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Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

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Lyra Scytha

Dieu

Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

mercredi 26 juin 2019, 17:03:59

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Au coeur d’une ville, sur une petite colline, une bâtisse s’érige entre les immenses jardins, quelques arbres. Le centre de la ville n’est pas l’église, c’est cet édifice. Elle surplombe les bâtiments, les quartiers alentours s’illuminent lorsque le soleil daigne les couvrir. L’emplacement est parfait puisqu’il remplace la ‘maison de dieu’. Ce manoir est blasphématoire, ne serait-ce que par son emplacement, par ses décorations, bientôt visibles, éclairées par Helios. Il s’amuse, plus haut. Enfin, le château se montre sous ce voile, cette orée de jour. De grandes tours s’élèvent du sol, de jolies statues se montrent sur la façade, surtout une, face à l’entrée. Placé au centre d’un arc de cercle de chemin pour magnifier l’entrée, un archange se prosterne face à ceux qui sortent de la maison. Son double, face aux arrivants, est puissant, droit, protecteur. Son air de dieu orgueilleux dévoile son identité. Lucifer. Il surplombe, domine quand des gens approchent, mais les maîtres de la maison le soumettent. Dos à dos, ces deux Lucifer donnent la couleur, en entrant ici, vous serez chez des dieux. Alentours, des jardins symétriques entretenus par des valets, des arbres taillés entourent le terrain, empêchant les petits curieux de venir regarder ce qui advient dans le jardin d’Eden. Les propriétaires sont partis en voyage d’affaires, laissant leur pauvre enfant seule. Comment pourrait-elle donc survivre seule ? Elle est toute jeune adulte cette belle ange. Elle dort encore dans ses draps rouges et blancs… Ils sont froissés sous son corps blême, sous ses mains qui agrippent avec candeur sur un gros chien blanc à l'allure davantage lupine, lui aussi endormi. Les rideaux, agités par une brise légère, plongent la chambre dans une pénombre matinale agréable. La bête entre ses bras s’agite paisiblement, d’abord la queue, puis les oreilles, enfin, tout le corps. Elle glisse sans l’éveiller et sort de la chambre.

La porte est entrouverte… Quand elle dort, ses yeux, ses lèvres, son visage entier est apaisé, on dirait presque qu’elle sourit parfois dans son sommeil. Une véritable petite étoile tombée du ciel. Dommage que cela ne dure pas. Jamais. La petite princesse a été élevée dans le luxe, elle est habituée à avoir tout ce qu’elle désire. Garce, pourrie gâtée, peste, provocatrice, ricaneuse. Loin d’être un ange de coeur et d’âme. De toute façon, elle n’a jamais aimé les anges. Ils sont ennuyants. Mis à part le gardien de cette maison. Ses paupières se crispent quand un rayon vient taper sur sa belle peau… Hmm… Pas déjà… Elle préférait le monde de Morphée que celui des hommes, même si son monde elle le régit, au doigt et à l’oeil. Personne ne lui manque de respect, jamais. Sous peine d’avoir la colère des dieux sur le dos. Elle s’éveille, cette créature. Elle émet un petit “Hmmm…” plaintif de sa voix de princesse. Elle ouvre les yeux enfin. Sa chambre est décorée sobrement, de rouge et de noir. Dans chaque salle se trouve un objet insolite, glauque qui rappelle que la maison est soumise aux lois du diable. Dans sa chambre ? Sur un mur se trouve une croix inversée peinte en rouge aux contours noirs, suintant des perles de peinture noire sur le mur rouge sang. Le désavantage c’est que la pièce serait… un four si seulement il n’y avait pas cette climatisation adorée. Vingt degrés tout le temps, même durant l’été. En parlant d’été, ce soleil qui s’est levé bien trop tôt l’a également titillée BEAUCOUP trop tôt à son goût. Elle se redresse, d’abord la poitrine, puis la tête, ses cheveux noirs tombent sur son visage, ses bras posés sur le lit l’empêchent de s’allonger. Ses jambes sont resserrées, l’une contre l’autre, elle tourne ses beaux yeux vers l’entrée menant vers l'antichambre et vers sa penderie démesurée.

Hmm… C’est quoi son nom déjà…  Esclaaaaaave !

Oops. Est-ce faux ? Certainement que non. Il est son petit toutou adoré, un gentil petit chien qui lui obéit pour avoir de l’argent, être nourri, logé et être traité comme une merde. C’en est une. Les gens n’ont que ce qu’ils méritent. Un chien doit être considéré comme un chien, c’est ainsi. Un dieu doit être élevé par rapport aux autres. En tant que princesse, elle se doit d’être présentable, d’être respectée. Une noble comme elle n’a pas d’attention à accorder à son majordome. Elle attend qu’il se présente à elle, assise sur le rebord droit du lit, de profil, -le lit est face à la porte-, la tête à peine tournée vers lui. En dormant, elle n’a pas de sous-vêtements, juste une nuisette noire qui redessine parfaitement les courbes de son corps. Son ordre claque et elle pose son dos sur le lit d’un air las:

Habille-moi, laquais. Tu trouveras le nécessaire dans l’antichambre je veux une robe légère, peu importe la couleur, sauf blanc. Et des sous-vêtements bien entendu, ne fais pas plus abruti que tu ne l’es, esclave.

Elle tire la langue vers le plafond et attend, à demi allongée, ses jambes sont dénudées à hauteur de mi-cuisse, elle ne courbe pas le dos, elle n’a pas l’intention de l’aider non plus pour ses ordres sommaires. Lever les fesses ou les bras ? Trop fatiguant pour elle. Il devrait se hâter, elle a une patience quasi inexistante. La jolie demoiselle s'appelle Eden Blanc, française. Une véritable petite garce, elle se saisit de son téléphone avant de pianoter sur son clavier, sans s'intéresser à ce qu'il fait... C'est une feinte, elle le regarde. Il ne manquerait plus qu'il la touche ou la regarde de trop près.
« Modifié: jeudi 27 juin 2019, 23:38:44 par Lyra Scytha »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

Réponse 1 samedi 06 juillet 2019, 09:36:50

Avec une dextérité qui confère au surnaturel, Arthur fait sauter les pancakes dans la poêle, avant de les déposer sur l’assiette en porcelaine. Le doux bruit de la machine à café rythme ses vifs coups de poignet. Soudain, un regard sur sa nuque. L’homme se retourne, amusé, et se baisse à demi pour inviter le berger suisse à s’approcher de lui. Le noble animal daigne frotter affectueusement sa tête contre sa cuisse alors qu’il lui flatte le poitrail. « Limbes. Bon chien. » Le berger est son seul allié, dans ce sinistre manoir. S’il est d’une loyauté indéfectible à l’égard de sa petite maîtresse, Arthur est probablement la seconde personne au monde qu’il autorise à le caresser. « Viens manger », murmure-il, en ouvrant le gigantesque réfrigérateur pour en sortir une énorme cuisse de poulet crue, qu’il jette en direction de l’animal. Souplement, Limbes la saisit au vol et la broie méthodiquement entre ses dents acérées. « Bien, je suppose qu’il est temps d’aller voir ta Maîtresse à présent », ajoute-il, en disposant théière, tasse, confiture et pancakes sur un plateau verni, décoré de feuilles d’or. Il soupire. Depuis le départ de ses parents, la petite garce rivalise d’astuce pour lui rendre la vie impossible, le traitant comme une larve, tout en s’amusant à l’asticoter de manière à éveiller son désir. Arthur soupire, ouvre la porte de la cuisine vers le jardin pour permettre à Limbes d’aller se soulager puis se saisit de plateau pour se diriger à l’étage du manoir. Obéir aveuglement aux désirs d’une incorrigible peste, tel est le quotidien du majordome. Démissionner lui est impossible, étant donné les informations critiques que détient le maître de maison sur ses précédentes activités, et dont attestent certains tatouages qui lui recouvrent le corps. Les marches craques sous les talons de ses impeccables chaussures vernies. Aujourd’hui, comme tous les jours de la semaine, il porte sa livrée noir et blanche. Attaché à sa cheville, un couteau à cran d’arrêt. Au cas où. Lord Blanc est un homme important. Susceptible de faire l’objet de chantages, enlèvement et autres moyens de pression, tout comme sa fille unique. La voix encore ensommeillée de la peste parvient jusqu’à lui. Juste à temps.

« J’arrive Mademoiselle Eden »
, répond-il d’un ton posé.

Parvenu sur le pallier, il avise la porte entrouverte, glisse sa main gauche sous le plateau qu’il presse contre sa poitrine musculeuse. Assise sur son lit, la brunette le toise de travers, déjà courroucée. Comme d’ordinaire, sa tenue est inappropriée, dévoile ses bras et ses jambes blanches. Moule ses petits seins orgueilleux. Mais Arthur est un professionnel. C’est dans les yeux qu’il regarde sa petite maîtresse, un sourire poli posé sur ses lèvres serrées.

« Bien Mademoiselle. Une fois chose faites, je vous suggère de prendre votre petit déjeuner avant qu’il ne fasse trop chaud. Peut-être pourriez-vous ensuite rejoindre Nimbes au jardin. »

Ce n’est pas la première fois qu’elle lui demande de l’habiller, mais cette requête est devenue systématique depuis le départ de ses parents. Il lui jette un regard agacé, alors qu’elle ne peut le voir, ses jolis cheveux bruns reposant sur son oreiller immaculé, pose le plateau sur la table de cheveux et se dirige vers le dressing de la petite peste. A force, il connaît ses goûts. Jaugeant les vêtements suspendus, il s’empare d’une jolie robe rayée qu’il pose sur son bras, se penche pour récupérer un ensemble culotte soutien-gorge rose pâle simples, mais élégant.

« Le blanc vous va très bien Mademoiselle, vous le savez bien », lance-il à son retour. « Coupons la poire en deux, voulez-vous ? »

Pourquoi diable cette petite peste n’embauchait-elle pas une gouvernante ? Elle en avait largement les moyens. Il s’assoit à ses côtés, le regard fixe, volontairement absent. « Allons ne faites pas l’enfant ». Il remonte lentement la nuisette sur ses hanches, sans regarder ses hanches. Ses grosses mains glissent sur sa peau éthérée, frôlent ses petites fesses rebondies. Il ferme les yeux, se forçant à imaginer quelque chose de désagréable. Comme la guerre. Ses mains se raffermissent, le vêtement découvre ses petits seins. Il attrape délicatement un poignet, puis l’autre, fait passer la nuisette par-dessus sa tête, la décoiffant au passage. Elle est nue, bien sûr, mais Arthur tient bon. Il enfile la culotte sur ses pieds, la fait glisser sur ses cuisses, soulève de nouveau son petit cul pour l’y ajuster. Le soutien-gorge à présent. Et le plus dur sera fait. « Allons. » Il glisse sa main derrière son dos, la relève sans difficulté. Pose le sous-vêtement sur ses petits seins, se penche vers l’arrière pour l’attacher dans son dos avec un air pincé. Puis il se lève. « Vos bras. » La jolie petite robe glisse sur son corps gracile. Il se baisse de nouveau, en ajuste la ceinture. Puis se recule d’un bon pas, croisant ses bras derrière son dos.

« Voilà qui est fait, Mademoiselle Eden. Est-ce que ce sera tout ? »

Merde. Il n’est pas parvenu à parfaitement se maîtriser. Un léger renflement au niveau de son entrejambe indique qu’il a été déconcentré. Avec un peu de chance, la peste ne le remarquera pas… Tu parles. A l’extérieur, Nimbes s’agite, aboit après un lapin égaré.

Lyra Scytha

Dieu

Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

Réponse 2 lundi 15 juillet 2019, 13:32:48

Limbes semble avoir une place plus importante dans son coeur que ce vulgaire esclave. Arthur ? Ici, pas de nom, juste des sommations. Des ordres. Après tout, quand on est aussi influent que ses parents, aussi puissant qu’elle, il est très déconseillé de lui manquer de respect… Haha ! Surtout lui ! Ce pauvre petit chien qui a été en taule pour des conneries. Pour quoi déjà ? Oh elle ne sait plus, ça d’vait pas être si intéressant si elle a oublié… Ou disons… Pas très dangereux. Ou alors elle a juste une mémoire défaillante. Oui, ça doit être ça.  Il est entré avec un plateau, à temps, il est décidément bien ponctuel, elle apprécie cela. Mais elle est très loin de lui montrer. La petite capricieuse peste entre ses dents sans vraiment être silencieuse ou discrète… Elle fit un petit geste de la main en grondant paisiblement… “Moui.” Elle n’aime pas avouer qu’il a de bonnes idées, bien au contraire, d’ailleurs, elle ne répète pas qu’elle ira dans les jardins par la suite, à l’arrière de l’immense demeure se trouve une piscine, elle ira certainement à ses bords plus tard pour bronzer tranquillement… Se faire masser au soleil, en voilà une bonne idée… Le laisser la masser … Et… Quelle BOOOOONNE IDEE. Eden étire un sourire fort détestable quand il est parti lui chercher sa robe. Un compromis ? Hmph. Il cherche quand même à avoir un peu d’incidence ici ? N’a-t-il pas compris que sa destinée est entre ses mains ? Pauvre petit chien.

Mais elle accepte, parce qu’elle sait qu’elle va avoir le droit à de jolies caresses chastes, qu’elle va avoir le plaisir de le sentir la haïr de plus en plus… Elle se nourrit de cette haine … Le torturer, lui faire songer que jamais il ne pourrait l’avoir, c’était ça qu’elle aimait. Parce que c’est le cas. Jamais il ne l’aurait. Et ce sera pire dans les jours à venir. Après tout, seuls, tous les deux, s’il y avait une gouvernante ce serait ennuyant… Nooon… Un homme qui l’habille et la déshabille c’est bien plus … intéressant. Les yeux à demi rivés sur son téléphone, elle sent les mains de l’homme parcourir ses hanches, remonter sa nuisette, elle ne l’aide pas, à part qu’elle repose paisiblement son portable sur le lit pour au moins avoir les mains libres. Au passage près de ses fesses, elle se pince les lèvres tant d’agacement que d’amusement. Un petit rictus s’étire sur ses lèvres.

Et dire que… Maintenant qu’elle est nue, il lui serait facile de la maîtriser, de la tringler à même le sol, d'avilir ce joli petit cul qu’il vient de toucher… Elle se demande bien comment il arrive à se contrôler ainsi, ce n’est pas facile pour tout le monde… Certainement le fait de ne plus jamais trouver de boulot après ça …?  Imaginer un instant pouvoir soulever ses hanches pour autre chose que l’habiller, sentir une main glisser le long de son torse… Vos bras. Elle peste et tire la langue et elle relève avec langueur ses jolis bras, presque en frôlant le torse de l’homme… Elle le fixe de ses yeux noirs, démoniaques. Il s’éloigne enfin de ce chaste corps où une âme faite d’ombres vit en maîtresse. Bien piètre choix de sa part de croiser les mains derrière le dos en pensant qu’elle n’a pas vu cette légère protubérance. Elle se relève lentement, il est largement plus grand qu’elle et pourtant c’est elle qui le dirige, qui lui ordonne, c’est adorable. En entendant Limbes aboyer, elle s’approche de la fenêtre et se penche au-dessus, un sourire aux lèvres. Elle n’est pas vraiment du genre à manger beaucoup, bien au contraire, d’habitude… Elle ne mange quasiment rien. Pourquoi ? Pas envie. Jamais faim. En se penchant à la fenêtre elle salue d’en haut son très cher animal de compagnie tandis que le cloporte est toujours derrière elle. Elle se tourne enfin et décide de lui répondre.

... Hm. Pas trop mal. En revanche.. Je te propose quelque chose, esclave.” Elle s’approche dangereusement de lui et pose son index sur son torse, relevant ses prunelles sombres vers lui, un sourire emplit de cruauté aux lèvres. “De toute façon tu n’as pas le choix. Si au bout de la journée je t‘ai vu bander plus de cinq fois, tu regretteras. Ca fait, un.” Elle lui intime le silence en plaçant son index sur ses lèvres dès que ses paroles cessent, elle étire un sourire mauvais, saisit distraitement l’assiette sur le plateau pour l’emporter avec elle dehors. Elle grignote distraitement un pancake et se tourne vers sa chambre une dernière fois. “Tu viendras m’étaler de la crème solaire sur le corps dans dix minutes.” Elle descend rapidement les escaliers … Ah non, elle glisse sur la rambarde jusqu’en bas des escaliers d’où elle court vers le jardin, les pieds nus, un sourire enfantin, faussement, aux lèvres.

Limbes vient à sa rencontre, elle embrasse doucement sa truffe, il la récompense en léchant son visage doucement. Elle a pris le soin de déposer l’assiette avant de se jeter contre l’être touffu. Programme de la journée ? Plonger dans l’eau avec ses vêtements pour s’en foutre du travail fourni par ce pauvre homme. D’ailleurs, elle court vers la piscine, Limbe la suit mais s’arrête au bord, pas elle. Un peu froide cette eau. En quelques brasse elle revient vers le bord, se hisse doucement de ses jolis bras frêles et, enfin, reste sur le bord, au soleil… Le vent réveille de doux frissons.. L’eau lui a éveillé l’esprit, maintenant elle a un peu froid. Inconsciente cette gamine, tout à fait… Limbe reste assis à côté d’elle, s’allonge, elle se redresse après avoir flatté sa belle fourrure… Elle s’avance vers une chaise longue, s’allonge paisiblement… Le vent frais… Maudite idée. Elle se recroqueville doucement alors que le soleil s’avance vers elle et l’illumine, la réchauffe enfin, pas assez cependant. Demander de l’aide ? Foutaise, hors de question de demander de l’aide à ce… Elle retire sa robe et la lance lestement sur un autre transat. Le voilà ton compromis, foutu chien. Elle étend ses glabres jambes lentement devant elle, observant les alentours… Sa peau commence enfin à sécher, elle attend… Les dix minutes sont passées. En sous vêtements mouillés, elle l’attend, jouant distraitement avec ses cheveux.. S’il paraît, alors elle lui dit d’un ton impérieux: “Applique toi, petit chien. Et après tu masseras mes pieds et mes jambes.

Eden était détestable, mais on lui pardonnait lorsqu’on voyait ce corps. Mouillés, ses muscles se redressaient avec sa respiration légèrement sifflante. Elle avait froid, ses jolis bras étaient parcourus de chair de poule. Mhh… Programme de la journée… Après ce passage à la piscine, elle irait certainement se laver… L’assiette à côté, elle mange distraitement un autre pancake, les yeux clos, le soleil atteint enfin son visage… Elle soupire agréablement, sa poitrine se soulève, ses jambes se serrent lentement… Elle se tourne sur le ventre pour qu’il puisse commencer par-là. Quand il aurait terminé, il devrait faire le devant et ne pas oublier les jambes… Les statues semblent juger la situation et s’en amuser, tout comme Eden qui en rit même.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

Réponse 3 mardi 13 août 2019, 09:07:28

Arthur n’est pas seulement plus grand que sa petite maîtresse. Il est également bien plus imposant. De larges épaules, des bras épais et une paire de grosses mains qui se crispent légèrement dans son dos lorqu’Eden daigne enfin décoller son joli petit cul du matelas. Elle est ravissante, assurément. Son air infatué et le léger pincement de ses lèvres roses la rendent plus belle encore… Non, plus bandante, inutile de se mentir. L’ingénue s’approche de la fenêtre, se penche en offrant sa croupe à son valet. L’envie lui prend de claquer ces fesses, d’y laisser une marque rouge, brûlante. Mais il se retient. La petite l’a bien dressé. Lorsque l’intéressée, menaçante, s’approche de lui, il se tient droit comme un piquet, son regard au dessus de la tête de l’adolescente pour éviter que ses yeux ne plongent dans son corsage. Il sent l’odeur délicate de son corps gracile, la pression de son doigt sur son pectoral.

"Je vous prie de m’excuser Mademoiselle. Cela ne se reproduira plus, soyez-en certaine.”

Lorsqu’enfin elle s’éloigne, l’homme soupire longuement. Il n’a aucune envie de savoir ce que la petite peste lui réserve. Ou plutôt si mais… Il ne peut pas se le permettre. Le salaire honnête qui lui est versé par le père d’Eden, il l’envoie intégralement à sa vieille tante, la femme qui l’a élevée. Et elle en a besoin.

“De la crème solaire. Bien Mademoiselle Eden, j’arrive dans dix minutes”, répond-il automatiquement, sans la regarder. Encore un nouveau caprice qui permettra à l’odieuse garce de se jouer de lui.

Mais… Il a la solution, oh oui. Aujourd’hui, la belle enfant ne gagnera pas. Un rictus satisfait s’étire sur son visage fatigué alors qu’il entreprend de ramasser les quelques vêtements qu’elle a disséminé aux quatre coins de sa chambre pour les poser dans le panier à linge sale. Au rez de chaussée, les pas d’Eden s’estompent. Enfin. Dix minutes. Dix petites minutes de répit. Et à quoi allait-il les employer ? Quelle honte. Mais le besoin était bien trop pressant. Il ramasse une petite culotte sale, négligemment jetée sur le dossier d’une chaise, et l’écrase fiévreusement sur son visage. Il hume l’odeur de la jolie garce, les yeux mi-clos, alors que les doigts de sa main gauche font glisser sa braguette, extirpe sa grosse trique de son uniforme. Lentement, il commence à se branler, écrasant son vit de ses doigts tremblant en faisant coulisser le prépuce sur son gland luisant. “Hmpf”. La culotte embaume la sueur sucrée de sa propriétaire, mais aussi l’odeur plus âcre du sexe. Est-ce qu’elle se masturbe, l’effrontée ? Est-ce qu’elle torture son bouton de rose du bout de ses jolis doigts fuselés ? Ah, putain. Il emprisonne son gland dans le tissu immaculé de la culotte, s’approche avec précaution de la fenêtre. En contrebas, la brunette folâtre dans le jardin, prend son élan pour se jeter dans la piscine, éclaboussant les alentours. Oh, comme semblerait ingénue aux yeux d’un étranger ! Même son père la croyait innocente. Alors qu’elle était la plus odieuse des garces.

Humpf”, grogne-il, lorsqu’elle sort de la piscine. Trempée de pied en cap, le tissu de sa robe moule outrageusement ses formes juvéniles. Sa main écrase encore davantage sa queue, alors qu’il reprend sa masturbation. “Catin, garce.” D’ici, il peut l’insulter. Elle ne l’entendra jamais. Lorsqu’elle ôte sa robe, Arthur imagine ses tétons roses, raidis par le froid, le tissu détrempé de sa culotte s’insinuer dans sa vulve. “Ch...Chienne”, achève-il, avant de juter copieusement dans le sous-vêtement en grognant de rage et de plaisir.

Trois minutes plus tard, c’est apaisé qu’il rejoint sa petite maîtresse, une serviette pliée dans le creux de son coude, un tube d’huile solaire dépassant de sa poche. Nimbe vient à sa rencontre, décrivant de larges cercles autour de lui en aboyant joyeusement. Dès qu’il paraît, l'adolescente l’invective déjà. Chien ? Fichue peste. “Bien, Mademoiselle Eden. Permettez-moi avant toute chose de vous sécher. Vous êtes absolument trempée.”, glisse-il sournoisement, en affichant la plus complète décontraction. Il contourne le transat, pour s’agenouiller sur l’herbe, enveloppant ses petits pieds dans la serviette immaculée pour les sécher, avant de remonter lentement le long de ses jambes. Mais elle se dérobe, se retourne pour lui présenter - littéralement - son petit cul. Tout est sous contrôle. Avec un soupire, il pose la serviette, vide une noix de crème dans la paume de sa main droite et s’accroupit sur le côté du transat, avant de plaquer sa grosse main sur la peau de pèche de sa maîtresse. Étalant lentement le liquide sur son dos, il défait adroitement l’attache de son soutien-gorge pour dégager ses omoplates qu’il badigeonne également, par de longs mouvement amples et circulaires. Ses mains sont grosses calleuses. Puissantes. Elle pétrissent la peau délicate de la brunette indolente avec délicatesse, mais fermeté, s’efforçant de réchauffer ce corps tremblotant.

En dépit de la frustration et de la rouerie dont elle fait preuve à son endroit, la vérité est qu’Arthur affectionne la petite garce. Une affection profonde, réelle et désintéressée, gâchée par des pensées obscènes, malsaines et persistantes.

“Je passe à vos jambes, Mademoiselle”
, prévient-il, en faisant glisser ses gros doigts autour de ses cuisses fuselées. Le nez à quelques centimètres de ses jolies fesses bombées, le majordome s’efforce de les occulter du mieux possible, tout en faisant glisser ses mains huileuses le long des mollets de la brunette. Eden pouffait, son index entortillé dans ses cheveux détrempés.

“Allons, retournez-vous Mademoiselle”, grogna-il, sans parvenir à cacher son agacement. Ils étaient déjà passés par là quelques minutes plus tôt et une fois encore, Eden ne faisait aucun effort. “là”, murmura-il, lorsqu’elle y consenti, lui présentant son abdomen diaphane. Une nouvelle fois, le serviteur enduit ses mains d’huile, pour l’étaler autour de son nombril, remontant lentement jusqu’au dessous de ses petits seins. Il lui soulève ensuite un bras, qu’il fit glisser entre ses mains expertes, jusqu’à ses doigts, avant de réitérer l’opération avec le second. L’avant de ses cuisses sera plus délicat ; le renflement de sa vulve se devine sous la mince bande de tissu qui la couvre, et cette fois-ci, il se mord fermement la lèvre inférieure en détournant le regard. Une seconde érection est inenvisageable. Pas aussi vite. Il se déplace légèrement, fait glisser ses mains sur l’avant de ses cuisses, ses doigts vers l’intérieur. Jette un regard furtif à la fausse ingénue.

Bien”, souffle-il une fois son ouvrage accompli. “Si Mademoiselle n’a plus besoin de moi, je vais me retirer pour le moment”, achève-il, en essuyant la sueur qui commence à perler de son front. Il est encore très tôt, mais le temps est déjà lourd. La soirée serait orageuse.

Lyra Scytha

Dieu

Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

Réponse 4 samedi 21 mai 2022, 00:52:05

En balançant ses jambes graciles, la petite garce s’amuse à penser à des choses. Diablesse. C’était ce qu’elle était, une diablesse qui a ce qu’elle veut quand elle veut. Les chiens vivent avec leurs congénères et les déesses les piétinent autant qu’elles le peuvent, jusqu’à les voir crever entre leurs doigts en s’approchant d’eux. Nimbe s’est sans doute décidé à se coucher sur le côté, près d’eux deux. La diablesse arque un petit sourcil en le voyant la contredire. Oh, se faire sécher ? Trempée ? Voilà de bien brusques termes, des paroles peut-être qu’elle interprète mal, oui, c’est sûrement ça. Elle plisse les yeux pour elle-même. Elle attrape son téléphone sur lequel elle fait défiler quelques images distraitement en laissant les immenses mains de ce clébard la toucher, la parcourir. Pas le moindre intérêt ne lui sera accordé. A quoi bon... Ces mains d'homme qui a vécu, sur un corps qui n’a connu que trop peu de choses et qui s’en amuse. Cette innocence à laquelle son cher père croit, la petite demoiselle qui réussit tout ce qu’elle fait, si elle échoue… Ce sont les autres les fautifs. Si elle est blessée, ce n’est pas qu’elle a manqué des marches dans les escaliers, mais que le petit chien chien n’a pas su la rattraper à temps… Ce n’est pas elle qui s’est brûlée, c’est la maison qui était en flammes.

La diablesse retient de très légers soupirs d’aise à ses gestes puissants et fermes qu’elle apprécie. Apprécie ? Comment pourrait-elle apprécier les massages de ce petit délinquant. Non, décidément, elle n’arrivait pas vraiment à savoir ce qui avait bien pu se passer pour que lui, cet individu qui vit chez elle soit choisi. Hmmm… Il faudrait y remédier. Mais pour l’instant, elle s’amuse terriblement à le torturer. Les hommes sont prévisibles et malgré le contrôle qu’il a sur lui-même, il est tout à fait pathétique. Il ne devrait pas même être considéré comme un homme, larve, c’est un terme équivalent dans le vocabulaire de Mademoiselle Blanc. Si les hommes sont pathétiques, alors ceux qui lui appartiennent et qui sont à son service ne valent guère plus que du sable dans un désert. La diablesse se tourne lentement, réchauffée par le soleil de plomb. Sa peau se couvre de frissons lorsqu’il parcourt ses côtes, qu'il passe près de ses seins, vers l'intérieur de ses cuisses. Elle les resserre très légèrement, non gêne, mais de très léger plaisir. Elle plisse les yeux lorsqu’il détourne le regard. Puis elle se redresse très légèrement quand les mains de l’homme la quittent.

Quelle ne fut pas sa surprise ou plutôt son agacement lorsqu’elle vit que son petit manège n’avait pas… Suffit ? Est-ce que c’était supposé être une guerre d’ego ou de tromperies  ? Elle se pince les lèvres de frustration. Ou il avait un contrôle de lui tout à fait incroyable, ou il avait triché. Et une larve comme lui était plus à même de tricher. Oh ce qu’elle était déçue. Et la déception amène de bien belles conséquences, aussi atroces que son esprit peut l'envisager. Il voulait jouer ? Bien, tant pis pour lui, le petit divertissement allait se poursuivre jusqu'à cet orage. Elle se redresse, ne remettant pas son soutien-gorge, à quoi bon, les haies sont suffisamment hautes pour éviter les regards indiscrets qui ne soient pas… Attirés volontairement. La demoiselle passe une main dans ses cheveux mouillés, il lui demande s’il peut vaquer à ses occupations. Quelles occupations… Ils sont seuls pendant encore un petit moment… Il devrait avoir le droit de se reposer, lui aussi, pas vrai ? Ce serait tout à fait humain comme pensée, n’est-ce pas ?

Dommage que la fille du diable ne soit pas de cet avis. Elle se redresse, debout, alors qu’il est toujours agenouillé au sol. Elle avance une main vers la tête du laquais qu’elle tapote, faussement avec un sourire témoin clair de son agacement de n’être pas parvenue à obtenir ce qu’elle voulait. “Allons, allons, pourquoi fuir aussi vite…” Elle délaisse les cheveux qui étaient pourtant impeccables du majordome, maintenant un peu dérangés. Oups, dommage. Elle penche sa tête vers la sienne, souple, son dos encore droit, elle tire un peu la langue en donnant une pichenette sur la joue de l’homme, ça fait passer sa frustration et il le mérite. “A suer toute la journée dans un tel accoutrement… Hm. Relève-toi.” Termine-t-elle froidement. Elle suit son visage du regard. Il est grand, d’un geste… Il pourrait la soumettre et pourtant il ne le fait pas. La soumettre, attraper ses cheveux, ou sa gorge immaculée et retirer ce tissu qui semble tant l'intéresser. Cette culotte qu'il ne saurait que trop bien retirer, avec trop de hâte pour dévorer le corps de cette jeune impératrice. On ne touche pas à une reine, à une déesse. Et la petite ange le sait bien, personne n’a le droit de toucher à ses jolies petites fesses. Personne n’a le droit de la dévorer du regard, tous doivent détourner leurs jolies pupilles de sa splendeur, ou à l’inverse la contempler. Mademoiselle Blanc aime son regard. Que pouvait-il bien y avoir dedans. Son air calme, veut-elle voir un changement ? Continuerait-il d'avoir ces envies de la tringler lorsque Monsieur Blanc serait dans le coin ? Ca ou bien plus, la faire taire, étrangler ses gémissements pour éviter que la diablesse ne crie trop fort.

L’air et le ton impérieux qui entrouvrent ses lèvres, ses mains se lèvent lentement vers son torse, elle retire la veste du valet et la jette négligemment vers une chaise longue, plus loin. Elle commence à retirer un à un les boutons de sa chemise blanche, elle observe son torse un moment, une fois découvert. Elle le toise un instant, ce corps que toutes s’arracheraient, couvert de tatouages, musculeux à souhait. Elle hausse un sourcil, pas assez impressionnant à son goût. C'est ce que ce sourcil signifiait, dubitative. Elle pointe son doigt vers lui puis appuie sur un de ses muscles abdominaux avec son ongle, le titillant très légèrement pour l'agacer... avant de poser ses deux mains dessus, ses doigts tracent un instant les muscles…  “C’est mieux comme ça, esclave ? Tu devais avoir très chaud…” Dit-elle en plissant les yeux, vipère. Elle se détourne, ennuyée, abaisse le haut de son corps, attrape son soutien-gorge plus bas, touchant volontairement la cuisse de l’homme avec sa croupe. Comme il serait facile pour elle de décompter une deuxième bosse dans son pantalon, si seulement il n'avait pas... triché. Elle n'apprécie pas et ça se sent. Frustrée, la petite poupée. Elle étire un sourire, angélique en tenant son soutien-gorge du bout de l’index, collant un peu son dos contre son torse, très légèrement cambrée. “Tu sais à quel point j’ai besoin de toi, esclave.” Sa voix n’aurait pas pu être davantage sarcastique. Sa cambrure n'oscille pas, souple. Le visage tourné vers lui, de côté. Comme il serait facile de la faire taire... Juste une main sur la nuque, sur la gorge, sa queue collée entre ses petites fesses qui ne demandent qu'à être saisies... La diablesse agite un peu le soutien-gorge en faisant une petite moue, le visage très légèrement tourné vers lui pour qu’il l’aide à nouveau. Il ne faudrait pas poursuivre davantage les fantaisies... Emmerdeuse.
« Modifié: mardi 24 mai 2022, 08:52:32 par Lyra Scytha »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Infernal Modern Slavery || PV. Jack Taylor

Réponse 5 jeudi 23 juin 2022, 13:49:24

La seule et unique raison pour laquelle la queue du laquais n’est pas érigée, c’est parce qu’il vient à peine de se branler, de copieusement juter dans ses sous-vêtements usagés. Mais ça, la sale petite garce ne le sait pas. L’air courroucé qu’elle affiche lorsqu’il la délaisse l’amuse, et un léger sourire se dessine sur ses lèvres entrouvertes. Eden a un besoin maladif, pathologique de plaire. Il en est certain, le fait qu’il reste de marbre en enduisant son joli petit corps diaphane de crème est vécu comme un rejet. Et Eden n’aime pas du tout se faire rejeter par son chien. Il a malgré tout un geste de recul lorsque la garce se redresse, agitant ses petits seins laiteux juste sous son nez, pousse sur ses jambes pour se relever, mais la petite princesse le prend de vitesse et il frissonne lorsque ses longs doigts fuselés glissent dans ses cheveux de jais. Jolis petites mains toutes douces et toutes propres, qu’il est si facile d’imaginer coulisser sur son gros chibre.

“Loin de moi l’idée de vous fuir, Mademoiselle Eden. Mais j’ai à faire dans la maison.”

Il sursaute, cligne des yeux lorsqu’elle le frappe, la foudroie brièvement, mais intensément du regard. Son corps s’est tendu à l’agression, et avec une moins bonne emprise sur lui-même, il l’aurait giflée. A l’ordre donné, il obéit silencieusement, avec un sourire de façade. “Merci Mademoiselle Eden.” Néanmoins, sa voix est un peu rauque, altérée. En dépit de son récent orgasme, il sent le désir refluer dans ses entrailles. Il a toujours eu de gros besoins. Difficiles à satisfaire. La jolie petite garce est proche, bien trop. Sous le tissu de son uniforme, les muscles de ses biceps et de ses avant-bras sont contractés à l’extrême, et il peine à ne pas serrer les poings. Il a envie de la ravir, de la ravager, de la souiller.

“Mademoiselle Eden.” Il pose doucement  ses mains sur ses poignets lorsqu’elle agrippe les pans de sa veste. “Ce n’est pas correct.” il lui suffirait d’une torsion pour les briser, Eden Blanc est si fragile.. Et pourtant si impérieuse. Il finit par se laisser faire. Il n’a pas vraiment le choix. Il coopère, en espérant qu’elle n’aille pas trop loin. Ce qu’elle fait. Une fois sa coûteuse veste jetée comme un vulgaire chiffon en travers d’une chaise de jardin, les doigts fuselés de l’adolescente s’attaquent au bouton de sa chemise, dont la lourde respiration d’Arthur tend le tissu soyeux. Il sent ses ongles effleurer sa peau, à travers la boutonnière, plisse les yeux, respire par le nez lorsqu’elle expose son torse pour le plaisir de ses jolis yeux. Le jugement qu’il y lit toutefois, manque de le faire vriller. Mademoiselle la petite pute fait la difficile. La pression de son ongle sur ses abdominaux ciselés le fait frémir, le contact de ses deux petites mains fraîches le fait sursauter. Un grognement involontaire rauque, animal, s’échappe des lèvres entrouvertes du laquais. De nouveau, le sang afflux vers sa grosse queue, mais la sale petite garce s’est déjà détournée, affectant le désintérêt le plus complet. Soupir de soulagement. Prudent, il recule d’un demi pas, pour ne pas que sa croupe s’écrase contre la grosse bosse naissante. Trop proche, toujours trop proche.

“Oui Eden, bien Eden”,[/color] balbutie-il. Sa main tremble lorsqu’il s’empare du sous-vêtement. Il est si perturbé qu’il en oublie ses formules de politesse. A ses pieds, Nimbe se redresse paresseusement, lui jetant un regard courroucé, avant de s’éloigner d’un pas tranquille. La chienne doit probablement être sensible au déferlement de phéromones qui agite l'atmosphère. Lorsqu’il passe les bras autour de ses hanches, il se penche légèrement, par-dessus son épaule, la gratifiant de son souffle brûlant sur sa nuque. Mais alors qu’il s'apprête à poser le tissu sur ses petits seins, Eden remue légèrement, volontairement ou non, et la paume de sa main droite dérape sur le renflement de son téton érigé. “Hmmpf.” Eclair blanc. Les battements de son cœur s’accélèrent, et Arthur vrille. Il avance son bassin, écrasant sa monstrueuse trique contre le dos de la jeune femme, ses pectoraux contre ses omoplates. Sa grosse main droite  lâche la bande de tissu pour se refermer sur son petit sein de la jeune fille. L’autre se referme délicatement sur sa gorge, comme par réflexe.

“Mademoiselle Eden. Vous. Devriez rentrer au salon.”

Le ton est haché, fiévreux. Et il ne la lâche pas. Sournoisement, son bassin remue contre la croupe de sa petite maîtresse. Il se penche légèrement déposant un baiser fiévreux sur sa nuque, puis entre ses omoplates. Ses doigts calleux, habitués aux basses besognes, enserrent désormais sa gorge laiteuse et vulnérable. Sans effort, il relève le menton autoritaire de la jolie petite brune, pour écraser ses lèvres avides contre les siennes, enfonçant sa grosse langue entre les petites lèvres entrouvertes. Il est foutu, et il le sait. Perdu pour perdu… “Il est temps de passer à la caisse maintenant, Mademoiselle.” Malgré son excitation, malgré la rupture de tous ses engagements, il reste dans son rôle, sans trop savoir pourquoi, si ce n’est que ça l’excite. Sa main droite glisse de son sein, sur son abdomen plat, encore poisseux de crème, jusqu’à s’insinuer entre ses jambes. Du bout de ses doigts, il effleure le renflement de sa petite vulve à travers le tissu de sa culotte rose pâle. “Hm ? la petite princesse, serait-elle mouillée ?” Il persiflent tout proche de son oreille, dont il vient brièvement mordiller le lobe. La prison lui tend les bras. S’il apprend son dérapage, Monsieur Blanc n’hésitera pas une seule seconde, sauf s’il décide de lui faire sauter la cervelle dans le salon. Seule la perspective de tringler cette sale petite garce qui le torture depuis des mois apaise son angoisse croissante. “Elle a besoin d’être lavée.”

Sans ménagement, il la pousse vers l’avant, pour qu’elle se réceptionne sur la chaise de jardin. “Cambre.” Le ton est impérieux, sans réplique. Arthur n’est pas né de la dernière pluie. Il a senti le mol abandon de la jolie brunette sous son assaut brutal. Il sait qu’il peut aller plus loin, même s’il en paiera probablement les conséquences plus tard. Si elle s’exécute, il se jette à genoux derrière elle, comme un foutu clébard, pour abaisser sèchement sa culotte sur ses genoux et la lui retirer. “Le pied droit d’abord Mademoiselle. Puis le second.” Putain de merde, cet adorable petit cul. Il le claque sèchement, l’écarte délicatement, pour dévoiler la corolle brune et nervurée de son anus, et, au-dessous, les lèvres baveuses de sa petite chatte qu’il sait vierge. Nouveau frisson. Cinq bonnes secondes passent, comme pour lui laisser la possibilité de s’échapper, même si son souffle court et brûlant caresse son intimité. Puis, il tire sa grosse langue et une première fois, la promène lentement de haut en bas sur la vulve de la jeune femme, avant d’embrasser fiévreusement son sexe, avec un odieux bruit mouillé. Entre ses propres cuisses, sa grosse main fait lentement glisser la tirette de sa fermeture éclair.


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