Meryl venait de violemment et savamment marquer cette jeune intruse. Sans égaler le système de recherche de GWC avec leurs EVA, la Fut-Corp disposait aussi de ses propres algorithmes et outils de reconnaissance faciale. Pour confondre Aemiliane, son visage avait été photographié par des caméras numériques, et l’image mise sur un logiciel de reconnaissance numérique, qui avait comparé les détails de son visage avec bon nombre de photographies. Elles avaient ainsi accédé au registre du personnel de GWC, et, à partir de là, les algorithmes avaient continué à étendre leurs recherches, ce qui avait permis d’obtenir un lien vers le blog d’Aemiliane, ses pages sur les réseaux sociaux, ce genre de choses. À Tekhos, tout était connecté, tout se savait, et, du peu qu’Aemi’ avait vu de la Fut-Factory, elle comprenait maintenant que la Fut-Corp n’était pas juste une entreprise sexuelle fournissant des amantes au corps disproportionné. Elle disposait ainsi de ses entrées au sein de GWC, et Aemiliane était désormais à un tournant de son existence. En prenant conscience, elle hésita un peu, puis les pulsions furent trop fortes. Était-ce lié au sperme de Meryl ? Ce sperme pouvait après tout être doté de propriétés magiques... Mais peut-être était-ce aussi lié à cette femme ? Les F-Girls savaient combien Tekhos était une société perverse, ultra-sexualisée, et, en voulant mettre fin au sexe masculin, les autorités tekhanes n’avaient fait que désorganiser cet équilibre hormonal. Les F-Girls représentaient, à leur manière, un substitut de virilité et de masculinité dont, en leur for intérieur, les femmes étaient toujours attirées. C’est ce qui expliquait le succès phénoménal de la Fut-Room, et qui permettait surtout aux F-Girls d’avoir quantité de contacts, car elles n’hésitaient pas à baiser longuement leurs clientes, au point de leur faire perdre l’esprit, et d’en faire des esclaves dociles.
Il n’appartiendrait pas à Meryl de savoir quoi faire d’Aemiliane. La politique de la direction était de ne pas avoir trop d’espions au sein d’une même compagnie pour limiter les fuites. Et l’ingénieure était conquise. Elle palpa le corps musculeux de Meryl, qui la laissa faire, puis, se hissant sur la pointe des pieds, l’ingénieure alla l’embrasser. La queue trempée de Meryl se frottait contre le ventre d’Aemi’, et Meryl posa ses solides mains sur les fesses d’Aemiliane, serrant son cul, malaxant son postérieur.
« Hmmm... »
Elle sourit ensuite quand Aemiliane s’appuya contre la table, lui présentant ses fesses.
« Je crois que tu es juste une salope, ma pute... Mais je ne refuse jamais de détruire un joli cul comme le tien... Mesdames, préparez-là ! »
Les gardes-esclaves de Meryl se déplacèrent alors. Un collier noir lui fit mis autour du cou, véritable collier de chienne, avec une puce de géolocalisation, une fermeture étanche, et des diodes électriques à l’intérieur permettant de pacifier une esclave en cas de rébellion. Mais, Tekhos oblige, elle reçut également des collants et des gants noirs en latex, longs et moulants. Impossible pour elle de protester, car, à chaque fois, le collier diffusait un courant électrique. Les gardes-esclaves lui mirent donc de longs gants brillants et des collants, pendant que deux autres gardes, agenouillés devant Meryl, masturbaient et embrassaient son pieu.
Ne voulant pas encore tuer Aemiliane, Meryl ordonna également qu’on ingère en elle une solution spéciale, conçue dans les locaux de la Fut-Factory, et on lui planta dans le corps une seringue abritant un liquide rose, le même qu’on utilisait sur les clientes de la Fut-Room. Avec ce sérum, le corps d’Aemiliane devrait apte à n’importe quelle pénétration. La douleur serait là, mais le sérum développait aussi le plaisir, afin d’éviter que le sujet ne tombe dans le coma, ou ne décède d’une hémorragie interne.
Le temps que tout cela se fasse, Meryl était désormais prête. On avait également attaché au collier une laisse. Meryl l’attrapa, et tira brusquement dessus. Le collier se serra alors, étouffant Aemiliane, tandis que la femme se rapprocha. Aemi’ put ainsi sentir contre ses fesses la queue massive de sa tortionnaire.
« Tu ne résistes même pas, tu es en transe... J’ai déjà baisé des salopes, mais toi, ma pute, tu es vraiment hors concours... »
Meryl déplaça sa main sur les hanches d’Aemiliane, et pinça son sein, tirant sur le téton. Ses seins étaient bien gonflés, les tétons assoiffés, et, avec son autre main, elle guida sa queue vers le fondement de la femme.
« Je vais te ravager le corps, ma salope... Quand j’en aurai fini avec toi, quand je t’aurai détruit, tu ne te souviendras même plus de ton nom, et tu ne pourras plus te passer de ma queue. C’est comme ça, vous êtes toutes comme ça, vous les Tekhanes... Regarde autour de toi, si tu ne me crois pas. Toutes ces gardes sont autant de mes proies, des femmes que j’ai brisé comme toi, avec la seule force de ma queue et de mon endurance. »
Était-ce là le sort qui attendait Aemiliane ? Devenir une poupée sexuelle comme toutes ces autres femmes ? Meryl n’en savait encore rien, mais elle ne lui mentait pas. Toutes ces gardes avaient été transformées en esclaves sexuelles par le talent insatiable des F-Girls... Talent dont Aemiliane allait pouvoir encore prendre conscience, car Meryl enfonça sa queue dans son cul...
...Et vinrent le concert jouissif et exquis des hurlements, le corps massif de Maryl s’écrasant dans le dos de sa jeune proie...