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Littérature & Orgasmes - PV Souta-

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Astrid Grace

Humain(e)

Littérature & Orgasmes - PV Souta-

mardi 01 mars 2022, 12:20:06

Deux semaines s’étaient écoulés depuis notre dernière rencontre. Des textos avaient été échangés, des rendez vous avaient été pris ,mais à aucun moments, nous avions réussi à nous voir. Cette rencontre aussi excitante qu’étrange avait pourtant si bien fonctionné que Souta comme moi voulions recommencer l’expérience. Nos emplois du temps étaient un peu trop complets pour pouvoir se voir, ça n’était pas l’envie qui manquait mais la fatigue prenait souvent le dessus. Et personnellement, j’avais envie d’être en forme. Une petite baise en missionnaire sur le canapé ne m’aurait absolument pas satisfaite. Souta semblait du même avis. On avait besoin d’être en forme. Des souvenirs de notre matinée ensemble me revenaient régulièrement, me donnant le sourire pendant mes cours ou m’excitant légèrement en mangeant avec mes collègues. Je n’apprécie pas forcement l’attente mais celle ci était plutôt plaisante, j’anticipais déjà les prochains orgasmes, rêvant des folies que Souta pourrait faire sur mon corps. Notre penchant pour l’exhibitionnisme était plutôt clair, même si très risqué.

Quelques temps plus tard, un jeudi après midi classique, je me retrouve à la bibliothèque de l’université de Kyoto. Ma matinée sur les ravages de l’éthylisme chronique chez les patients insuffisants rénaux n’a pas été très productif. Mon concentration ne fonctionne pas aujourd’hui, j’essaye de comprendre le sujet mais rien ne marche. Je suis installée depuis 9h sur une petite chaise de bureau en plein milieu de l’université, avec mon café froid, mais rien y fait, ça ne rentre pas. C’est un dossier à rendre d’ici quelques semaines, j’ai encore un peu de temps pour travailler dessus mais j’aurais voulu finir tôt pour être tranquille, comme la bonne petite fille modèle que je suis. Certains de mes collègues n’ont même pas commencé à mettre le nez dedans. Le carnet en face de moi est rempli de notes incompréhensibles, quand je me relis, je n’y comprends rien. J’ai passé toute la matinée à étudier pour ne rien avoir à ce stade. C’est frustrant. D’humeur presque boudeuse, je m’adosse contre le dossier de ma chaise et croise les bras sur ma poitrine, scrutant mon bout de papier. Cette après midi était censé être plus productive… Je vais rentré bredouille. Mes mains moites essayent de lisser ma jupe sur mes genoux, vieux réflexe de stress causé par le port de l’uniforme dans les écoles anglaises, je cherche à desserrer le noeud de ma cravate, que je n’ai pas, ça me fait rire et me rappelle toute mon enfance dans les grandes écoles catholiques. Mon esprit divague. Vexée par mon manque de concentration, je décide d’aller prendre un nouveau café.

Mon téléphone vibre dans la poche de ma jupe en chemin vers la machine à café. Souta. « Je suis dispo aujourd’hui. Tu fais quelque chose? » Ma frustration grandit. Le seul jour où j’aurais pu l’inviter à . Un soupir d’exaspération m’échappe au milieu de la bibliothèque silencieuse, quelques regards se retournent vers moi, désapprobateur. Je souris nerveusement et m’excuse de la main avant de me déconcentrer sur mon téléphone. « J’aurais préféré te dire oui, mais je suis coincée à la bibliothèque pour aujourd’hui. Ce weekend peut être? » A la machine a café, tout le monde m’emmerde. Ils sont 25 000 devant à discuter d’un film que je n’ai pas eu le temps de voir, ils prennent de la place et je ne peux pas accéder. Je fusille du regard tous mes voisins qui me laissent passer avec frayeur. La machine finit par me donner le liquide noir tant désiré et je retourne m’assoir devant mon livre incompréhensible.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 1 mardi 01 mars 2022, 16:09:13

Accident de travail ou congé maladie sont deux termes qui n'existent pas dans mon milieu. Bien entendu on peut se retrouver sur la touche quelques temps en fonction des circonstances. Faudra simplement pas espérer être payé à ne rien foutre chez soi à regarder des programmes de merde à la télé. C'est sûrement pour cette raison que j'avais repris le boulot le jour suivant ma sortie de l'hôpital. Entre ma blessure qui me relançait légèrement et la fatigue provoquée par celle qui était censée me rafistoler, j'ai eu du mal à tenir durant les deux jours qui ont suivi.

C'est qu'au bout d'une semaine complète que j'ai pu complètement récupéré et me remettre à bosser correctement. Tout ce qui était protection rapprochée pour des abrutis qui cherchent les emmerdes en permanence comme les macs ou les starlettes a été mis de côté par contre. Bosser pour des gens complexés qui ont besoin de venir se venger en tentant de prouver à leur entourage, ou le reste du monde, qu'ils pissent plus loin que les autres se termine toujours mal. Alors bon, même si distribuer les calottes ne me dérange pas, on va attendre un peu avant de s'y remettre.

Pendant ce temps j'ai essayé de relancer quelques fois ma toubib qui s'était si bien occupée de moi la dernière fois. Les tentatives se succédaient sans jamais aboutir. Arrivé à deux semaines de petits manèges je la relance une énième fois et découvre à sa réponse qu'elle est dan une bibliothèque. Je lui réponds alors tout naturellement :
Citer
Ouais, donc tu fais rien. File l'adresse !

Si j'ai retenu une chose de notre rencontre c'est qu'il faut prendre les devants avec elle. Je parie qu'en forçant un peu la chose elle ne dira pas non et que tout évoluera très rapidement.
En attendant sa réponse je file sous la douche qui me rappelle quelques souvenirs croustillants qui sont encore bien ancrés dans ma mémoire. J'enfile un boxer et pars pour enchaîner avec un jean quand une idée me traverse l'esprit. Mes jambes me conduisent rapidement dans le salon où j'ai laissé mon portable que je déverouille. Un petit *CLIC* retentit, suivi d'autres sons électroniques qui indiquent que je tape un texto.

Citer
Je parie que ça te manque.

En plus du petit texte est joint une photo de mon sous-vêtement dans lequel est moulé ce qui l'a mise dans tous ses états lors de son passage dans mon appartement il n'y a pas si longtemps. Cette fois je termine vraiment de m'habiller en enfilant un pull par-dessus un t-shirt car il caille encore pas mal dehors à cette période de l'année.

Ces derniers temps je me déplace pas mal en bécane, ce qui est pratique quand on a personne à transporter avec soi. Surtout que je peux la laisser n'importe où sans craindre de me la faire piquer étant donné que je la loue à un pote qui a un service un peu spécial mais très connu en ville. Les mecs qui ont tenté de faire les cons avec ses marchandises lorsqu'il a lancé son business ont rapidement compris le message.

Direction la bibliothèque donc. Ca risque d'être amusant...

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 2 jeudi 10 mars 2022, 09:12:46

Le premier texto de Souta me fait sourire, j’aurais du me douter qu’étudier n’était pas un réel motif de refus suffisant pour lui. Mais en même temps, c’est peut être le genre de distraction dont j’aurais besoin aujourd’hui. Souta et moi n’avons pas vraiment eu l’occasion de « discuter » plus sérieusement et c’est peut être ça qui m’attire chez lui, je n’ai pas vraiment besoin de réfléchir, je peux juste me laisser aller. Avec un peu de bol, une petite baise entre deux étagères m’aidera à retrouver mes esprits… Ou pas.

Une fois l’adresse envoyée, Souta mets quelques minutes à répondre, je me demande presque s’il regrette son intention de venir me voir ici. Puis je me rappelle que ses tendances exhibitionnistes, qu’il s’est laissé sucer dans un hall d’immeuble passager et donc qu’il n’a certainement pas peur d’une petite bibliothèque d’université. Riant pour moi même, je suis même sure qu’il a déjà fait pire. Il faut que je lui pose la question. L’écran de mon téléphone se rallume quelques secondes plus tard m’indiquant que Souta m’a envoyé une photo. Fronçant les sourcils, je déverrouille mon téléphone, surprise d’avoir reçu une photo de lui. L’image de son caleçon bien moulé apparait entre mes doigts et mon visage rougit à la vitesse de l’éclair. Je plaque mon écran contre moi, regardant autour de moi pour être sure que personne n’a pu voir la photo. Aucune des têtes environnantes n’a l’air d’avoir prêté attention à mes mouvements brusques, tous semblent passionnés par leur lecture. Un soupir de soulagement m’échappe. Sa passion pour les photos compromettantes me fait doucement rire - lui qui a aussi prit en photo mes fesses la dernière fois - mais pas que. Je sens que cette petite image ne m’a pas laissé indifférente et que l’idée qu’il vienne me rejoindre ici commence tout doucement à m’exciter. Des scènes de baises silencieuses et discrètes envahissent ma tête. S’il y avait encore un espoir que je puisse travailler cet après midi, il vient de partir en fumée. Je tapote rapidement sur mon écran, répondant à son texto hâtivement. « Dépêche toi d’arriver. »

Une petite demi heure s’écoule et je suis presque bouillante. Des souvenirs de nos derniers ébats se sont emparés de mon esprit depuis plusieurs minutes déjà, je me retiens d’aller le chercher dehors et de le plaquer contre un mur. Soudain, une grande tête grise apparait au loin. Les cheveux ébouriffés, une veste en cuir par dessus un pull en laine, un casque de moto à la main, l’image même du mauvais garçon. Je le regarde avancé dans l’allée principale, me cherchant du regard. Il est différent de tous les étudiants présents dans la pièce, plus détendu, moins sérieux, plus taquin, plus baisable. Quand il m’aperçoit, je lui souris discrètement puis me lève de ma chaise pour le rejoindre. Arrivée devant lui, je grimpe sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue tout en gardant un sourire espiègle. « Salut. » Ne cherchant même pas à discuter plus longtemps, je glisse ma main dans la sienne et l’incite à déposer son casque près de ma chaise puis je l’embarque dans les divers étages de la bibliothèque. Je connais l’endroit comme ma poche vu les nombreuses heures à explorer le lieu à la recherche de bouquins. Dans un recoin sombre, au fond d’un couloir désert rempli de livres sur la paléontologie, je l’entraine près de moi. « Est ce que tu crois que je t’ai manqué autant tu m’as manqué? » Tout près de son oreille. Je glisse sa main toujours accrochée à la mienne sur le pli de ma jupe, remontant légèrement le tissu et exposant ma cuisse nue. « Parce que moi, ton corps m’a beaucoup manqué. » Mes intentions sont clairement exposées, je n’ai plus rien a cacher. Pour contrebalancer mon comportement audacieux, mon autre main vient caresser son visage, amenant doucement son front contre le mien pendant que je dirige ses doigts plus haut sous ma jupe.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 3 vendredi 11 mars 2022, 11:54:55

A l'arrêt le temps que le feu repasse au vert, je sens mon portable vibrer dans la poche de ma veste. Je le sors rapidement et un ricanement étouffé sous mon masque m'échappe en lisant son texto qui me demande de venir aussi vite que possible. Cette journée s'annonce vraiment intéressante.

Une fois à l'adresse indiquée, je me gare dans un coin et regarde autour de moi. Les bibliothèques sont parfois cachées dans d'autres bâtiments, du coup je me mets à suivre un groupe de tête d'ampoules qui ont vite fait de m'emmener au bon endroit. Bon, j'ai rien contre les intellos, mais rien que le fait de m'approcher de ce rassemblement de personnages me file un début de migraine. Fort heureusement, j'ai mon rencard qui me trouve en l'espace de quelques secondes pour m'emmener dans un coin tranquille. Mon casque termine à côté de sa chaise durant le court trajet.

J'ai à peine eu le temps de lui répondre un "- Salut" au sien d'ailleurs. A en juger par la facilité avec laquelle elle nous a conduit ici, mon étudiante en médecine avait clairement préparé le terrain. Ou alors elle n'en est pas à son coup d'essai.
Et la nympho que j'ai croisé l'autre jour est déjà de sorti pour lancer les hostilités en se collant contre moi pour me chauffer à sa manière. Je n'ai d'ailleurs même pas l'opportunité de répondre à sa question qu'elle enchaîne sur une remarque pour m'allumer davantage tout en m'encourageant à venir jouer avec elle.

- Je vois ça.

Ma main libre vient se poser sur son menton alors qu'elle collait lentement son visage contre le mien afin de le faire se lever pour mieux lui tendre la langue afin de partir à la recherche de la sienne. Le bout des doigts de mon autre main viennent titiller ses lèvres à travers sa culotte de manière timide pour le moment. Autant tâter le terrain vu que c'est clairement ce qu'elle demande.

Très rapidement, je commence à lui rouler une galoche, puis une seconde. Les deux échanges se veulent brefs pour le moment. Ce qui n'empêche pas la température de monter tranquillement au milieu de se coin gardé au frais par la climatisation des lieux.
Je finis donc par libérer ses lèvres pour lui poser une question tout en souriant de façon perverse.

- Qu'est-ce qui t'a manqué au juste ?

Je lui accorde quelques secondes pour me répondre avant de revenir avec plus d'insistance sur sa culotte. La première phalange de mon index et de mon majeur viennent pousser sur le tissu de sa culotte pour mimer un début de pénétration.

- Salope comme t'es je parie que t'as pas pu t'empêcher de te doigter pendant ces deux semaines.

Ma main qui s'amusait à la titiller quitte la chaleur et l'humidité de son entrejambe pour lui saisir le poignet et venir coller sa paume contre mon jean. Si elle voulait que je vérifie l'état de son excitation, il est de bonne guerre que je joue le jeu en la poussant à faire pareil avec moi même si je ne bande pas encore. Le self-control dont je fais preuve jusque là me bluffe assez d'ailleurs.

- Si tu te poses la question, j'ai pas éjaculé une seule fois de mon côté.

Histoire de le lui prouver, je fais cette fois remonter sa main en lui tenant toujours le poignet avec fermeté pour atteindre le haut de mon jean et faire glisser ses mains à l'intérieur. La chose ma provoque un léger frisson car elle a les mains plus froides que prévu. Au moins elle pourra réchauffer celle-là, c'est déjà ça, non ?

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 4 lundi 14 mars 2022, 09:46:30

Ces recoins de la bibliothèque sont les moins occupés. Les étudiants ne vont pas se cacher ici pour étudier, les faibles ampoules ne pouvant pas éclairer leur bouquins correctement. Les grandes étagères en bois et des épais livres donnent une odeur particulière à cet endroit, une odeur réconfortante pour moi. Mais je ne suis pas sure que tout le monde puisse dire pareil. Souta ne semble pas se reconnaître dans cet environnement, il me suit sans broncher, me laissant l’attirer dans un angle sombre. Le couloir est passager, quelques étudiants peuvent passer de temps en temps pour passer d’un bâtiment à un autre, mais caché dans l’ombre d’une étagère, à coté des lourds livres sur les mammifères du 15ème siècle qui ont disparu, personne -ou presque- ne pourra les voir.
 
Par contre, Souta semble attiré par l’idée de commencer à jouer dans cet endroit public, sous les yeux de tout le monde, mais caché dans un coin. Rapidement, il attrape mon menton et sa langue vient s’enrouler autour de la mienne. Il n’aura fallut que quelques minutes pour que notre excitation respective prête le dessus mais en même temps, c’était couru d’avance. La légère climatisation des lieux n’arrive pas à calmer le feu qui anime mes joues, et mon visage prends vite une couleur rosée sous l’excitation. « Je ne sais pas trop quoi choisir. Tes mains sur mes seins, tes lèvres dans mon cou, ton poids sur moi… » Puis d’un ton un peu plus bas, chuchoté. « Ou ton gout dans ma bouche. » Sur ces mots, Souta commence à jouer avec moi, allant vérifier l’humidité qui débute dans mes sous vêtements. Deux de ses doigts viennent caresser ma chatte, rentrant doucement de quelques centimètres à l’intérieur. Il s’en amuse. Mes hanches entament déjà un mouvement de balancier, essayant de les enfoncer un peu plus loin pour profiter de leur douceur, mais Souta a déjà d’autre idées en tête.

Il colle ma main à son entre jambe, me faisant sentir sa grosseur. Si je commence déjà à mouiller, lui n’est même pas encore bandé. Il faut dire que ça fait une demi heure que je fais défiler des images de la dernière fois dans ma tête, je ne peux qu’être excitée. Ma main s’aventure à définir les contours de sa queue, le massant délicatement à travers le tissu de son jean. J’avais presque oublié à quel point il était gros, même débandé. « Oui, j’ai essayé. Mais je n’ai pas trouvé de jouets assez gros pour te remplacer. » Je souris contre ses lèvres, dévoilant espièglement toutes mes dents. C’est un sacré compliment. Agilement, ma main fait sauter le premier bouton de son jean et glisse à l’intérieur. Ma peau fraiche entre en contact avec la sienne, bien au chaud dans son étui étroit. Un frisson parcoure Souta qui rejette la tête en arrière, m’exposant son cou. Ma bouche glisse dessus, y déposant quelques gentils baisers avant de mordre doucement la peau fragile de sa clavicule découverte. En relâchant ma prise, la morsure laisse une marque légèrement bleuté, un joli succion s’est formé sous mes dents. « Pas une seule fois? Tu ne t’es pas touché depuis 2 semaines? Tu dois être affamé. » La chaleur de son pantalon commence tout juste à réchauffer ma main quand mon pouce vient caresser son gland avec la pulpe de mon doigt. J’étale un léger filet de pré-foutre sur sa queue, avant de la sortir carrément de son écrin pour pouvoir le masturber tranquillement. De loin, les passants ne voient pas notre petit jeu, ils ne voient qu’un mignon petit couple qui s’enlace dans un couloir de livres désert. Mais de près, c’est une autre affaire.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 5 mardi 15 mars 2022, 07:33:45

Alors que ses doigts viennent se saisir de ma queue qu'elle sort de mon boxer, je ne peux que répondre d'une manière à poursuivre ce petit jeu.

- Pas autant que toi, visiblement.

Ses mains désormais plus qu'actives, c'est au tour des miennes de venir s'amuser un peu pour la chauffer. La droite commence par se poser sur son ventre pour remonter lentement jusqu'à atteindre sa poitrine par-dessus ses habits. J'ai le souvenir que ses seins étaient une zone très érogène pour Astrid. Du coup je pars à la recherche de son mamelon pour le titiller du bout des doigts dès que je parviens à le trouver.

Mon autre main vient se poser sur sa gorge pour effectuer une légère pression dessus afin de lui faire comprendre qu'elle n'ira nulle part tant que je ne le décide pas. La sensation de ses petits doigts qui caressent ma grosse queue si sensible après cette période d'abstinence me rend la tâche plus difficile que tout à l'heure pour l'embrasser à pleine bouche. Une simple branlette me fait beaucoup plus d'effets que je l'imaginais au premier abord.
Ou alors c'est la situation dans l'ensemble ? Faudra vérifier ça.

Entre deux patins je m'arrête pour lui lâche :

- T'es encore plus sexy aujourd'hui avec tes lunettes et ta tenue de nana sérieuse.

Faut dire que l'autre fois elle avait surtout finie en t-shirt vu que ses fringues n'étaient pas restées longtemps sur elle. Ne pas finir trop vite à poil pour faire monter la pression est amusant. En particulier dans ce genre de situation. Finir trop vite à poil c'est bien quand on veut tirer un coup rapidement. Ce qui n'est pas le cas ici.

- Je sens qu'on va bien s'amuser aujourd'hui.

Ma main s'ouvre alors pour libérer sa gorge afin de venir se poser sur son petit cul pour bien le malaxer. D'habitude j'aurais coupler le geste avec une claque dessus, sauf que là on va éviter de faire trop de bruit d'entrée.

C'est alors que j'entends des bruits de pas. Même si ils ne semblent pas se diriger clairement dans notre allée, je peux remarquer qu'une personne se trouve dans celle qui devant la nôtre. D'un geste rapide je force Astrid pour la faire se retourner et se trouver dos contre moi et face contre les livres. Là, j'attrape plusieurs bouquins qui sont à hauteur de nos visages et les fait tomber à terre. La jeune femme qui est en face de nous lâche un cri de surprise en se tournant dans notre direction. Avant de m'excuser, je pousse le vice en glissant ma main sous la culotte d'Astrid en cherchant sa moule humide en passant par son cul que je titille très brièvement.

- Oups, désolé, ça m'a échappé des mains.

L'inconnue nous souris de façon nerveuse en indiquant que ce n'est rien. Au même instant, je parviens à trouver ma cible et enfonce quelques phalange dans la chatte de mon étudiante en médecine alors que j'engage la discussion avec une parfaite inconnue.

- C'est la première fois que je viens ici. Je cherche des livres de droit, vous savez où c'est ? Je suis un peu perdu.

Tout en agissant le plus naturellement du monde, cette fois c'est mon pouce qui vient se poser sur son œillet pour forcer lentement le passage dans son anus alors qu'un second doigt vient aider le premier à ouvrir sa chatte. Le fait d'avoir une personne devant nous était trop tentant pour ne pas que j'en profite pour pimenter les choses.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 6 jeudi 17 mars 2022, 12:41:05

Sa pression sur mon cou montre toute la possessivité de Souta, il ne veux pas que je m’éloigne de lui, que je m’échappe. Je sens que mes mains sur sa queue le perturbent, beaucoup plus qu’il ne l’aurait imaginé. Si un frisson d’extase apparaissait sur sa nuque, je ne serais pas surprise. Ma main monte et descends lentement le long de son épais chibre tout juste excité. Entre mes doigts, sa vigueur commence  à se faire sentir, le sang s’accumulant à chacun de mes passages. Quand ses doigts à lui s’amusent à caresser mes seins tendus, je soupire légèrement, me mordillant la lèvre pour éviter de gémir trop bruyamment. La localisation de nos ébats est audacieuse, trop audacieuse pour que je puisse m’exprimer ouvertement. Mes épaules se tortillent doucement sous la sensation et une chaleur excitante monte délicieusement dans mon bas ventre. Ses mots sur mes lèvres me font sourire. « Tu es pas trop mal non plus. Je suis pas sure de t’avoir déjà vu habillé aussi longtemps. » Il est vrai que notre dernière rencontre était relativement dénudée. « C’est un peu comme si tu avais perverti la bibliothécaire sexy non? » Puis sans attendre un mot de plus, ma langue revient rejoindre la sienne en riant.

Quelques secondes plus tard, le souffle court, ses lèvres finissent par quitter les miennes pendant que sa main lâche ma gorge pour rejoindre mes fesses. Son geste me fait fermer les yeux, profitant de son doux massage. Ca me rappelle des bons souvenirs. Mais un bruit de pas rapide nous oblige à nous interrompre en si bon chemin. Souta se sépare de moi rapidement et me place face aux étagères pleine de livres. Je ne vois pas vraiment ce qui se passe, je ne peux qu’écouter pour éviter de nous faire repérer. Je pensais que Souta allait juste attendre que la personne passe pour pouvoir recommencer son petit jeu ou qu’il allait juste me conduire un peu plus loin pour éviter les regards indiscrets. Mais non. Pire. Il veux continuer à jouer, là sous les yeux de la jeune inconnue. Quelques bouquins tombent, me faisant sursauter tout autant de l’étudiante. Je regarde Souta avec surprise, me demandant ce qu’il a en tête, puis je sens sa main se glisser sur mes fesses, cherchant ma fente déjà mouillée. Putain, on est sur un retour de l’exhibitionniste.

Je me souviens alors que tous les appels à la baise que Souta m’avait lancé pendant sa visite à l’hôpital, le drap qui tombe sur sa hanche pour exposer sa queue, ses phrases bien placées pour essayer de jouer, mais aussi de ses mains dominatrices pendant la pipe dans le hall d’entrée. Il aime ça, jouer avec le feu, s’amuser dans les endroits publics. Un léger hoquet me surprends quand Souta insère son doigt dans ma chatte trempée. Comme par réflexe, je tends les fesses en arrière pour en profiter un peu plus. La jeune femme peut uniquement voir nos visages. Elle ne peut voir que le grand sourire malicieux de Souta, très fier de son coup, sans comprendre pourquoi. Celui ci continue à lui parler, lui posant des questions hasardeuses, juste pour pouvoir continuer d’avoir un public pendant qu’il me baise avec ses doigts. Son pouce vient forcer le passage de mes fesses. Alors mes cuisses se resserrent et se tortillent pendant que ma chatte accueille un deuxième doigt. « Euuuh… Oui je crois que c’est au 3ème étage. » Réponds l’étudiante en souriant nerveusement. Elle ne comprends pas bien ce qui se passe. Le rose de mes joues devient incontrôlable, je sens tout mon visage s’empourprer. Une de mes mains vient s’agripper à l’étagère, serrant fort pour ne pas gémir. J’aurais voulu le toucher en retour, le branler pendant qu’il essaye de parler à l’inconnue d’en face, mais ma concentration est déjà focalisée sur le fait de ne pas lâcher de soupirs dans cette bibliothèque publique, je ne peux pas tout faire. Après quelques instants d’adaptation, j’essaye de retrouver mes esprits. Je desserre les cuisses, lui laissant un peu plus de place pour bouger et commence une petite rotation de hanches perverse pour m’empaler un peu plus sur ses doigts en regardant le sol pour éviter griller ma couverture d’étudiante innocente.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 7 samedi 19 mars 2022, 07:52:50

La situation si particulière ne semble pas gêner Astrid une seule seconde. Pire encore, elle tente de m'offrir encore plus de latitude pour pouvoir la doigter avec plus d'efficacité alors que je termine mon échange avec l'inconnue.

- Merci, je vais aller voir ça.

Tout en conservant un grand sourire, je tente d'enfourner d'un coup sec quatre doigts dans sa chatte pour lui soutirer un gémissement ou un couinement avant que la fille dans la rangée d'en face ne s'en aille. Cette dernière semble avoir entendu quelque chose car elle me demande rapidement si je n'aurais pas entendu un bruit étrange.

- Un bruit ? Non. C'est peut-être un portable qui a vibré. Tout le monde préfère les mettre sur vibreur qu'en silencieux ici, non ?

Mon explication ne semble pas la convaincre alors que ses joues virent lentement au rouge. Elle se retourne alors pour s'éloigner rapidement, toute gênée. Cela me fait rigoler quelques secondes alors que je retourne offrir mon attention à ma petite étudiante.

- Bravo, t'as fait peur à cette pauvre nana. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi ? Hein ?

Je la fait se retourner une nouvelle fois vers moi en lui posant la question tout en poursuivant mon exploration multiple dans sa fente de devant. Ma bouche retourne également à la conquête de la sienne dans un échange baveux de salive dénué de la moindre délicatesse ou tendresse.

Cette fois c'est à mon tour de jouer avec elle. Mes lèvres glissent lentement sur le côté pour lécher sa joue et continuer sa progression pour attendre son cou que j'embrasse et lèche de manière furtive et légère alors qu'une main retourne chercher sa poitrine pendant que l'autre prépare le terrain en bas avec plus de douceur qu'avant.

Sans un mot, et après plusieurs secondes, je termine par me mettre à genoux devant elle et entame un cuni en glissant ma tête sous sa jupe tout en poursuivant mon doigtage avec seulement deux doigts cette fois. Ma langue et mes lèvres s'amusent à jouer avec son clitoris gonflé et ses lèvres souples et duces en allant parfois tirer dessus avant de les recracher de manière audible pour faire monter la pression. Qui sait, quelqu'un pourrait m'entendre ? C'est du moins l'idée que j'aimerai lui faire glisser dans l'esprit.

En tout cas c'est une véritable fournaise ici bas. La transpiration me gagne rapidement alors que de la mouille, elle aussi chaude, vient recouvrir mon menton au fil des minutes que je passe à lui grignoter et doigter la moule sans lui laisser une seconde de répit. Je ne m'arrête pas une seule seconde jusqu'à lui provoquer un premier orgasme qui lancera enfin cette journée dans le bon sens.

Mes genoux commencent à me faire légèrement mal quand je décide enfin de me relever pour la voir en lui offrant un grand sourire.

- J'en ai plein la bouche et les doigts. Où est-ce que je vais bien pouvoir les essuyer ?

Une idée me vient en tête alors que je lui demande de se mettre face contre le mur en me montrant son cul. Je relève alors sa jupe et amène mes deux doigts couvert de son propre jus à l'entrée de son œillet pour commencer à jouer avec. Mon pouce avait entamé le travail il y a quelques minutes et pourtant son trou s'était déjà refermé.

- Merde alors, t'es aussi sensible par derrière que par devant.

Mes doigts entament une première pénétration pour ouvrir la voie pendant que je me redresse pour approcher mon visage du sien.

- T'imagines pas à quel point j'ai envie de me faire ton petit cul. Mais tu vas te contenter de mes doigts pour le moment. Faudrait pas que tu sortes d'ici en boitant comme un canard.

J'entame alors un nouveau doigtage en règle dans son autre orifice cette fois. Ma tête à côté de la sienne, je tire la langue pour qu'elle vienne la lécher avec la sienne. Peu importe que notre salive mélangée vienne former une petite flaque au sol à force de baver vu que quelqu'un d'autre viendra nettoyer plus tard.

Reste à voir si elle se laissera de nouveau faire jusqu'à avoir un second orgasme. Et si c'est le cas, combien de temps est-ce que ça pourrait prendre.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 8 lundi 21 mars 2022, 16:34:24

Le dos collé contre l’étagère pleine de livres, j’observe la tête de Souta disparaitre sous ma jupe. A la seconde où sa langue entre en contact avec mon clitoris, mes cuisses se resserrent autour de son visage et mes mains agrippent ses cheveux par dessus le tissu de ma jupe. Putain, le salaud. Il y a quelques minutes, il jouait encore avec ses doigts dans ma chatte, faisant tout son possible pour m'extorquer un gémissement, il s’est amusé à me remplir avec 4 de ses doigts sadiques, provoquant un frisson irrésistible et un léger soupir d’extase qui n’échappa pas à la jeune fille. Elle était partie, le feu aux joues, ayant très bien comprit ce qui se passait sous ses yeux. Et là, il se retrouve à me lécher entre deux étagères. Ok, j’avais bien compris qu’on allait jouer, qu’il n’avait pas faire tout ce chemin juste pour me rouler des pelles dans une bibliothèque. Mais un cunnilingus en plein milieu d’une bibliothèque bondée d’étudiants, il est quand même bien pervers. Sans que je puisse lui résister, mes hanches bougent sur son visage, en demandant toujours plus. Un jour, il faudra que je me calme. Je plaque ma propre main sur ma bouche pour éviter de gémir bruyamment, le son de mes soupirs restant coincé dans le fond de ma gorge. Je sens toute l’humidité de sa langue m’explorer pendant qu'il me doigte avec passion. Putain il sait y faire en plus. Un bruit obscène de succion mouillé résonne dans la pièce quand il relâche une de mes lèvres. Mes yeux s’écarquillent, manquant de jouir sous l’excitation du la situation. Entre la peur d’être découvert et l’appréhension de ses prochains mouvements, je rejète la tête en arrière et mordille ma lèvre inférieure. La chaleur de mon bas ventre m’envahit délicieusement, mes hanches roulent sur sa langue, je sens l’orgasme monter en moi. Mes jambes se mettent à trembler douloureusement, je tiens ses cheveux avec force avec ma main libre, mordant presque mon poignet pour éviter de crier. Puis l’orgasme m’emporte, inondant sa bouche de mouille chaude.

Quand il se relève, je ne suis qu’un petit bout de chair tremblant, dévastée par l’extase qu’il vient de me donner. Il semble fier, me regardant haleter en me montrant toutes ses dents, mais il ne s’arrête pas pour autant. En un mouvement, il me retourne de nouveau pour planter ses doigts entre mes fesses, pour utiliser cette mouille dont il ne savait pas quoi faire quelques secondes plus tôt. « Bordel Souta, c’est bon. » Il joue avec moi, avec ses doigts, avec mon excitation. Il va me rendre complètement folle. La respiration toujours courte, j’essaye de me concentrer à récupérer un peu de dignité. Pour le moment, Souta a réussi à s’amuser avec mon corps sans que je ne lui laisse aucune limite. Il me susurre des mots sales au creux de l’oreille, commentant sur ma sensibilité et sur le fait qu’il veuille me prendre par là.

Mais même si j’ai un mal fou à me contrôler, que l’envie de jouir juste avec ses doigts dans mon cul est palpable, je me souviens de l'endroit dans lequel nous sommes. J’attrape son poignet pour l’arrêter et le retirer puis je me retourne vers lui. Je ne résiste, néanmoins pas, à la tentation de sa langue et vient l’attraper entre mes dents pour la sucer légèrement. Je sens mon propre goût sur sa langue. Sucré, fluide, légèrement âcre. J’attrape la boucle de sa ceinture pour le coller contre moi. « On n’est pas sortable, Souta. » Sur ces mots, deux étudiants passent au bout de la rangée en chuchotant. Ils nous lancent un regard rapide puis continuent leur chemin, sans vraiment nous porter d’attention. Quelques minutes plus tôt et ils auraient vu la tête de Souta entre mes jambes ou ses doigts en train de me faire plaisir. Cette seule pensée me provoque un frisson. De peur ou d’excitation? Je ne sais pas vraiment. La perspective d’une baise en plein milieu d’étudiants en manque me plaît un peu plus que je ne l’avais imaginé. Je pousse légèrement Souta vers le fond de la rangée de livres, dos au mur. « Tu t’es déjà fais sucer dans une bibliothèque? » Les jambes toujours un peu tremblantes, c’est à mon tour de m’agenouiller devant lui. Un léger courant d’air passe sous ma jupe et caresse mon cul entrouvert par ses doigts, me faisant rouler des hanches pour éviter de gémir. Sa bite est coincée dans l’élastique de son boxer, seule la moitié est apparente. Collant mon nez à son bas ventre, je viens lécher son bout qui frémit sous mes caresses, mes mains viennent ensuite descendre le reste de son caleçon pour m’exposer sa queue en entier. J’ouvre la bouche pour le prendre à l’intérieur, commençant par avaler le 1/3 sans m’étouffer. Il s’amuse de moi pendant un petit bout de temps, à mon tour de l’exciter un peu. Sachant qu’il n’en a pas profité depuis plusieurs semaines, il risque d’être extrêmement sensible. Après quelques mouvements lents le long de sa queue, je l’extirpe dans un léger bruit de succion pour que ma main vienne prendre le relai. Pendant ce temps là, j’accumule un peu de salive dans ma bouche. Mon regard lubrique levé vers lui, le sourire aux lèvres, je finis par venir cracher sur sa queue tendue pour la lubrifier avant de retourner l’aspirer avec passion. Ma langue lape son gland pendant que mes lèvres, joueuses, avancent petit à petit sur son dard, essayant de s’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 9 mardi 22 mars 2022, 06:58:11

Les choses semblent suivre leur court naturel après quelques instants à la doigter vu qu'elle en veut clairement plus à en juger par son nettoyage de langue. Autant la laisser faire et voir jusqu'où va aller cette soudaine initiative.
Le passage de deux personnes pas loin de nous ne suffirait pas pour m'arrêter si ils décident de rester dans le coin. Sauf que non, ils poursuivent leur route. Tant pis pour eux, ils ne savent pas ce qu'ils vont manquer.

- Pas encore, mais je sens que tu vas vite arranger ça.

Et aussitôt dit, aussitôt fait. Astrid ne perd pas de temps même si elle doit s'y prendre à deux reprises pour descendre complètement mon boxer qui gardait emprisonné son jouet à sucer. Je me surprend à laisser échapper un gémissement lorsqu'elle engloutit une bonne partie de ma trique pour bien la préparer.

Cette salope va même jusqu'à cracher dessus d'entrée pour se faciliter la tâche. Voilà le genre de geste typique d'une gonzesse qui sait ce qu'elle fait car la grosse majorité aurait plutôt opté pour quelque chose de plus soft dans une situation similaire.

La voir si passionnée me pousse à la laisser faire pour le moment. J'attrape même mon portable dans la poche intérieure de ma veste pour commencer à la filmer en pleine œuvre.

- Vu que c'est une première, autant immortaliser ça.

D'un geste de la main gauche, je viens lui caresser la joue pour ensuite mieux la positionner sur sa tête sans rien faire de plus.

- Ma queue a dû te manquer pour que tu te jettes dessus comme une vorace.

L'euphorie et l'excitation m'empêche de me contrôler comme j'ai pourtant l'habitude de le faire. Entre ses petites mains expertes en branlette et la combinaison lèvres et langue c'est une véritable pluie de stimulations qui m'attaque de toute part quasiment.

Cette fois c'est à mon tour de rien faire ou dire durant quelques minutes. Je me contente de savourer pleinement de ses attentions en prenant soin de ne pas me laisser déborder par le plaisir. Après m'être retenu durant deux semaines le résultat pourrait être catastrophique pour elle si jamais je viens à lui éjaculer dessus. J'imagine qu'elle vient ici régulièrement, du coup il vaudrait mieux éviter de lui faire un costume de fantôme bio qui lui vaudra le surnom de Casper la salope fantôme.

Au bout d'un moment je repousse sa tête pour faire sortir ma trique complètement tendue et gonflée pour qu'on puisse voir à l'écran que celle-ci est quasi totalement recouverte de salive. Ses fluides se sont mis à mousser sur certains endroits. Je m'amuse alors à frotter le dessous de ma queue sur sa langue baveuse tout en lui posant une question.

- Tu veux me faire jouir ? Heureusement que j'ai tout prévu.

J'écarte un peu mes jambes pour me sentir plus à l'aise tout en gardant mon regard rivé sur elle. Sa bouche couverte du mélange de nos fluides avec ses lunettes d'intello me font un effet pas croyable. Jamais j'aurais imaginé que ce serait aussi efficace.

- On va pas tout de suite ruiner ta jolie petite gueule. Cherche dans ma poche de jean.

Elle y trouvera alors quelques capotes. Entre ses études en médecine et sa prédisposition à la nymphomanie elle n'aura de problème ni pour l'installer, ni pour savoir ce que j'ai derrière la tête. Je filme la scène alors que je la laisse ouvrir l'emballage et s'amuser à me mettre le long morceau de caoutchouc avec une expertise bluffante.

Ma main libre se saisir de ma bite au niveau de la garde pour donner quelques coups avec le gland sur sa langue pour m'assurer que la protection est bien en place. Je fais ensuite glisser ma queue le long de son visage sans repousser ses lunettes pour placer mes boules au niveau de ses lèvres.

- Quand t'auras fini de bien les préparer, je viendrais me les vider dans ta chatte.

La suite est désormais évidente. Après un dernier petit plaisir je vais m'occuper d'elle pour lui montrer la différence entre ses jouets et une vraie bite. Histoire qu'elle ne me fasse plus jamais attendre deux semaines avant de revenir prendre sa dose.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 10 mardi 29 mars 2022, 11:31:20

Le voir sortir son téléphone me fait sourire alors que j’ai déjà la bouche pleine. C’était donc ça les vidéos privées dont il parlait la dernière fois. Il aime filmer les filles avec qui il couche pour en avoir un souvenir. Dans un sens, ça ne m’étonne pas, et par ailleurs, ça m’exciterait presque un peu plus. Savoir que le soir, quand il est seul dans son lit, il peut regarder des videos de nos exploits sexuels et se branler en pensant à moi, ça me fait de l’effet. Moi qui d’habitude, préfère ne pas garder de preuve de mes ébats, je ne peux m’empêcher d’apprécier cette idée. De toute façon, si vraiment il avait voulu m’exposer, il aurait déjà très bien pu le faire. Je l’ai quand même rencontré en tant que patient dans mon hôpital. La tête coincée entre ses cuisses, je continue à le lécher lentement, essayant de faire en sorte que les bruits de succion ne résonnent pas dans toute la bibliothèque. Le jeune homme apprécie le traitement et me regarde passivement aspirer son énorme pieu en filmant la scène. Rapidement, il repousse mon menton pour faire sortir sa queue entièrement de ma bouche, montrant sa longueur et son endurance à la caméra avec fierté. Sa bite parait massive à coté de mon visage, mes yeux l’observent sur toute la longueur. Je comprends mieux pourquoi j’ai du mal à la garder entièrement dans ma bouche. Souta continue de s’amuser avec ma bouche ouverte, faisant râper sa queue sur ma langue en discutant joyeusement.

Le souvenir de sa douche blanche me revient aussi en tête. Putain, c’est vrai qu’il peut éjaculer abondamment. Il sait que je ne peux pas sortir de la bibliothèque déphaser comme ça. Les étudiants me connaissent, les profs me connaissent, si je sors avec un film blanchâtre sur le visage, ma réputation de petite fille sage prendra un sacré coup. Bien que l’idée de me prendre une belle faciale comme la dernière fois ne me dérange pas, l’exposition à toute l'université, m'embêterait beaucoup plus. Les yeux toujours rivés sur Souta, je remonte mes lunettes qui ont glissé sur le bout de mon nez pendant qu’il m’indique où trouver les capotes dans son jean. Ma main part à sa recherche rapidement et trouve le précieux comme indiqué. Des capotes extra larges et plusieurs en plus. Monsieur a prévu de s’amuser longuement. Dans un sourire, je déchire le premier emballage de la journée et attrape le petit bout de caoutchouc pour l’enrouler délicatement autour de sa grosse queue veineuse. Souta vérifie une petite seconde que tout est bien en place en jouant avec ma langue et m’indique que ses boules ont besoin de préparation elles aussi. Presque avec gourmandise, mes lèvres se posent sur la peau de ses lourdes couilles. Deux semaines sans se vider, elles doivent être bien remplies. Je laisse encore de la salive coulée dessus, les mouillant sur toute leur surface. Ma langue vient les soupeser l’une après l’autre en levant les yeux vers Souta. L’une de mes mains libres vient prendre sa tige entre mes doigts, faisant à peine le tour, et vient le masturber lentement pendant que je commence à avaler l’une de ses couilles dans ma bouche.

Mais presque soudainement, la réalité nous rattrape. De l’autre coté de la rangée de livres, on peut entendre de nouveaux étudiants arriver et parler doucement. Mon visage s’arrête net, ses testicules mouillées dans ma bouche, le nez posé contre la base de sa queue, ma main sur sa tige. Ils vont nous voir, putain. Le téléphone de Souta continue de filmer la scène, on peut entendre à quelques pas de là deux ou trois étudiants parler de leur recherche. S’ils changent de rangées, s’ils viennent jusqu’ici, ils nous trouveront en position compromettante, ils me trouveront en position compromettante. Mon coeur s’emballe, mes mains deviennent légèrement moites, je reste immobile sur Souta, comme si le fait de ne pas bouger allait y changer quelque chose. Quelques secondes passent, puis les étudiants s’éloignent en discutant. Je lâche un soupir de soulagement et commence à me relever. « On ne peut pas rester ici. Ils vont finir par nous voir. » Je saisis sa bite d’une main et entreprends de la ranger dans son caleçon, laissant la capote en place. « Au dessus, il y a des bureaux vides. Ca résonne donc il faudra être discret, mais au moins, tu pourras profiter de moi en paix. » Joueuse, j’embrasse doucement son menton en me redressant sur la pointe de mes pieds puis je me décolle de lui. J’essaye d’arranger mon visage quelques secondes, essuyant ma bouche des traces de salives et de pré-foutre, attachant mes cheveux devenu fous pendant le jeu. Je replace mes lunettes gracieusement sur mon nez avant de me tourner vers Souta qui remets son jean avec difficulté. Sa bite prends beaucoup de place, la bosse de son pantalon n’est pas discrète mais ça tiendra pour monter les étages. Ma main se tends vers lui pour attraper la sienne et je l’embarque dans le labyrinthe géant qu’est la bibliothèque, à la recherche d’un bureau vide.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 11 mardi 29 mars 2022, 13:31:35

Elle est sérieuse là ? Suffit qu'une paire d'étudiant passe pour venir me foutre en l'air un plan si bien parti pour faire une baise d'enfer ? Avec l'envie et la passion qu'elle vient de mettre dans se nettoyage de burne il est évident qu'elle en a autant envie de se faire prendre que moi de l'embrocher comme un bout de viande au bout de ma queue qui pulse d'envie désormais. Et j'ai clairement pas mon mot à dire vu qu'elle s'empresse de remballer la marchandise dans son emballage à une vitesse folle. Son empressement la fait manquer quelques gestes d'ailleurs.

Le portable en main, je mets un terme à la vidéo pour ranger l'engin dans ma veste en lui répondant :
- J'ai pas le souvenir que tu sois une silencieuse.

Porter une capote est limite un don du ciel à l'instant précis car au moins ma bite ne collera pas à mon boxer le temps du trajet. Par contre j'ai les burnes qui commencent à me démanger vu qu'elle s'est fait plaisir à les asticoter comme la sale gourmande qu'elle est. Faut dire qu'Astrid a un talent véritable pour ce qui est de l'utilisation de sa bouche pour chauffer ou faire cracher un mec. Et pour ne rien arranger à ma situation je peux sentir sa salive en couler pour venir s'étaler le long de mes jambes quand je marche.

C'est pour ça que tout le monde me regarde comme si je venais de me pisser dessus ? A tous les coups je dois boitiller comme un canard entre ça et la bite qui me pèse de l'autre côté.
Heureusement que personne n'a remarqué la source de mon problème.

Les escaliers sont rapidement à portée de vue quand un mec vient nous interrompre.

- Salut Astrid, ça faisait un bail que je t'avais pas vu dans le coin.

Au regard haineux que lui jette la fille à ses côtés, j'en déduis presque qu'il n'y a pas eu qu'une relation amicale entre l'inconnu et mon étudiante en médecine. La discussion tourne court sans nécessiter mon intervention car la petite amie du bonhomme ne le laisse pas passer trop de temps avec Astrid à qui elle jette un sale regard à son tour avant qu'ils ne s'éloignent dans leur coin.

- Tu sais te faire des amis, toi.

Une claque vient s'abattre sur son fessier alors que je lui demande de passer devant pour me montrer le chemin. Et, accessoirement, me rincer l’œil au passage pendant qu'elle monte les marches.

L'endroit est bien entretenu il faut dire. On peut encore sentir de façon légère les produits de nettoyage qui ont été utilisé pour nettoyer ces marches que nous sommes en train de finir de grimper pour atteindre un des étages supérieur.

Le parfum des produit cède rapidement sa place à celui des équipements neufs. A en juger par l'état des lieux, ces bureaux n'ont pas été installés ici depuis très longtemps. Quelle chance on a de pouvoir les inaugurer à notre manière.

Une main sur la hanche de ma jolie partenaire je me dirige en direction de l'un d'eux en tournant la poignée...

- Merde, fermé. Celui-là aussi... Là-bas aussi ?

Un long soupire quitte mes lèvres alors que je me gratte brièvement les cheveux. Je glisse ensuite une main dans ma poche et sort mon portable pour y récupérer une épingle coincée dans l'étui à écouteur pour crocheter rapidement la serrure de notre prochain lieu de loisir. Il ne me faut pas plus de dix secondes pour réussir mon coup.

- Les dames d'abord.

A peine entrée, je ferme à clé derrière Astrid pour ensuite jeter un œil à la pièce. Aucun signe de personnalisation ou d'activité quelconque ici. Je me dirige alors vers la tige qui permet de régler les stores pour les fermer. Les sourcils froncés je me saisis de quelques feuilles blanches que je glisse dans une chemise pour venir faire claquer le tout sur le bureau en regardant Astrid avec autorité.

- D'où sortent ces chiffres, Astrid ? C'est déjà le troisième mois que tu ne remplis pas ton quota !

Je me tiens alors derrière le bureau sans aller jusqu'à m'asseoir sur le fauteuil plutôt confortable à première vue qui s'y trouve. Quitte à être tranquilles, autant se lancer dans un petit jeu de rôle pour pimenter les choses.

- Qu'est-ce que je vais faire de toi ? Si tu ne te rattrapes pas rapidement c'est la porte qui t'attends. Tu comprends ?

Vu son tempérament elle jouera probablement le jeu.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 12 lundi 04 avril 2022, 22:51:04

« Salut Tao. Oui ça fait longtemps. Comment ca se passe ta thèse? » Je ne peux m’empêcher de reluquer quelques secondes la midinette à coté de lui. Petite, brune, autoritaire, de jolies formes. Tao a réussi à décrocher le gros lot. Je lui adresse un sourire qu’elle ne me rends pas, s’accrochant un peu plus au bras de son copain comme pour me montrer qu’il était à elle. Tao et moi avions eu une courte histoire il y a quelques années, rien de très sentimentale, surtout du sexe, mais le jeune homme en voulait plus, il voulait une belle histoire. Je suis plutôt heureuse qu’il ait trouvé chaussure à son pied, même si sa pantoufle semble être très possessive. La jeune femme tire le bras de son homme pour l’entrainer loin de moi, je la regarde faire, leur souriant innocemment. J’ai très envie de lui faire un doigt d’honneur mais ça ne serait pas très distinguée de ma part. Souta commente la scène à mon oreille, l’argumentant d’une claque sur mes fesses. « C’est le genre de filles qui n’aime que le missionnaire. Je ne traine pas avec des gens déséquilibrés comme ça.» Je monte les escaliers de bois, balançant légèrement mon cul sous les yeux avides de Souta.

La dextérité de Souta face à la porte fermé m’indique qu’il n’en est pas à son coup d’essai. Un sourire amusé s’affiche sur mes lèvres. Il ne m’a jamais vraiment dit ce qu’il faisait, ni dans quel domaine il travaillait. J’ai du mal à l’imaginer travailler dans un bureau avec un costume, une cravate et passer sa journée devant un ordinateur allumé. Bien qu’un costume lui irait surement foutrement bien. Il a plutôt l’air d’un caïd, le genre de mec auquel il ne faut pas trop se frotter. On ne pouvait pas être un couple plus mal assorti. La petite « vierge » innocente et le grand délinquant malicieux. Même si Souta avait bien comprit que mon innocence n’était qu’un mensonge, l’image de nous deux l’un à coté de l’autre me le rappelle. Une fois rentré, le jeune homme prends tout de suite l’initiative de fermer les volets, nous cachant au reste du monde puis ramasse des feuilles autour de lui. Je fronce les sourcils, je ne comprends pas encore à quoi il joue. Sa voix grave résonne dans la pièce, son ton est autoritaire, presque en colère. Je ris doucement, regardant Souta faire son petit manège avant d’entrer dans le jeu.

« Je sais que mes chiffres sont insatisfaisants Monsieur mais je vous promets, je vais faire mieux. » La pièce est stérile, très peu personnalisé. On peut tout y imaginer à l’intérieur. De la salle de cours rempli d’étudiants ou petit bureau d’avocats. Tout est faisable. Ma main caresse doucement le bois du bureau en face de moi, baissant les yeux comme si j'avais vraiment fais une connerie. Il a l’air solide, plutôt bon marché mais solide, l’idée de pouvoir baiser dessus fleurit rapidement dans mon esprit. Je ravale un sourire pour rester dans mon rôle. Les paumes de mes mains se posent sur le bureau, me penchant en avant pour lui exposer mon décolleté. « Je veux donner de ma personne, vous savez. Je suis prête à donner beaucoup pour ce projet ! » Je prends mon plus beau regard de petite fille chaste, celui que j’utilisais petite pour supplier mon père. Mes yeux me trahissent tout de même, plutôt que de le regarder dans les yeux, je baisse légèrement le regard, regardant la bosse inconfortable de son pantalon. Son sexe n’a pas débandé depuis que je m’en suis occupée. Est ce qu’il a pensé à son petit jeu pendant tout le chemin? Je contourne le bureau pour m’approcher de lui, posant ma main sur son torse pour le repousser légèrement sur la chaise derrière lui. « Je peux être très persuasive Monsieur. » Mes fesses se posent sur le rebord du bureau, lui faisant face. Mes doigts glissent sur le tissu de ma jupe avant de faire remonter le tissu. J’écarte les cuisses, lui dévoilant mon sous vêtement trempé. Ma chatte est toujours luisante, prête à le recevoir, mais je veux l'exciter un peu plus, me pavaner devant ses yeux. J'amène mes doigts à ma bouche pour les lécher lubriquement avant de les descendre vers mon trou. Dans un geste précipité, j'introduis 3 de mes doigts dans ma chatte et utilise mon pouce pour commencer à caresser mon clitoris gonflé devant ses yeux, attendant sa réponse avec impatience.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 13 mardi 05 avril 2022, 08:33:31

Aucune explication n'aura été nécessaire pour voir Astrid entrer dans mon jeu de rôle improvisé. La jolie soumise prend presque les devants en me repoussant légèrement pour que je termine dans le fauteuil en cuir pour s'installer sur le bureau après m'avoir offert une vue sur ce qu'elle cache sous son haut.

La température remonte rapidement d'un cran dans la pièce. Les pieds vissés au sol, je m'en sers d'appui pour faire reculer le fauteuil de quelques centimètres quitte à faire quelques traces au sol par la même occasion.

- Je vois ça.

Pour le moment je profite du spectacle en me léchant les lèvres. Mes yeux se régalent en admirant cette belle jeune femme qui semble tout faire pour me chauffer au maximum. Je ne remarque même pas que ma main droite vient se poser sur mon jean pour commencer à masser doucement ma queue par-dessus le tissu rêche de mon pantalon. L'envie de me lever pour l'enlever et lui sauter dessus est dur à retenir.

- Hmmmm... Je suis au courant de tes petits jeux avec les autres vendeurs. Rien que la semaine dernier t'étais à genoux entre eux dans la salle de pause en échange des coordonnées de quelques clients.

Ma phrase est à peine terminée que je me redresse. Mes deux mains posées sur les accoudoirs m'aident à me lever pour me retrouver face à elle pour se saisir rapidement de son haut que je commence à ouvrir délicatement. On va éviter de l'arracher comme la dernière fois.

- T'as donné "de ta personne" cette fois aussi ? Qu'est-ce que tu leur as offert en échange ?

Maintenant que je peux voir un peu plus directement sa grosse poitrine, une main vient caresser l'un de ses seins à travers le sous-vêtement de façon joueuse. Tout n'est qu'effleurage et retenue depuis qu'on a commencé à s'allumer l'un l'autre dans ce bureau.

Cette même main se met ensuite à remonter sur sa peau délicate pour se poser quelques instants sur sa gorge si fragile et sans défense pour continuer son ascension jusqu'à son menton que je saisis pour l'empoigner sans trop forcer. C'est alors que mon visage s'approche du sien. Mes lèvres s’entrouvrent lentement pour lui montrer ma langue qui termine sa course sur sa lèvre pour la lécher et goûter à sa peau en lieu et place de sa bouche.

Je recule ensuite pour retourner sur mon siège sans jamais la lâcher du regard. L'envie de tout foutre en l'air pour baiser comme des bêtes est clairement lisible dans nos deux regards. Pourtant je ne ferais pas le premier pas pour lancer ce petit jeu. Oh non, chaque chose en son temps.

L'excitation est tellement forte que je ne pense même plus à reprendre la vidéo commencée tout à l'heure. Tout ce que je veux c'est la prendre encore et encore jusqu'à être pleinement satisfait. Et pour ça elle va prendre bien plus cher qu'il y a deux semaines.

Après avoir écouté ses récits sexuels, je lui demande de venir me montrer ce qu'elle a en tête.

- Assez joué ! Viens par là...

Ma main glisse de manière de plus en plus frénétique sur la bosse qui va déformer mon pantalon de manière si je reste habillé.

- J'espère que tu les aimes bien grosses.

A elle de jouer désormais.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Littérature & Orgasmes - PV Souta-

Réponse 14 lundi 11 avril 2022, 11:07:45

Le petit jeu de Souta dégénère très rapidement. Je vois dans ses yeux l’envie et le désir, il joue pour le plaisir de jouer mais son envie réel est ailleurs. Son regard me dévore, épousant chaque courbe de mon corps avec appétit. Je rougis presque. Il m’a pourtant déjà vu nue, mais cette intensité, je ne l’avais pas encore remarqué. Mes doigts sur mon clitoris s’arrêtent pour le regarder bouger près de moi. Il se redresse, je suis obligée de lever les yeux pour pouvoir regarder son visage tant il me domine de sa taille. Ses doigts experts viennent calmement déboutonner mon haut et exposer ma poitrine. Mon léger soutien gorge ne cache pas grand chose, le bout de tissu n’est qu’une minuscule brassière en dentelle noire, plutôt faite pour le plaisir des yeux. Heureusement que Souta est la pour la regarder sinon je l’aurais mise pour rien. Sa main vient effleurer ma peau, me faisant frissonner. Je voudrais qu’il aille plus vite, qu’il arrache ma jupe, qu’il soulève mes cuisses et qu’il me prenne en un mouvement. Mais non, le jeune homme semble vouloir prendre son temps, vouloir jouer avec le feu, vouloir m’allumer.

« Je leur ai offert ma langue. » Et juste à ce moment, Souta glisse sa main jusque dans mon cou puis mon menton, avant de sortir sa langue pour lécher ma lèvre inférieur. Dans un murmure excité, je lui souffle. « Je me suis glissé sous la table de pause et je les ai sucé les uns après les autres. Contre quelques numéros de clients prometteurs. » Des mots sortent de ma bouche mais je ne suis même pas sure de les comprendre, je suis comme hypnotiser par les gestes de Souta. C’est lent, beaucoup trop lent, trop langoureux. Puis il se rassoit, son corps reste presque impassible, mais ses yeux trahissent le reste. Ses quelques mots me font sourire. Il veux que je prenne les choses en main.

Mes mains se posent de chaque coté de sa chaise, me penchant en avant vers lui. Mes lèvres sont a quelques centimètres de lui, humides et provocantes. Je ne l’embrasse pas, je respire doucement presque contre lui, laissant l’air chaud caresser sa peau. J’ai tout autant envie que lui de virer toutes nos fringues et de le laisser me prendre en levrette, nue sur le bureau. Mais apparemment, les jeux d’exhibition dans la bibliothèque n’étaient pas assez pour nous exciter et l’un comme l’autre, nous avons besoin de jouer un peu plus, juste pour faire encore monter la pression. Son jean me parait serré, trop serré pour qu’il soit confortable. Je refais la boucle de sa ceinture et déboutonne son jean. « C’est ce que je préfère. Les grosses queues qui me remplissent. » D’une main agile, je viens sortir sa bite de son boxer, la saisissant à la base. Je le masturbe lentement quelques secondes, mordillant ma lèvre inférieure avec envie. La capote a un peu roulé, probablement notre petite balade jusqu’ici. « Avec ou sans? » Mais sans vraiment attendre sa réponse, je monte à califourchon sur lui, mes genoux de chaque coté de ses hanches. Ma jupe se soulève dangereusement sur mes cuisses et expose ma culotte trempée à ses yeux, je viens décaler le tissu légèrement pour de nouveau lui montrer ma chatte luisante. Entre mon premier orgasme, le cunnilingus de Souta et l’excitation ambiante, je suis toute mouillée. Ma main dirige la queue de Souta vers ma vulve, frottant son gland couvert à mes petites lèvres pour l’humidifier. Mais je ne fais rien de plus, je ne m’empale pas, je reste là devant ses yeux à rouler des hanches sur son gland, juste pour l’allumer. Maintenant qu’on est seul, je peux prendre mon temps, le faire languir. Il a envie que je craque la première, mais je ne lui donnerais pas cette satisfaction. Moi aussi je sais jouer. Pendant que mon autre main maintient sa queue entre mes cuisses, l’autre vient retirer ma chemise puis mon soutien gorge d’une main. Ma poitrine pointe dangereusement vers lui, mes tétons excités lui demandent presque de venir les lécher tellement ils sont tendus. Ma main libre saisit mon sein, pétrissant la chair ferme avant de tirer délibérément sur sa pointe. Ce mouvement m’arrache un gémissement et mon corps se courbe légèrement vers Souta. « Vous voulez toujours me virer, Monsieur? »


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