Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

L'Escorte. - Freyord

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Freya

Humain(e)

L'Escorte. - Freyord

vendredi 17 février 2023, 20:04:46

Après un court mais fructueux séjour au manoir de Freya, la sorcière se remet en route vers le petit royaume d’Urde, au Nord. Sur sa pénible route se posent de nombreuses embûches. Monstres, créatures diverses et bandits guettent les chemins fréquentés. Une simple voyageuse, au joli minois, sera une proie bien facile pour ces cruels bêtes et criminels qui rôdent. Enfin, Brunehilde sait s’extirper d’un mauvais pas mais la vue des conflits l’agace et la fatigue. Prendre un risque stupide ne l’enchante guère.

La solution se trouve d’elle-même : Trouver un mercenaire apte à remplir cette fonction ; il mènera les combats et ouvrira un chemin libre. Pour se faire, un détour à Nexus s’oblige. Elle ne compte se saisir du premier venu, aussi frêle qu’une brindille balayée par le vent. Un guerrier se doit de posséder le physique adéquat : une stature qui ne laisse de doute sur sa force.

Après une journée pénible, Brunehilde rejoint la cité-état, vêtue d’un manteau de neige. L’hiver fait son œuvre ; sa blancheur couvre le sol et les toits des maisons d’un fin voile. Le soleil s’est couché. Seules quelques bougies enfermées dans du verre éclairent les ruelles sombres de la cité. Mais les hommes n’y sont endormis, festoyant et remplissant les caisses des tavernes animées. Le meilleur endroit pour trouver un mercenaire.

Après en avoir visité deux, il est indiqué à la sorcière qu’un puissant guerrier a trouvé refuge dans une auberge voisine. Son imposante carrure a marqué les âmes saoulardes ; ils se sentaient bien minable à côté de cette montagne de muscles.
Alors, elle se met en quête de cet homme qui hante les lèvres des ivrognes et malmène leurs égos fragiles. L’auberge trouvée, les tables sont pleines à cette heure où les ventres commencent à gargouiller. Un pas franchi, dans l’intérieur délicieusement réchauffé d’une cheminée, le lion s’impose parmi les autres voyageurs.

Brunehilde s’approche d’un pas élégant pour tirer l’unique chaise à sa table. Son manteau de fourrure déposé sur son dossier, ses atouts apparaissent, mis en valeur dans sa légère robe noire. Les regards d’inconnus se perdent sur son opulente poitrine dévoilée sous le nez du terranide. Elle dépose ensuite sur la table une bourse remplie d’or.

« J’ai besoin d’une escorte. Je saurais vous récompenser, à la hauteur de vos efforts, annonce-t-elle, sans préambule. »

Aucune mauvaise intention l’anime ; son seul souhait est d’arriver à destination, en évitant tous ennuyeux dangers qui peupleraient leur route. Les combats ne sont pas sa tasse de thé, elle laissera le soin au mercenaire de gérer les assaillants.
Elle sort une première poignée et la dépose une première poignée sur la table.
 
« Si vous êtes intéressé, vous aurez une première partie de votre paye ce soir et cette nuit… Ses mots laissent présager un avant-goût des extras qu’il recevra, si son travail lui convient. Nous partirons demain. »
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 1 vendredi 17 février 2023, 23:33:05

Quand il était en ville, ce n’était pas difficile de trouver l’imposant guerrier nomade qui officiait en temps que mercenaire, il ne faisait halte que le temps de trouver un nouveau contrat et dépensait son argent en alcool et en femme. Ses seuls possessions matériels étaient ses armes et il n’avait besoin de rien de plus dans sa vie, il ne restait jamais bien longtemps au même endroit.

Il était de retour en ville depuis la veille, il revenait d’un voyage au cœur d’Ashnard et le commanditaire l’avait généreusement payé lorsqu’il était revenu avec des artefacts sacré trouvé dans d’anciens temple en ruine. Et comme toujours, cet argent avait servi à faire la tourner des tavernes et auberge, il avait passé toute la journée et la nuit à aller d’établissement en établissement pour boire et vider les stocks d’alcool. Il avait également fait un saut dans un bordel pour s’entourer de présence féminine, il y était resté plusieurs heures en s’offrant les services de plusieurs filles de joie.

A peine était-il sortie du bordel qu’il retourna faire la tournée des tavernes, il n’était pas insensible à l’ivresse mais un colosse comme lui avait besoin d’une quantité phénoménal de liquide avant de ressentir le moindre effet de l’alcool. Le soir venu, il avait déjà vider une dizaine de taverne quand il décida de rentrer à son auberge, il se plaça a une table dans le fond et annonça à l’aubergiste qu’il payait sa tourner. Comme à son habitude, on vint se placer à sa table pour boire avec lui mais également l’entendre parler de ses aventures tant celles en temps que mercenaire que celles avec les femmes avec qui il couchait. Quand Freyord était là, l’ambiance était toujours bonne, à la fois parce qu’il imposait le respect, que les gosiers n’étaient jamais secs en sa présence mais aussi parce que derrière ce carrure colossale se trouvait un homme profondément bienveillant.

Quand une femme vint s’asseoir à sa table, le terranide ne put s’empêcher de regarder ses formes généreuses qui lui était montré et il appela un serveur pour qu’on serve une bière à la nouvelle arrivante avant que celle-ci annonce la raison de sa venue avec comme argument de persuasion une bourse d’or bien remplie :

« Une escorte ? Bien, où voulez-vous aller ? »

Il n’était pas difficile à convaincre, tant que c’était bien payé il n’y avait pas de mission qu’il ne pouvait accomplir et au vue de la quantité d’or qu’on lui agitait sous le nez, la commanditaire était soit extrêmement fortunée soit la route qu’elle voulait empruntée était dangereuse, dans les deux cas, c’était bien assez pour le faire aller n’importe où :

« Je suis votre homme, mademoiselle. Appelez moi Freyord, puisque nous allons passer du temps ensemble. »

Il avait bien compris l’allusion dissimuler derrière le fait d’avoir une avance sur paiement dans la nuit, il aimait les femmes et ne s’en cachait pas vraiment, la luxure était un péché pour lequel il plaidait volontiers coupable :

« Si vous voulez partir demain à la première heure, peut-être faudrait-il s’éclipser dès maintenant pour être prêt dès la première heure. »

La nuit était tombée, cependant il n’était pas si tard que cela mais c’était une manière des plus vantarde de lui indiquer que si elle voulait lui faire une avance en nature, il fallait s’y prendre tôt car il était extrêmement endurant et qu’il pourrait la combler toute la nuit durant.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 2 samedi 18 février 2023, 02:23:58

« Au Royaume d’Urde. »

Cette simple indication suffit. Le petit pays ne connaît qu’une grande capitale et de rares villages, à l’extérieur de ses murailles. Le mentionner désigne toujours cette unique destination, à la route peu fréquentée. D’autant plus en hiver où le froid et les nuits précoces compliquent le chemin.

A cheval, quatre jours sont requis pour atteindre leur destination. Or avec une telle carrure, Brunehilde a bien du mal à imaginer le destrier du guerrier. S’il en a un. Le temps de trajet ne l’inquiète guère ; elle a trouvé la perle rare et les monstres fuiront devant le mercenaire. Ils profiteront pleinement des nuits.

S’ils sont assez rapides, ils pourront rejoindre une première auberge pour la première. Alors que les suivantes se feront à la belle étoile. Une perspective qui est loin de déplaire à la sorcière, elle n’a guère besoin d’un lit pour s’amuser ou trouver un semblant de repos.

Satisfaite de la vue, le lion convaincu conclut leur accord. Elle lui verse la première poignée d’or, en gage d’acompte. La bourse entière ne lui sera donnée qu’une fois à destination. Un marché plutôt honnête, un paiement généreux pour une simple escorte. Brunehilde ne cherche que l’élite du mercenariat..

« Enchanté, Freyord. Appelez-moi Brunehilde. Nous pouvons d’ailleurs nous tutoyer, si vous êtes d’accord. »

S’enfermer dans les formalités le long du voyage s’avéra vite pénible.

Le serveur apporte la bière commandée. Peu adepte de l’alcool et plus intéressée par la proposition du lion, la sorcière décide de repousser la chope débordante vers lui. Sa chaussure tombe de son pied ; son pied remonte le long de sa jambe musclée, caresse sa cuisse pour se lover contre son pagne. Un sourire amusé fleurit sur les lèvres de la commanditaire.

« Vous avez raison. La nuit va être longue mais manquer de sommeil ne vous gênera pour le chemin à venir ? »

La sorcière se fait impatiente de mesurer son endurance mais ne désire négliger sa protection. La seule présence du lion est suffisante à effrayer les plus téméraires bandits. Alors, elle remet son talon et se lève. Le manteau dans une main, Brunehilde l’invite à lui montrer sa chambre. L’auberge affichant pleine, elle est obligée de partager la chambre du valeureux guerrier.

A peine levé, elle s’étonne de la différence de carrure. La demoiselle avoisine le mètre quatre-vingt et peut-être un peu, perchée sur ses talons. Mais le lion la dépasse ; son ombre imposante domine sa silhouette généreuse. Elle n'est pas impressionnée pour autant et ne se débine dans son désir de le rejoindre.
Les escaliers sont vite montés, avec Brunehilde en tête, dotée d’une démarche sensuelle. Une vue parfaite est offerte au lion sur son joli fessier.

Au sommet des marches du premier étage, deux autres suivent encore, la sorcière s’arrête et se tourne vers le mercenaire. Ils sont à peine dissimulés aux yeux de l’agitation en-dessous. Une main aventureuse se glisse sous  le pagne. Les promesses du terranide sont telles qu’il est bien dommage de perdre du temps sur le chemin de sa chambre. Alors que peut-être, un étage ou deux, un long couloir les sépare d’elle, encore.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 3 samedi 18 février 2023, 04:18:30

La fatigue n’était pas un mot qu’il connaissait, il était un guerrier puissant, entraîné à se battre depuis son plus jeune âge, il avait parcouru une bonne partie du monde pour se rendre à des endroits que la femme ne pouvait imaginer. Il s’était perdu des jours durant dans des dédales antiques, avait veillé pendant des semaines en contrée hostile pour ne pas finir dévoré en pleine nuit alors la remarque de Brunehilde le fit sourire :

« Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai vécu nombre de voyage au cours desquels j’ai appris à ne jamais ressentir la fatigue, ce n’est pas une nuit de plaisir qui suffira à avoir raison de moi. »

Puisqu’elle avait repoussée la choppe de bière vers lui, il ne se priva pas pour la descendre d’une traite alors qu’il sent le pied de la demoiselle remonter sur sa jambe jusqu’à son pagne. Une chose est sûr c’est qu’avec elle, il n’allait sûrement pas s’ennuyer, cela changera des voyages où il ne croise pas la moindre femelle pendant des mois.

Il se leva pour la suivre, à coté de ses deux mètres cinquante la femme semblait bien petite malgré qu’elle soit au contraire plutôt grande pour une femme humaine. Le colosse profita de se trouver derrière elle lors de la montée des escaliers pour regarder son fessier, c’est qu’en plus elle l’allumait, c’était de mieux en mieux, c’était rare les femmes avec tant d’assurance devant lui, la différence de gabarit étant souvent source d’appréhension. Il s’arrête au premier étage, manquant de bousculer Brunehilde qui ne continuait pas la montée et préférait se retourner vers lui et passer sa main sous son pagne.

Il la laissa faire afin qu’elle vienne tâter l’énorme membre encore au repos qui sommeille en dessous, évidemment un colosse tel que lui possède des attribut tout aussi colossaux, c’était d’ailleurs effrayant pour les humaines. Il semblait qu’elle n’avait pas envie d’attendre d’être dans la chambre pour commencer, Freyord n’y voyait pas de mal, il s’était déjà livrer aux ébats en public et c’était plutôt excitant. Il s’avança pour l’obliger à reculer jusqu’au mur ou il se pressa contre elle afin qu’elle continue son exploration du membre dissimulé sous le pagne :

« J’espère que ça ne te fait pas peur, les humaines ont souvent du mal avec quelque chose d’aussi imposant. »

Ses énormes mains vinrent se poser sur les flancs de la femme, il aurait pu la broyer si facilement, il se sentait encore plus puissant qu’à l’ordinaire en présence d’humaine. Mais au lieu de cela, il entreprit de libérer ses deux énormes seins qui semblait si… quelconque au prise de mains aussi imposante :

« Tu es sûr de ne pas vouloir attendre ? La chambre est juste au-dessus. »

Bien que ce soit lui qui semblait en position de force dans cette configuration, il lui laissant en réalité le plein de contrôle de la situation, préférant suivre le mouvement et d’agir en conséquence des envies de sa partenaire, cela pouvait s’avérer déroutant lorsque l’on s’attend à ce que le colosse prenne tout en main.
« Modifié: samedi 18 février 2023, 04:56:36 par Freyord »

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 4 samedi 18 février 2023, 04:53:48

Savoir le lion capable d’accomplir son devoir malgré un manque de sommeil ne présage que le meilleur pour l’escorte future. La journée sera calme, tandis que la nuit sera l'œuvre de la luxure. La sorcière est plus endurante que sa frêle silhouette ne peut laisser présager. De là à satisfaire l’appétit d’un si grand terranide ? Peut-être pas. Elle mettra en œuvre ses capacités pour répondre à ses attentes. Le savoir réceptif à ses avances ouvertes, si proche de l’animation de l'auberge, éveille ses plus bas instincts.

Ses longs doigts parcourent, caressent et découvrent son imposante stature malgré sa torpeur. Sa seconde main s’y ajoute pour être capable d’entourer le relief imposant. Sous le pagne, elle s’affaire à l’explorer et le cajoler de flatteries. La sorcière y met sa force et des efforts pour l’aider à s’éveiller. Sa taille la surprend mais elle se fait curieuse de la voir élever à son apogée, prête à tenter l’aventure.

« Je me doutais qu’elle correspondait à ta carrure. Elle ne m’effraye, au contraire, elle met à l’épreuve ma patience… »

Un tel homme ne s’est jamais manifesté sur son chemin. Mais Brunehilde est au fait de ce qu’il attend… Pour cette raison, son choix s’est fait si assuré. Elle désire découvrir ce que le puissant félin lui réserve encore.
De ses paumes posées sur ses flancs, il ne lui fallut aucun effort pour libérer sa généreuse poitrine. Un atout dont elle est si fière, qui paraît maintenant ridicule entre ses mains.

« J’ai déjà usé de ma courte patiente pour éviter de commencer notre nuit, sur la table de la taverne. Tu es gêné à l’idée que quelqu’un passe ? »

L’audace de la sorcière n’a que peu d’égal. Avoir un public est loin de la déranger si ses désirs sont satisfaits… Une de ses mains quitte sa virilité pour pousser le pagne et la dévoiler à son regard.
Le couloir n’est illuminé que d’une bougie vacillante. Ainsi, elle n’aperçoit que les grossiers contours de son membre mais la vue est bien suffisante pour songer à la suite dès plus intéressante.

« Si tu es pudique, je peux faire un dernier effort. »
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 5 samedi 18 février 2023, 14:14:19

La pudeur n’est pas quelque chose dont souffre Freyord, ce serait étrange d’être pudique alors que le seul vêtement qu’il porte est un simple pagne, il était pour ainsi dire quasiment nu en toute circonstance. Et puis ce n’était pas comme si quelqu’un pouvait les dissuader de faire leur affaire sur place, personne n’oserait intervenir de peur de s’attirer les foudre du colosse mais également parce que les saoulards encore debout apprécieraient sûrement le spectacle.

Puisque l’humaine voulait voir l’ampleur du monstre qu’il abritait entre ses jambes, il défi sa ceinture pour faire tomber le pagne, l’ensemble heurta le sol avec fracas, la ceinture en métal servant de protection en plus de retenir le simple vêtement. Mais puisqu’il se retrouvait nu, il fallait que Brunehilde le soit également par soucis d’équité et il ne perdit pas de temps pour lui retirer sa robe afin de dévoiler le corps très appréciable de celle qu’il devait escorter le lendemain. Cette vision excitant fit son effet et l’imposant membre de chair commença à se lever, prenant encore plus de volume alors qu’il se durcissait et se tendait :

« Si c’est vraiment ce qui t’excite on peut redescendre pour que je te prenne sur une table à la vue de tous. »

C’était une perspective tentante et il était totalement sérieux en disant cela, pour lui le sexe se devait d’être fait selon notre envie, il n’y avait pas de raison de se bloquer pour une quelconque raison. L’une de ses grosses mains commença à palper l’un des seins de sa partenaire, le pétrissant avec un étonnant mélange de force brute et de douceur :

« Je suis sûr qu’un voyage entre tes deux ravissants seins, redonnerait à mon sexe toute sa vigueur. »

Ce n’était pas parce qu’il donnait priorité aux envies de ses partenaires que le lion géant n’avait pas ses propres désirs, il fallait bien commencer par quelque chose et il avait bien envie de sentir la peau douce de cette poitrine opulente glisser sur son sexe encore à moitié endormi.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 6 samedi 18 février 2023, 20:53:09

Le fracas du métal surprend Brunehilde, dans la semi-obscurité dans laquelle ils sont plongés. Mais les contours de son imposant équipement se dessinent mieux sous ses pupilles grisâtres. Elle apprécie la vue, comme le toucher. D’autant plus quand l’éveil se profile et le sang afflue pour gonfler l’épais membre. Il n’est en érection mais la sorcière peut déjà apprécier des proportions à la hauteur du lion ; elle se fait curieuse de savoir jusqu’où la surprise s’étend.

« Il y a d’autres auberges sur notre chemin… »

Nul besoin de se presser à descendre. Brunehilde est bien installée, à l’ombre de l’agitation. Bien d’autres occasions se présenteront à eux. Il leur faudrait tout autant occuper les prochaines nuits. Or, elle apprend un peu plus sur le lion, les limites qu’elle pourra franchir aux prochaines occasions. Elle s’était retenue, pour ne pas le gêner mais les prochaines fois, le terranide subirait son audace, au milieu des festivités. La porte est ouverte à de nombreuses opportunités.

Il exprime son propre désir. Son attention était perdue à découvrir et s’étonner de ses dimensions. Mais elle compte bien lui donner satisfaction. A peine éveillé, la virilité commence à tendre vers sa poitrine. La sorcière a à peine besoin de s’abaisser pour enlacer son membre de ses deux monts de chair. Ses mains les soulèvent et les guident pour que sa délicate peau parfumée cajole le vit coincé.

Sa poitrine opulente, pour une simple humaine, semble modeste face au membre calé entre chaque sein. Brunehilde sait user de son atout pour faire monter le plaisir. Ses lèvres se déposent sur la peau tendue. Sa langue accompagne les langoureux voyages. Elle trouve sa destination contre le gland du lion ; il se fraye un chemin et trouve le refuge chaud de sa bouche. Il est cajolé par son habile langue alors qu’elle s’empresse toujours de le faire durcir entre ses seins.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 7 samedi 18 février 2023, 22:07:54

Il était vrai que le chemin prendrait plusieurs jours au vu de ce qu’il pouvait déjà voir, la belle avait un appétit certain pour le plaisir et il mettra tout en œuvre pour la rassasié ce soir comme les prochains. Allié travail et plaisir était tout ce que Freyord pouvait espérer de mieux, il n’y avait rien de plus plaisant que d’escorter des femmes ouvertes aux plaisirs de la chair. Il avait même une anecdote lors d’une de ses escortes de caravanes, la délégations d’une vingtaine de religieuses ayant fait vœux de chasteté avait fini pas céder après deux mois avec ce mâle plein de testostérone, plus aucune n’était vierge une fois arrivé à la dernière étape du pèlerinage, d’ailleurs certaine ne l’était déjà plus avant mais ce n’était pas de son fait.

Avec Brunehilde en tout cas, la mission n’avait pas encore commencé que son sexe était déjà aux prises de ses douceurs et c’était absolument divin. Il sentait sa peau douce caresser son membre viril, c’était exquis, lorsque l’humaine vint ajouter sa langue et la bouche à l’équation ce n’en fut qu’encore meilleur. Il eut pour réflexe de s’avancer pour faire pénétrer son gland dans la bouche de la belle afin d’avoir le droit à ses flatteries.

Il posa également ses grosses mains sur la tête de Brunehilde pour lui caresser les cheveux et d’accompagner le mouvement de son bassin afin d’être lui aussi actif, le plaisir s’ajoutant à celui qu’il ressentait déjà :

« Tu as la peau d’une douceur impressionnante, c’est très excitant. »

Et ce n’était pas que des mots puisqu’il s’avérait que son membre était désormais bien tendu et bien droit, sa partenaire pouvait admirer toute l’ampleur de la chose mais puisqu’elle avait déjà commencé à s’occuper de l’extrémité, il n’y avait plus qu’à faire rentrer le reste :

« Je vais m’enfoncer un peu plus profondément, ouvre grand et fait moi signe si tu ne peux supporter autant. »

Comme il l’avait annoncé, il avança encore pour insérer plusieurs centimètres de son sexe dans la bouche de l’humaine, il aimait particulièrement la sensation de pénétrer les voix orales de ses partenaires mais il fallait bien avouer que les humaines étaient assez limités, assez peu d’entre elles supportaient l’intrusion massive. Mais il sentait que Brunehilde possédait des talents cachés qui lui permettrait sûrement de tout recevoir.

Petit à petit, il s’immisçait donc en elle, millimètre par millimètre puis centimètre par centimètre, il ne semblait pas vouloir s’arrêter jusqu’à ce qu’elle lui fasse savoir qu’elle n’arrivait pas à recevoir autant, de son coté il ne s’arrêterait pas avant de s’être enfoncé jusqu’à la garde.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 8 samedi 18 février 2023, 22:39:18

A son apogée, son vit, déjà impressionnant au repos, prend des proportions inhumaines. Face à un tel équipement, Brunehilde ne s’étonne que de frêles humaines ont reculé. Il est un défi de taille de recevoir une telle chose et subir l’endurance du grand guerrier en serait une autre. Pourtant, la sorcière possède bien des atouts. Autant que le lion la comblera, elle lui permettra de se vider jusqu’à ce que la satisfaction l'éteigne. Un programme haut en couleur les attend pour leur long voyage.

Pour l’heure, le terranide est animé d’une nouvelle volonté, différente des pensées qui animent l’esprit de l’humaine. Il se montre prévenant et annonce son intention : rentrer. Son esprit vicié ne peut lui refuser un tel plaisir et ses lèvres s’ouvrent pour permettre le passage de son imposante virilité. Le lion entame sa lente avancée ; elle participe s’efforçant de recevoir centimètres après centimètres. Ses doigts s’enroulent autour des lourdes bourses du mercenaire.

L’avancée est compliquée ; un soupçon de magie usée par la sorcière rend l'impossible possible. Peut-être triche-t-elle mais leur plaisir mutuel passe avant ces préoccupations futiles. Il réussit à s’enfoncer, entier. Sa bouche déformée par l’ampleur de son membre. Son gland est coincé, profondément, l’étouffant un peu. Or, Brunehilde prend la suite en main. Sa tête part en arrière ; sa langue caresse sa peau. Jusqu’à ce que seul son gland gonflé possède sa bouche étroite.

Elle s’avance de nouveau. Ses lèvres se promènent le long de son vit, n’allant pas toujours jusqu’à sa garde. Elle varie les plaisirs, accélère pour mieux ralentir. Il possède si bien sa bouche, qu’elle se fait impatiente de le sentir ailleurs. Mais avant, Brunehilde n'oublie pas une étape essentielle : lui accorder une première extase.

Un premier passage se fait dans l'étroit couloir. Le regard surpris ne l’arrête guère bien que la scène soit excitante pour ce client innocent. L’étonnement passé, il observe quelques secondes curieux, cette sorcière s’étouffant sur la queue du lion.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 9 samedi 18 février 2023, 23:46:51

Son expérience ne l’avait pas trompé, il avait bien sentit que la belle humaine cachait bien son jeu, elle ne le lui avait pas dit mais ce devait être une magicienne. Il savait très bien qu’aucune humaine normale ne pouvait accueillir son sexe entier, et seule la magie permettait à celle qui y parvenait de le faire sans encombre. Cela ne changeait rien au fait que Freyord était profondément ancré en elle, ses deux énormes testicules étaient la seule chose encore à l’extérieur, il prenait son pied.

Alors qu’il allait s’activer, elle prit les devant et se retira avant de revenir, jouant avec sa langue, le flattant de ses lèvres, il ne savait pas vraiment pourquoi mais il était tout particulièrement excité par cette pratique. Lui qui aimait donné du plaisir à ses partenaire devait bien admettre que ce qu’il préférait était l’un des actes où seul lui prenait vraiment du plaisir.

Il fit pas attention qu’un client passait par là, trop concentré à sa besogne, la sorcière était douée et le suçait si bien qu’il était déjà près à lâcher une première charge. Il ne la prévenait pas, elle devait bien se douter qu’une éjaculation venant de lui devait être conséquente, comme tout le reste. Sans crier gare, l’épais liquide commence à se déverser alors qu’il est au plus profond de la gorge de la sorcière, il n’est même pas question d’avaler à cette profondeur alors que des torrents de sperme sont envoyer en puissant jet alors se retire pour lui éjaculer dans la bouche au moins une fois. Cependant, il garde la dernière cartouche pour la tirer une fois qu’il est complètement ressorti, il lui envoie le dernier jet au visage, la recouvrant de son foutre épais, odorant et en grande quantité.

Il sait que certaine femme n’aime pas se faire éjaculer sur le visage mais lui aime tellement ça que pour une fois il n’a pas demandé, entraîné par l’appétit sexuel de la sorcière presque aussi gros que le sien :

« Alors ? »

Bien qu’il se soit vider de façon abondante, son sexe pointe toujours bien droit et puissant alors que de dernière goutte de liquide séminale perle de son gland.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 10 dimanche 19 février 2023, 00:18:57

Prevenant jusqu’ici, la sorcière s’attend à être prévenue de sa venue prochaine. Or, le terranide lui laisse la surprise de se déverser au fond de son grossier puis de lui remplir la bouche. Son nectar épais gonfle ses joues alors qu’elle tente d’avaler sans perdre une goutte. La troisième fois, c’est sur son nez et ses lèvres fermées que la semence s’écrase. Elle coule le long de son visage et se perd sur son opulente poitrine. La surprise a rendu sa jouissance meilleure ; l’humaine se satisfait qu’il se soit laissé porter par son plaisir, plutôt qu’enchaîné par sa bienveillance.

« Délicieux… »

Le lion peut s’attendre à recevoir de nombreuses fellations au cours de leur route… Il n’a guère à s’inquiéter du plaisir de la sorcière ; elle saura très bien le trouver dans l’absence de retenue du lion et le stupre.
Sa langue caresse le gland pour y laper la dernière goutte. Ses doigts viennent le combler de quelques flatteries. La suite est évidente, désormais. Faut-il encore savoir où elle aurait lieu ? Dans le couloir ? Ou devraient-ils tester la résistance des meubles de la taverne ou de la chambre ?

« On continue ? »

A la différence de taille, Brunehilde est bien en peine pour guider son épaisse verge vers son antre. Elle pointe toujours vers ses seins dont l'extrémité frotte contre la peau douce et la chair moelleuse. A l’avoir ainsi, sous le nez, l’impatience la guette d’autant plus… Une nuit est si courte. Il serait dommage de reporter de quelques heures leur départ pour de précieuses minutes perdues ici et là.

Par dépit, elle se saisit d’une des grandes mains du lion pour la glisser entre ses cuisses, à peine ouverte. Ses doigts peuvent sentir la chaleur et l’humidité de ses lèvres intimes. Peut-être même observer quelques gouttes d’excitation s’échapper sur ses longues jambes galbées.

Une idée parvient à l’esprit vicié de la sorcière. Entraînant le lion à la suivre, elle s’installe sur quelques hautes marches de l’escalier montant. Jambes écartées, elle tire le poignet de Freyord pour qu’il se loge entre ses cuisses. Encore, son membre viril impose face à son corps humain. De sa carrure, le mercenaire pourrait l'écraser sans aucun mal.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 11 dimanche 19 février 2023, 01:13:02

Le secret de Freyord dans ses partie de jambe en l’air n’est pas vraiment sa bienveillance naturelle, pour lui il est normal de bien se comporter avec sa partenaire, il était bien loin de l’image du mercenaire sans pitié aussi impitoyable au combat qu’en dehors, mais plutôt de connaître sa partenaire, ses envies, ses désirs, sa capacité à encaisser son gabarit hors norme. Il ne connaissait pas encore Brunehilde et c’est pour ça que ces premiers assauts avaient été hésitants, doux, à lui parler mais maintenant qu’il commençait à la cerner, il était prêt pour lui faire goûter à son expérience.

Elle n’avait clairement pas besoin de le dire pour faire comprendre ce qu’elle voulait, quand elle lui pris la main pour la glisser entre ses cuisses, il se contenta de la caresser légèrement, bien que déjà bien humide son intimité était parfaitement fermée, il avait eu envie de l’entrouvrir avec ses doigts mais il pensait avoir compris ce qui comblerait encore plus la sorcière alors il s’abstint et ne resta qu’en surface, pour le moment.

Il la suivit et ne put s’empêcher de rire un peu lorsqu’il la vit monter quelque marche avant d’écarter les jambes, en effet la différence de taille entre les deux imposait ce genre de stratagème. Il la rejoignit quand elle le tira à lui, nul doute qu’il pourrait l’embrocher de part en part. Il se colla à elle, venant l’embrasser, lui caresser les seins, il jouait avec elle, testait sa patience avant de finalement entrer de tout son long en elle d’un coup sec et sans sommation. Il avait forcé l’entrée qui n’avait eut d’autre choix que de s’ouvrir violemment d’un coup brusque. Elle avait intérêt à avoir user de sa magie à temps si elle ne voulait pas être déchirée au sens le plus stricte du terme.

Il lui agrippa puissamment les hanches puis se mit à faire de vif va et vient, s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque fois, venant faire claquer ses imposantes testicules. Il lui donnait un avant goût de sa bestialité et il ne doutait guère du fait que c’était ce qu’elle attendait.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 12 dimanche 19 février 2023, 01:50:52

Freyord a cédé à son petit jeu pour lui offrir quelques caresses fugaces. La sorcière le pensait à y enfoncer ses gros doigts pour lui offrir un avant-goût et combler un instant son impatience. Mais il préfère jouer de sa hâte, l’effleurant en surface sans lui accorder la moindre satisfaction. C’est un soupir frustré qui dépasse ses lèvres quand, sous sa propre impulsion, sa main finit par la quitter. De meilleures horizons l’attendent, une fois installée dans les marches.

L’ombre immense du félin la couvre. Son sexe se calle entre ses cuisses ouvertes à sa venue et son extremité peut rencontrer ses lèvres intimes, loin d’être prête à le recevoir. Brunehilde a toutefois prévu le coup ; si elle est naturellement insensible à la douleur, conséquence de sa nature de sorcière, elle a surtout usé de sa magie pour mettre à son anatomie d’accueillir le gabarit hors-norme du mercenaire. Sans que leur plaisir n’en soit impacté. Elle agit plutôt comme une protection.

Décidément, Freyord aime le faire attendre. Il s’empare de ses lèvres, se joue de son corps, lui arrachant quelques soupirs éhontés. Avant qu’elle n’en vienne à le supplier, il la pourfend de toute sa longueur. Sa voix résonne à la taverne, mêlée de surprise et de plaisir. La sorcière n’attend de lui ni cruauté ni bienveillance mais simplement qu’il se lâche à ses plus bas instincts. Et il le fait. D’une entrée brutalement, où elle pensait que le lion la ménagerait un peu.

Le mercenaire a réussi à entrer d’un seul élan pour se loger entre ses chairs serrées. Son antre est ni adaptée, ni préparée à son intrusion ; elle compresse avec force l’énorme monstre qui vient d’y faire son nid. Brunehilde ne doute plus de la force du terranide qui la cale entre ses mains et commencent à le besogner sans aucune forme de ménagement.

Si la discrétion n’a jamais été au programme, ses cris répétés mêlés claquements brutaux de leurs corps ne laissent l’ombre d’un doute sur leurs ébats sauvages.

Le lion ne lui laisse pas une seconde de répit ; elle tente de s’accrocher à lui, tant bien que mal. Se maintenir est difficile sous la puissance de ses assauts. A chaque fois, la sorcière se sent libérée pour mieux le sentir prendre possession de son frêle corps de tout son gabarit. Il n’a à s’inquiéter de la briser. Brunehilde est capable d’encaisser sa bestialité et le plaisir brusque qui en découle.

Le souffle court, les jambes tremblantes, le mercenaire lui offre de nouvelles perspectives et la plonge dans le stupre.
D’une main hésitante, elle tente de s’accrocher à sa nuque, d’approcher Freyord. Les lèvres entrouvertes, Brunehilde cherche à partager un baiser aussi sauvage que leurs ébats.
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)

Freyord

Terranide

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 13 dimanche 19 février 2023, 02:41:19

Chacun de ses coups de rein était puissant et violent, il sentait chaque parcelle du corps de la sorcière le compresser, lui indiquant qu’il n’était pas censé être là, aussi profond, mais chacun de ses assauts étaient si fort qu’aucune barrière ne pouvait l’arrêter, de plus il allait si vite que le corps qu’il pourfendait n’avait pas le temps de s’habituer. Il l’entendait crier et chaque cri lui donnait encore plus d’élan pour la besogner sauvagement.

Alors que la belle semblait chercher les lèvres du colosse, celui-ci vint l’embrasser langoureusement alors que ses mains quittait ses hanches pour remonter et la maintenir au niveau des épaules, dans cette position, l’humaine ne pouvait plus bouger que la tête, les bras et les jambes, à la merci totale du lion qui ne semblait pas du tout faiblir. Son torse puissant compressait l’opulente poitrine de l’humaine alors que tout en continuant de l’honorer de son membre viril, il commençait à monter les marches de l’escalier, une par une.

La robe de la sorcière et le pagne du guerrier se faisaient abandonnés tandis que leur propriétaire avançait dans leurs ébats vers l’étage supérieur, peut être qu’un honnête client viendrait leur rendre ou peut-être pas, de toute façon actuellement, ils n’en avaient pas besoin. La langue râpeuse du félin dansait avec celle de l’humaine dans une danse endiablé jusqu’à ce qu’il la quitte pour plonger dans son cou et la flatter de grand coup de langue.

Arrivée à l’étage supérieur, il eut le réflexe de la poser sur une des commodes qui servait de décor mais sous la force des assauts, après deux va et vient, elle se brisa. Il profita du moment de déséquilibre que cela engendra pour ralentir ses mouvements, après la besogne brutal, voila qu’il l’honorait calmement et tendrement avant de reprendre un rythme effréné au bout de quelques instants. Il ne se préoccupait même pas de comment réagissait Brunehilde, il se contentait juste de l’inonder de plaisir, les clients au rez-de-chaussé n’avait qu’à lever la tête pour voir la scène qui se passait au deuxième étage alors que de la même manière qu’il avait monter l’escalier, il se dirigeait vers sa chambre avec la belle.

Freya

Humain(e)

Re : L'Escorte. - Freyord

Réponse 14 dimanche 19 février 2023, 03:24:02

Entre le mercenaire et la sorcière, la bestialité règne. Il s’empale dans son antre, faisant céder sous sa force toute forme de résistance. Son sexe, bien inadapté à son frêle corps, ne connaît aucune limite pour venir la posséder, encore et encore. Il la noie dans les tréfonds de la luxure ; elle se fait obligée de ses plus bas instincts, à n’attendre qu’une chose du lion : qu’il la besogne et la fasse crier son plaisir, jusqu’à ce que sa voix s’éteigne, fatiguée.

Il la bloque de ses pattes sur ses épaules, pour éviter que son corps ne s’enfuit face à ses assauts brutaux. Pourtant, ce dernier se soulève à chaque fois tandis que Freyord s’enfonce, jusqu’à rencontrer les limites de la sorcière. Il ne s'arrête pas et grimpe les marches sans que la belle n'ait conscience du mouvement de leur corps. Elle est aveuglée par le plaisir, incapable de réfléchir. L’humaine ne cherche pas le repos, ou une pause.

Brunehilde cherche ses lèvres félines ; son museau se plaque contre sa bouche. Sa langue s’en échappe pour combler sa bouche malmenée et trouver sa comparse. Son baiser est à l’image de leurs ébats : sauvages, où toute forme de tendresse se fait absente. Il quitte ses lèvres et la laisse à bout de souffle.
Ses mamelons rosées sont pressés contre le torse imposant du félin et frottés sans qu’il n'ait à s’en occuper.

Il arrive à l’étage. La sorcière en prend conscience que ses fesses sont posées sur la commode. Vite détruite, cela dit. Elle espère juste que le mobilier saura tenir la force du puissant colosse. Sans un lit, ils profiteront de leur nuit sur un tapis, si elle ne reste que la seule option.
Ses mouvements ralentissent. Loin de déplaire à l’humaine, elle peut sentir son membre hors norme et chaque centimètre s’enfoncer et prendre place, avec une douceur délicieuse.

Ils sont désormais debout. Brunehilde est portée et coincée sur la trique imposante du terranide. Son corps tressaute dessus, pour venir s’empaler profondément. Près d’une porte, qu’elle devine être leur destination, elle tend la main pour l’ouvrir et découvre un intérieur bien simple : Un grand lit, deux tables de chevet, une table et une commode. Ainsi qu’une fenêtre au rebord suffisant pour installer la sorcière.

Aucun point d’eau n’est en vue. Les voyageurs se rendent principalement aux bains publics de Nexus.

« Mmh… Freyord, plus… tente la sorcière de réclamer, entre des respirations fortes. »
Spoiler: NSFW (cliquer pour montrer/cacher)


Répondre
Tags :