Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

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Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 15 lundi 02 juin 2025, 12:42:14

Elle ne pouvait le nier, son mari l’avait bien surprise. Autant dans l’annonce de cette possession qu’était devenu le Seikusu Palace, que dans la suite qui suivit leur première danse au sauna. La belle brune s’était laissé totalement faire, s'agrippant juste bien à Okkoji lorsqu’il se redressa et la porta à travers les couloirs de la suite, l’amenant dans leur chambre afin d’y poursuivre la soirée.

Allongée sur le lit, lui au-dessus d’elle, Aiko admira son bien-aimé avec des yeux pétillants d’amour, alors qu’elle rougissait encore et toujours comme une éternelle adolescente à sa première fois. C’est avec une tendresse infinie qu’elle vint poser de nouveau ses mains sur son visage, le caressant lentement, un sourire timide aux lèvres mais amoureux, heureuse de ce moment qu’ils partageaient. Elle se mit à trembler et rougir de plus belle sous ses caresses, notamment celle sur son visage, adorant tellement sentir ses mains caresser ce dernier. Et là, un sourcil relevé, elle l’écouta intriguée, avant de se mettre à rougir comme une belle tomate quand il affirma qu’il allait lui faire crier son nom jusqu’à en oublier tout le reste.

« Okkoji… »

Réussit-elle à lui répondre d’une voix timide, avant qu’il ne s'empare de ses lèvres et l’embrasse avec une passion brûlante des plus enivrante, venant à la faire gémir plaintivement contre ses lèvres qui caressaient les siennes et sa langue qui pourchasser la sienne sans relâche. Ses hanches tressaillaient en sentant les siennes reprendre du service à vitesse grand V, la faisant trembler de tout son corps en gémissant de plus belle par cette nouvelle danse qu’ils entamèrent.

Tout son corps répondait à celui de son époux, ondulant, se cambrant, se pressant et se claquant contre le sien avec force et envie, tremblant d’envie sous les spames qui assaillaient de nouveau son corps, la chaleur et l’électricité la parcourant de la tête aux pieds à en avoir les oreilles qui bourdonnent sous tant de plaisir. Ses jambes yoyotaient autour de la taille d’Okkoji, se serrant et desserrant, manquant parfois de le relâcher avant de se remettre à le rattraper en toute hâte comme si elle manquait de tomber. Ses mains parcouraient son visage, son crâne, ses cheveux, son cou, ses épaules et ses bras tout en longueur, caressant avec sensualité et vitesse l’ensemble de sa peau, venant parfois même à le griffer légèrement quand elle se laissa emporter par la passion sauvage qui essayait de lui faire perdre ses moyens.

Puis, la voix de celui qu’elle aimait vint la sortir légèrement de cet état de semi-contrôle et semi-perte de soi, attirant toute son attention comme à chaque fois. Bien sûr, elle avait également rougit comme à chaque fois, son cœur s’emballant à toute allure sous les mots d’Okkoji, sous son regard, sous ses caresses, sous ses baisers et sous son corps se mouvant contre le sien. Et c’est avec cette tendresse qui lui collait à la peau qu’elle vint poser ses mains sur son visage, caressant tendrement ses joues et sa mâchoire, avant de venir déposer ses lèvres tendrement contre les siennes dans un doux baiser qu’elle lui répondit avec douceur.

« Oui… Je suis prête mon roi… Emmène-moi avec toi jusqu’au paradis et même au-delà… »

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 16 lundi 02 juin 2025, 19:13:41

Okkoji, son corps sculpté luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque frisson d’Aiko vibrer contre lui, chaque gémissement, chaque tremblement attisant le feu qui brûle dans ses veines. Ses yeux rougeoyants, plongés dans les siens, captent la lueur d’amour et de désir dans son regard, cette timidité persistante qui le fait sourire, un mélange d’arrogance et de tendresse. Ses muscles se tendent sous ses tatouages vibrants qui semblent danser sur sa peau alors qu’il la domine, ses mains calleuses parcourant ses courbes avec une précision possessive. Le lit de soie noire, vaste et solide, accueille leurs corps entrelacés, les draps se froissant sous leurs mouvements passionnés. Chaque ondulation d’Aiko, chaque cambrure de son corps contre le sien, chaque griffure légère sur ses épaules, le pousse à se perdre davantage en elle, à répondre à son besoin avec une intensité brute.

Ses lèvres capturent les siennes dans un baiser brûlant, sa langue explorant la sienne avec une fougue insatiable, tandis que ses hanches reprennent leur danse, un rythme à la fois lent et puissant, chaque coup de reins calculé pour la faire chavirer. Il grogne doucement, un son guttural qui vibre contre sa peau, alors que ses mains glissent de ses hanches à ses cuisses, les écartant légèrement pour s’enfoncer plus profondément, arrachant un gémissement plaintif à Aiko. Son corps répond au sien avec une synchronisation parfaite, ses jambes tremblantes s’enroulant autour de sa taille, ses ongles traçant des lignes brûlantes sur sa peau tatouée. La chaleur de leurs corps, la tension électrique qui les unit, fait monter en lui une vague de désir irrépressible, un besoin de la posséder entièrement, de la mener au-delà des limites du plaisir.

« Aiko… ma reine… » murmure-t-il contre ses lèvres, sa voix rauque et profonde, un grognement chargé de passion et de défi. « Tu veux le paradis ? Je vais t’emmener si loin que même les étoiles en seront jalouses. » Ses mots sont ponctués d’un coup de reins plus intense, ses muscles se contractant sous l’effort, ses yeux ne quittant pas les siens, observant chaque frisson, chaque soupir qu’elle lui offre. Il sent son corps trembler sous lui, ses jambes yoyotant autour de sa taille, ses mains explorant frénétiquement son visage, ses cheveux, ses épaules, comme si elle cherchait à s’ancrer à lui dans cette tempête de sensations.

Il ralentit un instant, prolongeant l’attente, ses lèvres frôlant son cou, mordillant doucement la peau sensible juste sous son oreille, là où il sait qu’elle est la plus vulnérable. Ses mains, puissantes mais tendres, remontent le long de ses flancs, caressant ses seins avec une lenteur délibérée, ses pouces effleurant leur pointe sensible, arrachant un nouveau gémissement à Aiko. Puis, avec une précision calculée, il accélère à nouveau, ses hanches s’enfonçant en elle avec une force qui fait vibrer le lit, les draps de soie glissant sous leurs corps. Chaque mouvement est une promesse, chaque caresse un serment, chaque grognement un aveu de son besoin d’elle. Il sent la tension monter à nouveau, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux.

Il capture ses lèvres dans un baiser plus profond, plus sauvage, sa langue dansant avec la sienne alors que ses hanches s’accélèrent, le rythme devenant presque frénétique. Ses mains s’enfoncent dans les draps de part et d’autre d’Aiko, ses muscles saillants se contractant sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur. Il grogne contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien, alors qu’il la guide vers l’extase, déterminé à lui offrir ce qu’elle demande – et plus encore. Ses lèvres quittent les siennes pour tracer un chemin brûlant le long de son cou, de son épaule, mordillant et embrassant chaque parcelle de peau, marquant son territoire avec une tendresse féroce.

« Tiens-toi à moi, ma belle, » grogne-t-il, sa voix vibrant d’une intensité presque animale, ses yeux rougeoyants brillant dans la pénombre. « On va au-delà du paradis, toi et moi. Accroche-toi, parce que je ne te lâcherai pas. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, plus puissant, arrachant un cri à Aiko, ses jambes tremblantes se resserrant autour de lui, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules. Il sent son corps se cambrer sous lui, ses gémissements devenant plus forts, plus désespérés, et il sait qu’elle est au bord du précipice, tout comme lui.

Avec une dernière poussée, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, son corps tremblant contre le sien, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son souffle mêlé au sien dans un moment d’intimité absolue. Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit. Puis, un sourire en coin apparaît sur ses lèvres, un éclat malicieux dans ses yeux alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante.

« Le paradis, c’était juste le début, ma reine, » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une promesse audacieuse. « Cette nuit, cette suite, ce lit… on n’a pas fini d’explorer. Prête pour un autre voyage ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur danse, déterminé à la mener toujours plus loin dans ce sanctuaire qu’il a créé pour eux.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 17 lundi 02 juin 2025, 23:39:01

C’est avec peine qu’Aiko reprenait son souffle, totalement essoufflé à force de gémir, crier et s’étrangler de plaisir dans leur monté au paradis durant leur seconde danse. Tout son corps tremblait, autant par les spasmes du plaisir qu’ils venaient d’éprouver, que par l’effort que son corps avait dû fournir puis endurer. Mais ce n’était pas fini, loin de là ! Okkoji était du genre tenace, et Aiko, malgré sa santé fragile, était toute aussi tenace que lui quand il s’agissait de danser avec sa chère et tendre moitié à chacune de leur retrouvaille.

C’est donc avec joie qu’elle put l’entendre lui annoncer que la soirée ne faisait que commencer, lui arrachant un sourire amusé et comblé, malgré le souffle qui s’échappait d’entre ses lèvres dans ses nombreuses expirations et inspirations d’air. Tandis qu’il l’embrassait avec une envie des plus brûlantes mais tout en douceur, la belle brune fit remonter ses mains douces jusqu’au visage de son époux, venant le caresser avec la même douceur et envie brûlante que leur baiser.

« Totalement prête mon roi… Mais, il y a un petit détail qui me chiffonne… »

Et là, sans prévenir, la jeune femme malgré sa carrure bien moins imposante qu’Okkoji, fit un mouvement de côté assez rapide et de toute ses forces. Évidemment, elle n'était pas en mesure de rivaliser avec la force de son mari, et n’avait pas la musculature nécessaire pour le déplacer. Mais, celui-ci se laissa totalement faire par son épouse, se laissant tourner sur le lit avec elle, afin de la laisser le surplomber en prenant place à son tour en position de force.

Aiko se retrouva donc au-dessus de son mari, assise à califourchon, l’admirant de toute sa hauteur sur lui en souriant, ravie malgré le rouge aux joues. Ses doigts délicats se mirent à se balader sur son torse, doucement et lentement, s’amusant un peu de ce petit jeu alors qu’elle se mit doucement à onduler son bassin contre le sien, la faisant gémir et trembler sous l’effet que cela lui faisait de le sentir ainsi en elle. Malgré l’effet que cela lui faisait, son corps se sentant assailli par le désir et le bonheur de l’union de leurs deux corps, elle se fit violence pour reprendre la parole, une voix douce et chaude à la fois en le regardant de ses yeux pétillants d’amour.

« Je pense qu’il est primordial pour notre voyage de… De tenter plusieurs approches positionnelles afin d’être sûre de tout explorer… Qu’en penses tu ô mon beau roi voyageur ? »

Demanda-t-elle d’un regard et sourire emplies de malice, riant doucement avec légèreté alors qu’elle se mouva plus rapidement et avec envie au-dessus de lui. Puis, pour couronner le tout, elle osa se pencher légèrement au-dessus de lui, faisant exprès frôler sa poitrine contre son torse lentement pour le titiller davantage, avant de venir donner un coup de langue sensuellement sur son torse sans le quitter des yeux, attendant patiemment et avec amusement sa réponse ainsi que ses réactions.

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 18 mardi 03 juin 2025, 11:45:37

Okkoji, son corps musclé luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent l’énergie d’Aiko vibrer contre lui, son audace et sa malice attisant le feu qui brûle dans ses veines. Allongé sous elle, il savoure la vision de sa reine perchée à califourchon, ses yeux rougeoyants captant chaque frisson, chaque rougeur sur ses joues, chaque ondulation de son bassin qui le fait grogner de plaisir. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent pulser sur sa peau, animés par la passion qui les consume. Ses mains, calleuses mais tendres, reposent sur sur ses hanches, accompagnant ses mouvements avec une retenue calculée, laissant Aiko mener la danse tout en sentant son propre désir monter, prêt à répondre à son défi. La façon dont elle le provoque, son coup de langue taquin sur son torse, son corps frôlant le sien, fait naître un sourire sauvage sur ses lèvres, un mélange d’arrogance et d’admiration pour cette femme qui sait si bien le faire plier.

Mais son envie de reprendre le contrôle, ne serait-ce qu’un instant, le pousse à agir. Ses yeux s’étrécissent, un éclat féroce y dansant, alors qu’il se redresse davantage, ses abdominaux se contractant sous l’effort. Ses mains glissent de ses hanches à son dos, la rapprochant de lui avec une force possessive mais empreinte de tendresse. Il incline la tête, ses lèvres frôlant d’abord son cou, puis descendant lentement, délibérément, jusqu’à sa poitrine. Il sent le frisson qui parcourt Aiko alors que ses lèvres effleurent la peau sensible de ses seins, et avec une lenteur calculée, il capture un de ses tétons entre ses lèvres, l’embrassant doucement d’abord, puis avec une intensité croissante, sa langue traçant des cercles brûlants autour de la pointe durcie. Un grognement rauque s’échappe de sa gorge, vibrant contre sa peau, alors qu’il savoure son goût, son souffle chaud caressant son sein tandis qu’il passe à l’autre, lui offrant la même attention passionnée, ses dents effleurant à peine la peau pour la faire frémir.

« Ma reine… » murmure-t-il contre sa poitrine, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé de désir. « Tu veux jouer ? Alors laisse-moi te montrer à quel point je peux t’emmener loin. » Ses lèvres continuent leur exploration, alternant entre baisers tendres et mordillements légers sur ses tétons, ses mains soutenant son dos pour la maintenir près de lui, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce. Chaque gémissement d’Aiko, chaque tremblement de son corps sous ses caresses, attise la flamme en lui, le poussant à intensifier ses attentions. Il sent son bassin onduler contre le sien, et il répond par un léger mouvement de hanches, s’accordant à son rythme, amplifiant la sensation qui les unit.

Il relève les yeux, son regard rougeoyant plongé dans le sien, captant la lueur de plaisir et de malice dans ses prunelles. Ses mains glissent à nouveau sur ses hanches, ses doigts s’enfonçant juste assez pour l’encourager à continuer ses ondulations, tout en maintenant une tension délicieuse entre eux. Il se redresse encore, s’asseyant presque, son torse pressé contre sa poitrine, ses lèvres quittant ses seins pour remonter vers son cou, mordillant doucement la peau sensible sous son oreille avant de capturer ses lèvres dans un baiser profond, passionné, sa langue dansant avec la sienne avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches s’accordent au rythme d’Aiko, le mouvement s’accélérant légèrement, leurs corps se mouvant en une synchronisation parfaite, comme une tempête prête à les emporter.

« Tu me rends fou, Aiko, » grogne-t-il contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien, ses yeux brillant d’une intensité sauvage. « Chaque parcelle de toi… je veux tout. Et je ne vais pas m’arrêter avant qu’on ait exploré chaque recoin de ce paradis. » Il ponctue ses mots d’un coup de reins plus marqué, ses mains glissant sous ses reins pour la soulever légèrement, changeant l’angle pour intensifier le plaisir. Ses lèvres reviennent brièvement à ses seins, embrassant à nouveau ses tétons avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour arracher de nouveaux gémissements à Aiko, avant de remonter pour capturer son regard, un sourire en coin trahissant son intention de la pousser encore plus loin.

« Alors, ma belle, » chuchote-t-il, sa voix rauque vibrante de désir, ses doigts traçant des lignes brûlantes le long de sa colonne vertébrale. « On continue ce voyage ? Montre-moi jusqu’où tu veux aller… mais sache que je te suis, et que je ne te lâcherai pas. » Il ralentit un instant, ses yeux plongés dans les siens, attendant sa réponse, son corps vibrant d’une énergie prête à exploser, prêt à la mener au-delà du paradis dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.
« Modifié: mardi 03 juin 2025, 18:01:38 par Okkoji Yamamoto »

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 19 mercredi 04 juin 2025, 13:26:40

Tout le corps de la belle brune tremblait d’extase. Les gestes, caresses, baisers et coups de reins de son mari l’avaient coupé court dans ses taquineries sensuelles, venant à subir avec bonheur tout ce qu’il lui avait fait dans cette danse. Leurs ébats tout comme ses mots ne manquait pas de faire emballer le coeur de cette pauvre jeune femme amoureuse, rougissant à tout ce que lui disait Okkoji, sans pour autant s’arrêter de se mouvoir contre lui et gemir en symbiose avec lui.

C’était tellement bon et il la faisait voyager comme personne dans ces plaisirs sensuels, transporter autant par leur amour que leur désir l’un pour l’autre. Mais son bellâtre d’époux ne savait pas s’arrêter, ho non ! Il avait osé la provoquer, effleurant sa peau du bout des doigts, jouant le rôle de prédateur un peu trop sûr de lui, un sourire effronté au coin des lèvres, il pensait encore mener la danse, tout en lui donnant le coup de grâce qui la fit crier plus fort d’une voix plaintive à en avoir les larmes aux yeux.

Grave erreur ! C’est avec un sourire des plus malicieux, ses yeux rougeâtres pétillants d’amusement et d’envie qu’Aiko jeta son corps de toute ses forces contre le sien dans un geste sec. Et là, son corps bien lové et pressé contre celui de son époux, la belle commença à se mouvoir de nouveau, très lentement, à ce que ça en devienne une véritable torture pour lui qu’il en ait du mal à se contenir et à la laisser faire.

« Mais moi non plus, je ne te lâcherais pas mon beau roi adoré… »

Souffla-t-elle en venant murmurer chaudement près de son oreille, ses bras dans son dos qui le serraient avec force contre elle. Puis, Aiko commença sa lente vengeance, chaque mouvement calculé, chaque caresse étant une menace à peine voilée emplie de désir et d’amour malgré tout dans ce petit jeu.

Et dans un petit rire amusé, elle vint attraper délicatement le lobe de son oreille entre ses lèvres, le suçotant doucement avant de se mettre à le mordre, tandis qu’elle fit glisser ses ongles dans son dos tout en le griffant. C’est avec satisfaction qu’elle l’entendît gémir, plus de surprise que de douleur, ce qui lui arracha un sourire des plus satisfaits. Mais, elle le sentit essayer de reprendre le dessus, et d’un coup de bassin parfaitement maîtrisé, elle tenta de le distraire et l’inciter à rester sage pour le moment.

« Un peu de patience mon roi… Laisse moi m’occuper un peu de toi, tout de même… »

Lui chuchota-t-elle à l'oreille, son corps se mouvant avec sensualité contre le sien toujours un rythme terriblement lent et torturant. Le bassin de la belle brune se frottait à celui d’Okkoji avec envie, savourant les vas et viens lents et délicieux en elle, toute la puissance et envie de son époux qui pulsait et tressaillit en elle, la faisant trembler en soupirant chaudement de plaisir, venant lui murmurer d’une voix chaude et douce.

« Okkoji, mon roi, mon tout… J’ai envie que tu me fasses crier à en perdre la tête et la voix… J’ai envie de ressentir à quel point tu m’aimes…  »

Et là, dans la chaleur étouffée de la chambre, les gémissements plaintifs d’Aiko se mêlèrent aux soupirs rauques d’Okkoji. Ce jeu de pouvoir et séduction se poursuivant sans relâche, reprenant un rythme plus intense. Aiko accéléra la cadence pour encourager son bien-aimé à lui faire ressentir tout l’amour qu’il a pour elle comme elle lui avait demander, l’invitant ainsi à reprendre la main dans cette danse sauvage et intime, aussi brutale que tendre dans cette nuit d’amour de leurs retrouvailles.

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 20 mercredi 04 juin 2025, 15:57:13

Okkoji, son corps musclé vibrant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque mouvement d’Aiko comme une provocation délicieuse, une danse de pouvoir où elle le défie avec une audace qui fait briller ses yeux rougeoyants d’un éclat sauvage. Allongé sous elle, il savoure la pression de son corps contre le sien, ses ondulations lentes et calculées qui le torturent avec une précision exquise. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – luisent sous la sueur, semblant pulser au rythme de leur union, tandis que ses muscles se contractent sous les griffures légères d’Aiko, chaque marque sur sa peau attisant le feu qui brûle en lui. Son souffle rauque se mêle à ses gémissements, et le sourire en coin sur ses lèvres trahit un mélange d’amusement et de désir brut, prêt à répondre à son jeu tout en luttant pour ne pas reprendre le contrôle trop vite.

Le coup de langue d’Aiko sur son lobe d’oreille, suivi de cette morsure douce mais audacieuse, arrache un grognement guttural de sa gorge, ses yeux s’étrécissant alors qu’un frisson de surprise et de plaisir le traverse. Ses mains, calleuses mais pleines de tendresse, s’agrippent à ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce, mais il se retient, la laissant mener cette danse torturante, son corps vibrant sous l’effort de se contenir. Le rythme lent et délibéré d’Aiko, ses mouvements de bassin qui le taquinent sans relâche, le poussent au bord de l’explosion, mais il savoure cette douce agonie, ses yeux ne quittant jamais les siens, captant chaque lueur de malice et d’amour dans son regard rougeâtre.

« Ma reine… » grogne-t-il, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé d’une tension à peine contenue, ses lèvres frôlant son cou alors qu’il se redresse légèrement, son torse pressé contre sa poitrine. « Tu veux jouer à ce jeu ? Tu penses pouvoir me tenir en laisse ? » Un rire bas, presque menaçant, s’échappe de ses lèvres, teinté d’une admiration brûlante pour son audace. Ses mains glissent le long de son dos, ses doigts traçant des lignes brûlantes sur sa colonne vertébrale, s’enfonçant juste assez pour répondre à ses griffures par une pression possessive. Il sent son corps trembler contre le sien, ses gémissements plaintifs attisant son désir, mais il obéit – pour l’instant – à son injonction de patience, laissant ses ondulations lentes le consumer à petit feu.

Mais les mots d’Aiko, cette supplique chaude et sincère, brisent les dernières chaînes de sa retenue. Son regard s’embrase, ses yeux rougeoyants brillant d’une intensité presque animale alors qu’il répond à son invitation. Ses mains glissent sous ses reins, la soulevant légèrement pour reprendre le contrôle, ses hanches s’accordant à son rythme mais avec une force nouvelle, plus profonde, plus puissante. Chaque coup de reins est une réponse à sa demande, une promesse de lui faire perdre la tête comme elle le souhaite. Il capture ses lèvres dans un baiser sauvage, sa langue dansant avec la sienne, ses dents effleurant sa lèvre inférieure alors qu’il grogne contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien.

« Tu veux crier, ma belle ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant contre ses lèvres, un éclat de défi dans ses yeux. « Alors je vais te donner tout ce que tu demandes… et plus encore. » Il accélère le rythme, ses hanches s’enfonçant en elle avec une précision qui arrache des cris à Aiko, ses mains soutenant son corps pour intensifier chaque sensation. Ses lèvres quittent les siennes pour descendre le long de son cou, mordillant la peau sensible sous son oreille, puis revenant à ses seins, capturant à nouveau ses tétons entre ses lèvres, les embrassant avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour amplifier ses gémissements. Chaque mouvement est calculé pour la pousser au bord de l’extase, chaque caresse une déclaration de son amour et de son désir.

Le lit de soie noire grince légèrement sous l’intensité de leurs mouvements, mais il tient bon, contrairement au banc du sauna. Okkoji grogne, son souffle chaud contre la peau d’Aiko, ses muscles se contractant sous l’effort alors qu’il la guide vers un nouveau sommet. Ses mains glissent sur ses cuisses, les écartant davantage pour s’enfoncer plus profondément, son regard ne quittant jamais le sien, captant chaque frisson, chaque cri, chaque larme de plaisir qui perle au coin de ses yeux. Il sent la tension monter en lui, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux, mais il tient bon, déterminé à lui offrir tout ce qu’elle demande.

« Aiko… ma reine, mon tout… » grogne-t-il, sa voix tremblante d’une passion brute, ses lèvres frôlant les siennes dans un baiser brûlant. « Je t’aime… et je vais te le prouver jusqu’à ce que tu ne puisses plus parler. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, plus intense, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles griffant son dos, et il sait qu’elle est au bord du précipice. Avec un dernier élan, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son corps tremblant contre le sien dans un moment d’intimité absolue.

Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit. Puis, un sourire en coin apparaît sur ses lèvres, un éclat malicieux dans ses yeux rougeoyants alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante. « On n’a pas fini, ma reine, » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une promesse audacieuse. « Ce paradis… on va le redessiner ensemble, encore et encore. Prête pour la prochaine danse ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur jeu, déterminé à la mener toujours plus loin dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 21 jeudi 05 juin 2025, 19:27:26

Aiko était essoufflée, sa voix venant à lui manquer tant qu’Okkoji l’avait fait crier et gémir. Tout son corps tremblait pris par les spasmes de plaisir qui s’était emparée d’elle, cette montée au paradis l’avait encore transportée, ne manquant pas de la faire jouir en parfaite symbiose avec lui.

La belle brune souriait, émue et heureuse, regardant amoureusement son mari de ses jolis yeux de biche, qui scintillaient de milles feux en le contemplant. Son visage si proche du sien, son front contre le sien, elle pouvait humer encore plus son parfum boisé aux notes d’agrumes, mêlés aux parfums de leurs deux corps transpirant parfumé au désir de leur amour. Son souffle chaud caressait les lèvres de son époux, venant l’embrasser à son tour dans une douceur infinie, mais dans un désir brûlant des plus palpable dans son geste.

« Okkoji… Je suis plus que prête… Fais-moi danser chéri… »

Réussit-elle à dire avec peine, sa voix en manque de souffle et très basse, arrivant à peine à parler tant elle était essoufflée par leurs ébats. Son corps de porcelaine frissonna sous les doigts d’Okkoji, venant se cambrer et presser avec envie contre le sien, ses mains dans son dos s'agrippant avec force de toute son envie bien pressante pour lui.

Puis, doucement, elle se remit à onduler son bassin contre le sien, le sentant en elle encore si dure, savourant ses vas et viens qui la faisait soupirer en souriant aux anges tant c’était bon. Tout en caressant son dos, le griffant même parfois, elle continua de l’embrasser, tendrement, sauvagement, jouant sur plusieurs vitesses en soupirant d’extase, alors que son corps tremblait encore d’impatience de le sentir la faire monter au paradis.

« Mon roi… Je veux… Te sentir complètement en moi… S’il-te-plait… »

Chuchota-t-elle, le souffle court et sa voix qui avait du mal à se retrouver, ses lèvres tremblantes contre les siennes tout en l’embrassant. Puis, comme pour accompagner ses paroles, elle vint retirer une de ses mains de son dos, venant la ramener vers elle. Et là, d'un geste distrait et rapide, elle la passa dans ses cheveux, venant enlever ses bijoux de coiffe, puis, elle les détacha !

Alors qu’elle jetait les éléments de sa coiffe au sol, Aiko dévoila sa longue chevelure noire aux magnifiques reflets, d’une finesse et douceur sans égale, lui arrivant jusqu’au bas du dos. Puis, dans la continuité, elle se laissa tomber en arrière, venant attirer Okkoji avec elle, tout en relevant ses cheveux en l’air dans un geste de la main, afin de les éparpiller sur le lit autour d’elle.

« Je sais que tu les aimes détacher chéri… »

Dans un murmure à peine audible toujours, sa voix douce qui peiner à retrouver du son tant elle avait crié, elle souriait malgré tout à son mari, caressant sensuellement son dos d’une main, alors qu’elle vint poser l’autre sur son visage, le caressant tendrement tout en l’embrassant amoureusement en gémissant plaintivement. Et, comme pour l’inviter à reprendre leur danse, elle se mit à se mouvoir sous lui, pressant bien tout son corps contre le sien, ondulant et frottant son bassin contre le sien, les jambes enlacés autour de sa taille mais les cuisses bien écartées, désirant le sentir complètement en elle comme elle lui avait demandé, gémissant et tremblant de bonheur sous les effets merveilleux qui lui faisait sentir, souriant amoureusement en ayant hâte qu’il la fasse jouir encore et encore.


Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 22 dimanche 15 juin 2025, 13:51:31

Okkoji, son corps sculpté luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque frisson d’Aiko contre lui, chaque gémissement, chaque tremblement attisant le feu qui rugit dans ses veines. Allongé au-dessus d’elle, il savoure la vision de sa reine, ses longs cheveux noirs désormais détachés, s’étalant sur les draps de soie comme une cascade d’obsidienne, encadrant son visage rougi par le plaisir. Ses yeux rougeoyants captent chaque éclat d’amour dans son regard de biche, chaque soupir, chaque cambrure de son corps qui s’offre à lui avec une intensité qui le rend fou. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent vibrer sous la sueur, animés par la passion qui les consume, tandis que ses muscles se contractent sous les griffures légères d’Aiko, chaque marque sur sa peau attisant son désir brut. Son souffle rauque se mêle au parfum boisé et citronné de son propre corps, entrelacé à l’odeur enivrante de leur union, une alchimie qui le grise.

Le geste d’Aiko, libérant ses cheveux dans un mouvement fluide, fait naître un grognement guttural dans sa gorge, ses yeux s’étrécissant d’un éclat sauvage alors qu’il la regarde, captivé par la beauté de ses longues mèches déployées autour d’elle. Ses mains, calleuses mais tendres, glissent le long de ses flancs, s’attardant sur ses hanches avant de remonter pour caresser la peau douce de son ventre, puis de ses seins, où il effleure ses tétons avec une lenteur délibérée, arrachant un frisson à sa reine. Ses lèvres capturent les siennes dans un baiser brûlant, passionné, sa langue dansant avec la sienne, répondant à ses gémissements plaintifs avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches s’accordent au rythme d’Aiko, ses ondulations lentes et provocantes le rendant presque fou, mais il savoure cette torture, déterminé à lui donner tout ce qu’elle demande.

« Ma reine… » grogne-t-il, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé de désir alors que ses lèvres frôlent les siennes, son souffle chaud caressant sa bouche. « Tes cheveux… comme une cascade de soie… tu sais ce que ça me fait. » Un sourire en coin, arrogant mais empreint d’une tendresse infinie, étire ses lèvres alors qu’il se redresse légèrement, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce. Il sent son corps se cambrer contre le sien, ses jambes écartées autour de sa taille, ses hanches ondulant avec une envie brûlante, et il répond par un coup de reins profond, précis, arrachant un cri étouffé à Aiko. Ses yeux ne quittent pas les siens, captant chaque larme de plaisir, chaque frisson, chaque soupir qui s’échappe de ses lèvres tremblantes.

Il accélère le rythme, ses hanches s’enfonçant en elle avec une force calculée, chaque mouvement une réponse à sa supplique de le sentir complètement. Ses mains glissent le long de ses cuisses, les maintenant écartées pour s’enfoncer plus profondément, son souffle devenant plus erratique alors qu’il grogne contre son cou, mordillant doucement la peau sensible juste sous son oreille. Ses lèvres reviennent à ses seins, capturant à nouveau ses tétons entre ses lèvres, les embrassant avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour amplifier ses gémissements. Le lit de soie noire grince légèrement sous l’intensité de leurs mouvements, mais il tient bon, accueillant leur danse sauvage sans protester. Chaque coup de reins est une déclaration, chaque caresse une promesse, chaque grognement un aveu de son amour et de son désir pour elle.

« Tu veux me sentir, ma belle ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant contre sa peau, ses lèvres traçant un chemin brûlant de son cou à sa clavicule. « Je vais te donner tout de moi… jusqu’à ce que tu ne puisses plus penser, plus parler, rien qu’à moi. » Il ponctue ses mots d’un coup de reins plus profond, plus intense, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles griffant son dos, et il sait qu’elle est au bord du précipice. Il capture ses lèvres dans un baiser sauvage, sa langue dansant avec la sienne, ses dents effleurant sa lèvre inférieure alors qu’il accélère encore, déterminé à la faire crier comme elle le souhaite, à la mener au-delà du paradis.

La tension monte en lui, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux. Ses muscles se contractent sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur, son regard rougeoyant brillant d’une intensité presque animale alors qu’il la guide vers un nouveau sommet. Avec un dernier élan, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son corps tremblant contre le sien dans un moment d’intimité absolue. Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit, son souffle mêlé au sien dans la chaleur étouffée de la chambre.

« Ma reine, mon tout… » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une tendresse possessive, un sourire malicieux étirant ses lèvres alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante. « Cette danse… elle n’est pas finie. Prête à remonter au paradis, encore une fois ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur jeu, déterminé à la faire jouir encore et encore, dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 23 mercredi 09 juillet 2025, 18:34:38

Encore une fois, il l’avait fait monter au paradis, lui donnant tout de lui et la bichonnant comme jamais. Et elle aimait ça, se sentir tant aimer et désirer par lui, sentir leurs corps l’un contre l’autre danser sans s’arrêter, leurs corps comme leurs âmes unies dans leurs ébats, oubliant ainsi tout le monde qui les entourait et ne pensant qu’à eux, seulement eux dans ces instants. C’était magique, merveilleux et terriblement paradisiaque ! Donc, bien entendu, quand son mari lui annonça qu’ils allaient remettre le couvert, Aiko ne put que sourire ravie à ses mots, venant lui répondre d’une voix totalement essoufflée tout en caressant amoureusement son visage.

« Avec toi mon roi, j’irais jusqu'au bout du monde sans hésiter. »

Ces mots aussitôt prononcés, la belle brune aux mirettes écarlates déposa un tendre baiser sur les lèvres de son époux, faisant glisser sa main autour de son crâne, caressant sa peau et ses cheveux entre ses doigts. Puis, tout en même temps, elle se mit à onduler son corps contre celui d’Okkoji, le caressant, se frottant et se jetant avec envie contre sa peau, jouant de toute son anatomie de ses doigts à ses pieds pour l’inviter à danser avec elle. De ses pieds, elle carressa tendrement ses mollets, de l'entièreté de ses jambes les siennes ainsi que ses hanches entre ses cuisses, les serrant et desserrant autour de lui pour mieux le sentir contre et en elle, tremblant de tout son être en le sentant si parfaitement logé en son jardin intime, adorant sentir sa lame aller et venir en elle en continue, la faisant gémir et soupirer de bonheur contre ses lèvres.

Puis, doucement, elle accéléra le rythme, son corps se mouvant plus rapidement contre le sien, se plaquant avec plus de vitalité, se jetant avec plus de force, faisant ainsi claquer leurs deux corps avec fougue à en résonner dans toute la chambre. Sans parler du lit qui se plaignait de nouveau de leur nouvelle danse qui repartait passionnément en bestialité, devant supporter leurs ébats à la chaîne qui ne lui laissait pas de répit. Les baisers d’Aiko suivaient la cadence, devenant plus enflammés et envieux, fougueux et langoureux, à s’en cogner ses quenottes contre celles de sa moitié. Quant à ses mains à l’arrière du crâne d’Okkoji, elle vint les faire glisser sur son visage, caressant sensuellement sa mâchoire, avant de venir passer délicatement sur son cou et glisser le long de ses pectoraux en commençant à le griffer avec envie, attrapant sa lèvre au passage pour la mordiller un instant, la relâchant ensuite pour se saisir avec faim de ses lèvres délicieuses tandis qu’elle fit passer ses mimines griffantes dans son dos, venant le marquer de nouveau de toute sa passion et son amour pour lui.

Au fur à mesure de leur succulente danse, qui passait de la valse au twist puis au tango jusqu’au pogo, le feu prit possession de plus en plus du corps de la belle brune, allumant la mèche de l’orgasme sur le point d’exploser tel un feu d’artifice.

« Mon tout… Mon amour… Je… Je veux que… Tu me fasses… Devenir tienne… Encore… Pitié… Okkoji, fais moi tienne… »

Demanda-t-elle d’une voix à bout de souffle, en manque d’air, gémissante et soupirante sans s’arrêter pour autant. Tout en lui jetant un regard implorant de ses prunelles rougeâtres larmoyantes de désir, venant lui avouer qu’elle allait monter bientôt au 7e ciel. Venant se saisir ensuite de ses lèvres, ne laissant pas le temps de répondre à son mari, car elle avait besoin plus que tout de l’embrasser en cet instant, tandis qu’elle sentait tout son corps tremblait, venant prévenir de l’explosion imminente de la jouissance qu’il lui provoquaient, alors que le corps musclé de son époux se démener comme un beau diable à la satisfaire et la faire grimper aux rideaux pour ce nouveau voyage au paradis.


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