Je souris légèrement à la remarque de Nina, qui me demandait de m’occuper d’elle, suivit d’un baiser fougueux et très excitant. Répondant à son baiser, et commençant à faire bouger mon bassin comme je pouvais, je continuai à faire aller mes mains sur sa poitrine, la droite ayant rejoint sa comparse sur la poitrine de l’hermaphrodite lorsque celle-ci l’avait chassée du corps de Lili pour avoir plus de liberté de mouvement.
Ne t’inquiète pas, beauté, je n’ai pas de mal à satisfaire deux femmes. Quoique je vais te laisser celle-ci pour me concentrer sur le beau petit corps que j’ai en face de moi…
Mon sourire s’élargit alors lorsque Nina décida de passer de la bouche au sexe… L’image mentale que j’avais m’amusait un peu je devais dire. J’espérais seulement pouvoir sortir de cet endroit sans bleus sur les jambes à cause des deux femmes qui allaient ‘’bondir’’ sur moi… Quoique les deux jeunes femmes aient l’air de peser environ une centaine de livres, à deux, je ne devrais donc pas avoir trop de problèmes. Malgré le dos de Lili plaquée contre mes deux mains, je pouvais quand même faire jouer mes mains contre le buste de la blonde, mais sans aucune liberté, ni de mouvement, ni de pression.
Hé, l’ami, j’espère que tu ne te sens pas trop isolé? Je t’offrirais bien un peu de place, mais je ne fais pas joujou avec les garçons, tu m’en veux pas hein?
Dans un petit rire, je repris mes coups de bassin, le faisant avec autant d’intensité que le peu de liberté que je possédais sur mon corps me le permettait. Soudain, après quelques minutes de cette position, je décidai de changer de destinataire pour mes caresses. Libérant mes mains d’entre les deux corps bouillant des femmes que j’avais sur moi, l’une par-dessus l’autre, je les glissai sur l’estomac de notre hôte de la soirée, avant de les faire remonter le long du corps, caressant désormais les seins, pinçant par certaines occasions ses mamelons percés.
Pendant mes petites caresses à la brunette, j’embrassai mon autre partenaire dans le creux du cou. Puis, alors qu’elle penchait la tête par en arrière, je déposai un baiser fougueux sur ses lèvres, mélangeant ma langue et ma salive avec la sienne.
Tout ça s’était bien beau, s’amuser avec quelque nymphomane, mais je devais rentrer au manoir sous peu, je devais mener une expédition d’esclavagisme dans des contrées reculés des landes dévastées, alors, une fois l’éjaculation passée, je devrai quitter cette orgie.
Quelques minutes de gémissements, de caresses et d’embrassades plus tard, je sentais que ça arrivait, je sentais le sperme parcourir le long de ma verge, affluant avec force vers le gland, dans l’espoir de pouvoir faire la seule chose que c’était programmé pour; donner la vie. Enfin, ça ne m’étais jamais arrivé, et j’espérais sincèrement que ça n’arriverais jamais. Dans une lourde plainte, je ne pus retenir un
Oh bon sang!
Juste avant que je n’atteigne l’éjaculation, j’ignore encore pourquoi, mon barreau de chair glissa hors de l’antre de Nina, répandant sa semence sur les cuisses des deux femmes, en plus d’un peu sur le scrotum de ma partenaire directe. Mes bras passèrent autour des deux paires de cuisses, je les soulevai afin de pouvoir me libérer de mon emplacement. Soupirant d’aise, je me relevai, cherchant des yeux mes vêtements des yeux.
Merci, mademoiselle Ivanes, pour la soirée, je vais cependant vous quitter. Ce fût plaisant, mais je n’ai rien d’autres à faire. Nina, j’ai bien aimé notre petit… partenariat, si on appelle ça ainsi, on pourrait reprendre ça... L’ami, je te laisse en bonne compagnie!
Rattrapant mes vêtements, je me rhabillai en vitesse avant de prendre un fruit sur le comptoir et de filer, après avoir salué d’un modeste signe de tête les participants de l’orgie, dans la nuit fraîche.