|Terminé | Allô allô, monsieur le proviseur... [Iki Ota]

Mathilde fut un peu surprise, voire déstabilisée par l'accès de tendresse du vieil homme, qui avait laissé transparaitre sa brutalité et sa domination en étant violent et agressif, ce qui ne la dérangeait pas le moins du monde. Mais sentir le proviseur lui embrasser le front en la caressant doucement, alors qu'elle savait ce qu'il allait lui faire, lui fit rater un battement de coeur. Ce vieillard de soixante-dix balais venait de lui faire du charme, et il avait réussi à lui faire de l'effet. Elle n'en revenait pas elle même, mais elle fut vite rattrapée par la réalité quand elle vit le puissant mât si proche de son visage... Les mains puissantes lui serrant la gorge lui faisait se frotter les jambes l'une à l'autre pour contenir son excitation, et quand sa bouche fut pénétrée, elle était à nouveau dans un monde de plaisir...

Elle sentait tout dans sa gorge, dans sa bouche, les mains autour de son cou, qui serraient, l'intérieur de sa gorge qui prenait la forme de la verge de son partenaire, qui l'utilisait comme si elle était un objet... Elle sentait ses bourses venir lui claquer sur ses lèvres et son nez, prêtes à se déverser en elle. Elle prenait plus de plaisir à se faire baiser la bouche que baiser le cul, c'était une certitude. Un monde de nouvelles sensations s'était offert à elle, et elle comptait bien en profiter.

Le vieil homme n’était pas qu’un violeur de lycéenne ou un adepte des prostitués, il était avant tout un homme de charme et séducteur dans l’âme. Son charisme naturel était un atout certain mais il connaissait autant de technique pour faire tourner la tête des femmes que pour les briser et il prenait autant de plaisir à faire les deux. Charmer une élève n’était pas très difficile en réalité, il y avait encore beaucoup ce fantasme de la figure d’autorité et d’homme mûr et il prenait un malin plaisir à jouer également à ce jeu. Pour Mathilde, il avait juste fait cela dans le feu de l’action, un peu de tendresse ne faisait pas de mal surtout avec ce qu’il s’apprêtait à faire.

Il y allait vraiment comme un forcené dans faire d’arrêt, il allait et venait encore et encore avec une puissance inouïe s’il ne la tenait pas, elle aurait sûrement beaucoup de mal à suivre le mouvement. Mais même s’il était très endurant, c’était la deuxième fois qu’il sollicitait son corps de la sorte et il se sentir venir plus vite que lors de la sodomie qui avait précédé, cependant il ne perdis pas l’occasion de s’engouffrer jusqu’au fond de la gorge de la jeune fille pour jouir une seconde fois et l’abreuver de sa semence. Il se retira un peu plus vite cette fois-ci alors qu’il n’avait pas fini de se vider et une partie de son éjaculation se retrouva sur le visage de sa partenaire.

Il lui sourit et s’essaya de nouveau à sa place en la regardant.

Elle se laissa faire, complètement, encore une fois, à la merci du proviseur, qui ne se privait pas pour y aller franchement. Elle aurait surement mal à la gorge le lendemain. C'est donc avec un immense plaisir qu'elle se laissa utiliser comme un jouet, avant d'apprécier la chaude boisson se déversant dans les tréfonds de sa gorge, puis de soupirer de soulagement une fois sa bouche libérée des assauts du vieillard. Il avait finit sur son visage avant de se rasseoir, mais elle n'avait plus la force de bouger.

Mathilde resta allongée comme ça pendant quelques minutes, en observant minutieusement le corps du proviseur, tout en reprenant sa respiration petit à petit. Elle s'était entretemps essuyée le visage. Elle se sentait vide, après l'avoir servit aussi intensément. Ironiquement, elle avait le ventre et le cul encore plein. Une fois son souffle revenu, elle lui parla, en restant dans sa position allongée.

-J'espère que ça vous a plut. N'hésitez pas à faire appel a moi quand vous voulez...

Il avait pu se faire plaisir comme il aimait le faire et en plus c’était avec quelqu’un qui lui correspondait parfaitement et qui aimait recevoir de la manière avec laquelle il donnait et c’était jouissif. Il regardait la jeune fille allongée et lui porta une main sur le crâne pour la caresser tranquillement pendant qu’il soufflait de plaisir, se remettant de cette session de sexe intense. C’était la première fois qu’il le faisait avec elle mais elle pouvait être sûre et certaines que ce ne serait pas la dernière fois, il avait bien trop pris son pied pour que ce soit quelque chose d’unique :

« C’était extraordinaire et je pense que nous nous reverrons très souvent, ma belle. »

Il la tire un peu vers lui pour qu’elle pose sa tête sur ses genoux et la regarde en passant ses caresses sur son corps nu et encore tout transi de plaisir :

« Mais tu sais ce qui est vraiment jouissif ? C’est quand ce n’est pas prévu. Je sais que tu es toujours la dernière à quitter les vestiaires au gymnase, alors pourquoi ne viendrais-je pas te prendre dans les douches ? Je ne te dis pas quand par contre, peut être demain, la semaine dernière ou dans trois mois quand tu auras oublier, qui sais. »

Il aimait beaucoup son idée et il espérait qu’elle aussi même si en vérité même si elle refusait, il ferait ce qu’il veut quand il le voudrait.

Mathilde, malgré son jeune âge, était déjà une prostituée avec une certaine expérience. Elle était habituée aux compliments et autre tentatives de gagner des faveurs. Elle se surpris cependant à rougir devant l'attention que le vieil homme lui portait. C'était rare pour elle de recevoir des gestes d'affections après l'acte, et c'était apparemment l'un de ses points faibles. Evidemment, elle ne pouvait pas savoir que c'était l'absence de figure paternelle dans sa vie qui rendait Iki Ota, le proviseur, beaucoup plus séduisant à ses yeux qu'il ne l'était réellement. Une figure d'authorité forte, dominante, prêt à tout, mais néanmoins capable de tendresse. C'était la goutte d'eau, elle n'avait pas besoin de plus de justifications pour accéder sans sourciller à n'importe laquelle de ses demandes... Elle se redressa légèrement, volant un baiser au proviseur, mais cette fois c'était un geste d'affection, dénué de toute luxure. Suite à quoi, elle se releva, cherchant ses affaires dans son sac pour commencer à se préparer.

-Bien sûr, je suis toute disposée à assouvir vos envies les plus folles, monsieur le proviseur ♥
C'est sur ces mots qu'elle attrapa son sac, l'argent qui lui était dû, et qu'elle sortie de la voiture. Il était tard, mais elle pourrait rentrer chez elle sans trop de problèmes...



Une semaine plus tard.

Une journée banale venait de s'achever pour Mathilde. Enfin, banale. Cela faisait une semaine qu'elle n'avait plus eu de rapports, son aventure avec le proviseur ayant créé en elle une sorte d'envie furieuse. Elle avait bien essayé, le lendemain, avec un autre de ses clients réguliers, mais ce n'était définitivement pas la même chose. C'était quelque chose qui la fascinait, en quelques sortes. Bien évidemment, elle portait encore quelques marques sur son cou, qu'elle cachait habilement à l'aide d'un choker plutôt épais.

C'est donc une semaine plus tard que la jeune étudiante se retrouvait, comme d'habitude, seule, à ranger le gymnase, alors que toutes ses camarades étaient rentrées chez elles. En fait, a part quelques professeurs et le concierge, vu l'heure, il ne devait pas rester grand monde dans l'enceinte de l'établissement. Elle allait cependant en profiter pour prendre une douche et se changer avant de partir, et c'est sur des pensées de son repas du soir qu'elle se dirigea calmement vers les douches.

Malgré son coté brutal et dominateur, Iki Ota pouvait également se montrer attentionné et doux mais ce n’était pas une des facettes de sa personnalité qu’il montrait à tout le monde, en vérité il ne la montrait qu’avec ses petites filles. Évidement comme toutes les femmes, ses petites filles avaient connu ou connaîtront la perversité de leur grand-père.  Peut être que Mathilde lui rappelait ses petites-filles pour qu’il se montre aussi tactile après l’acte mais en vérité il n’en était rien. Il avait aimé et était comblé après avoir couché avec elle alors elle avait bien le droit à un peu de considération et de douceur, il n’était pas un monstre quand même. Il lui avait sourit avant de la laisser partir, ils allaient se revoir très vite.


La semaine qui avait suivi n’avait pas été différente pour le proviseur, aussi délicieuse son aventure avec Mathilde ait été, il ne se satisfaisait pas d’une seule conquête remarquable. C’était un prédateur et il ne pouvait s’empêcher de chasser les proies les plus fragiles qui se trouvait sur son territoire alors il avait continuer comme à son habitude.  Cependant, même s’il ne pouvait pas arrêter de s’en prendre à toutes les filles qui passaient sous son emprise, il n’en avait pas oublier la belle plante qui l’avait tant combler.

Il savait qu’elle se trouverait au gymnase car comme à son habitude elle était la dernière à en sortir, bien après tous les autres. Il s’y était donc rendu et en faisant le tour il pu bel et bien se rendre compte qu’il n’y avait plus personne mais que le bruit des douches des vestiaires des filles coulaient. Que ce soit Mathilde ou une autre, ce n’était pas grave même si évidemment il était venu pour elle pas pour une autre, il ne pris que le temps de vérifier que c’était bien elle pour se dévêtir complètement avant de la rejoindre sous la douche

Il profita qu’elle soit dos à l’entrée pour s’approcher sans faire un bruit afin de se coller à elle, il l’attrapa par les hanches avant de faire remonter ses mains jusqu’à ses seins qu’il pelota directement, sans rien dire.

Le gymnase était construit de telle façon que les douches des filles et des garçons étaient séparées par plusieurs salles, empêchant avec efficacité toute tentative d'intrusion, ou de petits voyeurs. Elles étaient aussi respectivement reliées à des salles de changement, dans lesquelles se trouvaient des casiers, pour ranger les affaires des étudiants de façon pratique et ordonnée. En temps normal, pour rentrer dans les vestiaires, qui menaient aux douches, il fallait un trousseau de clefs qui étaient confiés aux professeurs de sports, à l'infirmière, et aux responsables des clubs de sport. C'est donc en toute logique que le proviseur possédait un double des clefs.

Plus loin, sous une des douches, dans cette salle qui n'offrait absolument aucune intimité, la jeune femme se trouvait sous l'eau chaude, qui lui faisait un bien fou pour décompresser après sa journée. C'est donc en conséquence de l'eau qui coulait avec abondance qu'elle n'entendit rien, ni personne s'approcher. Au moment ou elle sentit un contact sur ses hanches, elle eût un petit sursaut, et sa tête pivota pour jeter un coup d'oeil en arrière. En aperçevant la personne responsable de ce petit coup de panique, elle se relaxa rapidement, et sous le doigté expert du proviseur, elle sentait ses tétons durcir rapidement. Elle sourit un peu pour elle même, se laissant clairement faire.

-Bonsoir ! J'ai failli attendre, vous savez...

Elle fit semblant de le bouder, mais son petit jeu fut bien vite trahi par les petits sursauts de plaisir qu'elle avait.

Le proviseur était la seule personne du lycée à pouvoir s’introduire partout dans l’enceinte des lieux même dans des pièces plus ou moins cachées qui se révélaient parfois bien utile pour s’amuser. Il lui était donc très aisé de s’introduire dans les vestiaires des filles du gymnase. Il n’avait pas prévenu car il aimait faire ça par surprise, après tout lorsqu’il sa proie n’était pas consentante il ne prévenait pas non plus alors pourquoi le faire même si Mathilde était d’accord pour s’amuser.

Il lui sourit mais ne lui répondit pas lorsqu’elle lui fit part de son impatience, il se contenta de se presser contre son dos alors que ses mains se cramponnaient à ses seins pour les malaxer avec force. Sa bouche pris le chemin de son cou pour le mordiller et le lécher en l’embrassant parfois :

« J’aime me faire attendre, le plaisir n’en est que meilleur, n’est-ce pas ? »

Son sexe se tendait et il pouvait désormais faire de petit va est vient pour se frotter contre son intimité. L’eau qui coulait sur eux ne le dérangeait pas, il avait toujours aimer faire ça sous la douche la seule différence ici c’était que le carrelage froid des mur remplaçait les parois vitrées des douches personnelles.

C'était bien sûr le cas de Mathilde, elle était complètement consentante pour s'amuser un peu avec son proviseur. La dernière fois il ne s'était pas introduit dans son intimité mais elle comptait bien rectifier le tir maintenant qu'elle en avait l'occasion.

Alors qu'il la caressait lentement, elle se pris au jeu, se collant tout contre lui, le laissant seul maître de son corps. Qu'il était bon avec ses mains, quand même ! C'était évident qu'il avait beaucoup d'expérience, et c'était loin de déplaire à la jeune étudiante, qui resserra un peu ses jambes entres elles pour lui rendre le passage plus étroit et agréable. Elle passa ses deux bras en arrière, pour les enrouler autour du cou de l'homme derrière elle, tandis qu'elle penchait un peu la tête pour venir lui voler des baisers de temps à autres.

-J'en suis convaincue ♥

La semaine précédente il n’avait effectivement pas explorer l’intimité de la jeune fille pour se concentrer sur une sodomie brute mais aujourd’hui il comptait bien s’occuper de sa petite minette comme il se devait de le faire. Il ne fallait pas tout montrer d’un coup, c’était pour ça qu’il n’avait pas fait la totale la dernière fois mais il ne doutait pas qu’elle allait beaucoup aimer ce qu’il avait prévu aujourd’hui.

Comme pour la première fois, il ne passa pas par quatre chemin et commença directement à prendre possession de son corps. Une de ses mains lâcha la poitrine de la jeune fille pour venir lui caresser l’entrejambe quelque instant avant d’y enfoncer trois doigts d’un coup afin de commencer à la doigter énergiquement. Il adorait sentir ses doigts écarter les parois vaginales de la lycéenne, l’eau qui coulait sur eux faisait joliment claquer lorsque qu’il s’enfonçait jusqu’à la base des doigts un peu fort et que sa paume se retrouver à frapper contre son entrejambe :

« Hm, ici aussi ça à l’air délicieux. Je vais te dévorer. »

La main qui s’occupait de sa poitrine lui serra férocement le seins qu’il tenait avant de prendre son téton entre deux doigts et de tirer dessus avec insistance. Personne ne les surprendrait ici et il était plus tôt que la dernière fois alors ils avaient tout leur temps pour prendre leur pied.

La jeune fille compris rapidement que le vieil homme n'avait pas perdu en agressivité, s'attaquant directement à son intimité avec trois de ses doigts, la faisant sursauter de surprise, l'assaut brutal lui arrachant un petit gémissement de douleur. Elle n'avait pas exactement l'habitude de se faire écarter ainsi sans sommation, mais elle ne tenta pas de se dégager, le laissant prendre le contrôle de la situation avec une confiance parfaite. Elle s'appuya  un peu contre le mur froid, malgré l'eau chaude coulant, pour être complètement stable aux assauts qu'elle subissait.

Elle ne répondit rien à son partenaire, occupée à découvrir des plaisirs masochistes, partagée entre douleur et plaisir.

Il n’y avait pas de raison pour qu’il ait changé de manière de faire surtout que la dernière fois elle avait aimé se faire malmener par un proviseur dominateur agissant avec brutalité. Il allait lui montrer ce qu’il était capable de faire quand il s’occupait de l’entrejambe de ses amantes et pour cela il n’avait même pas besoin d’utiliser son sexe pour le moment. Il se contentait de la doigter avec vigueur, trois doigt d’un coup ça pouvait sembler beaucoup mais c’était une bonne mise en bouche.

Il continua quelque minutes à faire aller et venir ses doigt en elle pendant que son autre main s’occupait  de ses seins alors qu’elle était toujours dos à lui. Il finit par retirer ses doigts de son intimité, ils étaient déjà bien mouillés et ça le faisait sourire alors qu’il les portait à sa bouche :

« Retourne toi que je puisse te regarder pendant que je te fais du bien. »

Il attend qu’elle se retourne avant de l’embrasser brièvement sur les lèvres puis il se mit à genoux devant elle, l’avantage d’une fille grande comme elle l’était, c’est qu’il se retrouvait pile à la bonne hauteur et il porta sa bouche contre son intimité et il commença littéralement à la dévorer. Il embrassait, mordait et léchant allégrement ce qu’il avait à portée, s’occupant autant de son clitoris que de l’intérieur. Il lui tenait les jambes, sa tête presser tout contre elle pour lui montrer que même s’il était en dessous, il était toujours le maître et qu’il contrôlait son plaisir.

C'était effectivement le bon comportement a adopter, puisque c'est comme ça que Mathilde semblait prendre le plus de plaisir. Il avait put aisément le remarquer, car, et ce malgré l'eau abondante qui coulait sur leurs corps, elle commençait à bien mouiller. Ses tétons avaient bien manifestés le plaisir qu'elle recevait, et elle se sentait presque coupable de le laisser faire tout le travail. Mais après tout, c'était bien lui qui décidait de ce qu'ils allaient faire.

C'est pour cette raison qu'elle se retourna instantanément à sa demande, et que sentir la chaude langue du proviseur jouer avec son intimité, la dompter et la soumettre à sa volonté, lui fit comprendre que même si il était à genoux devant elle, c'étiat bien lui le patron. Et il semblait aimer ce rôle autant qu'elle aimait le lui laisser...

Le propre d’une relation de dominant -dominé c’était bien qu’il y avait un dominant et un dominé qui chacun prenait plaisir à joué son rôle, il fallait cependant bien savoir quel était notre rôle pour ne pas se sentir frustré. Ces deux là connaissaient très bien le leur et c’est pourquoi il prenait autant de plaisir ensemble. Le vieux proviseur savaient comment donner du plaisir et il s’appliquait pour qu’il soit optimal.

Ses coups de langue se faisaient insistant tant lorsqu’il léchait l’extérieur que lorsqu’il s’infiltrait à l’intérieur pour la faire remuer dans tous les sens, il s’amusait également à lui mordiller son petit bouton de plaisir le faisant assez fort pour que ça fasse légèrement mal. Il agit de la sorte pendant un bon moment avant de s’arrêter de nouveau pour ne pas finir par lasser sa partenaire. Bien qu’il retire sa tête de l’entrejambe de la demoiselle, il ne se releva pas et ce sont ces doigts qui revinrent à la charge. De nouveau il inséra trois doigts en elle mais cette fois-ci il était das une meilleure position pour y aller vraiment comme un fou et ce sont des va et vient brut et rapide qui commencèrent en même temps qu’il tournait la main pour donner un effet de rotation à la pénétration :

« Est-ce que tu veux que j’aille vraiment au bout des choses ? Ça risque de faire un peu mal même si je te prépare déjà bien là. »

C’était extrêmement rate qu’il pose ce genre de question à une partenaire et même si une réponse négative ne l’empêcherait pas de le faire quand même, il préférait s’assurer qu’elle était toujours prête à subir tous ses assauts.

Mathilde avait posé le dos de sa main contre sa bouche comme pour masquer les petits gémissements qu'elle poussait, alors qu'elle était sur la ligne entre douleur et plaisir. Sentir son partenaire s'occuper d'elle de la sorte lui faisait tant de bien... Il avait de l'expérience dans ce domaine-ci aussi, pensa-t-elle.
Alors qu'il se remettait à la pénetrer de ses doigts avec une finesse digne d'un animal en chaleur, elle s'appuya un peu sur son épaule, car elle sentait la force de ses jambes se dérober sous ses pieds. Elle avait bien compris qu'il la préparait dignement pour qu'elle le reçoive dans le plus de plaisir possible, mais pour la jeune étudiante, c'était presque de la torture...

-Ou..Oui. J'ai vraiment envie de la prendre en entier...