Ni le cri, ni la gêne qu’il lui imposait ne l’avait troublé, quand à la laisser seule avec les gardes, ceux-ci étaient habitués et savaient que si certains allaient au-delà des limites ordonnées, ils n’auraient plus ce genre de petits plaisirs. Cette règle instaurée, le reste venait tout seul ! Aussi partait il la mine réjouie par son « acquisition » et des fruits qu’elle pourrait donner en cas de vente.. De très beaux profits, ne serait-ce qu’en location.
Quand la jeune femme prit la parole, se doutait-elle de ce qui allait arriver ? Sans doute. Mais au dela de ça, personne n’aurait pu penser qu’elle oserait mentir, cela semblait si difficile à croire.
« Une précisions, je suis vierge et le maître veut s'occuper en premier de ma virginité, même s'il a omis ce détail. Et la bouche serait un choix vraiment risqué si vous souhaiter rester en entier. »
En tout cas, la majorité ne se posa même pas de question la dessus et semblaient se satisfaire de cela. Preuve en fut le premier des gardes à approcher, sourire lubrique aux lèvres.
« Il ne reste donc plus que ton derrière ! Moi ça me va, pas vrai les gars ! Si elle est vierge aussi derrière, elle sera bien serré ! »
Celui-ci s’installa et se prépara à se faire plaisir avec la catin prêtée par le seigneur des lieux. Le vampire était malin, il savait très bien que certaines esclaves œuvraient de leur charme pour tenter de sortir, mais comment faire pour que cela ne se produise pas ? Tout simplement en offrant aux gardes des possibilités de se vider les bourses sur des échantillons de la marchandise. Aussi, chaque jour mettait-il à disposition une esclave de très bonne qualité à la disposition de ces sauvages, et eux en profitaient pendant leur temps libre. Problème résolu.
Alors qu’une petite foule commençait à s’amasser autour d’elle le premier garde à être intervenu la força à se mettre en position, à quatre pattes, comme une petite chienne, une esclave n’avait pas le droit à mieux après tout, et après quelques frottements, il pénétra son derrière d’un seul coup de rein, sec et brutal, sans avoir ne serait-ce que préparé la vierge à un tel traitement, non, pas le moindre préliminaire, juste un coup de rein.
Sa douleur les fit rire et chacun, à tour de rôle, vint jouer avec son fondement. Des mains s’égaraient parfois entre ses cuisses, mais si elles passaient sur ses lèvres intimes, jamais elles ne s’y attardaient. Le plan de la petite princesse, même si pour le coup elle ne valait pas mieux que la dernière des prostituées, avait fonctionné, mais à quel prit. Si elle s’en sortait déchirure anale elle aurait de la chance.
Ses reins, ses cheveux, sa poitrine, ses lèvres, son visage en général, autour de son anus, sur ses cuisses, la bonne cinquantaine de gardes présente lui couvrit le corps de ce liquide épais et gluant qui sortait de leur sexe. Ils riaient à chacun de ses orgasmes. Elle semblait vraiment faite pour ce travail. Elle leur auraient affirmé qu’elle était une princesse qu’ils en auraient ris en ne la croyant pas.
Et quand enfin ils la laissèrent pour partir rejoindre leurs postes, ele put savourer un bon quart d’heure de silence et de calme avant qu’un autre groupe prenne la relève. Autant vous dire que son corps fut vraiment maltraité surant cette journée, car oui, elle dut y passer la journée, le vampire ne vint la chercher que le soir, se contenant de lui remettre son anciuen collier alors qu’elle se faisait besogner. La prenant par les cheveux il ofrit aux derniers gardes en train de se masturber une cible de choix en son visage avant de tirer sur la laisse et de la faire sortir.
« Alors, on se sent plus calme et plus humble, petite princesse ? Est-ce que la petute Aloysia a décidé à obéir maintenant ? »
Ce fut à son tour de lui cracher au visage avant de faire le tour du propriétaire avec son esclave en laisse, couverte de foutre, et toujours aussi nue. Et vu la force avec laquelle certains avaient dû la besogner, marcher devait être assez douloureux, non ? Enfin, il parvint devant ses appartements. Une simple cellule de pierre froide avec de fers qui pendaient du plafond. Ils touchaient presque le sol, mais il ne fallait pas s’y fier. Lui tenant les poignets d’une main de fer, il lui emprisonna les poignets dans des anneaux reliés aux chaines et il fit monter la jeune femme à l’aie d’une manivelle jusqu’à ce qu’elle soit à une vingtaine de centimètres du sol.
« Alors, j’imagine que tu as gouté à ce qui te couvre. Tu apprécies j’espère, car tu y retournes demain ! »
Il se plaça là, devant elle, la regardant ainsi en l’air, pendue par les poignets, en l’état.