 
« Je vois que vous savez vous rendre indispensable, maître. Quand j'ai sentis que la brulure à la main disparaissait à votre contact, je ne vais pas vous mentir, je souhaite qu'une chose depuis, me jeter et me blottir dans vos bras. Vous avez réussit votre coup. Je n'ai qu'une envie que vous me touchiez...partout... »

Il sourit, mais contrairement à Aloysia, qui arborait un sourire amère sur les lèvres, lui il était ravi de cela. C’était un début, et même si c’était loin d’être suffisant, c’était pas trop mal pour commencer. Il ne cherchait pas à se faire aimer, non, il cherchait juste à lui faire comprendre qu’elle avait besoin de son existence, besoin d’être à portée. Le vampire, réfléchit bien aux mots pronconcés par la jeune femme et finit par la saisir par la main purgée de sa douleur et il se leva pour l’emmener dans un coin de la pièce pour accrocher son collier à une chaine. Le coin était vide et assez près du lit pour qu’elle puisse, en se roulant en boule, se coucher dessus, mais de là où il dormait, le vampire pourrait la voir tenter de le toucher sans résultats., elle était pile poil asse longue pour être incapable de l’atteindre, lui.

« C’est très gentil à toi de dire ça, mais j’espère mieux de toi !  Rappelle toi qui tu es, qui je suis, et comment agir en conséquence. Si tu parviens à tut faire dans les règles de l’art, alors oui, je te toucherai où tu le demanderas. Sinon,…et bien disons que tu devras prendre ton mal en patience ! »

Il voulait des suppliques, des vrais, et non juste une demande ! Puis, sans demander son reste, le vampire s'installa dans les draps et se coucha, éteignant la chandelle.

Aloysia Weber

Terranide

La princesse le voyait sourire de contentement...pendant qu'elle souffrait ! Sur quel être abominable elle était tomber ?! Comment pouvait-on se réjouir de la douleur des autres ? Aloysia ne comprenait pas comment on pouvait devenir...un monstre. C'était le mot !

Elle le vit se lever et il la prit par la main déjà soigner puis l'entraina dans un coin. Qu'allait-il encore lui... Et elle vit le collier accrocher à une chaîne. Elle essaya de se débattre, elle ne voulait pas finir attacher. Elle avait horreur de cela.

" Maître, je ne suis pas un chien..."

Sa voix était faible, presque suppliante... Presque. Sa fierté était encore là et elle ne comptait pas l'abandonné pour le vampire. La chaîne était courte, trop courte pour atteindre le jeune homme qui lui faisait face. Elle pouvait tout juste se coucher sur le bout du lit. Il s'assurant ainsi qu'elle ne pourrait pas le toucher. Elle jeta un regard à la fenêtre. Elle ne pouvait maintenant plus l'atteindre. Et puis...elle n'étai pas sûre de vouloir mourrir... Enfin, pas de cette façon là en tout cas. La princesse reporta son attention sur le vampire, écoutant ce qu'il avait à lui dire.

« C’est très gentil à toi de dire ça, mais j’espère mieux de toi !  Rappelle toi qui tu es, qui je suis, et comment agir en conséquence. Si tu parviens à tut faire dans les règles de l’art, alors oui, je te toucherai où tu le demanderas. Sinon,…et bien disons que tu devras prendre ton mal en patience ! »


Elle s'assit difficilement par terre et s'appuya contre le mur. Autant rester loin de lui avec ce qu'elle voulait lui dire. On ne sait jamais. De toute façon, elle n'avait plus de force et ne pouvait plus bouger de la place où elle était. Elle le regarda se coucher et éteindre la bougie sans un mot. Elle prit alors la parole avec l'énergie qu'il lui restait.

" Je sais qui je suis, je suis la princesse Aloysia Weber. Et vous, vous êtes le maître de ces lieux. Voilà ce que je sais. Autant me tuer tout de suite puisque je ne compte pas mettre la fierté de coté.
 Je ne céderais pas et puis je mourrais peut être d'ici quelques jours de faim, de soif et de fatigue dû à la douleur de mes brulures. Et j'aurais au moins une satisfaction, que vous n'ayez pas réussis à me dresser. Je ne vous supplierais pas. Je ne suis pas une jeune femme comme les autres et je n'ai pas reçus la même éducation. Chez les rois et reines, nous ne cédons pas au chantâge et faisons passer le bien des autres avant le notre.
D'ailleurs, nous nous ressemblons sur un point: nous sommes fier. Imaginez que la situation est inversé, céderiez-vous ? Je n'ai pas besoin de votre réponse car ma réponse est la même que la votre. Alors le jours où vous comprendrez comment je fonctionne, vous aurez tout de moi, absolument tout. Mais apparement une seule personne la compris jusqu'ici...
Et pourquoi moi d'ailleurs ? Pourquoi avoir voulu faire de moi votre esclave ? Autant acheté un chien ! Vous voulez que vos esclaves se comporte comme des...chiennes, et pas comme des humains, quel est la satisfaction que vous en tirez ? Cela est plus agréable de vivre et de coucher avec une chienne plutôt qu'avec une femme ? Je ne vous comprend pas...


Aloysia savait qu'elle ne parlait pas dans le vide. Depuis quand un vampire dormait réellement ? Elle lui disait la vérité à un point près. Même s'il changeait complètement de façon de procédé avec elle, elle n'oublierait pas. Elle avait fait un long discours et la fatigue étai plus que présente. Elle avait mal, très mal mais ne voulait pas supplier. Elle avait demander, c'était déjà beaucoup. Elle regardait le lit, le regard dans le vague. Elle ne pourrait pas dormir... Elle avait trop mal...


Liam Eckart

Créature

Elle prétendait de ne pas être un chien et c’était vrai, c’était une chienne, pardon pour cette monstrueuse erreur de langage de cette nouvelle petite esclave. Il lui tourna le dos et s’installa sous les draps. On pouvait dire ce qu’on voulait, le fait qu’il maitrise sa soif de sang et la saleté qau’il avait chopé à cause d’elle l’avait assez fatigué pour qu’il puisse dormir comme n’importe quel crétin de mortel.

" Je sais qui je suis, je suis la princesse Aloysia Weber. Et vous, vous êtes le maître de ces lieux. Voilà ce que je sais. Autant me tuer tout de suite puisque je ne compte pas mettre la fierté de côté.
 Je ne céderais pas et puis je mourrais peut être d'ici quelques jours de faim, de soif et de fatigue dû à la douleur de mes brulures. Et j'aurais au moins une satisfaction, que vous n'ayez pas réussis à me dresser. Je ne vous supplierais pas. Je ne suis pas une jeune femme comme les autres et je n'ai pas reçus la même éducation. Chez les rois et reines, nous ne cédons pas au chantâge et faisons passer le bien des autres avant le notre.
D'ailleurs, nous nous ressemblons sur un point: nous sommes fier. Imaginez que la situation est inversé, céderiez-vous ? Je n'ai pas besoin de votre réponse car ma réponse est la même que la votre. Alors le jours où vous comprendrez comment je fonctionne, vous aurez tout de moi, absolument tout. Mais apparement une seule personne la compris jusqu'ici...
Et pourquoi moi d'ailleurs ? Pourquoi avoir voulu faire de moi votre esclave ? Autant acheté un chien ! Vous voulez que vos esclaves se comporte comme des...chiennes, et pas comme des humains, quel est la satisfaction que vous en tirez ? Cela est plus agréable de vivre et de coucher avec une chienne plutôt qu'avec une femme ? Je ne vous comprend pas..."


En effet, il ne dormait pas, pas encore. D’ailleurs elle le remarqua bien vite puisque ce fut un grand éclat de rire qui retentit dans la chambre, un rire franc et clair, et chose étrange, il venait du vampire, il en riait à se contorsionner sur son lit, se tenant les côtes, ayant même des larmes aux yeux. Il lui fallut de très longues minutes pour qu’il se calme. Puis il se redressa et s’assit sur le lit face à elle.

« Ah quel beau discours, et tu vois, il a su me toucher droit au cœur. Je ne t’avais pas compris en effet. Mais avant cela, il y a une ou deux choses que je vais préciser… »

Il se leva, nu, et s’approcha de la jeune femme à qui il ôta le collier. Puis, la prenant par les cheveux, il l’approcha de la fenêtre pour enfin la saisir par la gorge et la soulever de terre, pour la maintenir au-dessus du vide proposé par la fenêtre ouverte. Oui, il la tenait à une vingtaine de mètres du sol pavé. Autant dire que la chute aurait de fortes chances d’être mortelle.

« Regarde, je tiens ta vie entre mes mains, il ne me suffit que de peu pour pouvoir pour t’envoyer ad patres. Tu prétends avoir de al fierté, mais tu as déjà oublié ce que cela veut dire. Tu te dis princesse, mais franchement, toi comme moi savons qu’on ne laisserait pas sortir une princesse sans escorte, sans fiacre et sans domestiques. De même, tu sais qu’une princesse ne se » serait pas laissée abusée et encore moins abordée de la sorte  en pleine rue, notamment pour la première raison donnée. Ne me parle pas de fierté alors que tu mens comme tu respires ! Même moi je tiens plus d'un prince que toi ! Ne cherche pas à me comprendre tant que tu ne seras pas honnête avec toi même ! Je suis ce que je suis, et je l'assume ! »

Il la fit rentrer et la projeta sur le lit. Avant de s’approcher d’elle, menaçant, la toisant de toute sa hauteur.

« Tu veux savoir pourquoi je t’ai enlevée, je me suis dit qu’une fille comme toi ne manquerait à personne et serait assez joli pour valoir un minimum d’argent. Et comme tu l’a remarqué, je n’ai pas couché avec toi petite chienne. Je ne prends pas de force les garces dans ton genre par plaisir, mais juste pour remettre à sa place les petite chienne dans ton genre ! »

Aloysia Weber

Terranide

La princesse sursauta lorsque le rire du vampire résonna dans la pièce. Elle n'avait rien dit de drôle et pourtant cela paraissait hilarant pour le jeune homme. Aloysia se vexa et tourna la tête vers la fenêtre sans dire quoi que ce soit. Il n'avait qu'à mourir de rire, cela lui ferait des vacances. Finalement, elle entendit un froissement venant des couverture et elle tourna la tête dans sa direction. Il s'était assis dans le lit et répondit en partie à son long discours.

« Ah quel beau discours, et tu vois, il a su me toucher droit au cœur. Je ne t’avais pas compris en effet. Mais avant cela, il y a une ou deux choses que je vais préciser… »


Aloysia vit le maître se lever, nu, et s'approcher d'elle. Aloysia ne bougea même pas. Elle n'avait de toute façon plus beaucoup de force alors autant les économiser. A son plus grand soulagement il défit son collier. Ah... Il avait enfin compris...

Mais apparemment non car il la saisit sans ménagement par les cheveux et la conduisit jusqu'à la fenêtre. La princesse esclave gémissait de douleur et cherchait à se dégager. Il la saisit à la gorge et la souleva de terre. Aloysia s'agrippa au poigne de l'homme pour ne pas être étouffer. Elle le regardait sans ciller. Étonnement, elle n'avait pas peur. La chute serait rapide et elle n'aurait pas le temps de se sentir mourir. Mais bon, elle ne voulait pas mourir non plus.

« Regarde, je tiens ta vie entre mes mains, il ne me suffit que de peu pour pouvoir pour t’envoyer ad patres. Tu prétends avoir de al fierté, mais tu as déjà oublié ce que cela veut dire. Tu te dis princesse, mais franchement, toi comme moi savons qu’on ne laisserait pas sortir une princesse sans escorte, sans fiacre et sans domestiques. De même, tu sais qu’une princesse ne se » serait pas laissée abusée et encore moins abordée de la sorte  en pleine rue, notamment pour la première raison donnée. Ne me parle pas de fierté alors que tu mens comme tu respires ! Même moi je tiens plus d'un prince que toi ! Ne cherche pas à me comprendre tant que tu ne seras pas honnête avec toi même ! Je suis ce que je suis, et je l'assume ! »

Aloysia sentit la rage et la colère monter en elle. Il l'accusait de menteuse, ce qu'elle n'était aucunement. Pas sur cela en tout cas. Si elle mentait parfois à cet être, c'était juste pour préserver sa vie. Elle ne voulait pas lui dire qu'elle avait une maitresse. Elle avait peur de sa réaction alors elle allait déformer la vérité. Mais elle n'eut pas le temps de répliquer qu'il la jeta sur le lit. Aloysia le regardait une lueur de haine dans les yeux. Il la prenait pour une moins que rien ! Il continuait sur le même ton, persuader d'avoir en face de lui une roturière. Il manquait vraiment de jugeote ce vampire. Elle le lui fit savoir sans tarder.

" Vous n'avez vraiment rien compris. Ce que vous n'avez pas comprit, c'est qu'une esclave humaine, jolie, vierge et princesse vaut plus chère que la plupart des esclaves. Vous croyez être le premier avoir des projets d'enlèvement me concernant ?! Détrompez- vous ! Il y a peu de temps je me suis fait enlevé dan le parc du château où je résidais et cet vermine avait pour projet de me vendre. Malheureusement pour lui, je me suis échapper et retrouver à la rue. Et quand j'ai vu un beau jeune homme m'accoster avec des manières qui me laissait penser que vous étiez un noble, ce que vous m'avez confirmer là-bas, je me suis dit que mon calvaire était enfin finit. Voilà vous savez tout. Alors croyez moi ou pas, je m'en fiche !

L'histoire d'Aloysia avait des accent de vérité et cela le vampire l'entendrait peut être enfin. Elle avait par contre modifié la fin de son histoire. Mais elle était une  princesse et cela rien y personne n'y changera. Aloysia le regardait avec véhémence mais s'il s'approchait d'elle, elle le frapperait avec la force qu'il lui restait. Elle détestait la violence mais celle-là était justifié. De plus elle souffrait de ses brulures, ce qui la rendait agressive.

Liam Eckart

Créature

Oh !  Elle se mettait en colère, le chiot arrêtait de japper pour aboyer, comme c’était mignon…mais réalisait-elle sa situation ? Réalisait-elle qu’elle était en train d’enguirlander son unique chance de survie quand elle prit la parole ? Que croyait-elle ? Qu’il allait gentiment hocher la tête et dire « oui, je te crois sur parole ? » Elle se mettait le doit dans l’œil jusqu’au coude ! C’est dire !

« Vous n'avez vraiment rien compris. Ce que vous n'avez pas comprit, c'est qu'une esclave humaine, jolie, vierge et princesse vaut plus chère que la plupart des esclaves. Vous croyez être le premier avoir des projets d'enlèvement me concernant ?! Détrompez- vous ! Il y a peu de temps je me suis fait enlevé dans le parc du château où je résidais et cet vermine avait pour projet de me vendre. Malheureusement pour lui, je me suis échapper et retrouver à la rue. Et quand j'ai vu un beau jeune homme m'accoster avec des manières qui me laissait penser que vous étiez un noble, ce que vous m'avez confirmer là-bas, je me suis dit que mon calvaire était enfin finit. Voilà vous savez tout. Alors croyez moi ou pas, je m'en fiche ! »

Nouveau rire sonore de la part du vampire. Il n’y croyait pas un seul instant, et c’était logique. Elle voulait, qu’elle le veuille ou non, le convaincre, sinon elle n’aurait pas tant insisté là-dessus. Elémentaire ma chère ! Il resta sur sa position, à sourire en coin, il préférait l’observer.

« Puisque tu ne comprends pas toi non plus, je vais t’apprendre quelque chose. Première chose, pour vendre comme esclave une princesse et la présenter comme telle, il faut des preuves, n’importe qui peut prétendre avoir une esclave qui était princesse, donc la valeur est moindre, sauf pour les imbéciles. Secundo, la virginité n’intéresse que les lubriques, ce n’est pas mon fonds de commerce, la virginité d’une esclave ne vaut pas assez cher pour que je la préserve à tout prix. C’est seulement un bonus substanciel concernant mes bénéfices, mais complètement superflus. Ta beauté est ta seule valeur ! Et crois-moi, ce sera bien vite de l’histoire ancienne, à côté d’autres esclaves, comme Aenetelia, tu es un vrai laideron. Tu tiens à savoir pourquoi je t’ai enlevée, toi ? Parce que tu as été trop idiote pour te méfier de moi, parce que ta naïveté vaut de l’or à mes yeux, et ce, pour la simple et bonne raison que tu n’auras pas d’idée assez évoluée pour t’échapper d’ici. »

Il sourit et fit un pas en avant, lentement, puis un autre, s’arrêtant à un bon mètre de la jeune femme. Il avait frappé dans son égo, et qu’elle le veuille ou non, elle devait vite comprendre que son seul moyen de survie était sa docilité et son zèle pour la moindre tâche qu’il lui demande d’exécuter. C’était la qualité qu’elle devait montrer pour valoir le moindre copeck, et ça, elle ne pouvait pas encore le savoir. Le plus dur restait à lui faire apprendre certaines choses. Mais avant, il fallait qu’elle comprenne sa place, une place, qui, semblait-il, lui échappait complètement.

« J’ai changé mes plans, ce soir, tu perdras ta dernière trace de fierté, et ta virginité. Tu seras dans la nécessité de me supplier d’arrêter à à un moment ou à un autre ! Crois-moi, tu seras ravie de devoir me supplier, parce que tu sauras que c’est en me suppliant que j’arrêterai, tu hurleras pitié, et quand ton corps et ton âme seront brisés, nous reparleront de tout cela ! »
Le vampire continua alors d’avancer vers la jeune femme, s’approchant davantage d’elle….

Aloysia Weber

Terranide

A nouveau le vampire rigolait pour se moquer de sa poire. Ce qu'elle n'apprécia pas du tout.

« Puisque tu ne comprends pas toi non plus, je vais t’apprendre quelque chose. Première chose, pour vendre comme esclave une princesse et la présenter comme telle, il faut des preuves, n’importe qui peut prétendre avoir une esclave qui était princesse, donc la valeur est moindre, sauf pour les imbéciles. Secundo, la virginité n’intéresse que les lubriques, ce n’est pas mon fonds de commerce, la virginité d’une esclave ne vaut pas assez cher pour que je la préserve à tout prix. C’est seulement un bonus substanciel concernant mes bénéfices, mais complètement superflus. Ta beauté est ta seule valeur ! Et crois-moi, ce sera bien vite de l’histoire ancienne, à côté d’autres esclaves, comme Aenetelia, tu es un vrai laideron. Tu tiens à savoir pourquoi je t’ai enlevée, toi ? Parce que tu as été trop idiote pour te méfier de moi, parce que ta naïveté vaut de l’or à mes yeux, et ce, pour la simple et bonne raison que tu n’auras pas d’idée assez évoluée pour t’échapper d’ici. »

Ce fut au tour d'Aloysia de rire. Elle en avait vu d'autre. Elle connaissait maintenant sa technique de dressage d'esclave. Il rabaissait ceux-ci plus bas que terre de sorte à ce qu'ils perdent toute fierté et toute confiance en eux, et surtout tout espoir. Si l'esclave se montrait récalcitrant alors il employait la manière forte. Typique de celui qui a lu le manuel: comment dresser un esclave pour les nuls.

" Je me fiche que vous me croyez ou pas, je vous l'ai déjà dit. Le seul avantage que je peux en tirer, c'est que je sais maintenant qu'un vampire ne peut pas distinguer la vérité du mensonge. Merci pour l'info. Quand à m'échapper, ne vous inquiétez pas je suis plus intelligente que cela. Mais j'y pense... Que vaut une esclave qui n'en fait qu'à sa tête et qui prend son maître de haut ? Pas grand chose, je suppose. Alors réfléchissez bien... La manière forte ne vous sera d'aucune utilité."

Elle n'avait même pas relever les pics qu'il lui avait lancer dans les dents, preuve qu'elle n'accordait aucune importance à ce que pourrait dire cet être. Elle se leva doucement du lit en le voyant approcher. Elle avait envie de se jeter sur lui pour lui faire payer tout ce qu'elle avait subit. Seulement, elle savait que cela se retournerait sans doute contre elle. Et c'est vrai qu'elle avait penser à s'échapper mais elle avait eu la confirmation que son autre méthode serait beaucoup plus efficace. Il l'avait enlevé en pensant qu'aucune personne ne soucierait d'elle. Sinon il n'aurait pas pris un tel risque. Donc il serait possible pour sa maitresse de venir la récupérer. L'objectif de la princesse était maintenant de tenir le plus longtemps possible. Elle ne pensait même plus à ses brûlures. Chaques pas que faisait le vampire, Aloysia le faisait en reculant de sorte à garder une certaine distance entre eux.

« J’ai changé mes plans, ce soir, tu perdras ta dernière trace de fierté, et ta virginité. Tu seras dans la nécessité de me supplier d’arrêter à à un moment ou à un autre ! Crois-moi, tu seras ravie de devoir me supplier, parce que tu sauras que c’est en me suppliant que j’arrêterai, tu hurleras pitié, et quand ton corps et ton âme seront brisés, nous reparleront de tout cela ! »

Aloysia sentit des frissons lui parcourir l'échine. Elle n'avait pas peur pour sa fierté mais plutôt pour sa virginité. Une fois qu'elle l'aurait perdu, elle ne pourrai la retrouver. Elle devait tenir bon pour Sofia, sa maitresse. Aloysia ne prit pas la peine de répondre au vampire et à force de reculer, elle se retrouva vite adosser au mur. Aucune sortie ne s'offrait à elle. Cette fois, elle était coincée.

Liam Eckart

Créature

Et maintenant il avait droit à des menaces. C’était intéressant, très intéressant, il lui fallait changer de comportement pour avoir ce qu’il voulait ? Pas vraiment, combien de temps encore avant qu’elle ne supplie notre cher vampire de mettre fin à la doueleur qui allait en empirant avec le temps, comme le voulait le sort ?  Cette seule pensée avait de quoi réjouir le vampire. Elle pouvait dire ce qu’elle voulait, il allait lui montrer ce qui arrivait aux esclaves ui osaient se comporte ainsi de manière trop prononcée.

Il avait continué d’avancer et maintenant, elle était faite comme un rat, elle était dos au mur et ne pouvait plus fuir, la pauvre, auraient pu dire les lavettes, allait découvrir quelque chose, et elle comprendrait vite où était son propre intérêt. Pour cela, il suffisait de l’emmener  dans l’un des tiunnels jusqu’à une certaine salle…

« Je vais te montrer ce qu’il est advenu des esclaves qui font ce dont tu parles, et crois moi, tu n’as pas envie de le faire, ou du moins, tu voudras être bien sage une fois que je te l’aurai montré. Et si tu vomis, je te fais digérer de nouveau ce que tu as dégobillé ! c’est clair ? »

D’un geste vif il la saisit par les cheveux et l’attira vers lui pour attraper son collier et l’emmener dans un passage secret derrière le tableau le représentant dans la chambre qui s’ouvrit par une poussée sur une brique en hauteur. La tirant par le collier il l’emmena dans un dédale d’escaliers, jusqu’à un sous-sol d’où provenait de l’air frais, un bon petit courant d’air frais. Il la força à marcher, quitte à la trainer durant plusieurs minutes avant de déboucher dans une salle à ciel ouvert et qui donnait sur l’extérieur par une ouverture à même le roc.

« Voila l’endroit ou j’expose un peu le mur de la honte, la honte pour les corps des esclaves qui ont tenté de s’enfuir ici même. »

Des torches brûlaient, et dans des espèces de cercueils en verre, une dizaine tout au plus, on pouvait apercevoir des corps atrocement mutilés, en général était déposées en tas sur l’abdomen à vif des victimes un petit tas composé de très fines bandelettes de peau, chaque os était brisé très méthodiquement.

« Alors vas y si tu veux t’échapper, je te promets que si tu arrives à sortir de l’enceinte du domaine, je ne te poursuivrais pas. »

Il la lâcha. Mais il était sur de lui, en effet, le sortkilège encré en elle était en résonnance avec celui des murs, ce dernier bridait ce premier, en effet, si la douleur était déjà forte ainsi, elle aurait du être cinquante à cent fois plus forte en dehors des murs du manoir, de quoi rendre inconscient n’importe qui…et allait en s’augmentant si on s’éloignait. Ainsi, rien que de rejoindre le mur d’enceinte (une centaine de mètre des murs du manoir, serait une véritable torture physique tant que morale, et si cela ne suffisait pas, les gardes patrouillaient.

« Et si tu te fais attraper, tu dormiras avec les gardes, enfin, si ils te laissent un instant pour dormir…et cette fois ci, je préciserai que je ne fais pas grand cas de ta virginité… quand tu seras écrouée par la douleur de tous les contacts, on en reparlera… »

Oui, elle ne franchirait pas les limites du domaine. Et elle « dormirait » avec les gardes. C’était certain. Secalant contre un mur, il sourit avant de rajouter :

« Et bien, qu’attends-tu ? Vas y ! Je n’ai qu’une parole ! Je le jure sur mon sang ! »

Ce faisant, il entailla sa paume. Et le pire, c’était qu’il était sincère, encore fallait-il qu’elle ne tombe pas inanimée à peine le seuil franchi, terrassée par la douleur, inconsciente…

Le vampire ne souriait pas, il se contenta d'éteindre les torches. Sur un toit, un archer banda son arc, il s'agissait du signal, abattre le ou la fuyarde sans le ou la tuer...

Aloysia Weber

Terranide

Le vampire s'approchait, doucement et sans bruit d'elle. La princesse ne le quittait pas du regard, puis il fut tout près d'elle. Aloysia ne baissa pas son regard pour autant continuant de le fixer.

« Je vais te montrer ce qu’il est advenu des esclaves qui font ce dont tu parles, et crois moi, tu n’as pas envie de le faire, ou du moins, tu voudras être bien sage une fois que je te l’aurai montré. Et si tu vomis, je te fais digérer de nouveau ce que tu as dégobillé ! c’est clair ? »


Aloysia le regardait sans comprendre. Comment ça vomir ? L'esclave sentit une boule de former dans son ventre et ne pût qu'hocher la tête positivement à ses paroles. Mais elle n'avait pas envie de le suivre. Quelque chose lui disait qu'il allait s'assurer par tout les moyens à ce qu'elle obéisse. Elle le laissa m'attacher comme un vulgaire animal. Le seul point positif était que le collier ne lui faisait pas mal car à cette endroit, sa peau ne la brulait plus. Lorsqu'il l'avait maintenue au dessus du vide, sa main s'était refermée sur sa gorge.

Elle le vit actionner un passage qui se trouvait derrière un tableau le représentant. Quel narcissisme ! Elle le suivit dans un long couloir où un air frais la fit frissonner. Elle suivit le vampire sans broncher et ils atterrirent dans une pièce étrange. Mais la jeune femme ne prit même pas le temps de la détailler qu'une vision d'horreur s'imposait à elle.

« Voila l’endroit ou j’expose un peu le mur de la honte, la honte pour les corps des esclaves qui ont tenté de s’enfuir ici même. »


Aloysia mit une main devant sa bouche, saisit d'horreur, comme pour empêcher un hurlement de sortir. Elle pouvait voir dans chaque cercueil en verre, des corps mutilés. Celui qui l'avait enlevé était un malade, un vrai boucher.

" Oh mon dieu... Ce...ce n'est pas possible...

Son corps tout entier tremblait, elle avait envie de vomir, de hurler... Et pourtant, elle restait là sans bouger à observer le sort qui lui sera peut être un jour réservé. Puis des larmes coulèrent sur les jours pales de la jeune femme. Des sanglots lui échappèrent et elle se mordit le pouce pour ne pas hurler sa haine et l'horreur qui l'emplissait. Elle ne lui donnerait pas ce plaisir.

« Alors vas y si tu veux t’échapper, je te promets que si tu arrives à sortir de l’enceinte du domaine, je ne te poursuivrais pas. »


Aloysia n'avait même pas vu la sortie dont le vampire parlait. Elle ferma les yeux, immobile, dos au maître. Mais la vision d'horreur s'imposait sans cesse à elle. Elle respirait avec difficulté et continuait à mordre son pouce droit. Son autre main était serré en un poing le l'on de son corps. Sa tunique se soulevait doucement au rythme des courant d'air.

« Et si tu te fais attraper, tu dormiras avec les gardes, enfin, si ils te laissent un instant pour dormir…et cette fois ci, je préciserai que je ne fais pas grand cas de ta virginité… quand tu seras écrouée par la douleur de tous les contacts, on en reparlera… »


Aloysia réfléchissait mais pris rapidement sa décisions. Elle était beaucoup trop faible pour entreprendre quoi que ce soit et encore moins essayer de s'échapper. Le vampire l'interpella à nouveau. La princesse avait pris sa décisions. Sans même, un regard pour la sortie, elle se dirigea vers le tunnel qu'ils avaient emprunté et retourna dans la chambre. Aloysia s'assit, les jambes tremblantes, sur le lit. Son choix était justifié et elle avait ses raisons. Mais lui ne comprendrait sans doute pas. Elle essuya ses joues puis regarda par la fenêtre, essayant d'oublier ce qu'il venait de se passer. Mais quelque chose s'était brisé en elle. Elle ne ressortait pas indemne de cette salle des horreurs. Certes, elle allait devoir lui obéir. C'était la seule façon pour qu'elle reste envie pour que sa maitresse vienne enfin la chercher. Mais elle ne mettrait pas sa fierté complètement de côté. Elle obéirait mais garderait cette fierté qui la caractérisait et surtout la haine qu'elle ressentait pour cet homme.

Elle l'attendait patiemment, ses cheveux doré encadrant un visage remplis de haine. Ses yeux bleus se perdant dans le vague. Elle avait de plus en plus mal à cause des brûlures mais la douleur restait supportable. Pour l'instant...

Elle ne tourna pas la tête quand il arriva, l'ignorant royalement. Aloysia en avait plus que marre de ses sarcasmes et il allait être fier comme un coq de lui avoir montré l'œuvre d'un monstre...   





Liam Eckart

Créature

Tout avait été fait pour choquer, même le sortilège qui avait conservé les cadavres en l’état, les lambeaux de chair semblaient avoir été arrachés il y a quelques minutes à peine. Il avait œuvré de manière géniale pour créer cette salle ! Et l’effet n’avait jamais manqué !

Le vampire était ravi, il semblait avoir réussi son œuvre puisqu’il avait vu le regard de la jeune femme, il savait ce qu’elle avait ressenti, il savait que désormais, elle cesserait de le défier, c’était le principal intérêt de ce musée des horreurs. C’était de faire comprendre que s’échapper ou décevoir le maitre ne mènerait qu’à de la souffrance. C’était aussi simple que ça.

Il souriait tout en dent, attendant que la jeune femme sorte pour la voir se tordre de douleur, mais rien ne vint…en effet, celle-ci, une fois le choc apparemment passé, préféra retourner dans la chambre, attendre le maitre…qui resta sur le carreau. Il ne s’attendait pas à ce que l’effet soit dissuasif à ce point… c’était rare mais la surprise pouvait être agréable. Il la laissa rentrer seule, il n’y avait pas moyen de se perdre, pas vraiment du moins… ou peut être était-ce parce que cela faisait presque un siècle qu’il habitait en ces lieux.

Enfin, il parvint à la chambre. Elle était sur le lit, les yeux bleus glacés par un sentiment ô combien partagée par ses prédécesseuses. Il fallait reconnaitre qu’il pensait bien imaginer sa réaction. Mais le plus important était encore à faire !  Il voulait voir sur le moyen long terme les influences de cette salle sur la façon de se comporter de la jeune femme.

Regardant dans le vide quand il arriva, elle semblait avoir été plus choquée qu’il ne le pensait. Mais bon, il allait bien voir sa réaction…il était un monstre, eut être, mais au moins il était là et c’était qui qui avait la donne. Il contrôlait le jeu, il la contrôlait, ou du moins, il était persuadé que maintenant elle serait obéissante et bien docile !

« Tiens donc, notre…princesse…a perdu de sa superbe…comme c’est dommage, moi qui commençait à peine à m’amuser… »

Il sourit comme un gamin, une lueur cruelle dans le regard. Son regard en était presque malsain…mais il s’en fichait, ce qu’il voyait, c’était que sa petite chienne était là où elle n’aurait pas dû être. Le lit était réservé au maitre, et avec un accord clairement exprimé, avec une esclave de temps à autres. Là il n’avait pas donné son accord. D’une voix dénuée de toute chaleur il lui dit, fermement

« Descend du lit et viens vite au pied, j’ai besoin d’aller faire un , faire une petite inspection du service de nuit, et tu vas m’accompagner. Désormais, en ma présence, tu resteras à quatre pattes comme une bonne petite chienne, et tu aboieras pour signaler que tu vas parler. Allez, dépêche-toi et habille-moi que je puisse sortir de manière décente ! »

Il souriait. Cet ordre elle le lui aurait envoyé à la figure il y a quelques minutes, comment allait-elle le prendre ? Ce serait intéressant. Oh et puis tant qu’à faire, il avait bien une petite idée de quoi faire pour rendre la chose encore plus humiliante !  Il s’approcha d’elle et lui retira tous ses vêtements, les arrachant, malgré le fait que cela ne cache absolument rien, avant de lui dire.

« Ah oui et dernière consigne, tu as tout intérêt à allumer tous ceux que tu rencontres. Montre leur qui tu es vraiment, montre leur qu’au final, tu ne vaux pas mieux qu’un sac à foutre, d'ailleurs, je pense que le crier haut et fort t'aidera… »

Et paf, là c’était une belle humiliation en règle qu’elle allait subir si elle se plairait à ses ordres. Mais il y avait toujours cette question en suspens :  allait-elle obéir ? Il allait vraiment très loin, mais il voulait voir si les cadavres étaient assez dissuasifs ou s’il lui en fallait plus. Il lui ferait ravaler les derniers restes de sa fierté, et là, elle serait complètement anéantie !

Aloysia Weber

Terranide

« Tiens donc, notre…princesse…a perdu de sa superbe…comme c’est dommage, moi qui commençait à peine à m’amuser… »


Aloysia ne sursauta pas en entendant sa voix. Aucune réaction à ses paroles ne se lisait sur son visage. Tout bonnement parce qu'elle ne l'écoutait pas. Elle réfléchissait une nouvelle fois sur quelle technique a adopté. Elle n'avait qu'une envie...le tuer lentement, mais elle n'en avait pas la force, ni les moyens. La princesse esclave ne doutait pas que Sofia ne vienne la chercher, mais pour cela, elle devait lui faciliter la tache. Pour cela, il faudrait qu'elle soit en forme pour aider la jeune femme, ou tout du moins pour ne pas être un boulet. Elle devait donc garder ses forces et surtout éviter d'être blessé. Il allait aussi falloir qu'elle trouve une solution à ce sort. Si personne d'autre le jeune homme ne pouvait la toucher, cela deviendrait un sacré handicap. Il fallait donc qu'elle trouve une solution pour s'en débarrasser avant que de maitresse ne vienne la sauver.

« Descend du lit et viens vite au pied, j’ai besoin d’aller faire un , faire une petite inspection du service de nuit, et tu vas m’accompagner. Désormais, en ma présence, tu resteras à quatre pattes comme une bonne petite chienne, et tu aboieras pour signaler que tu vas parler. Allez, dépêche-toi et habille-moi que je puisse sortir de manière décente ! »


L'esclave ne tourna même pas la tête vers la créature, se contentant de se lever tel un robot. Elle devrait pour les prochains jours se montrer soumise et écouter l'homme qui de croyait son maître. Il penserait alors que son musée des horreurs l'aurait assez effrayée pour qu'elle deviennent une chienne, comme il le désirait tant. Mais elle allait pour cela changer radicalement son comportement. Autant jouer le jeu à fond. Elle devrait jouer une jeune femme presque traumatisée par ce qu'elle a vu et qui souhaite qu'une chose, plaire au vampire. Aloysia savait qu'il ballait mieux se passer pour plus faible qu'on ne l'était, il aurait une sacrée surprise en voyant qu'on venait la chercher. Aloysia savourait la scène d'avance.

Elle alla chercher les vêtements du maître poser dans un coin de la chambre et l'habilla doucement. Elle souffrait de plus en plus de ses brulures mais elle serra des dents et ne dit rien. L'intimité du jeune homme la dégouta plus qu'elle ne la gêna. Une fois qu'elle eut finis sa tache, il lui arracha la tunique qu'elle portait. Aloysia, une fois de plus ne réagit pas, et resta debout devant le maître, sans dire un mot, le regard fixe et vide. Il avait une esclave soumise devant ses yeux, qu'elle joie devait-il ressentir ! Enfin c'est ce qu'elle pensait. Il apprécierait sa nouvelle docilité, au début. Puis avec un peu de chance se lasserait d'elle pour aller torturer une autre femme. Et puis peut être que leur joute verbale lui manquerait et cela lui ferait les pieds.

« Ah oui et dernière consigne, tu as tout intérêt à allumer tous ceux que tu rencontres. Montre leur qui tu es vraiment, montre leur qu’au final, tu ne vaux pas mieux qu’un sac à foutre, d'ailleurs, je pense que le crier haut et fort t'aidera… »


A nouveau aucune expression, toujours ce même regard dans le vide. Il allait vraiment s'interroger sur ce nouveau comportement. Mais pour l'instant, elle ne pensait qu'à une chose dormir et les paroles du jeune homme ne l'atteignait même plus. Elle avait déjà servit de "sac à foutre" comme il disait. Et si cette nuit, elle devait le resubir, elle savait qu'elle perdrait connaissance rapidement, vu l'état de fatigue dans lequel elle se trouvait. Ses brulures la firent souffrir quand elle posa les genoux par terre. Elle avait mal, très mal... Mais comme toujours il ne s'en souciait pas. Elle le suivit donc à quatre pattes sans un mot. Son esprit s'était comme détaché de son corps. Une partie d'elle ne rêvait que de vengeance et sa fierté était toujours intacte. Elle avait réussit à prendre une certaine distance avec elle-même comme si ce n'était pas elle qui était en laisse et à quatre patte. C'est sans doute à cause de la fatigue que plus rien ne l'atteignait vraiment. Elle avait juste l'impression de cauchemarder...

Liam Eckart

Créature

Il sourit quand elle obéit ans même parler, mais en même temps, il en fut peiné, il avait suffi de si peu pour la briser moralement…c’était plus facile que de voler une sucette à un bébé, cela perdait peut être un peu de son charme, mais bon, il avait réussi et en tirait une grande fierté, ou du moins, était-il content de sa performance. Il regarda l’heure. Bon, ce n’était pas son meilleur score, loin de là, mais c’était toujours ça !  Avec douceur, il souleva le menton de la jeune femme de la main, lui caressant doucement le visage dans son intégralité, soulageant la douleur de cette zone de son corps.

Puis, doucement, il fit descendre ses mains dans son dos, palpant chaque zone de celui-ci avec douceur. Il avait bien l’intention de la soulager de la douleur désormais inutile, mais pas du sortilège, aussi ses mains passèrent avec douceur et délicatesse sur tout son corps, omettant volontairement les parties intimes tant de devant que de derrière, mais il passa ses mains partout ailleurs, et une fois cela fait, il lui dit, d’une voix douce et posée, presque affectueuse si on  ne le connaissait pas !

« Tu vois, ma petite chérie, une bonne action mérite récompense, c’est comme ça que ça marche partout, et ma récompense pour ton obéissance soudaine, quoique peu surprenante, est la disparition de la douleur. Tu vois, je reconnais volontiers le mérite de chacun. »

Il sourit avant de se mettre à avancer, tenant la laisse fermement, sans tirer de manière abusive sur celle-ci. Il la força tout de même fermement à la suivre, lui faisant donc visiter par la même occasion le manoir dans son intégralité. Puis il l’emmena dehors. Sa proximité jouait le rôle d’un relai, aussi il n’y aurait aucune douleur tant qu’hors des murs, du manoir ou hors de l’enceinte du domaine. Il souriait, exposant sa nouvelle chienne bien soumise avant de revenir vers la porte du manoir, dans l’entrée de celui-ci, il y avait une porte dérobée, à droite, qui donnait sur une petite pièce avec une paillasse et un peu de nourriture, ainsi qu’un baquet d’eau propre. Il détacha la laisse.

« Tu dormiras ici, c’est ta chambre. Dans ma maisonnée, tu seras chargée de l’accueil des invités. A partir de demain tu commenceras, et Aenetelia te chaperonnera les premiers temps, concernant les manières et le comportement que tu devras manifester en tant qu’esclave. Elle est supérieure à toi dans la hiérarchie, aussi tu devras lui obéir, quand bien même elle demanderait ça – il passa sa main sur ses lèvres intimes – ou ça – il fit de même le long de sa raie des fesses.- Et si tes analyses sont bonnes, tu viendras m’offrir ton sang tous les midis. Tu as compris ton rôle ? »

Il sourit avant de commencer à faire demi-tour, la laissant dans sa chambre, puis il se ravisa et se retourna vers elle.

« Ah oui, ta tenue de fonction et ton nouveau collier sont dans le placard, et ma proposition pour ta fuite tient toujours !  Elle tient n’importe quand. Bonne nuit ma petite chérie ! »

Il sourit avant de sortir, sachant pertinemment  que  la douleur lui vrillerait les tympans si jamais elle n’atteigngait ne serait-ce que la moitié de la distance séparant le  manoir et le mur d’enceinte du domaine.

 

Aloysia Weber

Terranide

Une déception furtive passa sur le visage du vampire et Aloysia le remarqua. Il était déçu qu'elle est craquée si vite, enfin c'est ce qu'il croyait. Elle le sentit soulevé son menton et Aloysia dû se retenir pour ne pas se dégager. Il passa ses mains sur l'intégralité de son visage et Aloysia ferma les yeux, appréciant de ne plus ressentir cette continuelle brulure sur celui-ci. Puis ses mains descendirent et la princesse ne pût retenir des soupirs de soulagement en sentant ses brulures s'estomper au fur et à mesure. Seuls deux endroits furent éviter mais Aloysia ne lui en fit pas la remarque. Ces endroits étaient plutôt intimes et elle ne comptait pas le supplier, elle gardait un minimum de fierté. C'est peut être aussi pour cela qu'elle ne parlait pas, elle ne voulait pas aboyer comme l'aurait fait un chien.

« Tu vois, ma petite chérie, une bonne action mérite récompense, c’est comme ça que ça marche partout, et ma récompense pour ton obéissance soudaine, quoique peu surprenante, est la disparition de la douleur. Tu vois, je reconnais volontiers le mérite de chacun. »

Son nouveau surnom lui hérissa le poil mais encore une fois, elle se concentra pour ne pas le montrer et à la place sourit presque joyeusement au jeune homme. Elle devait jouer son rôle à la perfection et peut être comme elle l'espérait il la laisserait tranquille pour le moment.

Elle le suivit ensuite dans sa promenade. Elle avait remarqué qu'il était plus doux avec elle depuis qu'elle avait céder. Mais la haine grandissait en elle comme une mauvaise herbe. Elle savait très bien que cette "promenade" lui permettait de de pavaner avec sa nouvelle esclave. Mais elle le suivit sans un mot jusqu'à une petite pièce qui sentait quelque peu le renfermer. Elle était composer d'une paillasse, de nouriture et d'eau. Elle allait devoir sans doute dormir là dedans. Ce qu'il confirma après l'avoir détaché.

« Tu dormiras ici, c’est ta chambre. Dans ma maisonnée, tu seras chargée de l’accueil des invités. A partir de demain tu commenceras, et Aenetelia te chaperonnera les premiers temps, concernant les manières et le comportement que tu devras manifester en tant qu’esclave. Elle est supérieure à toi dans la hiérarchie, aussi tu devras lui obéir, quand bien même elle demanderait ça – il passa sa main sur ses lèvres intimes – ou ça – il fit de même le long de sa raie des fesses.- Et si tes analyses sont bonnes, tu viendras m’offrir ton sang tous les midis. Tu as compris ton rôle ? »

Aloysia poussa un long soupir de soulagement en sentant les douleurs de son intimité et de ses femmes diparaitre. Elle se sentait désormais beaucoup mieux, mais èpuisée. Elle hocha la tête après la question du maître, toujours décider à ne pas parler. Alors qu'il s'en allait, Aloysia était debout, regardant sa chambre, elle entendit de nouveau la voix du vampire et se retourna.

« Ah oui, ta tenue de fonction et ton nouveau collier sont dans le placard, et ma proposition pour ta fuite tient toujours !  Elle tient n’importe quand. Bonne nuit ma petite chérie ! »


Aloysia se força à sourire et s'inclina légèrement avant que le maître ne sorte. Il allait penser qu'elle était vraiment brisée mentalement. Mais quelque chose l'intriguait, il avait l'air de souhaiter à ce qu'elle essaye de s'échapper. Ce qui n'était pas logique après tout le mal qu'il s'était donné. Il s'était forcément assurer que quoi qu'il arrive, elle ne puisse pas quitter aussi facilement sa demeure. Comment ? Cela la princesse l'ignorait. Elle enleva rageusement son collier et le jeta dans un coin de la pièce puis s'allongea sur la paillasse, morte de fatigue. Elle s'endormit aussitôt mais elle de réveilla à l'aube en hurlant et en sueur. Les esclaves torturées, était venue la hanter dans ses rêves.

Aloysia se leva et de rafraîchit avec l'eau puis mangea un peu de la nourriture même si elle n'avait pas faim. Il lui faudrait des forces pour tenir. Elles e dirigea vers le placard et sortit sa tenue, simple tenue de servante, robe noir et tablier blanc accompagné d'un serre-tête. Elle mit le tout puis vit un collier au fond l'armoire. Elle le mit avec amertume et s'assit ensuite sur sa paillasse, attendant cette futur Aenetelia. Elle sentait bizarrement qu'elle n'allait pas s'en faire une amie. Elle paraissait proche du vampire et ce que le jeune homme lui avait préciser ne présageait rien de bon...



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