Une chose est sûr je ne m’attendais pas à tant d’entrain de la part de Lisbeth, et je dois aussi l’avouer, à tant de talent. Sans hésiter elle vient engloutir mon sexe avec sa bouche, le laissant à l’intérieur pendant un moment, alors qu’elle me regarde dans les yeux. Mon membre commence vite à se durcir dans cette étroite cavité buccale, alors qu’elle commence à faire aller et venir ses lèvres dessus. Sa langue m’arrache des gémissements de plaisir alors qu’elle danse autour de mon sexe, puis au bout d’un moment elle le retire de sa bouche. Mon phallus est maintenant parfaitement dressé, alors que sa langue passe sur toute la longueur. Bon dieu ce qu’elle est douée, je prends appui d’une main contre le mur pour me stabiliser, je dois avouer qu’elle suce admirablement et qu’à ce train là elle me fait légèrement vaciller. Elle s’attaque maintenant à mes bourses, elle les lèches, les gobes, les suce, avant de revenir prendre en bouche mon sexe, et d’entamer une série de gorge profonde, qui m’arrache un long soupir de plaisir à chaque fois que mon gland tape au fond de sa gorge.
Ensuite, comme je lui ai demandé, elle retire mon membre de sa bouche puis se redresse, pour m’offrir sa sublime poitrine. Elle emprisonne mon sexe enduit de sa salive entre ses seins, et commence à le masturber entre. Alors que je sens mon gourdin coulisser entre ses globes de chaire doux et chauds, mon gland qui ressort à chaque descente de son buste, a droit à l’attention de sa langue, alors que le regard d’Elisabeth ne cesse de me fixer. Et là elle me redemande comment elle peut m’appeler, alors qu’en tant normal je l’aurai encore rembarrer, je dois avouer que sous de telles attention, je n’en n'ai plus l’envie.
Franz…
Je la fixe avec désir, je dois avouer que cette situation est rare, normalement les femmes sont contraintes de me faire ce genre de chose, c’est quelque peu nouveau pour moi d’en voir une le faire avec envie, c’est vraiment autre chose. Après les divines caresses de ses seins, elle retire son buste pour revenir prendre en bouche ma verge, la grosseur est loin de lui faire peur, et elle reprendre mouvements de vas et viens, qui se transforme bien vite en gorge profonde. Elle l’engloutit jusqu’à en avoir la respiration coupée, et le pire c’est qu’elle à l’air d’aimer ça. Elle vient prendre ma main gauche pour la pauser sur sa nuque, et après un regard échangé je comprends qu’elle veut que j’intensifie ses gorges profondes. Je suis totalement déstabilisé, mais cela me permettra de reprendre le contrôle d’une situation, qui était entrain de m’échapper.
Ca se voit que t’aime engloutir de grosses queues ma belle… Tu vas être servit…
Je commence à tirer sur sa nuque pour accompagner ses mouvements, mon sexe complètement engloutit dans sa petite bouche, et mon gland bien au fond, coupant sa respiration quelques secondes. Puis je relâche la pression de ma main pour faire ressortir mon membre de sa bouche, un épais filet de bave le reliant à ses lèvres. Je lui laisse quelques secondes pour reprendre son souffle avant de recommencer, mon membre frottant contre son palet, sa langue, jusqu’à être engloutit par cette cavité buccale. Je le laisse de plus en plus longtemps dans sa bouche, et quand je le retire, je lui laisse de moins en moins de temps pour respirer. J’accentue le rythme progressivement, enchainant les gorges profondes à un rythme infernal.
Rha…HMM… C’est tellement bon de baiser ta petite bouche !
Après une dernière gorge profonde plus longue, je m’écarte et entraine Lisbeth à 4 pattes, dos à moi, pour qu’elle m’offre sa croupe.
HMM ! Petite salope, t’as bien mérité que je te baise comme tu le mérite.
Je pose ma main sur sa fesse gauche, que j’empoigne fermement, puis de ma main libre, je prends la base de ma grosse verge, pour venir passer mon gland enduit de sa salive le long de sa fente. D’un puissant coup de reins je la pénètre à nouveau, puis repose main sur sa fesse droite, pour commencer à la prendre sauvagement en levrette dans cette ruelle. Mon phallus écarte ses parois de toute sa grosseur, jusqu’à ce que mon gland vienne taper au fond de son vagin. Mes allers et venus s’enchainent à un rythme effréné, mes bourses venant taper contre ses lèvres intimes.
Pour une fois, mon plan de départ n’a pas du tout fonctionné, mais je dois avouer que ce qui est entrain de se passer est loin de me déplaire.