**Nom** : Okkoji Yamamoto
**Âge** : 47 ans
**Occupation** : Oyabun (chef) du clan Yamamoto, l’une des organisations yakuza les plus puissantes, contrôlant 30 % du monde des yakuzas et faisant de lui l’un des plus gros oyabuns au monde
**Apparence** : Okkoji Yamamoto impose par sa présence imposante, une silhouette taillée dans un bloc de puissance brute et d'élégance provocatrice. Sa stature musclée, forgée par des années d'entraînement rigoureux, allie force et agilité, ses épaules larges et son torse bombé tendant le tissu de son costume noir taillé sur mesure, qui épouse ses formes comme une seconde peau. Ce costume, d’une coupe impeccable, met en valeur ses biceps saillants et ses avant-bras noueux, tandis qu’une cravate rouge et noire ornée de motifs de dragon ajoute une touche audacieuse. Une pochette rouge sang, jaillissant de sa poche de poitrine, capte le regard, vibrant d’une intensité presque théâtrale.
Son visage anguleux, à la mâchoire carrée légèrement ombrée d’une barbe naissante, dégage une aura magnétique. Ses yeux rouge incandescent – qu’il s’agisse de lentilles ou d’une anomalie naturelle – percent quiconque ose le défier, encadrés par des sourcils épais et arqués qui renforcent son air provocateur. Ses cheveux, teints en rouge vif à l’avant et noirs sur les côtés rasés, forment une crête audacieuse, dévoilant des tatouages irezumi complexes s’étendant jusqu’à son cou. Ces motifs, mêlant dragons aux écailles rouge sang et démons grimaçants en teintes rouges et blanches, semblent danser sous la lumière, comme animés d’une vie propre. Ses mains, larges et calleuses, marquées de cicatrices discrètes, trahissent une vie d’action, avec des veines proéminentes serpentant sous la peau.
Une cigarette pend constamment à ses lèvres, entourée de volutes de fumée qui ajoutent une aura de danger, la braise rougeoyante faisant écho à ses yeux perçants. À son poignet gauche, une montre en acier légèrement usée, mais polie avec soin, un souvenir de son mentor, contraste avec la modernité agressive de son style, ancrant son apparence dans une nostalgie discrète. Chaque détail – de la pochette éclatante à la fumée dansante, en passant par ses tatouages vibrants et son regard perçant – semble orchestré pour projeter une image de défi, de contrôle et de mystère. Okkoji Yamamoto est une tempête visuelle, un homme qui impose le respect et intrigue d’un simple regard, une figure dont la présence ne laisse personne indifférent.
**Personnalité** : Okkoji est un mélange de charisme brut et de froideur calculée. Sa voix rauque et ses mots mesurés inspirent à la fois la crainte et l’admiration. Impitoyable dans ses affaires, il dirige avec une poigne de fer, mais son flair pour la manipulation lui permet d’éviter les confrontations directes quand cela sert ses intérêts. Il vénère la tradition yakuza, mais s’adapte aux réalités modernes avec une audace qui désarçonne. Sa colère, rare mais explosive, est légendaire, et il protège farouchement ceux qui lui sont loyaux, tout en traquant impitoyablement les traîtres.
**Histoire** : Okkoji Yamamoto est né dans les ruelles sombres d’un quartier ouvrier de Yokohama, où la pauvreté et la violence régnaient en maîtres. Fils d’un petit malfrat affilié au clan Guyani, il grandit entouré des récits des exploits yakuza, mais aussi des blessures laissées par ce mode de vie impitoyable. À l’âge de 12 ans, il assiste, impuissant, à l’assassinat de sa mère par un clan rival, les Kuroda, lors d’une tentative d’intimidation ratée contre son père. Cet événement, gravé dans sa mémoire comme une flamme inextinguible, forge sa détermination à s’élever dans la hiérarchie criminelle pour venger sa famille. Adolescent, il commence comme coursier pour le clan, utilisant son agilité et son esprit vif pour échapper aux pièges des gangs rivaux. À 18 ans, il est initié officiellement après avoir survécu à une embuscade tendue par les Kuroda, tuant un de leurs hommes avec un couteau volé. Ce jour-là, il gagne son premier tatouage, une carpe koi gravée sur son avant-bras, symbole de sa résilience.
Son ascension débute véritablement à 25 ans, lorsqu’il devient un lieutenant clé sous la direction de l’ancien oyabun, son oncle par alliance, Hiroshi Takamura. Okkoji se distingue par sa capacité à négocier avec des clans ennemis et à diversifier les activités du clan, s’aventurant dans les casinos illégaux, le trafic d’armes et même des investissements dans l’immobilier pour blanchir l’argent. Il développe une réputation d’homme capable de transformer les échecs en victoires, comme lorsqu’il récupère un chargement d’armes confisqué par la police en soudoyant un officier corrompu. Cependant, la tension monte lorsque Hiroshi, vieillissant et attaché aux vieilles méthodes, refuse de moderniser davantage le clan. En 2015, une guerre intestine éclate, alimentée par des trahisons et des ambitions divergentes. Lors d’une réunion tendue dans un entrepôt abandonné, Hiroshi est abattu par un sniper embusqué. Bien qu’aucune preuve formelle ne l’implique, les rumeurs désignent Okkoji comme le commanditaire, un acte qu’il n’a jamais ni confirmé ni démenti. À 39 ans, il prend le contrôle du clan Yamamoto, éliminant méthodiquement les opposants lors d’une purge sanglante mais discrète, laissant les corps de ses rivaux comme avertissement dans les ruelles de Tokyo.
Sous son règne, le clan Guyani s’étend à une échelle inégalée et prend son nom, devenant ainsi le Clan Yamamoto. Okkoji consolide son pouvoir en établissant des alliances avec des groupes criminels internationaux, notamment les triades chinoises à Hong Kong, les gangs coréens de Séoul et même des cartels sud-américains pour le trafic de drogue. Il maintient une façade légale grâce à des entreprises de couverture comme des clubs de nuit branchés, des agences de sécurité privée et des chaînes de restaurants haut de gamme, qui servent de points de lavage d’argent. Aujourd’hui, à 47 ans, il contrôle 30 % du monde des yakuzas, une domination qui le hisse au rang des oyabuns les plus puissants au monde. Son influence s’étend des bas-fonds de Tokyo aux casinos clandestins de Macao, soutenue par des pots-de-vin versés à des politiciens corrompus et des officiers de police véreux. Cette hégémonie attire l’attention des forces de police japonaises, qui créent une task force spéciale pour le traquer, ainsi que des clans rivaux déterminés à grignoter son territoire, comme les resurgents Kuroda.
Un tournant dramatique survient en 2023, lorsque son frère cadet, Kenji, un idéaliste qui tentait de quitter la vie yakuza pour ouvrir une école d’arts martiaux, est assassiné par les Kuroda dans une embuscade brutale. Okkoji, dévasté, jure de venger sa mort et lance une campagne clandestine qui décime les rangs des Kuroda sur plusieurs mois, utilisant des informateurs infiltrés et des assassinats ciblés. Cette vendetta laisse le clan Yamamoto temporairement vulnérable, exposant des failles que les rivaux exploitent. La perte de Kenji le hante encore, et il porte désormais une bague gravée de son nom, qu’il tourne nerveusement autour de son doigt lors des moments de doute. Malgré son pouvoir, Okkoji fait face à de multiples défis : une génération plus jeune dans son clan, influencée par la technologie et les cryptomonnaies, remet en question ses méthodes traditionnelles, prônant une approche moins ritualisée. De plus, les pressions internationales, notamment d’Interpol et du FBI, se resserrent, avec des enquêtes transfrontalières visant ses réseaux de trafic. En parallèle, un mystérieux oyabun rival, connu sous le nom de "L’Ombre de Kyoto", commence à orchestrer des attaques subtiles contre ses intérêts, semant le doute parmi ses lieutenants.
Okkoji répond à ces menaces avec une stratégie audacieuse. En 2024, il investit massivement dans la cybersécurité pour protéger ses opérations financières, recrutant des hackers talentueux issus des milieux underground. Il organise également un sommet secret avec les principaux oyabuns pour réaffirmer son autorité, un geste risqué qui renforce son image mais attise les jalousies. Sa vie personnelle, quant à elle, reste un mystère : il n’a ni femme ni enfants officiels, bien que des rumeurs parlent d’une maîtresse cachée dans les montagnes d’Hokkaido, une ancienne geisha qui influence ses décisions à distance. Cette relation, s’il elle est vraie, pourrait être un levier pour ses ennemis. Par ailleurs, un incident récent en mai 2025, où un de ses entrepôts a été incendié par un acte de sabotage, le pousse à redoubler de vigilance, soupçonnant une trahison interne. Il passe désormais des nuits entières à interroger ses hommes, son esprit aiguisé par la paranoïa mais aussi par une volonté farouche de protéger son héritage.
**Forces** :
- **Charisme intimidant** : Son apparence et sa présence suffisent à soumettre la plupart de ses adversaires.
- **Stratège audacieux** : Il excelle à prendre des risques calculés, surprenant ses ennemis par des coups inattendus.
- **Réseau mondial** : Ses alliances internationales renforcent sa position dans le crime organisé.
**Faiblesses** :
- **Impulsivité vengeresse** : La mort de son frère le pousse parfois à des décisions hâtives.
- **Visibilité excessive** : Son style flamboyant le rend une cible pour les autorités et les rivaux.
- **Conflits internes** : Les jeunes membres du clan contestent son leadership, menaçant l’unité.
**Détails notables** :
- Il consulte souvent sa montre avant de trancher, un rituel hérité de son mentor.
- Sa cigarette est un symbole de défi, allumée même sous la pression.
- Le démon tatoué sur son cou représente sa rage intérieure, qu’il canalise dans ses plans.
**Motivations** : Okkoji vise à faire du clan Yamamoto une légende intouchable, mêlant tradition et modernité. Il veut honorer la mémoire de son frère tout en sécurisant son empire, mais il sait que chaque pas pourrait le rapprocher de sa chute face aux ennemis qui se multiplient. En outre, depuis que le monde de Terra a été découvert, il souhaite exploiter un maximum ce nouveau monde et s’imposer.