A présent, elle ne pouvait plus faire demi-tour. Non pas qu'elle ai franchit l'interdit, c'est à présent son corps qui le lui interdisait de refuser cette acte d'amour. Bien qu'elle commençait tout juste à caresser le corps de sa grande sœur, cette dernière lui dit quelques mots qui, logiquement, ne devait pas faire plaisir. Mais au vue de la situation, elle appréciait ses mots, elle les trouvait même doux dans ses oreilles. Était-ce normale? Était-elle devenue une véritable folle, une perverse? Une trainée comme le disait si bien Chikako? Elle disait vrai, elles étaient des trainées si ce n'est pas pire mais elle refusait de croire à autre chose. Si sa sœur le lui avait dit, c'est qu'elle disait vrai. Elle le pensait, elle n'avait penser qu'à ça toute cette soirée donc, la vérité venait d'éclaté. Elle l'avouait intérieurement, cela aurait peut-être mit plus de piquant à la situation de l'affirmer mais elle n'en avait pas le courage. Ou plutôt pas la force au vue des sensations qu'elle ressentait grâce à Chikako.
Savourant chaque baiser qui se rapprochait dangereusement de l'interdit, Haruna n'osait dire quelques mots hormis quelques léger gémissements. Vu son excitation pour de simple baiser sur son corps, la suite risquait d'être plus bruyante! Les douces lèvres de sa grande sœur avait cesser de l'embrasser arrivée près de son intimité ou quelques poils se battait en duel. Non pas qu'elle se rasait cette zone, juste qu'elle avait le chance ne pas en avoir beaucoup. Relevant doucement la tête pour en savoir la raison de cet arrêt. La suite fut arrivée bien plus vite qu'elle ne l'aurait cru. Ses lèvres étaient coller aux siennes qui mouillait rapidement d'excitation. Bien qu'elle tentât de faire taire ses gémissements, elle du laisser place finalement à ses sons mélodieux qu'elle ne pouvait contenir. Ses gémissements de plus en plus fort prouvait à quels point elle adorait ça, de plus, c'était avec la personne de ses rêves, que demander de plus? Serrant les draps avec ses mains, elle allait jusqu'à ce demander si cela était un rêve? En pleine action, Chikako pouvait entendre certains mot sortir entre deux gémissements, « continue », « t'arrête pas » et bien d'autre. Il pouvait y avoir autre chose, mais elle n'était pas encore assez en extase pour laisser sa vrai personnalité au grand jour, c'était déjà un exploit qu'elle pouvait sortir ça devant.
Bien qu'elle sentait qu'elle allait bientôt arrivée à la fin de ce doux rêve, sa grande sœur avait cesser toute activité. Elle lui demandait si elle pourrait lui faire atteindre le même niveau de plaisir? C'est vrai qu'elle était sa poupée ce soir, mais rien ne l'empêchait aussi de faire prendre son pied à sa grande sœur? Bien que sa respiration était un peu plus rapide, elle acquiesça d'un signe de la tête. Bien qu'elle mouillait toujours autant, elle pourra se calmer un peu même si elle risquait d'être encore chaude, voir peut-être encore plus? S'asseyant sur le lit sans même remonter son bas de pyjama ou sa culotte – ni même reboutonner sa chemisette – elle observa Chikako en souriant, un sourire presque innocent.
« Je ferais tout ce que tu veux Chikako... »
S'approchant de sa sœur, elle plaçait ses mains sur ses épaules pour la forcer à s'allonger, quitte à se qu'elle prenne sa place. Avant de reproduire la même chose que ce qu'Haruna venait de subir, elle devait en profiter pour faire certaines choses qu'elle voulait toujours faire, et comme ce soir n'est pas un soir ordinaire. Sa bouche se colla sur la poitrine de Chikako, bien que cette dernière avait toujours son maillot sur elle, elle fit comme si elle était à nue. Donnant des coups de langues sur la partie la plus sensible, elle sentait que son téton devenait rapidement plus dur ce qui la faisait sourire bien plus. Elle se tenait sur le lit avec une de ses mains alors que l'autre caressait le ventre qui commençait à prendre quelques formes grâce à l'entrainement. Ne cessant pas de gouter sa poitrine, elle fit une pause tout de même, ne serait-ce que pour se montré un peu plus au grand jour...
« Grande sœur, j'ai toujours rêver de ce moment avec toi... tu... tu pourrais retiré son maillot?... je veux pouvoir le sentir... si... dur dans ma bouche... »
Bien qu'elle se libérait un peu, elle restât quand même gêner de ce qu'elle disait. Mais c'est aussi ce qui faisait son charme.