Okkoji, son corps sculpté luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque frisson d’Aiko vibrer contre lui, chaque gémissement, chaque tremblement attisant le feu qui brûle dans ses veines. Ses yeux rougeoyants, plongés dans les siens, captent la lueur d’amour et de désir dans son regard, cette timidité persistante qui le fait sourire, un mélange d’arrogance et de tendresse. Ses muscles se tendent sous ses tatouages vibrants qui semblent danser sur sa peau alors qu’il la domine, ses mains calleuses parcourant ses courbes avec une précision possessive. Le lit de soie noire, vaste et solide, accueille leurs corps entrelacés, les draps se froissant sous leurs mouvements passionnés. Chaque ondulation d’Aiko, chaque cambrure de son corps contre le sien, chaque griffure légère sur ses épaules, le pousse à se perdre davantage en elle, à répondre à son besoin avec une intensité brute.
Ses lèvres capturent les siennes dans un baiser brûlant, sa langue explorant la sienne avec une fougue insatiable, tandis que ses hanches reprennent leur danse, un rythme à la fois lent et puissant, chaque coup de reins calculé pour la faire chavirer. Il grogne doucement, un son guttural qui vibre contre sa peau, alors que ses mains glissent de ses hanches à ses cuisses, les écartant légèrement pour s’enfoncer plus profondément, arrachant un gémissement plaintif à Aiko. Son corps répond au sien avec une synchronisation parfaite, ses jambes tremblantes s’enroulant autour de sa taille, ses ongles traçant des lignes brûlantes sur sa peau tatouée. La chaleur de leurs corps, la tension électrique qui les unit, fait monter en lui une vague de désir irrépressible, un besoin de la posséder entièrement, de la mener au-delà des limites du plaisir.
« Aiko… ma reine… » murmure-t-il contre ses lèvres, sa voix rauque et profonde, un grognement chargé de passion et de défi. « Tu veux le paradis ? Je vais t’emmener si loin que même les étoiles en seront jalouses. » Ses mots sont ponctués d’un coup de reins plus intense, ses muscles se contractant sous l’effort, ses yeux ne quittant pas les siens, observant chaque frisson, chaque soupir qu’elle lui offre. Il sent son corps trembler sous lui, ses jambes yoyotant autour de sa taille, ses mains explorant frénétiquement son visage, ses cheveux, ses épaules, comme si elle cherchait à s’ancrer à lui dans cette tempête de sensations.
Il ralentit un instant, prolongeant l’attente, ses lèvres frôlant son cou, mordillant doucement la peau sensible juste sous son oreille, là où il sait qu’elle est la plus vulnérable. Ses mains, puissantes mais tendres, remontent le long de ses flancs, caressant ses seins avec une lenteur délibérée, ses pouces effleurant leur pointe sensible, arrachant un nouveau gémissement à Aiko. Puis, avec une précision calculée, il accélère à nouveau, ses hanches s’enfonçant en elle avec une force qui fait vibrer le lit, les draps de soie glissant sous leurs corps. Chaque mouvement est une promesse, chaque caresse un serment, chaque grognement un aveu de son besoin d’elle. Il sent la tension monter à nouveau, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux.
Il capture ses lèvres dans un baiser plus profond, plus sauvage, sa langue dansant avec la sienne alors que ses hanches s’accélèrent, le rythme devenant presque frénétique. Ses mains s’enfoncent dans les draps de part et d’autre d’Aiko, ses muscles saillants se contractant sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur. Il grogne contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien, alors qu’il la guide vers l’extase, déterminé à lui offrir ce qu’elle demande – et plus encore. Ses lèvres quittent les siennes pour tracer un chemin brûlant le long de son cou, de son épaule, mordillant et embrassant chaque parcelle de peau, marquant son territoire avec une tendresse féroce.
« Tiens-toi à moi, ma belle, » grogne-t-il, sa voix vibrant d’une intensité presque animale, ses yeux rougeoyants brillant dans la pénombre. « On va au-delà du paradis, toi et moi. Accroche-toi, parce que je ne te lâcherai pas. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, plus puissant, arrachant un cri à Aiko, ses jambes tremblantes se resserrant autour de lui, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules. Il sent son corps se cambrer sous lui, ses gémissements devenant plus forts, plus désespérés, et il sait qu’elle est au bord du précipice, tout comme lui.
Avec une dernière poussée, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, son corps tremblant contre le sien, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son souffle mêlé au sien dans un moment d’intimité absolue. Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit. Puis, un sourire en coin apparaît sur ses lèvres, un éclat malicieux dans ses yeux alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante.
« Le paradis, c’était juste le début, ma reine, » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une promesse audacieuse. « Cette nuit, cette suite, ce lit… on n’a pas fini d’explorer. Prête pour un autre voyage ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur danse, déterminé à la mener toujours plus loin dans ce sanctuaire qu’il a créé pour eux.