Leine semblait n’avoir pas apprécié, autant qu’eux, cette petite péripétie, et ne se gêna pas une nouvelle fois à faire des avances à Ryuga devant Miya, mais ne demanda pas son reste et s’éloigna bien vite. Le policier se fit aider par sa partenaire pour se relever, et elle l’entraîna vers sa chambre puis verrouilla immédiatement la porte. Le dos contre le mur, la demi-déesse était vraiment plus que désirable, comment pourrai-t-il se passer un jour de ce regard posé sur lui ?...
- Tu sais que tu es encore plus craquant quand tu ris...
Il avait rit, c’était venu tout naturellement et il ne s’en était même pas rendu compte, ne lui demander pas de se souvenir de la dernière fois qu’il avait rit de la sorte, c’était trop lointain. Ryuga se sentait si bien, si heureux avec elle, épanouit tout simplement.
Miya l’entraîna jusqu'au canapé, et il se laissa faire en se laissant tomber, puis la chanteuse s’empressa de chevaucher ses cuisses pour laisser leurs lèvres se retrouver avec passion. Elle continua de déboutonner la chemise de l’inspecteur, et murmura quand leurs lèvres ne se joignaient plus.
- Je ne pensais pas que je pouvais être encore plus amoureuse de toi... Je t'aime tant, Ryu...
Les yeux de Ryuga brillaient d’amour, à cet instant les idées les plus folles lui traversèrent l’esprit, comme celle d’un mariage, alors que rien que l’envisager il y a quelques jours le déprimait totalement. Mais il ne se laisserait pas griser par de telles envies, sa relation avec Miya comptait trop pour lui pour l’altérer par une chose aussi importante que peut l’être un engagement officiel. Et d’ailleurs, ça ne faisait que deux jours qu’ils étaient ensemble. Ce fut sans doute grâce à l’expérience dû à son âge, que Ryuga pu remettre les pieds sur terre, et ne plus se concentrer que sur le moment présent.
Les mains du policier vinrent prendre position sur les fesses de Miya, avec une étreinte qui trahissait son envie, puis il leurs fit commencer une lente remontée… Les pressant fermement contre son corps, les ramenant vers l’intérieur pour passer sur sa délicieuse poitrine, jusqu’à ses épaules qu’il commença à masser doucement. Enfin ce n’était qu’un prétexte pour passer ses doigts sous les bretelles de sa robe, pour en faire glisser doucement le haut, et dévoiler ses seins comprimés dans leur soutient gorge. Ryuga l’enlaça, se collant à elle, son visage contre sa poitrine, et là aussi ce n’était qu’un prétexte pour laisser ses mains vagabonder sur son dos, et venir défaire d’un geste expérimenté l’agrafe qui scellait la prison de tissu. Les seins de son amante furent libérés, mais il ne vira pas son soutient gorge comme un gamin trop gâté, non, il laissait l’armure de tissu chanceler, dévoilant par moments ses mamelons sous les mouvements créés par la respiration de plus en plus forte de Miya. Et ce n’est donc que petit à petit que le soutient gorge commençait à glisser le long des bras de la demi-déesse, sous la pression des lèvres de Ryuga, qui dévalait les soyeuses montagnes de chairs de son amante. Il trouva enfin le téton de son sein droit, et après l’avoir pincé sensuellement entre sa bouche, il laissa sa langue commencer à danser tout autour. D’une main, l’inspecteur finit de retirer le soutient gorge de sa partenaire, puis en profita pour la poser sur son sein gauche, qui, contrairement à son jumeau, était bien seul.
- Miya… Je te veux… Murmura-t-il entre deux caresses de sa langue sur son téton.
Il commença donc des caresses fermes sur le sein gauche de Miya, l’étreignant chaudement de sa large main par moments, alors que son pouce allait et venait sur le téton, s’amusant à le rendre le plus rigide possible. La main gauche de Ryuga, était restée pour le moment peut entreprenante, mais ça n’allait pas durer, vue qu’elle continuait de faire glisser la robe noire de la chanteuse, dévoilant petit à petit le reste de son corps.