Cette petite fille de riche, avec ses airs supérieurs, est au fond une réelle petite garce. Elle prenait tellement son pied sous les pénétrations de mon gros membre, qu’elle se résous à prendre en bouche la verge du conducteur de taxi, dont c’est vraiment le jour de chance. Le vieux n’en croit pas ses yeux, ça doit faire bien longtemps qu’une femme ne s’est pas occupé de lui, et sans doute jamais aussi belle que Lisbeth. J’ai un large sourire pervers en voyant le conducteur agripper les cheveux de la jeune femme pour la forcer à engloutir entièrement sa queue puante, alors que de son autre main, il recommence à malmener ses seins avec vigueur. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle semble prendre son pied, le vieux commence à déposer des claques sur ses fesses, et ce sont des gémissements de plaisir qu’elle dégage.
Cette petite à un gros potentiel… Je vais devoir encore un peu la tester, mais il y a de grandes chances, qu’au-delà d’en faire une victime, je la prenne sous mon aile.
Le vieux vient plaquer la tête d’Elisabeth contre ses jambes pour la forcer à lui faire une gorge profonde, et au lieu de relâcher la pression de sa main, il commence à faire un mouvement de bassin, pour faire aller et venir sa queue au fond de sa gorge. Quant à moi, je ne reste pas longtemps inactif devant les gémissements de plaisir de cette petite chienne, d’un coup puissant de bassin, ma grosse verge vient écarter ses parois, pour commencer des vas et viens endiablés. Et comme si ça ne suffisait, je viens passer deux de mes gros doigts sur son anus, le massant d’abord, puis je les fais rentrer à l’intérieur avec des vas et viens vifs, pour écarter ses parois anales et les dilater peu à peu.
Au bout de quelques minutes, le vieux gémit de plus en plus, il ne doit pas être habitué à un tel traitement. Il stoppe ses mouvements de bassin, et agrippe à nouveau les cheveux de Lisbeth, pour s’assurer qu’elle ne puisse se retirer, et se laisser jouir en criant de plaisir.
Conducteur : Mmmmh ! Petite putain ! Je vais remplir ta bouche !
Apparemment ce doit faire un moment qu’il n’a pas gouté au plaisir de la chaire, tant son éjaculation est importante pour un humain. Je vois les joues de la jeune femme se gonfler au fur et à mesure que sa bouche se remplit de sperme, et il commence à couler à la commissure de ses lèvres.
En voyant le vieux se lâcher dans la bouche d’Elisabeth, je stoppe mes allers et venus qui ramonait son vagin, et je retire à nouveau à mon membre, lui faisant comprendre que tant qu’elle ne fera pas ce que je vais lui ordonner, je ne reviendrai pas. Par contre pour continuer de l’exciter, deux de mes gros doigts continuent d’aller et venir dans son petit trou étroit, puis un troisième vient se joindre à la danse.
Franz : Allez ma belle Elisabeth… Avales donc tout ce que t’offre ce charmant Monsieur.
Tout était dans l’ironie, je prenais un vocabulaire doux, pour lui demander de faire quelque chose d’horrible. J’attends qu’elle s’exécute, fixant sa gorge gonflée par chaque goulée.
Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...
Bien sûr je n’en avais pas finit avec elle, et je comptais bien la laisser se faire humilier par vieux plouc de conducteur.
Conducteur : T’as entendu petite chienne ?! Alors lèches moi, qu’elle redevienne toute dure !
Il parle bien sur de son membre, et comme pour la motiver d’avantage, il recommence à déposer des claques sur ses fesses, qui rougissent sous les coups. Quant à moi, je ne recommence pas à la prendre en levrette, j’ai une bien meilleur idée, pendant qu’elle lèche la verge poisseuse du vieil homme, je continue de pilonner son anus avec mes doigts, de 3 ils passent à 4, et son orifice commence à être considérablement élargit.
Sous les coups de langues experts d’Elisabeth, le conducteur ne met pas longtemps à retrouver une érection, alors je retire mes doigts de son antre, et j’attire la jeune femme contre moi, pour murmurer à son oreille.
Franz : Je sens que ça te plait d’être abusée comme une vulgaire trainée… Avec moi tu vas être servie…
Je la fais tourner pour que son visage soit face au mien, et en d’autres circonstances je lui aurais volé un baiser, mais autour de ses lèvres coulaient encore le foutre du vieil homme. Mes grosses mains viennent prendre possession de sa croupe, et je soulève Lisbeth contre moi. Je la regarde avec un air pervers, alors que je laisse mon dos reposer sur la porte arrière du taxi. Je commence à la faire descendre sur ma grosse verge, son vagin trempé s’empale sauvagement dessus, et je commence des coups de reins puissants, écartant ses parois avec force à chaque passage, jusqu’à ce que mon gland aille butter tout au fond.
MHMM ! Ma petite chienne ! Allez toi la bas, tu as un orifice qui t’attend pour le paiement du reste de la course !
Ma petite chienne ? Je commencerai presque à m’attacher ?... Alors que je continue de labourer son sexe avec des coups de bassins vifs et puissants, je resserre d’avantage mes mains sur ses petites fesses, pour mieux élargir son anus, et le présenter au vieux conducteur qui ne semblait attendre que ça.