Nom : Vivios
Prénom : Miryade
Age : 23 ans
Sexe : Femelle
Race : Humaine
Orientation sexuelle : Aucune, de plus, je ne supporte pas qu'un homme me touche.
Description physique : Je mesure près d'un mètre soixante-dix pour un poids de soixante kilos. Ma peau est de couleur blanche et l'on peut voir sur cette dernière un nombre incalculable de cicatrices qui ne m'ont malheureusement pas toutes été infligé dans des combats. Mes cheveux sont d'un noir profond et coupés mis-longs, ces derniers sont souvent attachés pour pas me gêner quand je combats. Mes jambes et mes bras sont finement musclés et pour cause, presque la moitié de ma vie a été dédiée aux combats. Ma poitrine semble avoir des proportions parfaites comme mon fessier car j'ai pu remarquer que ces deux derniers attiraient les hommes comme une merde attire les mouches. Mon visage est fin et bien dessiné, il semblerait que chez moi, la nature se soit particulièrement penché sur cela et il semblerait que même la pire ordure ne veuille me l'abimer pour me faire souffrir. Au milieu de mon visage trône donc un nez fin, des lèvres que les hommes adorent embrasser sans mon consentement et des yeux bleus gris qui malgré tout garde leurs éclats. Au niveau vestimentaire, je porte de tout, même si ma tenue habituelle est un mélange de pièces de tissu et de cuir raccommodé un nombre incalculable de fois, par-dessus laquelle je porte une grande cape avec capuche. Sinon, je suis toujours armé, deux épées courtes, un arc court avec un carquois contenant une vingtaine de flèche, une demi-douzaine de dagues, tel est mon équipement habituel.
Caractère : J'ai toujours été solitaire, depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours cherché à éviter le contact humain, Je n'avais pas de véritable raison à cela. Je n'étais pas timide, je n'avais pas de problème physique qui aurait pus justifier ce tempérament. Je n'aimais pas me retrouver entouré par des gens. Ce tempérant, déjà bien encré dans ma personnalité, se renforça pendant ma captivité. Les humiliations et tortures que je dus subir finirent même par me faire haïr les hommes, aux points même que maintenant, je ne peux supporter que l'un me touche. Cependant, ces tortures, au lieu de me briser, me donnèrent un caractère fort et une volonté à toute épreuve. N'attendait donc pas de moi que je sois une femme docile, mon esprit est rebelle et il est très rare de me voir me plier à l'autorité de quelqu'un. Pour le reste, je suis quelqu'un qui aide toujours une personne qui me semble être soumise par la force à une autre, surtout si cette dernière est une fille. Je suis donc profondément contre l'esclavage, mettant par la même attirait un nombre incalculable de problèmes au point même qu'une prime fut mise pour ma capture.
Histoire : Je suis née il y a un peu plus d'une vingtaine d'année parmi une compagnie de mercenaire se faisant appelé les bouchers sanglants. Nom pas très recherché mais au combien évocateur de ce que savait faire ses membres, à savoir, répandre le sang. Ma mère et mon père étaient des membres de cette dite compagnie et c'est donc aux milieux de cette dernière que je fus élevée. Autant dire que mon enfance ne fus pas facile, j'étais la seule enfant du groupe et aux milieux d'hommes et de femmes qui ne pensent qu'à combattre, je n'avais pas ma place. D'ailleurs aucune gamine ne pouvait être à sa place, cependant, je m'épanouis assez vite parmi ce groupe de rustres qui firent quand même de moi la guerrière d'exception que je suis aujourd'hui. Pour cause, dès que je sus marcher, on me mit une épée en bois dans les mains, avec une enfance dédié aux combats, je ne pouvais devenir qu'une bonne guerrière, surtout qu'il semblait que j'avais cela dans le sang. C'est pour cela que dès mon dixième anniversaire, je participais à ma première bataille en couvrant mes parents grâce à des flèches que je tirais d'un arc que j'arrivais à peine à tendre. Après cette première bataille, beaucoup d'autres suivirent et je finis par me faire une place parmi ceux qui m'avaient élevé. A quinze ans, j'étais au beau milieu de la bataille et je n'étais pas en reste quand il s'agissait de compter les ennemis que l'on avait tués ou combien de compagnons on avait sauvés de justesse. J'étais donc une fille guerrière et j'aimai cela, surtout que notre groupe sortait toujours victorieux lors des affrontements et que je n'avais donc jamais connu la défaite.
C'est lors de ma dix-neuvième années que je connus la défaite et j'avoue que j'aurais préféré ne jamais la connaitre car pour moi, elle fut plus qu'une bataille perdue. Je m'explique, alors que nous voyageons de ville en ville et de pays en pays, un émissaire d'un noble de la région vient nous trouver, nous annonçant que son seigneur nous invitait à camper près de son château car il souhaitait faire appel à nos services. Bien sûr, nous nous rendîmes tous sur les terres entourant sa demeure et pendant que ce dit seigneur recevait notre chef, nous montions le campement en attendant avec une certaine impatience notre prochaine mission. C'est pendant la nuit que nous fumes attaqué plus ou moins par surprise par les gardes, que dis-je l'armé de ce seigneur. Alors que nous dormions presque tous d'un sommeil mérité, un de nos éclaireurs, qui ne pouvais pas s'empêcher de monter la garde quand normalement nous ne risquions rien, criât que l'on nous attaquait et je crois que sans lui, nous nous serions même pas aperçue de l'attaque avant de se prendre une épée dans le cœur. C'est donc précipitamment et dans le chaos le plus total que nous bâtîmes. Malheureusement, nous avions beau être des combattants de talents, nous nous fîmes massacrer et à l'aube, j'étais la seule survivante du massacre et me retrouvait enchaîné dans les oubliettes du château. Pourquoi j'étais vivante, tout simplement car le seigneur des lieux en décida ainsi au moment où je fus vaincu, au lieu de me faire tuer comme les autres, il me voulut pour lui à cause de ma grande beauté. Je ne vous raconterais pas tout ce qui me fut imposé pendant cette période, sachez juste que je fus l'esclave sexuel de tout le château et que je pus gouter à toutes les tortures et humiliations que peut subir une femme. Pour le reste, j'appris pendant cette période que le seigneur nous avait attaqué car dix ans plus tôt, nous l'avions empêché d'annexer son voisin à son territoire. J'appris aussi à lire et à écrire car mon maître me voulait un minimum instruite. Cette période de captivité dura donc pendant les deux années que je mis pour enfin m'enfuir avec succès car pendant ces deux années, je n'avais pas perdu ma volonté d'être libre.
Après ma fuite du château, je mis les voiles le plus loin possible pour me reconstruire et me trouvait un avenir, ce qui, au passage, me pris plus d'une année où je me fis voleuse pour pouvoir assurer ma survie. C'est donc au bout d'une année et tout à fait par hasard que je me trouvais un but. Alors que je dévalisais une énième habitations, je tombais sur une esclave qui soignait tant bien que mal les blessures que venait de lui faire son maitre après l'avoir prise. A cette vue, mon sang ne fit qu'un tour et au lieu de me contentait de piller la maison, je tuais le propriétaire et libérait son esclave, à qui je laissais toutes les possessions de son ancien maître histoire qu'elle ne soit pas dans le besoin. Après cet évènement, l'envie de sauver toutes les filles qui subissaient ceux qui m'avaient été fait se fit de plus en plus forte au point que cela devient ma raison de vivre. C'est pour cela qu'une année plus tard, mon visage était connu et que beaucoup d'esclavagistes, craignant pour leurs vies, mettaient une prime sur ma tête. Voilà pourquoi maintenant je me cache encore plus du monde, cependant, je suis toujours active et ma vengeance ne fait que commencer car je compte combattre et tuer jusqu'à mon dernier souffle et malheur à vous si vous êtes un de mes ennemis.
Situation de départ : J'ai pus connaitre l'étreinte masculine pendant près de deux ans, alors non je ne suis plus vierge. D'ailleurs, je remercie la nature de m'avoir fait stérile car sinon, je suis sûre que j'aurais eu un enfant.
Autres : Mis à part un talent défiant l'imagination dans le maniement de l'arc, l'épée courte, le lancé de dagues et une volonté inébranlable, je n'ai rien de particulier.
A si, une prime de deux mille pièces d'or pour ma capture a été lancée par des esclavagistes.
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