Armée d’un sourire plus envieux et malicieux que jamais, il n’avait pas fallu bien longtemps pour que la jeune Vexxie s’arrête subitement, extirpant ma bite de sa bouche dans un bruit si sonore que j’eus l’impression qu’il y avait de l’écho. Après ces dernières secondes passées à me faire aspirer si fort, mon souffle en resta court et difficile un instant, encore crispé par l’effet délicieux de ce polissage en règle. La belle avait bavé partout, tout au long de ma verge si durement dressée. Tant et si bien qu’à la lueur du jour, on aurait dit qu’elle luisait.
« Aaah… haaaa… »
Attrapant ma main sans peine, la belle inconnue du lac se laissait guider et écartait grand les jambes, l’une après l’autre, pour m’enjamber et s’asseoir, sur moi, face à moi. Les mains posées sur mes épaules encore vêtues, elle s’agrippait, écartait grand et se laissait retomber doucement, tout doucement.
En une seconde à peine, je pus voir et sentir mon énorme gland disparaître en ses chaudes lèvres intimes. Elle mouillait tant, débordait tant, même, qu’il me parut incroyablement simple de fourrer ma queue en elle. Elle se crispa toutefois bien vite, lorsque mon chibre vint très lentement écarter les parois brûlantes de son petit sexe, sur à peine quelques autres centimètres. Une douzaine peut-être ? Autant dire que nous n’en étions là qu’à un tiers de l’essai.
« Mmmh. »
Me mordillant de nouveau les lèvres, je ne pus retenir quelques souries en la voyant s’agripper de plus belle en retenant au mieux de profonds gémissements. Quel plaisir de voir comme mon seul sexe lui faisait un bien fou.
De mes mains, j’écartais encore un peu le veston trônant sur ses épaules et vint déposer quelques petits baisers sur son ventre nu, puis sur ses deux énormes seins tout en la regardant, amusé.
« Tellement ? »
Happant la pointe d’un de ses seins dans ma bouche, je m’exécutais sans plus de patience et passait ses tétons au crible de ma langue, les mordillant, les léchouillant tendrement, alors que mes mains, quant à elles, venaient à se poser sur son joli et gros cul si charnu pour lui fournir un bon appui, l’aidant et la guidant dans son exploration, pour quelques centimètres encore.
« Laisse-toi aller… Tu peux jouir si tu veux. »
Pressant sur son cul comme pour resserrer l’étreinte de sa petite chatte sur ma queue si dure, je jouais avec joie de ses belles fesses qu’il m’était enfin donné de tripoter. Je les massais un instant, l’aidait à s’empaler un peu plus loin encore… mais cela ne me suffit bien sûr pas.
L’un de mes doigts baladeurs glissant de sa raie jusqu’à ses lèvres si grandes ouvertes, je le trempais d’assez de sa mouille pour le lubrifier comme il le fallait, avant de m’approcher de son second orifice laissé libre. Tournant de longues secondes autour de sa petite rose comme pour jouer, je finis par y enfoncer tout doucement mon doigt, lentement, avant d’entamer quelques petits va-et-vient en elles, tandis que ma queue, elle, ne faisait plus que coulisser très, très lentement, dans sa merveilleuse entreprise de forage.
« Ça te plaît ? »