Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le loup est dans la bergerie

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Érogène Jones

Humain(e)

Le loup est dans la bergerie

jeudi 21 janvier 2010, 14:29:54

Nom/Prénom/Surnom : Érogène Jones

Age : 24 ans

Sexe : Mâle

Race : Humain

Orientation sexuelle: Straight

Si ça choque personne, je préfère commencer par l'histoire. Au début, promis juré, j'étais partit pour faire dans le court, concis et sans floritures... bon, Mea Culpa, c'est pas comme ça que ça a tourné. Vous trouverez des flagelles dans dans la corbeille au fond T-T.

Histoire : A l'age de 16 ans, celui qui allait devenir Érogène Jones était un Lycéen tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Une famille, une copine, une place dans le conseil des élèves et dans le cœur de la plupart des enseignants. Un jeune homme plein de vie, avec un sourire franc et une multitude de problèmes insignifiants qui font le charme de l'adolescence. Tout cela changea dans un bar bondé de Chiba, lorsqu'il fut abordé par la ravissante Effy.

Effy avait un job très spécial. Elle travaillait pour le zaibatsu Hosaka, une multinationale à la puissance colossale dont la sphère d'influence allait jusque dans la Diète. D'après elle, Hosaka était un conglomérat d'argent tellement gigantesque qu'il en était venu à penser par lui même ; une sorte d'entité à part entière, guidée uniquement par une faim d'argent insatiable. Chaque salarié n'était qu'une infime cellule du grand organisme, avec sa propre fonction et toujours remplaçable. Après quelques verres, elle lui avoua que sa fonction à elle était de mettre de l'huile dans les rouages secrets du zaibatsu, de servir d'enzyme pour des interactions clandestines loin au delà de sa ligne officielle... et parfois même de la légalité. Avec un sourire complice, elle lui dit qu'elle était à Chiba pour négocier l'enlèvement d'un chercheur de renom, une grosse pointure de l'industrie biotech. Et tandis que les yeux du jeune homme lorgnaient discrètement son décolleté, elle en arriva à sa proposition : son attaché logistique avait besoin d'un « stagiaire » pour demain, quelqu'un qui devrait récupérer une antenne médicale mobile destinée à retirer tous les traceurs et autres gadgets probablement implantés dans le corps de la cible. Et, elle en était sure, il ferait parfaitement l'affaire. Son numéro était sans failles, et il avait bu chacune de ses paroles comme du petit lait. Il se rendit sans même avoir livré bataille, et fut récompensé par un sourire radieux. Pour des raison de sécurité, elle l'appellerait Jones, expliqua-t-elle. Enchantée et bienvenu à bord.

D'une façon étrangement naturelle, une seconde mission succéda à la première. Puis une autre. Un paquet à aller chercher Jones, un homme en blazer, il te demandera un reçut. Tu te met en planque devant la boutique, Jones, et tu appelle dès qu'il sort, ne me déçoit pas. Toujours plus dangereux, toujours plus exitant. Ayant mit son ancienne vie de côté (temporairement, il en était persuadé), il s'investit à fond et les boulots se succédèrent dans un kaléidoscope d'intrigues qui fascinait le néophyte qu'il était. Tu t'en tire très bien Jones, lui dit Effy le maître espion avec un clin d'oeil malicieux. Il y avait toujours un brèche de sécurité à reboucher, une transaction douteuse à effectuer, un détracteur à aller « convaincre »... L'un après l'autre, les chèques tombaient, avec des chiffres toujours plus gros. Sa descente dans les abysses du monde corporatiste était orchestrée avec une telle subtilité qu'il ne se rendait même pas compte de ce qu'il était en train de devenir... Plus tard, il découvrirai que la plupart des taches que lui confiait Effy était montées de toutes pièces, sans autre but que de nourrir son orgueil et son imagination juvénile. Par des réflexions finement ciselées et des obstacles bien placés, Effy brisait tous les doutes ou réserves qu'il pouvait avoir sur sa nouvelle vie de crime avant même qu'il ne puisse les formuler. Tu ira loin, Jones. Crois-moi j'ai l'œil lui disait la belle, l'intelligente, la parfaite Effy. Lorsqu'un soir, sous un ciel étoilé, le jeune homme lui offrit naïvement son cœur, elle répondit dans un rire cristallin : « Idiot! Ce que je veux ce n'est pas ton cœur, Jones. C'est ton âme. ». Le soir même, ils firent l'amour pour la première fois. Jones n'avait jamais été aussi heureux

Puis, un jour, elle décida qu'il était temps qu'il aille à Shikoku.

Dans une école désaffectée en plein centre ville, lui et une poignée d'autres recrues virent défiler une multitude de professeurs, et furent initiés aux arts noirs de l'espionnage industrielle. On leur inculqua les bases du combat rapproché, de la psychologie, de la surveillance, de la manipulation, de la filature, de l'enlèvement, des messages codés et mille et une techniques mortelles aussi secrètes qu'inutiles. Leurs jeunes esprits furent habilement modelés pour en faire de parfaits petits soldats corporatistes, bien obéissants et prêts à tout sacrifier sur l'autel du Dieu Profit. Après sept mois, alors que les autres stagiaires partaient rejoindre leur première affectation et leur (fausse) identité flambant neuve, il dû monter dans une voiture aux vitres fumées dans laquelle l'attendait la voluptueuse Effy, son éternel sourire aux lèvres. Après l'avoir félicité pour ses progrès, elle laissa un silence s'installer pendant qu'ils roulaient vers l'aéroport. Puis, elle se tourna vers lui et attaqua sur un ton badin parfaitement maitrisé.

-Tu te souviens de Bernstein? Le cadre véreux de la branche acquisition?
-Et alors?
-Rappelle-moi comment on s'en est occupé.
-La petite Katia. On l'a introduite dans le personnel de son immeuble, et elle l'a séduit. Ensuite, on a montré à Bernstein des photos d'eux faisant l'amour et on a menacé de les envoyer à sa femme si il ne nous donnait pas les chiffres. Pourquoi?
-La petite Katia, oui. Bien entraînée. Mais... si Bernstein avait été une femme?
-Je ne sais pas. Je suppose qu'on aurait trouvé un autre moyen.

Un ange passa. Il observa le beau visage d'Effy, et cru capter une drôle de lueur dans son regard.

-Et le journaliste de Kyoto?
-Oui, Takayasu. Si c'est ce que tu veux savoir, cette brune du bureau français, Lucille, elle l'avait allumé pour qu'il la suive dans les toilettes. C'est là qu'on a pu le chloroformer et l'emmener jusqu'à la camionnette... Où tu veux en venir, Effy?
-C'est très simple, Jones. Dans ce métier, le sexe est la cause et la solution de la moitié de nos problèmes. Minimum. Moi même, j'ai souvent...
-Et après?
-Et après, beaucoup de nos problèmes sont liés à des femmes. Des femmes souvent hétéros.

Elle le dévisageait d'un air entendu, et il n'était pas sûr qu'il allait aimer la suite.

-C'est pour ça que des filles comme moi prennent la peine d'aller recruter des gars comme toi. Des gueule d'ange avec du charme, de l'aisance... Assez jeune pour leur entrainement...
-Je croyais que mon entrainement était terminé.
-Oh non! Certainement pas. Mais ne t'inquiète pas, Jones, je vais m'occuper de tout.

Et effectivement, elle s'occupa de tout.

***

5 longues années plus tard, dans une suite de luxe parisienne. Érogène Jones regarde la ville par la fenêtre, une chemise ouverte passée sur ses épaules musclées. Le ciel est gris chagrin, et les lampadaires viennent tout juste de s'éteindre, laissant sa lumière morose blanchir les trottoirs mouillés.

Dans son dos, Effy est roulée dans les draps, dormant à poings fermés. Il se retourne lentement, et contemple son corps nu, si ridiculement fragile...

Ça s'est passé dans cette suite, songe-t-il.

Celle là en particulier, avec ses vénérables craquelures, ses aquarelles fadasses qu'il avait apprit à détester. Ses domestiques obséquieux qui refusaient de croiser son regard, et ce lit baldaquin avec ses draps en soie dans lequel il a dormi, fait l'amour avec Effy, avec une autre, ou encore une autre. Avec Effy et une autre en même temps, avant de s'effondrer sur son sein, son regard réprobateur posé sur sa nuque. Elle les appelait « ses filles ». Brunes, blondes, rousses, toutes dévouées et désirables, elles avaient toutes un petit quelque chose à lui apprendre. Il fallait écouter Jones, regarder, Jones, répéter, répéter encore, pourquoi tu n'écoute jamais, Jones?

Il se souvient des leçons interminables, des exercices éreintants, de la douleurs musculaire. Les mains, Jones, une femme peut savoir si tu l'aimes rien qu'à la façon dont tu lui caresse le corps, n'oublie jamais ça...
Les sons, les odeurs. Tout ce latin, ces synthèses médicales sur telle glande, telle terminaison nerveuse, tel repli intime du corps des femmes.
Tu dois tout connaître, Jones, tu dois pouvoir me plaquer contre le mur, là, maintenant, et me faire jouir avec un seul de tes doigts. Vas te rafraichir et on recommence.

Les exercices de maintient, d'élocution. Lecture du langage corporel.
Tu dois savoir ce qu'une femme pense avant même qu'elle ne le pense, aller au devant de ses moindres désirs, Jones. Sentir quand elle se ment à elle même, quand elle te ment en croyant te faire plaisir. Maintenant vient au lit, Clarisse va te montrer... Les fils... Les fils noués en pagaille qu'il devait défaire d'une seule main dans le noir pour exercer l'agilité de ses doigts. De la précision, Jones. Les dix mille manières de faire la cour. Les longs après-midi de travaux pratique, à déambuler dans les rues de Paris. Parfois une femme d'affaire en tailleur, parfois une touriste égarée, parfois une simple parisienne se rendant chez son amant. Parfois jeunes, parfois belles. La hargne et l'amertume dans le regard d'Effy lorsqu'il échouait, la fierté lorsqu'il réussissait. Mon chef d'œuvre, Jones, tu seras mon chef d'œuvre. Tu m'aimes n'est-ce pas? Oui, Effy.

Avec un soupir, il repousse les souvenirs derrière ses paupières et vient s'assoir à côté d'elle. 5 ans. Une éternité.

D'un geste distrait, il fait glisser une mèche de cheveux derrière son oreille, et lui caresse sa joue avec le dos de sa main. L'aime-il? Il n'a jamais osé se poser la question. Pas depuis ce matin ensoleillé où elle l'a regardé partir. Effy, toujours aussi belle. Elle lui a fait un grand signe de la main, et lui a soufflé un baisé taquin au moment ou il entrait dans le taxi, son billet pour Tokyo en poche. La co-directrice d'un zaibatsu rival devait plonger, et il était temps qu'Hosaka profite de son tout nouveau jouet. Le chef d'œuvre d'Effy.

Et son chef d'œuvre il l'était, sans le moindre doute. Érogène Jones, c'est comme ça qu'ils ont finit par l'appeler. Un outil rutilant dans le formidable arsenal d'Hosaka. Une légende du métier, capable séduire une femme sans même parler sa langue, et de la faire jouir sans même y penser. Il sait comment la faire tomber amoureuse, comment la rendre dépendante, comment la briser le plus efficacement possible quand cela sert nos intérêt. Bien monsieur, ce sera fait monsieur. Effy lui en a bourré le crâne jusqu'à la nausée, et cinq ans de terrain lui ont offerts toutes les occasions imaginables de se perfectionner. Cinq ans de femmes détruites, de contrats sabordés et d'enlèvements sélectifs. Sacrifices sur l'autel du Dieu Profit.

Mais maintenant, tout cela est finit. Grâce à Effy. Un sourire passe sur ses lèvres.

-Pas de remords, pas de regrets.

Effy fait la moue et ouvre péniblement les yeux.

-Mmm?

Il se penche et l'embrasse sur le front, un baisé léger comme une plume. Elle sourit et se blottit paresseusement contre lui.

Il ne le sait pas encore, mais elle sera morte avant la fin de la semaine, abattue à bout portant dans une cave sans fenêtres par des tueurs sans visages. Hosaka.

-Petit déjeuner?

Elle lui coule un regard boudeur.

-Mmmm... Tu te rends compte de l'heure qu'il est?

Elle ferme les yeux de toutes ses forces. Il reste là, au dessus d'elle et la contemple en silence.

Souvenir de la veille, début de soirée.

Effy sous le porche, qui tournoie dans sa nouvelle robe en lui demandant comment il la trouve. Une nouvelle robe payée rubis sur ongle, comme sa nouvelle coiffure, ses nouveaux souliers, et son nouveau passeport français « quasiment authentique ». De l'argent propre, tout droit sortit de la valise noire à fermoir doré que leur a remit un petit homme en costume, il y a cela quelques heures. Deux millions d'euros en petite coupure qui sentent bon l'encre fraiche. « Avec les compliment de monsieur Saito », dit le petit homme avant de s'incliner. L'argent d'Hosaka. Rires. Une promenade dans Montmartre. Soleil couchant sur la Seine, puis vient le tintement des coupes de champagnes. La nuit est tombée, et ils dînent en tête à tête dans un restaurant typique dont le nom importe peu. Ils boivent, ils trinquent, ils plaisantent, ils célèbrent leur richesse toute neuve, la réussite de leur dernière -toute dernière- opération. Et un toast pour cette chère docteur Lorbeer! Et un autre pour sa précieuse molécule! Une passe rondement menée dans le dos d'un employeur trop frileux. Effy avait élaboré le plan, et Jones avait séduit la scientifique pour mieux l'attirer hors du cordon de sécurité tissé par ses employeurs paranoïaques. Une fois la cible en lieu sûr, ils avaient envoyé la note aux sbires d'Hosaka. Un prix raisonnable, suffisamment bas pour qu'ils ne jugent pas plus rentable de les éliminer mais assez conséquent pour les tirer du besoin pour le reste de leurs jours. Et naturellement, ils avaient payés, et Lorbeer leur avait été livrée. Elle et ses précieuses données de recherche. La fin glorieuse d'une belle carrière, et une retraite dorée à perte de vue.

Et maintenant Effy est aux anges, et sérieusement éméchée. Elle rie, elle porte des toasts, elle drague le serveur, comme à son habitude... Et Jones l'observe, son verre de bordeaux à la main. Effy, son mentor. Sa partenaire de toujours qui surveille ses arrières avec dix longueurs d'avance. Effy, son ancre, sa seule constante dans une vie sans attaches. Ils marchent dans la rue, et sa main délicate se glisse dans celle de Jones. Elle fredonne une petite chanson dont elle ne connait pas les paroles. La nuit est magnifique, elle monte sur la margelle du pont et hurle à la lune. Il la contemple, hilare. Son amie, son amante, la patronne de son cœur comme elle le dit elle même. Effy la coupable, l'infanticide tueuse de jeunesse, la pourfendeuse d'innocence.

Le bar est bondé, un groupe de touristes russes joue au billard. Elle insiste pour qu'il aille leur apprendre comment on joue quand on s'appelle Érogène Jones. Il s'exécute, tandis qu'elle se fait cajoler par le plus beau d'entre eux. Il ne peut s'empêcher de l'observer du coin de l'œil. Effy, celle qui l'a façonné, ou plutôt qui l'a détruit pour le reconstruire pièce par pièce, qui a fait de lui l'homme, l'outil, le monstre qu'il est aujourd'hui. La seule femme au monde a avoir un ascendant sur lui. La seule qui le voit réellement pour ce qu'il est... Le retour à l'hôtel, qui se fait dans le plus grand chaos. Elle a recruté tous les fêtards pour la grande parade de minuit, et leurs chants alcooliques emplissent la nuit parisienne. Leur nuit. Sa nuit. Effy la succube, la manipulatrice. Elle qui l'a regardé sans broncher se vider de son âme. Qui l'a vu se complaire dans le sexe et la débauche, à la recherche d'une damnation qui ne lui serait jamais accordée. Effy qui l'a suivie dans ses sorties nocturnes, à la recherche d'une âme à conquérir, qui a fait semblant de le croire lorsqu'il les appelait « entrainements », ou « travaux pratiques ». Effy aux mille blasphèmes, qui l'a fait jouer avec l'amour, les sentiments, encore et encore jusqu'à ce qu'ils ne plus que des mimiques de plus dans son arsenal de séducteur... et qui l'a regardé devenir un prédateur obsessionnel au cœur vide, rongé par son propre pouvoir sur les femmes et son besoin impérieux, sans appel, de les faire hurler de plaisir. Effy qui l'aiguillonne habilement, qui l'appelle pour sa prochaine mission. Qui sera dans le van banalisé, le casque sur les oreilles, à lui murmurer des mots encourageant par son oreillette camouflée. Ensemble, ils ont connu dix existences désœuvrées alors que le reste du monde vivait la sienne dans la hâte. Effy son âme sœur, pour le meilleur et pour le pire.

Dans l'ascenseur, elle se jette à son cou. Ivres du parfum de l'autre, ils titubent jusqu'au lit, laissant derrière eux une trainée de vêtements. Sur les draps, elle lui darde un regard de braise, quoiqu'embué par l'alcool.

-On s'en est sortit... On a gagné, Jones. Je veux que tu me fasse l'amour comme un homme libre.

C'est ridicule, et il le savent tous les deux. Libre. Libre d'Hosaka, mais pas libre d'Effy. Jamais.

Il grimpe sur le lit et la possède comme il ne l'a jamais possédée. Une étreinte brûlante, désespérée. Un point final.

Lorsqu'Érogène revient au présent, il réalise qu'elle l'observe depuis un bon moment, sa tête tournée vers lui dans le creux de l'oreiller. Cet éternel regard, fixe, calculateur. Il lui fait un sourire qu'elle ne lui rend pas.

-Tu pars aujourd'hui, n'est-ce pas?

Comme toujours, sa voix est parfaitement maitrisée. Jones soutient son regard.

-Dans une demi-heure, pour être exact.

***

Les adieux se sont passé comme dans un rêve. Un simple au revoir, et une promesse mensongère de rester en contact. Effy à la fenêtre, qui le regarde partir. Déjà, quelque part, quelqu'un a décidé qu'elle en savait trop. L'argent s'est mit à couler, à serpenter par delà les frontière, à lever toutes les barrières sans le moindre effort. Une autre Effy a engagé les tueurs, et un autre Jones a appâté la proie. Rapide, impitoyable. La machine de mort d'Hosaka et ses rouages bien huilés.

Rideau.


Bon, ça, c'est réglé... Maintenant, le bestiau himself :

Description physique : Erogène Jones est un parfait piège à femme, un jeune homme séduisant au delà du raisonnable, une incitation criminelle au péché de luxure, d'envie, de gourmandise... Une classe irrésistible, un visage aux traits expressifs, terriblement harmonieux, une peau de pêche si agréable au toucher, qu'il parvient à toujours placer sous la lumière la plus flatteuse.  Mèche sombre, œil perçant, un regard de braise qui fait à lui seul chavirer le cœur des femmes... De longs doigts fins à l'agilité surnaturelle, et des lèvres délicates, faites pour embrasser, qui s'étirent  parfois en un sourire carnassier lorsque sa proie succombe à ses caresses.

Dans son ancienne profession, avoir un corps attirant relevait du pur bon sens, et sa mise a la retraite n'a pas suffit à briser sa ''discipline opérationnelle'', comme disait Effy. Parmi ses multiples appâts, il peut donc compter sur corps souple et ferme au delà de toute décence, avec une musculature finement ciselée et hautement esthétique qu'il entretient avec une obsession qui frise le ridicule.

Il change souvent d'atours et de parfums, et ses talents d'acteurs lui permettent de se glisser dans toute une panoplie d'attitudes savamment étudiées, qu'il saura choisir selon sa victime du moment.

Caractère : Érogène Jones se voit lui même comme un prédateur sexuel à plein temps, un parfait séducteur qui excelle dans tous les domaines, talentueux, expérimenté, et d'un professionnalisme qui lui a valu une renommée mondiale... et l'a rendu à moitié fou. Où qu'il aille, quoi qu'il fasse, son être tout entier est dirigé vers un seul et unique objectif : Assouvir sa soif de sexe, son besoin de conquérir, de se repaître de la petite lueur au fond des yeux d’une femme lorsqu’elle se laisse aller à l’orgasme... Alors il traque, il arpente, il observe, il choisit sa proie selon son humeur, ses fantaisies, selon ses ouvertures, n'importe quelle femme qu'il jugera assez désirable pour mériter ses caresses. Parfois jeunes, parfois intelligente, parfois innocentes... Il l'observera dans les moindre détails, puis son instinct choisira son angle d'attaque... et ne lui laissera pas la moindre chance. Lorsqu'elle sera tombé dans ses bras, il la fera hurler de plaisir jusqu'à ce qu'elle en oublie son nom, puis l'abandonnera sans se retourner. The EJ way of life, il n'en connait pas d'autre  8)

En résumé, Erogène Jones est un mufle et un pervers sans cœur. Un accroc au sexe à l'ego démesuré qui ne respecte rien ni personne, mais qui reste malgré tout le plus fin séducteur, et le meilleur amant qui soit. Et personne a ce jour n'a réussit à lui échapper. Mouahaha  ::)

Situation de départ : Depuis un an environ, Erogène Jones profite de sa retraite dorée pour voyager, découvrir le monde. Il va de ville en ville, s'installe, prend une chambre d'hôtel et se met en chasse. Il restera jusqu'à ce qu'il juge le risque d'être repéré trop important puis il disparaîtra comme il est venu, laissant derrière lui une multitude de légendes urbaines, de rumeurs que se raconteront les lycéennes en rougissant. Erogène Jones, l'homme aux doigts de fée, l'arpenteur du métro, le prince gigolo, le roi de toutes les soirées orgiaques, de tous les plaisirs interdits... Derrière lui, une multitude de victimes, parfois brisées, souvent trahies, toujours comblées.

Aujourd'hui, il vient d'arriver à Seikusu. Et déjà, le désir commence à monter...

Autres : De par son entrainement très spécial et sa carrière qui ne l'est pas moins, Erogène Jones dispose de ce que l'on pourrait appeler un toucher magique. En quelques caresses bien placées, il peut amener une femme aux frontières de l'extase, ou transformer un viol en plaisir consentit. Cependant, son orgueil de séducteur le pousse à n'utiliser ces petits raccourcit que lorsqu'il est pressé ou à court d'options... Ou peut-être, s'il est d'une humeur généreuse, au paroxysme de l'orgasme d'une proie exceptionnelle pour que des mois plus tard, il lui arrive encore de jouir par moment.   ;D

Comment avez vous connu le forum: Tour de jeu

Chronologie des rps :

-Prologue (Cyanne) terminé
-Une pause. La plage. (Sibylle)
-Rattrapages (Adelheid Friedrich)
-Chasse à cour dans les sous-bois (Marine) terminé
-Une nuit, un bar, une enveloppe (Miya Diablo)
-La maison : Inauguration (Don)
-Une nuit féerique (Selene + Aeris)
-Une rencontre inattendue (Kairi)
-Feu de Joie (Doriane)
« Modifié: jeudi 11 mars 2010, 00:59:55 par Érogène Jones »

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 1 jeudi 21 janvier 2010, 14:47:40

Personnage ô combien interessant !

*Sors sa boite a cigare des grandes occasions*

Dorian Garan, entrepreneur immobilier, en temps que président de l'association des muffles et pervers sans coeur c'est un plaisir de vous acceuillir dans notre chère ville !

*Fais taire l'esclave qu'il avait sur le feu et qu'il a planqué dans le placard d'un coup de pied dans la porte*

Validé, bienvenue sur le Grand jeu ! En esperant que tu y passera un agréable séjour :) j'ai hate de voir ton personnage évoluer en jeu ^^.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Érogène Jones

Humain(e)

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 2 jeudi 21 janvier 2010, 14:53:08

*Tire sur le cigare d'un air satisfait*

Tout l'honneur est pour moi. Erogène Jones, espion corporatiste à la retraite, fais le serment ne point prendre de repos tant qu'il n'aura pas atteint votre vertigineux nombre de victimes ;D.

Miya Diablo

Dieu

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 3 jeudi 21 janvier 2010, 14:53:25

Hu hu, perso très intéressant ^^ Peut être au plaisir de se voir en RP ;)

Shad Hoshisora

Terranide

  • -
  • Messages: 4462


  • FicheChalant

    Description
    A un putain de réseau social.

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 4 jeudi 21 janvier 2010, 15:02:21

Uhuhuh a eu trop la flemme pour tout lire...
Enfin bref ! Personnage fort intéressant et ambitieux avec cela !
Soit le bienvenu !

Érogène Jones

Humain(e)

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 5 jeudi 21 janvier 2010, 15:26:11

Ah, ça... c'est vrai que j'ai fait un gros pâté  ^^". Je peux pas t'en vouloir, mais j'espère que ceux (celles) qui rprons avec moi se donneront la peine d'y jeter un oeil  ;).

Miya => Pourquoi pas, tant que t'en fait pas ton quatre heure. J'aimerai qu'EJ garde ses illusions pendant encore un moment ><.

Darcia

Humain(e)

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 6 jeudi 21 janvier 2010, 15:35:25

Mdr il commence déjà a chasser un vrai prédateur^^ tu t'entendra bien avec Shibiyo toi

J'ai lu ton histoire trés bonne ( bien que le pavé va en decourager plus d'un(e) =p )

Quoi qu'il en soit bienvenu !!

Kenishiro

Avatar

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 7 jeudi 21 janvier 2010, 16:40:48

hello Ero-kun, nous avonc deja fait les présentations, donc je me contente de te souhaiter la bienvenue camrarade. (et non ce n'est pas une faute de frappe, j'ai bien dit camrarade, pour faire gamin xD )

puisse un jour te retrouver dans un rp ^^

Thorfin Njal

Humain(e)

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 8 jeudi 21 janvier 2010, 17:07:53

*Observe Miya Diablo*

Oui .. intéressant... très intéressant huhu



(Bienvenue sir Jones ;))

Selene

Créature

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 9 jeudi 21 janvier 2010, 17:11:17

Aaaaah, enfin un professionnel.

*Fait une petite révérence*

C'est un plaisir.

L'immortalité rend dingue...

Xenom

Créature

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 10 jeudi 21 janvier 2010, 17:38:10

je te souhaite la bienvenue et d'agréable rp ^^

Érogène Jones

Humain(e)

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 11 jeudi 21 janvier 2010, 17:44:53

*A peine Selene a-t-elle finit sa phrase qu'Érogène Jones lui a prit le bras et l'a attirée contre lui. Une main autoritaire passe derrière sa nuque, et l'empêche de se dérober lorsqu'il l'embrasse fougueusement.*

Plaisir? Pas encore, mais vous ne perdez rien pour attendre...

*Il se rappelle soudain où il se trouve, et relâche son étreinte.*

Ah? euh... pardon, déformation professionnelle. Et vous devriez vérifier votre soutient gorge, j'ai les mains baladeuses, parfois. ^^"

[Edit : merci à toi, Xenom!]
« Modifié: jeudi 21 janvier 2010, 18:03:44 par Érogène Jones »

Adelheid Friedrich

Avatar

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 12 jeudi 21 janvier 2010, 18:18:48

Velkommen, Sir (:
{ T h è m e } - { F i c h e }

Mens vinteren er stille hvit og mens våren er golden sollys
Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig




Selene

Créature

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 13 jeudi 21 janvier 2010, 18:23:48

*Met une distance de sécurité entre elle et l'incube*

Impertinent, arrogant et *Se lèche la lèvre supérieure comme un œnologue goute un vin* bon gout. Un cocktail intéressant.

*Passe son pouce sur ses lèvres puis se retire avec un dernier regard espiègle*

« Modifié: jeudi 21 janvier 2010, 18:29:02 par Selene »

L'immortalité rend dingue...

Kira

Créature

Re : Le loup est dans la bergerie

Réponse 14 jeudi 21 janvier 2010, 19:21:08

Très intéressant, un nouveau prédateur... Espérons que tu feras assez de victimes pour assouvir ta perversion, humain.



La brûlure de la glace, la solitude éternelle, le poids de l'immortalité... Un vampire


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