Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto] [TERMINÉ]

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Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 30 vendredi 06 novembre 2020, 18:47:37

Tadéus ressentit une fierté certaine. La quintessence même de la beauté le satisfaisait de sa bouche pulpeuse. Le contact de ces lèvres autour de l'organe qui fut jadis sa virilité était une sensation grisante. Se sentir aspiré et .... désiré ? Il ne l'avait pas vécut depuis ... en fait l'avait-il déjà vécut ? Bien que la seule chose qu'il vit fut son ventre, il sentait entre ses cuisses la petite divinité s'efforcer de lui donner un plaisir incommensurable. Il avait déjà balloté brutalement lorsqu'elle l'avait enserré entre ses doigts. Lui même n'arrivait même plus à se toucher, il avait essayé un soir récemment et avait roulé hors de son lit. Il essaya d'imaginer son sexe entrant et sortant de cette bouche qu'il enviait depuis qu'il l'avait vue. Dans un effort titanesque, il parvint à se plier pour prendre la tête d'Alecto à deux mains et appuyer aussi fort que possible. Il y arriva un court instant mais suffoqua rapidement et se relâcha tel un pet d'ours fatigué. Il en voulait plus, il en voulait beaucoup plus. Ce serait peut être sa seule occasion de prendre cette déesse. Ah ! Quel cadeau Damascus lui avait fait !

"Plus fort, vas y plus fort, parle moi, dis moi à quel point tu te délectes !"


Il essaya de donner quelques coups de reins mais échoua lamentablement.

Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 31 vendredi 06 novembre 2020, 19:23:10

Quelque chose d’étrange chez Alecto la fit sourire, alors que sa bouche était déformée par la hampe qu’elle aspirait et faisait coulisser en rythme. Tadéus semblait en proie à des soubresauts emplis de plaisir, elle l’entendait grogner et râler comme une bête à l’agonie dès qu’elle plissait les lèvres contre sa chair, ou qu’il essayait vainement d’être acteur de leur étreinte.

La petite Esclave si douce ressentait pour lui une sorte de pitié, et le savoir heureux, une seconde, lui fit oublier combien il était une personne détestable et imbue d’elle-même. Il le lui rappela alors en réclamant des obscénités de sa part, ce à quoi la Corneille répondit avec une légère pression de sa main contre les deux boules molles qui pendouillaient contre ses cuisses, comme un avertissement, un danger imminent.

Enfonçant plus encore la hampe palpitant contre son palais jusqu’à sa gorge, à plusieurs reprises, elle accentua le son de ses soupirs quelques instants, sa main pressant bien plus son membre. Elle le ressortit de sa bouche dans un bruit de succion caractéristique, un filet de bave aux lèvres et obéit d’une voix chaude.

« Messire Tadéus va regretter d’avoir demandé plus fort, quand j’aurais avalé tout ton membre et son jus, je vais m’asseoir sur ton visage et tu mourras étouffé entre mes cuisses, noyé sous ma sève, que te prendre dans ma bouche me cause. Tu vas couiner, Messire Tadéus. »

Déclara la Corneille, métamorphosée, mais ne faisant en réalité, qu’obtempérer en tout point à ses demandes. Sans le laisser répondre, elle le goba à nouveau, l’aspira au fond de sa gorge et pressa si fort sa langue pour l’emprisonner que sa mâchoire craqua. Le rythme s’accéléra, de plus en plus vite, et de plus en plus intense, sentant le bulbe dur cogner son palais et être pris de spasmes caractéristiques. Elle donna un dernier coup de grâce en gémissant largement. 

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 32 vendredi 06 novembre 2020, 19:48:46

Pour Tadéus, ce fut une goutte, pour Alecto, ce fut un seau. Le torrent qui jaillit du gros homme avec la pression d'un geyser fut d'une rare intensité. Le mollusque échoué meugla jusqu'à la rupture de ses cordes vocales. Son bas-ventre en feu, il faisait un immense effort pour contenir les gaz qui lui gonflaient les entrailles. Violenté dans la gorge d'Alecto dont il avait ressenti les moindres recoins, il n'avait pu contenir longtemps son plaisir. Il râla et s'affaissa comme une outre percée. Il réussit néanmoins à agripper les cheveux de sa tourmenteuse pour la tirer à lui et contempler son oeuvre. Le tableau dégoulinant qui s'offrit à lui le ravit, au delà de ses espérances. L'envie de violer son intimité s'envola quand ouvrant la bouche pour parler, Alecto souffla une grosse bulle de sperme qui lui explosa à la figure. Ahhhh ... les petits plaisirs de la vie !

L'homme comblé se tourna vers un domestique qui avait assisté au spectacle. Le serviteur, bossu, se réjouit de son infirmité. Elle lui permettrait sûrement d'échapper à ce traitement, contrairement aux jeunes hommes de service au domaine.


"Sois un bon serviteur et ramène moi vite cent écus d'or. Cette noble dame a bien oeuvré pour les mériter !"

"Voyez à quel point ma générosité n'a point de bornes ma dame, sachez que ma porte vous est ouverte à tout moment, venez, approchez vous  que je vous lèche le visage."

Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 33 vendredi 06 novembre 2020, 20:40:56

Submergée par le liquide pâteux et âcre, Alecto ferma les yeux, sentant arriver sa propre délivrance alors que celle du Gras se répandait dans sa gorge. Son cœur battait d’un contentement excité, lorsqu’elle se redressait pour se laisser admirer par l’obèse chose gélatineuse qui suintait de sueur et peinait à reprendre une respiration.

L’œil vitreux avec lequel il l’observait la fit sourire avec une once, surnaturelle, de fierté. Avoir ce pouvoir sur quelqu’un n’avait jamais été quelque chose qu’elle recherchait, et jamais Alecto n’avait été sujette à ressentir cela. C’était nouveau et… grisant. Assurée, charismatique malgré son visage souillé, elle remonta sans broncher jusqu’au faciès adipeux du Collectionneur comblé et tendit sa joue.

« Vous êtes trop bon, Messire Tadéus. » Souffla-t-elle, subissant l’intrusion de sa langue sans frémir une seconde, et lui souriant avec une sorte de malice vicieuse au fond de la pupille.

Il était pervers et malsain, assurément, mais elle était grandie par la puissance que lui conférait l’extase si facile qu’elle lui avait offert. Cependant, son sacrifice n’était pas gratuit…

« Et qu’en est-il de l’orbe, Messire ? » Murmura la Corneille le venant lécher sa propre paume poisseuse, comme s’il s’agissait d’un argument supplémentaire pour lui rappeler leur marché.

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 34 samedi 07 novembre 2020, 09:25:47

"L'orbe ? Quel orbe ? Vous voulez dire le Globe de Vérité? Mais voyons très chère .... Il n'a jamais été question de vous céder cet objet. Vous croyez vraiment qu'une gâterie vous permettrait de l'obtenir ?  Soyons sérieux enfin ! Pour cela, il faudrait que vous me laissiez fourailler dans vos entrailles pour l'éternité! Les cent écus d'or que je vous offre en rétribution sont déjà bien assez et ...."

Une voix sèche retentit, lui coupant la parole.

"Elle veut l'orbe immonde tas de graisse, donc tu lui donnes l'orbe! Ne t'avises pas de la décevoir ou je m'assurerai que ta tête soit enterrée loin de ton corps putride. Une femelle troll en rut se refuserait à toi aussi considère attentivement l'inestimable service que vient de te rendre Alecto."

Tadéus sursauta et leste comme un chevreuil, sauta sur ses pattes dodues, repoussant la jeune femme. Il se précipita ventre à terre derrière une fontaine pour tenter de s'y cacher. Quel acteur !

"Damascus ! Scélérat ! Crois-tu que je sois idiot au point d'écouter en m'extasiant vos conneries ? Vous n'aurez rien d'autre de moi que ce je veux bien vous donner ! Ta petite chienne m'a sucé jusqu'à plus soif, ca ne vaut pas ce que j'ai dépensé pour l'orbe ! Chien galeux, tu ne respectes rien! Ni ta pute, ni tes amis !"

Le gros homme agita frénétiquement une clochette qu'il prit sur le rebord de la fontaine. L'image de cet oignon monté sur pattes agitant sa sonnaille était cocasse. Damascus sortit de l'ombre d'où il observait la scène depuis un moment.

"Ignoble pourriture ! La reconnaissance t'arracherait-elle les boyaux ? Laisse moi donc t'aider à les extraire."

Le démon s'avança vers Tadéus, une dague en main. L'air autour de lui crépitait d'énergie noire. Le seigneur noir bouillait de fureur. Le pas franc, les épaules souples, il franchit lestement la distance qui le séparait du poussah. D'un geste précis, il inséra son arme entre les cuisses de l'homme et fit remonter la pointe jusqu'à pratiquer une petite incision sous les bourses molles exposées. Tadéus s'étira sur ses orteils boudinés, en extension, les bras battants l'air et poussant des cris de chouette effrayée. "OUH OUH OUH!!!"

"Ta garde ne viendra pas répugnant pourceau. Maintenant, donne moi une bonne raison de ne pas ajouter tes couilles à ta précieuse collection ?"

Damascus donna un tour de poignet. Le gros homme hulula, lâcha un pet sonore et parla aussi vite qu'il le put.

"Non non non non ! Attends attends ! D'accord ... je ... je veux bien vous céder le globe ! AAAAAAAhhhh ! Doucement, arrête ! L'ORBE EST A VOUS !"

Le démon fit répéter l'homme plusieurs fois. Ses yeux brillaient d'un éclat qui n'était plus celui de la colère mais plutôt de l'amusement. Du bout de sa dague, il piqua la graisse de l'obèse, lui arrachant un couinement, puis un autre.

"Tu es vraiment devenu une grosse larve. Tu sais que tu ressembles à un tas d'excrément vivant ?
Enfin ... je prends note de ta volonté d'offrir à Alecto ce beau présent. Nous t'en remercions d'autant plus que je te le rappelle, il ne t'avait presque rien coûté puisque c'est moi qui l'avait volé pour sauver ta peau à l'époque."
"Alecto, je suis fier de toi, viens m'embrasser!"


Quand il comprit qu'il survivrait, Tadéus partit d'un gros rire gras. Damascus ! Mon vieil ami ! Tu es un sacripant ! Pourquoi ne m'as tu pas juste demandé de te le céder plutôt que vous livrer à cette manipulation? Que j'ai appréciée d'ailleurs je le redis" lanca t'il en faisant les yeux doux à Alecto. "Si vous êtes aussi bonne à l'écriture que vous l'êtes à  sucer des queues, alors je vous emploie tout de suite !"

Le démon le coupa avec tact. "Et bien en effet nous aurions pu te demander directement mais vois-tu, il y a autre chose dont nous devons parler. Il y a l'orbe et il y a aussi la personne à qui nous voulons l'offrir. Et c'est là que tu interviens. Trouvons une place où nous asseoir. Alecto t'expliquera. Et s'il te plait, cesse d'exposer tes horreurs à nos yeux éprouvés. Et toi Alecto, tu as du sperme sur e visage..."

Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 35 samedi 07 novembre 2020, 15:43:39

Alecto avait commencé par froncer les sourcils, en signe de mécontentement, sans se cacher, alors qu’elle n’aurait jamais osé ce type de réaction négative face à une personne ‘libre’. Ce gros pachyderme avait l’intention, évidemment, de ne pas respecter ses paroles, et elle sentait en elle une sensation nouvelle… La colère, liée à l’injustice. Elle sursauta en entendant le Démon grogner.

Encore une fois, Damascus la sauva de ce mauvais pas, la voix tonnante alors partout autour d’eux, comme s’il venait de plusieurs endroits à la fois. Puissante, surnaturelle… Le timbre la souleva dans un sentiment contradictoire de soulagement et de renforcement de sa haine envers Tadéus. Elle n’avait jamais éprouvé de tels sentiments, violents et primordiaux, puisqu’ils avaient toujours été enfouis et refoulés au plus profond d’elle-même.

La Corneille resta droite et immobile, le menton haut, désormais assurée qu’il ne pourrait plus rien lui arriver, puisque son Maître était présent. Les insultes du Gras la touchèrent, et ses sourcils se rapprochèrent à nouveau, lui lançant un regard légèrement outré… Elle lui avait offert ce qu’il n’avait peut-être pas eu depuis longtemps : un moment d’extase avec quelqu’un qui ne vomirait pas juste avant, et juste après leurs ébats. C’était un ingrat, et un fourbe, et Alecto qui avait toujours été très respectueuse de cet homme malgré tous ces travers jusqu’alors, se sentait désormais pleine de fureur envers lui.

Pourtant, puisque les deux hommes se battaient à coup de verbes, elle resta, nue et droite, le regard désormais totalement acquis à Damascus, tant sa présence la ravissait intérieurement.

Mais vraisemblablement, les menaces devaient s’accompagner de gestes pour que de large porc comprenne réellement qu’ils étaient parfaitement sérieux… Il obtempéra, soucieux de conserver sa dignité entière, pour le peu que cela lui servait… Et lorsqu’elle entendit clairement sa voix éraillée par la peur que le Globe de Vérité leur reviendrait, la jeune femme s’inclina en une révérence non feinte. Se séparer d’un bien devait lui faire de la peine. Autant qu’elle en avait eu à lécher sa peau suintante. C’était un mal nécessaire…

Tadéus changea de nouveau de ton, retournant sa veste une énième fois, ce qui l’agaça. Comment pouvait-on la traiter de catin pour ensuite souligner combien il avait apprécié le moment passé ensemble. C’était une insulte, elle avait du mal à savoir comment réagir avec ce qu’elle ressentait, toute cette colère était nouvelle et elle était inexpérimentée. Se contenir devenait pénible, son délicat visage blanc commençait à se crisper, ses yeux doux et ses compliments n’y firent rien, elle ne lui répondit pas.

Elle savait qu’il lui fallait être humble et respectueuse, et ne pas faire de vague pour servir la cause du Démon son Maître. Elle prit sur elle, en inspirant longuement, la voix délicate de Damascus accentuant sa sérénité naturelle. En entendant qu’il s’adressait à elle, la Corneille sursauta, et porta ses doigts à sa joue, sentant immédiatement le liquide pâteux qui y restait collé.

Confuse que ce soit son Maître qui le lui indique, mais en rien mal à l’aise ou humiliée, l’Esclave hocha la tête servilement et marcha jusqu’à la petite table basse de leur collation, pour tremper une serviette blanche brodée de fils dorés dans un verre d’eau, et le passer sur son visage.

Ce fut salvateur. La fraicheur fit retomber sa rage viscérale, et ses épaules semblèrent moins nouées. Lentement, elle revint vers son Maître qui avait déclaré être fier d’elle… Son cœur battait la chamade en y songeant, et son regard s’illumina d’une reconnaissance totalement acquise. Obéissante, elle vint contre le Démon et se hissa sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Ce contact fit naître un frisson qui remonta de long de sa colonne vertébrale…

C’était étrange, la colère c’était changée, en un seul baiser, en une pointe de désir. Alecto se rendit compte qu’elle avait chaud, et que le simple contact de ses lèvres sur celle de son Maître réveillait des sens oubliés. Elle lui sourit, de manière équivoque, alors qu’elle allait chercher sa robe et qu’elle la nouait de nouveau en silence.

Serviable, elle n’attendit pas le retour éventuel de serviteurs, et servit alors le contenu d’un pichet travaillé dans trois verres qui se trouvaient sur la table basse, et fit un geste élégant pour Damascus, afin qu’il s’installe. Ensuite, se tournant noblement vers l’Adipeux Collectionneur, elle le considéra une seconde… L’homme tentait de récupérer ses vêtements éparpillés, et puisqu’ils avaient encore besoin de lui, Alecto vint à sa rencontre, et lui remit, non sans peine, ses vêtements comme on habille un gros bébé.

Elle gardait le silence, ignorant les allusions qu’il lui souffla à l’oreille alors qu’elle nouait les liens d’une tunique large et soyeuse à son col. Si jadis il lui semblait primordial de toujours lui répondre et lui sourire, désormais, elle n’y arrivait pas… Evidemment, dans son ancienne vie, avant le Glyphe, elle se serait forcée. Plus désormais. Tadéus l’avait traitée de pute. Un mot ignoble… Un mot qu’elle avait toujours abhorré, d’ailleurs, mais pour d’autres raisons. Il semblait à Alecto qu’un acte intime se devait d’être encadré par le respect, et l’imposante limace amatrice d’art n’en faisait preuve d’aucun pour sa personne.

L’aidant à nouveau à s’installer dans son énorme coussin, elle vint prendre place non plus à ses côtés, mais collée à son Maître ; et puisqu’il avait indiqué qu’elle parlerait, Alecto s’exécuta docilement, d’une voix claire, et sûre.

« Il s’agit d’offrir ce présent à l’Auberge de Thiana Gian, à sa propriétaire, en échange d’un document me concernant. »

La gorge encore trop emprunte du goût de ce marchand porcin lui gratta, et elle but une longue gorgée de la boisson fraîche de sa coupe. Mis en appétit, elle ne se gêna pas non plus pour piocher un grain de raisin qu’elle croqua distraitement, en reprenant.

« Vos talents de négociants ne sont plus à prouver, aussi vous feriez-vous un plaisir de discuter avec elle, afin qu’elle accepte un échange satisfaisant pour vous comme pour nous. Elle aime particulièrement les ouvrages de magie et les joutes verbales la ravissent, vous allez vous apprécier. »

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 36 dimanche 08 novembre 2020, 16:20:35

Tadéus Kervipar blêmit. A l'évocation de la sorcière, une multitude de tourments atroces lui vinrent en mémoire. Il haïssait les thaumaturges, hautains et trop imbus de leur condition. Faire affaire avec eux signifiait trop souvent être prêt à y laisser des plumes. Prudemment, le gros homme tenta une approche moins dangereuse de la situation.

"Voyez vous, je sais qui est Thiana Gian et .."

"Et donc .."
le coupa Damascus "puisque tu la connais, tu feras ce qui doit être fait et nous ramènera dès demain une bonne nouvelle. Dans le cas contraire, je te le répète, tes couilles iront rejoindre ta collection."

Le démon invita Tadéus à s'affranchir de son nouvel objectif sans tarder. Qu'importe la manière que celui-ci emploierait, Damascus ne tolèrerait qu'une réponse positive. Tadéus devinait cela et pesa le  pour et le contre. Enfin, et pour la première fois depuis longtemps, il se résigna à obtempérer et décida sans attendre de s'atteler à sa tâche. Plus vite ce serait fait, plus vite ces deux gêneurs s'en iraient. Au petit jeu des non-dits et sous-entendus, il venait de perdre contre le couple. A celui des négociations, il espérait vraiment qu'il s'en sortirait ... au moins vivant.

Il mit à disposition de ses visiteurs une chambre aux ornements élaborés et prit congé d'eux, leur promettant sa complète implication pour résoudre leur demande. La nuit étant la mère des canailles, il réussirait, gronda t'il avec un rire tonitruant.

Quand Damascus et Alecto se retirèrent dans leur suite, le démon, sans un mot, guida sa possession dans l'alcôve réservée à la toilette. Un bassin central offrait aux occupants une eau claire et chaude pour s'y délasser. Des savons, huiles et onguents parfumés étaient disponibles dans des soucoupes en cristal, de même que tout le nécessaire dont une noble princesse aurait eu besoin pour se préparer à un mariage.

Le démon fit se tenir Alecto bien droite devant lui, puis faisant glisser le tissu fin de ses épaules, la dénuda. Il laissa ses doigts courir le long de ses hanches avant de lui ôter ses parements. Lui faisant face à nouveau, il scruta son corps un long moment, s'attardant, un sourcil haussé, sur les parties marquées par les évènements des derniers jours. Il la fit entrer dans le bassin fumant, se déshabilla puis la rejoint. A l'aide d'une étoffe prévue à cet effet, il enduit le corps de la jeune fille d'un onguent purificateur et entreprit de la laver. Une fois fait, il la fit asseoir  et s'acquitta de la tâche ardue de s'occuper de sa superbe crinière brune. Il la rinça, la lava, la brossa et la noua en une longue queue de cheval.

Le maître ne faisait pas cela pour faire plaisir à sa poupée. Il le faisait simplement parce qu'il en avait envie. Il aurait pu la violer séance tenante sur la margelle du bassin mais ils avaient le temps et Damascus devait consolider, bien qu'il n'en eu pas besoin, la totale loyauté d'Alecto à son égard. Et puis, la pauvre ne se doutait pas de ce que la suite de leur entreprise lui réservait ... Elle méritait un peu de détente avant leur prochain départ ...

La sentant détendue, Damascus s'assit sur une marche immergée, tirant sa protégée entre ses jambes. Bien installée, son dos pressant contre l'entrejambe du démon, il la laissa profiter de cet instant avant de continuer. Il n'avait toujours pas prononcer un mot. Enlaçant le corps d'Alecto et immobilisant ses bras, il caressa sa poitrine, suivant les courbes affriolantes de sa compagne. Cette peau douce, il s'en serait délecter. Il pinça légèrement et titilla les tétons qui réagirent instantanément, avant de les faire rouler entre ses doigts. Puis prenant ses seins magnifiques à pleines mains, il les malaxa comme seul un masseur oriental savait le faire sans occasionner de douleur.

Sans se soucier des réactions d'Alecto, il glissa ensuite une main entre ses cuisses et crocheta un doigt dans son intimité, puis un deuxième. Il trouva le point sensible qu'il cherchait et s'y attarda longuement, le gratifiant de caresses et frottements délicats. Sa main couvrant complètement le jardin secret de la jeune femme, c'est comme ça qu'il décida de la faire venir. Ce n'était pas fini ...

Après cet épisode délicieux, il la fit allonger sur le dos au bord du bassin, sur le dallage chaud et humide. Lui même toujours dans l'eau, il plongea sa tête entre les cuisses de sa Beauté pour se délecter de ses saveurs entêtantes. Il introduisit sa langue là où ses doigts avaient déjà oeuvrés et entama un ballet infernal dans la cavité offerte. Pour amplifier le plaisir  de sa muse, il lui coula son majeur dans son anus moite et délicat. Il s'y acharna profondément tout en accordant toute son attention à faire jouir Alecto de la meilleure des façons qui soit. Au majeur se joint l'index, sans difficulté. Le rythme augmenta, tout autant que le ballet endiablé de sa langue. Un délice ! Il la but goulument quand elle s'abandonna puis la laissa se remettre de ses émotions. Libre de ressentir son propre plaisir, Damascus laissa à Alecto toute latitude pour exprimer son ressenti durant cette longue session érotique.

A l'issue, ils se séchèrent avec attention, puis le démon porta et coucha la nymphe dans un lit aux dimensions faramineuses. Il la couvrit de satin et la cala contre un oreiller confortable.


"Maintenant dors petit corbeau. Rêve et laisse toi entraîner dans les limbes ténébreuses de ton nouvel univers". Il se coucha à ses côtés et son esprit s'évada aussitôt.

Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 37 dimanche 08 novembre 2020, 19:01:36

Il n’était pas étonnant qu’un homme qui appréciait les reliques ésotériques connaissant la Sorcière Thiana Gian, et étrangement, Alecto en ressenti une sorte de fierté. Elle avait servi cette femme ; elle sa servait toujours actuellement, techniquement… Sa Maîtresse devait être à sa recherche, mais l’étendue des pouvoirs d’une Enchanteresse n’était pas assez puissante pour réussir à la localiser, désormais que le Démon avait apposé son sceau sur l’Esclave.

Les menaces sur sa masculinité eurent raison des quelques réticences du Gras, et Alecto suivit docilement son Maître jusqu’à la chambre somptueuse qui leur serait réservée… Elle fut émerveillée par ce décor d’un luxe excessif, lui rappelant des souvenirs diffus et étranges, flous, d’ancienne demeures où elle avait séjourné.

Puisque le Démon semblait la voir propre après ces désagréables besognes, la jeune femme se laissa faire sans une once de réticence. Jamais on ne l’avait lavée, peinée, choyée ainsi… Les attentions de Damascus ébranlèrent ses sens, alors même qu’il nouait ses longs cheveux noirs, dans un geste loin d’être érotique. Mais la nouveauté rendait chaque mouvement aussi vibrant qu’une caresse, la faisant frissonner doucement. Elle se trompait sur les intentions du Démon, évidemment, songeant qu’il faisait tout ceci pour lui faire plaisir, pour la récompenser des loyaux services qu’elle avait su effectuer pour lui. Elle prit même cela pour de l’affection, et de l’attachement, crédule petite Corneille.

La sérénité avait regagné son corps, la colère ayant déserté son visage et son cœur, et Alecto couina dès qu’elle sentit les mains de son Maître parcourir la peau de sa poitrine, incapable de bouger même si elle en avait eu envie. Cependant, l’Esclave était loin d’être retenue contre son gré, cette fois. Elle appréhendait le passage de ses doigts contre ses tétons avec des frissons d’impatience, le désir explosant sur ses pommettes en les rendant carmin, et faisant accélérer sa respiration.

En quelques caresses à peine, le doux Corbeau haletait comme s’il l’avait prise furieusement contre le rebord de ce bassin, sans ménagement. Sa peau sensible frémissait par anticipation de ses caresses, mais elle sursauta tout de même lorsqu’elle sentit ses doigts pénétrer son intimité.
Elle balança immédiatement la tête en arrière, contre la clavicule de son amant, gémissant désormais sans jamais s’en cacher ; C’était la première fois qu’elle se laisser aller à ressentir un tel plaisir sans qu’il ne soit accompagner de culpabilité, de sermons intérieurs, de dilemmes… C’était si bon… Il ne lui avait pas fallu bien longtemps avant que la sueur de perle à son front, et qu’elle n’ait l’air d’une démente, là où beaucoup auraient su se contenir en prévision de ce qui arriverait…

S’allongeant d’instinct dès que le Démon initia son geste, son corps se tordit dès l’effleurement de son souffle entre ses cuisses, et elle émit des sons de plus en plus fort, se laissant totalement happée par ce plaisir qu’elle découvrait comme si elle c’était la première fois qu’un homme s’attardait à ces endroits si brûlants. Elle était enfin libre de ressentir ce brasier sans songer aux châtiments qu’elle aurait à se faire endurer, elle-même, pour avoir osé s’adonner à des pensées, des extases si intenses.

Sans aucune retenue désormais, en nage, l’Esclave serra ses cuisses contre le visage du Démon en soufflant son nom d’une voix rauque qui se perdait dans ses râles, et dans un ultime encouragement en venant agripper ses longs cheveux fins, elle se convulsa comme prise d’une crise de tétanie. Les soubresauts mirent un moment à se dissiper, tout son être se consumant, et elle retomba comme un poids mort sur le sol, haletante, et un visage d’une sérénité et d’un contentement rare.

Elle manquait de force, et être transportée avec autant de douceur dans un lit aux dimensions farfelues fut salvateur. Alecto avait encore des papillons dans le ventre alors qu’il la bordait comme une enfant, et elle lui lança un regard d’une dévotion sans borne, intense, pur… Le Maître réclamer son sommeil et ses rêves, elle lui sourit d’un air béat, étonnée de son précédent silence, mais respectueuse de ses moindres désirs.

Elle ferma les yeux, mais son cœur battait trop fort dans ses tempes, et elle se rendit compte que Damascus dormait à ses côtés bien avant elle. Il fallait qu’elle s’endorme, il l’avait réclamé… Mais son esprit était toujours embrumé par l’intensité de leurs ébats. Quel soulagement de ne pas se sentir obligée de se brûler avec la cire des cierges, ou de lacérer sa peau d’un crin rêche. Instinctivement, Alecto tira la couverture de satin et passa les doigts sur sa propre cuisse, aux cicatrices boursoufflées par le cilice, en soupirant.

L’Esclave se tourna sur le côté, observait à la faible clarté d’un âtre à l’autre bout de la pièce le visage délicat et raffiné de son Maître. Il lui sembla beau comme un dieu. Les Démons étaient-ils tous aussi séduisants ? Sa main effleura avec douceur sa mâchoire fine et les traits élégants de son visage, comme pour les dessiner, son regard emplit d’affection mièvre… typique des jeunes filles qui s’amourachent des entités maléfiques, submergées par leur aura tentatrice et distinguée.

« Je plains quiconque voudrait vous affronter, mon Beau Damascus. » Murmura-t-elle comme si elle était seule, son pouce passant sur ses lèvres entrouvertes par le sommeil.

« Il n’existe rien qui puisse vous résister. Et je pourrais tuer pour vous… » Sa voix était basse, sinueuse et suave, se révélant pleine d’assurance et de désir.

Oh, oui, elle le réalisait alors.
S’il le lui demandait, pourrait-elle ôter la vie à un être humaine, elle qui n’avait jamais été qu’une peureuse, effrayée par son ombre elle-même, incapable de regarder ne serait-ce qu’un insecte sans hurler de terreur ?

Elle savait que Thiana Gian conservait une mèche de cheveux de ses amants et amantes, en souvenir. Naïvement, elle pensait qu’il s’agissait d’un trophée affectueux… ignorant volontairement ou non qu’elles lui servaient surtout de moyen de pression, pouvant se servir de ces fragments comme de puissants liens avec les victimes de ses ébats dévergondés.

Alecto admira les mèches d’encre du Démon, avec attention. Une attention perverse nouvelle et incontrôlable. Il la possédait tout entière, ne serait-il pas juste qu’elle possède également une infime partie de lui ? La jeune femme se mordit la lèvre avec envie, caressant les longs fils noirs et soyeux, en piochant une mèche qu’elle fit rouler entre ses doigts, venant inspirer son parfum en une grande respiration d’adoration.

Elle avait l’envie irrépressible de garder précieusement quelques cheveux toujours sur elle. Son petit trésor, sa relique à elle. Plus merveilleux que le plus rare des artefacts de Tadéus le Gras, à ses yeux. Elle se leva alors, discrète naturellement, nue, traversant la pièce à pas de loups rapides, pour se saisir d’un coupe-papier au manche élégant de nacre et de cuivre ouvragé. La lame peu aiguisée suffirait amplement à détacher quelques centimètres pour les conserver jalousement, peut-être dans une petite fiole, à son cou ? Oh, oui, près de son cœur…

La morale lui aurait interdit ce geste jadis, mais désormais…
Le petit Corbeau délicat tint fermement le pommeau, et trancha une toute petite mèche précieuse, d’un geste sec qu’elle n’aurait jamais cru pouvoir effectuer un jour.

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 38 lundi 09 novembre 2020, 20:17:14

Perché sur le rebord de la fenêtre, le petit oiseau curieux épia, dans la pièce, le moindre mouvement. Bigarré et ravissant, il avait pour habitude de réveiller les occupants de cette vaste demeure tous les matins. Il adorait ça et prenait un  malin plaisir à énerver les dormeurs patentés. A l'aube de ce matin là, il ne dérogea pas à la règle. Le couple nu  qu'il observait dormait sereinement, emboité l'un dans l'autre, les membres entremêlés. Ravi de cette aubaine, il lança un trille mélodieux qui n'eut aucun effet sur les occupants de la chambre. Le volatile sautilla d'excitation puis d'un coup d'aile vint se percher sur la tête de lit. Si cela avait été le gros homme, il lui aurait chier dans l'oreille, comme la semaine dernière, quel spectacle cela avait été. La beauté des deux personnes enlacées lui ôta cette idée aussi il se rabattit sur un long sifflement aigu. Agile, il évita immédiatement le coussin qui aurait dut l'écraser contre le mur, puis tout fier de sa réussite, s'en alla trouver une autre victime.

Damascus soupira d'aise, il ne s'était pas senti aussi bien depuis longtemps. La paix et le calme de ce domaine bénéficiait au repos de tout un chacun. Il s'étira, se prélassant, clignant des yeux à la lumière du jour levant, un soleil aux reflets rosés perçant à sur le bas horizon. La maison était silencieuse et seuls les piaillements étouffés du perturbateur qu'il venait de chasser résonnaient un peu plus loin. C'était la première nuit qu'il passait sans se transporter dans les Enfers, son lieu d'évasion favori pour se régénérer, et il ne s'en sentait pas fatigué pour autant. C'était curieux.

Alecto à ses côtés dormait encore. Il l'observa et une crampe ténue le prit au ventre. Il s'interrogea. Elle l'attirait, comme les femmes l'attirait en général, mais d'une manière toute différente. Qu'il avait envie de lui faire mal ... De l'entendre crier et supplier. De la voir se tordre dans une mare de sang ... son sang à elle. De la déchirer et de plonger ses mains dans ses entrailles ... Mais il ne pouvait s'y résoudre, quelque chose l'en empêchait.  Bien au contraire, il avait remarqué qu'il portait une attention bien particulière au confort et à la sécurité de cette petite chose. Maintenant qu'elle appartenait à son monde,  évidemment, la donne était différente. Il faudrait qu'il prenne le temps d'y réfléchir.

Il se cala contre son immense coussin, les mains derrière la tête, et songea à la suite. Tadéus les avait quitté la soirée précédente, quelques heures en fait, pour se charger de négocier l'échange de la Petite Chose contre le Globe de Vérité auprès de la maîtresse d'Alecto. Le contrat qui liait la domestique à Thiana Gian était une épine minime certes, mais une épine qu'il fallait ôter avant la suite qu'il envisageait. Il ne pouvait se permettre de traîner une adepte des arcanes à ses trousses là où ils devaient se rendre. Ils auraient tellement d'obstacles à passer que partir avec un boulet d'un tel poids était inenvisageable. Damascus ne doutait pas que la nuit fut sûrement rude pour Kervipar mais son ancien associé était un maître de la négociation et il avait un don pour se sortir vivant des situations les plus mortelles. Et puis de plus, grâce à sa fortune, maître Tadéus avait dut rallier à lui une armée de magiciens pour le protéger lors de son entrevue nocturne.

Alecto bougea dans son sommeil et présenta au démon sa poitrine ferme. Son regard y glissa et un volcan entra en éruption dans son bas-ventre. Ses tentacules le démangeaient, libres de se glisser sur ce corps ravissant. Il les rétracta sans ménagement. Il effleura l'épaule nue de la muse noire et de son ongle suivit la courbe du bras inanimé jusqu'au creux du coude. Il dessina une arabesque sur une hanche fine et délicate et termina son oeuvre en remontant au creux de ses seins. Il s'aperçut alors que ce traitement lui fit plus d'effet à lui qu'à elle. Son érection était douloureuse, son sexe pulsant avec un besoin irritant de se libérer. Elle avait assez dormi.

Le démon serra les doigts d'Alecto autour de son membre et lui fit faire un lent va et vient répétitif. Humide, il imprégna rapidement les doigts fins de sa protégée, diffusant le bruit de succions molles et pâteuses. Il exhala .... anticipant les plaisirs qu'elle allait lui offrir.


"Alecto, petit corbeau, reviens des profondeurs et applique à ton maître la perversité qui sera ta ligne de conduite. Il est temps que de passive, tu te déchaines comme une succube du deuxième Cercle."


Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 39 lundi 09 novembre 2020, 22:10:40

La Belle Endormie avait sommeillé tout son soûl, en effet. Dormir des nuits complètes était un luxe auquel elle ne goûtait que depuis quelques jours, depuis que ce Glyphe le lui permettait, à vrai dire. Ne pas travailler jusqu’à l’épuisement, ne pas s’éveiller avant l’aube afin de préparer petits déjeuners et toilettes de sa Maîtresse… Encore que, cette nuit, la Corneille était tombée de fatigue… Mais pour des raisons qui la comblaient bien plus.

Mais son sommeil avait été rempli de songes, à la limite des cauchemars ; elle rêva d’un loup se disputant le cadavre d’un paon à une chimère floue qu’elle n’arrivait pas à cerner véritablement. La bête lui inspirait une peur panique, mais étrangement, elle savait d’instinct que l’assassin de ce pauvre oiseau baignant dans son sang n’était pas l’animal fantastique, mais bien le prédateur terrestre au pelage gris. Le loup la suivit dans un autre rêve, où ses pieds nus frémissaient contre le dallage en damier d’un très grand hall, dans une pénombre. Elle devait avancer prudemment, comme se sachant épiée, et qu’au moindre pas sur une dalle traitre, sa tête serait détachée de son corps. Le canidé solitaire grognait derrière elle, elle sentait son souffle putride lui lécher les mollets…
Mais elle réussissait à traverser la pièce sans heurt, et lorsqu’elle se retournait, le loup l’observait en retroussant les babines, mais ne l’attaquait pas. La Chimère, elle, semblait avoir disparu.

Alors qu’elle s’engouffrait dans une chambre minuscule, étrangement familière à l’odeur de renfermé comme dans une cave, Alecto constata qu’une sublime coiffe en plumes de paon étoffait un petit secrétaire d’une bien triste facture. Pourtant, au moment où elle allait s’en saisir pour la coiffer, une voix délicate la tira de sa rêverie.

Aussitôt, le petit Corbeau gigota dans le lit, son corps engourdi par les limbes où elle était plongée peu avant, et outre la délicieuse chanson qu’elle percevait à son oreille, la sensation chaude de sa paume l’éveilla plus rapidement. Ouvrant un œil, elle se rendit compte que ce contact seul faisait naître en elle l’émoi qu’elle percevait désormais comme du désir. Le parfum subtil de son Maître emplit ses narines, et elle se surprit à être parfaitement consciente, dès lors, sortie des bras de Morphée par un feu brûlant qui se mit à bouillonner.

La pression de sa main s’accentua d’un coup, comme on s’éveille en sursaut, prenant le contrôle de ses caresses vives et appuyées, ressentant la profonde passion qu’exprimait le Démon qui était communicative. Alecto ouvrit les yeux, ceux-ci luisant déjà d’éclats intenses et possédés, et dégagea avec fermeté sa main de l’emprise des doigts démoniaques, pour venir lécher sa propre paume ; l’odeur explosa à son visage, la fit vrombir et ronronner, et elle retourna derechef prendre en main la hampe qui pulsait nerveusement.

Elle qui était si douce et si timorée se sentait submergée par une vague fougueuse et nouvelle, dont elle n’avait aucune maîtrise, et pire, qui la grisait avec joie. Ses attentions répétées et désordonnée par le désir ne stoppèrent pas lorsque la petite Esclave se redressa et se pencha pour venir embrasser goulument, et lécher comme une assoiffée un, puis deux tentacules. Entre ses succions, des gémissements qu’elle ne contrôlait pas s’échappait de sa gorge, agenouillée la croupe en l’air, et la tête à la crinière noire plongée entre ses cuisses.

Quelle sensation d’ivresse la prenait en se laissant aller ainsi, totalement inhibée, libre de sucer, laper et frotter sa joue contre chaque appendice impétueux qui se collait à elle. N’y tenant plus, peu habitée à être aussi fiévreuse de désir, et n’ayant donc aucune retenue ni endurance quant à la frustration de devoir attendre et faire durer le plaisir, Alecto goba le membre tendu et moite, aspirant les humeurs dont elle se délecta en lâchant un soupir d’adoration.

Damascus était beau, attirant, séduisant… Mais au-delà de sa personne délicate et fine, désormais qu’elle le goûtait avec avidité à grands bruits, elle lui trouvait une saveur capiteuse, entêtante et addictive. Ses mains cherchèrent frénétiquement, dans des mouvements endiablés par une passion dévorante, un tentacule qu’elle puisse caresser avec ardeur.

Dans son esprit, rendu totalement flou par le feu destructeur la rendant humide, Alecto peinait à savoir si elle avait soif de sa semence sans tarder, comme une assoiffée à la gorge sèche en quête du plus pur des nectars, ou si au contraire, elle désirait plus que tout le rendre fou, avant de le chevaucher. Incapable de choisir, mais tout autant incapable de cesser ses attentions exaltées, le petit Corbeau couinait en enfonçant de plus en plus l’embout de ce membre tant adoré jusqu’à sa gorge.

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 40 mardi 10 novembre 2020, 12:26:51

La bouche brûlante d'Alecto était un écrin de perversité des plus excitants. La belle brune n'avait pas mis longtemps à plonger entre les jambes du démon pour s'y abreuver. Sans hésitation, elle s'acharnait sur ce sexe tendu comme une affamée à qui on tendait une miche de pain. Il avait adoré son expression  lorsqu'elle avait léché sa propre main. C'est bien d'une chienne perverse qu'il avait besoin, pas d'une potiche maladroite. Et à cet instant, Alecto était très loin d'être maladroite ... Alors qu'elle ronronnait, la bouche pleine, et ondulait contre lui, il songea au bénéfice que dédier cette  beauté à la luxure lui apporterait. Un gargouillis poisseux lui rappela l'instant présent. Il sentit qu'elle en voulait plus.

"Alecto, si tu veux que je te baise la bouche plus fort encore, il faut que tu me le demandes. J'aime ce que tu es et je modèlerai ta dévotion à l'image que j'ai d'une femme ... un objet de désir raffiné au quotidien mais une vraie chienne au lit."


Le démon donna un coup de rein appuyé quand il sentit son gland passé la luette de la jeune femme. Il réfréna son envie de lui défoncer violemment la bouche. C'était à elle de s'y atteler, d'autant plus qu'il le voyait bien, elle adorait ce qu'elle faisait. Qu'elle soit malade  à s'étouffer de son sexe épais, c'est ce qu'il voulait. En attendant de passer ce cap là, il la fit pivoter au dessus de lui et alors qu'elle lui bouffait la queue, il entreprit de s'occuper de ses jolies fesses  claires.

Sans prévenir, il lui enfonça son majeur dans l'anus, aussi loin que possible, la doigta un moment avant d'introduire son index, élargissant le conduit étroit. De l'autre main, il n'eut aucune difficulté à pénétrer sa chatte offerte. Il ne perdit pas de temps à la ménager et bourrina dans ses orifices qu'il avait prévu de ravager.

Il inséra un troisième doigt dans son cul et dut forcer cette fois pour réussir. il crocheta l'ensemble et ramona, usant et frottant les parois de la cavité anale tandis qu'il forçait plus agressivement entre les lèvres de son vagin.

Il abandonna son langage  usuel pour un parler plus approprié à la situation. Autant il appréhendait les circonstances de son existence avec nonchalance et un amusement teinté de fausse courtoisie, autant lorsqu'il baisait, sa nature ne mettait pas longtemps à reprendre le dessus.


"Alecto ! Suces moi plus fort bordel, montre moi comme tu aimes cette queue ! J't'entends pas là ! RRhhhaa ! Continue ! Prépare moi, je vais te ravagé le cul!"

Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 41 mardi 10 novembre 2020, 19:21:35

Damascus la voulait chienne dans l’intimité, et alors qu’elle l’écoutait parler, sa voix lancinante enchantant ses tympans comme un appel au vice, le son la fit accélérer encore, accentuant l’ardeur de ses attentions gloutonnes.

Quel délice lorsqu’elle se sentit étouffée par la peau lisse et grasse du Démon, pressant ses lèvres pulpeuses contre les veines palpitantes en soupirant. La demande de son Maître était claire, elle ignorait comment agir, mais d’instinct, tout son corps avait redoublé d’efforts et de fureur, se laissant aller à le dévorer sans la gêne qu’aurait pu occasionner les borborygmes gutturaux qui s’échappaient de ses lèvres, ajoutés à ses geignements affolés.

Son corps tressauta lorsqu’elle sentit ses fesses se faire envahir, mais contre toute attente, Alecto lâcha un long râle en laissant s’écouler salives et humeurs, fermant les yeux avec extase et articulant bassement sans prendre la peine de retirer le membre dur de sa bouche, rendant sa diction hasardeuse.

« Oh oui ! » s’exclama le Corbeau luisant de sueur qui ondulait déjà la croupe frénétiquement, dépassée par la sensation surréelle d’être possédée dans nombre d’orifices. Alecto se sentait submergée et peinait à savoir où laisser aller son attention, tant le plaisir l’électrisait, et tant la hampe démoniaque et les tentacules la tentaient sans discontinuer.

« Encore, encore, … plus ! » Glapissait-elle alors, récompensée par un troisième doigt la pénétrant, serrant la mâchoire en pinçant les lèvres avec vigueur, mais se relâchant avec euphorie dès lorsqu’elle se sentie crouler sous les coups fougueux et incontrôlés de son Maître. La brutalité bestiale dont il faisait preuve n’avait rien d’effrayant, Alecto percevait une transe primale et instinctive la gagner alors qu’elle se sentait ravagée, utilisée et malmenée sans ménagement. Elle n’aurait jamais cru ressentir autant de plaisir à vivre ce qu’elle avait tant de fois été contrainte de subir… Tout son corps bougeait, tremblait, comme dans une phase mystique.

Pourtant, elle hoqueta de surprise, tirée de ses vertiges frénétiques par la voix du Démon qui grognait son nom et crachait des ordres ; encore une fois, elle gémit vivement tant l’entendre l’excitait, la rendant, s’il était nécessaire, encore plus humide et bouillante. Elle se contracta tout entière, et sans demander son reste, tout à la fois soucieuse de lui obéir et de le sucer encore et encore, râla comme un fauve.

« Oh oui mon Maître, oh oui, saccage mon cul ! Saccage-le bien, dévaste le petit Corbeau ! »

Et se faisant, son fessier se dandina, et lâchant les appendices qu’elle masturbait follement, posa ses mains sur ses propres hanches, pour écarter bien large ses fesses. Elle avait parlé d’une voix si anormale et rauque, mais ne reprit aucune respiration avant de replonger enfourner l’épieu charnu, dur et brûlant au fond de sa fine gorge, gargouillant à peine un « Plus fort, plus fort ! » juteux. Il voulait qu’elle suce jusqu’à la lie, les lèvres pleines d’écume, et Alecto ne bouda pas son plaisir à s’empiffrer comme une démente de sa chair en feu.
« Modifié: mardi 10 novembre 2020, 19:27:56 par Alecto Nemed »

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 42 mercredi 11 novembre 2020, 09:24:38

Le simple fait qu' Alecto écarte ses fesses pour lui faciliter le passage plongea Damascus dans une transe sexuelle profonde. D'un geste fort, il roula, et elle avec pour prendre le dessus. Alors qu'elle n'avait pas ses mains pour limiter les assauts brutaux du démon dans sa bouche, la belle brune encaissa une violente charge incontrôlée. Le démon lui baisait la bouche sans merci, sa grosse queue s'enfonçant loin dans le goulet serré et déformant sa gorge en un bombement distendu. Il râla et accéléra, ses boules venant frapper le nez d'Alecto tandis que la base sa hampe venait se ficher entre les lèvres dégoulinantes. Il s'y verrouilla et roula du bassin à un rythme effréné pour profiter le plus possible de cette sensation grisante qui comprimait sa queue. Quand il se retira, un flot de liquide collant suivit son sexe et s'écoula le long du visage ravagé de sa Belle.

"Toujours plus hein Alecto ? Toujours plus fort? Tu auras ce que tu veux ma petite salope, on ne fait que commencer!"

Et il replongea en elle, martelant et ruant dans cette grotte de chair molle et glissante. Alecto sur le dos encaissait. Lui bien calé à l'envers au dessus d'elle profitait d'elle avec une vue imparable sur sa gorge où il voyait ramoner sa queue. Il la serra pour se sentir bouger et sourit méchamment. Il attrapa les bras fins de sa partenaire pour les ramener en croix, à l'horizontale sur le lit, et les bloqua avec ses genoux. Enfin, il s'allongea de tout son poids sur la muse noire et tandis qu'il lui violait la bouche, il porta son attention entre les jambes pâles de la jeune fille. Ele était trempée, ahanait, gigotait et tremblait de désir et de plaisir. Ses caresses provoquaient des spasmes incontrolables. Alecto ne pouvait cacher les sensations qu'elle vivait, son corps parlait pour elle. Le démon fut même surpris lorsqu'il réussit après une brève préparation à investir complètement le vagin bouillant. Sa main y glissa après juste une petite résistance musculaire qu'il passa en un instant. Les lèvres resserrées autour de son poignet s'adaptaient au fur et à mesure des vas et vient de son poing. Cet extrème là, il n'aurait pas cru qu'Alecto puisse y accéder si vite. Même si il ne lui laissait pas le choix en fait. Son mouvement de pompe s'accentua, et dans la bouche de la Belle, et dans sa chatte détruite. Tout n'était que glissements visqueux, succions sales, rejets de liquides gluants, toux grasses.

"Putain ..... t'es faite pour ça" grogna t'il hors de contrôle "tu veux que je te prenne le cul hein ? T'as pas idée de c'que tu vas vivre"


Alecto Nemed

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 43 mercredi 11 novembre 2020, 21:04:53

Elle couina. Son visage déformé par les coups de butoir brutaux se crispa en une grimace douloureuse, lorsqu’elle réalisa le traitement infernal que lui réservait le Démon, écartant à l’extrême son intimité. Alecto écarquilla de grands yeux, horrifiés cette fois, mais son hoquet de surprise fut ravalé par un martellement plus violent qui lui donna la sensation d’étouffer.

Cette fois, malgré le plaisir qui irradiait ses entrailles à la faire trembler comme une possédée, le petit Corbeau avait joué avec le feu, et il y eu un long moment durant lequel la douleur prit le pas sur l’intense jouissance que lui procurait d’être enfin totalement désinhibée et pleine de vices.

Tendue et grimaçante à chaque mouvement de son Maître, qui redoublait de perversité bestiale, l’Esclave prit un instant pour faire le vide, et sa relative inertie momentanée lui ramena aux oreilles les sons, frottements, gargouillements divers et vulgaires, la respiration rauque et sauvage de son amant… Instinctivement, les évocations de cette luxure brute, les odeurs âcres de musc ranima ses désirs, et son corps entier se détendit suffisamment pour qu’elle puisse, de nouveau, profiter pleinement des sévices qu’elle adorait désormais.

L’impression d’être pleine et remplie de Damascus la submergeait et la plongeait dans un tel état de transe qu’elle en oubliait les frictions et souffrances liées à ce saccage en règle. Elle hurlait, le son guttural s’évanouissant autour d’eux dès que le membre dévastateur ressortait de sa gorge pour venir s’y enfoncer de nouveau sans ménagement. Son bassin ondulait frénétiquement pour tenter d’accompagner les mouvements de son bras.

Son Démon parlait, et il était cru et bas, la laissant répondre à peine tant il déformait sa bouche, en la laissant s’étrangler. Elle minaudait en frétillant, même si désormais, après cette nouvelle étape qui avait forcé son intimité, elle avait un sentiment qui redoutait un peu ce qui viendrait.

« O… Oui… » Elle répandit un filet de salive et feula. « S’il plait au Maître. Soit méchant, Maître. Sois méchant. »

Elle regretterait ses paroles, mais son cerveau était totalement ivre de vicieuses idées, de fantasmes inavouables, de perversions décuplées que le Glyphe avait imprégné sur son âme. Une de ses mains remonta sur sa hanche rebondie pour passer son index et son majeur entre ses fesses écartées, rouges et visqueuses, caressant l’entrée déjà explorée de son postérieur, lui qui avait déjà eu droit à bien des traitements forcenés. Elle se mit à gémir comme une fillette qui ne sait plus se tenir.

« Je suis une bonne Servante, hein ? » Murmura-t-elle entre deux borborygmes en léchant une épaisse veine qui pulsait sous sa langue comme une brave esclave, hypnotisée par le parfum écœurant de leurs effluves qui se mélangeaient.

Damascus

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Re : Pied léger, pied sauvé ... [PV Damascus/Alecto]

Réponse 44 mercredi 11 novembre 2020, 22:46:55

"T'es parfaite ouais !"

Damascus arracha littéralement Alecto du lit  et la traîna sur deux pas pour la plaquer de face, debout contre le mur tout proche . Dans le même élan, il se glissa derrière elle et l'empala jusqu'à la garde, perforant l'accès de ses fesses sans l'avertir. L'étroit conduit le comprimait de sorte qu'il dut ramoner sans ménagement pour en faciliter la pénétration. Alecto était serrée, qu'importe! Il l'enculait aussi fort qu'il avait pris sa bouche. La poupée décollait à chaque coup de reins, molestée contre le mur de marbre froid. Vicieusement, le démon lui tordit les bras derrière le dos, maitrisant complètement ce coït anal. Il grognait comme un animal, lui mordit l'épaule, poursuivit son viol effréné, incapable de relâcher la tension qui l'animait.

Oh bien sûr, il leur faisait toujours mal. Certaines en mourraient parfois, victimes d'hémorragies ou tout simplement n'ayant pu supporter la douleur. Plus sa partenaire souffrait, plus le démon prenait du plaisir, sournois, cruel, vicieux. Supplicier ces corps dédiés à la luxure était l'apanage  des êtres maléfiques de son envergure et Damascus s'estimait maître en la matière. Là, c'était différent. Tout comme lui, Alecto baignait dans une atmosphère sexuelle démoniaque et résistait à la douleur, plus encore, l'acceptait et en tirait une extase manifeste. C'était nouveau pour le démon, excitant aussi, décuplant sa perversité et le replongeant dans des déviances passées.

Il retourna la poupée face au lit, toujours emmanché en elle, et la poussa en avant qu'elle s'agrippe à la colonne du baldaquin. Il la pilonna de toute ses forces, empoignant ses hanches, la tirant par les épaules, giflant ses fesses marquées. De tout son poids il la ravageait sans s'arrêter, dénaturant ce petit cul parfait en un gouffre à foutre. Quand il se retire, il écarta les masses rouges pour contempler son oeuvre, déchiquetée, fanée, détruite. Il cracha dans l'orifice, s'y introduisit à nouveau et offrit à Alecto de nouvelles longues minutes d'outrage anal.

Haletant, il s'aperçut qu'il s'était enfermé dans son propre plaisir sans même se soucier de sa muse. La petite chose devant lui était superbe dans sa dévastation. La retournant, il l'embrassa à pleine bouche, insérant sa langue à la recherche de la sienne pour partager un baiser d'une rare intensité. Il la pétrit de ses mains. Son corps saccagé, absolument indécent le rendait fou. Le regard en feu, utilisant un lambeau d'étoffe,  il finit par la lier à la colonne, par les poignets, ses bras au dessus de sa tête. Elle lui faisait face. Lui n'avait rien perdu de son érection.


"Que me fais-tu petit corbeau ? M'aurais-tu également apposé un glyphe qui m'aurait échappé?".

Sa voix d'outre tombe semblait directement jaillir des Enfers. Lui faisant face, il tremblait d'excitation, ses narines palpitants. Il huma le corps d'Alecto puis la souleva pour la laisser retomber sur sa queue, pourfendant à nouveau son rectum martyrisé. il pulsait à l'intérieur d'elle, étirant son corps mince pour l'abuser encore plus vicieusement. Attachée, Alecto drainait tous les plaisirs de ce monde. Sa fantastique chevelure balayant le sol souillé au rythme des profanations.
 


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