Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

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Okkoji Yamamoto

Humain(e)

**Okkoji, le Dragon Écarlate**

Dans l’ombre des lanternes de cerisiers en fleurs, Okkoji se tenait droit, imposant, un véritable démon vêtu d’un costume noir impeccablement taillé. Sa cravate rouge ornée de motifs floraux contrastait avec la noirceur de son regard, et une cigarette pendait nonchalamment entre ses lèvres, la fumée dansant autour de lui comme un serpent. Ses cheveux teints en rouge flamboyant, rasés sur les côtés, semblaient refléter le feu de son âme, et les tatouages complexes qui recouvraient son cou et ses mains racontaient une histoire de violence et de pouvoir. Un dragon enroulé autour d’un sabre, symbole de son clan, ornait sa peau, visible même sous le col de sa chemise blanche immaculée. Une montre de luxe brillait à son poignet, un rappel constant que le temps était un luxe qu’il contrôlait.

Okkoji était une légende vivante, le chef incontesté du clan Yakuza le plus puissant du monde, craint des gouvernements et respecté par ses pairs. Surnommé le Dragon Écarlate, il avait bâti un empire criminel s’étendant de Tokyo à New York, ses doigts invisibles manipulant les fils du pouvoir mondial. Mais derrière cette façade impitoyable se cachait un secret que personne, pas même ses lieutenants les plus fidèles, ne connaissait : Okkoji était marié.

Sa femme, Aiko, était une ancienne danseuse traditionnelle, une beauté délicate aux yeux de biche et au sourire timide. Ils s’étaient rencontrés lors d’une soirée dans un ryokan isolé, loin des regards indiscrets. Contre toute attente, Okkoji, l’homme qui n’avait jamais plié devant personne, était tombé amoureux. Mais leur union devait rester secrète – dans son monde, l’amour était une faiblesse que ses ennemis exploiteraient sans hésiter.

Pour la protéger, Okkoji avait décidé de l’éloigner de Tokyo, où les tensions entre clans Yakuza s’intensifiaient. Il avait choisi Seikusu, une petite ville côtière discrète, connue pour ses eaux thermales et son calme. Là-bas, Aiko pourrait vivre en paix, loin des ombres qui hantaient la vie d’Okkoji. Il avait tout arrangé : une suite dans un palace luxueux, le Seikusu Palace, à seulement un kilomètre de la gare. Les chambres, décorées avec un raffinement moderne, offraient une vue apaisante sur la mer, et le restaurant gastronomique proposait une cuisine japonaise traditionnelle qui rappellerait à Aiko les saveurs de son enfance. Le bar feutré, avec son ambiance tamisée, serait parfait pour ses soirées solitaires, et la piscine intérieure chauffée ainsi que le centre de bien-être – avec son sauna et ses massages – lui permettraient de se détendre.

Ce soir-là, Okkoji se tenait dans le jardin du palace, sous les lanternes de pierre, observant les pétales de cerisier tomber doucement. Il venait de finaliser le déménagement d’Aiko. Elle était arrivée dans l’après-midi, et il l’avait accompagnée jusqu’à sa suite, s’assurant qu’elle avait tout ce dont elle avait besoin. « Tu seras en sécurité ici, » lui avait-il murmuré, sa voix rauque mais empreinte d’une tendresse rare. Aiko avait hoché la tête, ses yeux brillants de larmes contenues. Elle savait qu’il ne pouvait pas rester – pas encore. Pas tant que ses ennemis rôdaient.

Okkoji tira une dernière bouffée de sa cigarette, puis l’écrasa sous sa chaussure vernie. Il ajusta sa cravate, son regard se perdant dans la nuit. Seikusu n’était qu’une étape. Bientôt, il mettrait fin à cette guerre de clans, et alors, il pourrait enfin vivre avec Aiko au grand jour.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 1 jeudi 29 mai 2025, 20:47:44

Aiko essayait de prendre ses marques au Seikusu Palace. Cela n’était pas évident pour elle, même si elle savait parfaitement s’adapter à toute situation et environnement, ce qui l’aidait à relativiser et garder le contrôle peu importe les contextes environnants. Elle savait être d’un calme olympien et toujours de bons conseils, ce qui faisait d’elle une femme sage.

Malgré cela, il lui était parfois difficile de présenter les choses avec sagesse et surtout logique, notamment envers son fils. Le petit Katsu, âgé de 4 ans, qui était curieux sur les raisons pour lesquelles lui et sa mère avaient dû déménager et quitter leur grande maison à Tokyo, pour venir s’installer dans une autre ville. Bien entendu, la jeune femme avait sû trouver les mots, expliquant ainsi à son enfant qu’ils avaient dû déménager en raison d’importants travaux à faire dans la maison qu’ils habitaient jusque là, et qu’en attendant, ils vivraient ici, à Seikusu, et qu’en plus la mer n’était pas très loin et qu’ils pourront souvent y aller ensemble.

Un mensonge, malheureusement, mais qui était nécessaire. La suite ? Elle l’avait déjà orchestré, plus ou moins :  la maison était sur un terrain dangereux pour une habitation et il fallait donc trouver une autre maison, mais que les recherches allaient être longues et qu’ils allaient donc devoir rester ici en attendant. La belle brune était malheureusement habituée aux mensonges, même si elle n’aimait pas spécialement ça, mais, dans le domaine d’où elle venait et le monde dans lequel son mari vivait, c’était monnaie courante, c’était même une question de survie.

Donc, après ce petit mensonge, Aiko prit le temps de ranger leurs affaires dans la suite que son mari, Okkoji, avait fait apprêter pour elle et leur fils. Le petit garçon avait hérité des cheveux de jais de sa mère ainsi que de ses prunelles si particulières d’un rouge écarlate et à l’iris blanchâtre. C’était certes une couleur des plus atypiques, absolument pas commune sur notre bonne planète. Certains aux idées plus modernes pourrait-on dire, considéré cela comme une anomalie génétique comme cela pouvait être le cas chez certains animaux, ou bien encore comme une simple décoration via le port de lentilles colorées. Mais pour d’autres, notamment ceux aux idées plus folkloriques, cette couleur si particulière était vue comme un signe d’appartenance à de quelconques entités démoniaques ou un signe de mauvaise fortune à cause d’un mauvais acte que nos ancêtres avaient pu faire dans le passé.

Katsu était le rayon de soleil de sa mère, un vrai petit miracle, d’où la signification de son prénom qui voulait dire « victoire ». Aiko était malheureusement de santé fragile et pour couronner le tout, elle faisait partie de ses femmes qui avaient des difficultés à pouvoir enfanter. Elle aurait pu très bien y rester le jour de la venue au monde de son fils, tout comme il aurait pu être né mort-né. Cela avait été un risque énorme pour elle comme pour le petit, mais fort heureusement, tout se passa sans encombre.

Étant la prunelle de ses yeux, Aiko ne confier pas son enfant à n’importe qui. Seules quelques « nounous » avaient ce privilège, strictement sélectionné par les soins d’Aiko et d’Okkoji, des gens de confiance, qualifiés pour défendre le petit au péril de leur vie et qui voué un profond respect ainsi qu’une conviction sans faille au puissant yakuza qu’était son mari. C’est donc à l’une de ses nounous spéciales que la belle brune confia son fils, qui s’occupa d’amener le petit à une autre pièce de la grande suite, une pièce spécialement dédiée au cinéma où ils pourront regarder un magnifique film d’animation pour le petit avant l’heure du dodo.

Rassurée de savoir son fils en sécurité, la jeune femme au teint de porcelaine et au doux sourire timide sortit de sa chambre et se mit à arpenter les couloirs du palace. C’est vêtue d’un magnifique kimono en satin noir et rouge aux broderies dorées, le tout noué avec une ceinture en soie rouge et blanche ainsi que d’une cordelette dorée pour s’harmoniser avec la dorure des motifs de son vêtement, que la belle brune marchait d’un pas gracile et léger en direction du jardin du palace, là où elle espérait pouvoir y trouver son mari avant qu’il ne parte, si cela n’était pas déjà fait.

Et c’est avec joie qu’Aiko put apercevoir au loin Okkoji, regardant à l’horizon en jouant avec sa cravate, ce qui lui arracha un doux sourire. Sans perdre de temps, elle pénétra dans le jardin du palace, éclairé par les lanternes sous les cerisiers en fleurs, quelques pétales de fleurs virevoltant dans les airs mais surtout autour d’elle, jusqu’à une un peu insolente qui vint se poser dans ses cheveux.

« Okkoji… »

Et c’est d’une voix douce et rassurée que la belle brune prit la parole, tout en s’approchant doucement de son mari, avant de s’arrêter à quelques mètres à peine de lui dans la pénombre. Quand elle attira enfin son regard, elle esquissa un sourire tendre en rougissant doucement, ses yeux pétillants en le regardant.

« Tu… Est-ce que tu vas rester dîner ou… Rester un petit peu avant de partir ? »

Demanda-t-elle timidement en venant passer une main dans ses cheveux, mettant une de ses mèches à l’arrière de son oreille. Son cœur battait la chamade, même si c’était son mari. Oui, elle était toujours aussi amoureuse de lui, mais elle appréhendait plus que tout son départ. Elle souhaitait passer du temps avec lui, que ce soit le temps d’un repas, d’une simple conversation ou même d’une étreinte. Elle savait qu’il devait repartir, il n’avait pas le choix. Mais, elle ne savait pas quand elle le reverrait, et, elle souhaitait juste sa présence, passer un moment avec lui, juste être avec lui, même si ce n’était que pour 5 malheureuses minutes avant qu’il ne doit partir et la quitter de nouveau.

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 2 jeudi 29 mai 2025, 21:27:26

Okkoji Yamamoto se tenait au cœur du jardin du Seikusu Palace, baigné par la lueur tamisée des lanternes qui projetaient des ombres mouvantes sur ses traits acérés. Les cerisiers en fleurs frémissaient sous la brise légère, leurs pétales délicats virevoltant dans l’air comme des murmures éphémères, porteurs d’une beauté fugitive. Ses doigts, marqués par les combats et les années, jouaient distraitement avec le bord de sa cravate ornée de dragons rouges et noirs, un tic nerveux révélant l’ouragan de pensées qui tourbillonnait sous son apparence impeccablement maîtrisée. Ce soir-là, le poids de son empire pesait plus lourd que jamais : les clans rivaux, tels des vautours, guettaient la moindre faille ; les murmures de trahison s’amplifiaient dans l’ombre ; et l’étau des autorités, implacable, se resserrait autour de lui. Pourtant, au milieu de ce chaos, une seule pensée l’ancrait, une lueur dans l’obscurité : Aiko.

« Okkoji… »

Sa voix, douce comme une caresse mais assez puissante pour trancher le tumulte de son esprit, l’atteignit comme une flèche. Il pivota lentement, ses yeux cramoisis, brillants comme des braises, rencontrant les siens dans la pénombre tamisée. La vision d’Aiko lui coupa le souffle, comme à chaque fois. Vêtue d’un kimono de satin noir et rouge, rehaussé de broderies dorées qui scintillaient doucement sous les lanternes, elle semblait une apparition née de la nuit elle-même, une incarnation de grâce et de mystère. Un pétale de cerisier, audacieux, s’était niché dans ses cheveux noirs comme l’ébène, et un sourire rare, presque vulnérable, effleura les lèvres d’Okkoji. Elle était son refuge, son point d’ancrage dans un monde où le sang, la trahison et la violence dictaient les règles. La voir ainsi, gracile et élégante, éveillait en lui un mélange complexe de fierté – qu’elle ait choisi de rester à ses côtés – et de douleur, celle de savoir qu’il l’avait entraînée dans son univers impitoyable.

« Aiko », murmura-t-il, sa voix rauque vibrant d’une chaleur qu’il réservait uniquement à elle. En quelques pas mesurés, il combla la distance qui les séparait, son costume noir taillé sur mesure épousant ses mouvements avec une grâce féline, bien que son regard s’adoucît en se posant sur elle. Le parfum subtil d’Aiko, mêlé à l’odeur sucrée des cerisiers en fleurs, l’enveloppa, le ramenant à l’instant présent, loin des intrigues et des dangers qui le traquaient sans relâche.

Sa question, timide mais chargée d’un désir contenu, flotta entre eux comme un fil fragile. « Tu… Est-ce que tu vas rester dîner ou… Rester un petit peu avant de partir ? » Son léger rougissement, la manière dont ses doigts fins glissèrent une mèche derrière son oreille, firent naître une chaleur dans la poitrine d’Okkoji. Une pointe de culpabilité le transperça – pour la vie qu’il lui imposait, pour les mensonges qu’elle devait tisser, même à leur fils – mais elle était contrebalancée par une gratitude infinie pour son amour indéfectible. Aiko était sa lumière, la seule capable d’apaiser la tempête qui grondait en lui, et ce simple geste, ce regard pétillant, suffisait à le ramener à elle.

Okkoji tendit la main, ses doigts calleux, marqués par une vie de combats, effleurant le pétale dans ses cheveux avec une délicatesse presque incongrue pour un homme de sa stature. Il le laissa retomber doucement au sol, son regard ne quittant pas le sien, comme s’il cherchait à ancrer cet instant dans sa mémoire. « Aiko », répéta-t-il, plus bas, sa voix comme un grondement chargé d’une dévotion absolue. « Tu crois vraiment que je pourrais partir sans te voir d’abord ? »

Il s’approcha encore, assez près pour sentir la chaleur de son corps, ses yeux cramoisis scrutant les siens avec une intensité qui trahissait l’ampleur de son amour. Ces prunelles écarlates, si semblables à celles de leur fils Katsu, portaient une force tranquille qui le désarmait toujours, le ramenant à une humanité qu’il craignait parfois de perdre. « Je peux rester pour le dîner », dit-il, un sourire en coin éclairant son visage, bien que son ton restât empreint de sincérité. « Et peut-être même un peu plus longtemps, si notre petit Katsu ne me kidnappe pas pour regarder un de ses dessins animés préférés. »

Sa main s’attarda près de sa joue, hésitant un instant avant de s’y poser avec une douceur infinie, son pouce traçant un arc tendre sur sa peau de porcelaine. Il baissa les yeux un instant, comme pour rassembler ses mots, avant de relever son regard vers elle. « Je sais que ce n’est pas facile », murmura-t-il, sa voix se faisant plus grave, presque confessional. « Quitter Tokyo, s’installer ici, tout recommencer… Je le vois dans tes yeux, même si tu ne dis rien. Tu es forte, Aiko, plus forte que je ne le serai jamais. » Il marqua une pause, son regard s’adoucissant davantage, comme si les mots eux-mêmes peinaient à porter tout ce qu’il ressentait. « Toi et Katsu, vous êtes ma raison de tout risquer, de tenir cet empire debout. Et je hais chaque seconde qui m’éloigne de vous. »

Il se pencha lentement, déposant un baiser doux sur son front, ses lèvres s’attardant comme pour capturer cet instant fragile dans un monde où tout semblait pouvoir s’effondrer. La chaleur de sa peau sous ses lèvres, son parfum, tout en elle était un rappel de ce qu’il protégeait farouchement. « Cinq minutes, une heure, une nuit… ce n’est jamais assez avec toi », chuchota-t-il, sa voix à peine audible, vibrante d’une émotion qu’il laissait rarement transparaître. Il se redressa juste assez pour plonger à nouveau dans ses yeux, ses prunelles cramoisies brûlant d’une passion contenue. « Mais ce soir, je suis là. Pour toi. Pour nous. »

Okkoji prit sa main, son étreinte ferme mais empreinte d’un soin presque révérencieux, comme s’il craignait de briser quelque chose d’aussi précieux qu’elle. Il inclina la tête vers le palais, un éclat de son audace habituelle perçant dans son sourire, mais ses yeux restaient rivés sur elle, absorbant chaque détail de son visage. « Viens », dit-il, sa voix plus légère, presque taquine. « Dînons ensemble. Raconte-moi comment tu fais pour garder notre petite victoire occupée dans cet endroit. Je veux tout savoir – chaque détail, chaque sourire qu’il t’a offert aujourd’hui. »

Il fit un pas, l’invitant à le suivre, mais s’arrêta un instant pour la contempler à nouveau, comme s’il voulait graver son image dans son esprit avant que le devoir ne l’arrache une fois de plus à elle. La lumière des lanternes dansait sur son kimono, soulignant la courbe délicate de ses épaules, et il sentit son cœur se serrer. « Aiko », ajouta-t-il, sa voix plus basse, plus intime, presque un murmure. « Tu es mon foyer. Peu importe où je vais, peu importe les batailles, c’est toujours vers toi que je reviens. » Ses yeux ne la quittèrent pas, absorbant chaque détail de la femme qui tenait son cœur dans un monde où la pitié n’avait pas sa place. Puis, avec un sourire plus doux, il l’entraîna doucement vers le palais, déterminé à savourer chaque seconde de ce répit à ses côtés avant que la nuit, implacable, ne l’appelle à nouveau dans son tourbillon de violence et de pouvoir.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 3 vendredi 30 mai 2025, 00:56:20

Quand Aiko réussit à attirer l’attention d’Okkoji, elle n’avait pu s’empêcher de sourire tendrement et de rougir, surtout en voyant les lèvres de celui qu’elle aimait se mouvoir, l’entendant murmurer son prénom d’un timbre de voix qui lui faisait chaud au cœur. Et son coeur se mit à s’emballer en le voyant s’approcher d’elle, venant briser le peu de distance qu’il y avait entre eux, offrant ainsi à la belle brune l’opportunité de pouvoir l’admirer de plus près et d’humer discrètement son parfum, comme elle le faisait toujours d’ailleurs. C’est donc enivrée de son parfum boisé aux notes d’agrumes, que la jeune femme prit son courage à deux mains, venant donc demander à son mari avec des yeux pétillants s’il allait rester, que ce soit pour le dîner ou même juste quelques instants, avant de la quitter.

Et alors qu’elle replaça un peu nerveusement et timidement une mèche derrière son oreille, son coeur battant à tout rompre en le regardant, attendant avec impatience et appréhension la réponse de cet homme si cher à son coeur, ses prunelles écarlates se mirent à trembler en le voyant lever sa main pour retirer un pétale d’une fleur de cerisier qui s’était posée dans ses cheveux. Souriant, émue et attendrie par son geste, Aiko plongea son regard tendre dans celui d’Okkoji, se noyant dans ses prunelles amoureusement. Puis son cœur se mit à tambouriner plus fort dans sa poitrine en entendant son mari répéter son prénom, la faisant un peu plus rougir sous l’effet que cela lui faisait. Et ce fut encore plus intense quand elle l’entendît la questionner, faisant trembler de plus belle ses mirettes qui ne le quittaient pas. 

« Je… J’ai toujours peur qu’un jour tu… Tu partes sans me dire au revoir car… Tu n’aurais pas le choix… Et je… C’est idiot je sais, mais… J’ai cette frayeur constante de ne pas pouvoir te voir avant chacun de tes départs… »

C’était un aveu timide mais sincère. Ressemblant à celui d’une adolescente amoureuse, mais qui sonnait si fort malgré le timbre si doux et bas de sa voix en cet instant, démontrant ainsi toute l'importance qu’il représentait pour elle. Mais dévoilant aussi toute la sensibilité qui l’habitait, cachée sous cette force dont elle faisait la démonstration en permanence aux yeux de tous.

Et après cette confession, Aiko put voir Okkoji mettre fin à cette distance qui les séparait, faisant battre son coeur de plus belle, donnant terriblement chaud à tout son être, tout en lui donnant l'irrépressible envie de lui sauter au cou en cet instant, mais se contenant car ils n’étaient pas vraiment dans un endroit intimiste pour ce genre de démonstration affective. La belle brune pouvait ressentir la chaleur du corps de cet homme si cher face à elle, cette passion dans ses yeux écarlates qui lui donnait l’impression qu’ils étaient enflammés par un feu ardent et qui la fascinait tant. Mais elle fut sortie de sa contemplation en entendant les mots de son mari, la faisant esquisser un large sourire ravie en apprenant qu’il allait rester pour le dîner, voire même un peu plus.

« J’en suis si heureuse… Et notre petit Katsu sera heureux de te voir. Il ne pourra pas s’empêcher de te kidnapper, malheureusement, il tient beaucoup trop de moi pour ne pas s’empêcher de réclamer et accaparer son papa… »

Ses yeux pétillaient plus intensément en disant cela, sa voix douce était emplie de tendresse alors qu’elle esquissait un petit sourire amusé et nostalgique. Aiko se rappelait avec émotion du nombre de fois où leur fils avait aperçu son père, se jetant dans ses bras, à son cou ou à ses jambes en l’enlaçant avec ses petits bras, l’assaillant de questions et lui demandant de regarder des dessins animés avec lui ou de lui lire une histoire. Et elle se rappeler aussi d’elle il y a quelques années, qui ne pouvait s’empêcher d’accaparer Okkoji dès qu’elle le voyait, venant même parfois à l’attraper par la manche de son costume en le tirant dans une pièce à l’abri des regard, avant de se blottir contre lui dans une douce étreinte ou se jeter à son cou en l’embrassant avec passion.

C’est avec amusement qu’elle souffla doucement par le nez, gardant son joli sourire aux lèvres en ne cessant d’admirer celui qu’elle aimait en repensant à tout cela. Puis elle se mit à rougir de nouveau en sentant sa main sur sa joue, sentant son pouce la caresser avec une tendresse infini, faisant ainsi battre son cœur à toute allure tout en le sentant se réchauffer de nouveau. Et les réactions tout comme les mots qui suivirent d’Okkoji ne laissèrent pas la jeune femme indiferente, bien au contraire.

« Okoji… Tu es plus fort que tu ne le penses… Je t’assure que tu n’as pas idée à quel point tu es fort, à quel point tu es formidable… Tout ce que tu fais pour nous et à la mémoire de ceux qui te sont chers est si courageux… »

Dit-elle avec tendresse, venant poser une de ses mains sur la sienne posée sur sa joue, la caressant tendrement en ne le quittant pas des yeux.

« Katsu et moi sommes fiers de toi… Nous sommes si fiers de toi… Tu peux être fier de tout ce que tu as fais Okkoji… Et je suis sûre qu’une beau jour, tout ces sacrifices n’auront pas été vains et qu’on n’aura plus besoin d’être éloignés, qu’on pourra étre ensemble plus d’un soir…  »

La belle brune esquissa un sourire émue tout en poursuivant sa prise de parole, gardant une voix douce et basse, se voulant rassurante, apaisante mais surtout aimante envers son mari. Et comme pour appuyer ses mots, remuant légèrement sa tête en direction de la main d’Okkoji,  Aiko posa discrètement mais tendrement un baiser dans la paume de la main de l’homme qu’elle aimait, sans le quitter du regard.

« Mais en attendant, profitons ce soir de ce temps pour nous… J’ai envie qu’on soit ensemble… J’ai envie que tu sois heureux et je ferais tout pour ça Okkoji… »

Après ses mots, les lèvres de la jeune femme quittèrent la paume de la main d’Okkoji, sa main s’apprêtant à relacher la sienne avant de le sentir la saisir délicatement, venant la faire rougir de nouveau par ce geste. Et c’est d'un sourire tendre mais timide qu’elle le regarda, admirant chacune de ses micmics et expressions sur son visage, ne manquant pas de la faire rire avec légèreté en l’entendant prendre un ton taquin en l’invitant à le suivre poursuivre la soirée à l’intérieur.

C’est d'un hochement de tête que la belle brune répondit à son mari, autant à son invitation qu’à ses mots, commençant donc à le suivre avant qu’il ne s’arrête, venant lui faire une belle déclaration d’amour. Les yeux d’Aiko se mirent à trembler sous l’émotion, scintillants à en avoir presque les larmes aux yeux tant les mots d’Okkoji résonnaient en son cœur mais aussi dans son âme. Et là, sans réfléchir, oubliant tout ce qui les entouraient l’espace d’un instant, la jeune femme s’approcha plus près de son mari, venant presque à se coller à lui. Puis en se mettant sur la pointe des pieds, elle rapprocha son visage du sien à présent, et avec une tendresse infinie, elle vint poser avec douceur ses lèvres contre les siennes dans un doux baiser.

Cela dura quelques secondes à peine, mais pour Aiko, cela sembla durer presque une éternité, et, si elle ne s’était pas retenue, ça aurait pu durer bien plus longtemps et elle serait même aller plus loin. Mais ils n’étaient pas dans un cadre intimiste, pas pour le moment du moindre. Et donc, après ce tendre baiser du bout des lèvres, elle reprit sa taille, le regardant tendrement avant de rougir de son acte, esquissant un sourire timide mais conquise en l’admirant, venant lui chuchoter d’une voix toujours aussi douce.

« Et toi, tu es mon tout Okkoji, ne l’oublie jamais… Je n'attends que toi et je ne suis complète que dans tes bras… »

Après cette déclaration à son tour, la belle brune serra avec tendresse la main de son mari, ses yeux pétillants de tendresse et toujours son sourire timide sur ses lèvres. Et, pour changer, c’est elle qui se mit à s'avancer, prenant les devant tout en ne lâchant pas la main de l’homme qu’elle aimait, le guidant et le tirant avec douceur avec elle en direction du palace, s’apprêtant à poursuivre la soirée avec lui en toute hâte.

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 4 vendredi 30 mai 2025, 08:11:04

Okkoji Yamamoto s’arrêta un instant sous le ciel crépusculaire de Seikusu, ses yeux écarlates captant les reflets chauds des lanternes du Seikusu Palace, dont les contours majestueux se découpaient dans la lumière douce du soir. Les paroles d’Aiko, empreintes de tendresse et de vulnérabilité, résonnaient encore dans l’air, comme une mélodie fragile perçant le chaos de son monde de pouvoir et de violence. L’odeur subtile des fleurs de cerisier, omniprésentes dans les jardins du palais, se mêlait à son parfum boisé aux notes d’agrumes, l’ancrant dans cet instant précieux où son rôle d’oyabun s’effaçait face à la femme qu’il aimait. Son baiser, fugace mais incandescent, avait allumé une flamme dans sa poitrine, qu’il contint avec effort, conscient des regards indiscrets qui pourraient surgir, même dans l’enceinte protégée du palais. La discipline forgée par des années dans l’univers impitoyable des yakuzas imposait une retenue, fidèle aux codes japonais de discrétion en public. Sa mâchoire se crispa légèrement, un réflexe de son contrôle implacable, mais ses yeux, fixés sur Aiko, débordaient d’une tendresse qu’il ne réservait qu’à elle.

« Aiko », murmura-t-il, sa voix rauque et profonde vibrant d’une chaleur qu’elle seule pouvait susciter. Il serra sa main avec une douceur calculée, ses doigts calleux, marqués par les cicatrices d’une vie de combats, effleurant sa peau délicate. Ce contact, si simple, portait tout le poids de son amour, une réponse silencieuse à ses mots qui l’avaient touché au plus profond. « Tu ne sais pas… ce que tes paroles font à mon cœur », ajouta-t-il, un sourire discret, presque imperceptible, se dessinant sur ses lèvres – un sourire qu’elle seule pouvait lui arracher. Il s’avança légèrement, réduisant l’espace entre eux, mais veilla à maintenir une distance respectueuse, son corps droit et imposant, reflet de l’autorité qu’il incarnait. Même dans cet instant d’intimité, il restait l’oyabun, conscient que chaque geste pouvait être observé, même dans l’enceinte sacrée du Seikusu Palace.

Il jeta un regard furtif autour d’eux, s’assurant que leur moment restait à l’abri des curieux, même ici, dans ce sanctuaire de pouvoir qu’il contrôlait. Les jardins du palais, avec leurs cerisiers en fleur et leurs lanternes de pierre diffusant une lueur chaude, semblaient un havre temporaire face aux tempêtes de sa vie. « Katsu… et toi », continua-t-il, sa voix s’abaissant jusqu’à n’être qu’un murmure, comme s’il confiait un secret aux pétales flottant dans l’air. « Vous êtes mon ancre. Les seules raisons pour lesquelles je continue à me battre dans ce monde. »[/i] Son pouce caressa doucement le dos de sa main, un geste fugace mais chargé d’une tendresse qu’il ne montrait jamais en public. Il mourait d’envie de la serrer contre lui, de faire disparaître le monde, mais les traditions japonaises et la vigilance imposée par son rôle l’en empêchaient. Ce contact discret était un fil ténu mais puissant, reliant leurs cœurs dans le silence.

« Ce soir, j’ai une surprise pour toi », dit-il soudain, son ton mesuré mais teinté d’une pointe d’amusement, une lueur espiègle dans ses yeux écarlates. « Pas seulement le palais. Je t’emmène quelque part… un endroit digne de nous. » Il relâcha sa main avec une réticence presque palpable, son regard s’attardant sur elle un instant avant de l’inviter à le suivre d’un léger signe de tête. « Viens. »

Ils traversèrent les couloirs élégants du Seikusu Palace, leurs pas résonnant doucement sur le parquet poli, jusqu’à atteindre le restaurant kaiseki du palais, un joyau caché connu sous le nom de *Hana no Uta*. Niché dans une aile isolée, ce restaurant incarnait l’essence de l’élégance japonaise, avec ses cloisons shoji ornées de motifs délicats de fleurs de cerisier et ses baies vitrées donnant sur un jardin zen illuminé par des lanternes en pierre. L’ambiance était feutrée, l’éclairage tamisé des lanternes en papier washi diffusant une lumière douce qui semblait caresser les lieux. Une serveuse en kimono traditionnel les accueillit avec une révérence gracieuse, les guidant vers une salle privée, une table basse en bois de cerisier disposée face à un petit jardin intérieur où un ruisseau murmurait sous un érable aux feuilles rougeoyantes.

Okkoji s’installa avec sa prestance habituelle, son costume noir taillé sur mesure contrastant avec la simplicité raffinée du décor. La pochette rouge sang de son costume captait la lumière, ajoutant une touche audacieuse à son allure imposante. Il observa Aiko s’asseoir, ses gestes gracieux captivant son regard comme toujours. « J’ai voulu un endroit où nous pourrions… être nous », dit-il, sa voix basse mais empreinte d’une chaleur sincère. « Un moment où je ne suis pas l’oyabun, mais juste… ton Okkoji. » Il marqua une pause, ses yeux cherchant les siens, une lueur de vulnérabilité perçant son masque d’autorité. « Et où Katsu pourra nous rejoindre plus tard, quand il aura fini de réclamer ses histoires. » Il esquissa un sourire, repensant à leur fils, à ses éclats de rire et à ses étreintes enthousiastes dès qu’il le voyait. « Il te ressemble trop », ajouta-t-il, une note d’amusement dans la voix. « Cette façon de s’accrocher, de ne jamais lâcher… Je ne pourrais pas rêver d’un meilleur héritage. »

Le premier plat arriva, une composition délicate de sashimi de fugu, présenté comme une œuvre d’art sur une céramique artisanale aux motifs de vagues, accompagné d’une soupe claire au parfum subtil de yuzu et de shiso. Chaque détail, de la disposition des plats à la présentation méticuleuse, reflétait l’élégance intemporelle de la cuisine kaiseki. Okkoji observa Aiko, captivé par la manière dont la lumière douce dansait sur ses traits, accentuant la douceur de son visage et la lueur dans ses yeux. « Aiko », murmura-t-il, son ton redevenant sérieux, presque solennel. « Ce que tu as dit tout à l’heure… sur ta peur que je parte sans dire au revoir… » Il s’interrompit, ses doigts jouant nerveusement avec la montre en acier à son poignet, un rituel hérité de son mentor. « Je te le promets, jamais je ne ferai ça. Peu importe les dangers, peu importe les ennemis. Je trouverai toujours un moyen de revenir à toi. À vous. »

Il se pencha légèrement en avant, sa voix s’abaissant encore, comme si les murs du palais, pourtant sous son contrôle, pouvaient trahir ses mots. « Ce monde… il est impitoyable. Il prend tout ce qu’il peut. Mais toi et Katsu, vous êtes à moi. Ma force. Ma raison de tenir, même quand tout semble vouloir m’abattre. » Ses yeux écarlates, si intimidants pour le reste du monde, brillaient d’une intensité douce, presque fragile, réservée à elle seule. « Je ne suis pas aussi fort que tu le dis », ajouta-t-il, un aveu rare, sa voix teintée d’une ombre de doute. « Mais pour vous, je ferai tout pour l’être. »

Il tendit la main, effleurant la sienne sur la table, un geste audacieux dans cet espace semi-public, mais si discret qu’il passa inaperçu. « Ce soir, profitons de cet instant. De nous. Laisse-moi voir ton sourire, entendre ta voix… oublier, juste pour quelques heures, le poids du dehors. » Il retira sa main, reprenant sa posture composée, mais son regard restait ancré dans le sien, un mélange d’amour profond et de désir contenu. « Et dis-moi… », ajouta-t-il, une pointe de malice dans la voix pour détendre l’atmosphère, « est-ce que Katsu a encore essayé de te convaincre de lui lire trois histoires au lieu d’une ? »

Le repas se poursuivit, chaque plat – un tofu soyeux au sésame noir, un tempura de crevettes de rivière, une tranche de bœuf wagyu grillée à la perfection – racontant une histoire de tradition et de raffinement. Okkoji, malgré son apparence imposante et son aura de danger, semblait plus léger, ses épaules se relâchant légèrement à mesure que la soirée avançait. « Je veux que tu saches », dit-il finalement, alors qu’ils partageaient un dessert de mochi à la pâte de haricot rouge, « que chaque sacrifice, chaque combat… c’est pour un jour où nous n’aurons plus à nous cacher, à craindre les ombres. Je te le promets, Aiko. Ce jour viendra. » Ses mots, prononcés avec une conviction farouche, portaient le poids de son ambition, mais aussi de son amour indéfectible.

Il posa sa main sur la table, paume ouverte, une invitation silencieuse. « En attendant, ce soir est à nous. Et je veux le graver dans mon cœur. » Ses yeux écarlates scintillaient, reflétant les lanternes du jardin, et dans cet instant, loin des intrigues et des dangers, Okkoji Yamamoto n’était qu’un homme amoureux, prêt à tout pour protéger ce moment de paix avec la femme qui était son monde.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 5 vendredi 30 mai 2025, 18:12:24

Les mots et la caresse de son mari sur la paume de sa main faisaient emballer le cœur de la belle brune, qui s’était de nouveau stoppé en se calant sur les pas d’Okkoji quand ce dernier s’arrêta soudainement. Tout en l’écoutant, Aiko arborait un sourire doux qui refusait de quitter son visage et ses yeux pétillaient de plus belle en le contemplant. Elle se laissait couler et noyer, autant sous les belles déclarations qu’il lui faisait, que dans ses yeux écarlates qui prenaient feu tel un brasier en cet instant confessionnel, malgré qu’elle le sentit lâcher sa main avant de reprendre leur chemin vers l’intérieur du palace.

C’est sans un mot, telle une femme bien comme il faut qu’elle était, qu’elle le suivit sagement dans les couloirs de l’établisement. La jeune femme admira d’un regard discret les décors qui s’offraient à eux quand ils arrivèrent dans le restaurant caché du Seikusu Palace, saluant poliment autant la serveuse qui les recever que les autres employés présents, avant de suivre cette dernière vers une salle privatisée où ils purent se poser tous les deux, bercer par le son mélodieux du ruisseau qui ruisselait dans la pièce. Aiko s’installa avec délicatesse, comme elle le faisait toujours, faisant autant attention à ses vêtements, ses gestes qu’aux meubles autour d’elle, pour mieux reporter ensuite son regard vers son mari.

Et en croisant son regard, la brunette esquissa un doux sourire en rougissant doucement, admirant cet homme qu’elle aimait face à elle et qui avait une aura des plus impressionnante, qui était d’une élégance sans pareil et qui faisait chavirer son cœur à chaque fois. Et son coeur n’allait pas manquer de chavirer encore et encore sous les doux mots qu’il se mit à lui dire, la faisant jouer avec les mèches de ses cheveux nerveusement et timidement, son sourire s'agrandissant sous tout cela, avant de se mettre tendrement à rire en venant cacher ses lèvres derrière sa main.

« Ta Aiko est ravie du choix que tu as fait pour cet endroit, il est parfait. »

Dit-elle avec tendresse, ses lèvres toujours cachées derrière sa main, avant de reprendre en riant de nouveau avec douceur.

« Notre petit Katsu n’a pas seulement hérité de moi tu sais… Tu devrais le voir négocier quand il refuse de manger ses légumes ou quand il donne des ordres à ses doudous… On dirait un vrai Okkoji miniature ! »

Riant de plus belle avec une tendresse infinie, les yeux de la belle brune pétillaient taquinement en regardant son mari, mais ils scintillaient aussi d’un amour et d’une admiration sans limite. Et alors que le défilé des plats commença, la jeune femme se saisisa délicatement de ses baguettes, écoutant avec grande attention son mari reprendre la parole après le départ des employés. Elle le scrutait dans les moindres détails, admirant son visage, ses traits, sa carrure, ses réactions verbales mais aussi physiques, remarquant chacuns de ses tics et manies.

Aiko comprenait bien qu’il était inquiet, elle le savait, elle le ressentait et le voyait, ne le connaissant que trop bien amoureuse comme elle était. C’est donc d’un regard tendre qu’elle le contemplait, l’écoutant en hochant la tête comme à son habitude, souriant et rougissant émue quand il tendit sa main pour effleurer la sienne, la poussant à l’imiter et aller plus loin en posant sa main sur la sienne discrètement.

« Tu vois que j’avais raison, tu es bien aussi fort que je le dis… Puisque tu vas tout faire pour l’être, c’est que tu l’es mon Okkoji… »

Un sourire empli de tendresse et une caresse du bout des doigts sur la main de son mari, Aiko retira doucement sa main en même temps que celle d’Okkoji. Ensuite, elle se redressa tout comme lui tout en l’écoutant reprendre la parole, mais cette fois avec plus d’entrain voire d’amusement, ce qui lui fit hausser un sourcil intriguée. Et quand elle l’entendit parler de leur fils, elle se mit à rire de nouveau avec tendresse, venant cacher son joli sourire derrière sa main en riant amusée.

« Bien sûr ! Et il ne manque pas d’imagination pour me convaincre d’accepter ses requêtes ! Il a des tonnes d’arguments pour dire à quel point il est mieux d’en lire trois plutôt qu’une : ça aide à grandir, ça aide pour avoir de bonnes notes pour les devoirs, ça aide pour bien dormir, ça aide pour chasser les mauvais esprits, ça aide pour attirer la chance, ça aide pour avoir du beau temps et… Il a vraiment tout un tas d’idées sur le pourquoi il est primordial de lui lire plusieurs histoires plutôt qu’une. Je te l’ai dit, il est doué en affaires, c’est bien ton fils ! »

La suite du repas suivait son cours, les laissant papoter et rire même tout en savourant les mets succulents qui se présentaient à eux, jusqu’à l'arrivée du dessert. Là, Aiko releva son regard de son mochi à Okkoji, l’écoutant le cœur battant avant de sourire avec émotion à sa belle déclaration. Et la suite ne fit qu’amplifier son palpitant cardiaque, la faisant même rougir en le voyant poser de nouveau sa main sur la table, ses yeux tremblotant toute émue par son geste et ses mots. Puis, avec la délicatesse qu’elle savait faire, elle vint poser sa main dans la sienne, serrant tendrement ses doigts graciles sur sa main épaisse, son sourire timide et amoureux sur ses jolies lèvres rosées, venant lui répondre tout bas de sa voix douce.

« En attendant ce jour où nous pourrons voler librement, je te promets à mon tour que je ferais tout pour que cette nuit soit gravée dans ton cœur à jamais… »

Puis, sans crier garde, elle retira doucement sa main de la sienne. Et puis elle se releva délicatement, venant faire le tour de la table pour venir près d’Okkoji, venant le pousser doucement avec sa main pour qu’il s’éloigne légèrement de la table. Une fois cela fait, elle vint s’asseoir délicatement sur ses genoux, venant passer bras autour de son cou tout en venant coller son front contre le sien, ses yeux brillants plongeaient dans les siens. Et là, comme dans le jardin, elle lui offrit de nouveau un doux et fugace baiser du bout des lèvres, l’embrassant tendrement avant de reprendre la parole.

« Mon Okkoji… Que dirais-tu qu’après notre dîner, on aille voir si notre fils dort ? Puis ensuite, on pourrait peut-être se balader un peu ou faire autre chose ? »

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 6 vendredi 30 mai 2025, 18:59:49

Okkoji Yamamoto restait immobile, ses yeux écarlates captant chaque nuance du visage d’Aiko, illuminé par la lumière tamisée des lanternes en papier washi du *Hana no Uta*. Le son mélodieux du ruisseau dans le jardin zen semblait apaiser le tumulte constant de son esprit, mais c’était surtout le rire doux d’Aiko, son sourire timide et ses gestes délicats qui le ramenaient à un havre de paix qu’il ne trouvait nulle part ailleurs. Sa main, encore chaude du contact fugace de la sienne, reposait sur la table, ses doigts effleurant nerveusement la montre en acier à son poignet, un tic révélateur de l’émotion qu’il contenait. L’élégance sobre du restaurant, avec ses cloisons shoji ornées de motifs floraux et la vue sur l’érable rougeoyant, contrastait avec l’intensité brute de son aura, mais ici, face à elle, il n’était qu’un homme amoureux, loin du poids de son titre d’oyabun. Son costume noir, impeccablement taillé, et la pochette rouge sang captaient la lumière, mais c’était le scintillement dans les yeux d’Aiko qui retenait toute son attention.

« Ton rire… il pourrait désarmer n’importe qui, même moi », murmura-t-il, sa voix rauque teintée d’une chaleur rare, un sourire discret se dessinant sur ses lèvres. Ses yeux écarlates, si souvent perçus comme intimidants, s’adoucirent en croisant les siens, pétillants d’amour et de malice. Ses paroles sur Katsu, sur ses talents de négociateur miniature, avaient ravivé des images de leur fils, ses petits bras s’accrochant à lui avec une détermination héritée d’eux deux. « Un Okkoji miniature, dis-tu ? » Il laissa échapper un léger rire, un son grave et profond, presque inattendu dans cet espace feutré. « Avec toi comme mère, il ne pouvait qu’être redoutable. Mais ces histoires de légumes et de doudous… il faudra que je lui apprenne à négocier pour des choses plus… ambitieuses. » Ses lèvres s’étirèrent en un sourire taquin, mais ses yeux trahissaient une fierté immense pour leur fils et une adoration sans borne pour elle.

Le défilé des plats continuait, chaque mets – du sashimi de fugu délicatement disposé au bœuf wagyu fondant – une œuvre d’art qui semblait presque secondaire face à la présence d’Aiko. Lorsqu’elle posa sa main sur la sienne, ses doigts graciles contrastant avec ses mains calleuses, il sentit son cœur s’emballer, une sensation qu’il maîtrisait rarement. Ses mots, affirmant sa force, le touchèrent profondément, et il inclina légèrement la tête, un geste discret de gratitude. Lorsqu’elle évoqua les arguments farfelus de Katsu pour obtenir plus d’histoires, il ne put s’empêcher de rire à nouveau, son regard pétillant d’amusement. « Ce garçon… il ira loin », dit-il, secouant légèrement la tête, un éclat de tendresse dans les yeux. « Avec de tels arguments, il pourrait déjà diriger une réunion du clan. Mais il tient ça de toi, cette façon de convaincre avec un sourire. »

Le dessert, des mochis à la pâte de haricot rouge, arriva, et Okkoji sentit une impulsion monter en lui, un élan qu’il ne pouvait réprimer, même dans cet espace semi-public où la retenue japonaise prédominait. Ses yeux s’attardèrent sur Aiko, sur la courbe douce de ses lèvres, sur la lueur émue dans son regard lorsqu’il avait renouvelé sa promesse de toujours revenir. Lorsqu’elle serra sa main, ses doigts délicats entrelacés aux siens, il sentit une vague de chaleur l’envahir, une certitude qu’il ne pouvait ignorer. Puis, quand elle se leva pour s’asseoir sur ses genoux, son front contre le sien, son baiser fugace rallumant cette flamme qu’il contenait depuis le début de la soirée, il dut faire appel à toute sa discipline pour ne pas l’enlacer pleinement. Le contact de ses bras autour de son cou, la proximité de son souffle, fit battre son cœur plus fort, mais il resta maître de lui, conscient des murs du palais et des yeux invisibles.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix basse et vibrante, ses yeux écarlates plongés dans les siens, brillants d’émotion. « Tu parles de graver cette nuit dans mon cœur, mais c’est toi qui es gravée en moi, à chaque instant. » Il marqua une pause, sa main venant effleurer la sienne, un geste discret mais chargé d’intimité. « Tu es ma force, mon refuge… ma raison de tout. Et ce soir, ici, dans ce lieu qui est nôtre, je veux te demander quelque chose. » Il s’interrompit, son regard s’intensifiant, une lueur de détermination mêlée de vulnérabilité traversant ses prunelles. Il prit une inspiration, sa main serrant doucement la sienne, comme pour s’ancrer dans ce moment. « Aiko, veux-tu m’épouser encore ? Pas seulement pour renouveler nos vœux, mais pour promettre, devant le monde, devant Katsu, devant tout ce qui compte, que je suis à toi, aujourd’hui et toujours. » Sa voix, bien que contrôlée, tremblait légèrement, révélant l’ampleur de son amour. Il savait que cette demande, dans leur monde où chaque geste était calculé, était un risque, mais pour elle, il était prêt à tout.

Il attendit sa réponse, son regard ne quittant pas le sien, son cœur battant à un rythme qu’il ne connaissait que dans ces rares moments d’intimité. Lorsqu’elle répondit, il sentit une chaleur l’envahir, et il inclina légèrement la tête, un sourire discret mais sincère se dessinant sur ses lèvres. Le repas touchait à sa fin, et il acquiesça à sa suggestion, ses yeux scintillant d’une tendresse infinie. « Allons voir Katsu », dit-il doucement, sa voix empreinte d’une douceur réservée à sa famille. « Je veux voir s’il dort… ou s’il négocie encore avec ses doudous pour une histoire de plus. » Il se leva avec elle, son bras frôlant le sien dans un geste subtil, respectant la retenue imposée par leur environnement. Ils quittèrent la salle privée, traversant les couloirs du Seikusu Palace jusqu’à la chambre de leur fils. En ouvrant la porte, Okkoji aperçut Katsu, endormi, un doudou serré contre lui, un livre ouvert à ses côtés. Un sourire tendre éclaira son visage, et il se tourna vers Aiko.

« Regarde-le… notre petit stratège », murmura-t-il, sa voix à peine audible pour ne pas le réveiller. « Et pour ta proposition… une promenade, ou autre chose… » Il baissa les yeux vers elle, une lueur espiègle dans son regard. « Je te suis, Aiko. Ce soir, je veux que chaque instant soit nôtre. Dis-moi ce que tu veux, et je ferai en sorte que ça arrive. » Il tendit la main, l’invitant à le guider, son cœur gonflé d’un amour qui, même dans la retenue imposée par leur monde, brillait plus fort que tout.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 7 samedi 31 mai 2025, 21:14:37

Malgré les années passées à ses côtés, Aiko restait toujours aussi timide sous les compliments d’Okkoji. Lui seul arrivait à la déstabiliser, à la rendre aussi candide qu’une adolescente à ses premiers émois en sa présence, lui rappelant sans cesse à quel point elle était amoureuse de lui comme au premier jour. C’est donc tout naturellement qu’elle se mit à rougir, comme à chaque fois quand il lui faisait un compliment, la rendant toute chose alors qu’elle se noyait dans son regard flamboyant amoureusement.

Puis elle se mit de nouveau à rire avec tendresse, se cachant encore et toujours derrière sa main, quand son mari se mît à lui parler de leur fils. La belle brune souriait attendrie aux mots de son époux, hochant la tête amusée tout en approuvant ce qu’il disait à propos du petit Katsu, cet enfant qu’ils avaient tant désirés et qui était sans aucun doute un parfait mélange d’eux deux, ce qu’elle ne manqua pas de lui rappeler d’ailleurs.

« Mais cette façon d’être intraitable et de tenir tête avec conviction vient de toi Okkoji… Tout comme cet art de garder son calme ou de sourire avec une malice avant chacune de ses attaques calins surprise d’ailleurs… »

Et c’est dans un doux rire qu’elle termina son rappel, tout en poursuivant leur repas, dont tous les plats étaient semblables à de véritables œuvres d’arts. Puis quand l’heure du dessert sonna, l’heure des déclarations l’accompagna. Offrant donc ainsi aux deux époux l'occasion d'un moment magique, où ils purent se témoigner leur amour.

Mais cet instant devint encore plus enchanteresse lorsqu’Okkoji, après avoir susurrer des tonnes de mots doux à Aiko, vint lui annoncer qu’il avait quelque chose à lui demander. Par réflexe, la belle brune serra tendrement ses doigts dans la main de son mari, hochant la tête pour l’inviter à poursuivre sa demande. Et, quand elle entendit sa demande de remariage, son cœur se mit à battre la chamade, le rouge lui montant doucement aux joues alors que ses yeux se mirent à trembloter sous l’émotion qui la submergeait.

« Okkoji… Oui… Je le veux encore… Je le souhaite plus que tout au monde… »

Après avoir donné sa réponse, la belle brune souria tendrement à son mari, avant de lui offrir un nouveau baiser doux et fugace comme celui qu’elle lui avait offert un peu plus tôt. Après cela, elle lui proposa une petite suggestion pour la suite de la soirée, souriant tendrement en entendant sa réponse positive. C’est donc sans tarder, qu’elle se releva avec lui, reprenant une posture plus stricte et retenue alors qu’elle lui souriait timidement après leurs échanges.

Une fois qu’ils eurent quitté ensemble cette merveille cachée qu’était ce petit restaurant, le couple s’aventura dans les couloirs du Seikusu Palace. Et c’est d’un pas assuré qu’ils parcoururent l’établissement, afin de se rendre jusqu’à la suite qu’Okkoji avait réserver pour sa femme, se dirigeant donc vers la porte qui était celle de la chambre de leur fils. Quand celle-ci fut ouverte, les époux purent découvrir le petit Katsu qui dormait à points fermés, un de ses doudous dans ses bras et un livre à ses côtés. Et dans un coin de la chambre, une des nounous en charge de sa surveillance qui était assise dans un fauteuil, veillant sur le petit tel un félin qui guette sa proie sans un bruit. 

Aiko souria avec tendresse en admirant le spectacle, ses yeux pétillants et aimants de mère qui contemplait son petit dormir profondément, souriant davantage en entendant les mots d’Okkoji sur leur petit garçon. Puis, quand elle l’entendît poursuivre, elle releva doucement son regard vers lui, rougissant en plongeant ses yeux dans les siens, alors qu’elle souriait ravie de ce qu’il lui disait. Mais avant de lui répondre, elle prit soin de refermer la porte de la chambre de leur fils, afin de ne pas le réveiller et laisser la nounou faire son travail sans être divertit par leur présence.

  « Okkoji… »

Dit-elle d’une voix basse et douce, presque dans un murmure tout en le regardant, ses yeux pétillants.

  « Tu sais très bien que je meurs d’envie de me jeter dans tes bras mais… »

Venant poser sa main dans la sienne, elle vint l’enlacer tendrement de ses doigts fins et graciles. Doucement, elle se mit à reculer tout en tenant sa main, l’invitant à la suivre dans les couloirs du palace, venant à s’éloigner de la chambre de leurs fils. Et tout en faisant cela, elle ne le quitta pas des yeux, continuant à lui sourire timidement en le regardant de ses yeux timides mais doux.

  « Ce que je te propose, afin de distraire les potentiels curieux qui nous épieraient… C’est de faire une petite balade dans le jardin, avant d’aller dans le sauna et… De finir par… Discuter ensemble dans la chambre… Qu’en penses-tu ? »

Tout cela dit d’une voix basse comme si elle ne souhaitait pas qu’ils soient écoutés, alors qu’elle continuait de le tirer doucement par la main dans le couloir qui longeait cette grande suite qu’il avait fait préparer pour elle. Et quand ils furent arrivés à un tournant du couloir, plusieurs autres couloirs et escaliers se présentèrent à eux.

C’est donc tout naturellement qu’Aiko se stoppa à ce carrefour, serrant tendrement la main d’Okkoji dans la sienne tout en lui demandant du regard ce qu’il voulait faire avec des yeux pétillants de malice. Elle lui laissa donc le choix, taquine qu’elle était à ses heures, lui offrant l’opportunité d'emprunter un de ces chemins pour faire ce qu’elle avait suggéré, ou bien alors de la surprendre en choisissant autre chose.

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 8 samedi 31 mai 2025, 22:02:48

Okkoji Yamamoto se tenait dans le couloir élégant du Seikusu Palace, ses yeux écarlates captant la lumière douce des lanternes qui dansaient sur les murs de bois poli. Le sourire timide d’Aiko, ses joues rosies par ses compliments, et ses yeux pétillants d’une tendresse infinie faisaient vaciller la carapace d’acier qu’il portait en tant qu’oyabun. Sa réponse à sa demande de remariage, vibrante d’émotion, avait fait battre son cœur à un rythme qu’il ne connaissait qu’avec elle. Ce baiser fugace qu’elle lui avait offert, léger comme une pétale de cerisier mais brûlant d’amour, avait rallumé une flamme qu’il contenait avec peine, fidèle à la retenue japonaise qui régissait leur comportement en public. L’image de Katsu, endormi avec son doudou serré contre lui et un livre ouvert à ses côtés, restait gravée dans son esprit, un rappel de ce qu’il chérissait le plus. Maintenant, face à Aiko, qui l’entraînait doucement par la main, il sentait une vague d’amour et d’anticipation l’envahir, tempérée par la discipline qui définissait sa vie.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix rauque et profonde résonnant dans le silence feutré du couloir. Ses yeux écarlates plongèrent dans les siens, captivés par leur éclat malicieux et tendre. « Ce sourire… il pourrait faire plier n’importe quel homme, même moi. » Un sourire discret, presque imperceptible, se dessina sur ses lèvres, un éclat rare qu’elle seule pouvait provoquer. Il serra sa main, ses doigts calleux enlaçant les siens avec une douceur mesurée, comme pour sceller cet instant. « Katsu, avec ses câlins surprises et sa ténacité… il a pris le meilleur de nous deux. Mais cette malice, cette façon de me désarmer d’un regard… ça, c’est tout toi. » Il inclina légèrement la tête, une lueur amusée dans le regard, mais empreinte d’une adoration profonde pour la femme qui était son monde.

Lorsqu’elle referma la porte de la chambre de Katsu, veillant à ne pas troubler son sommeil, Okkoji sentit une bouffée de gratitude pour sa délicatesse. Son murmure, doux et intime, et la manière dont elle entrelassa ses doigts aux siens, le firent frissonner intérieurement. Il la suivit, ses pas s’accordant aux siens alors qu’elle l’entraînait dans les couloirs du palais, son regard ne quittant pas le sien. Sa suggestion – une balade dans le jardin, un moment dans le sauna, puis une discussion dans leur chambre – fit naître une chaleur dans sa poitrine, mêlée d’une anticipation qu’il tempéra par sa discipline habituelle. À ce carrefour de couloirs, où elle s’arrêta, ses yeux pétillants de malice lui offrant le choix, il sentit une impulsion rare : celle de la surprendre, tout en suivant son plan, pour prolonger cet instant de paix.

« Une balade sous les cerisiers, un sauna, une discussion… » répéta-t-il, sa voix basse et teintée d’une pointe de malice, ses yeux écarlates scintillant d’une intensité qui répondait à la sienne. « Tu sais rendre chaque instant précieux, Aiko. » Il fit un pas plus près, réduisant l’espace entre eux, mais veillant à maintenir une distance respectueuse, son costume noir et sa pochette rouge sang captant la lumière tamisée. Il inclina légèrement la tête, son regard s’adoucissant. « Allons dans le jardin d’abord. Je veux te voir sous la lumière de la lune, entourée de pétales. Ensuite… le sauna, et tout ce que tu voudras après. » Il serra sa main, son pouce caressant doucement la bague qu’il venait de lui offrir, un anneau d’or blanc incrusté d’un rubis en forme de pétale, symbole de leur serment renouvelé.

Il la guida vers les portes coulissantes menant au jardin, leurs pas résonnant doucement sur le parquet poli. Les cerisiers du Seikusu Palace, éclairés par la lumière argentée de la lune, formaient un spectacle féerique, leurs pétales flottant dans l’air comme une neige délicate. Okkoji s’arrêta un instant, laissant Aiko admirer la vue, son regard revenant toujours à elle. La brise fraîche portait l’odeur des fleurs, mêlée à son parfum boisé, et il sentit son cœur s’alléger, loin des intrigues et des dangers de son monde. « Regarde cet endroit… » murmura-t-il, sa voix basse et chaude. « Il est magnifique, mais il n’est rien comparé à toi. » Il se tourna vers elle, ses yeux écarlates scintillant sous la lune, une tendresse infinie dans le regard. Il résista à l’envie de l’enlacer, mais sa main serra la sienne un peu plus fort, un geste discret mais chargé d’amour. « Ce soir, je veux que chaque pétale qui tombe nous rappelle notre promesse. »

Ils marchèrent lentement dans le jardin, leurs silhouettes se découpant contre les cerisiers, leurs mains entrelacées comme un lien indéfectible. Okkoji, malgré son aura imposante, semblait plus léger, ses épaules se relâchant légèrement sous l’effet de la présence d’Aiko. Après un moment, il l’entraîna doucement vers une autre aile du palais, où se trouvait le sauna privatif, une pièce intime aux murs de cèdre poli, éclairée par des lanternes diffusant une lumière dorée. La vapeur s’élevait doucement, emplissant l’air d’une chaleur apaisante. Okkoji referma la porte coulissante derrière eux, s’assurant de leur intimité. Avec une aisance naturelle, il retira son costume noir, révélant son torse musclé orné de tatouages irezumi – dragons rouge sang et démons grimaçants dansant sous la lumière tamisée. Nu, il s’installa sur le banc de bois, sa présence imposante adoucie par la vapeur et l’intimité du moment, et invita Aiko à le rejoindre d’un geste discret.

« Ici, c’est juste nous » dit-il, sa voix basse et vibrante, débarrassée de la retenue imposée par les couloirs du palais. « Pas d’oyabun, pas de regards indiscrets. Juste toi et moi. » Il tendit la main, effleurant la sienne avec une tendresse infinie, ses yeux écarlates cherchant les siens à travers la vapeur. « Aiko, ce soir, tu m’as rappelé pourquoi je me bats chaque jour. Cette bague, cette promesse… c’est pour un avenir où nous n’aurons plus à nous cacher, où Katsu grandira sans l’ombre de mon monde. » Il marqua une pause, son regard brûlant d’amour. « Dis-moi… qu’est-ce que tu veux pour nous, pour lui, pour cet avenir ? » Il se pencha légèrement vers elle, la vapeur enveloppant leurs silhouettes, prêt à écouter chaque mot, chaque rêve qu’elle partagerait dans cet espace qui n’appartenait qu’à eux.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 9 samedi 31 mai 2025, 23:57:57

Les mots qu’il lui avait adressés dans le couloir tout comme dans le jardin lors de leur balade nocturne ne l'avaient pas laissé indifférente, bien au contraire. Comme à son habitude, Aiko avait rougit et sourit timidement. Ses yeux s’étaient mis à trembler d’émotions tout en brillant amoureusement, regardant avec une tendresse infinie Okkoji à chacun de ces instants si tendres.

La belle brune avait choisi de ne pas répondre, du moindre pas verbalement, se contentant de ses sourires et regards qui laissaient entrevoir tout l’amour qu’elle avait pour cet homme qui était tout pour elle. C’est donc dans un silence religieux mais emplie de douceur que la jeune femme suivit ensuite son époux, se laissant guider autant par ses pas que sa main tenant la sienne jusqu’au sauna privatif de l’établissement, où ils purent enfin se retrouver vraiment seuls.

Une fois à l’intérieur de la pièce, la brunette jetta un rapide regard discrètement à cet homme si cher à son cœur, le regardant se déshabiller à en faire battre son cœur. Évidemment que le rouge lui était monté aux joues à la vue du corps nu de son mari, timide comme elle était avec lui et ce malgré les années, cela lui arrivait à chaque fois. C’est donc d’un sourire timide qu’elle le regarda, rougissant légèrement en croisant son regard, avant de se mettre à se déshabiller à son tour. Et c’est avec délicatesse comme à son habitude qu’elle se dévêtit, desserrant avec soin sa ceinture autour de sa taille, retirant sensuellement son kimono qu’elle fit glisser lentement sur son corps, dévoilant ainsi sa lingerie en dentelle rouge qui recouvrait sa peau, qu’elle ne tarda pas à retirer également afin de se retrouver nue totalement comme son mari.

C’est d'un pas gracile et timide qu’elle s’avança ensuite vers Okkoji, lui souriant avec tendresse en le regardant timidement, avant de prendre place à côté de lui sur le banc. Aiko put l’entendre prendre ensuite la parole, l’écoutant avec grande attention mais aussi émotion. Son cœur s'emballant vivement à ce qu’il lui disait, émue et touchée par sa nouvelle déclaration, avant qu’il ne fasse battre plus intensément son cœur quand il se pencha de toute sa stature vers elle.

« Je ne veux que ton bonheur et celui de Katsu, Okkoji… »

Dit-elle dans un doux murmure, ses yeux dansant en le regardant, alors que le rouge ne quittait pas ses joues. Puis, doucement, elle releva ses mains vers lui, venant les poser sur son visage, caressant tendrement celui-ci en ne le quittant pas des yeux.

« Je ne sais pas où, je ne sais pas comment mais… Je veux juste votre bonheur et… Je veux qu’on puisse vivre ensemble comme une famille… Même si cela est difficile je le sais… Mais si on pouvait se voir un peu plus… Katsu a besoin de son papa… Et moi j’ai besoin de mon Okkoji…  »

Une voix s’étranglant doucement d’émotion, des yeux brillants limite larmoyants, Aiko souria tendrement en regardant Okkoji, ne cessant pas de caresser son visage avec tendresse. Puis, dans un geste lent et timide, elle rapprocha son visage de son mari, venant déposer ses lèvres contre les siennes dans un tendre baiser. Et tout en l’embrassant avec douceur, la belle brune se laissa tomber lentement en arrière dos au banc, venant attirer son époux vers elle et avec elle dans cette « chute », tout en continuant de l’embrasser avec tendresse. Puis dans un chuchotement d’une voix emplie d’amour, elle vint lui susurrer un souhait supplémentaire.

« Autant pour cet avenir que pour ce soir… »

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 10 dimanche 01 juin 2025, 10:53:03

Okkoji sentit son cœur s’emballer lorsque les lèvres d’Aiko effleurèrent les siennes, son baiser doux mais chargé d’une intensité qui fit naître une chaleur ardente dans tout son être. La vapeur du sauna, flottant en volutes épaisses autour d’eux, rendait l’atmosphère presque irréelle, amplifiant chaque sensation, chaque frôlement, chaque regard échangé. « Je veux juste votre bonheur… Katsu a besoin de son papa… Et moi j’ai besoin de mon Okkoji… » Ces mots, murmurés par Aiko avec une tendresse infinie, résonnaient dans son esprit comme une mélodie, attisant un feu mêlé d’amour profond et de désir brut. Ces paroles, si vulnérables, si sincères, le touchaient au plus profond de son âme, renforçant son besoin de la chérir, de la protéger, de l’aimer de toutes les manières possibles.

Quand Aiko s’allongea doucement sur le banc, l’attirant vers elle avec une grâce timide, Okkoji suivit son mouvement, son corps répondant instinctivement à l’appel de sa femme. Ses mains, larges et chaudes, trouvèrent ses hanches, caressant la peau douce et légèrement luisante sous l’effet de la chaleur moite du sauna. Il plongea son regard dans le sien, captivé par ses yeux brillants d’émotion, où il lisait un amour si pur qu’il en avait le souffle coupé. Elle était son univers, et cet instant, dans l’intimité feutrée de ce sauna privatif, n’appartenait qu’à eux.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix rauque, tremblante d’un mélange de désir et d’adoration. Il se pencha vers elle, son torse frôlant sa peau nue, envoyant une décharge de chaleur à travers tout son corps. Sa main remonta lentement le long de sa joue, son pouce traçant le contour de ses lèvres entrouvertes, légèrement humides, avant de descendre avec une lenteur délibérée sur son cou, puis sur la courbe délicate de son épaule. Chaque caresse était un hommage à sa beauté, à cet amour qu’il ressentait depuis leur premier regard, un amour qui ne faisait que croître avec le temps.

Leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser plus profond, plus avide, leurs langues s’entremêlant dans une danse passionnée mais empreinte de tendresse. Okkoji sentit le cœur d’Aiko battre sous sa poitrine, un rythme rapide et vibrant qui faisait écho au sien. « Tu es ma vie… » souffla-t-il contre sa bouche, ses mots à peine audibles dans l’intensité du moment. Ses mains glissèrent sur ses flancs, effleurant la peau soyeuse, puis remontèrent vers ses seins, les caressant avec une révérence mêlée de désir. Ses doigts, délicats mais fermes, explorèrent leur douceur, effleurant les pointes sensibles, provoquant un léger frisson qui le fit sourire contre ses lèvres. Il voulait prendre son temps, savourer chaque instant, chaque réaction de son corps.

Il se redressa légèrement, juste assez pour admirer la silhouette d’Aiko étendue sous lui, sa peau scintillant sous la lumière tamisée, sublimée par la vapeur qui dansait autour d’eux. « Tu es tellement belle… » murmura-t-il, sa voix empreinte d’une admiration presque sacrée. Il se pencha pour déposer une série de baisers brûlants le long de son cou, sa langue traçant des lignes humides sur sa peau, savourant son goût légèrement salé par la chaleur. Il descendit lentement, prenant son temps, ses lèvres effleurant sa clavicule, puis s’attardant sur la courbe de ses seins. Il embrassa chaque parcelle avec une dévotion absolue, sa langue jouant doucement autour d’une pointe durcie, avant de l’aspirer délicatement, attentif aux moindres réactions de sa femme. Ses mains, pendant ce temps, caressaient ses hanches, ses doigts s’enfonçant légèrement dans sa chair douce, explorant chaque courbe comme s’il la découvrait pour la première fois.

Aiko enroula ses jambes autour de ses hanches, l’attirant plus près, et Okkoji sentit une vague de désir l’envahir, plus puissante encore. Son souffle devint plus lourd, ses muscles se tendant sous l’effort de contenir l’intensité de son envie. « Aiko… » murmura-t-il, son ton presque suppliant, alors qu’il relevait les yeux pour croiser son regard, cherchant cet amour, cette connexion qui les unissait. Il voulait lui offrir tout ce qu’elle méritait, chaque caresse, chaque baiser étant une promesse de son dévouement. Ses lèvres descendirent plus bas, traçant un chemin de baisers humides sur son ventre, s’attardant sur la peau sensible juste au-dessus de sa taille. Il sentit son corps frémir sous ses lèvres, et cela ne fit qu’attiser son désir de l’aimer davantage.

Il remonta lentement, ses mains glissant le long de l’intérieur de ses cuisses, caressant la peau douce avec une tendresse infinie. Il s’arrêta un instant, ses doigts effleurant délicatement l’intimité d’Aiko, prenant soin de ne pas brusquer, de laisser le plaisir monter doucement. Il se pencha pour l’embrasser de nouveau, ses lèvres capturant les siennes dans un baiser profond, passionné, tandis que ses doigts poursuivaient leur exploration, attentifs à chaque frisson, chaque soupir qu’elle pourrait laisser échapper. « Je veux te sentir… » murmura-t-il contre son oreille, sa voix basse et vibrante, avant de mordiller doucement le lobe, sa langue jouant avec la peau sensible.

Okkoji ajusta sa position, ses mains soutenant toujours ses hanches, et il plongea une fois encore son regard dans le sien, cherchant son consentement, son désir. Avec une lenteur presque torturante, il entra en elle, un mouvement fluide et tendre, mais chargé d’une intensité qui le fit frissonner de la tête aux pieds. Il laissa échapper un soupir rauque, ses mains se crispant légèrement sur ses hanches alors qu’il s’abandonnait à la sensation de leurs corps unis. Il commença à bouger, d’abord lentement, presque religieusement, savourant chaque instant, chaque connexion. Ses lèvres trouvèrent de nouveau les siennes, l’embrassant avec une passion dévorante, tandis qu’il murmurait son nom comme une prière. « Aiko… »

Leurs mouvements s’accordèrent dans un rythme fluide, chaque poussée empreinte d’amour et de désir. Okkoji se perdait dans la chaleur d’Aiko, dans la douceur de sa peau contre la sienne, dans la façon dont leurs corps semblaient faits l’un pour l’autre. Il glissa une main sous son dos, la soulevant légèrement pour approfondir leur connexion, tandis que l’autre caressait ses cheveux, son visage, ses joues rosies par la chaleur et l’émotion. Il alternait entre des baisers passionnés sur ses lèvres et des caresses plus légères sur son cou, sa langue traçant des cercles sur sa peau, savourant chaque frisson qu’il provoquait.

« Aiko… je t’aime… » murmura-t-il, sa voix tremblante, ses lèvres effleurant son oreille avant de descendre pour embrasser la base de son cou, là où il sentait son pouls battre sous sa peau. Il accéléra légèrement, guidé par l’intensité du moment, par la façon dont leurs corps se répondaient. Chaque mouvement était un serment, une promesse de lui offrir tout ce qu’elle désirait, de construire cet avenir qu’elle avait évoqué pour eux, pour leur famille. La vapeur du sauna les enveloppait comme un cocon, amplifiant chaque sensation, chaque caresse, chaque souffle partagé, dans une intimité où le reste du monde semblait s’effacer.

Okkoji ralentit un instant, ses lèvres revenant à celles d’Aiko, son baiser plus doux, presque apaisant, comme s’il voulait ancrer cet instant dans l’éternité. Ses mains continuèrent d’explorer son corps, caressant ses cuisses, ses hanches, remontant jusqu’à ses seins, chaque toucher empreint d’une tendresse infinie. Il voulait prolonger ce moment, la chérir encore et encore, attendre ses réactions, ses désirs, pour les emmener tous deux plus loin dans cette danse d’amour et de passion.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 11 dimanche 01 juin 2025, 20:21:33

La belle Aiko était des plus ravie de voir son mari accepter son invitation à se laisser aller, enfin seuls tous les deux, dans ce sauna privatif qui les protégeait de l’extérieur, autant par ses murs que la brume chaude qui les encerclait. C’est donc libérer de tout ce poids des regards pesant sur eux que la belle brune laissa son corps se détendre, ondulant doucement sous Okkoji, pouvant enfin savourer le contact de sa peau contre la sienne. Un contact tant souhaité, un contact qui lui avait tant manqué, et qu'aucun homme n'avait réussi à combler. 

Malheureusement, afin de ne pas attirer les regards sur eux, puis également pour assurer la sécurité d’Aiko et de Katsu, il ne fallait pas qu’on puisse soupçonner qu’elle était la femme d’Okkoji. Pour cela, il avait fallu isoler la belle brune et son petit, veillant à ce que personne de nuisible ne puisse remonter jusqu’à eux, risquant de découvrir autant leur identité, leur existence ainsi que leur localisation. Les rencontres de la petite famille tout comme du jeune couple à l’époque quand ils n’avaient pas encore le petit Katsu, étaient donc organiser dans le plus grand des secrets et à l’abri des regards indiscrets mais surtout dangereux pour eux. Et donc, afin de ne pas trop attirer les regards sur les deux époux, il fallait que chacun aient des « aventures » pour dissiper les doutes sur le potentiel lien qui pouvaient exister entre-eux.

Mais aucun homme n’avait réussi à lui faire autant d’effet qu’Okkoji, aucun n’avait réussi à la combler et aucun ne lui avait donné envie de se donner totalement. Seul lui provoquer tout cela chez elle. Puis, elle ne se livrait qu’à lui, lui dévoilant toutes ses faiblesses et délicatesses, lui offrant à chaque fois sa timidité qu’il avait été le seul à faire naître chez elle, cette timidité qui restait ancrée en elle malgré les années près de lui. Et avec cette mignonne et amusante caractéristique persistante chez elle, il y avait cette tendresse ainsi que cette malice qu’elle ne réservait qu’à lui, venant autant le taquiner et le cajoler comme elle savait si bien le faire, l’entraînant toujours avec elle dans une douce câlinerie comme en cet instant.

C’est donc tendrement qu’elle ondula, courba et pressa son corps contre le sien, le réclamant subtilement de tout son être, alors que ses mains continuaient de caresser son visage en l’embrassant, passant de doux baisers à des baisers plus langoureux et passionnels. Ses jambes, enlaçaient autour de ses hanches, le maintenait contre elle, appuyant ainsi son besoin de lui qu’elle lui avait témoigné quelques minutes plus tôt, serrant donc ses gambettes autour de lui au rythme de leurs corps se mouvant. Ses baisers et ses caresses n’avaient pas manqué de la faire trembler, frissonner, gémir et soupirer, la faisant doucement murmurer son prénom en ayant les yeux pétillants de désir en le regardant, le réclamant sans un mot ou presque, son corps parlant pour elle en se mouvant lentement en le sentant en elle si doux dans ses vas et viens, tout comme la déclaration qu’il lui fit qui la fit tendrement sourire.

« Okkoji… Je t’aime aussi… Mon Okkoji… »

Murmura-t-elle avec tendresse, venant déposer un doux baiser sur ses lèvres en caressant son visage, avant de venir passer ses mains sur son crâne et ses cheveux qu’elle caressa sensuellement. Puis doucement, elle se mit à onduler plus rapidement, suivant le rythme de son bien-aimé sans le quitter des yeux, l’embrassant avec plus d’intensité tout en serrant avec force ses jambes autour de sa taille. La belle brune pressa davantage son corps contre son mari, gémissant plaintivement un peu plus fort à mesure qu’il s’offrait plus à elle, le sentant plus ample et puissant dans ses coups de reins, faisant parcourir toute la chaleur et l’électricité dans son corps prit par les spasmes de désir qui l'assaillaient.

Après un certain temps à se donner ainsi, le banc sous eux commença à grincer. Même s’ils ne l’entendaient pas tant ils étaient ailleurs et que leurs gémissements couvraient les cris du bois du petit mobilier, il couinait de plus en plus fort sous leurs mouvements qui devenaient plus rapides, commençant même à faire bouger le banc sous eux. Puis, Aiko brisa le silence de cet instant divin, venant agripper avec tendresse mais aussi avec force les épaules d’Okkoji auxquelles elle s’était attraper, les massant, les caressant et les griffant doucement tant elle s’y tenait avec force à mesure qu’il se mouvait en elle de plus en plus avec passion à l’en faire pleurer.

« Okkoji… Chéri… Je… Je te veux… Mais… Je… »

Essaya-t-elle de murmurer, ses yeux larmoyants et parlant avec peine, essoufflée par leur ébat devenu plus torride, mais aussi à cause de ses gémissements de plaisir. Puis, venant l’embrasser avec une douceur infinie du bout des lèvres, ses lèvres tremblantes tout comme son corps sous le désir qui la consumait, elle reprit avec peine d’une petite voix.

« Je… Je me demande si… Si on serait pas mieux… Ailleurs… Pour se donner totalement… »

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 12 dimanche 01 juin 2025, 21:08:21

Okkoji, son torse luisant de sueur sous la vapeur dense du sauna privatif, resserre son étreinte autour d’Aiko, ses mains larges et calleuses glissant avec une lenteur possessive le long de ses hanches, explorant chaque courbe de son corps avec une intensité mêlant désir brut et une tendresse qu’il ne réserve qu’à elle. Ses yeux rouge incandescent, brûlants comme des braises dans la pénombre, capturent les siens, un éclat magnétique dans le regard. Un sourire audacieux, teinté de cette arrogance qui le définit, étire ses lèvres alors qu’il sent les frissons d’Aiko sous ses caresses, son corps vibrant contre le sien. La chaleur du sauna enveloppe leurs silhouettes entrelacées, amplifiant chaque sensation, chaque frôlement de peau contre peau. Ses tatouages – dragons aux écailles rouge sang et démons grimaçants – semblent danser sous la lumière tamisée, comme animés par la passion qui les consume. La cigarette, symbole habituel de son aura de danger, est absente, mais la tension de ses muscles saillants et la profondeur de son regard suffisent à projeter cette menace envoûtante.]

Il ralentit légèrement le rythme de ses coups de reins, ses hanches ondulant avec une précision calculée, prolongeant le plaisir qui fait trembler Aiko sous lui. Ses doigts, marqués par les cicatrices d’une vie de combats, s’enfoncent doucement dans la chair de ses cuisses, les écartant davantage pour se nicher plus profondément en elle. Son souffle rauque, mêlé de gémissements contenus, vibre contre son cou alors qu’il sent son corps répondre – ses jambes serrées autour de sa taille, ses ongles griffant légèrement ses épaules tatouées. Ce contact, cette connexion viscérale, attise la flamme qui brûle en lui, une chaleur qui menace de le consumer. Il se penche, ses lèvres effleurant l’oreille d’Aiko, son souffle chaud caressant sa peau sensible.]

« Aiko, ma douce, ma reine… » commence-t-il, sa voix grave et chaude, presque un murmure, mais chargée d’une autorité qui fait frissonner l’air saturé de vapeur. Chaque mot est pesé, comme s’il scellait un pacte entre eux.] « Cet hôtel, ce sauna, ces murs… tout m’appartient. Chaque pierre, chaque ombre, chaque souffle ici est à moi. À nous. » Il marque une pause, ses lèvres frôlant la peau douce de son cou, y déposant un baiser brûlant qui arrache un frisson à Aiko.] « Ce n’est pas juste un refuge pour ce soir, Aiko. C’est ta nouvelle maison. À toi et à Katsu. J’ai tout orchestré – les titres, les contrats, les faux noms. Intraçable. Même les Kuroda, ces chiens, ne trouveront rien. »

Il redresse légèrement la tête, son regard perçant plongé dans le sien, un éclat de défi dans ses yeux rougeoyants, comme s’il défiait le monde entier de s’opposer à lui. Ses mains glissent sur ses flancs, remontant jusqu’à ses seins, qu’il caresse avec une lenteur délibérée, ses pouces effleurant leur pointe sensible, arrachant un gémissement étouffé à Aiko. Ses hanches reprennent un rythme plus soutenu, plus puissant, chaque coup de reins envoyant des vagues de chaleur à travers le corps de sa femme, qui s’arque contre lui, ses gémissements emplissant l’air. Il grogne doucement, sa main gauche glissant dans ses cheveux bruns, tirant légèrement pour exposer son cou, qu’il mordille avec une tendresse féroce, marquant sa peau comme pour réclamer ce qui lui appartient.]

« J’ai fait de cet endroit une forteresse, » poursuit-il, sa voix plus profonde, vibrante d’une promesse inflexible.] « Les caméras sont désactivées, les gardes sont mes hommes, triés sur le volet. Personne ne saura que nous sommes ici, que tu es mienne. » Un sourire en coin apparaît, teinté d’une pointe d’arrogance, tandis que ses muscles se tendent sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur. Le banc sous eux grince bruyamment, protestant sous leurs mouvements de plus en plus frénétiques, mais Okkoji n’en a cure, son attention entièrement captivée par Aiko, par la façon dont son corps s’abandonne à lui.] « Et ce banc qui gémit sous nous ? Qu’il se brise, je m’en contrefous. Je ferai construire un lit d’acier pour toi, pour toutes les nuits où je te prendrai, encore et encore, jusqu’à ce que tu cries mon nom au monde entier. »

Il capture ses lèvres dans un baiser profond, presque vorace, sa langue explorant la sienne avec une passion qui contraste avec la précision de ses gestes. Ses hanches s’enfoncent plus fort, plus vite, chaque mouvement arrachant un cri étouffé à Aiko, dont les ongles s’enfoncent plus profondément dans ses épaules, griffant la peau tatouée. Il ralentit un instant, juste assez pour la faire languir, ses yeux ne quittant pas les siens, observant chaque frisson, chaque soupir qu’elle lui offre. Ses doigts caressent son visage, son pouce traçant la courbe de sa lèvre inférieure, alors qu’il sent son propre désir atteindre un point de non-retour.]

« Tu veux aller ailleurs ? » demande-t-il, un éclat taquin dans la voix, mais teinté d’une promesse sombre, presque menaçante dans son intensité.] « Cet endroit est notre sanctuaire. Chaque pièce, chaque recoin, je l’ai pensé pour toi. Pour nous. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, arrachant un gémissement plaintif à Aiko, ses doigts se crispant sur lui.] « Mais si tu veux tester chaque surface de cette suite… le lit, le sol, contre les murs… je suis prêt à t’emmener partout, ma belle. »

Il glisse une main sous ses reins, la soulevant légèrement pour changer l’angle, intensifiant la sensation alors qu’il accélère à nouveau, son souffle devenant plus erratique, mêlé aux gémissements d’Aiko. Le banc grince de plus belle, mais il s’en moque, son esprit entièrement consumé par elle, par la chaleur de son corps, par la façon dont elle s’abandonne à lui, son prénom s’échappant de ses lèvres dans un murmure tremblant. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles marquant sa peau, et ce mélange de douleur et de plaisir attise encore plus son ardeur. Il se penche, ses lèvres frôlant les siennes, son regard brûlant d’une intensité presque sauvage.]

« Dis-moi ce que tu veux, Aiko, » grogne-t-il, sa voix rauque vibrant contre sa bouche.] « Ici, maintenant, ou partout dans cette foutue suite… je te donnerai tout. Corps et âme. » Il ralentit à nouveau, juste assez pour la faire frémir d’anticipation, ses doigts caressant son visage avec une tendresse possessive. Ses hanches s’immobilisent un instant, prolongeant l’attente, avant de reprendre avec une lenteur délibérée, chaque mouvement calculé pour la faire chavirer.] « C’est notre royaume, ma reine. Dis-moi où tu veux qu’on aille, et je t’y emmène. »

Il attend sa réponse, son corps toujours pressé contre le sien, leurs souffles entremêlés dans la brume chaude, chaque muscle tendu par le désir, prêt à la suivre dans cet instant où le monde extérieur s’efface, où il n’y a qu’eux, leur passion, et ce sanctuaire qu’il a bâti pour elle.]

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 13 dimanche 01 juin 2025, 23:01:26

Tout en poursuivant leur ébat tantôt doux et tantôt torride, Aiko avait écouté silencieusement tout ce que lui avait dit Okkoji, son silence seulement interrompu par les grincements du bancs sous eux et les gémissements de la belle brune. Ses ongles ne manquaient pas de s’enfoncer dans sa chair à cause des puissants coups de rein qu’il lui offrait, la faisant se cambrer et trembler de plaisir sous lui, ses yeux larmoyants et scintillants qui contemplaient amoureusement les siens.

Les mots tout comme les révélations de son mari n’avait pas laisser la jeune femme de marbre, au contraire. Mais, il faut dire que ces déclarations, même si elles étaient rassurantes, étaient compliquées à digérer vu la situation dans laquelle ils étaient tous deux. Bien entendu, cela la rassura profondément, et même que cela lâ détendit malgré tout. Car soudainement, Aiko se mit à ouvrir en grands les yeux, sentant avec bonheur Okkoji au plus profond d’elle alors qu’il venait de ralentir, la regardant passionnément en attendant un mot de sa part.

Ses yeux se mirent à trembler sous le bonheur qu’elle ressentait, elle les ferma quelques instants, soupirant en souriant contre ses lèvres, avant de se mettre à le serrer avec force de ses bras et ses jambes, son corps pressant contre le sien en tremblant d’envie. Puis, la belle brune rouvra doucement les yeux, regardant son mari de ses yeux pétillants de désir, avant de se mettre de nouveau à onduler son corps contre le sien, venant l’embrasser un peu plus fougueusement en murmurant chaudement.

« Okkoji… Je suis plus ravie d’apprendre tout cela… C’est vraiment une très bonne nouvelle, mais… »

Un petit sourire amusé contre ses lèvres, un regard pétillant de malice avant de se mettre à griffer délibérément ses épaules, elle reprit en chuchotant chaudement, gardant son basin pressé fermement contre le sien.

« Pour le moment… Que cela soit à nous ou pas, c’est seulement toi que je veux chéri… Toi, et rien que toi… Ici, dans la chambre, ailleurs, peu importe… Je ne veux que toi… »

Puis, un petit souffle amusé s’échappa d’entre ses lèvres, ses ongles relâchant ses épaules pour venir les caresser délicatement du bout de ses doigts fins et graciles avec tendresse, ses baisers devenant de nouveau plus doux.

« Puis… Je ne m’inquiète pas vraiment pour le banc… Qu’il soit à nous ou non… Je m’inquiète plus pour nous qui risquons de nous blesser s’il vient à lâcher… »

Riant tendrement contre ses lèvres, son corps continuant d’onduler doucement contre le sien, elle reprit d’une voix toujours aussi chaude mais essoufflée, ses yeux pétillants amoureusement en le regardant.

« Je souhaite me rendre au 7e ciel avec toi mon roi… Que ce soit ici, sur ce banc, sur le sol, contre les murs, dans la chambre de notre suite, dans un ascenseur ou même un placard à balai… Tant que je suis avec toi, le lieu de départ m’importe peu tant qu’on va ensemble au paradis… »

Et après ses mots, elle lui offre un doux baiser, très tendre, frôlant à peine ses lèvres, son corps se mouvant très lentement sous le sien. Puis, doucement, elle l’embrassa avec plus de passion, plus de fougues, montant petit à petit le rythme sensuellement de ses baisers comme de son corps dansant sous celui de son mari, ses jambes et ses bras continuant de le maintenir intensément, alors qu’elle commença à gémir de plus en plus fort dans la reprise de leur danse. 

Okkoji Yamamoto

Humain(e)

Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)

Réponse 14 dimanche 01 juin 2025, 23:45:59

Okkoji, ses muscles luisants sous la vapeur brûlante du sauna, sent chaque mot d’Aiko s’enfoncer en lui comme une braise ravivant son désir. Ses yeux rougeoyants, plongés dans les siens, capturent chaque éclat de passion, chaque frisson qui parcourt son corps cambré sous lui. Les gémissements d’Aiko, mêlés aux grincements stridents du banc, emplissent l’air saturé, amplifiant l’intensité de cet instant où le monde extérieur n’existe plus. Ses mains calleuses, marquées par une vie de combats, s’agrippent à ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce alors qu’il accélère ses coups de reins, répondant à l’appel de son corps ondulant contre le sien. Les griffures sur ses épaules, laissées par les ongles d’Aiko, attisent une douleur exquise qui alimente son ardeur. Son souffle rauque se mêle aux soupirs d’Aiko, et ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent vibrer sous la sueur, comme animés par leur passion dévorante.

Les paroles d’Aiko, pleines d’amour et de malice, font naître un sourire sauvage sur ses lèvres. Il sent son corps trembler contre le sien, ses jambes serrées autour de sa taille, ses bras l’enlaçant avec une force qui trahit son besoin insatiable de lui. Chaque mot qu’elle murmure, chaque regard pétillant qu’elle lui lance, le pousse à se perdre davantage en elle. Il grogne doucement, un son guttural vibrant contre son cou alors qu’il ralentit un instant, prolongeant l’attente, ses hanches s’immobilisant juste assez pour la faire frémir d’anticipation. Puis, incapable de résister à l’appel de son corps, il reprend un rythme plus profond, plus puissant, chaque coup de reins envoyant des vagues de plaisir à travers eux deux.

« Aiko… ma reine… » murmure-t-il, sa voix rauque et brûlante, presque un grognement, alors que ses lèvres effleurent les siennes, capturant son souffle. « Tu me rends fou… Tu veux le septième ciel ? Je t’y emmène, maintenant. » Ses mots sont ponctués d’un coup de reins plus intense, arrachant un gémissement plaintif à Aiko. Ses mains glissent sous ses reins, la soulevant légèrement pour s’enfoncer plus profondément, son regard ne quittant pas le sien, observant chaque frisson, chaque tremblement de plaisir qui la traverse. La chaleur du sauna, la vapeur qui les enveloppe, amplifie chaque sensation, chaque contact de leurs corps en fusion.

Il sent une tension irrépressible monter en lui, une vague prête à l’engloutir. Les gémissements d’Aiko, de plus en plus forts, le poussent au bord du précipice. Ses hanches s’accélèrent, ses muscles se contractant sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur alors qu’il se donne à elle sans retenue. Le banc grince dangereusement sous eux, mais il n’en a cure, son esprit entièrement consumé par elle, par la façon dont elle s’abandonne à lui, par la chaleur de son corps pressé contre le sien. Avec un dernier coup de reins, profond et puissant, il atteint l’extase, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il jouit en elle, son corps tremblant sous l’intensité du moment. Il reste un instant immobile, son souffle erratique mêlé au sien, ses mains caressant doucement ses hanches, prolongeant ce lien intime qui les unit.

Mais Okkoji n’en a pas fini. Un éclat sauvage brille dans ses yeux alors qu’il se redresse légèrement, son torse bombé se soulevant à chaque respiration. Sans un mot, il glisse ses bras sous le corps d’Aiko, la soulevant avec une facilité déconcertante, ses muscles saillants se contractant sous l’effort. Il l’enlace étroitement, ses lèvres frôlant les siennes dans un baiser brûlant, possessif, tandis qu’il la porte hors du sauna, la vapeur s’écartant comme un rideau autour d’eux. Ses pas assurés les mènent à travers la suite, ses yeux ne quittant jamais ceux d’Aiko, un sourire en coin trahissant son intention de ne pas s’arrêter là.

Il pousse la porte de la chambre d’un coup d’épaule, révélant une pièce somptueuse baignée d’une lumière tamisée, un lit king-size trônant au centre, drapé de soie noire. Sans relâcher Aiko, il la dépose doucement sur le lit, son corps toujours pressé contre le sien, ses mains explorant à nouveau ses courbes avec une avidité renouvelée. Il s’installe au-dessus d’elle, ses doigts traçant des lignes brûlantes sur sa peau, remontant de ses cuisses à son visage, où il caresse sa joue avec une tendresse possessive.

« Le septième ciel, dis-tu ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant d’un mélange de désir et de défi. « On n’a pas fini, ma belle. Ce lit, ces murs, cette suite… ils sont à nous. Et je vais te faire crier mon nom jusqu’à ce que tu oublies tout le reste. » Il capture ses lèvres dans un baiser profond, passionné, sa langue explorant la sienne avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches reprennent leur danse, lentement d’abord, puis avec une intensité croissante, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien.

Chaque mouvement est calculé, chaque caresse destinée à la faire chavirer. Il mordille doucement son cou, ses lèvres traçant un chemin brûlant jusqu’à son épaule, tandis que ses hanches s’enfoncent en elle avec une précision qui arrache des gémissements de plus en plus forts. Le lit, plus solide que le banc du sauna, accueille leurs ébats sans protester, les draps se froissant sous leurs corps entrelacés. Okkoji grogne doucement, son souffle chaud contre la peau d’Aiko, ses yeux rougeoyants brillant d’une passion dévorante alors qu’il la guide à nouveau vers l’extase, déterminé à lui offrir tout ce qu’elle désire, et plus encore.

« Dis-moi, ma reine… » chuchote-t-il contre ses lèvres, son ton chargé d’une promesse sauvage. « Prête à grimper encore plus haut ? » Il ralentit un instant, ses yeux plongés dans les siens, attendant sa réponse, son corps vibrant d’une énergie prête à exploser à nouveau, prêt à l’emmener dans une danse sans fin dans ce sanctuaire qu’il a créé pour eux.


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