Prison Break

Une voix monte parmis les rangs de prisonniéres, et toutes se taisent. La voix est autoritaire, tout en etant suave... Les regards se posent alors sur celui qui à prit la paroles en hurlant....

"Bienvenue a Lady's Rock! Prison pour femmes de trés haute securité. Ici, n'imaginez méme pas tenter une fuite, vous seriez soit abattue par nos sniper, ou morte de froids, dans ce désert de glace qui nous entoure a plusieurs kilomètres à la ronde! Je suis le Co - Directeur Vans, et voici mes assistants, Monsieur Kennet, et le Colonel King. Ensemble, nous sommes en charge de cet endroit, et nous sommes les seuls maitres a Bord... Nous recevront celles qui demandes a nous voir, pour les autres, je vous conseil de rester sages, ou les coups de bâtons, voir plus, vous attend."

Le sourire laisse présager de nombreux sévices, et tandis que quelques nouvelles détenues sont amenées vers leurs blocs, les Directeurs montrent du doigts quelques filles des rangs....






[Vous faites partit de celles ci. Libre a toutes demoiselles, sachant que je jouerais les trois Boss. Evidement, attendait vous a de l'abus. Plusieurs personnes peuvent se joindre, je ne demande pas de nombreuse lignes, juste du fun.]

ça me va, je te laisse donc entamer ton entrée en lisse.

[Puis-je me permettre de me joindre aux réjouissances ?]

[Mais certainement, n'ayant pas de nouvelle de Shiru, tu peux méme entammer de suite. Je te laisse donc présenter ta prisonniére ]

n°1

n°2

n°3

[Misa, Death Note - bien entendu.]

Agathe, dans le One Shot. La suite sera dévoilée ci-après. Environ 22ans

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#Mais bordel de bordel, pourquoi ça tombe toujours sur ma gueule...!?[/i]# pestait en son fort intérieur la jeune et jolie Agathe.

Condamnée à cinq ans de prison fermes l'an dernier pour vol aggravé (tout ça parce que son abruti de partenaire n'avait su tenir sa main et avait tiré... Un blessé grave. La cour avait fait d'elle un exemple et jamais elle n'avait donné le nom de ce dit partenaire), elle se retrouvait dans cette nouvelle prison on ne sait trop pourquoi. Sans doute pour la faire participer à une "expérience" comme c'est souvent le cas dans le milieu carcéral.
L'uniforme de la prison qu'on lui avait jeté l'incommodait sérieusement : la jupe s'arrêtant à mi-cuisse lui semblait trop courte, quant au chemisier, bien qu'il soit assez long, avait tendance à garder sa poitrine à l'étroit.

Elle n'avait pas écouté un traître mot du discours d'un des mecs, là-haut, de toutes façons, ils se valent tous, ces discours. Mais c'est alors qu'elle fut trainée devant eux, par les gardes : un des Môssieurs l'avait désigné du doigt.

_Super. glissa-t-elle entre ses dents serrées

On lui fit grimper des escaliers et on l'arrêta sans ménagement devant les trois hommes, l'obligeant à baisser la tête. Le garde qui lui tenait les bras lui faisait affreusement mal, elle se débattait et releva son regard sur l'homme qui était juste en face d'elle, plantant ses yeux dans les prunelles de cet inconnu.

_Qu'est ce que j'ai fais encore !?

Vans eu un sourire, en voyant approcher la blonde, escortée par deux gardes, non pas peur qu'elle puisse échapper a leur vigilance, mais plus pour lui éviter une tentative idiote. Souriant, malgré la remarque de la Prisonnière, Vans consultât alors le Colonel du Regard. Ce dernier connaissait toutes les résidentes, même les plus récentes.

"Agathe, Bloc D. Vol a main armé, cinq ans ferme... Aucunes négociations ne lui a été offert."

Ajouta l'ancien militaire, en regardant la jeune femme arriver devant eux. Vans fit alors le tour de la demoiselle, appréciant ce corps jeune, qui ne demandait qu'a étre découvert. Il regarda ses compères, qui hochèrent tous la tête.

"Amenez la"

Les gardes hochèrent la téte à leurs tours, et tirèrent la jeune femme sans ménagement, la faisant pénétrer dans l'un des bâtiments du complexe. Ils la firent entrer dans la Salle interrogatoire N°9, spécialement aménagé. Le siége central etait équipé de sangles, et trés vite, la blonde se retrouva attachée dessus, les trois directeurs face a elle, les gardes enfin sortit.

"Bien, Agathe... Tu as été choisit, pour une petite réunion spéciale avec nous. Inutile de te mentir plus avant, je te propose donc de faire simple. Tu nous satisfait bien gentillement, et nous réduisont ta peine d'un an. Simple n'est ce pas? Si tu refuse, et bien en ce cas, nous avons toujours moyens d'obtenir ce que nous voulons, et non seulement nous abuserons de toi, mais tu deviendra la petite chienne de tous le personnels de cette Prison."

Admirant son annonce, il sourit.

"Alors? Qu'en dit tu?'"

[Excuse moi, ma connexion merde vraiment >_<]

Voilà que maintenant on la poussait dans une salle, sans rien lui demandait, tandis qu'autour d'elle on en parlait comme d'un morceau de viande. Super.
Le sang dans ses veines ne fit qu'un tour en entendant la proposition de ce... type...

Etre leur petite chienne pour un an de moins ou un sac à foutre pour tout le personnel...? Une chienne, un sac à foutre ? un sac à foutre, une chienne...?

_il semblerait que je n'ai pas vraiment le choix...! ces mots lui coûtaient au point qu'ils lui brûlaient la langue et la gorge, comme un poison qui s'insinuerait en elle... Je... D'accord... répondit-elle simplement, baissant la tête, soumise.

Les trois hommes échangèrent alors un sourire, tandis que le Colonel ferma doucement la porte a clef, tandis que Kennet lui, tiré d'un meuble quelques fioles assez étranges, des substances vertes, ou encore des cachets, drogues, seringues... Le Directeur Vans, quant a lui, approcha de la jeune femme, venant caresser ses cheveux, pour se pencher, venir poser ses lèvres tout contre son oreille, et murmurer avec douceur.

"Tu as fait le bon choix Agathe... Et nous allons même te faciliter la tache."

Il se tourne alors vers Kennet, qui tient dans sa main une seringue remplit de ce liquide vert... Sans attendre, il prend le Bras droit de la demoiselle, et pique, injectant l'ensemble du liquide, pour poser la seringue a peine vidée sur la tablette.

"Nous venons de t'injecter un produit de notre création... Mélage d'endorphines, d'adrénaline, et autres produits... Ce cocktail va produire en toi l'effet d'un volcan, et ton envie va devenir si forte, que tu en réclamera toi méme..."

Ajouta donc le Directeur, qui detacha la jeune femme, tandis que Le Colonel lui, la ceinture deja ouverte, la braguette baissée, venait presenter son boxer deformé devant le visage de la jeune prisionniére.





[Enora, pourrais tu spoiler tes images? Ou alors juste laisser la premiére, pour ne pas trop étendre le Sujet ) )

[EDIT : Justement j'y pensais, et voilà qui est fait !]

A peine avait-elle prononcé ces mots qu'elle le regrettait déjà, ces hommes ne lui disaient vraiment rien qui vaille... Dans son dos, elle entendit que l'on fermait la porte à clefs, tandis qu'un des hommes s'approchait dans son dos... malgré les paroles pseudo rassurantes (mais alors vraiment pseudo) qu'il lui susurra, elle ne put réprimer un frisson et d'effroi, et de dégout. En face d'elle, le troisième homme sortait quantité d'objets d'un petit meuble. Horrifiée, elle esquissa le geste de reculer, mais fut arrêtée par le torse de celui qui se tenait derrière elle.
Sans qu'elle n'eut pu agir de quelque façon que ce soit, la blondinette se retrouva avec une aiguille dans le bras et cette désagréable sensation de forçage lorsqu'on injecte un produit dans votre sang.
Sans plus attendre, l'homme qui lui avait injecté ledit produit - à la couleur, soit dit en passant, vraiment peu engageante - il prit soin de lui expliquer son effet...

# Oh pitié non... #

Pour être rapide, le produit l'était : une vague de chaleur, bouillante, envahissait et engourdissait peu à peu son corps, tandis que son crâne semblait sur le bord de l'implosion. Elle sentait son coeur battre à tout rompre, tentant certainement de répondre aux demandes en sang qu'exigeait tous ces produits mêlés...

Un des hommes s'était posté devant elle, sexe dressé bien que toujours caché dans le boxer...

_Quelle élé... élégance !

Parvint-elle à articuler malgré son crâne en feu...
Maintenant, elle sentait poindre dans ses cuisses ce désir brûlant qui fait ressentir les pulsations du coeur jusque dans le clitoris... C'était pour le moins... intense.

Sans davantage polémiquer, et pour se rendre à l'évidence que ce produit était foutrement efficace - sans mauvais jeu de mots - elle vint apposer sa bouche brûlante directement sur le boxer, happant au travers du tissu même la verge gonflée, la pinçant entre ses lèvres... Les mains depuis un moment déjà libérées, elle fit doucement glisser ce sexe roide hors de son logis et s'appliqua à lui faire honneur : y jetant d'abord des coups de langue de sa base jusqu'au gland, suçotant ce dernier, avant d'enfourner la totalité de cette fierté jusque dans sa gorge avec un petit bruit guttural, du fait du léger étouffement que cette pratique donne toujours...
Tandis qu'elle entamait d'audacieux va-et-vient de sa bouche de braise, elle y joignit une de ses mains, en cadence avec les va-et-vient de ses lèvres, tandis que la deuxième venait caresser le bas-ventre et le torse de l'homme dressé devant elle.

(Les grands esprits hein....)

La drogue, comme toujours, avait fait son office, s'écoulant dans les veines de la jeune femmes, qui ne tarda pas a sentir son corps s'enflammer, sous le sourire du directeur Vans, qui pour le moment, resté derrière elle, la regardant céder a la tentation, tandis que le Colonel lui, soupirait de plaisir, sous les coups de langue de la belle blonde, qui n'avait pas tardé a se jeter sur cette hampe de chaire. Kennet lui, s'installa un peu plus loin, afin de regarder cet echange des plus particuliers, une cigarette entre les lévres.

Le colonel posa alors une main dans les cheveux de la prisonnière, lui serrant quelques mèches, et commença à donner des coups de reins, accentuant les allés et venues entre les lèvres d'Agathe, la regardant dans les yeux. Ils n'étaient qu'au début d'une longue nuit, voir plus... Tant que cette drogue s'ecoulait dans son systéme sanguin, la jeune femme serait une vraie nympho, et ça, ils le savaient tous....

Le Colonel : Hummmm... Mais elle suce divinement bien... Alors Chienne, ou tu veux mon jus, Hum?

Il rit, avant de reprendre ses vas et viens puissants, toujours en la scrutant de ses yeux sombres, alors qu'il sentait peu à peu le plaisir monter. Biensure, les trois hommes avaient reservés des tas de surprise a leurs petite catin... Mais ça, elle le verra bien assez tot.

Agathe avait décidément et complètement perdu pied, comme si son corps eut été de coton, sa volonté avait fondu comme neige au soleil et sa seule obsession désormais était de donner du plaisir à ces trois hommes tout autant que d'en recevoir.
Sa bouche s'appliquait encore davantage, enfonçant jusqu'à la garde cette verge gonflée, jouant de la langue, accélérant puis décélérant, appuyant ou effleurant... Les coups de reins de son homologue lui tirait des "gasp" d'étouffements qui lui tiraient les larmes aux yeux mais elle était loin de se plaindre.
Malgré qu'il lui ait posé une question, elle ne put y répondre, bien élevée : elle ne parlait pas la bouche pleine.

Délaissant pour un temps le torse du jeune homme elle vint caresser sa propre poitrine au travers de chemisier, les seins déjà tendus et ultrasensibilisés par l'injection précédente

Le colonel ne tarda pas a en venir au plaisir, son membre prit de tremblements, laissant aller ses giclées de sperme dans la bouche de la jeune femme, mais il la sortit alors, arrosant allègrement son beau visage de petite sainte, juste pour le plaisir de la souiller, tout en riant. Il se dégagea, mais n'oubliant pas avant d'essuyer sa verge sur le tendre visage de leur prisonnière. Il remontant son tissus, allant prendre place sur le canapé, aux cotés de Kennet, allumant a son tour sa cigarette...

Mais avant que la jeune femme ne puisse comprendre, Vans, derrière elle, la poussa seins contre terre, redressant sa croupe, son membre, précédemment sortie déjà, se glissa entre ses cuisses, juste pour qu'elle sente le contact de cette nouvelle intruse. Les deux autres sortirent alors une petite caméra, commençant a filmer leurs petit jeu, comme toujours, mais cette fois ci était différente, Agathe allait sans aucuns doutes possible, une candidate de choix, et Vans allait immédiatement le prouver, alors que d'un geste brusque, il écarta le pan de son dessous, et que sans plus de préavis, il entra en elle, d'un coup de hanche puissant.

Il prit alors ses cheveux d'une main, et commença les coups de boutoirs, au plus profond de l'intimité de cette chienne docile.

L'habituel annonciateur de jouissance chez l'homme se fit sentir dans la bouche de la jeune prisonnière : un grognement de plus en plus sonore, les mains qui se crispent, les coups qui deviennent plus puissants et la tension de la verge... Comme d'ordinaire, cela ne fut pas en vain : Agathe sentit bientôt le liquide âpre couler dans sa gorge et, loin de tirer la grimace, comme à son habitude dans ses cas là, elle en éprouva un grand plaisir, une immense satisfaction, davantage même lorsqu'elle en sentit l'empreinte sur son visage.
Alors que celui qu'elle avait satisfait s'en allait s'asseoir, rieur, elle se vit basculer en avant, ses seins s'écrasant sur le sol, sa joue souillée de sperme s'y collant de la même. L'homme qui jusqu'alors s'était tenu derrière s'amusa un moment à frotter son sexe déjà prêt contre le tissu de sous-vêtement de la jeune femme mais, ses amis sortant la caméra, il ne se fit pas attendre davantage, écartant d'un geste brusque la culotte, il pénétra le domaine d'Agathe avec force et tracas.

Sentant ces pénétrations houleuses et violentes, elle ne put retenir de petits cris de vague douleur... mais surtout de plaisir... Le dos cambré, cassé en deux même, par la tension que lui faisait subir son dominateur et lui tirant les cheveux en arrière, faisait taper et frotter cette verge avec délice contre les bords intimes de la jeune femme

_Ha ! Ha ! J'vous en prie, continuez !

Elle haletait, crispait ses ongles sur le sol, le griffant même.

Vans regardait sa nouvelle chienne, avec un immense sourire, alors que ses coups de reins ne cessaient de s'intensifier de plus en plus. Il posa sa main libre sur sa hanche, donnant plus d'impact à ses pénétrations, tandis que les deux compères, s'étaient levé, l'un se plaçant a droite de la jeune femme, l'autre en face, tenant d'une main la caméra, l'approchant d'Agathe, afin que l'objectif ne manque pas de voir son visage déformé de plaisir, tandis que Kennet, qui etait resté en retrait depuis le départ, s'avança, présentant sur le coté de son visage, son membre qui pointé en sa direction.

La nuit promettait d'être trés longue, mais déjà, la porte s'ouvrit, laissant passer les premiers invités surprises... Deux jeune femme du bloc A, qui étaient déjà depuis longtemps des habituées a ce genre de pratiques là.
La première, Erika vient se glisser tant bien que mal sous Agathe, son visage se trouvant sous ses seins qui ballotent, tandis que Sylvia, elle, s'accroupit devant le colonel, toujours en train de réaliser son porno amateur, et prit son membre entre les lévres.


Erika :



Sylvia :

Sans trop réaliser comment, pourquoi, quand ni quoi que ce soit, Agathe vit poindre entre ses seins le visage d'une jeune femme. Afin de ne pas l'étouffer sous sa poitrine, elle prit la peine - et ce malgré les assauts brutaux et fermes mais si bons de celui qui la labourait - de se maintenir non seulement sur les genoux mais aussi sur les mains, de sorte que la nouvelle venue ait plus de place.
De la même façon, une jeune fille se mit à arpenter le sexe du camméraman de sa bouche et de sa langue. On poussait une troisième verge dans la direction de la bouche de la pauvrette et elle ne se fit pas prier, l'enfournant goulûment dans son gosier, hurlant plus fort sa jouissance, malgré cette virilité dans sa bouche. Entre deux allers et venues de sa bouche sur cette superbe fierté, elle réussissait à articuler des encouragements à ses deux bourreaux délicieux et même à en demander plus.

Réussissant à se maintenir sur une seule main, elle fit glisser celle qu'elle avait ainsi libéré vers l'intimité de la jeune femme sous elle...