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Quand la Nature appelle | pv Erelim

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Maeilera

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    Reine des Licornes - venue tout droit de Faërie - Maeilera a échappé à la Reine de l'Hiver et tente de se reconstruire - avec sa harde.

Quand la Nature appelle | pv Erelim

mardi 09 décembre 2025, 17:46:53

Depuis son arrivée sur terre, Maeleria avait perdu pas mal de choses : son territoire, des membres de sa harde, sa capacité à offrir sans penser et sa tolérance des autres races. Et, avait également oublié certaines choses, plus ou moins importantes. Et, il se trouvait que cette chose qu’elle avait oublié lui tombait sur la tête comme un œuf de dodo sur le crane d’un canard : étonnement et sans prévenir.

Dans le grand ordre des choses, chaque chose à sa place et chaque place possède un but. Malheureusement pour Maeleria, il se trouve qu’elle avait la place d’une femelle mammifère - même si magique - et que cela lui demandait une forme de reproduction dans le “grand ordre des choses”.

Les chaleurs des licornes ne sont pas matière à rigoler - d’aucuns pourraient penser qu’en tant que créature de pureté, les femelles licornes se montraient douces et affectueuses durant l’acte. Mais rien n’était plus loin de la vérité - si en règle générale les licornes se montraient plutôt sympathiques, lors des chaleurs elles devenaient dominantes, fortes et exigeantes. Les juments magiques cherchaient des reproducteurs puissants, capables de produire des petits survivant à la grande magie qui les habitait et leur faisant honneur.
Le mâle recherché devait être puissant, fort et de préférence agressif durant la période de rute - ils se battraient entre eux, entrechoquant leurs cornes et se mordant avec toute la hargne habituellement réservée aux prédateurs. Quand le vainqueur se dirigerait vers la femelle, ils se battraient à leur tour et il lui faudrait vaincre la tentatrice s’il voulait pouvoir devenir père.

Bref. Tout ça pour dire que les licornes sont théoriquement « pures » et « gentilles » - mais que durant les chaleurs et les ruts, elles deviennent mauvaises. Et, là, non seulement Maeleria se retrouvait dans une situation de « besoin », mais il n’y avait pas un seul mâle à la ronde capable de la satisfaire - ce n’était pas comme si elle allait tenter de séduire les pauvres traumatisés de sa harde ; la plupart étaient encore considérés comme des jeunes. 

Assise sur un banc, dans un parc, son corps couvert d’un fin linge bleuté - une couleur qu’elle portrait souvent - la licorne inspirait profondément pour se tenter de se calmer. Elle ne devait pas foncer sur la première bite venue et surtout ne pas tenter d’enfoncer le crâne d’un mâle juste pour prouver sa force - cela semblait réellement malvenu dans ce nouvel environnement. Se redressant lentement du banc en bois, son corps se dépliant comme un vieux livre craquant, elle fit une grimace - la magie en elle ruait comme un étalon prêt à galoper et si elle ne la laissait pas sortir, elle allait certainement exploser … et pas de plaisir.

Haaa …” entre le gémissement et le soupir, le son qui sortait de sa gorge était entrecoupé de grondements qui n’avaient rien à faire dans la bouche d’un herbivore. Malheureusement pour qui s’y tromperait, la licorne n’avait jamais été de ceux qui mangent de l’herbe…

Dans un sursaut, elle put sentir son corps craquer, assailli de magie, et se transformer. Bientôt, ce n’était plus une humanoïde, mais une centauroide qui se trouvait à sa place. Baissant les yeux, une autre grimace déforma ses traits alors qu’elle croisait ses bras sous sa poitrine, la tenue qui la couvrait s’était déchirée sur le bas sous la transformation.

Levant les yeux, la centaure regarda autour d’elle avant de s’enfoncer dans les bois entourant le parc. Elle ne pouvait pas rester là, elle allait faire une bêtise.

Elle allait trouver un endroit isolé et tenter de surfer sur ses envies comme d’autres le faisaient sur des vagues déchainées. Les chaleurs étaient aussi violentes qu’elles étaient brèves et le lendemain, elle pourrait reprendre sa vie normalement.

Alors qu’elle entrait dans une clairière - un étrange cercle servant de puit à la lumière et uniquement habillé d’un grand rocher ressemblant presque à une table - elle regarda autour d’elle avant de se laisser tomber au sol en frissonnant et grondant entre ses dents.

Il n’y avait qu’à espérer que cela passerait vite - et qu’aucun pauvre mâle esseulé n’allait passer par ici. Elle n’était vraiment pas sûr de pouvoir se retenir, car elle pouvait déjà sentir la brume de l’Envie immiscer ses mains vicieuses dans son esprit.

Mais comme on dit, un malheur ne vient jamais seul. Car alors qu’elle se retenait de toutes ses forces, elle entendit un bruit venir des bois sur sa gauche. Tournant lentement la tête - grinçante presque - elle figea ses yeux bleus sur l’origine du bruit.

Il s’agissait de …


Erelim

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 1 mardi 09 décembre 2025, 18:46:58

La Terre était un endroit où il était difficile de vivre lorsque l’on était un monstre de deux mètres cinquante comme Erelim mais il aimait cet endroit qui lui offrait des femelles de qualité, l’immense ville de Seikusu était un endroit parfait pour trouver de quoi satisfaire sa malédiction même si cela faisait bien longtemps qu’il ne pensait plus à elle, il agissait par pur instinct. Mais contrairement à Terra où diverses races cohabitent, sur Terre où la grande majorité des habitants sont des humains ne croyant pas au monstre, il devait se cacher. Il aurait évidemment pu faire un massacre et imposer sa présence et il l’avait déjà fait le jour où il s’était introduit dans un lycée pour fille, il avait si bien manger ce jour là il s’en souvenait encore malgré son esprit de plus en plus embrumé.

L’ancien chevalier de dieu était désormais un monstre qui survivait en s’offrant des femmes et il n’y avait rien ni personne pouvant l’arrêter, il y avait bien eu des chasseurs mais même les balles perforantes ne faisaient que chatouiller son de bête, même le feu n’avait pas eu raison de lui. La magie avait fait de lui une créature invincible pour le commun des mortels mais pour survivre, les succubes l’avaient maudit en l’obligeant à s’accoupler, lui l’ancien homme de dieu chaste qui n’avaient jamais connu de femme avant que ces démones détruisent une vie dont il n’avait absolument plus aucun souvenir.

Le colosse n’avait qu’assez peu d’endroit pour se cacher lors de la journée, préférant chasser la nuit là où les proies sont plus faciles à attraper, les bois étaient le seul endroit relativement calme même si parfois il s’approchait un peu trop du parc qui en bordait l’entrée. Si c’était pour vivre dans les bois et sortir chasser la nuit tombée, il aurait mieux fait de rester sur Terra mais Seikusu était bien plus dense et l’environnement plein de vice donnait un bien meilleur gout aux pauvres femmes qui devenaient ses victimes, c’étaient rares mais il y en avait certaines qui s’offraient au monstre de plein gré, avide d’expérience extrême, ces folles étaient un véritable délice.

Ce jour là il était donc dans les bois comme à son habitude lorsque son flair détecta qu’une femelle avait pénétrer son territoire, il n’en fallait pas plus pour réveiller la créature. L’odeur était puissante, cela trahissait de sa condition de femelle en chaleur mais ce n’était pas la senteur d’une humaine, cela n’était pas pour déranger le monstre qui s’était directement diriger vers sa proie directement. Son pas lourd et rapide faisait craquer le sol sur lequel il marchait, il ne lui avait pas fallu longtemps pour la trouver, une femme cheval nue se trouvait sur son territoire. Il s’approcha en la regardant, la gueule salivante déjà :

« Femelle ! »

Sa maitrise limitée de la parole ne cachait pas ce qui lui passait en tête à ce moment alors que sa gueule s’ouvrait sur des crocs immenses tout en dégoulinant de salive. Il n’était clairement pas amical envers le centaure :

« Toi, moi ! »

Alors qu’il ouvrait ses mains aux griffes acérées, il était difficile de savoir si c’était une déclaration de combat ou une menace en cas de refus de se soumettre à lui ou un ordre d’un tout autre genre.

Maeilera

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    Reine des Licornes - venue tout droit de Faërie - Maeilera a échappé à la Reine de l'Hiver et tente de se reconstruire - avec sa harde.

Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 2 mercredi 10 décembre 2025, 14:01:04

La chose qui était sortie des bois pourrait en surprendre plus d’un, mais Maeilera était née en Faerie - et les monstres étaient légion en ces contrées. Aussi, la seule réaction qu’elle a après avoir vu la Bête est de se redresser, afin de ne pas être au sol, vulnérable, alors que la chose s’avance vers elle.

La regardant de haut en bas, ce n’était pas la créature la plus immonde qu’elle ait jamais vu - même si elle était loin d’être la plus belle. C’était quelque chose entre le lycan, le loup des ténèbres et le Fenrir - un colosse poilu et grondant.

Plissant des yeux, un grondement s’échappe de la gorge de la licorne, prévenant le prédateur que s’il s’approche, il risque la ruade. Mais cette bestiole ne semble pas intéressée par sa viande - les mots qui s’échappent de sa gorge, dans une voix gutturale et grondante, ne laissent pas d’illusion quant à ce qu’elle désire - si les yeux brulant d’envie de la créature n’avaient pas été assez clairs.

Mâle.” le mot est répondu avec tout le dédain que sa station de reine lui permet, alors qu’elle croise ses bras sous sa poitrine et redresse la tête, le port altier. Si ce gros loup croit qu’elle va se mettre à genoux et lever la croupe juste parce qu’il le demande, alors il se fourre son doigt griffu dans l’œil jusqu’au coude.

Non.” ce n’est pas un refus de dégout face à l’acte, après tout Maeilera est dans une période d’envie - non, c’est un refus face à l’inconnu. Il a l’air puissant, mais ce n’est qu’un visuel - elle ne l’a pas vu se battre, elle ne sait pas de quoi il est capable. Son instinct lui demande peut être de se reproduire, mais son instinct lui dit également qu’elle ne connaît pas la valeur de ce mâle et qu’elle ne doit pas se soumettre à n’importe qui.

Le regardant de haut en bas, les joues rouges sous la chaleur de ses Chaleurs, le regard brumeux d’une envie plus que charnelle - elle imagine. Il a l’air grand, et fort, et puissant - s’il y avait eu un autre mâle, le combat aurait été magnifique. Mais là, il n’y a qu’elle et lui, il va donc falloir qu’elle jauge sa valeur par elle même.

Glissant une main lentement contre son cou, elle la laisse lentement se glisser le long de ses seins, entre monts et valons, avant de se terminer au niveau de son nombril, la main ouverte en éventail.

Si tu veux toucher cette femelle, prouve ta valeur, mâle.” la voix de la licorne est rauque, alors qu’un sourire mauvais et presque pervers s’étend lentement sur ses lèvres. La bataille pour la dominance qui va s'ensuivre est un rituel particulier - le male doit être assez fort pour la maitriser, mais pas si brutal qu’il la blaissera ; elle doit se soumettre volontairement face à sa puissance, pas être la victime d’un viol. S’il dépasse les borgnes, ses sabots s’enfonceront dans sa tête jusqu’à l’écraser - elle n’est pas une pouliche née d’hier.

Écartant progressivement les sabots, elle les plante au sol et ouvre ses bras, ses mains se fermant graduellement sous forme de griffes. La Lutte qui va venir est autant pour l'émoustiller que pour la fatiguer et elle ne peut que fixer le loup avec une lueur presque folle dans le regard.

Elle espère qu’il pourra la satisfaire.

Erelim

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 3 mercredi 10 décembre 2025, 16:51:37

S’il y avait bien un domaine où son instinct était encore plus aiguiser que pour l’accouplement, c’était bien le combat, la créature était une machine à tuer et son corps tout entier était une arme létale. Ses crocs acérés couplés à une mâchoire puissante ne laissaient aucune chance à une proie qu’il avait décider de dévorer. Ses bras étaient parsemés d’immenses excroissances osseuses prêtes à embrocher quiconque approcherait à portée d’un balayage de bras. Sans compter sur ses griffes capables de trancher n’importe quelle protection en étant animées par des muscles puissants. C’était ce genre de monstre que la femelle qu’il avait en face de lui osait défier, il gronda devant ce défi.

Mais c’était sans compter sur le fait qu’il tenait désormais bien plus de la bête, un animal doué de parole qui comprenait ce que la centaure attendait de lui en se mettant dans cette position de défi, une parade pour prouver qu’il était digne de s’accoupler avec, c’était assez commun et puis la femelle aussi était une bête comme lui même si son corps était à moitié humain.

« Toi vouloir te battre ? Moi pouvoir te tuer. »

Prononcer des phrases de plusieurs mots lui demandait de l’effort et sa voix d’outretombe rendait la chose peu compréhensible mais bien que bête, il n’était pas aussi limité que ce que ses paroles précédentes pouvaient laisser entendre. Il n’était clairement plus aussi brillant que lorsqu’il était humain mais si l’instinct était ce qui l’animait il lui arriver quand même de réussir à penser. Évidemment qu’il n’allait pas la tuer, à moins qu’elle ne lui laisse pas le choix, mais il voulait lui faire comprendre qu’il était vraiment fort. Il sentait les phéromones de la femelle en chaleur alors il savait qu’il fallait la garder intact pour l’accouplement.

Ses grands yeux rouges luisaient en la regardant la centaure et il continua de s’approcher d’elle d’un pas lourd, chaque pas faisaient s’enfoncer le sol sous ses pieds. Il la surplombait de plusieurs tête et elle pouvait beaucoup mieux le détailler maintenant qu’il était à quelque centimètre d’elle. Il posa ses énormes mains griffues sur celles de la centaure tout en se penchant pour poser son front contre le sien, plongeant son regard de sang dans le sien, la bave coulant de sa gueule tombait sur le corps de la femelle :

« Moi, fort. »

Après ces simples mots, il se mit à pousser puissamment la femme cheval, y mettant tout son poids pour assurer sa domination et lui montrer à quel point il serait le parfait géniteur pour sa portée.

Maeilera

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    Reine des Licornes - venue tout droit de Faërie - Maeilera a échappé à la Reine de l'Hiver et tente de se reconstruire - avec sa harde.

Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 4 dimanche 14 décembre 2025, 19:29:32

Le mâle face à elle n’avait pas l’air d’être le couteau le plus affuté du tiroir, mais cela lui importe peu à cet instant. Elle ne cherche pas un mâle intelligent - elle a ce qu’il faut de son côté pour ça - elle cherche quelque chose de puissant.

Ha !” elle rit à sa provocation. La tuer ? Il y a peu de choses capables de la tuer dans ce monde, et ce toutou n’en fait pas partie. Mais, elle lui laisse sa confiance, qu’importe à cet instant, elle sait très bien que ce n’est pas la tuer qui l'intéresse. Le regard brulant - autant par sa couleur que par son envie - que la Bête posait sur elle ne laissait rien douter quant à ce qu’il voudrait faire et la tuer n’était certainement pas au menu.

Alors que leurs mains s'entrelacent - et cela n’avait rien de romantique - il se penche sur elle pour lui dire qu’il est fort ; et sa poigne semble puissante.

Moi aussi.” est la seule chose qu’elle lui répond, refermant ses mains sur les siennes dans un étau étonnant pour la comparaison de taille. Mais, Maeilera n’est pas une humaine et elle n’est pas réellement une centaure non plus - elle est un pur produit de la magie - et ce qui est perçu n’est pas forcément ce qui est.

Alors que leurs souffles se mêlent et que la bave de la créature - brulante, tout comme ses yeux - s’abat peu à peu sur elle, elle ne semble pas faire cas de la chose; ses yeux fixés dans ceux écarlates de l’autre créature.

Hhhhhaaaa ….” un soupir - presque de plaisir – s'exhale lentement quand il commence à pousser. Elle bouge à peine, mais elle bouge et c’est ce qui est important - repoussée progressivement par la force du loup, ses sabots laissant des trainées dans le sol, immuablement. Son front s’appuie fortement contre celui couvert de fourrure de l’autre, alors qu’elle aussi pousse en retour, peu prête à se laisser totalement faire. Mais elle ne pousse pas aussi fort qu’elle le pourrait - elle a trouvé un mâle assez puissant pour ne pas défaillir directement sous ses ardeurs, elle ne va pas tout gâcher en le faisant fuir après avoir perdu. Ainsi, lentement, il la repousse. Lentement, ses bras se courbent alors qu’elle le laisse s'approcher de plus en plus - ses rouges joues, son regard fiévreux d’envie, elle le contemple.

Elle espère qu’il sera aussi vivace une fois l’acte engagé. Elle peut déjà sentir sa croupe se réchauffer alors qu’elle pense à ce qui va se passer, ses seins se durcir et sa respiration devenir précipitée - et pas de fatigue.  Qu’il la pousse encore un peu et elle le laissera gagner - elle est trop excitée pour autre chose. Et puis, ce n’est pas comme s’ils pouvaient réellement faire des petits ensemble - elle veut juste qu’il la soulage de son envie d’être emplie.

Fais-moi voir toute ta puissance, mâle. Es-tu Alpha ?” finit elle par souffler, directement contre son museau, provocante.

Erelim

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 5 dimanche 14 décembre 2025, 21:41:17

Lui non plus n’était pas une créature comme les autres, s’il ressemblait bien à un loup-garou physiquement il n’avait pas grand-chose à voir dans son essence même, les malédictions démoniaques qui avait fait de lui ce qu’il est maintenant érodent petit à petit son esprit pour améliorer ses aptitudes physiques et son être entier empeste la magie noire. Il sent la femelle lui résister quand il la pousse même s’il arrive tout de même à la faire reculer sans trop de mal, qu’elle le laisse faire n’est pas vraiment son affaire.

Plus que lui montrer sa force, il voulait la dominer comme le mâle qu’il est et ce n’était pas la provocation de la centaure qui allait le faire se gêner pour déployer tous les moyens qu’il avait en sa possession. Front contre front, la centaure pouvait voir les yeux rubis d’Erelim luire, ses pupilles changer de forme pour un symbole démoniaque alors que son corps semblait grossir un peu plus, ses muscles se raidissant en prenant en masse alors qu’il continuait de pousser pour l’instant.

« Moi, plus fort que femelle. Plus intelligent aussi.»

Alors que chacun poussait de son coté, la bête lâcha sa prise d’un coup pour que la centaure parte en avant sous son propre poids pour s’écraser contre le corps massif d’Erelim. Passant ses bras sous ceux de la femme cheval, il attrapa la partie chevaline de son corps en l’entourant de ses énormes mains avant de se redresser pour la soulever et faire quitter ses jambes du sol.

« Moi, gagner. »

Resserrant sa poigne, il la porte dans cette position en grognant d’une manière que l’on pourrait reconnaître comme étant un rire victorieux. Il n’avait plus qu’une envie : la monter mais il ne la relâchait pas pour continuer de lui montrer sa force en l’entravant. Il la trimbala plusieurs minute avant de la reposer et la regarder la gueule grande ouverte pour montrer tous ses crocs, un sourire des plus charmant, en attendant son dû.

Maeilera

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 6 lundi 15 décembre 2025, 21:04:22

Ah, vraiment. S’il ne s’était pas s’agit d’une envie dévorante, elle aurait déja transpercé cette aberration de sa corne. Elle pouvait le sentir, ce loup n’était pas naturel, mais surtout, il était ‘mauvais’ - quelque chose que sa nature de licorne lui demandait d’éradiquer, en règle générale.

Front contre front, sa corne frottant contre la fourrure noircie de la créature, elle pouvait sentir les relents maléfiques qui s'échappaient de sa personne. Mais, en cette période de rut, elle pouvait passer outre. Il serait toujours temps de purifier la créature une fois l’acte consommé.

Un rictus déforma les lèvres de la licorne quand la bête commença à enfler, gonflée par les éfluves de magie noire qui semblaient composer tout son être. Quelle immondice, mais simultanément, elle ne pouvait s’empêcher qu’il devait être puissant pour pouvoir encore fonctionner, envahi par tant de vices forcés. Quel esprit avait du être le sien, par le passé, pour pouvoir encore communiquer malgré l'érosion de son état mental sous la noirceur qui était celle de cette magie.

Quel regret. Peut être pourrait elle le purifier. Oui, elle pouvait tenter - mais avant cela, ils devraient « communier ». Et, amusément, l’Acte était un vecteur de facilitation à la communion.

Haha ! Quel humour !” ne peut elle que répondre quand il lui dit être plus intelligent.

Ha !” mais elle doit bien lui donner ça, la Bête a des instincts de prédateur bien rodés. Il feinte et elle tombe dans le piège, lancée en avant pour se perdre tête la première dans la fourrure puant la magie noire.

Oh !” elle écarquille les yeux alors qu’il la soulève. C’est la première fois qu’une créature la lève du sol sous cette forme, c’est vraiment une expérience étonnante. Elle pourrait changer d’apparence, prendre celle d’une femme et s’échapper - très certainement. Mais ce n’est pas le but de cette escapade. Ce qu’elle désire, la Bête est prête à lui donner, alors pourquoi fuir ?

Humpf !” elle croisa les bras sur sa poitrine, la zone inférieure étant occupée par les bras puissants de la créature. “Tu gagnes cette fois.” elle plissa des yeux et baissa lentement la tête pour le regarder droit dans les yeux, sans ciller, un sourire malin tirant progressivement sur son visage.

Quand il la reposa au sol, elle le regarda du coin de l’œil, tapant doucement du sabot inférieur droit, avant de lever la tête altière et de se débarrasser lentement des guenilles qui l'entravent.

Je suppose que tu es en droit de réclamer le prix de cette lutte.” elle ne lui présente pas sa croupe, il va devoir venir la chercher. Même s’il a gagné ce combat - pipé ne nous mentons pas - elle ne s’offrira pas comme une soumise.

Erelim

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 7 Aujourd'hui à 03:28:05

Le monstre avait gagner le droit de monter la femelle et il n’allait pas se faire attendre bien longtemps mais pour impressionner la centaure il resta planter devant elle en souriant toujours en montrant ses énormes crocs. Elle ne l’avait sûrement pas remarqué mais maintenant qu’elle pouvait le regarder de haut en bas sans mal cela devrait lui sauter au yeux : alors qu’il est clairement nu aucun appendice pend de son entrejambe. C’était une autre particularité du monstre, une machine à tuer cela ne pouvait pas se battre avec un gourdin ballottant entre ses jambes à tout moment mais il possédait un pouvoir tout aussi impressionnant dans son domaine que le fait de pouvoir transplaner. Il s’approcha de la femme et lui agrippa les cheveux pour qu’elle regarde bien son entrejambe alors que d’imposante testicule venait tomber à l’air libre et que le mat complétant le service trois pièces commençait à prendre forme en gonflant et grossissant :

« Toi, cheval. »

Cette conclusion digne des plus grands détectives témoignait surtout du fait qu’il la considérait par le prisme de la partie équine de son corps et par conséquent c’est à cela qu’il s’adaptait en faisant apparaître son immense gourdin de chair. Cela pris un peu de temps mais c’est un atroce membre de soixante centimètre qui avait pousser entre ses jambes sous les yeux de la femelle, pour montrer sa domination, il avait ajouter dix centimètres en plus de la taille d’un sexe de cheval.

Lui même ne tenait plus en place et si la centaure attendait des préliminaires, elle allait être déçue car Erelim raisonnait comme une bête et il était donc rare de faire autre chose que la pénétration. Gardant sa chevelure en main, il fit le tour de la centaure pour se positionner derrière elle. Il se pencha sur elle, pressant son torse musclé et touffu contre son dos pendant que sa gueule venait lui faire entendre ses grondement gutturaux au plus proche des oreilles ainsi que sentir son haleine pestilentielle alors qu’il recommençait à baver :

« Moi, fort ! »

Ces mots furent suivi d’un coup de rein sec pour pénétrer la centaure sans se soucier le moins du monde si cela rentrait bien.

Maeilera

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 8 Aujourd'hui à 13:32:37

Alors que la créature s’approchait lentement d’elle, elle pouvait voir la chose qui se déployait lentement entre ses jambes et elle ne put que se passer la langue sur les lèvres. Il y avait peu de doute quant au fait qu’elle le sentirait passer, mais elle n’était pas née de la dernière pluie et des plus gros que lui étaient passé par la.

Hello mon beau ~” sussura t’elle presque, tout en fixant l’attirail qui allait bientôt être sien.  Enfin, elle ne put que rouler des yeux quand le monstre la compara à un cheval. Excuse toi le clebard, mais elle était une licorne, pas un vulgaire canasson.

“Non, licorne.” fut ce qu’elle lui répondit, levant la tête et le toisant d’un regard presque froid - presque, parce que la chaleur de son envie semblait tout avaler, même l’honneur de l’équidé magique.

Ha, sale brute !” elle posa ses mains sur le bras griffu relié à une main s’étant, semble t’il, entiché de sa chevelure blonde. Ses mains ne faisaient même pas le tour de l’avant-bras, mais sa force lui permet d’empêcher la créature de lui arracher les cheveux. Il ne manquerait plus que ça. “Un peu de délicatesse, sauvage !” gromela t’elle, tout en le suivant de l’œil alors qu’il faisait le tour de sa personne.

Mais il ne fit aucun cas de ses paroles, qui, semblant tomber dans l’oreille d’un sourd, n’empêchèrent pas la créature de faire ce que bon lui semblait. Alors qu’elle ouvrait la bouche pour continuer à l’enjoindre à ne pas la rendre chauve, le loup se saisit de sa croupe et d’un mouvement presque souple, mais brutal, s’installa en elle.

HAAA !” cria la licorne, se cambrant, son corps humain formant un arc vers l’arrière alors que ses mains serraient puissamment le bras de celui qui venait de la pénétrer fortement - elle pouvait presque voir des étincelles devant ses yeux, ceux ci louchant un instant sous la pénétration rapide. Heureusement qu’elle avait déjà commencé à mouiller en le regardant, son corps insistant pour se préparer à l’action, sinon il l’aurait complètement déchirée.

Brute !! M-moins f-fort !!” begailla t’elle avec un gémissement, sentant l’énorme membre la remplir comme elle l’avait espéré. Ses seins devinrent dur comme de la pierre, se colorant d’une rougeur de chaleur, d’envie, alors que son souffle haletant ne laissait que deviner qu’elle n’était pas aussi choquée qu’elle le laissait paraitre.

Tournant lentement la tête vers l’arrière, les yeux brillant d’une envie presque bestiale, elle se passa encore une fois la langue sur les lèvres.

R-remplis moi ~ montre ce dont tu es capable, monstre.” l’insultat elle presque, un sourire pervert sur les lèvres. Toute la pureté et l’honneur des licornes n’étaient plus de mise à cet instant - seule une créature d’instinct et une créature de perversion, dans une clairière, s’adonnant à l’acte le plus vieux du monde.



Erelim

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Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 9 Aujourd'hui à 14:56:56

Il n’y avait guère de différence entre un animal et le monstre qu’était Erelim, il ne semblait pas mû par un quelconque plaisir mais bien par l’envie primaire de l’accouplement, sa malédiction le poussait à agir sinon quoi il mourrait mais il agissait assez machinalement. Ou du moins c’était ce qui semblait transparaître de la manière dont il initiait le mouvement, les démons qui l’avaient transformé en monstres étaient des succubes, des joueuses diaboliques dont l’œuvre devenait de plus en plus perverse à mesure où il besognait une femelle, passant de la bête pratiquant le sexe pour survivre à un monstre sadique quand son était se stabilisait.

Il ne l’avait pas entendu lorsqu’elle avait demander qu’il y aille moins fort, il ne l’aurait de toute façon pas écouter, ses coups de reins se faisaient violent, ses énormes testicules frappant les fesses de la licorne à chaque percée en profondeur en provoquant des bruits de claquement sonore. Il grondait fort, se faire traiter de monstre ne le blessait pas véritablement puisque c’est ce qu’il était mais c’était dans le même timing qu’une nouvelle effluve de magie émana de son corps. Son membre déjà énorme gonfla afin de combler la centaure au maximum. 

Sa main lâcha la chevelure blonde qu’il tirait depuis le début de l’acte pour aller se poser sur la poitrine humaine de sa partenaire tandis que l’autre faisait de même. Ses mains étaient si énorme que même les généreux seins de la femme licorne ne les remplissaient pas. Il commença à la peloter avec poigne, ses griffes passant assez près de la marquer à chaque pression :

« Petits seins tout doux. »

Faire des phrases complète étaient toujours beaucoup lui demander mais ses paroles semblaient plus intelligibles à mesure qu’il s’immisçait en elle. La pression qu’il exerçait sur la poitrine de la femelle la forçait à se cambrer en arrière pendant que son torse toujours penché contre son dos appliquait une force contraire. Il tourna la tête pour donner un coup de langue sur la joue de la licorne :

« Moi pouvoir faire exploser toi si toi vouloir. Femme cheval.»

Il gronda comme un rire, elle avait semblé mal prendre la comparaison avec un cheval mais puisqu’elle l’appelait monstre, il ne se corrigea pas. Pour prouver ses dires, il augmenta encore l’intensité de ses va et vient.


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