Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

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Barbak

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Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

mardi 03 juin 2025, 05:36:17

Rien n'est plus envirant que les embruns de la nature. L'odeur de sève des conifères, le chant des oiseaux, le sanglier avec les champignons grillé accompagné d'une pinte de bière. La nature est bienveillante et généreuse et Barbak l'aime de tout son cœur, elle et les plaisirs simple qu'elle apporte.

Certes, la civilisation à ses avantages, mais pour qu'un monde soit bien équilibré, il est nécessaire que le monde urbain s'efface par moments. La fête, l'alcool qui coule à flot et l'ambiance des tavernes sont des plaisirs intenses mais parfois les plaisirs simples et contemplatifs permettent des instants bucoliques qui insufflent à l'âme des émotions plus primaires.

Ses pérégrinations mentales et philosophiques furent hélas perturbées par des cris. Il n'y préta pas vraiment attention car ce n'était probablement que des chasseurs pas très malins en quête de gibiers. Les imbéciles ne savent probablement pas que le silence imposé par dame nature permet aux proies de facilement détecter les prédateurs et que si ceux ci désirent se nourrir, ils ne doivent en aucune manière rompre ce silence sacré.

- Par ici je vois de la fumée! Cria une voix

- Et merde! Pensa Barbak en comprenant qu'il allait recevoir de la visite.

Il aurait préféré rester tranquille mais la convivialité était une valeur importante que lui à transmit son père et les nains même si chez les nains la convivialité se résumait aux autres nains.

Un groupe de huit personnes, humains et males firent irruption dans son petit havre de calme. Tous étaient armés jusqu'au dents et l'encerclèrent bien vite pour le mettre en joue avec leurs arcs.

- Tiens tiens! Ce n'est pas la bête que l'on cherchait mais faute de mieux! Hey gamin! T'as intérêt à pas bouger! Tu viens avec nous!

Barbak, ne se sentant pas le moins du monde menacé, fit apparaitre une choppe pleine de rhum qu'il descendit d'un trait. L'aura de ses personnes étaient rouge ce qui était déjà suffisant pour faire bouillir son sang car il pouvait voir leurs péchés et parmi leurs fautes, certaines étaient tout simplement inacceptables. Trois d'entre eux avaient une aura noire ce qui était tout simplement une condamnation à un destin pire que la mort.

- Oh! Et avec qu'elle armée tu compte réaliser ce prodige? Je vais être sympa et laisser une chance à cinq de tes potes de tourner les talons et de fuir. Par contre, Toi et les deux à tes cotés c'est une autre histoire, mais si vous demandez pardon sincèrement pour vos fautes, je consent à vous offrir une mort rapide et pas trop douloureuse.

Bien évidemment, ils choisissent tous la méthode violente et ce n'est pas comme si de simples flèches en argent pouvaient entamer son cuir. En plus quel genre de crétin utilise des armes en argent? Sérieusement!? Pas étonnant que les lames cassent face à sa hache du chaos ou même ses cornes. Qui plus est, ses personnes ne sont pas habitué aux adversaires de petites taille vu que certains sont obligés d'attaquer bas. Les avantages d'être un nain.

Et ces quoi encore ce truc? Des runes et des sortilèges d'affaiblissement? Ces tours de passe-passe sont peut être utile sur des mortels mais ça n'as aucune utilité sur des envoyés divins. Après tout Barbak est le fils d'un dieu et seule la magie des immortels ou la magie de foudre est capable de l'affecter. Ils ne sont clairement pas équipés et entrainer contre un adversaire du style de Barbak qui n'as aucun mal à les massacrer.

Le premier à tomber se prit une hache dans la figure lançée tellement fort qu'elle brisa le mur du son, fit voler le corps en éclat et renversa plusieurs arbres avant de réapparaitre dans la main du mouflon. Un autre fit la douloureuse découverte des armes à feu pourtant très rare dans cette partie du monde, laissant un cratère béant dans son torse. Un autre se prit un coup de tête qui éclata sa boite crânienne comme un ballon, puis il saisit le quatrième par la cheville et s'en servit comme massue pour massacrer le cinquième et réduire les deux en purée sanguinolente.

Il brisa les genoux des trois derniers afin de les empêcher de fuir pour recevoir le châtiment qu'ils méritent.

Résultat des courses : cinq personnes mortes et trois personnes encore vivantes, amputées des quatre membres, castrés, la langue arrachée, les yeux crevés et brulé jusqu'à avoir la chair à vif mais encore vivant.

Barbeuk son père ne pardonne pas certains crimes et refuse la délivrance de la mort à ceux qui les commettent.

Barbak remballa ses affaires, il n'avait plus rien à faire ici et laissa les trois chasseurs encore en vie à la merci des animaux sauvages. C'est alors qu'il tomba nez à nez avec la cible des chasseurs.

Ce mec était tout simplement immense, au moins deux fois la taille de Barbak qui n'arrivait qu'a voir son menton même en levant la tête au maximum. Il avait une apparence de loup et son aura montrait clairement que son père approuvait ses actions.

- Ah bah putain! T'est vachement grand toi! Dis moi! Tu connaitrait pas un endroit ou je pourrait me laver? J'ai rencontré un groupe de connards et du coup j'ai du sang des tripes et des boyaux un peu partout!

Fulgrim

Terranide

Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 1 mardi 03 juin 2025, 18:47:02

Fulgrim, le Loup Tatoué, domine la clairière, sa silhouette colossale de deux mètres projetant une ombre imposante sous les rayons déclinants du soleil. Ses yeux jaunes, brillants d’un éclat lupin, scrutent l’étranger devant lui – un mouflon à l’allure féroce, sa fourrure maculée de sang, ses cornes luisant d’une aura de chaos brut. Les tatouages argentés sur la peau d’ébène de Fulgrim frémissent, comme s’ils captaient l’énergie sauvage émanant de cette créature. L’odeur métallique du carnage se mêle à celle des pins et de la terre humide, attisant une flamme dans ses instincts. Ce mouflon, avec sa sauvagerie et son assurance, est une énigme qui appelle à être explorée. Il s’avance, son armure de cuir épousant ses muscles saillants, sa démarche arrogante mais fluide, une lueur de provocation dans ses yeux.

"Par la lune, quel spectacle," lance Fulgrim, son regard perçant détaillant le mouflon, notant les éclaboussures de sang sur sa fourrure et l’éclat indomptable dans ses yeux. "T’as transformé cette clairière en charnier, l’ami. Ces vermines n’ont pas vu venir la tempête, pas vrai ?" Son rire profond résonne comme un grondement dans la forêt, à la fois chaleureux et teinté de danger. "Je ne sais pas qui tu es, mais t’as l’âme d’un prédateur, et ça, ça parle à mon sang."

Il s’approche d’un pas mesuré, son corps dégageant une aura magnétique, et incline légèrement la tête pour croiser le regard du mouflon, ses yeux luisants d’une lueur joueuse. "Tu veux te laver, dis-tu ? Je connais un coin parfait – une cascade pas loin, l’eau claire comme un éclat de lune, assez fraîche pour réveiller les instincts. Mais avant…" Il marque une pause, un sourire carnassier dévoilant une pointe de crocs. "Je sens l’odeur d’un festin – sanglier rôti, une pinte de bière, peut-être ? Partage donc avec un voyageur comme moi. La forêt est généreuse, mais un repas entre bêtes sauvages, c’est une autre sorte de rituel."

Fulgrim s’accroupit avec une grâce féline, rapprochant son visage du mouflon, son souffle chaud effleurant l’air entre eux. "Je suis Fulgrim, le Loup Tatoué. Et toi, cornu, t’as un nom ? Ou dois-je le deviner en humant le chaos qui pulse dans tes veines ?" Son ton est taquin, mais ses yeux scrutent intensément, cherchant à percer l’âme de cette créature. "Viens, allume ton feu, partage ta bière. On pourrait causer, rire, et peut-être…" Il penche la tête, son sourire frôlant la provocation, "voir si tu peux danser avec un loup sous les étoiles."

Fulgrim se redresse, désignant la direction de la cascade d’un geste fluide, mais son regard reste rivé sur le mouflon, une invitation ouverte à la camaraderie, au défi, et peut-être à un jeu plus primal. Il ne sait rien de cet être, mais son instinct hurle que cette rencontre pourrait enflammer la nuit.

Barbak

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Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 2 mercredi 04 juin 2025, 09:09:45

- Hum! Hélas ils étaient trop aveuglés par leurs péchés et leur avidité pour éviter mon courroux. J'ai vu qu'ils n'avaient pas l'intention de se repentir. Mais bon inutile de pleurer sur les idiots, le monde sombrerait sous le sel des larmes si l'on faisait se genre de chose.

Quand l'étranger proposa de partager un festin, Barbak sourit révélant ses crocs pourtant inexistant chez les herbivores de son espèce.

- Ahah! Toi au moins tu sais bien me causer. Mais quitte à festoyer autant aller le faire au bord de l'eau! Ici, ça va pas tarder à puer la charogne et les animaux sauvage vont pas tarder à rabouler vu que j'en ai laisser trois vivant et ils sont prêt à être dévoré si mon père se sent d'humeur clémente.

Quand le loup lui demanda son nom, il ne fit pas de manière car son père et lui même n'aiment pas le mensonge. Mentir n'était pas un péché grave mais Barbak ne s'y adonne que pour éviter la peine des jeunes âmes sensibles. Il lui est arrivé de mentir à des enfants qu'il avait sauvé en les laissant espérer que tout allait bien se passer ou que leurs parents étaient encore en vie ou ce genre de choses. Son père lui à bien sur pardonné au vu des circonstance.

Son interlocuteur n'ayant pas besoin d'être préservé de la vérité, il se montra le plus sincère possible.

- Moi!? Je suis Barbak! Fils du Dieu Barbeuk! Mais te prends pas la tête sur le coté divin! Mon père se considère égal avec les mortels et moi aussi! On n'aime pas se faire prier c'est super lourd et vraiment la honte! Contrairement aux autres dieu c'est pas un gros frustré qui à besoin d'attention.

Arrivé A la cascade, Barbak sortit le festin, mais comme cela était bien maigre, il utilisa ses pouvoirs divins pour faire apparaitre en plus du sanglier : Des quart de pommes de terres frittes, des champignons sauvages, des marrons, des oignons frits, du rhum en plus de la bière, des tomates farcies au beauf et à la graisse de canard ainsi que de nombreux mets qui donnent plus l'impression d'un festin massif.

Barbak ne fait qu'un mètre vingt-cinq mais il mange comme un nain. Mais avant de festoyer, Il retira son poncho sans la moindre gène pour plonger dans l'eau. Vu son poids et la densité de ses os, bien sur, il coula comme une pierre, mais il sauta hors de l'eau comme un poisson pour atteindre un endroit près de la cascade ou il avait pied.

L'hygiène est très importante. Sentir mauvais ou être sale trop longtemps n'est pas bon. C'est pourquoi Barbak prit son temps pour se laver. Il sortit de l'eau tout propre. S'il était très musclé au niveau du torse, avec des bras de la puissance d'un taureau, son ventre, ses cuisses et ses fesses avaient une petite couche de gras. Pas au point d'être adipeux car il était très musclé en dessous, mais cette petite touche de graisse lui donnait un joli petit ventre rond, pas trop rond ni trop plat, juste assez pour être sexy, mais pour ses cuisses et ses fesses, elles étaient aussi rondes et harmonieuses que celles d'une femme joliment gironde.

Pour ce qu'il avait entre le cuisses, c'était autre chose. On pouvait voir qu'il avait de larges et puissantes sacoches de cuir et un mât petit par la taille mais suffisamment large pour compenser son manque de longueur. Un shortstack dans toute sa splendeur.

Il remit son poncho, une fois celui ci propre et se posa pour festoyer avec Fulgrim. Il mordit dans un morceau de viande tout en descendant une pinte.

- OmNom! Hmmm! Glp! Alors dis moi mon gars! Je devine que c'est ton territoire par ici? Je cherche à rependre ma foi et je vois à ton aura que mon paternel t'as à la bonne! Tu peux me parler de ta vie un petit peu? Enfin si c'est pas indiscret!

Fulgrim

Terranide

Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 3 mercredi 04 juin 2025, 16:07:43

Fulgrim, le Loup Tatoué, suit Barbak jusqu’à la cascade, sa silhouette imposante glissant à travers les ombres de la forêt avec une grâce prédatrice. Ses yeux jaunes, luisants d’un éclat lupin, ne quittent pas le mouflon, captant chaque détail de sa démarche assurée, de ses cornes fières et de l’énergie chaotique qui pulse en lui. Les tatouages argentés sur sa peau d’ébène scintillent doucement sous la lumière de la lune naissante, comme s’ils réagissaient à la présence de ce fils de dieu. L’odeur du sang s’estompe, remplacée par celle de l’eau fraîche et des mets appétissants que Barbak fait apparaître. Fulgrim sent une chaleur familière monter en lui – un mélange de curiosité, d’admiration et d’un désir primal qui s’éveille face à l’audace et à la vitalité de ce guerrier. Lorsque Barbak plonge dans l’eau, Fulgrim s’adosse à un rocher, croisant les bras, un sourire carnassier étirant ses lèvres alors qu’il observe sans vergogne les formes musclées et généreuses du mouflon. Ce corps, compact mais puissant, avec ce ventre rond et ces cuisses sculptées, allume une étincelle dans ses instincts. Il se passe la langue sur les crocs, son regard brûlant d’une intensité presque palpable.

"Barbak, fils de Barbeuk," murmure Fulgrim, sa voix grave roulant comme un grondement de tonnerre, teintée d’une pointe d’amusement. "Un dieu qui se fiche des prières et des courbettes ? Ça, c’est une divinité qui me plaît. Et toi, petit titan, t’as l’air d’avoir hérité de son goût pour la franchise… et les plaisirs simples." Il laisse échapper un rire profond, ses yeux suivant le saut de Barbak hors de l’eau, admirant la puissance brute de ses mouvements et la façon dont l’eau ruisselle sur sa fourrure et ses muscles. Lorsque Barbak sort, propre et luisant, Fulgrim ne cache pas son intérêt, son regard glissant lentement sur le ventre rond, les cuisses épaisses et les attributs généreux du mouflon. Par la lune, ce shortstack est une œuvre d’art, un mélange parfait de force et de douceur qui appelle à être exploré.

Fulgrim s’approche du festin, s’asseyant avec une aisance féline à côté de Barbak, son corps massif contrastant avec la taille plus compacte du mouflon. Il attrape une cuisse de sanglier, mordant dedans avec une voracité sensuelle, ses yeux ne quittant jamais ceux de Barbak. L’odeur du rhum, des pommes de terre frites et des tomates farcies emplit l’air, et Fulgrim savoure chaque bouchée comme un rituel, son regard chargé d’une promesse tacite.

"Mon territoire ? Pas vraiment," répond-il, sa voix basse et envoûtante, un sourire provocateur jouant sur ses lèvres. "Je suis un errant, un mercenaire, un amant des nuits sauvages. La forêt, les cités, les tavernes… tout est mon terrain de jeu. Mais ici, près de cette cascade, disons que c’est un endroit où je viens me ressourcer, laisser la lune murmurer à mes instincts." Il se penche légèrement vers Barbak, son souffle chaud effleurant l’air entre eux, son regard glissant de nouveau sur les courbes du mouflon, sans la moindre subtilité. "Et toi, Barbak, t’es une tempête ambulante. Ce festin, ce corps, cette aura… par la lune, t’es un feu qui demande qu’à consumer. Ton père doit être fier de voir un fils aussi… appétissant."

Il attrape une pinte de bière, la descendant d’un trait avant de s’essuyer les lèvres d’un revers de main, ses tatouages scintillant sous l’effort. Il se rapproche encore, son genou frôlant celui de Barbak, une invitation claire dans sa posture. "Ma vie ? Oh, c’est une danse de sang, de sueur et de plaisirs. J’ai grandi dans une tribu de loups, appris à dompter mes instincts dans des rituels où la passion et la violence s’entrelacent. Aujourd’hui, je chasse, je combats, je séduis… et je cherche ceux qui peuvent suivre mon rythme." Il penche la tête, son sourire dévoilant une pointe de crocs, ses yeux brillants d’un éclat presque hypnotique. "Et toi, cornu, qu’est-ce qui te fait vibrer ? Répandre la foi de ton père, c’est une chose, mais je parie qu’il y a autre chose… un désir plus brut, plus sauvage, qui brûle là-dedans." Il tapote légèrement son propre torse, juste au-dessus de son cœur, mais ses yeux glissent de nouveau sur le corps de Barbak, une lueur de défi et de désir dansant dans son regard.

"Alors, dis-moi, fils de Barbeuk," murmure-t-il, sa voix tombant dans un registre plus bas, presque un ronronnement. "On partage ce festin, on rit, on boit… mais après, ça te dirait une danse sous la lune ? Quelque chose de plus… intime, pour sceller cette rencontre entre deux bêtes sauvages ?" Fulgrim se redresse légèrement, son corps vibrant d’une énergie contenue, prêt à bondir ou à séduire, selon ce que Barbak choisira. Son instinct hurle que ce mouflon pourrait être un partenaire de jeu à sa mesure, et il a bien l’intention de tester ses limites.

Barbak

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Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 4 jeudi 05 juin 2025, 04:52:04

- Hum! Visiblement t'aime bien danser fils de la lune! Dans ce cas, je vais te montrer comment on danse chez les enfants de la terre et te montrer ce qui brule en moi!

Sur ses mots, Barbak se leva pour chercher de son regard un espace suffisant. Il fit alors apparaitre une hache qu'il lança contre le sol, puis une autre, puis une autre, jusqu'a former un carré composé de huit haches. Il se plaça au centre et d'un geste, il invita le colosse à le rejoindre.

Il fit apparaitre une hache dans chaque main et en donna une à Fulgrim.

- Je vais te montrer une danse et un chant nain! C'est assez facile!

Barbak se mit alors à lancer sa hache au dessus de sa tête, tout en restant bien ancré dans le sol, puis la rattrape pour ensuite la lancer à Fulgrim pour qu'il puisse l'attraper et lui envoyer la sienne. Le lancer de hache est une pratique courante pour symboliser la fraternité naine. Lancer sa hache est fait pour aider un frêre en détresse et la renvoyer est un remerciement. Cadencé par le hululement des chouettes, Barbak se mit à chanter un chant guttural, lent et grave. Un chant aussi profond et puissant que la plus imposante des montagnes.


La solidité inébranlable de la montagne et la passion dévorante du feu, la destruction inaliénable de l'hypocrisie, l'amour sans bornes des plaisirs de la chair et du sang, le désir de batir un monde simple sans compter la sueur versé, la fraternité sincère, le mépris sans borne de l'égoïsme et la célébration de tout ce qui est beau et généreux.

Plus le chant s'intensifiait, plus les haches s'échangeait vite. La chaleur du feu et de l'été faisaient perler la sueur qui faisait luir son cuir et son pelage. Mais derrière tout cela, il y avait plus encore, l'amour de la vie. Le plaisir d'avoir son coeur pomper le sang à travers ses veines. Le combat, les festins, l'alcool qui coule à flot, le sexe, la vie qui brille d'une intensité si vive qu'elle dissipe les ténèbres de la mort. Derrière la destruction et le chaos, il y avait la vie, un désir sincère de remémorer aux mortels qui s'embourbent dans la complexité et les circonvolutions de la société la simplicité primaire de la vie.

Voila ce qu'il était, voila qui il était et il l'exprimait à travers son chant, sa hache et sa danse endiablée dans cette torride soirée d'été.

Le chant terminé, d'un revers du bras, il balaya la sueur de son front.

- Ma réponse te convient elle? Ce qui me fait vibrer est ce qui fait vibrer tout ce qui est en vie! Tout ce qui fait pomper le sang dans mes veines.

Il leva ses bras pour se faire plus imposant et théâtral

- Je vibre au son de tout ce qui est primaire, simple et sincère! Les courbettes? Non merci! Les politesses insidieuses? Non merci! Les circonvolutions alambiquées, les détours, la dissimulation? Non merci! Non merci! NON MERCI! Mais........ vivre! Rêver, être libre, pour un oui ou un non faire de jolies choses, prendre un verre avec un ami...... c'est ce à quoi j'aspire pour ce monde.

Il est certes le chaos, mais un chaos emplit d'une bonté simple et sincère. Voila ce qu'il est.

- Je viens de te montrer qui je suis! A ton tour maintenant de mener la danse et de me montrer qui tu est!
« Modifié: jeudi 05 juin 2025, 05:21:56 par Barbak »

Fulgrim

Terranide

Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 5 dimanche 15 juin 2025, 13:46:27

Fulgrim, le Loup Tatoué, observe Barbak avec une fascination grandissante, ses yeux jaunes luisant d’un éclat primal alors que le mouflon déploie sa danse endiablée. La sueur perlant sur le pelage de Barbak, la puissance de ses mouvements, et l’intensité brute de son chant guttural font vibrer quelque chose de profond dans l’âme sauvage de Fulgrim. Les haches sifflent dans l’air, leur échange rythmé par le hululement des chouettes et la chaleur oppressante de la nuit d’été. Chaque parole, chaque geste de Barbak est une célébration de la vie, une ode au chaos bienveillant qui résonne avec les instincts de Fulgrim. Lorsque le mouflon termine son chant, balayant la sueur de son front et levant les bras dans un éclat théâtral, Fulgrim sent son sang bouillir – non pas de colère, mais d’un désir ardent de répondre à ce feu par le sien. Il attrape la hache que Barbak lui a confiée, la faisant tournoyer dans sa main avec une aisance féline, un sourire carnassier étirant ses lèvres. Ce mouflon est une tempête, et Fulgrim a bien l’intention de danser dans son sillage.

“Par la lune, Barbak, fils de Barbeuk,” gronde Fulgrim, sa voix grave vibrant comme un écho de tonnerre dans la clairière. “T’as mis le feu à cette nuit, et je sens mon sang chanter en réponse ! Ta danse, ton chant… c’est le pouls de la vie elle-même, et ça, ça me parle.” Il s’avance, sa silhouette massive dominant l’espace, ses tatouages argentés scintillant sous la lumière lunaire comme s’ils s’animaient à l’appel du chaos. Il plante la hache dans le sol d’un geste puissant, faisant trembler la terre, puis s’approche de Barbak, son regard brûlant d’une intensité presque hypnotique.

“Tu veux voir qui je suis ? Alors accroche-toi, cornu, parce que le Loup Tatoué ne fait pas les choses à moitié.” Fulgrim rejette ses cheveux noirs en arrière, ses muscles roulant sous son armure de cuir alors qu’il se place au centre du carré de haches. Il lève les bras, sa présence imposante emplissant l’espace, et d’un claquement de doigts, il fait surgir une flamme dansante au centre du cercle, un feu magique qui pulse au rythme de son propre cœur. Il attrape une nouvelle hache, la faisant tournoyer avec une grâce mortelle, et commence sa propre danse – une performance qui mêle la sauvagerie d’un prédateur et la sensualité d’un amant.

Ses mouvements sont fluides, presque liquides, chaque pas calculé pour captiver, chaque rotation de la hache un défi lancé à la nuit. Il chante à son tour, sa voix grave et envoûtante s’élevant comme un hurlement lupin, portée par le crépitement du feu et le souffle du vent. Ses paroles parlent de liberté, de désir, de la chasse sous la lune, de corps enlacés dans l’ombre des arbres, de combats où le sang et la passion s’entremêlent. Les tatouages sur sa peau semblent s’animer, leurs motifs runiques pulsant au rythme de son chant, comme si la magie lunaire elle-même dansait avec lui.

“Je suis Fulgrim, fils de la lune et du feu primal,” entonne-t-il, sa voix grondante vibrant dans l’air. “Je vis pour la chasse, pour la sueur, pour le frisson d’un regard qui défie, d’un corps qui s’abandonne. Je méprise les chaînes, les faux-semblants, les cages dorées des cités. Mon cœur bat pour la liberté, pour les nuits où l’on hurle à la lune, où l’on aime sans honte, où l’on combat sans peur.” Il lance sa hache en l’air, la rattrape d’une main tout en pivotant pour faire face à Barbak, son regard brûlant planté dans le sien. Il lui tend l’arme, une invitation à rejoindre la danse, à sceller leur lien dans cette tempête de feu et de passion.

La sueur perle sur son front, faisant luire sa peau d’ébène, et il se rapproche de Barbak, son souffle chaud effleurant l’air entre eux. Ses yeux glissent sans vergogne sur le corps du mouflon – ce ventre rond, ces cuisses puissantes, cette présence qui hurle la vie. Il s’arrête à quelques centimètres, son sourire dévoilant une pointe de crocs, son aura magnétique presque palpable. “Tu parles de simplicité, de sincérité, et je vois ce feu en toi, Barbak. Moi ? Je veux un monde où les désirs ne sont jamais réprimés, où chaque nuit est une célébration de ce qui fait pulser le sang. Et ce soir…” Il penche la tête, son sourire devenant un défi sensuel. “Je veux danser avec toi, fils de Barbeuk. Pas seulement avec des haches, mais avec tout ce qu’on est – deux bêtes sauvages, libres, vivantes. Qu’en dis-tu ? On continue ce feu, on le fait rugir jusqu’à l’aube ?”

Fulgrim s’immobilise, son corps vibrant d’énergie, prêt à bondir ou à enlacer, selon la réponse de Barbak. Le feu magique crépite derrière lui, éclairant ses tatouages et son regard, qui ne quittent pas le mouflon. Il a montré son âme, sa sauvagerie, son désir – maintenant, il attend de voir si Barbak embrassera cette danse sous la lune.


Par la lune, quel spectacle, Barbak, fils de Barbeuk.
T’as mis le feu à cette nuit, et je sens mon sang chanter en réponse ! Ta danse, ton chant… c’est le pouls de la vie elle-même, et ça, ça me parle.
Tu veux voir qui je suis ? Alors accroche-toi, cornu, parce que le Loup Tatoué ne fait pas les choses à moitié.
Je suis Fulgrim, fils de la lune et du feu primal.
Je vis pour la chasse, pour la sueur, pour le frisson d’un regard qui défie, d’un corps qui s’abandonne. Je méprise les chaînes, les faux-semblants, les cages dorées des cités. Mon cœur bat pour la liberté, pour les nuits où l’on hurle à la lune, où l’on aime sans honte, où l’on combat sans peur.
Tu parles de simplicité, de sincérité, et je vois ce feu en toi, Barbak. Moi ? Je veux un monde où les désirs ne sont jamais réprimés, où chaque nuit est une célébration de ce qui fait pulser le sang. Et ce soir…
Je veux danser avec toi, fils de Barbeuk. Pas seulement avec des haches, mais avec tout ce qu’on est – deux bêtes sauvages, libres, vivantes. Qu’en dis-tu ? On continue ce feu, on le fait rugir jusqu’à l’aube ?

Barbak

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Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)

Réponse 6 mardi 17 juin 2025, 08:34:21

Décidément, ce loup lui plait de plus en plus. Barbak fit apparaitre une choppe qu'il vida d'un trait avant de s'essuyer la bouche d'un revers du bras et se lever. Il souriait de tout ses crocs car ce mortel arrivait à faire bouillir son sang. Le temps de la danse était révolu.

Il voulait chasser, suer, combattre sans peur et aimer sans honte, il allait être servit. Tel un petit sumo il leva les bras au ciel et une jambe pour l'abattre sur le sol dans un hurlement primal avec une telle force que le sol s'aplatit sous ses pieds.

Ainsi donc fils de la lune tu veux sentir ton sang pulser? Tu veux t'adonner au chaos primordial de la vie? Dans ce cas, montre moi ta ferveur.

D'un geste puissant, il retira son poncho et enfila un fundoshi. Les pieds ancré dans le sol, le poing posé contre la pierre, Barbak banda ses muscles et le défia du regard.

Si tu veux m'aimer sans honte dans ce cas, bats toi avec moi sans peur! Si tu arrive à me renverser et faire battre mon sang du tambour du combat, tu pourra m'ajouter à la liste de tes conquêtes.

La petite taille du mouflon combiné à sa force et son endurance herculéenne feront vite comprendre au loup qu'il va falloir un petit peu d'imagination pour lui faire toucher le sol.

La sueur du combat et des muscles qui s'animent, l'instinct primal qui s'éveille au son des cris de guerre. Fulgrim était un ami manifeste du chaos et Barbak désirait lui offrir un combat d'anthologie.

Après tout, quel est l'intérêt d'obtenir une proie sans avoir à chasser? L'un des enseignement de Barbeuk les plus important est qu'il est nécessaire de suer et travailler dur avant d'assouvir ses désirs pour la simple et bonne raison que plus le travail ou la chasse est dur, plus douce est la récompense quand on mets suffisamment d'effort et d'ingéniosité pour l'obtenir.

Pour renverser Barbak, le loup va devoir mettre beaucoup d'effort et d'ingéniosité car le mouflon nain est comme une montagne miniature. Il était comme un objet inamovible, repoussant les assauts frontaux avec aisance. Le loup avait beau avoir une puissance phénoménale, face à l'enfant d'un dieu ce n'était pas suffisant.

La sueur perlait sur le front et le buste de Barbak, un combat qui mets les nerfs à vifs et affute tout les sens. Au cours du combat, il ne pouvait s'empêcher de sourire. Il avait en face de lui un adversaire valeureux car peu importe le nombre d'échec, il avait l'air de s'adapter en conséquence.

Ce n'est qu'au bout d'une heure d'effort intense et acharné que Barbak fut enfin prit par surprise et que son postérieur toucha enfin le sol. Le mouflon éclata de rire en épongeant la sueur sur son front.

Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Tu m'as bien eu ce coup ci!

Il se releva et pressa son poing contre celui du loup en guise de respect.

L'aube est encore lointaine! Tu as encore la force de vouloir faire rugir le feu du chaos? Ou mieux encore celui de la passion...
« Modifié: mardi 17 juin 2025, 12:27:27 par Barbak »


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