If you ain't losing your mind, you ain't partying (FINI)

Trouver un laboratoire avec un patron honnête s’avérait plus difficile que prévu pour la jeune femme qui venait de quitter une autre boîte après que le patron ait tenté de joindre un réseau criminel, proposant ses services pour trouver des filles jeunes et jolies pour en faire des prostituées shootées à l'opium.  Celui-là lui rappelait un peu trop l'histoire qui s'était produit alors qu'elle n'était pas encore majeure. Quand elle avait surpris le trafic, elle n'avait pas hésité à récupérer les documents incriminants et les apporter aux flics. Et elle avait de nouveau chercher un emploi. C'était quand même le troisième labo qui faisait des trucs louches…

Récemment employée par « Bio-Gen Ethical », elle espérait ne rien trouver de louche et pouvoir continuer à faire ses tests pour comprendre sa mutation. Jusque là, après trois mois, il n'y avait aucun signe d’activité illégale. Elle croisait les doigts, priant pour que ça dure.

Mais ce soir, si elle pensait au boulot, ce n'était pas pour repenser aux machinations illégales de ses précédents employeurs. Non, ce soir, c'était le pot de départ d'un des anciens du labo. Et ça voulait dire aller boire un coup dans un bar réservé pour l’occasion. Et pas n’importe lequel ! C'était l'un des plus prisé de la ville. Alors Cora se mettait sur son trente-et-un, s'habillant d'une petite robe noire a la coupe classique, qui s'arrêtait à mi-cuisse et qui était dos nu, retenue par un nœud sur sa nuque. Le décolleté était censé être modeste, mais sa poitrine rendait malgré tout la tenue affriolante. Bien entendu, ses dessous l'étaient, eux. Tout en dentelle noire, ce qui tranchait avec sa peau blanche et ses courts cheveux rose pâle.

Fin prête, elle prit son perfecto de cuir noir, un peu usé a force de le mettre tout le temps, son sac et ses clés. Enfilant des bottines noires aux talons aiguilles favorites, elle verrouille son appartement et prit le bus pour arriver au bar. Il faudra sûrement qu'elle rentre à pieds au retour, mais ça ne l’inquiétait pas trop.  Elle trouverait peut-être même une bonne âme pour la raccompagner en voiture.

Quand elle arriva dans le bar et donna son nom, le barman la guida jusqu’à la salle réservée pour la soirée. Il y avait déjà pas mal de monde, et la jeune femme s'inséra aisément dans une conversation après avoir été servie une pinte de bière brune IPA. La soirée ne faisait que commencer.

Bio-Gen Ethical était un laboratoire qui avait le vent en poupe. Ses résultats dans la recherche génétique étaient en passe de supplanter l'hégémonie des grands laboratoires américains et personne ne pouvait s'y opposer. Le Japon, qui n'avait plus de preuves à donner en matière de développement économique, avait même favorisé l'expansion de la ressource humaine de Bio-Gen Ethical en facilitant la venue puis l'installation de chercheurs étrangers à Seikusu. C'est ainsi que les frères Johnson: Ethan, James et Brandon Jr, citoyens US, avaient été recrutés à prix d'or par la direction du laboratoire. Ils étaient arrivés sur le territoire nippon trois mois plus tôt et après une brève période d'adaptation, avaient commencé à œuvré pour le labo.

Leur particularité résidait dans le fait qu'ils étaient des triplés, génies dans leur domaine, et à 25 ans; déjà hautement qualifiés. Leur départ des USA avait d'ailleurs fait jasé. Très honnêtement et ils ne le cachaient pas, le cachet proposé par les japonais était indécent.

Et puis à Bio-Gen Ethical, ils étaient chouchoutés. Un labo privé leur était attribué, dans les profondeurs de la structure, et quand ils en sortaient, ils étaient loin d'être perdus. De nombreux étrangers travaillaient là et on entendait plus parler anglais que japonais dans les couloirs.

Ce soir, une fois n'était pas coutume, ils étaient de sortie. Matsuo Taka, le vieux chibani du département "génétique formelle" prenait sa retraite après 42 longues années fidèles au labo et la direction l'honorait en organisant une soirée dans un haut lieu de l'élégance festive. L'ambiance était chaleureuse et encore sage  au bar quand ils étaient arrivés. Ah ...! Les trois beaux gosses du labo ... Ils faisaient craquer les japonaises qui kiffaient ces phénomènes très photogéniques. Pourtant, ils ne faisaient rien pour se mettre en avant et avaient la réputation d'être très sympas et abordables bien qu'ils soient des "grosses têtes". A par Brandon Jr qui pouvait être un peu exubérant parfois, le caractère des trois restait stable et posé. Et puis ... Ah ben non, le portrait idyllique s'arrête là. S'il y a un bien un seul point sur lequel ils s'affrontent sans pitié, c'est les filles, et Bio-Gen Ethical dispose dans ses rangs de celle pour laquelle ils s'engueulaient dans la voiture juste avant d'arriver.

Cora ... A peu près tous les adjectifs entre hot et atomique pouvaient lui être attribués. Dire qu'elle était une bombe était un euphémisme. Elle faisait des ravages dans les rangs de ses partenaires masculins et seule la discipline japonaise et le bon management du labo faisait que rien ne transparaissait publiquement. Mais d'un autre côté, la jeune femme était aussi un peu effrayante car franche et rentre dedans, ce qui était considéré comme bizarre au Japon.

Ethan lui avait déjà parlé et il était tombé immédiatement sous le charme. James et Brandon l'avaient aperçu au self mais n'avaient pas eu la chance de pouvoir l'approcher. Ce soir, elle serait forcement là et chacun des trois avait déjà prévenu les autres que ce serait SA soirée. D'où la prise de tête...

La musique était encore diffusée sans exagération, cela viendrait peut être après, et les consommations étaient bues avec retenue. On attendait le discours du boss qui eut lieu avec beaucoup de tact. On applaudit, Matsuo prit la parole, remercia et invita à passer une bonne et longue soirée. Le mot de clôture ouvrit les portes des Enfers et le bar prit enfin ses fonctions nocturnes. Lumières! Musique! Rock!Bière!

Elle était là ... Canon, pas Badass mais Super hot ! Détonante dans son ensemble mortellement sexy, elle pintait une bière de mazout et affirmait son sens de l'indépendance.

C'est Ethan qui l'aborda le premier après qu'un lourdaud ait tenté une approche condamnée d'avance.

"Hey ! Hello Cora! Ça fait plaisir (Il allait ajouter ... de te voir sans ta blouse  ... mais se retint in extremis). Je suis Ethan, si tu te souviens un peu de moi, j'en serais heureux. Comment va ma compatriote?"

Où se mettre? S'approcher parce qu'on ne s'entend pas parler? Garder une distance pour éviter toute forme d'occupation du territoire? Se dandiner d'un pied sur l'autre? Non, trop nul ... D'abord on trinque, après on voit!

Ethan tend sa pinte (de blonde).

"Tchin? A ..."

Pas le temps de finir qu'il se fait encadrer par ses frangins qui n'allaient surement pas se laisser devancer par le petit dernier de la portée.

"Oh hey, salut! Cora, c'est bien ça?"

"Coquin! Tu as bon goût! Bonsoir mademoiselle! Vous acceptez un peu de compagnie?"

Si Cora dépotait sévère dans sa tenue de prédatrice occidentale, eux restaient casual bien qu'on puisse deviner sous leurs jeans et polos des corps bien faits et entretenus.



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

« Hey, salut Ethan, salua la blonde en se retournant vers la voix qui venait de l’interpeller, la sauvant de devoir trouver une réponse cordiale pour rembarrer une approche clichée. Bien sûr que je me souviens de toi, sourit-elle en lui offrant un clin d’œil amusé. »

Pas moyen d'oublier cette gueule d'ange, songeait-elle, surtout quand il y en a trois identique. Combien de nuit avait-elle passé à fantasmer sur Ethan depuis qu'elle l'avait rencontré ? Et combien depuis qu'elle savait qu'il faisait parti de triplés ?  Bien de trop. Mais comme elle n'avait pas eu l’occasion de le recroiser depuis, ni de faire connaissance avec les deux autres, elle n'avait rien fait pour forcer le destin.

Elle lève sa bière en s’apprêtant à trinquer quand, justement, ses frères arrivèrent. Un bref éclat de rire lui échappa quant à la remarque du troisième, et opina de la tête.

« La réponse est oui aux deux questions ! S'exclama la jeune femme. Mais vous devrez me pardonner si je ne vous appelle pas par le bon prénom, je dois avouer que même en sachant que vous êtes des triplés, le voir en vrai reste déstabilisant ! »

Elle sirota une gorgée de sa bière avant de demander qui était qui entre les deux derniers arrivés, et essaya de mémoriser qui était qui en fonction de leurs vêtements.

La musique changea ensuite, et un air entraînant se dit entendre.

« Oh, j'adore cette chanson, elle me donne toujours envie de danser. Vous voulez m’accompagner ? Laissez-moi juste demander où je peux poser ma veste et mon sac avant… »

Se faisant, elle se retourna pour retirer son perfecto (laissant les trois hommes admirer le dos nu de la robe) et attira l’attention du barman un peu plus loin. Montrant sa veste et son sac, arborant un air interrogateur, elle réussit a se faire comprendre et elle acquiesça quand il lui montra qu'elle pouvait poser ça de l'autre côté du comptoir.

Se hissant à genoux sur son tabouret (parce que quand on est trop petits pour y accéder debout, on improvise), elle se tendit au-dessus du bar pour déposer ses affaires. Elle ne se rendit pas compte du regard appuyé du barman sur sa poitrine, écrasée contre le bar du fait de sa position, mais elle espérait bien que les triplés derrière elle mataient la manière dont sa robe était ajustée à son corps et dévoilait autant ses courbes que la dentelle de son tanga qui se dessinait clairement en-dessous.

« Voilà, je suis parée ! Vous venez danser ? Demanda-t-elle se laissant retomber souplement au sol. »

Avec un sourire mutin, elle laisse sa pinte sur le comptoir et attrapa la main de deux des frères pour les entraîner vers la piste de danse qui s'était remplie un peu depuis le début de la musique. Elle était pratiquement sûre d'avoir Ethan et James, mais elle pouvait se tromper entre ce dernier et Brandon.

« Come on, let's dance ! La soirée ne fait que débuter, et on n'a qu'une seule vie ! »

Et voilà que la mutante commence à se déhancher sur le son rock'n'roll qui sortaient des haut-parleurs, se montrant aussi peu effarouchée qu’à son habitude. C’est-à-dire qu'elle n’hésitait pas à se coller aux jeunes hommes en se trémoussant, secouant la tête en rythme. Elle vivait sa meilleure vie.

Qui dirait non à une proposition pareille? Lilith vous invite à danser et vous refuseriez? Aucun homme normal ne serait capable de ça. Aussi, c'est d'un hochement de tête commun que les frangins acquiescent et suivent la muse du labo jusqu'au bar. Le miroir occupant l'espace mural derrière le barman renvoie parfaitement la vision que le barman, pourtant surement habitué, prend de plein fouet dans le nez.  Quand une poitrine pareille s'écrase devant toi, c'est où l'éjac immédiate ou une nuit à venir dédiée à une branlette furieuse. L'homme semble peiner à s'en remettre et seul son professionnalisme le sauve de la faute grave.

"Énormes ..."

C'est le commentaire de Brandon mais ceux, silencieux de ses frères, dominent dans le même registre. Ethan, le plus "candide" se dit même qu'on doit y être bien, entre ces deux mamelles balèzes ...
Ça c'est pour le recto ... Pour le verso ... mama mia ... Les triplés ne sont pas les seuls à s'émouvoir car la cambrure indécente de Cora n'échappe à ce moment là qu'aux éventuels aveugles qui pourraient être invités. Encore une fois, une flopée de réflexions mentales très personnelles option sodomie sauvage remplissent les cavités cérébrales de tous ces messieurs trop bien élevés.

"Magnifique ..."

Là, c'est James et si ce n'est pas la meilleure description qu'il ait jamais pu sortir, au moins, elle est la plus sincère. Cora est sculpturale, taillée pour la luxure. Son corps est un appel à la dépravation et le pire, c'est que cette idée là fait son petit bout de chemin dans l'esprit des trois garçons. Alors, ils ne partagent pas la légendaire connexion des gamins ayant grandi dans le même utérus, ça c'est une légende ...; mais tout naturellement, ils s'orientent sur le même mode de pensée qui valorise :
- l'expression intime personnelle par la baise,
-l'entretien générale de la condition physique par la baise,
- le développement de la créativité ... par la baise,
- et la régulation de la tension par une grosse ... séance de baise ...

Ça en fait des choses à imaginer mais en vérité, ils se disent tout simplement que Cora est très belle. Et quand elle les entraine danser, c'est tout naturellement que les distances se restreignent d'autant plus que d'autres personnes viennent s'animer au rythme d'un rock dont tout le monde connait les paroles. Danser, les triplés savent faire, ça fait partie de leur éducation car que l beau gosse resterait en retrait à regarder honteusement les autres se déhancher? Ça rock, ils rockent! Les corps se frôlent, s'emboitent parfois, s'explorent involontairement ... ou pas tant que ça. Cora ne mord pas mais ils n'abusent pas et préfèrent tendre des perches plutôt qu'intimer un contact.

Fort heureusement, la lumière est où trop basse, ou trop forte, et certaines approches sont ignorées de l'ensemble des participants. En effet, nous sommes au Japon et une certaine dignité s'impose. Tu parles ... Après 5 minutes, Brandon revient avec 4 pintes à la main en brayant un truc que personne ne comprend . Ça doit être marrant car il se poile tout seul. Il fait chaud et les cols se relâchent. Une main se pose entre les omoplates de Cora, une autre dans le creux de ses reins. Du rock, on passe à un slow à ... quatre. L'un des triplés lance à un moment la citation précédente de Cora: "On a une seule vie."



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

La soirée se passe, et Cora se sent s'échauffer de plus en plus. Pas à cause de l’alcool (ou pas que, même si quatre pintes ça commence à faire) mais parce que les triplés sont sexy à se damner. Chaque perche tendue est saisie à pleines mains. Elle ne tient pas compte des regards jaloux lancés par des rivales trop timides pour faire un geste. Elle ignore complètement les autres hommes qui tentent d’attirer son attention. Tout ce qui compte, à ce moment, c'est les contacts entre son corps et ceux des triplés.

Finalement, la soirée arrive à sa fin, après un slow à quatre que la jeune femme a plus qu'apprécié. Le bar va fermer, l'heure approche des trois heures du matin. Riant avec abandon, la mutante vient chercher ses affaires au bar, renouant la même scène que lorsqu'elle les a posées. Pour l’instant trop échauffée, elle garde sa veste sur l'épaule lorsqu'elle se retourne vers Ethan, James et Brandon.

« Damn, je n'ai pas vu le temps passer ! Je pourrais continuer encore des heures ! S'exclame-t-elle alors que la musique n'est plus qu'un murmure en fond. Mais on n’est pas obligés de rentrer chacun de notre côté, encore, n’est-ce pas ? Que diriez-vous de faire un after, les garçons ? Je proposerais bien mon appart, mais ça risque de devenir un peu étriqué. Et les voisins ne sont pas super compréhensifs. »

Elle passe un bras autour de la taille d’Ethan (elle en est presque certaine) tout en disant cela, collant sa poitrine contre lui sans aucune gêne.

« Sauf si vous ne vous sentez pas à la hauteur, évidemment, ajoute-elle d'un ton plus bas, carrément séducteur, les mettant au défi de refuser. »

Avec un clin d'œil plus que complice, la subtilité n'étant pas son fort, la jeune femme relâche son étreinte sur le plus jeune des frères et commence à s'approcher de la sortie du bar, roulant des hanches sans vergogne.

C'est James qui vit un grand moment de bonheur quand Cora vient s'écraser contre lui. La masse dense de la poitrine de la jeune femme ne permet pas à leurs hanches de se souder mais le garçon comprend bien que l'intention y est. Seulement, il n'a pas le temps d'honorer ce contact hautement explosif que la sulfureuse créature estampillée désormais "chaudasse de service" virevolte et se dirige vers la sortie non sans avoir lancé au préalable une invitation impossible à refuser.

A peine passée le seuil de l'établissement, James et Brandon l'encadrent, croisant leurs bras derrière son dos nu pour saisir ses hanches. Ethan qui n'a pas été assez rapide se contente de rester dans le champ de vision de l'américaine. Son tour viendra, promis! Maintenant, on est au Japon, encore une fois, donc malgré l'état festif du quatuor, les garçons évitent de perturber le sage environnement local.

Maintenant, comment passer inaperçu quand LA bimbo américaine de Seikusu décide de faire la fête. La solution est apportée par Ethan qui à défaut d'être l'heureux élu du moment, propose l'évidence: "Dans ce cas, allons chez nous! Nous ne dérangerons personne puisque les voisins du dessous sont en voyage à Séoul. Et au dessus ... nous sommes au dernier étage." Excellent idée! Y aller? Pas de problèmes! Il y a une bonne partie de la ville à traverser et un taxi fera bien l'affaire, le genre de taxi van, un peu VIP, ... on peut même demander au chauffeur de prendre son temps ...

Les triplés vivent dans un immeuble assez élevé de l'environnement urbain de la grande mégapole. La résidence est moderne et la qualité du service est égale à l'importance que Bio-Gen Ethical leur accorde, puisqu'évidemment, ils sont logés par le labo. D'ailleurs, l'immeuble appartient bien au groupe et un certain nombre de cadres y demeurent.

Un appel téléphonique à la compagnie de taxi et moins de cinq minutes après, un mini van s'arrête près d'eux. Ethan est vif et monte le premier pour inviter Cora à le suivre. Ils s'installent côte à côte, les deux autres frangins en face. Sans son perfecto sur les épaules, Cora dépote. A croire que sa poitrine cherche à s'échapper de son écrin trop contraignant.

"Là, on est très très bien ..." Ethan pose sa main sur la cuisse de Cora. "N'est ce pas?" Han ... C'te prise de risque du dernier sorti ...

James se râcle la gorge.

"Hum ... il m'a semblé intercepté certains signaux que tu émettais Cora ...  Et je me disais que ..."

"... qu'entre citoyens du même pays, on pouvait partager des trucs qui ne sont font pas ici au premier rencard."


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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

La blonde ne tarde pas à sentir deux mains se glisser contre ses hanches. Du coin de l’œil, elle voit deux des triplés l’encadrer. Elle sourit en coin et glisse ses mains dans leur dos également, se laissant escorter avec le plus grand plaisir. Elle acquiesce avec entrain à la proposition du troisième d’aller chez eux -Serait-ce James ?- pour continuer la soirée. Sans voisins à déranger, elle se dit que les réjouissances allaient pouvoir prendre une tournure plus qu’intéressante.

Cora passe le temps, en attendant le taxi qu’ils viennent d’appeler, à leur poser des questions pour apprendre à mieux les connaître. Et pour essayer de les différencier d’une façon ou d’une autre. En retour, elle répond facilement s’ils lui en posent aussi. Elle n’est pas prude, et n’a rien à cacher. Sauf peut-être la façon dont elle a finalement connu son père avant de venir le rejoindre au Japon.

Quand le taxi arrive, elle glousse sans pouvoir se retenir alors que le troisième grimpe en premier et lui tends ensuite la main pour l’aider à monter. Quel gentleman ! Elle se rends compte que c’est intéressé quand il pose une main sur sa cuisse ensuite, et elle se laisse aller contre lui tandis que sa propre main caressait celle qui était posée sur son bas, juste en-dessous de la dentelle qui arrivait à mi-cuisse.

« Tout à fait, darling, tout à fait ! Répond la blonde avec un sourire en coin. »

A la question finale de l’un des deux frères qui était monté en face d’elle (Possiblement Ethan ?), la jeune femme affecte un air surpris.

« Ah, parce que c’est un date ? »

Puis elle éclate de rire, en espérant que leurs sourires ne se figent pas trop pour sa petite blague.

« Je plaisante. Je suis tout à fait d’accord. Alors, qu’est-ce qu’il ne faut pas faire au premier rencard ici qu’on fait chez nous ? feignit-elle de demander alors que sa main quittait celle qui était sur sa cuisse pour venir se frayer un chemin contre le jean de l’homme à ses côtés. Tripoter l’autre pendant qu’il est assis à côté ? Et elle ponctue sa question d’une caresse appuyée directement contre l’entrejambe d’Ethan (qu’elle pensait être James). Ou bien, continue-t-elle sans cesser les caresse de sa main mais en se penchant en avant vers Brandon (qu’elle pensait être Ethan), Peut-être qu’ils ne s’embrassent pas au premier rencard ici ? Termine-t-elle d’une voix une octave plus basse, son regard fixé sur les lèvres du jeune homme. »

Elle passe une langue sur les siennes et termine par un petit mordillement de la lèvre inférieure, observant les réactions.

« Ou alors s’agit-il, reprend la mutante d’une voix au souffle légèrement court alors que ses prunelles claires s’assombrissent de désir, de ne pas vouloir se faire des triplés en même temps ? »

Okay, elle y allait franco. Mais l’excitation était montée en flèche depuis qu’ils s’étaient installés dans le mini-van. Elle n’avait déjà jamais été très farouche quand quelqu’un lui plaisait, et elle n’allait pas commencer maintenant. Et peut-être que les deux litres de bière aidaient. Mais elle savait que, même sobre, elle aurait tout fait pour arriver au même résultat. Et elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin.

Sans se soucier de la visibilité que le chauffeur pouvait avoir sur l’arrière, la jeune femme se laisse soudainement glisser de son siège pour se retrouver à genoux sur le sol du mini-van, entre les sièges. Elle lève un regard taquin et chargé de désir vers les triplés, les invitant à se décider sur lequel désirait goûter la chaleur de sa bouche en premier. Elle s’en fichait de l’ordre dans lequel ils voulaient le faire. Elle avait juste une envie terrible de découvrir à quel point ils étaient similaire et quel goût ils auraient.

Cora a failli réussir à jeter un froid mais son expression dément aussitôt sa question. Son regard pétille, ses mimiques renforcent son sex-appeal, sa gestuelle appelle à l'incorrect et sa féminité déborde par tous le spores de sa peau.  Les garçons n'ont même pas le temps de se poser la question de savoir si elle est sérieuse car bien évidemment, elle ne l'est pas. Et pour enterrer définitivement toute forme de doute, elle les laisse plonger avec elle dans un univers d’érotisme ou tout est sujet à embrasement.
Ethan et James frémissent quand les doigts inquisiteurs de Cora viennent explorer leurs dimensions très personnelles. James était déjà dur et Ethan rejoint l'état de son frère en quelques secondes. Ce qu'ils vivent est chaud, sacrément chaud ... En vérité, c'est la première fois qu'ils se retrouvent dans une situation pareille avec une seule presqu' inconnue ... pour trois. Aucun ne se dit qu'ils font peut être une bêtise ou qu'il y a anguille sous roche car il faut bien l'avouer, ils sont envouter. Cora demanderait au taxi de s'arrêter pour se faire sauter contre la rambarde d'un pont que les trois suivraient. Enfin ... presque ...

"T'es ... carrément super chaude ..."

Bravo Brandon! De la très belle poésie qui vient du fond du cœur! Espérons que tu produises mieux plus tard. Mais c'est sa réponse à la dernière question de Cora qui vient d'abattre toutes ses cartes : un Royal Sex Flush qui cloue la partie pour la nuit à venir.
Et c'est encore Brandon, l'heureux veinard, qui est face à Cora quand elle s'agenouille sur le plancher du mini van. Si le premier sorti de la portée affiche un sourire d'anticipation, c'est l'un des deux autres qui se rue sur le bouton qui relève la vitre de séparation de l'habitacle.

Un ziiiiiiiiiiiiiiip discret annonce l'émergence de la queue de Brandon. Le garçon ne perd pas de temps et saisit la nuque de Cora pour l'amener à lui. ce n'est pas possessif, c'est juste pressé et le faux cri qu'il pousse quand il envahit la bouche chaude de Cora résonne comme une libération.

Lui, il n'est pas acteur pour des productions de fion donc il ne faut pas que la blondinette s'attende à un truc monstrueux, tout veiné, gonflé à l'hélium avec un gland de poney. Là, on est dans le normal + et ses frangins sont identiques. Bien sûr, pas de quoi rougir de honte car la norme est quand même dépassée ...

Cora, elle sait sucer, et lui, il l'accompagne en imprimant une pression supplémentaire à chaque retour.

"Bon sang!" Il écarte les cuisses pour qu'elle se cale mieux et quand il sent que ça monte, il arrache cette bouche vampirique de sa queue pour embrasser la jeune femme. Le baiser est ... sale, sans finesse, uniquement destiné à accorder une pause. James, derrière elle, en profite pour l'envelopper de ses bras pour atteindre ses seins. La robe ne résiste pas quand il la tire vers le bas et immédiatement, il la pelote, un peu maladroitement mais tout y passe, de la caresse au pincement.

"Je ..."

Ca sort. brandon gicle et il a à peine le temps de ramener la bouche de Cora à sa queue pour en balancer partout. Le flot est dense et épais, abondant, et Cora, qu'elle le veuille ou non, elle pourra se plaindre, n'a pas le temps d'avaler qu'Ethan la retourne et lui fourre sa queue entre les lèvres.  Le saligaud avait profité qu'elle pompe son frère pour s'exhiber et se branler. Son gland se fraye un passage facile et d'un coup de rein, il reprend le flambeau. Là, c'est lui qui guide et qui dirige. Il pompe directement dans le foutre de don frère dont une bonne partie barbouille ce joli visage.

Qui a dit qu'Ethan était le plus doux ou réservé des trois?



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

Son offre est certainement acceptée sans broncher, et la blonde se retrouve avec la queue du premier entre ses lèvres. Elle ne perd pas de temps, ramenant ses mains pour venir caresser les joyaux de Brandon (Elle pense que c'est peut-être Ethan) tandis que ses lèvres et sa langue s'activent. Elle suce, lèche, aspire et fait buter le gland contre le fond de sa gorge. Elle n'est pas novice, elle sait y faire. Elle aime ça, et ça se voit, ça se ressent dans l’enthousiasme avec lequel elle le pompe. Son regard clair, assombri par son désir, se lève parfois vers l’homme pour l’observer prendre son plaisir entre ses lèvres.

Les mains qui viennent s'occuper de sa poitrine trouvent ses tétons érigés, sensible, et elle gémit de manière étouffée contre le chibre qui lui occupe la gorge.

Beaucoup ne seraient pas heureuse de se retrouver a sucer un mec pendant qu’elle se trouve a genoux dans un mini-van, mais Cora adore ça. Elle sait que son tanga est déjà trempé tant ça l’excite.

Elle rends le baiser avec autant de ferveur qu'il est donné, ses mains continuant l'œuvre de ses lèvres présentement occupées. Et, bientôt, un liquide chaud éclabousse son visage avant d'atterrir sur sa langue, remplissant sa bouche rapidement. Elle réussit à déglutir une fois avant qu'une seconde queue ne viennent remplacer la première et qu'elle ne se retrouve le menton inondé de foutre et de salive.

C'est Ethan (qu'elle pense être James) qui a prit la place. Et il semble apprécier mener la danse. Cora ne se dérobe certainement pas et l’invite du regard a profiter de sa gorge accueillante. Le sale et le brutal ne la dérange pas le moins du monde.

Ses mains, alors dépourvue de but, se retrouvent à s'occuper des deux autres cuivres de chaque côté. L'un encore au repos après sa décharge et le second dressé au garde-à-vous. Tournant légèrement son corps sans bouger la tête, elle invite le troisième à venir caler son chibre entre ses seins luisants entre le foutre et la salive.

Elle est généreuse et aime se partager. Elle ne voudrait pas que les triplés repartent avec une impression négative de ses talents, n’est-ce pas ?

A croire que l'homme est bien plus faible que la femme. Ce n'est pas l'objet d'un débat, ou alors il serait stérile tant la question ne se pose pas. L'égalité est la même et le plaisir se trouve tout simplement là où on le découvre. Et des quatre, chacun trouve son bonheur au contact de ou des autres. Ethan se dévoile un talent pour une certaine forme de domination. Il se cale les fesses bien au bord de la banquette et peut ainsi bouger plus librement. Cora, il la tient bien. Une main dans ses cheveux pour s'ancrer, une autre derrière sa nuque pour accentuer la pression. Cette gorge accueillante, il la baise profondément. Si la bouche de la jeune femme est déjà foutrement bonne, alors sa gorge est une antre de débauche, un vrai déversoir en devenir. Le passage du goulet étroit n'a été qu'une formalité, Ethan s'y est engouffré comme un soudard, non ... comme un crado , bien qu'il n'approuverai surement pas le terme. Donc ouais, il lui baise la gueule, fort et salement. Et plus les secondes passent, plus il la garde et la maintient empalée su sa queue, son joli petit nez pressant contre son bas ventre. Et comme aucune résistance ne s'oppose à ce traitement, il s'enhardit et se montre même un peu brusque dans ses gestes. Des sons humides de frottement, de suintement ou encore d'étouffement ajoutent une dimension bien visqueuse et grasse à ce qui se passe dans cet habitacle réduit. Le garçon voudrait bien se lever pour donner plus d'entrain encore à ce facefuck d'opportunité mais il ne peut pas.

Et il n'est pas seul ...

James décide enfin de rejoindre vraiment la partie. Il impose au corps de Cora une torsion qui la met dans une position défavorable pour lui baiser ses gros seins. Cela change la donne pour Ethan qui doit maintenant forcé pour investir la gorge de la blondinette. Son gland râpe des muqueuses sensibles, risque de provoquer des surprises en cognant de travers et en usant d'angles de pénétration improbables. Bien visible, la gorge de Cora gonfle à chaque passage, imprimant l'empreinte de la queue du garçon sous sa peau fine marquée par des veines trop pressées.

James met quelques longues secondes à trouver la position idéale pour profiter pleinement du titfuck qu'il envisage. Quand il est prêt, en deux coups de reins, il sait déjà qu'il ne durera pas longtemps.

"Presse les Cora ... Fait moi gicler sur ta peau."

Sa bite disparait à chaque plongeon entre ces mamelles pesantes et seul le gland en jaillit difficilement sans arriver à déposer sur la glotte de Cora les prémices de ce qu'il allait bientôt lui cracher au visage.

"Haa ... HaaAAA ... HAN ! HAN ! HAN !"

Difficile d'être discret, surtout quand on se fait traire de la sorte. Les nibards de Cora ballotent à chaque retour, quand le pelvis de James vient s'écraser sous sa poitrine.

"Salope!"

C'est le premier mot cru qui sort. Qui l'a prononcé? Difficile à dire mais on s'en fout, à ce stade où on est plus proche de la réalité que du mensonge.

La scène est digne d'un bon gros porno et pour clore le tout, Brandon qui a repris de la vigueur vient se frotter entre les omoplates de la nouvelle muse des triplés. Il laisse sur sa nuque de longs filets gluants qu'il s'essaye à étaler .



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

Là, Cora est presque au Paradis, avec un P majuscule. Difficile de croire qu’une petite chose comme elle cache une si grosse salope. Elle est libérée, affamée et n’a pas froid aux yeux. Elle encaisse aussi, comme peut en témoigner Ethan (qu’elle pense toujours être James). Sa gorge se dilate pour le laisser passer. Elle déglutit autour de lui, s’étouffant mais adorant la sensation qu’il lui procure en la remplissant de la sorte. Et même si la position dans laquelle elle se trouve ensuite est moins confortable, elle arrive quand même à prendre son pieds. Ses cuisses sont poisseuses alors qu’elle prend clairement son pied à être utilisée de la sorte.

Entre ses seins opulents, bien pressés par ses mains, la queue du dernier des triplés se trouve compressée. Et il glisse avec quelques difficultés entre toute cette chair brûlante qui le comprime. Mais le chemin est vite lubrifié, entre le liquide séminal qui s’échappe de son gland, la salive de Cora et le foutre de Brandon qui macule son visage et sa gorge.

Les bruits sont obscènes. Entre les claquement mouillés, les gémissements et les bruits d’étouffement humides. La mutante pourrait presque jouir dans cette situation. Elle bouge un peu, change la position de ses mains, de son dos. Elle se laisse toujours défoncer la gorge par Ethan, des larmes faisant couler son mascara et le khôl qu’elle avait autour de ses yeux. Elle s’étouffe puis reprend le contrôle de sa gorge et de son souffle, avant de tendre une main désormais libérée pour guider Brandon sur le côté de son visage. Elle étale autant de foutre sur sa joue avec le gland violacé qu’entre ses doigts qui coulissent désormais autour de la hampe. Et son autre main reste occupée à maintenir sa poitrine pressée autour de la queue de James.

Bientôt, c’est l’apothéose. La blonde a réussi à se bouger suffisamment pour que ses cuisses poisseuses enserrent l’un des pieds de Brandon et elle ne perd pas un seul instant pour se frotter, déclenchant des petits chocs électriques dans son corps alors que sa perle excitée trouve le contact ferme qu’elle attend.

Le fait que l’orgasme qui saisit Cora coïncide avec le déluge de foutre qui l’assaille de tout côté ? Tout à fait calculé par la petite délurée qui s’éclate à se faire posséder par les triplés. Elle avait senti que le point culminant était proche et elle souhaitait en profiter au maximum. Sentir sa gorge inondée de sperme chaud et épais, recouverte à l’extérieur par la même substance, ça la fait passer au septième ciel avec l’aide de son bassin qui se frotte contre le pied de Brandon.

Et voilà qu’elle a fière allure, la petite scientifique. Recouverte de sperme, le visage rougi par l’effort, les yeux larmoyants, le maquillage ruiné et les seins à l’air. Une vision qui pourrait en choquer plus d’un.

Le mini-van dans lequel les quatre jeunes gens voyagent s’arrête bientôt devant l’immeuble des triplés. Toujours en reprenant son souffle, Cora tapote les queues luisantes des jeunes hommes et se redresse enfin, roulant sa tête pour décrisper sa nuque. Elle a un sourire en coin sur ses lèvres abusées. Son timbre est un poil rocailleux alors qu’elle leur propose d’aller continuer cette petite fête chez eux. Et le clou du spectacle ? Elle sort du mini-van dans l’état dans lequel ils l’avaient mise, sans aucune honte si jamais quelqu’un la voyait. Elle pourrait rajuster sa poitrine et la glisser sous sa robe, bien sûr. Mais… Non. Elle sort comme ça, les seins à l’air, tétons érigés de nouveau avec l’air frais de la nuit, et la robe retroussée sur ses hanches, dévoilant ses bas et son tanga souillé.

« Il y a un bouton d’urgence dans votre ascenseur, ou il faut attendre d’être chez vous pour continuer ? Demande-t-elle avec un regard affamé quand elle se retourne vers les triplés. »

Les corps ne mentent pas. Celui de Cora offre une démonstration sans équivoque quand son orgasme la secoue. C'est elle l'élément déclencheur, c'est elle qui par sa débauche assumée provoque la jouissance collective et quasi simultanée des garçons. Ethan se crispe, ouche ouverte, sans qu'aucun son n'en sorte, et se purge en secousses saccadées tout au fond de la gorge de Cora. Sans prétention, il est à ce moment là à demi inséré dans son œsophage et les jets de foutre chauds dévalent le conduit pour se loger dans l'estomac de la belle. L'organe va avoir du boulot et même si ce n'est pas la première fois, il va devoir faire le tri entre la matière protéinée et le reste. Ethan tient fermement la tête de Cora par les cheveux dont des poignées émergent d'entre ses doigts serrés. Ses phalanges blanchissent tant il est crispé et ses mouvements raides du bassin s'écrasent contre le visage ravagé de la prédatrice.
James est dans le même état que son frère. Il accélère furieusement la cadence entre les seins de Cora et quand il lâche la purée,il presse de toutes ses forces comme s'il cherchait à atteindre sa bouche. La poitrine massive est comprimée et James balance de longues salves de foutre qui imprègnent le sillon occupé, tapissent la gorge offerte et macule le menton de Cora et les couilles d'Ethan par la même occasion.Après ce déluge, il a l'air hébété et retombe en arrière, la queue molle et rouge d'avoir trop limé.
Brandon qui a déjà joui précédemment dans la bouche de Cora, termine de frotter son gland contre le visage de la blonde, à son initiative. La peau de l'américaine est luisante de sperme. Des paquets gluants collent à ses cils et pendouillent mollement. Ça bouge au rythme du frottement qu'elle recherche contre le pied d'un des frères et c'est bien à cet instant que les trois comprennent que la suite va faire l'objet de choses assez sales et intenses.

Le taxi arrive enfin à bon port et une once de sagesse sociétale rattrape les triplés quand Cora s'extraie de la voiture en l'état, c'est à dire en mode US Sperm Doll. Elle ne prend même pas la peine de recouvrir sa poitrine ni de s'arranger un minimum. Les garçons l'encadrent, fagotés comme ils le peuvent, et heureusement, à cette heure, ils ne croisent personne jusqu'à l'ascenseur dans lequel ils s'engouffrent.

Direction le seizième et dernier étage. Brandon retourne abruptement Cora et la plaque face contre la paroi, boobs pressés. Il la maintient d'une main par la nuque comme s'il tenait un manche et se libère. Accéder à l'intimité de la jeune femme en fouraillant sous sa robe est un jeu d'enfant. Un coup de rein et il crie: trop serré, trop sec, il manque s'écorcher le gland. Évidemment, Cora ne se trimballe pas avec la rondelle lubrifiée au cas où ... Brandon a juste mal visé aussi il s'applique un peu mieux au deuxième essai, et passé l'élastique du tanga, il la pénètre comme un saligaud, sans respect ni retenu. Il exhale, trop chaud, trop bon! Et c'est parti, il la baise au sens propre du terme. Sa queue la fourre et s’accommode de la douceur de ses parois vaginales qui elles, sont super accueillantes. Il lui lèche le cou avant de murmurer:

"C'est comme ça que tu voulais te faire prendre petite salope? Te faire troncher comme un sex toy?"

Il resserre sa prise sur la nuque de Cora et se lâche enfin, la défonçant, et maltraitant par là aussi la stabilité de la cabine. Au seizième, avant que les portes ne s'ouvrent, l'ascenseur se met en défaut et ... panne.

Au lieu de prévenir un agent de service en appelant via le bouton d'alerte, James libère la tête de Cora des mains de son frère et la penche vers a queue qu'il s'est empressé de sortir.

"Ta bouche ! Là! Suce!"

L'un d'un côté, l'autre de l'autre, et ils la maltraitent, tapant aussi loin que possible dans le fond de sa gorge et de son vagin. Ethan filme avec son smartphone. Les corps se heurtent  et les fluides s'échangent.



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

La mutante était déjà trempée de son orgasme dans le mini-van. Mais même si elle avait été aussi sèche que le Sahara, la façon dont Brandon (que Cora pouvait jurer qu’il était James) la plaqua contre la paroi de l’ascenseur aurait immédiatement provoqué les chutes du Niagara entre ses cuisses. Un gloussement appréciateur lui échappa alors qu’il la pressait contre le métal, appuyant sur sa nuque pour la maintenir pendant qu’il s’occupe de se libérer l’accès à son intimité trempée. Elle aimait les mecs qui savaient ce qu’ils voulaient, et se sentir contrôlée de la sorte lui faisait ressentir toutes sortes de choses délicieuses au creux des reins.

Un cri, un « Fuck, that hurts », lui échappa alors qu’il empruntait le mauvais accès sans préparations, sans lubrifications. Le corps de la belle s’est tendu sous l’assaut involontaire, la douleur brève et soudaine la sortant quelque peu du brouillard de désir dans lequel elle s’était perdue. Mais elle s’apaise, se relaxe, quand le second essai se passe beaucoup mieux.

« Damn right, réplique-t-elle quand il demande si c’est comme ça qu’elle voulait que ça se passe. Donnes-moi tout ce que tu peux, baby, fais-moi h-aaaah-hurler comme une chienne ! »

Et il semble bien parti pour, en la prenant comme il le faisait. Il était brutal, rapide, et le plaisir de la blonde montait en flèche. Il la ramonait tant et si bien que l’ascenseur s’arrêta avec un BIP signalant un problème technique. Mais ce son fut à peine entendu ou remarqué par la jeune femme. Surtout quand James (dont Cora ne démordrait pas qu’il était Ethan) s’empara de sa courte crinière pour la faire se pencher vers sa queue déjà raide. L’entendre lui ordonner de le sucer manqua de la faire défaillir tant ça la fit frémir de désir, et elle s’empressa de s’exécuter.

Elle le prit en bouche goulûment malgré sa gorge encore endolorie des efforts du troisième. Ethan (et la belle pourrait jurer qu’il s’appelait Brandon) l’avait bel et bien régalée avec son facefuck (ou peut-être throatfuck ?) dans le mini-van. Elle s’étouffe contre sa queue, salive tant et si bien que ça coule de nouveau contre son menton, et elle adore ça. Prise de tous les côtés (ou presque), la jeune laborantine prend un pied d’enfer. Tout son corps répond avec enthousiasme, la brève douleur contre son antre des plaisirs interdits (pour certains) oubliée face à la remontée des endorphines.

Elle se tient d’une main contre la hanche de James (Ethan ?) alors que l’autre cherche à l’aveugle à venir s’enrouler autour du sexe du dernier. Durant un bref répit, où elle avale sa salive, son regard l’accroche. Il est en train de filmer, et elle lui décoche un sourire digne des plus indécentes actrices porno -un signe qu’elle n’est pas du tout contre l’initiative- avant de lui faire signe de s’approcher. Si ses lèvres retournent aspirer le chibre de James, sa main a vite fait de choper la verge à peine refroquée d’Ethan. Elle le serre, le masse, le cajole. Elle ne voudrait pas qu’il se sente délaissé.

A force de se faire tringler par Brandon, la blonde remonte au pays des merveilles, son corps tremblant sous le plaisir qui la ravage. Sa main se resserre autour du membre d’Ethan tandis que sa gorge semble vouloir absorber le sexe de James. Son nez est collé contre le pubis de l’homme et le manque d’oxygène ne semble pas la gêner plus que ça alors que ses yeux se révulsent de plaisir.

Si elle était sobre et dénuée de toutes ces endorphines qui lui dévastent le cerveau, elle aurait suggéré qu’ils forcent la porte de l’ascenseur (vu qu’ils étaient à peu de chose près presque arrivé quand la panne à eut lieu) pour aller reporter leurs activités dans un endroit plus spacieux. Elle voulait absolument tenter d’avoir les triplés en elle en même temps, mais il fallait un minimum d’espace pour se mettre à l’aise.

Comme elle était droguée par le plaisir, elle se contenta d’émettre des sons étouffés signifiant son plaisir et son besoin d’en avoir toujours plus.

Les résidus de plaisir goutent sous le corps de Cora, formant des flaques compactes qu'il faudra penser à nettoyer plus tard, ou pas ... De sa bouche coule un mélange odorant de salive et de jus d'homme tandis que de sa chatte abonde un max de son plaisir à elle. Les garçons se donnent et Brandon oublie toute forme de gentillesse. il bourrine sévère dans ce vagin brulant en éructant.

"Salope! Salope! Salope!"

Et James, lui, profite tout simplement de cette gorge sans fond. Des deux il est peut être le plus rude tant l'acte est bandant. De toute manière, pour eux trois, c'est une première. En effet, ils ne partagent jamais leurs ébats et surtout, ils ne s'abandonnent jamais à autant de vulgarité. L'excitateur commun est donc Cora et son insatiable soif de débauche.

Ethan tremble en filmant. Elle lui secoue la queue comme si elle voulait l'arracher. Heureusement que la qualité du smartphone pallie à ses mouvements brusques. "Pu ... Putain, t'es folle!"
James ne la laisse pas répondre. Mais tout à une fin : Brandon se rappelle qu'il n'a pas de capote et que s'il lui jouit dedans ... Ça pourrait compliquer les choses. James se racle le gland sur les ratiches supérieures de Cora et couine de douleur. Et un message automatique du labo attire l'attention d'Ethan sur l'écran de son appareil. C'est juste ce qu'il faut aux garçons pour réaliser la folie de leur situation. Et si tout se débloque et que quelqu'un les captent? A défaut d'un retour direct aux USA, c'est la probabilité de se faire virer ou de prendre une rincée sévère ... Brandon se retire de Cora avec sfluuurt visqueux et sans grand effort, parvient à forcer les portes de l'ascenseur pour accéder à leur palier. James suit sans pour autant relâcher la bouche de Cora. La douleur précédente lui a fait lâcher trois gouttes de pisse et il n'a pas vraiment envie d'entendre l'éventuelle remontrance de la jeune femme, au cas où elle aurait fait la différence entre les différents jus mêlés dans sa bouche. Et Ethan ouvre enfin la porte de l'appartement dont la description flatteuse viendra peut être plus tard mais ce n'est la préoccupation de personne à cet instant.

Si Cora veut souffler, il faudra qu'elle attende un peu. Et d'ailleurs, il est loin d'être certain qu'elle en ait besoin. James lui permet enfin de respirer en s'extirpant de ses lèvres.

"Tu suces comme une pro. Tu ... fais ça souvent?"

Oh que ce n'est pas tes affaires mon grand mais si la curiosité est un vilain défaut, ce n'est pas non plus tous les jours qu'une bombe sexuelle offre son corps de cette manière. Brandon est passé par la cuisine et est revenu avec un truc dans les mains. il pèse sur les épaules de Cora et l'allonge à même le dos sur le tapis épais du salon. Sa robe est retirée sans douceur et elle reçoit quelques qualificatifs supplémentaires: pute, chienne, salope, entre autres ... Ethan s'agenouille au dessus de son ventre, serrant le joli corps entre ses cuisses. Il se glisse entre les seins de la pute tandis que James, lui, s'agenouille au dessus du visage de Cora. Il plante lui aussi sa bite entre les mamelles rebondies, à côté du membre de son frère. Si la pratique n'est pas nommée car assez rare à observer, on s'en fout. Ils se branlent à deux en grognant, se foutant totalement du confort de Cora, en dessous. Un double titfuck inversé? Un paizuri à deux? Bah ... Ils s'éclatent.

Quant à Brandon ... Cora peut l'entendre la prévenir.

"Je vais te faire le cul salope! J'espère que tu vas couiner parce que je vais préparer la suite ..."

Elle peut sentir un truc gras et liquide couler entre ses cuisses. Ce n'est pas de la vaseline ... beaucoup trop liquide. Une huile neutre de cuisine? Peut être ... En tout cas, ça n'a pas d'odeur. Sa rondelle est humectée et la pénétration anale qui suit est brutale, directe, totale. brandon crie et bourrine aussitôt comme un malade, lui détruisant le cul sans pitié. Il doit saigner un peu le sauvage ... Il relève les jambes de Cora et pose ses mollets sur ses épaules. il la plie, la sature de coups de reins, imposant une défonce anale assez violente, tandis que ses frères adoptent son rythme.



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Ethan parle en teal
James parle en limegreen
Brandon parle en white

La mutante est trop loin dans son désir de se faire ravager de tous les côtés pour paniquer au moindre rappel de la vie quotidienne. Aussi ne questionne-t-elle pas quand Brandon se retire et qu’il force les portes de l’ascenseur pour les sortir de là. Elle ne tente pas de se dérober à la prise de James, n’ayant même pas remarqué qu’il y eut autre chose que du foutre et de la salive dans sa bouche. Le trajet pour aller jusqu’à l’appart est presque inconfortable, cela dit, mais James la laisse se redresser quand ils sont entrés.

Un petit rire s’échappe de ses lèvres rougies et maltraitées. « Souvent ? Je ne dirais pas ça. Mais je n’ai aucun complexe quand je trouve des partenaires aussi enjoués que vous, les garçons. »

Elle ne résiste même pas un peu quand des mains sur ses épaules la force à s’agenouiller, puis à s’allonger sur le dos, se mordant la lèvre pour étouffer les petits gémissements qui voudraient s’échapper alors qu’elle se fait traiter de tous les noms. Sa robe -dans l’état pitoyable dans lequel elle était- est enlevée, et la blonde frémit quand le tapis entre en contact avec son dos. Elle offre un sourire coquin à Ethan quand il s’installe pour utiliser ses seins afin de se branler, et ce sourire s’élargit alors que James s’installe en face, ayant la même idée. Un gémissement affamé échappe à la laborantine alors qu’elle les sent tous les deux entre ses seins. La position ne lui permet pas vraiment de presser sa poitrine pour les étouffer dedans, alors elle choisit la meilleure solution qui vient ensuite. Elle s’agrippe d’une main aux cuisses qu’elle peut attraper. Et sa bouche vient, mutine, effleurer les bourses de James qui sont à sa portée.

« Oh, oui, les garçons… Utilisez-moi autant que vous le voulez…. Mmmh… les encourage-t-elle avant de revenir coller ses lèvres maltraitées contre les joyaux masculins qu’elle peut agacer. »

Quand Brandon la prévient qu’il va s’occuper de son cul, la mutante ne peut retenir un gémissement appréciateur et ses cuisses s’écartent d’elle-même pour lui permettre de venir préparer le terrain avec quelque chose de liquide et gras. Ce gémissement se transforme en cri alors qu’il l’empale d’un coup sec et brutal, ne laissant pas au cul de la jeune femme le temps de s’adapter. Mais elle adore ça, la pointe de douleur cette fois attendue et se mêlant à l’excitation du reste.

Cora est clairement en route pour un autre orgasme d’ici peu, avec la façon dont Brandon lui ruine la rondelle et les efforts combinés des deux autres pour venir recouvrir son corps de foutre chaud. Elle se tortille sous eux, le plaisir coursant dans ses veines comme l’alcool précédemment. Elle gémit, elle couine, elle encourage. Ses lèvres ne peuvent s’empêcher de gober les bourses de James quand elles sont à sa portées.

« Oh, fuck yes, encore, more, geint-elle d’une voix étouffée, rendue rauque par le désir. Je suis votre petite pute pour la nuit, ajoute-t-elle en croisant ses chevilles derrière la nuque de Brandon. Je veux que vous me dégradiez comme la-aaah ! la dernière des catins. »

Si ça, ce n’était pas une invitation évidente… Cora était nettement dans un autre monde. Un monde de désirs (avoués ou pas), de sexe sale et brutal, de plaisir sans complexe. Et elle savait qu’elle devrait travailler avec eux encore après cette soirée. Mais ça ne la freinait pas le moins du monde. Peut-être même qu’ils pourraient se refaire ça à l’occasion.