Une fois bien unis à lui, son bassin bien calé contre le sien qui s’emboitaient parfaitement, savourant le délice de le sentir en elle merveilleusement logée dans son chaud et humide fourreau, la jeune serveuse s’amusa à chercher un peu le videur. Mais la réponse de ce dernier ne manqua pas de l’étonner, lui faisant ouvrir en grand ses jolies mirettes qui se mirent à clignoter, se demandant bien ce qu’elle n’avait pas fait et qui manquait pour satisfaire son bel professeur.
Et là, elle le regarda retirer lui-même son débardeur, dévoilant ainsi son torse complètement nue qu’elle matta quelques secondes en se pinçant les lèvres, appréciant visiblement la vue. Toujours sans le quitter des yeux, elle le regarda s’occuper d’elle, le sentant défaire la fermeture éclaire de sa jupe qui se relâcha en étant bien plus amples sur ses hanches. Mais en effet, elle n’était pas préparer à la suite et ne l’avait pas vu venir, le sentant arracher carrément sa chemise et son débardeur en même temps, venant à déchirer ses vêtements en leur centre, dévoilant ainsi son buste presque nue tandis que les restes des tissus glissaient de ses épaules jusqu’à tomber de ses bras, venant la découvrir. Puis, son soutien-gorge ne tarda pas à suivre le même chemin que ses vêtements déchirés, les bretelles de la lingerie en dentelle glissant délicatement de ses épaules avec l’aide du beau brun, qui ne perdait pas son beau sourire et qui la faisait chavirer, surtout en entendant ses nouveaux mots, la faisant rougir de plus belle prise au dépourvue.
« Heu… Je… Heu… C’est pas du jeu ! » dit-elle d’une petite voix en plissant des yeux en le regardant tout en se pinçant les lèvres « J’allais m’en occuper après… »
Marmonner-t-elle sans le quitter des yeux, gardant une bouille assez amusante vu la situation dans laquelle ils étaient. Mais, Rubis étant Rubis, elle reprit vite de son panache et contre-attaqua, venant esquisser un petit sourire malicieux en se penchant lentement contre Karl, venant coller totalement son buste au sien en ondulant très lentement contre lui, la faisant reprendre la parole dans un lent et long soupir.
« Vous voulez de l’authentique mon cher professeur ? Je vais vous en donner, attendez voir… »
Soufflant ensuite sur ses lèvres sans lui donner l’opportunité de pouvoir les saisir, elle s’amusa un instant à le taquiner un peu, tandis qu’elle déplia lentement une de ses jambe le long d’une des siennes, jouant avec ses doigts de pieds qui attrapèrent les extrémités de son pantalon et son boxer. Puis très rapidement, elle tira de toutes ses forces avec son pied pour lui retirer cela, venant les pousser ensuite de son pied pour les faire tomber au sol, avant de ramener sa jambe sensuellement et lentement contre la sienne, venant la replier et placer comme elle était auparavant pour rester assise sur lui.
Mais elle n’en avait pas finie, ho non ! Elle allait lui en mettre plein la vue pour que ce soit assez vrai à son goût cette fois-ci ! Là, venant à se redresser et séparer leurs deux torses, elle s’assit bien sur lui, venant se frotter doucement et lentement contre lui, gardant son épée bien emprisonnée dans son fourreau sans lui donner l’opportunité de pouvoir se mouvoir pour le moment. La jolie albinos vint se saisir de sa petite jupe ensuite, continuant à le regarder avec malice en souriant avec insolence, tirant rapidement sur sa jupe qu’elle fit glisser le long de son buste et de sa tête, venant la jeter au sol à côté du canapé, dévoilant ainsi ses hanches nue, ou presque. En effet, il lui restait encore sa petite culotte en dentelles sur elle, avec laquelle elle avait joué pour créer un passage pour s’unir avec son séduisant collègue.
Rubis jeta un œil rapidement à sa culotte en haussant un sourcil, semblant réfléchir un moment avant de venir poser ses doigts dessus, jouant avec la dentelle quelques instants. Ou, cherchant plutôt une faille dans celle-ci, en dehors des coutures de la lingerie. Puis, sans crier garde, venant poser très rapidement ses deux mains sur sa culotte afin de tirer deux extrémités de celle-ci du côté d’une de ses hanches, elle tira dessus de toutes ses forces et la fit craquer ! Esquissant un sourire satisfait, elle la poussa après avec l’une de ses mains, venant la faire glisser le long d’une de ses jambes. Remuant un peu celle-ci pour faire ensuite tomber la lingerie déchirée au sol, elle reporta ensuite son regard vers Karl et vint de nouveau se pencher sur lui, collant sa poitrine contre son torse, soufflant de nouveau sur ses lèvres avec un petit sourire joueur.
« Et là, est-ce que c’est assez authentique à votre goût cher professeur ? Ou dois-je faire sauter mes bas et vos chaussettes aussi ? »