[Terminé] Jun, la "victime" de la "loi" (Pv. Jun - Ryo)

(POV : Jun)

« … »

Je regarde fixement la glace en faisant la moue.

« … ? »

Hmm… non, ça va pas le faire ça. Je suis en plein essayage de tenue, et plutôt pas inspirée pour l’instant. Aujourd’hui, Aya a décidé de faire l’inventaire du club avec Xia. Je comprends, il faut, mais moi les chiffres ça me parle pas ! D’ailleurs je suis pas la seule, Aoi et Yor sont déjà parties faire un tour alors qu’Ada et Nya se sont proposées pour les aider. Et Nea ? Je suis pas sûre, mais je crois qu’elle voulait faire plaisir à Ada alors…

« … ! »

Ah voilà, parfait ! Je me suis trouvée ma tenue du jour : avec ça, si y’en a pas au moins un qui cède à la tentation…
Je réfléchis encore un instant : il me faudrait peut-être un truc pour être plus repérable ? J’ai déjà été dans des quartiers où les filles étaient pas plus vêtues que moi, alors je peux surement me permettre une petite fantaisie. Oui, petite : tout est petit aujourd’hui ! Tout petit short en jean qui cache à peine mes belles fesses, petit débardeur… peut-être trop d’ailleurs, il compresse ma poitrine ! Bon tant pis, j’ai déjà trop trainé. J’ajoute une paire de fausses oreilles de chat sur ma tête – je ne sais pas pourquoi mais j’adore ça – et me voilà prête. Enfin… maintenant que j’ai pris ma veste en jean, je le suis.

« Je sors, bon courage les filles ! »

Un petit bisou à Nya, et me voilà téléportée dehors. Où ça ? Si j’en crois la carte dressée par Aya, je suis proche d’un point énergétique qui est dans le quartier de la Toussaint. J’ai aucune idée de ce qu’est censé être cette Toussaint, mais je m’en fous un peu ! Je suis bien trop occupée à regarder à quoi ressemble le coin, et me chercher une proie… ou plutôt, un prédateur qui voudra faire de moi sa proie.

Bon, donc… c’est pas aussi cool que le quartier où est le club. Je dirais même que ça a l’air super craignos. C’est juste… parfait ! Franchement si je trouve pas un coup ici je ne comprends pas. Je commence donc à me promener, un air parfaitement innocent sur le visage, jetant des coups d’œil à droite à gauche. Y’a bien des gens qui me regardent, et pas de manière chaste, mais ils ont l’air trop occupés à s’échanger des petits sachets plastiques contre de l’argent. Y’a bien deux types qui me sifflent et me claquent les fesses aussi, mais rien de plus pour l'instant...

... puis je remarque un type qui me reluque quand je passe devant lui et commence à me suivre. Ah, enfin ! Ça fait presque cinq minutes que je suis là, il était temps qu’un poisson morde à l’hameçon. C’est un truc d’humain ça, c’est lié à la pêche… ça doit quand même être pénible de devoir manger pour ne pas mourir, mais bon toutes les espèces ne sont pas parfaites.

Il me faut une longue minute de marche avant de tomber sur une petite ruelle et y entrer. Le type me suit encore, alors ça va être le moment de vérité ! Je prends soin d’avancer de plusieurs mètres puis de me tourner pour fixer l’entrée de la ruelle avec un air apeuré. Je joue super bien la comédie, dixit Yor, alors je suis à peu près sûre qu’il va tomber dans le panneau le gars ! Et justement, le voilà… il me regarde et… continue sa route ? Je commence à froncer les sourcils en le voyant disparaître, mais finalement il revient sur ses pas et commence à s’avancer vers moi. Intérieurement je bondis de joie, mais extérieurement je le fixe en reculant à petit pas. Oh non, suis-je bête, je me retrouve bloquée contre un mur…

« Q-qu’est-ce que vous voulez ? »

Ma voix transpire la peur alors que le type continue d’avancer vers moi. Son sourire s’élargit, et plutôt que de me répondre il finit par se jeter sur moi et me bloquer contre le mur ! L’une de ses mains vient se glisser entre mes cuisses, tandis que l’autre me maintient contre les briques. Je fais mine de me débattre, sans sortir de mon rôle de proie : je n’ai pas envie de me battre non plus, ça gâcherait le plaisir ! Et maintenant qu’il a réussit à faire sauter l’unique bouton qui tenait mon mini short fermé, je sais que le meilleur va venir sous peu. Pas manqué, il me force à faire face au mur et s’appuie contre moi… il glisse une main sur mon corps jusqu’à faire glisser mon débardeur et libérer mes seins, alors que les doigts de l’autre se glissent sous le short puis en moi.

« Aaah… »

Je laisse échapper un tout petit gémissement, de quoi l’encourager tout en faisant comme si je luttais contre le plaisir. Ses doigts deviennent plus insistants et vifs, et je le sens soudainement tirer mon short vers le bas avant d’entendre sa ceinture et sentir quelque chose de bien dur et chaud frotter entre mes fesses. Il traîne pas lui !

« N-non… pitié… faites pas ça… ! »

Il ricane, frotte son membre contre mes fesses puis… puis rien. Merde, il s’est arrêté ? Pourquoi ? C’est quand même pas à cause de ma demande, si ? Je sens la pression qu’il exerce sur moi disparaitre, comme si il était soudainement plus intéressé par autre chose. Je sais pas bien comment le prendre, mais en tournant la tête je vois un autre type. Il a l’air plus baraqué, je crois que Yor dirait un truc comme ‘ça a l’air d’être un putain d’étalon’ en le voyant. Mais bon là en attendant j’ai mon short à mes pieds, ma chatte qui dégouline sur mes cuisses et mes seins à l’air alors j’espère qu’il est là pour se joindre à nous !

Y'a des jours comme ça où quelqu'un, là-haut, doit se rappeler que l'humanité existe et lui balance un gros seau de bénédiction, histoire de remémorer à tous que tout n'est pas pourri dans ce monde. Et aujourd'hui, Ryo est d'excellente d'humeur, ce qui représente un fait rarissime. Au boulot, peu d'enquêtes sur lesquelles se péter le cerveau; quant aux petits à côtés crapuleux liés à ses activités illégales, tout roule pour le mieux. Le flic pourri a même réussi à engranger du pognon, suffisamment pour vivre à l'aise un bon moment et continuer à se payer des whisky de luxe et des clopes américaines.

C'est que d'être le point de contact des yakuzas du quartier de la Toussaint n'est pas sans avantages financiers. Ryo fait payer cher ses interventions, que ce soit donner des renseignements capitaux sur des gangs adverses, fermer les yeux sur un trafic de stupéfiants, éloigner les collègues d'un quartier le temps qu'une transaction s'y déroule et tout un tas d'autres trucs absolument criminel pour un policier. Et Ryo sait y faire. Il y a bien des doutes à son sujet, des magistrats l'ont inquiété, des journalistes l'on prit pour cible, mais à chaque fois, il a fait jouer ses relations et s'en est sorti les couilles nettes.

Le colosse est chez lui, devant la baie de son loft qui occupe le dernier étage d'un immeuble à l'aspect décrépi mais qui cache des appartements luxueux de yakuzas d'importance. C'est bien là le quartier de la Toussaint. Une zone pourrie de Seikusu mais qui brasse énormément d'argent. Ryo contemple les toits de la Toussaint. Ici, c'est chez lui, il y est né, il y vit et il y travaille. Ces rues n'ont aucuns secrets pour lui et il connait autant de monde qu'on le connait.

Il tire une latte sur sa clope, s'envoie une gorgée de whisky et laisse son regard errer ensuite en contrebas.

"Putain..."

Une ombre vient obscurcir son visage. Il vient de reconnaitre un type qui marche dans la rue. Ca fait quelques jours que ce connard fait chier les putes de Kenji, un pote yak' qui l'emploie pour tranquilliser ses affaires et qui habite juste en dessous de chez lui. Le mec en a d'ailleurs serré une et l'a bien amochée. C'est le job de Ryo de s'assurer que tout aille bien sur son territoire. Le flic crispe sa mâchoire sur un mauvais rictus et bouge pour passer un t-shirt sur son énorme carcasse. Il saute dans ses boots et quitte le loft pour dévaler les escaliers et débouler dans la rue, juste à temps pour voir le mec disparaitre à l'angle de la ruelle où les clodos du coin vont tous pisser.  Quand il s'y engage, le déchet est déjà à l'œuvre. Il a coincé une petite contre un mur et lui fait subir un sort.

Tiens, il la connait pas elle. Pourtant Ryo a dû se faire toutes les putes du coin. Celle-là, il ne l'aurait pas oubliée. Joli petit lot! Tout ce qu'il faut où il faut en plus de sa gueule d'ange. Va pas falloir qu'il l'oublie, y'a moyen de passer un bon moment.

Mais la priorité, c'est le bâtard. Ryo s'avance lourdement. Le type doit sentir sa présence car il se retourne aussitôt. C'est loin d'être un tueur, pas impressionnant, et en plus, il débande comme une pauvre loque.

"Hey toi!"

Ryo énervé, c'est l'équivalent d'un taureau qui charge. Chez lui, tout fait peur, de son physique hors normes à sa voix annonciatrice de mort.

"Euuuuuwwwwchhhhh"

Le mec aurait peut être voulu répondre mais il n'en a pas le temps. Un gros poing garni de phalanges vient s'écraser sur son visage, broyant un paquet d'os et l'envoyant valser à quelques mètres. Il se relève, dégueule, et va s'effondrer dans un tas de sacs poubelles. Son cerveau a dû vibrer, on le trouvera surement claqué un peu plus tard.

Le flic se tourne vers la victime. Mouais, joli cul ...

"Faut gueuler quand ça va pas. Tu sors d'où? T'es une nouvelle de Kenji?"

Il renifle.

"Fringue toi, t'as du taf, y'a du monde à c'te heure là sur l'trottoir."

Il la mate de haut en bas, les paupières lourdes sur ses yeux légèrement alcoolisés. Il se la culbuterait bien là mais c'est pas le moment. Il doit passer un coup de fil.

"Si t'es dans l'coin plus tard ..."

Un dernier coup d'œil et il se retourne pour rentrer chez lui. Pas justicier mais le règlement de ce problème lui a déjà fait gagner un bon bifton.

La poisse ! Déjà le type arrête soudainement de s’occuper de moi, ce qui va pas du tout, mais en plus il débande en deux secondes. C’est pas bon signe ça ! Et une demi-seconde plus tard j’ai ma confirmation : le grand type baraqué lui fonce dessus et le fracasse. Mon plan cul ! Enfin, mon ex-plan cul. Parce que là il est à moitié évanoui dans les poubelles et son vomi, bizarrement ça me donne vachement moins envie. J’aurais peut-être dû partir avec Yor tiens, elle aurait été ravie de s’occuper de moi même si c’est pas vraiment la même chose… après tout on se connait alors elle y met une certaine douceur même quand je lui demande d’y aller fort. Il n’y a qu’avec des inconnus que je n'ai pas vraiment le contrôle et où ça peut autant déraper.

Enfin pour le moment on en est au point mort… mon ‘sauveur’ me demande si je suis nouvelle, ce à quoi je réponds par un hochement de tête timide, puis me dit qu’il y a du monde sur le trottoir. Je vois pas bien le rapport avec notre affaire, il croit peut-être que je suis une des filles qui embarquent des mecs dans des vieux hôtels moisis là ? Il doit s’en passer des trucs là-dedans tiens, j’y tenterais peut-être ma chance un jour…

Je sens son regard sur moi, et je ne fais rien pour cacher mes seins et ma chatte. S’il me pose une question je dirais que c’est à cause de mon état de choc tiens ! Je n’ai même pas fait mine de me rhabiller pour le moment, même si je vais devoir car il a l’air de vouloir filer. Zut ! Faut que je trouve un truc…

« Merci… mais plus tard je sais pas, je suis pas du coin moi… »

Ce qui, techniquement, est vrai ! Je ne suis pas du coin, pas même de cette planète, et j’ai aucune idée de si j’aurais le temps de repasser plus tard. C’est que j'ai prévu de passer mon temps au club ensuite, j’aime bien y être avec Nya... soit pour la regarder en train de prendre son pied soit l’inverse, ou pour coucher avec elle… juste à deux, ou plus. Bref, on s’amuse bien là-bas et ça nous fait du blé pour nous acheter des vêtements plus ou moins provoquants !

Mais ça il s’en fout surement lui, alors je fais mine de vouloir replacer mes vêtements en me parlant à moi-même, me penchant un coup en avant pour attraper mon mini-short et surtout lui offrir une vue sur mon cul, puis en sautillant sur place quand j’essaie de faire passer mes fesses dans le vêtement.

« Quelle galère, il est si petit ce short… et j’ai la chatte trempée en plus pfff… »

Bon, je ne suis surement pas une victime très convaincante là mais l’objectif est plus de faire rester cette espèce de justicier. Ou de le pousser à m’inviter je ne sais pas où, tant qu’il me prenne comme il faut. En plus il a la même odeur que Yor quand on fait une soirée, celle de l’alcool, et je crois que sur les humains ça a un effet assez radical qui leur fait faire plein de conneries… comme se taper une fille dans une ruelle après avoir fracassé un autre gars. Je devrais peut-être en rajouter une couche… ? On va déjà voir si il réagit ou si il s’en va sans rien dire, si il se casse je pourrais dire tout ce que je veux il ne risque pas de m’entendre !

Ryo était un bon flic, à sa manière. C'est à dire qu'il sélectionnait les enquêtes qui l'intéressait et il menait son job jusqu'au bout, quel que soit le temps et l'ardeur qu'il dusse y mettre. Bien évidemment, l'accomplissement de son devoir était directement lié à ses activités illégales et à ses prises d'intérêt. Il connaissait bien ce quartier et c'était un atout pour lui. Son expérience de la rue était reconnue et on ne s'adressait pas à lui pour rien. Il avait le nez fin l'inspecteur Nagata. Aussi, quand la nénette commença son cinéma, il décela aussitôt un truc louche. Oh, elle était bonne actrice, c'était certain, mais elle cachait un loup et Ryo n'aimait pas qu'on lui cache des choses.

Alors qu'il partait, il s'arrêta et se retourna pour se retrouver face à un joli petit cul ce dandinant adorablement. Y'avait des choses avec lesquelles il ne fallait pas titiller les mecs et le point de rupture de Ryo était bien le cul.

"T'es pas du coin tu dis?"

Si c'était le cas, la situation changeait. La fille n'avait pas l'air d'une bourgeoise paumée des beaux quartiers. Elle puait le sexe et qu'elle soit là, dans ces conditions, et aussi peu farouche, pouvait avoir plusieurs explications pas vraiment claires. Ce qui était certain, c'est qu'elle n'était pas là pour rien. Ryo renifla, elle sentait bon la fraicheur malgré le type dégueu qui s'était frotté à elle. Maintenant, Y'avait pas moyen de passer après lui.

"Il t'a baisé l'crado?"

Heureusement que non ... ç'aurait été dommage après tout de rater un morceau pareil. Ryo s'approcha d'elle et posa ses grosses paluches sur la poitrine de la nénette. Ronde et ferme, elle promettait. Ryo sentit un fourmillement à son entre-jambe. Son esprit pervers s'enflammait et le résultat se tendait dans son pantalon. Bordel! il valait pas mieux que l'autre mais ... il s'en foutait, c'était lui le plus fort et c'est comme ça qu'il fonctionnait. La fille allait le découvrir d'autant plus que c'était un tout petit gabarit.

"J'crois qu'on a des choses à s' dire mais ... ça va attendre un peu."

Il la pelotait, ses gros doigts malaxant les masses tièdes et douces de ses seins.

"J'espère que t'as pas peur de t'servir de ta bouche et de ton cul."

Elle n'avait toujours pas fini d'enfiler son short et elle avait les jambes serrées quand il la força à s'agenouiller. Ryo défit sa ceinture, dézippa sa braguette et sortit de son pantalon un sexe épais, veineux et déjà raide. Il prit la fille par la nuque et la pencha en avant pour se frotter contre son joli visage, y délaissant déjà une substance collante.

"Si t'es nouvelle par là, fais voir c'que tu sais faire. J'te préviens, j'aime pas les trucs trop propres."

Ça a marché ! Je lui tourne toujours le dos en dandinant mes fesses, faisant mine d’avoir du mal à les faire rentrer dans mon mini-short, mais je l’entends s’arrêter dans sa course. Maintenant, il faut le faire revenir…

« Non… c’est ma première fois dans le coin… »

Je dis ça d’une voix qui se veut innocente, et avec une tournure de phrase qui peut laisser penser à autre chose qu’une promenade. Dans les deux cas, c’est tout à fait vrai ! Je me demande si ça vaudrait pas le coup d’ajouter des remerciements ou quelque chose comme ça. Il a l’air louche ce type, mais peut-être qu’il prendra de l’assurance et passera à l’acte si je le traite comme une sorte de héros ? Il se rapproche tandis que je me pose la question et… me renifle ? Bon, on dirait que j’aurais pas besoin de le provoquer plus que ça ! Je décide de jouer un peu plus l’innocente en entendant sa question, qui augure clairement du bon.

« Non, heureusement vous êtes arrivés à temps… il m’a juste doigtée… »

Je crois que j’aurais pu me contenter de ‘non’, car j’ai à peine terminé ma phrase qu’il attrape mes seins et commence à les malaxer ! Ma réaction est immédiate, d’autant que je suis déjà bien chaude : mes tétons pointent et s’offrent à ses doigts. Je n’oublie pas pour autant d’en rajouter une couche en laissant échapper un petit cri de surprise et en venant taper mes fesses contre son membre dans un faux mouvement de recul.

« Qu’est-ce que vous… »

La réponse est évidente, et j’ai bien senti son excitation en tapant mon cul contre lui : il a l’air déjà prêt à aller jusqu’au bout, en espérant qu’il n’y ait pas un troisième gars qui débarque pour nous interrompre. Ça serait vraiment la loose là ! En plus, je suis curieuse de savoir ce qu’il a à me dire… mais on a tous les deux la même priorité : la baise.

« Hmmfff… m-mon cul… ? »

Je ne sais pas si il croit encore à mon petit numéro, mais ça n’a pas l’air de le déranger alors je continue. Il a de la suite dans les idées et annonce la couleur : bouche et cul, parfait ! Je suppose qu’il va commencer par la b- ah, me voilà à genoux ! Je lève les yeux vers lui, gonflant mes joues durant un instant en faisant la moue. J’ai plus envie de sourire qu’autre chose, me régalant par avance : il a de la force mais sait la doser, il vient de me placer comme bon lui semble sans me faire mal. Et… wahou ! Il sort sa queue et vient la frotter contre mon visage, me laissant bien voir ce que je vais devoir accueillir sous peu.

Je ferme un instant les yeux en essayant de tourner la tête, sentant du pré-sperme s’étaler sur mon visage pendant ce petit mouvement de rébellion, avant de les rouvrir et de regarder le gland. J’ai une petite hésitation : est-ce que je prend tout ça d’un coup dans ma bouche, ou est-ce que je le cherche encore un peu… ?

« J-je… d’accord… »

Je réponds d’une voix basse et timide, me vendant comme soumise, avant de faire glisser mes lèvres autour du gland. Ma langue vient lécher le bout tandis que j’avance la tête de quelques centimètres, et… je m’arrête là, avec moins d’un tiers de la bite en bouche. Je continue de léchouiller le gland avec la langue en essayant de voir sa réaction. Est-ce que ça va l’agacer de me voir faire aussi peu d’effort ? J’espère bien, vu la position il pourrait facilement m’enfoncer son membre jusque dans ma gorge… et il n’est pas le seul à aimer les trucs sales ici.

Ryo grogne. Les papouilles et les trucs mignons, c'est pas vraiment pour lui. Il préfère quand ça dépote et qu'on aille directement au but. La petite est mignonne mais ça ne suffit pas et l'espèce de tentative de fellation qu'elle lui procure reste totalement insatisfaisante. Le flic fait un pas en avant et la déséquilibre  pour qu'elle tombe sur les fesses. Il lui prend la tête à deux mains et donne un coup de rein qui pourrait briser n'importe quel obstacle. La queue du flic investit complètement la bouche de la fille, se foire, presse dans les joues avant de finalement écraser la luette et trouver le chemin de sa gorge. Là, il s'y enfonce comme un serpent trop gros pour entrer dans un terrier. Le cou de la brunette gonfle, se déforme sous l'énorme intrusion. On peut y deviner la forme du membre énorme de Ryo qui s'y fraye un chemin.

Il ne prend pas de gants justement Ryo. A grands coups de reins, il ouvre le passage, la fille bien calée entre ses jambes.

"Voilà, c'est comme ça que j'baise les filles comme toi!"

Alors oui, il la baise durement, mais techniquement, c'est plutôt elle qui fait tous les efforts parce que Ryo, il faut vraiment l'encaisser.

"HAN HAN HAN !!!"

Il s'en donne à cœur joie et lui défonce la gorge comme un forcené. Ses doigts sont ancrés dans les cheveux noirs et il écrase le visage d'ange de la fille contre son bas ventre. Là il s'éclate même si la scène pourrait paraitre extrême vue de côté.

"Mets-y du tien aussi!"

La déglutition de la fille est bruyante et Ryo profite de toute la salive évacuée pour lubrifié le passage qui est désormais bien dilaté. Il martèle durement, s'enfonçant loin dans l'œsophage du petit modèle qu'il détruit méthodiquement.

De grosses veines palpitent sur les tempes du policier, signe qu'il prend autant de plaisir qu'il y met de l'entrain. Entre ses cuisses, le petit jouet sexuel qu'il s'est trouvé fait preuve d'endurance et Ryo s'étonne qu'elle puisse supporter ça. Une autre se serait déjà évanouie ou aurait dégueuler ses tripes dans le caniveau. Mais elle, elle acceptait. Bon, elle gigotait un peu mais les grosses mains de Ryo la guidait inlassablement vers l'aboutissement de cette magnifique gorge profonde.

Il grogne ! Durant une petite seconde je me demande si c’est parce que je suis en train de le sucer, avec très peu d’entrain c’est vrai, ou si c’est parce que ça l’énerve que j’y aille aussi doucement. C’est quand il se replace que je devine que ma tentative de l’agacer fonctionne : alors que j’ai les fesses au sol, il attrape ma tête et enfonce sa grosse queue au fond de ma gorge. Trop bien ! Je fais un effort pour paraître choquée et mal à l’aise, mais je mouille sur le sol en le sentant me traiter comme un jouet sexuel quelconque.

Rapidement, ma gorge s’étire et se déforme sous la pression qu’il lui met. C’est pratique d’être aussi malléable, et je suis sûre qu’il adore voir ça… en tout cas je sais que les visiteurs de Terra qui ont des queues énormes aiment bien voir nos ventres se déformer quand ils s’y enfoncent, alors je suppose que c’est la même chose pour lui !

« Hmmmmfff… ! Mfff… »

Impossible de dire quoique ce soit dans cet état, mais je ne vais pas m’en plaindre. Avec ces petits bruits étouffés et mes mains posées sur ses jambes, je lui donne sans doute l’impression de vouloir contester alors que j’ai bien envie de l’encourager. Les ‘filles comme moi’ ont bien de la chance de se faire baiser comme ça, même si je ne sais pas si les humaines sont assez solides pour encaisser ça. La biologie c’est pas trop mon truc, je laisse ça aux autres… enfin surtout à Xia et Aya, ce sont elles les intellos du groupe !

Le moindre que l’on puisse dire c’est qu’il n’y va pas de main morte, et n’a aucune considération pour moi. Ma salive recouvre la queue et une partie de ses couilles, en plus de couler sur mon menton et perler sur mes seins, et il en profite pour s’enfoncer toujours plus profondément. Il me dit d’y mettre du mien, mais j’ai quand même l’impression qu’il prend bien son pied en me dominant… je m’en voudrais de casser son rythme et son plaisir !

Je tente de bouger un minimum la tête de temps à autre, sachant très bien que vu la prise qu’il a dessus ça ne sert à rien, mais au moins ça donne le change… et, entre deux coups de reins, je laisse ma langue glisser hors de ma bouche pour venir lécher ses couilles lorsqu’elles sont à portée. Moi aussi je suis gourmande, et je me demande à quel point elles sont remplies et si je vais avoir le droit à tout ce qui se trouve dedans… et où ! Au fond de ma gorge ? En plein visage ? Ou il va se garder pour me remplir le cul ? En tout cas lubrifié comme il est il n’aura aucun mal à s’y enfoncer…

La petite sait y faire, c'est incontestable. Elle n'est pas une débutante et cache bien son jeu derrière ses airs faussement apeurés. C'est là la marque des véritables professionnelles du sexe et Ryo en connait un bout sur le sujet. Elle salive, déglutit salement, émet des borborygmes visqueux, parfaitement adaptés à la situation. Sa gorge est un véritable puits sans fond et le flic s'en donne à cœur joie pour la pilonner. Il est malgré tout surpris de cette capacité à ce qu'elle puisse avaler son membre sans être malade et il cherche à la pousser dans ses retranchements en râpant son gros gland méchamment contre les parois de l'œsophage distendu. Il pousse de travers, écrase la luette, l'empêche de respirer, lui baise la gueule comme un forcené en lui écrasant le visage contre son pubis mais elle tient le coup. Alors, il s'adonne à un furieux facefuck jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tenir. Quand il sent qu'il va tout lâcher, il la verrouille, se cale le plus loin possible dans ce délicieux gosier et gicle longuement, remplissant directement l'estomac de la fille. Le flic en tremble, fléchi sur ses jambes, ses doigts ancrés à la jolie tête. Ce sont de grosses giclées bien grasses qui comblent le ventre de la pute et il ne se retire de sa bouche que quand la dernière goutte de sperme a été bien pompée.

Ryo fait deux pas en arrière, un peu sonné par ce violent orgasme. La ruelle est vide, si quelqu'un s'y est présenté, il aura rapidement tourné les talons devant l'intensité mauvaise du spectacle donné. Ryo reporte son attention sur la fille dont le visage angélique est ravagé. Elle a salement bavé et son menton, sa poitrine et ses cuisses luisent de salive.

"Bordel! T'es un sacré morceau toi!"

Que dire d'autre? La complimenter? Ryo vient de le faire à sa façon. Il l'a détruite mais elle a toujours dans le fond de son regard cette petite lueur perverse qui annonce qu'elle est loin d'avoir atteinte ses limites. Ryo l'attrape par le bras et la relève. Elle est petite et légère et il la pose sur le ventre sur un gros fût en métal qui traîne à côté, exposant un ravissant cul bombé.

"On va essayer ça aussi."

Le flic est déjà dur à l'idée de lui prendre les fesses et il s'approche d'elle pour les lui écarter, révélant une petite rondelle de toute beauté. La fille ne touche même pas le sol, la pointe des pieds à une dizaine de centimètres du bitume. Ryo presse son gland contre l'anus exposé et se branle de savoir si elle va gueuler ou pas. La résistance est minime et en trois coups de reins, il l'investit de moitié. Il grogne, ça fait mal, il a mal mais il s'en fout. Sa queue est comprimée dans l'étroit rectum mais la sensation est délicieuse. Il s'avachit sur le dos de la fille et la prend par les épaules. Il pèse de tout son poids, c'est à dire beaucoup, pour terminer de s'enfoncer totalement en elle. Elle le compresse à le broyer et il souffle contre sa nuque. C'est la folie et de mémoire de pourri, c'est la première fois qu'il ressent autant de plaisir. Il est tombé sur la perle rare.

Et puis c'est parti, il la sodomise durement, écrasant le petit corps contre le fût à chaque retour de pénétration. Il lui explose le cul, l'enculant comme un soudard, la contraignant à l'accepter totalement. il s'en donne à cœur joie et la sodo prend un aspect sauvage et primitif.

"Putain! Prends ça! HAN! PRENDS CA!"

« Grrmmff… »

On dirait qu’il commence à comprendre qu’il peut se lâcher comme jamais. Ça, ou il s’en fout si je m’étouffe avec sa queue… mais vu qu’il était plus délicat il y a quelques secondes, je vais opter pour la première théorie. Il se tortille dans tous les sens, venant taper son gland à différents endroits de ma gorge à chaque coup de rein, comme si il cherchait le meilleur moyen de baiser ma bouche et d’en tirer le plus de plaisir possible. J’adore, mais je fronce quand même des sourcils pour faire comme si ce n’était pas le cas… même si je mouille salement et que je bave à outrance.

Puis ce qui doit arriver arrive : il s’arrête soudainement, sa bite bien calée au fin fond de ma gorge et mon visage écrasé contre lui, et se met à éjaculer sans retenu. Le sperme chaud coule à flot et termine dans mon équivalent d’estomac, le remplissant à une vitesse folle.  C’est un bon client, et contrairement à d’autre il reste bien enfoui jusqu’au bout. Pas une goutte de gâchée !
Lorsqu’il finit par libérer mes lèvres, je me mets à tousser longuement en mettant ma main devant ma bouche – je ne risque pas de vomir ni rien, mais ça serait vraiment trop louche si je n’avais pas la moindre réaction de ce type. En reprenant ma respiration, je remarque qu’à force de baver je m’en suis foutue partout. Ça donnerait pas mal d’idées à certains ! J’essuie un coup mon menton d’un revers de la main en l’écoutant… me complimenter ? Oui, ça ressemble bien à un compliment ça. Un peu bizarre, mais ça en reste un. Je lève les yeux vers lui, trahissant surement mon appétit avec le regard que je lui lance et le petit sourire en coin que j’affiche, et… tiens, on dirait qu’il a encore de l’énergie !

« … oh ? »

Il me soulève avec facilité, il faut dire que je ne tente pas de résister et qu’on est relativement légères par rapport à des humaines, et me pose sur un fut qui traine là. C’est pas très agréable comme position, surtout avec le froid du métal que je sens très nettement sur ma peau… et je ne touche même pas le sol. Mais il y a du positif aussi : dans cette position, il a une vue imprenable sur mon cul ! En entendant ses mots et en sentant ses mains agripper mes fesses et les écarter d’un coup, je tourne comme je peux la tête pour essayer de voir où il en est.

« Déjà prêt pour un deuxième round ? »

C’est qu’ils ne le sont pas toujours, mais lui a l’air bien endurant ! Et bien dur aussi… je sens déjà son gland essayer de se frayer un chemin dans mon anus, l’écartant au fur et à mesure qu’il en force l’entrée. Moi qui me demandais si il allait me prendre le cul ou la chatte, j’ai ma réponse.

« Oooff… »

Je lâche un long gémissement en serrant les dents, le sentant forcer mon cul sans ménagement. Il est un minimum lubrifié et je suis loin de lutter contre, mais vu la taille de sa queue il doit donner plusieurs coups pour s’y enfoncer un minimum. Il s’arrête durant une fraction de seconde, le temps de mieux se placer – c’est-à-dire me grimper dessus. Merde il est lourd ! Je suis coincée entre le tonneau froid et son corps brulant, ses mains tenant fermement mes épaules, puis d’un coup sec il finit d’investir mon rectum.

« A-… aaaaah putain… ! »

Impossible de réprimer quelques cris et autres couinements, il y va pas de main morte lui ! Je sens sa grosse queue repousser mes parois, luttant contre l’étroitesse de mon cul… et vu comment il souffle, ça doit pas le déranger de se sentir aussi comprimé ! Je me doutais bien qu’il allait apprécier…

« AH ! »

Je crie alors qu’il me pilonne sauvagement, comme si il était possédé ou était devenu un animal avide de sexe. Putain que c’est bon ! J’entends ses hanches et ses couilles taper contre mes fesses à chaque coup qu’il donne et je m’agrippe sur les bords du tonneau de peur de basculer sous la puissance des coups.

« O-oui ! Vas-y ! »

Le masque étant surement tombé, je me contiens pas et hurle mon plaisir. Tant pis si quelqu’un nous entends, au pire ça me fera toujours une autre queue à sucer ! D’autant qu’à ce rythme, je vais surement gicler sous peu… je sens déjà la chaleur monter en moi, prête à exploser, et ma mouille couler sur mes cuisses en abondance…

Ah la chienne ! Cette petite catin révèle son vrai visage de salope. Qui aimerait se faire traiter de cette manière si ce n’est une pute de premier rang ? La petite brune s’accroche comme elle peut au fût et encaisse tandis que son corps molesté est balloté dans tous les sens. Ryo s’acharne en elle sans se soucier de ce qu’elle peut tolérer ou pas. Et dans ce domaine, il semblerait qu’elle soit capable des plus grandes prouesses. Le corps lourd du policier s’écrase contre elle ; il la pilonne de son énorme queue qui a transformé sa petite rosace en trou béant explosé. Péter un cul, c’est ce que le flic préfère. D’habitude il se délecte des hurlements de douleur des filles mais là, il est tout aussi satisfait d’avoir trouvé une nénette capable de l’accepter comme il est. Ryo rue comme une bête. Ses ahanements suivent le rythme de la défonce anale et après s’être accroché aux épaules de la fille, il l’enveloppe de ses bras musclés pour l’emprisonner et en faire définitivement son jouet personnel. La contrainte est forte et il la détruit méthodiquement. Il pompe dans ce rectum dilaté et s’enfonce loin dans les entrailles molles et chaudes de la petite salope. Cela dure longtemps, de longues minutes où il ne préserve aucune force, motivé par l’absence de résistance ou de douleur de sa proie.

Et puis quand il en a assez de cette position et que ses abdominaux le brûle, il se retire d’elle et se redresse. Elle présente un prolapsus rectal causé par le retrait sec de Ryo, preuve de la fureur de ses coups de reins. Sans ménagement, il la retourne sur le dos et retourne durement en elle, redonnant au rectum sa forme « normale ».

"Putain, t’es une vraie chienne ! J’en reviens pas d’avoir trouvé une pute pareille ! C’est pas croyable !"

Il la baise comme s’il tripotait un morceau de viande et comble de la surprise, elle est trempée. Sa chatte inondée est un bon indicateur du plaisir qu’elle prend.

"Ecarte les cuisses bordel !"

Il veut voir sa grosse queue perforer son cul et sa vulve palpiter. Il la force à s’offrir encore plus, la prenant par les chevilles pour lui écarter les jambes et quand il veut y aller plus fort, il la plie, posant ses jambes sur ses épaules et il s’affale sur elle. Son sexe plonge au plus profond du fion détruit et il s’y plante pour libérer une nouvelle vague de foutre interminable. Ryo transpire abondamment, il a les yeux fous. C’est mécaniquement qu’il continue à la déboiter, plongeant dans sa propre mare de sperme et martelant de toutes ses forces. Il hurle comme un loup en déchargeant une dernière fois et s’effondre sur sa victime, épuisé, les mains crispées sur ses gros nibards. Il reste un moment prostré en elle avant de s’extraire dans un suintement, ramenant avec lui des flots de foutre qui coulent le long du fût.

Ryo fait quelques pas en arrière, hébété.

"Bordel …"

Explosée sur son fût, elle le regarde quand même. C’est quoi cette nana ? Il désigne sa queue :

"Viens nettoyer ça avant que j’me barre."

Il joint le geste à la parole et la fait agenouiller devant lui.  Il prend une épaisse mèche de cheveux pour s’essuyer la queue avant d’utiliser la bouche de la fille pour terminer ce qu’il a commencé et quand c’est enfin propre après s’être encore autorisé à lui défoncer la gorge, il la repoussa pour remettre son pantalon et regarder autour d’eux. La ruelle était toujours aussi déserte. Ryo soupira d’aise, il était intervenu pour régler un léger problème et en sortait les couilles vides. C’était une bonne rencontre et il sortit son portable.

"Donne-moi ton numéro, Y’a de grandes chances que je fasse très vite appel à toi. Tu plairais bien à quelque uns de mes potes…"

Maintenant que le masque est tombé, je profite pleinement de cette baise intense et sauvage. Déjà qu’il n’en avait pas grand-chose à foutre de si je prenais mon pied ou non, le fait que je sois clairement excitée a l’air de faire sauter le très peu de retenu qu’il avait encore : j’en viens même à me demander si le tonneau va tenir tant il pilonne mon cul sauvagement, faisant virer mes fesses au rouge tant ses hanches claquent fort dessus. Et je parle pas de l’état de mon cul qui me brûle comme jamais…

Ses bras finissent par relâcher mes épaules pour venir m’enlacer, ce qui pourrait presque être mignon si ce n’était pas pour me défoncer le cul encore plus brutalement. Il a pas tort, là en l’état je me sens comme une chienne en train de se faire passer dessus par une meute ! Et ça ferait de lui l’alpha…
Je sens que mon cul n’offre presque plus la moindre résistance, totalement façonné par l’énorme queue qui continue de s’enfoncer sans retenue en lui. En plus d’être totalement obnubilée par la sensation et le plaisir que je prends, je suis aussi impressionnée par une telle endurance : en général, les mecs giclent vite quand ils me prennent le cul.

Et… il sort finalement sa queue de mon cul brulant, ce qui m’offre quelques secondes de répits mais m’inquiète un peu. Pendant un instant j’ai cru qu’il avait débandé, mais en fait il n’en est rien : il me retourne et se réenfonce en moi d’un coup sec, s’engouffrant facilement dans mon anus béant.

« Oooommmfff… puutain…. ! »

Je crie un coup, à la fois ravie de me faire prendre à nouveau et d’être complimentée. C’est toujours plaisant d’entendre des compliments en pleine action, même si ils sont dit avec des mots crus. Et maintenant il a aussi une vue plongeante sur ma chatte dégoulinante, qui subirait bien le même traitement… j’écarte les jambes à sa demande, lui offrant une plus belle vue encore, alors que mon visage est totalement déformé par le plaisir. Mais ce n’est pas suffisant et il attrape mes jambes, jusqu’à finalement les pousser vers mes épaules et me bloquer dessous alors qu’il me grimpe à nouveau dessus pour anéantir ce qu’il reste de mon cul. C’est carrément trop le pied ! Je me mords les lèvres pour éviter d’hurler et rameuter tout le quartier, mais mon corps lui ne se contient pas et tremble alors que je nous arrose de cyprine en jouissant. Presque dans le même temps, le gars balance la sauce dans ce qu’il reste de mon cul et je sens une vague de chaleur s’y répandre… en grande quantité. Ca va couler pendant un moment, d’autant qu’il continue de me baiser et finit par rebalancer une salve avant de s’effondrer. J’en mène pas plus large, et je commence à avoir du mal à garder les yeux ouverts.

Lorsqu’il se relève et sort sa bite, je me redresse essoufflée et le regarde. Il est tout aussi rouge que moi, faut dire qu’il a tout donné ! Je lui offre un petit sourire, histoire de lui signifier que j’ai bien pris mon pied moi aussi. Mais ce n’est pas encore terminé : mon amant du jour a de la suite dans les idées et me demande de nettoyer sa queue couverte de sperme. Bonne idée ça tiens… ! Il m’attrape pour me remettre à genoux devant lui, ce qui n’est pas trop dur : déjà que j’étais prête à sauter du tonneau, j’ai les jambes en coton pour des raisons évidentes. Il essuie une partie du foutre dans mes cheveux, avant d’engouffrer sa mi-molle dans ma bouche pour que j’enlève le reste. Je le suce avec plaisir, m’assurant de ne pas gâcher une goutte de sperme… bon, je ne parle pas de celui qui sort de mon cul et est en train de couler par terre, lui il restera là !

Lorsqu’il est satisfait par ce nettoyage, il range son instrument de plaisir et sort son téléphone. Je me demande ce qu’il a en tête, et… me demande mon numéro. Dit donc je lui ai fait forte impression on dirait ! Je me relève, sans doute un peu trop facilement vu ce qu’il vient de me mettre, et essuie rapidement mes genoux sur lesquels il y a un peu de crasse. Bon en vrai il va surement falloir que je prenne un bon bain chaud, mais c’est toujours ça de pris…

« Hmm… d’accord on peut faire ça… alors, c’est le… »

Je lui donne mon numéro, regardant l’écran de son portable pour voir si il l’avait bien noté. Si ces potes sont aussi endurants que lui, il y aurait moyen de bien s’amuser ! Je remets un coup mes vêtements en place, même si ils ne cachent pas grand-chose : j’ai du sperme qui coule en abondance sur mes cuisses, et mon haut est à moitié transparent tant on a transpiré. En le replaçant je me souviens qu’il m’avait dit un truc plus tôt, comme quoi on avait des choses à se dire ou quelque chose comme ça… je sais pas s’il s’en souvient, ni si il a l’esprit assez clair pour vraiment discuter, mais je peux toujours demander…

« Au fait… vous vouliez me dire un truc tout à l’heure avant de me baiser ? »

"Un truc à te dire? ... Non, j'vois pas."

Si, au début, il voulait lui rappeler les règles de tapinages. Il l'avait prise pour une pute qui faisait le trottoir sur un territoire qui n'était pas le sien mais les évènements survenus après avaient oblitérer cette information de son esprit. D'ailleurs, Ryo y revint mais sans y penser spécialement.

"Y'a du taf dans ce quartier. T'es intéressée pour bosser par là? Ton potentiel pourrait t'attirer des clients particuliers. Si c'est le cas t'as ma carte, on en parle toi et moi."

Il s'éloigna ensuite. Putain qu'elle l'avait vidé! Il en avait mal aux cuisses et sa queue était irritée. Une bonne douche était méritée pour effacer l'odeur de la rue et de la transpiration. Arrivé au bout de la ruelle et avant de disparaitre, il se retourna et chose inhabituelle pour lui, il fit un petit geste qu'on pourrait croire amical vers la fille qu'il venait de défoncer.

~FIN~