Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)

Si je m'attendais à ça... Chloé semble avoir du mal à tenir le rythme alors que j'avais fini par croire avec les prouesses dont elle faisait preuve qu'elle était invincible en terme de sexe. Je me sens un peu mal, mais faut aller au bout car on n'a pas le choix après être allés aussi loin.

Je la laisse faire et encaisse sa gifle sans broncher quand elle décide de se retourner pour me faire face. Pas pour faire plaisir au public. La belle a besoin de se défouler et c'est mérité car j'y suis allé fort sur ce coup. Exit donc le sourire habituel que j'offre à ma partenaire quand celle-ci s'amuse à rendre les choses plus violentes.

C'est logiquement que la tension sexuelle se met à descendre et que les internautes se mettent à râler quand je vais plus doucement sur son cul vu que Chloé est incapable de remuer dans son état. Il faut qu'on trouve une solution et rapidement.
En sachant que nos solutions sont des plus limitées il va falloir trouver quelque chose pour en finir rapidement.

Je fais signe à Noriko de s'approcher pour lui dire de rouler une pelle à sa copine pour divertir tout le monde. Pendant ce temps je masse à pleines mains les obus qui se tiennent devant moi depuis qu'elle s'est retournée. Il ne faudrait pas qu'on laisse le moindre temps mort leur faire comprendre qu'on prépare quelque chose.
J'approche alors mon visage des leurs alors que leurs langues dansent l'une contre l'autre dans un échange sensuel et humide pour leur glisser quelques mots.

- Chloé, viens m'étouffer avec tes seins dès qu'elle arrêtera de rouler des pelles. Et toi, branle-moi comme une forcenée en me bouffant les couilles pour me faire cracher. Si je me remets à l'enculer je risque de la casser en deux.

Surtout, qu'encore une fois, le coup des filles qui viennent se venger et humilier le mec qui les malmène aura toujours du succès. Alterner entre moi et elles pour les phases de domination garde la tension élevée et promet une suite moins tendue vu qu'ils ne voudront pas que quelqu'un finisse dans l'incapacité de poursuivre vu comment Chloé est sur le point de finir ce jeu là.

Je me laisse alors faire pour finir sous les critiques et autres commentaires dégradants des internautes à mon égard. Pour ce que j'en ai à foutre. Eux sont derrière leur ordinateur bite à la main pour finir sur leurs feuilles d'essuie-tout. Alors que de mon côté c'est un feu d'artifices qui ne prend jamais fin.

Entre les contractions de ma partenaire ou les mains et la bouche de Noriko dont on peut entendre les bruits de succion jusque là-haut sans la voir, l'orgasme arrive vite. Ses mains minuscules ont suffisamment de force pour me faire trembler comme une feuille et me pousser à enfoncer mon visage dans cet étau de chair. Retenir mes dents de se planter trop fort dans les seins qui me bloquent la vue et me coupent la respiration me demande de rassembler toutes mes forces. Mes gémissements rauques s'étouffent sur sa peau douce alors que mes bras viennent plaquer son corps contre le mien alors que j'explose dans son rectum.

Inutile d'avoir une caméra à rayons X pour savoir que ma crème épaisse se met à éclabousser et repeindre les parois de son rectum et de son conduit avant de les remplir jusqu'à finir avec la bite qui baigne dans son propre jus.
La quantité est toujours aussi grande que le surplus s'échappe de force pour venir couler le long de ma tige gonflée et emprisonnée entre les doigts de Noriko qui continue de me branler aussi fort pour en faire sortir tout ce qu'elle peut.

- Ummmnnn....

La fatigue après un effort aussi intense me fait lâcher prise et libérer ma fiancée factice pour m'écrouler sur le dos au fond du sofa. Une des caméras cachées à probablement dû détecter le sperme ressortir pour valider le défi vu qu'un message de félicitations apparaît sur l'écran.

Le détail le plus important qui suit est celui indiquant que le prochain défi serait le dernier. Avec en-dessous le nom de Noriko en grosses lettres lumineuses. Sans plus d'information pour le moment. Juste un gros titre :

Un menu spécial pour Noriko.

Mon cerveau refuse de pousser la réflexion plus loin tellement je suis crevé. Les mains posées sur les hanches de celle qui est encore contre moi. Je crois qu'aucun de nous deux n'a envie de vérifier l'étendue des dégâts malgré le fait qu'il va bien falloir le faire à un moment donné.

Le visage enfin libre je me mets à soupirer longuement de soulagement. Ma respiration est lourde et difficile tellement j'ai chaud. La transpiration recouvre chaque recoin et bout de peau de mon corps.

- Pfouuu... C'est enfin le dernier défi ? Parce que je commence presque à fatiguer là.

Mon corps tout entier est à bout... sauf ma bite. Toujours aussi dure et pulsante. C'est pas possible ! Ce truc vient de quelle planète ? Faut se taper une ville entière pour que l'effet se dissipe ? J'imagine pas le contre-coup demain au réveil. Je vais prendre cher.

Un quart d'heure s'écoule quand quelqu'un sonne à la porte. Noriko se lève pour aller ouvrir et revient avec un plateau repas et une note coincée entre deux des trois cloches. Il y a également une choppe et une saucière qui sont toutes les deux vides.

L'asiatique se met alors à rire en venant nous montrer le mot. La chose, plutôt longue, ne retient mon attention que sur le passage en gras qui indique grosso modo que chaque plat doit être "assaisonné" de sperme pour qu'elle le manga ensuite. Il s'agit sans aucun doute d'un délire tordu qui leur est venu en tête à force de la voir en avaler et l'entendre dire combien elle aime ça.

Juste en dessous en indiqué que la mise en scène et les bonnes manières à table seront prises en compte pour sa note finale. Okay ! Je savais qu'ils étaient pas nets. Mais là... On touche le fond.

Noriko roule une pelle à Chloé comme elle ne l'a jamais faite. Leurs langues s'entremêlent, se partageant leur salive qui coule sur leurs mentons. L'asiatique pelote sa copine en écoutant Souta leur donner ses instructions. Ok ca lui va et Chloé doit être d'accord aussi puisqu'aussitôt elle enfonce la tête du jeune homme entre ses seins. Elle serre ses bras autour de la nuque masculine et continue son petit jeu de sodo câline, si elle peut appeler ça comme ça. Elle souffle juste.

"Me casser en deux n'est pas le problème, tu m'as juste fais super mal à un moment ... "

Noriko s'accroupit entre les jambes de Souta en léchant au passage la hampe qui s'enfonce dans le cul de sa copine. Elle comprime la queue entre son pouce et son index le branle sur les quelques centimètres disponibles. En se contorsionnant, elle arrive à enfouir son visage contre les boules collantes de Souta et s'en délecte bruyamment.  L'une après l'autre, elle les gobe et les fait rouler d'une joue à l'autre. Elle les libère, crache dessus, revient les bouffer en donnant au passage de petits coups de langue à l'anus du jeune homme. Lui qui a l'air accroc à la rondelle, elle titille la sienne vicieusement.
Il décharge comme un fou. Noriko sent l'urètre qu'elle serre pulser au fur et mesure qu'il déverse dans le cul de Chloé des galons de foutre. Elle le branle plus fort encore, le sperme coule le long de ses doigts. Chloé se fait remplir comme une outre. Souta n'en peut plus de jouir, étouffer contre la poitrine énorme qu'il vient de maltraiter. Le casseur de cul s'effondre sur le sofa et Chloé suit le mouvement, s'affalant sur lui. Le sexe viril s'échappe de ses fesses libérant par là une quantité incroyable de foutre qui inonde les coussins moelleux.

"Putain c'qui y'en a !!"

Noriko claque des mains comme une fille trop contente et se précipite la  bouche ouverte pour en avaler le plus possible. Un bisou sonore au passage sur les couilles souillées et une dernière léchouille à la rondelle de leur mec du moment.
Surprise! Après le désormais coutumier message de félicitations s'affiche le prochain jeu.

"Oh super c'est pour moi!!"

Elle jette un coup d'œil à Souta, suspicieuse....

"Tu me fais pas la même chose!"

Chloé à basculé sur le côté et se cale un coussin sous les fesses. Elle gémit en bougeant et prend appui sur Souta pour se redresser.

"Putain j'ai dégusté!" Elle braque son regard sur l'écran "Bande de bâtards!"

Sauf Noriko qui se sert à boire et arrange leurs affaires, Souta et Chloé comatent sur le sofa. Une sonnerie interrompt leur quiétude temporaire. On repart pour un tour. Noriko, nue, va ouvrir et se retrouve devant un petit type tout moche en costume de majordome, nez crochu, chauve, monocle sur l'œil. Il lui tend un plateau en argent garni de trois assiettes sous cloches, chope et saucière vide. un petit mot est glissé là. Sans un mot le type s'en va après l'avoir matée tant qu'il pouvait. Noriko revient, pose le plateau sur la table basse et déplie le bout de papier. Elle éclate de rire. Non mais c'est pas vrai, ils sont complètement cons!

"Hey regardez! Faut croire qu'on m'trouve trop maigre!" Elle se tourne vers l'écran. "Hé les copains, si vous voulez me voir bouffer du sperme, il peut directement me gicler dans la bouche hein."

De son côté Chloé grogne que c'est bien qu'on ai pas besoin d'elle et part s'enfermer à la salle de bain. Juste avant, Noriko en profite pour se passer un coup sur le visage, arranger ses mèches, rehausser ses lèvres d'une touche de rouge à lèvres et ôter de sa peau tout ce qui peut ressembler à un truc du genre séminal.

A son retour, elle passe ses vêtements qu'elle vient de lisser et va s'asseoir  à la grande table qui occupe tout un pan de la pièce.
Elle prend son air de bourgeoise chiante le plus convaincant et claque des doigts.

"Garçon!"

Bon, le dernier défi... La dernière ligne droite avant de pouvoir enfin souffler et se détendre. Autant physiquement que mentalement après tout ce qu'on vient de devoir faire pour une bande d'inconnus à la curiosité et la perversion trop fertile.

Cette fois il va falloir jouer sur la quantité au lieu de la qualité. Quitte à me transformer en éjaculateur précoce pour nous faire gagner le plus facilement et rapidement possible ce jeu débile qui, je dois l'avouer, me plaît quand même un peu.
Avec tous ces échanges j'avais fini complètement à poil moi. Du coup une idée débile me vient à l'esprit en quittant le canapé qui a déjà vu le cul de Chloé s'échapper et se réfugier dans la salle de bain. Je ramasse une des deux serviettes des filles et m'essuie rapidement le torse et les bras de la sueur qui coule dessus pour repérer mon haut que j'enfile rapidement avant de me rendre auprès de Noriko qui vient de m'appeler comme on le ferait pour un serveur.

- Oui, madame ?

La serviette pliée sur le bras qui l'est aussi en formant un angle droit, je ne porte que mon haut comme seule fringue. Ma bite toujours aussi dressée et au gland humide se présente à quelques centimètres de son visage.

Je me penche alors légèrement en avant pour tendre le bras et me saisir de la première cloche que je soulève et soupire de soulagement en voyant que je ne me suis pas trompé de plat. Il s'agit d'un simple oeuf coupé en plusieurs morceaux et couvert de mayonnaise.
Si ça se trouve ce plat n'a pas besoin de "sauce" supplémentaire.

- Permettez ?

A l'aide d'une pince que l'on utilise pour servir les clients, j'attrape un bout d'oeuf froid que je dépose juste derrière mon gland que je présente rapidement à ses lèvres. L'exercice s'annonce plus compliqué que prévu, même pour une gourmande comme Noriko. Elle va devoir ouvrir sa petite gueule encore plus grand pour y parvenir et cela lui prend plusieurs essais.
La faute à ma bite trop large et au bout trop gros. Heureusement sa maîtrise parfaite de sa langue nous aide à passer le premier bout.

Pour les morceaux suivant nous opteront pour une stratégie différentes en les coupant en plus petites part et en les étalant sur ma queue qui se transformera presque en banane à cause du jaune le temps qu'elle vienne me le nettoyer.

J'en profite pour lui faire me pomper la queue sans me servir de mes mains. Seules mes hanches remuent entre ses douces et chaudes lèvres pendant quelques minutes. Etant donné que je n'ai pas à me retenir ou à faire durer les choses je me saisis de la saucière plusieurs secondes avant de sentir l'orgasme arriver pour me libérer de sa bouche et placer mon gland violacé au fond de l'objet en porcelaine pour commencer à me décharger et le remplir d'un seul essai.

Non, cela risque même de déborder. Dans un étrange mouvement, je me contorsionne pour poser la saucière avec ma bite toujours dedans pour saisir la choppe dont je colle le dessus pour parvenir à y glisser ma queue sans salir la table et en remplir un tiers.

La chose semble plaire aux internautes qui se demandent où est Chloé. Ce qui fait sourire l'asiatique qui appelle sa copine.

"Serveuse, venez donc aider votre collègue à remplir mon verre, je vous prie. Je meurs de soif et... il est déjà vide."

Enfin, la choppe se vide d'une traite car elle en engloutit le contenu d'une traite. Comme s'il s'agissait d'un simple verre de lait.
Sans attendre la réponse de Chloé, je me penche une nouvelle fois, le gland dégoulinant de sperme cette fois, pour lever la seconde cloche pour dévoiler un plat de spaghettis.

"Le service est déplorable, il serait temps que vous y remédiez !"

Noriko n’a même pas besoin de se forcer pour paraitre désagréable, c’est la manière naturelle qu’elle a de réagir quand quelque chose ne va pas. En bonne japonaise, elle tient au respect des traditions, surtout à table. Elle jette au serveur un regard lourd de reproches et désigne le plateau chargé de son repas. Elle espère au moins qu’en plus du délire des débiles qui les mate, la nourriture est bonne. Au vues de la qualité du plateau et des cloches argentées, il doit au moins y avoir du caviar au menu. Mais non, pouah … quelle déception, des œufs ! Des œufs tout misérables, tout simples avec de la mayonnaise en prime. Noriko n’aime ni les œufs, ni la mayonnaise, il va falloir faire du théâtre. Elle lève des yeux emplis de désespoir vers Souta. Souta, à poil avec seulement son haut et sa serviette sur le bras. Le parfait petit serveur sauf qu’il ressemble à tout sauf à un gentil serveur. Il tente de se faire passer pour un professionnel du métier et heureusement arrive à dérider la jeune femme. Elle retient même un rire et se plonge dans la contemplation du sexe dressé devant son visage.

"Oui oui, bien sûr, faites donc !"

Elle manque réellement exploser de rire quand Souta, à l’aide d’une pince, pose délicatement un bout d’œuf sur sa tige et lui présente.

"Mmmmff " Pas facile, c’est un petit format Noriko et elle n’a pas forcement les capacités orales de Chloé même si elle s’en sort généralement avec succès. Elle ouvre grand la bouche en tirant la langue et y loge le gland de Souta qui occupe tout l’espace. Le bout d’œuf manque tomber et elle le rattrape in extremis du bout de la langue en penchant la tête avant d’aspirer très fort pour arriver et le happer lui aussi. Au passage, un petit va et vient gratuit du sexe jusqu’à sa glotte avant de le retirer et de se lécher les lèvres.

"C’est déjà mieux. La suite !"

La suite est prévisible, les morceaux étalés disparaissent l’un après l’autre dans des bruits de succions de plus en plus sonores. Une fois qu’elle a tout bien aval, Noriko donne un coup de langue tout le long de la queue raide avant de l’engloutir non sans forcer sur les derniers centimètres. Sa gorge est étroite et Souta l’aide en donnant des coups de bassin pour mieux l’investir. Quand elle arrive à serrer ses lèvres autour de la base, elle est satisfaite et laisse échapper un petit gloussement de joie humide noyé dans sa salive. La fellation qui suit n’est que du bonus mais elle s’applique à lui faire sentir qu’elle aussi sait se servir de sa bouche. Le résultat est concluant puisqu’il se vide dans la saucière comme un trop-plein qui déborde.

"Wow !! Putain ! Mais t’arrêtes jamais ?"

Elle se reprend.

"Euh … merci mon brave, je n’en attendais pas moins" (non mais alors vraiment pas).

En bon professionnel, Souta tente de lui servir à boire. La taille de la chope est incongrue. Le jeune homme se démène. Merde, en fait, il est tordu lui aussi. Noriko se promet de récupérer son numéro. Y’a deux ou trois trucs qu’elle voudrait essayer avec lui. Mais pour l’heure, les spectateurs qui sont sans pitié réclament Chloé qui doit revenir quand elle l’appelle.

La jeune femme a l’air d’avoir repris du chien même si Noriko remarque que sa démarche n’est pas aussi fluide qu’au début de l’exercice. Bah … elle a l’air de se remettre, elle fait pas la gueule. Chloé entre dans le jeu, le fait que ce soit le dernier défi booste tout le monde.

"Bien sûr madame, tout ce que vous voulez. Et pour vous remercier de votre présence, la maison double et offre la boisson. "

Chloé s’assure que la saucière soit bien vide avant de poser la chope devant Noriko. Elle est bien pleine de sperme. Le fluide épais tremblote dans son contenant. Noriko incline la tête en guise de remerciement, se saisit de son défi et le porte à ses lèvres en faisant face à l’écran. Elle boit goulument, salement, en insistant bruyamment sur la déglutition marquée. Elle ne s’arrête que quand il ne reste que quelques gouttes qu’elle vient chercher du bout de l’index avant de le porter à ses lèvres.

"Délicieux ! Dommage qu’il n’y en ait pas assez ! Que me proposez-vous maintenant ?"

Souta découvre à présent une assiette de spaghetti. Putain ! Ces abrutis ont vraiment des goûts de chiottes.

"Oh !! Des spaghettis ! Quelle bonne surprise mais ils ont l’air un peu secs non ?"

"Ne vous inquiétez pas, nous avons en la personne de ce monsieur le meilleur saucier du monde, il saura vous comblez. Si vous permettez encore…"

Chloé se sent vraiment conne enroulée dans sa serviette à jouer la pétasse de service. Elle masturbe un peu Souta avant de plonger sa queue dans la masse de pâtes. Oups désolée ! C’est chaud ! Pas grave, c’est sa petite vengeance. Elle le branle un long moment dans le plat de bouffe jusqu’à ce qu’elle sente l’urètre gonfler sous ses doigts.

"Ca ne va pas être long …"

Aussi étrange que cela peut paraître vu de l'extérieur, la chaleur des pâtes me fait un bien fou au gland qui a été mis à rude épreuve durant toute cette soirée. J'aurais été plutôt poussé à croire que foutre ma queue dans un seau de glaçons aurait été plus efficace. Comme quoi, j'avais tort. Les deux doivent être aussi efficaces l'un que l'autre.

Ma main libre se glisse alors dans le dos de Chloé pour venir lui saisir un sein que je caresse doucement pour continuer de me mettre à l'aise alors qu'elle ne se gêne pas pour me branler aussi vite qu'elle le peut. Ce mélange de sensations associé au fait de me retrouver dans cette étrange position et de ce scénario farfelu ne me demandera pas longtemps avant de lâcher la sauce. Un terme qui ne saurait être plus adéquat aujourd'hui.

J'ignore si c'est la succession d'éjaculations qui est responsable de cette énième surprise. Ceci étant, mon sperme s'écoule doucement de mon urètre pour remplir son assiette sans s'arrêter. Je me vois alors forcé de reprendre sa choppe pour la remplir aux trois quarts en prenant soin de ne pas en mettre à côté ou en faisant un geste maladroit de toute autre nature.

Et là... pour la première fois de cette soirée, ma queue commence à montrer des signes de faiblesse en devenant légèrement molle. Sans pour autant perdre en épaisseur ou en longueur. Ce qui est déconcertant pour tout le monde je pense. Un détail qui, d'ailleurs, dérange plus Noriko que moi à en juger par sa demande. Avant d'attaquer son plat, l'asiatique demande à son amie de remédier au problème.

"Ma chère, pouvez-vous aider votre collègue à retrouver tout son entrain ? Il pourrait en avoir besoin pour le dessert."

A cette pensée, ma bite se met à tressauter. Me provoquant une brève mais vive douleur au passage. Le contrecoup du médicament commence à se montrer et si ce n'est qu'un début, alors je risque de bien douiller demain.

Je m'éloigne de la table en effectuant deux pas en arrière et me penche vers Chloé pour lui demander si elle peut faire gaffe de son côté. Au point de ne plus sentir ma jambe blessée du tout.

- Tu peux y aller doucement, s'te plaît ? Le médoc fait moins effet et ça commence à tirer un peu.

Vu le tempérament de Chloé au terme de sexe, ma demande est peut-être tombée dans l'oreille d'une sourde. J'en arrive même à me demander si elle a déjà sucé un mec sans chercher à aspirer sa queue de toute ses forces ou en remuant dans tous les sens. Il reste plus qu'à croiser les doigts... et les couilles.

Oh? Souta en difficulté. Depuis qu'elle l'a rencontré, Chloé n'a encore pas put voir son partenaire faillir ou faiblir d'aucune manière. Elle a bien senti le changement de consistance du sexe qu'elle serre entre ses doigts mais n'y a pas vraiment fait attention jusqu'à ce qu'il demande de l'aide. Le sourire qu'elle affiche est carnassier tandis qu'elle s'imagine mordre à pleines dents ce qui l'a ravagée l'exercice précédent. Ses fesses lui font mal, tout son corps lui fait mal. Leurs tortionnaires virtuels s'en sont mis pleins les yeux et Souta n'a pas lésiné sur la brutalité. Des trucs hardcore, elle en a fait mais cette partie là éclipse tous ses antécédents. Heureusement au final que Noriko a put encaisser un peu aussi.

Noriko la regarde d'ailleurs et lui souffle du bout des lèvres.

"Allez, un dernier effort et on se barre de ce bordel."

Oui c'est vrai, ça se termine, ils arrivent au bout, juste encore un peu tant soit que Souta ai encore quelque chose en réserve. Une palpitation entre ses cuisses la tire de ses pensées et Chloé sent quelque chose couler le long de ses jambes. Elle affiche un rictus et ne voulant pas imaginer ce que c'est, tombe à genoux. La serviette qui l'entoure se tend sous l'effort de cette poitrine qui ne demande qu'a se libérer et ne parvient à rester en place que tenue par les tétons de la belle.

De son côté, Noriko croise les jambes en se décalant un peu, décidée de ne rien rater du spectacle à venir. Question fellation, elle n'est pas une débutante mais Chloé a toujours eu la primauté dans cette activité là. C'est pas juste, elle est juste née avec une bouche trop petite. Un bip sonore indique un message sur l'écran. Quoi? Qu'elle mange ses spaghettis pendant que Chloé suçe Souta? Mais...c'est nul, c'est quoi encore ce délire. Un gros porc va tripper en la voyant aspirer des pâtes? N'importe quoi ... mais bon ben en avant.

Nez à queue avec le sexe de Souta, Chloé le branle toujours en espérant le faire repartir un peu comme ça. Après son immersion dans l'assiette, il est tout chaud et collant et sent l'amidon. Il est rouge d'avoir trop forcé et des petits vaisseaux ont éclaté sous la peau ramollie. Elle lève les yeux sur le visage de celui qui l'a martyrisée puis d'un coup referme sa mâchoire sur sa victime. Trop fort mais elle s'en fout, il lui a fait mal à elle aussi après tout. L'entourant de ses bras bien dessinés, elle le tire tout contre elle en prenant bien soin d'imprimer sa dentition sur chaque centimètre carré de sa queue.  Un crocodile n'aurait pas fait mieux. L'engin reste néanmoins massif et il lui faut bien à un moment passer le goulet de son cou pour aller plus loin. La fellation devient gorge profonde, passant de la morsure à une longue descente soyeuse dans son œsophage. Experte, elle joue à comprimer les muscles de son cou autour de l'amas de chair tout en gargouillant et salivant en abondance. Elle le sent tressaillir. Se calant bien entre les jambes du jeune homme, elle ouvre grand la bouche et entame, la tête bien en arrière un long jeu de va-et-vient, gobant de bas en haut la virilité de Souta jusqu'à ce que ses lèves viennent s'écraser contre les bourses malmenées. Quelques minutes à ce jeu là et peu de progrès sont constatés. Chloé grogne d'irritation, quoi c'est tout? Pas plus? Ses douleurs oubliées, elle se cale mieux, bien à genoux et toujours sans utiliser ses mains offre à Souta une pipe d'anthologie, aussi brutale qu'il l'a été, sans limite quand à la profondeur, elle l'avale entièrement à chaque bouchée. Elle y va fort, son front heurte les abdos de son partenaire à chaque succion.

Noriko trouve ça limite obscène. Outre les bruits évidents que la fellation génère et les torrents de salive qui filent et balancent du menton de Chloé, la scène en elle-même parait sale et ... too much. Sa copine s'acharne violemment sur cette queue énorme et Souta grogne presque aussi fort que sa tortionnaire.

Alors qu'elle éjecte le sexe de sa bouche, Chloé crache dessus avant de le lustrer d'une rapide branlette avant de le gober à nouveau, puis encore, puis encore et encore ...

Il est surprenant se dit la jeune asiatique, que malgré ce traitement, Souta ne se soit pas répandu directement dans le ventre de l'affamée, qui maintenant a à nouveau avalé ce braquemart qui lui déforme le cou.

Le contrecoup de ce médoc se fait sentir un peu plus à chaque seconde. Enfin, je suis pas certain que ce soit le médicament en lui même qui pose un problème. Le fait de m'être tapée deux nymphos insatiables doit clairement jouer sur ce qui est en train de m'arriver en ce moment même. Enchaîner les éjacs massives à répétition était excitant au possible pour nous trois. Reste cependant à en payer le prix en nature.

A la seconde où je vois un large sourire déformer le visage de Chloé, je ne peux m'empêcher d'avoir la chair de poule me parcourir sur les deux bras car je sens que cette garce me prépare un sale plan. On se connait depuis peu et pourtant je pense commencer à cerner la bête. Et je ne me trompe pas vu qu'elle s'amuse à laisser volontairement traîner ses dents sur ma peau sensible. Non, hyper sensible sur le moment.
Réunir toutes mes forces est indispensable pour ne pas lui choper le crâne par les cheveux pour la faire aller dans l'autre sens. Ce qui pourrait être, d'ailleurs, une mauvaise idée car elle serait probablement capable de continuer à égratigner ma peau au passage pour faire comprendre davantage son envie.

- Urrrrgh ! Puuuuutaaaiiiinnn !

En plus d'être plus sensible que la normale au contact direct, la peau de mon sexe l'était également au changement de température. Déjà brûlante de base quand elle est en pleine érection, les effets secondaires du médicament me donnaient l'impression qu'elle était en faut avant de se faire gober par cette salope aux cheveux roses. Le fait d'être désormais dans sa bouche devient donc presque rafraichissant. Ce qui perturbe encore plus vu que la bouche d'une femme est supposé être l'inverse. Et ma trique n'est pas insensible à cet étrange phénomène. Ou alors c'est mon cerveau qui refuse d'imprimer ce changement pour plusieurs minutes.

Quand un homme se soulage suite à un orgasme, il peut devenir insensible pendant quelques instants avant de pouvoir repartir. A en juger par ce qui se passe en ce moment, le problème dure un peu trop longtemps au goût de Chloé et ça se comprend. Elle y met clairement du coeur en se déformant la gorge avec ma queue qui persiste à rester en mode semi molle. Pourtant je sens quelque chose quand sa salive vient la recouvrir et que mon appendice trempe dedans.
La voir s'étouffer d'elle-même sur ma bite est agréable psychologiquement, mais sans avoir l'effet désiré physiquement. Le plaisir est pourtant présent vu que je ne peux m'empêcher de gémir, voir de grogner quand elle gobe chaque centimètre de sa sucette préférée.

Alors que Chloé repart de plus belle dans une nouvelle succession de coup de tête sur mon pubis, je pose ma main sur sa tête en lui demandant de calmer le rythme.

- Attends ! T'y vas trop fort !

Ma bite réagit bien à ses caresses répétées, mais quelque chose l'empêche de retrouver toute sa vigueur. Comme si mon corps faisait un pas en avant et deux en arrière dans la foulée. J'ai une petite idée à vérifier et cela devrait surprendre ma partenaire vu qu'elle ne semble pas pratique la chose de cette façon.

La main collée sur son crâne, je recule les hanches pour faire ressortir mon chibre jusqu'au gland lentement. Puis je repars dans l'autre sens en laissant durer le plaisir. Retourner dans sa gorge me demande bien 5 secondes au lieu d'une seule quand c'est elle qui s'en occupe.

- Montre-moi ta langue une seconde.

J'attends qu'elle le fasse et j'en profite alors pour me frotter le gland dessus un bref instant pour repartir lentement dans sa bouche qui reste grande ouverte. A force de baver en abondance sur moi tout à l'heure, il reste encore de son lubrifiant naturel dans un coin de sa bouche. Je pars alors dans sa bouche pour le récupérer au passage et ressort aussi lentement que j'en suis entrer.

Au bout de quelques secondes, je sens que cela fonctionne. C'est donc tout naturellement que je lui demande de refermer les lèvres sur ma queue pour garder le rythme que j'ai initié. La sensation de ses douces lèvres humides qui étalent sa propre salive dessus a un effet curatif sur mon corps. Le traumatisme que j'ai subis à force d'enchaîner les orgasmes nécessite que mon membre soit traiter avec un peu plus de délicatesse pour lui laisser le temps de traiter les informations.

Petit à petit, ma bite retrouve sa vigueur dans le cocon chaud et apaisant de Chloé qui n'est plus en mode bouffeuse de bite comme elle en a l'habitude. J'espère juste que ça ne va pas se retourner contre moi vu qu'elle ne semble pas raffoler du fait d'y aller aussi tendrement en terme de cul. A la voir agir, j'ai compris qu'elle aime quand ça envoie et que ça tape dur.

De son côté, Noriko semble prendre tout son temps pour savourer son plat. Je décide donc de me poser sur le sofa pour reprendre mon souffle quelques minutes avant la dernière éjac qui risque de me mettre sur le carreau vu que je ne suis plus sous l'effet de la pilule magique.

Souta douille, et de l'entendre demander d'y aller mollo est ce qu'attendait Chloé depuis un moment. Depuis qu'ils se sont rencontrés, le garçon a toujours fait preuve d'une maitrise de son corps et de ses émotions, laissant assez peu transparaitre ce qu'il ressentait en réalité. Chloé en était arrivée à se demander s'il n'était pas un robot ou un truc comme ça. Mais là, ses dents faisaient effet et le sexe qu'elle avalait portait les stigmates de la souffrance. Volontairement, elle donna un ultime coup de dents mal placé jusqu'à ce qu'il décide de reprendre les choses en main. L'un comme l'autre avaient vraiment donné sur cette session et la fin était proche. Autant terminer sans bourriner.

Et c'est aussi l'avis de Souta. Il s'assure une prise sur sa tête et lentement pénètre à nouveau sa bouche mais en douceur cette fois-ci. Chloé se cale bien à genoux et pose sagement ses mains sur ses cuisses. Elle tire la langue dès qu'il le demande et le jeune homme prend le temps d'y glisser pour se lustrer. L'experte en fellations peut enfin refermer ses lèvres sur ce chibre martyrisé et entame une pipe d'anthologie qui pourrait même paraitre élégante. Sans utiliser ses mains, elle le suce divinement et toujours en allant très loin, jusqu'à la base du sexe, elle produit des succions destinées à extirper tout ce qu'elle pourra de lui. Un petit coup d'œil à Noriko qui mange ses pâtes en boudant et elle reprend en attendant le grand final.

Le membre de Souta grossit à nouveau sous ses efforts et Chloé va émettre un commentaire sympa quand le garçon s'affale en arrière sur le sofa.

"Nooonn mmmmmfffflll !!!"

Chloé suit le mouvement et s'empale la queue dans la gorge, décidée à ne pas l'abandonner. Elle fourre son visage entre les cuisses de son partenaire et reste comme ça, sans bouger. Ses mains ancrées aux genoux de Souta, elle reste agenouiller entre ses jambes, sa bouche hermétiquement fermée autour du sexe tendu. Rien au monde ne pourrait la faire bouger de là dorénavant. Si Souta tentait de s'extraire, il perdrait ses attributs dans coup de dents. La jeune femme pouvait aisément respirer par le nez aussi joua t'elle a contracté les muscles de sa gorge autour de la queue virile. C'était exécuté de manière professionnelle et bien que rien ne fut visible, c'est un rouleau compresseur qui molestait Souta. Il ne put tenir longtemps et dans une crispation que Chloé ne vit pas, il se déversa en elle du mieux qu'il le put. En terme de quantité, ce ne fut pas exceptionnel, par contre il vibra si fort que c'est elle qui faillit jouir à son tour. Elle le laissa faire sans bouger, il se vidait dans son œsophage et bien après, elle se retira enfin pour le regarder dans les yeux tandis qu'elle s'essuyait les lèvres du dos de la main.

Terminant son plat, Noriko eut cette analyse philosophique.

"Bordel, t'as failli jouir rien qu'en avalant!" Rien ne lui échappait.

"J'espère qu'elle valait le coup ta pièce à changer là."

Après tout, ils faisaient tout ça pour un putain de téléphone.

L'écran des spectateurs s'alluma. Une foule d'émojis minables tapant des mains apparut, résumant l'état d'esprit des gros dégueus qui avaient dû se branler tout au long de la partie. Ensuite une icône représentant une enveloppe apparut avec "Souta" marquée dessus. L'écran était tactile, le message était dédié au jeune homme, peut être des directives ou de nouvelles consignes?

Chloé et Noriko s'éclipsèrent dans la salle de bain laissant Souta gérer le reste. Elles prirent leur douche à deux.

"Je m'amuserais pas à ça tous les jours."

"Non c'est clair, putain, quelle bande de connards!"

"T'as morflé, ca va toi?"

"J'ai trop mal au cul, j'ai cru qu'il allait me casser en deux. A un moment, j'ai failli partir ..."

"Ouais j'ai vu, ensuite, tu l'as chauffé aussi ..."

Elles parlèrent quelques minutes et se savonnèrent en douceur. Leur peau était couverte de plaques de sperme séchées et elles galérèrent à se nettoyer les cheveux. Quand elles sortirent de la salle de bain, propre, sans maquillage et les cheveux humides reliés  en queue de cheval, Souta les attendait et l'écran était éteint.

"Alors? On fait quoi maintenant? J'ai envie d'une pizza."

"Ah non alors, sûrement pas ! Moi je rentre chez moi! J'ai assez bouffé ce soir!"

Ce que je craignais plus ou moins est en train de se produire. Ma dernière éjaculation, bien qu'aussi agréable que les précédentes maintenant que la douleur a disparue en grande partie, me vide complètement de l'énergie qu'il me restait. Surtout que la réaction de Chloé est aussi surprenante qu'excitante. Du peu que j'ai vu d'elle, c'est la première fois qu'elle me regarde de cette façon et qu'elle ne cède pas à la provocation sous quelque forme que ce soit d'ailleurs.

Dans un ultime effort pour garder un semblant de contrôle sur la situation je lui lance en souriant : "- Ouais ! Et il y a pas que ça qui valait le coup."

De tous les plans à trois auxquels j'ai eu droit dans ma vie, celui-là était clairement le plus étrange et mémorable du lot. Par contre je vais garder ce détail pour moi car on en a assez bavé je pense.

Les filles m'emboitent le pas pour repasser à la salle de bain et leur toilette prend tout logiquement un certain temps. Épuisé, limite sur les rotules, je m'avance vers l'écran en boitillant toujours avec ma jambe plâtré afin de récupérer la pièce qui sort d'un petit compartiment secret qui s'ouvre sous l'écran après plusieurs messages de félicitations et commentaires aussi sales les uns sur les autres sur moi et les filles.
Je pense que le salaud qui a organisé tout ça s'est fait un joli pactole.

Couvert de transpiration, de salive des filles et autres fluides, je prends une douche rapide derrière elle après leur avoir répondu.

"- J'suis pas le seul à avoir besoin de faire le plein on dirait. Par contre je vais juste prendre une douche rapide. Vous avez qu'à m'attendre à la voiture en bas si vous voulez pas rester ici."

Il ne me faut pas moins de 10 minutes pour en finir et retrouver les filles. Cette douche m'a rendu un léger regain d'énergie pour finir la soirée. Une douleur continu de me tirer un peu entre les jambes après avoir tiré sur la corde un poil trop fort ce soir. Ou alors c'est le contrecoup de la pilule magique. Autant je me suis amusé en profitant de la chose que les conséquences ne sont pas aussi joyeuses après.
Si c'est toujours comme ça je risque pas de m'y retenter régulièrement.

En plus de la pièce du portable, une grosse somme d'argent a été virée sur mon compte pour que je partage avec elle. Heureusement pour elles que l'argent n'a jamais été un souci ou une chose qui me fait envie. Sinon j'aurais pu les arnaquer facilement.
Une fois que je les retrouve, je les préviens de la chose en leur demandant comment elles veulent gérer la chose en entrant dans la bagnole.

"- Bon, ça c'est fait... On fait quoi du coup ? Moi j'ai besoin de prendre l'air là. Vous m'avez épuisé à un point. Je savais même pas que c'était possible."

Dans mon état physique je préfère pas prendre le volant et je doute que Chloé soit en meilleure condition que moi. Je me tourne alors vers Noriko pour lui demander si elle veut prendre le volant vu que de nous trois c'est encore elle qui a pris le moins dans tous les sens du terme.

Et je pousse même le vice en mettant en avant l'état de ma jambe pour passer moins tour de conduite. Par contre il faudra vraiment que je fasse un truc pour ça car je vais pas pouvoir tenir un mois avec une cheville dans le plâtre. Si on nous avait tendu une embuscade je n'aurais pas pu faire grand chose pour nous défendre après tout.
Les enculés c'est pas ce qui manque dans mon métier. La prochaine fois pourrait ne pas aussi bien se passer et vaut mieux mettre toutes les chances de notre côté pour survivre.

Payées comme des catins  pour un show! Souta leur a fait part de la somme que tous ont reçu. Bien évidemment on coupe en trois même si Noriko a estimé que les filles méritaient plus que le garçon après tout. L'asiatique a quelque peu perdu de sa bonne humeur. Trop mangée, fatiguée, elle n'hésite pas à prendre le volant après les jérémiades de Souta qu'elle tance en le provoquant sur sa virilité et son statut de mâle.

"Fais pas chier Nor! Ramènes nous chez moi s'il te plait."

Chloé est dans le même état que Souta. Elle se glisse à côté de lui sur la banquette arrière de la voiture et aussitôt partis, elle s'appuie contre le corps du jeune homme et s'endort la tête contre son épaule. Le trajet est long pour rejoindre le quartier résidentiel où vivent les Reynard. Noriko conduit prudemment. Elle a bu et se faire arrêter par la police serait une mauvaise idée, l'alcool au volant au Japon étant sévèrement réprimé. Les lumières nocturnes de la ville bercent leur retour et dans l'habitacle du véhicule, personne ne parle.

"On est arrivé!"

La voiture attend devant un énorme portail ouvragé. La propriété est grande. Toyota, l'employeur du père de Chloé, entretient grassement ses élites. Chloé émerge d'un sommeil lourd, les yeux bouffis. Elle baille, renifle, se gratte la joue et sort ses clés pour ouvrir le portail à distance.

" Déjà ... J'étais bien partie là."

Noriko remonte une allée bordée de massifs fleuris pour aller se garer devant le perron de la maison. La voiture de M. Reynard est garée là, à côté de la Nissan GTR de Kelly, la sœur ainée. Les trois comparses débarquent, l'air et frais et Chloé frissonne. Elle tape un code au clavier tactile de l'entrée et la porte s'ouvre silencieusement. Une lampe est allumée sur un guéridon, dans le salon.

"Oh ... Papa, Kelly, coucou! On ... était en soirée avec des amis et ... je vous présente Souta, un copain qui s'est fait mal récemment. Il habite loin et je ne voulais pas qu'il rentre tout seul chez lui."

Le père de Chloé et sa soeur les regarde d'un air narquois. Ils sont assis dans les fauteuils en cuir du salon, autour d'une petite table sur laquelle sont posés deux verres de whisky. M. Reynard est un homme massif qui inspire le respect. Il a tout du dirigeant impitoyable qui dirige ses services comme sa famille d'une main de fer. Mais avec ses filles, c'est un vrai papa poule même s'il verrouille Chloé assez durement quand c'est nécessaire. Sa cadette est une source constante de problèmes qui le pousse parfois dans des colères noires. Il trouve qu'elle n'est pas assez mature pour sortir comme elle le fait et que ses fréquentations sont douteuses. Tout comme celle de Kelly d'ailleurs, mais à elle, il ne dit jamais rien. Kelly a un caractère bien affirmé et n'est pas du genre à se laisser faire.

"Il est tard Chloé! Ce n'est pas une heure pour rentrer! Tu peux m'expliquer ce qui vous est arrivé?"

"Ben ... quoi?"

Chloé se voit enfin dans un miroir de l'entrée.

"OOhhh ...."

Ils ne ressemblent à rien. Essorés, défaits, des cernes sous les yeux, les vêtements froissés.

"Euh ... non y'a rien, t'inquiète pas! On va dormir! Je vais installer Souta et Noriko dans les chambres d'amis!"

Dans son costume élégant, M. Reynard se retient de faire une remarque acerbe puis secoue la tête en soupirant. Kelly non plus ne sourit pas, elle se méfie de tous les mecs que ramène Chloé à la maison. Elle est sexy dans ses cuirs! Pourquoi son père ne lui dit jamais rien?? La sœur ainée de Chloé dévisage Souta. C'est la deuxième fois qu'elle le voie. Elle lui murmure un truc qu'il ne peut pas entendre avant de reprendre son verre.

"Venez!!"

Chloé tire ses amis par la main et grimpe l'escalier en courant pour les mener à l'étage. La maison est spacieuse, les parents ont leur propre espace, les filles le leur.

"Noriko! Tu connais ta chambre! A demain! Bonne nuit!"

Chloé , tenant toujours Souta par la main, l'entraine plus loin dans un large couloir jusqu'à la porte de sa chambre. Elle chuchote.

"Pas question que tu dormes ailleurs qu'avec moi!"

La suite de Chloé est cozy, luxueuse, rien n'y manque. La chambre avec un lit king size magistral, un dressing aussi grand qu'un petit studio, une salle de bain de princesse avec un jacuzzi. Rien ne manque! L'ouragan Chloé s'est réveillé. Les vêtements volent dans la pièce, son sac aussi, elle court à la salle de bain et en ressort lessivée, naturelle.

"Fais comme chez toi Souta!! C'est pas comme ci on se connaissait pas maintenant hein."

Elle se marre et se glisse sous sa couette.

"Tu viens? Mais ... on baise pas ok? Faut vraiment que je dorme là."

L'instant d'après, elle dort ....

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Bien plus tard dans la nuit ....

La porte de la chambre s'ouvre et Kelly se glisse dans par l'entrebâillement de la porte. Elle a longuement parler avec son père cette nuit. Projets, famille, boulot, tout y est passé. La bouteille de whisky est vide. Kelly est bien différente de Chloé, plus grande, plus athlétique, plus nerveuse. Elle s'approche du lit, côté Souta et regarde les tourtereaux dormir. Dans ses vêtements de cuir, elle pourrait paraitre très gangsta et son regard froid incite à la prudence. Souple, elle monte sur le lit et s'agenouille au dessus de Souta. Chloé est une souche, elle ne se réveillera pas. Kelly tire les draps pour exposer le corps du garçon. Elle lui empoigne le sexe de sa main gantée et le masturbe fermement.

"Hey le bad boy, tu dors?"

Son haleine sent le whisly.

De nous trois c'est clairement Noriko qui a moins souffert durant cet échange perpétuel de fluides et autres gestes brutaux dans ce grand appartement. Lui laisser le volant semble clairement être une bonne idée vu que Chloé ne met que quelques temps à s'écrouler tandis que j'admire le paysage en silence en faisant de mon mieux pour rester éveillé. La fatigue et la douleur sont deux choses que j'ai appris à supporter et gérer au fil des années. Excepté qu'elles sont toutes les deux plus vivaces et pénibles lorsqu'on relâche son corps et son esprit.

A ma grande surprise nous finissons tous les trois chez Chloé, ce qui n'est pas plus mal dans le sens où ça nous évitera un trajet supplémentaire ou deux. C'était du moins ce que je me suis dis avant de voir que notre entrée nous conduit à retrouver sa sœur une seconde fois en plus de son père.

En temps normal je me serais présenté et j'aurais même intercédé en la faveur de celle que j'accompagne vu qu'elle m'a clairement aidé et que je suis en bonne partie responsable de son état actuel. Excepté que l'occasion ne semble pas vouloir se présenter.
Tout ce que je peux dire c'est que son paternel à la même "odeur", ou "aura", que certains de mes patrons et clients. Je serais pas surpris d'apprendre qu'il trempe dans des deals pas nets ici et là.
Noriko semble aussi mal à l'aise que moi car on ne sait ni si on doit intervenir, ni même où se mettre le temps de leur échange. Et pourtant elle doit bien connaître la famille vu comme elles sont proches.

Crevé ou pas, ma première réaction est de jauger les actions des personnes présentes, de voir la disposition de la pièce et d'envisager tous les scénarios possibles et imaginables. Jusqu'à ce que je surprenne sa sœur aînée à parler dans sa barbe en regardant dans ma direction.

La micro-sieste semble avoir rendu assez d'énergie à notre hôte vu la façon dont elle grimpe les marches de l'escalier qui mènent à l'étage supérieur. Il ne faut pas plus de quelques secondes pour nous séparer de Noriko afin de poursuivre notre route encore quelques secondes.
La vache ! On pourrait héberger un village entier ici en se serrant un peu. Et encore, pas sûr que ce soit nécessaire. Cette envie d'avoir des baraques géante reste un mystère pour moi. Son vieux aurait un vide si énorme à compenser que des bagnoles de luxe ne suffirait pas ?

Un frisson me parcours alors le dos quand Chloé parle de dormir ensemble. N'importe quel autre jour j'aurais été content et aurait répondu avec un large sourire à ce genre de proposition. Sauf que là... J'espère juste qu'elle n'a pas d'idée derrière la tête.

Sans mentir j'aurais à peine le temps de visiter sa chambre, qui doit être plus grande que mon appart, pendant qu'elle termine de se laver une seconde fois. Si j'en avais l'énergie. Seul mon regard et mon esprit vagabondent entre les murs de ce si vaste espace.

A sa pique, qui me provoquer un soupir de soulagement, je me contente de répondre d'un simple : "- Ouais !"

A mon tour je fais un saut rapide dans la salle de bain pour une toilette rapide. J'en sors nu comme un ver pour ne pas transpirer dans mes fringues que je vais devoir remettre le lendemain et file me glisser sous un drap pour me coucher et espérer récupérer de cette soirée de folie.

Le fait d'avoir pris cher semble plus me déranger que Chloé qui dort comme une marmotte. Son cachet m'a fait tirer sur la corde de façon répétée et j'ai légèrement mal quand je me tourne dans certaines positions, ce qui a pour effet de m'empêcher à trouver facilement le sommeil.

C'est alors que j'entends la porte s'ouvrir doucement. Vivre en permanence sur le qui-vive développe les sens et une prudence accrue la nuit. Mais ce que je prends pour un voleur semble être la frangine motarde qui vient m'attraper la bite en se tenant au-dessus de moi après avoir viré le drap qui me couvrait.

La douleur est subite mais supportable alors que je la regarde dans les yeux.

"- Faut croire que non. Par contre... Tu te rends compte que c'est pas ma main que tu serres là ?"

C'est de famille cette passion exacerbée pour le cul ? Je fais quoi si le père débarque et demande à rejoindre la fête ? J'suis venu pour pioncer. En plus la chaudasse de service qui m'a accompagnée toute la soirée a même montré l'exemple en s'écroulant en quelques secondes. Qu'es-ce que j'ai fait pour mériter ça ?

"- Ca t'arrive souvent de débarquer dans la chambre de ta sœur pour branler le mec qui dort à côté d'elle ? J'ai l'impression que c'est pas une grande première."

Pour le moment je ne fais rien de plus que lui répondre en évitant de parler trop fort. Pas de geste pour l'encourager avec mes mains, pas de sourire ou de soupir de plaisir suite à ses caresses qui sont aussi douloureuses qu'agréables. J'en arrive presque à envier ma condition qui m'empêche de bander aussi vite qu'en temps normal.

"- Par contre, pour revenir à ta question... Ouais, j'aimerais bien dormir. Même si ce que je vois est super tentant."

Si c'est de la baise qu'elle veut alors c'est vraiment mal tombé. On n'est pas en couple avec Chloé, on ne doit aucune justification à l'un comme à l'autre. Puis vu la façon que sa frangine à de débarqué sans gêne dans son pieu, je serais pas étonné d'apprendre qu'elles se tapent des mecs ensemble.

Sauf que là, je veux pas retourner voir le doc demain pour me faire examiner la queue en plus de la jambe.

"Ouais ca m'arrive souvent, et bien plus encore, t'imagines pas."

Kelly adopte le même ton que Souta et  même si elle vient d'un milieu aisé, ses fréquentations en font une fille qui a tout de la meneuse des bas-fonds. Son caractère bien trempé et sa passion pour la mailloche en font une castagneuse de première et sa place dans le gang de motard qu'elle côtoie est largement méritée.

Kelly branle le garçon comme si c'était la chose la plus naturelle qu'elle est jamais faite. Elle n'a aucune attirance pour lui seulement, elle a bu, et elle a envie de sentir l'odeur d'une queue. Il tombe à point nommé. Qu'il accompagne Chloé n'est pas un problème. Ce n'est pas le premier mec que sa sœur ramène et la maison, et ce n'est pas le premier non plus qu'elles vont partager.

"Quoi? je suis pas assez bien foutue pour toi? Tu préfères les nibards de ma sœur?"

C'est vrai que de ce côté là, Chloé est imbattable. Mais Kelly a pour elle un corps dessiné et athlétique qui en fait baver plus d'un. Mais ne sachant pas ce qu'ils ont fait de leur soirée, Kelly ne peut pas savoir que les deux tourtereaux sont vidés.

"M'en fous que tu veuilles dormir, j'ten empêche pas. Ce qui m'intéresse c'est ta queue avant tout."

C'est obscène. Reynard père s'étoufferait s'il entendait ça de la bouche de sa fille aînée. Celle-ci s'acharne d'ailleurs sur le pieu de Souta qui à la peine.

"Merde .... T'es impotent? T'as un problème?"

Kelly n'en dit pas plus et plonge sa tête entre les cuisses du garçon. Les pipes, c'est son truc. Avec ses techniques, Chloé peut aller faire un tour ailleurs. Kelly gobe d'un coup le membre flasque de Souta sans qu'il aille pour autant jusqu'au fond. Elle l'inonde de salive et s'applique à laisser sa langue explorer chaque millimètre de sa peau irritée. La grande sœur se cale mieux et passe ses bras sous les fesses de Souta pour l'enserrer et se le garder bien en bouche. Pour s'aider, elle glisse un doigt dans la raiee des fesses du garçon pour lui titiller l'anus. Même s'ils l'avouent rarement, les mecs sont aussi sensibles que les filles de ce côté là et Kelly sait y faire. Le mollusque dans sa bouche n'a pas l'air de vouloir se raidir et ça l'énerve. Elle glisse ses mains le long dur torse musclé du garçon pour venir exciter ses tétons alors qu'elle accentue sa fellation. Les coups de tête qu'elle donne écrase les boules de Souta contre son menton alors qu'elle inonde son entrejambe de salive. Elle se démène et parvient à avaler une partie de la demie molle. Elle joue des muscles de sa gorge pour le compresser avant de le relâcher.

"Tu sais que tu pourrais me baiser la gueule comme tu l'as jamais fait avant?"

Elle se barre le visage du sexe du garçon pour lui sucer les couilles alors qu'elle le regarde comme une mante religieuse mate un criquet. Le whisky devait être corsé.

L'entendre aller dans mon sens en me permettant de m'écrouler et pioncer me tente presque. Dans un coin de mon esprit je me mets à penser à quelque chose de complètement inutile. Est-ce vraiment amusant ou excitant pour une femme de se taper un mec endormi ? D'un point de vue physionomique, on bande sans même avoir besoin de stimulation le matin. Dans le cas de figure où on ne s'est pas fait vidé par une nympho et sa copine.
Alors que nous, la majorité des mecs, ça nous tente pas une seconde de se taper une nana qui ne bouge pas. Bon, à part les tordus et les violeurs qui doivent avoir un penchant nécrophile refoulé. La nana bourrée ou incapable de bouger durant la baise ça enlève tout son intérêt à la chose. C'est pas pour rien qu'on dit que ça se fait au minimum par deux. Les plans à 1 et demi, non merci !

"- Un problème ? Techniquement... non."

M'être fait vider les couilles par ta salope de frangine et sa copine buveuse de sperme ne compte pas vu la situation. Quand un mec a mal à la bite à cause d'éjaculations répétées, repartir peut être aussi long que douloureux.

En tout cas elle en veut et refuse de se barrer sans avoir obtenu ce pour quoi elle est là. Je pense que mon cerveau a développé une sorte de blocage temporaire pour que je ne me mette pas à bander avec elle pour éviter de souffrir encore plus après.
Sauf que mon cerveau n'obéit pas toujours à la logique du moment. Avoir entre les jambes la frangine aussi affamée de bite de Chloé a un charme certain.

Je me laisse faire en appréciant son massage buccale. Sa salive a un effet curatif sur ma peau sensible étant donné qu'elle y va tranquillement pour le moment. On est loin de Chloé l'acharnée qui prend le risque de se briser le nez à chaque mouvement de tête.

"- Suce au lieu de causer !"

Histoire d'avoir une position plus profitable j'attrape l'oreiller derrière ma tête et le place de façon à pouvoir le caler au niveau de mon dos pendant que je me redresser après avoir passé ma seconde main derrière le crâne de Kelly pour lui coller la face contre ma queue et mes couilles couvertes de bave.

Une fois en place, je me penche en avant pour approcher mon visage du sien. Pas pour lui rouler un patin, non. Ma main lâche son crâne pour venir caresser son gros cul moulé dans son bas en cuir. J'ai pas vu la mère, mais les gênes dans cette famille ont réalisé des miracles sur ces deux-là.

"- Commence par me faire bander avant de vouloir t'étouffer avec."

Désormais partant pour m'occuper de la frangine, il ne me faut pas longtemps pour relancer la machine. Je l'observe attentivement sans interagir plus que ça avec elle au niveau des remarques. Je laisse simplement glisser mes mains sur ses épaules et son cul par moments. Quand l'une d'elle ne vient pas vérifier la taille de ses obus qui sont loin d'être négligeables.

Alors que ma pleine érection commence à prendre forme, je pose ma main derrière sa tête pour entremêler mes doigts dans sa chevelure. Là, j'effectue une première pression pour lui faire gober une partie de mon gros bout de viande rougeâtre et pulsant. Ma bite doit encore sentir le sperme et la cyprine après cette soirée mouvementée et humide à souhait.

Je bloque sa tête quand mon gland se frotte sur sa glotte et maintien la position pendant plusieurs seconde avant de relâcher la pression. Puis je recommence une seconde fois. Puis une troisième. Je veux la voir s'étouffer et recracher un tas de salive au passage. Qu'elle comprenne qu'elle aurait mieux fait de pas venir m'emmerder alors que je voulais juste pioncer.

"- Regarde ! T'as salopé le drap dans lequel je suis censé dormir. Viens là !"

A l'aide de ma main je l'amène à se poser le cul à terre sur un tapis qui vaut sûrement plus que tout mon mobilier en la positionnant le dos contre le rebord du lit. Je m'avance jusqu'à écraser ma trique encore plus brûlante et tremblante qu'il y a quelques seconde pour la forcer à la renifler et réaliser ce qu'elle va prendre.

"- Ouvre !"

Sans lui laisser le temps de se mettre à l'aise je glisse mon gland dans sa bouche à la recherche de sa gorge en posant un genou sur le lit pour me permettre de plonger davantage dans son œsophage. Elle voulait se faire baiser la gueule, non ? Pas besoin de la pilonner pour ça. Surtout que ma bite a clairement pas besoin de ça.

Seule ombre au tableau, cette salope bloque à la moitié, même quand je pousse de toutes mes forces pour y entrer.

J'aime profiter d'une bonne pipe pour diverses raisons. Or, dans le cas actuel, il s'agit surtout de pouvoir être suffisamment excité pour aller jusqu'au bout. C'est donc au bout d'une dizaines de minutes à me faire reluire le poireau que je lui demande ce qu'elle veut.

"- Je te remplirai qu'un seul de tes trous ce soir."

Déjà parce que j'ai pas la force et les réserves pour plus. Et aussi parce que la formulation de la phrase ouvre la porte pour remettre ça à l'occasion.

Ouais, un bad boy. Le genre de type que kiffait Kelly. Elle ne pouvait pas blairer les pince-culs cravatés attirés par son look particulier et qui couinaient dès qu'elle sortait la cravache.

Mais autant Kelly peut coller des pains, autant quand elle tombe sur un mec qui ne se laisse pas démonter, elle peut passer de traqueuse à traquée. Elle n'est pas conne. Si ce mec pieute dans le lit de Chloé, c'est qu'il l'a tringlée et qu'elle lui a attribué la mention "baisable". Elle a dû le vider ce soir et le pauvre gars doit encore s'en remettre. La grande sœur s'en fout, elle a bu et a envie de sentir un mec la monter, quelque soit la manière. Maintenant, elle n'est pas à l'abri d'une erreur d'appréciation.

Heureusement pour elle, et pour lui, Souta se redresse et semble décider de participer un peu. Elle le sent tâtonner pour venir lui chopper la tête et la presser entre ses cuisses. Oh? Gorge profonde? Pas bien compliqué vu qu'il n'est pas en configuration déboitage. Souta lui écrase le visage contre lui et ses boules collantes s'étalent sur le menton de la jeune femme. Elle le laisse faire, se contentant toujours de jouer de sa langue. Ses joues gonflent sous la poussée de la queue qui commence à réagir.

"MMMMMfff!"

Il l'explore de ses mains et palpe son cul, remonte  à ses épaules, serre ses seins qui même s'ils ne sont pas aussi monumentaux que ceux de Chloé, restent quand même honorables. Il s'est penché en avant et du coup lui verrouille la tête. Kelly se tord pour garder la position. Ses ongles glissent sur les côtes de Souta.

Un claquement flasque suivi d'un gargouillement indique que Souta vient de passer une étape. Son gland s'enfile de travers dans la gorge de Kelly qui hoquète. D'ordinaire, elle avale sans broncher mais la pression de traviole lui donne un haut-le-cœur qu'elle ravale avec peine. Le garçon recommence et elle s'adapte à ce qu'il veut. Quand il se retire, il ramène avec lui un flot de salive.

"Regarde ! T'as salopé le drap dans lequel je suis censé dormir. Viens là !"

"C'est le but non?"

Il ne répond pas mais se lève pour l'installer au bord du lit, simplement assisse, la tête en arrière, sur l'angle du matelas. Elle ramène vivement ses jambes sous elle et ouvre la bouche, excitée. Il se rue entre ses lèvres comme un taureau et elle l'accepte sans rechigner. C'est ce qu'elle lui a demandé après tout non? Souta pèse de tout son poids pour l'enfiler. Encore une fois, l'angle n'est pas le meilleur alors qu'enfin il se raidit.

"BBEEUUAAARRKKKK!"

Kelly ne peut pas se retenir, ses yeux s'agrandissent alors qu'elle tente de ne pas se répandre. Vite, elle attrape Souta par la taille et le tire de manière à ce qu'il se penche plus sur le pieu. Ses deux genoux encadrent la tête de Kelly qui glisse une main entre ses cuisses pour se caresser. La grosse queue lui écarte la gorge alors qu'elle se trouve réduite à être une bouche à pipe. Des flots de salive coulent le long de son cou qui enfle à chaque intrusion de Souta. Elle secoue la tête de gauche à droite, ouvre grand la bouche, cherche à ....

"GGaaaAAARKKK!"

Ca y est, les abdos de Souta pressent contre son front tandis qu'il l'a complètement investie. Ses lèvres de salope se ferment autour de la base du membre qui la baise. Elle fond de plaisir à se faire traiter de cette manière. C'est long, il prend son temps  et la défonce jusqu'à ce quelle tremble et jouisse sous la caresse de ses propres doigts.

"Je te remplirai qu'un seul de tes trous ce soir."

C'est Chloé qui répond à la place de sa sœur.

"Souta, tu veux pas gicler dans sa gorge? Elle vient de jouir là, t'as pas senti? J'ai besoin de dormir merde!"

Et de se recaler contre son oreiller en grommelant.

----------------

Le lendemain matin, les rayons de soleil filtrent à travers les volets de la chambre de Chloé. Elle s'éveille en s'étirant et baille à s'en décrocher la mâchoire.

"Tu fais chier Souta!"

Sa petite séance de baise nocturne s'était terminée de manière assez crade et Kelly s'était barrée de la chambre le ventre plein et en se marrant.
Chloé attend qu'il se réveille et quand il ouvre les yeux, elle lui demande tout de suite.

"C'est quoi la suite? Si il faut encore que tu baises, tu vas crever ..."

Si j'ai senti son orgasme pendant qu'elle me gobait la bite comme le ferait Kirby ? Non, pas le moins du monde. Entre la fatigue et l'envie de me débarrasser de cette affaire au plus vite mon cerveau a décidé de limiter son utilisation à certains domaines bien précis.

Le fait d'offrir un repas complet et bio à sa frangine m'a forcé à refaire un dernier saut dans la salle de bain parce que la dernière chose dont j'avais envie était de me retrouver avec les draps collés à la queue. Et ça il y a pas grand chose de plus désagréable quand on cherche simplement à rejoindre les bras de Morphée.

Au moins je sais désormais à quoi m'attendre si je mets de nouveau les pieds dans cette baraque.

Le matin arrive et j'ai l'impression d'être encore plus fatigué que la veille. Un peu comme reprendre le sport après une pause de plusieurs semaines. Les courbatures, la sensation de peser des tonnes car chaque membre semble attaché à des chaînes avec un boulet.

Le regard dans le vide alors que je fixe le plafond, il me faut presque que je rassemble toutes mes forces pour ne faire que répondre à Chloé.

- T'es une marrante, toi. Il me faut rien du tout. C'est ta soeur qui a pas pu se retenir de se jeter sur ma bite innocente. J'suis la victime ici. La victime !

Bon, okay, on a vu pire comme type d’agression je pense. Le fait d'en ajouter est surtout une preuve que je ne suis pas encore complètement hs. L'humour reste un excellent mécanisme de défense ou un moyen de détendre l'atmosphère.

- Pour ce qui est de la suite, j'suis bon pour un check-up chez le doc.

Je lâche un long soupire en tentant de me redresser jusqu'à ce que mon dos se colle de façon parallèle à la tête du lit géant.

- En temps normal j'aurais fait profil bas quelques semaines le temps de me retaper. Sauf que ce sera pas possible là.

Non sans peine je parviens à me lever pour quitter le lit en me dirigeant vers sa salle de bain qui risque d'être la pièce qui je vais visiter le plus souvent à ce rythme.

- J'ai besoin d'un bain pour me détendre les muscles avant de faire quoique ce soit.

Connaissant un peu la bête, il doit y avoir tous les produits possibles et imaginables dans sa salle d'eau. Le cul à l'air et le bout de viande un peu trop mis à contribution la veille qui se balance entre mes cuisses, je quitte la chambre et plonge dans la flotte chaude dans laquelle j'ai versé quelques sels de bain.
Faut jamais négliger les sels de bain. Ces saletés peuvent faire des miracles sur le corps humain.

La jambe blessée positionnée sur un rebord pour ne pas qu'elle prenne la flotte, je commence à me masser la cuisse et le tibia avant de me laisser aller en profitant, enfin, d'un moment de répit bien mérité.